Academic literature on the topic 'Relations travailleur social-client – Québec (Province)'

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Journal articles on the topic "Relations travailleur social-client – Québec (Province)"

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Bourgeault, Ivy Lynn, Jelena Atanackovic, Ahmed Rashid, and Rishma Parpia. "Relations between Immigrant Care Workers and Older Persons in Home and Long-Term Care." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 29, no. 1 (March 2010): 109–18. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980809990407.

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Abstract:
RÉSUMÉLes aidants immigrés jouent un rôle de plus en plus important dans les soins de domicile et les soins de longue durée au Canada, mais l’ampleur totale de leurs relations avec les personnes âgées dans ces cadres est relativement inconnue. Cet article examine le rôle des aidants immigrés dans les deux secteurs de domicile et de soins de longue durée, mettant l’accent sur les relations avec les anciens et les implications pour la qualité des soins. Les données proviennent des entrevues avec les travailleurs, les employeurs et les clients anciens menées dans divers services d’accueil et de soins de longue durée pour personnes âgées dans trois provinces canadiennes: l’Ontario, la Colombie-Britannique et le Québec. Les facteurs qui découlent des origines ethniques ou raciales des aidants immigrés, barrières linguistiques et facteurs contextuels tels que la pénurie de personnel en soins de différents paramètres pour les personnes âgées compliquent la relation entre les aidants immigrés et leurs clients. Dans certains cas, ces facteurs diminuent la qualité des soins. Nous indiquons quelques politiques alternatives que nos conclusions suggèrent devraient être considérées.
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Deirdre, Meintel. "Ethnicité." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.095.

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Abstract:
Le concept d’ethnicité est le sujet d’une vaste littérature qui a bénéficié des contributions d’auteurs issus de différentes disciplines, dont la sociologie, l’histoire, la science politique et la démographie. Nous faisons ici une revue sélective des ouvrages anthropologiques qui ont marqué le domaine. Le concept d’ethnicité en sciences sociales est généralement attribué au sociologue Max Weber (1921, 1971). Le sociologue allemand conçoit l’ethnicité comme une construction sociale; c'est-à-dire, comme le produit de rapports sociaux. De nos jours, l’approche constructiviste de l’ethnicité prédomine à travers toutes les sciences sociales, y compris l’anthropologie. C’est l’anthropologue Frederik Barth (1969) qui a théorisé l’aspect processuel de l’ethnicité, et ce, en lien avec l’ethnographie des relations intergroupes. Son approche se distingue en ce qu’elle problématise l’émergence de groupes ethniques et leur durabilité dans le temps. Comme l’a écrit Robin Cohen (1978 : 389), « l’ethnicité n’a pas d’existence en dehors des relations interethniques » (notre traduction). Avant d’aller plus loin, précisons certains des termes utilisés ici. « Ethnicité » englobe non seulement l’identité ethnique, mais aussi les modèles culturels qui caractérisent le groupe – certains d’entre eux servant à le délimiter –, les associations, institutions sociales, activités collectives et intérêts communs (Meintel 1993). À l’instar de Fischer (1986), nous ajoutons que l’ethnicité englobe aussi la mémoire, soit la quête des individus et des collectivités de traditions qui servent à développer une vision du futur. Bref, l’ethnicité concerne non seulement le passé, mais aussi le présent et l’avenir. Dans l’optique de Fischer, l’ethnicité n’est pas qu’une forme de distinction sociale, ou un élément de hiérarchisation : elle représente également une gamme de ressources symboliques. L’intérêt pour l’ethnicité en anthropologie doit beaucoup aux recherches en Afrique, notamment celles menées par l’École de Manchester dans les villes où les travailleurs migrants demeuraient. Dans leur optique, ces villes et les villages d’origine constituaient un seul champ social. Dans un vocabulaire centré sur le « tribalisme », des chercheurs britanniques liés à cette école, dont Godfrey et Monica Wilson, Max Gluckman, J. Clyde Mitchell et Elizabeth Colson parmi d’autres, ont développé le Rhodes Livingstone Institute, institut dédié à l’étude des cultures du nord de la Rhodésie (aujourd’hui la Zambie). Ces chercheurs étudiaient les transformations sociales et culturelles des paysans devenus travailleurs urbains. Dans ce contexte de contact intergroupes, les identités ethniques sont devenues prééminentes. Leur nouvelle importance dans les relations sociales des citadins s’illustre par la danse Kalela (Mitchell 1956). Ce rituel hebdomadaire d’invention urbaine où les danseurs mettaient en scène la diversité ethnique et des figures urbaines (médecin, infirmière, etc.). Ici, l’identité tribale (les danseurs provenaient du groupe Bisa) était réinventée comme une forme d’ethnicité urbaine (retribalisation dans les termes de Mitchell). Par ailleurs, Mitchell a développé un schéma de relations urbaines tripartite : relations personnelles, structurelles et « catégoriques ». Tandis que les relations structurelles étaient largement encadrées par les rôles fixes des participants (par exemple, ainé/cadet, patron/ouvrier), les relations « catégoriques » (categorical relationships) concernaient les relations ponctuelles et superficielles; par exemple, au marché, dans les foules urbaines (Mitchell 1966) et largement gouvernées par des stéréotypes ethniques, pas forcément négatifs (1966). Plus tard, Jean-Loup Amselle (1990) a soulevé la question du rôle du colonialisme dans la création de frontières artificielles entre les sociétés africaines. S’appuyant sur ses recherches auprès de plusieurs groupes maliens, notamment les Malinkés, les Peuls et les Bambaras, l’ethnologue propose, plutôt que de considérer les sociétés africaines comme des entités étanches où coïncident cultures, langues et frontières politiques et sociales, de les définir comme une « chaîne de sociétés » caractérisée par un « syncrétisme originaire ». Dans la même veine, Lee Drummond concevait les sociétés des Caraïbes comme un « continuum culturel » caractérisé par une hybridation incessante, perspective qu’il appliqua par la suite à la société pluriethnique de Montréal (1982). Bien que la diversité ethnique (et religieuse) soit le sujet de grands débats sociaux, les études ethnographiques sur les relations interethniques n’abondent pas. Celle de Gerd Baumann (1996) fait exception, l’anthropologue ayant étudié les discours identitaires des habitants d’un district de Londres très diversifié et densément peuplé. Sa monographie illustre bien la fluidité des identités, des discours et des pratiques à l’égard de l’ethnicité. La labilité des frontières ethniques, pour ne pas mentionner la variabilité de marqueurs qui les définissent est illustrée par l’identité « québécoise » au Québec, définie largement par la langue maternelle française, tandis qu’auparavant, les habitants de la province se considéraient plutôt comme Canadiens français, catégorie définie principalement par la confession catholique. Cette mutabilité des frontières et des marqueurs soulève la question de la légitimité des identités et des revendications de droits ou de ressources articulées dans le cadre de ce que plusieurs dénomment « la politique identitaire ». Ces enjeux sont au cœur des travaux d’anthropologues comme James Clifford (2000), parmi d’autres. Clifford se penche sur plusieurs sociétés autochtones, dont les Kanaks de Nouvelle-Calédonie et les Nisga’a de la Colombie-Britannique, pour critiquer la tendance de certains anthropologues (par exemple, Kuper 2003) à considérer les discours identitaires de groupes indigènes comme « essentialistes » et leurs pratiques culturelles adaptatives comme « inventées ». L’auteur affirme par ailleurs que les luttes de groupes subalternes obligent les anthropologues à revoir la notion de « tradition » et à la concevoir non pas comme un corpus culturel figé, mais plutôt comme une gamme de ressources qui sont constamment remaniées. Les sociétés indigènes ne représentent pas, évidemment, des « minorités ethniques » comme les groupes immigrants (Eriksen 1993); au Canada, le terme « Premières Nations » connote leur statut distinct. Cependant, on constate certaines similitudes entre les enjeux identitaires et politiques des peuples autochtones et les minorités ethniques (Cipolla 2017), à plus fort raison compte tenu du fait que la majorité des autochtones au Canada et au Québec vivent en dehors des réserves. Par exemple, les diasporas, telles que Clifford (1994) les présente, concernent les Juifs et les Arméniens mais aussi des peuples amérindiens forcés à quitter leurs territoires (Clifford 2007). Les études anthropologiques de l’ethnicité ont pris une nouvelle tournure avec les travaux de Nina Glick Schiller et ses collègues (Glick Schiller, Basch et Blanc-Szanton 1992) sur la transnationalité. Dans cette optique, l’ethnicité des groupes immigrants est abordée non seulement en rapport avec un territoire particulier (quartier, ville, etc.), mais aussi en lien avec le pays d’origine des migrants et d’autres régions du monde où se trouvent des personnes du même groupe. Les nombreuses études en sciences sociales influencées par ce courant révèlent les dimensions politiques et économiques des réseaux transnationaux des migrants, tout en montrant que la transnationalité ne concerne pas tous les migrants de manière égale. Enfin, le « champ social » où se construit l’ethnicité s’étend désormais au-delà des frontières nationales. Dans les années récentes, nombreux chercheurs ont préféré parler de diversité plutôt que d’ethnicité, pour englober des critères tels que la religion, la l’orientation sexuelle, etc. Comme d’autres le reconnaissent, la diversité n’est pas un concept rigoureux (Kraus date) ; certains considèrent la diversité comme l’angle mort du racisme (CJF) puisqu’elle peut occulter les inégalités entre groupes ethniques. La sociologue Danielle Juteau (2018, p. 38) insiste sur pertinence de l’ethnicité de nos jours pour développer une perspective critique sur la diversité, puisque « son approche relationnelle et constructiviste, souvent matérialiste et transversale, en éclaire diverses facettes » de la diversité. Nous avons eu l’occasion de constater la création de nouvelles catégories ethniques, notamment celle d’ « Arabes » pour désigner les musulmans du Moyen-Orient, repris par des jeunes musulmans eux-mêmes pour s’identifier (Meintel 2018, p. 6-7). L’ethnicité nous semble toujours actuelle comme outil conceptuel pour mieux comprendre les relations intergroupes et les inégalités qui les caractérisent.
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Dissertations / Theses on the topic "Relations travailleur social-client – Québec (Province)"

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Fecteau, Jean-François. "Étude des représentations et cohérence épistémologique des intervenants de centre jeunesse qui utilisent la thérapie orientée vers les solutions." Thesis, Université Laval, 2012. http://www.theses.ulaval.ca/2012/28904/28904.pdf.

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Leclerc, Annabelle. "Le travail social en troisième ligne psychiatrique : la perception des travailleurs sociaux." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27882.

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Abstract:
Cette recherche qualitative vise à mieux connaître la pratique des travailleurs sociaux dans le contexte de la 3e ligne psychiatrique. La perspective des travailleurs sociaux est centrale dans l’étude, comme le démontre la question de départ : quelles significations les travailleurs sociaux associent-ils à leurs activités professionnelles ? Méthodologie : Des entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec dix (10) travailleurs sociaux de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (IUSMQ) d’avril à juin 2015. Ces entrevues comprenaient deux volets : (1) la pratique des travailleurs sociaux en 3e ligne psychiatrique à l’IUSMQ ; (2) un récit de pratique à l’aide d’un exemple clinique concret. Les transcriptions des entrevues ont été soumises à une analyse thématique des contenus fondée sur une grille de codification combinant des catégories prédéterminées et des catégories émergentes du matériel. Résultats et discussion : Le thème central issu de nos analyses est la notion de lien, qui serait au cœur des pratiques de travail social : les liens que les travailleurs sociaux créent, préservent ou rétablissent avec les usagers, les familles, les autres intervenants et les différents partenaires. Les travailleurs sociaux actualisent des rôles différents dans le cadre de leurs diverses activités en 3e ligne psychiatrique. Or, la compréhension de leur rôle dans les diverses équipes interdisciplinaires influence le déroulement de la collaboration ainsi que l’atteinte des objectifs établis avec la clientèle. Les récits de pratique soulignent que la gestion des cas cliniques de 3e ligne nécessite l’intervention de plusieurs partenaires et demandent l’utilisation de nouvelles approches d’intervention. Les collaborations constructives et efficaces ainsi que l’inclusion des familles dans les interventions complexes apportent un grand appui dans l’actualisation du plan d’intervention ou de sortie des usagers. Enfin, les diverses formes de soutien clinique, l’accès aux formations et la flexibilité du travail réalisé facilitent le travail au quotidien. Mots-clés : travail social, troisième ligne, santé mentale, psychiatrie.
This qualitative study aims to extend the knowledge about social work in third line (i.e., hospital-based and specialized) psychiatric services. The outlook of social workers is central in our study as we asked these professionals about the meaning of their duties at work. Interviews were conducted with mental health social workers from the Mental Health Institute of Quebec City. From April to June 2015, 10 social workers were interviewed. They answered a semi-structured questionnaire divided in two sections: (1) social work practice in third line psychiatry; and (2) a practice narrative centered on an actual clinical example. Thematic content analysis based on a codification table with predetermined and emerging categories was conducted. Results and discussion: The central theme of our analysis pertains to the notion of linking, which is viewed as central to social work practices: ties created, preserved, or re-established by social workers, and involving users, families, other practitioners, and other various partners. Social workers enact various roles in third line psychiatric settings. Significantly, the way their role is understood in interdisciplinary teams influences the continuity of the collaboration itself, as well as the achievement of the goals established with clients. The case-centered practice narratives underline that clinical management in third line psychiatric settings need interventions from different collaborators and demand the use of new intervention approaches. Constructive and effective collaborations along with the addition of families in complex interventions provide great support in the realization of the users’ intervention plan or discharge plan. For social workers, the diverse forms of clinical supports, training accessibility and work flexibility facilitate their tasks. Keywords: social work, hospital practice, mental health, psychiatry.
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Bouchard, Caroline. "Le soutien aux jeunes en difficulté : étude de la relation entre les facteurs de risque psychosociaux chez le jeune et le réseau d'acteurs qui s'implique auprès de lui." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 2001. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk3/ftp04/MQ57802.pdf.

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Côté, Marie-Andrée. "Impact des nouvelles modalités d'encadrement de la psychothérapie sur les travailleurs sociaux." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28297.

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Abstract:
Les nouvelles modalités d'encadrement de la psychothérapie (NMEP), incluses dans le Projet de loi 21, sont entrées en vigueur en juin 2012. Ces dernières définissent ce qu'est la psychothérapie et réglementent son exercice. Bien qu'il soit possible pour certains travailleurs sociaux d'obtenir un permis de psychothérapeute, seulement une minorité en a obtenu un. Or, selon la recension des écrits scientifiques, il existerait un chevauchement entre le travail social et la psychothérapie. Dans ce contexte, trois questions de recherche ont été formulées afin de documenter les impacts des NMEP. Comment les travailleurs sociaux perçoivent-ils leurs liens avec la psychothérapie? Comment les NMEP affectent-elles les différentes dimensions de la qualité de leur travail? Est-ce que les NMEP ont un impact sur leur satisfaction au travail? Afin d'y répondre, un questionnaire maison a été administrée en ligne à 74 travailleurs sociaux provenant de 14 régions administratives du Québec. La majorité des participants de cette étude considère l'existence d'un lien entre la psychothérapie et le travail social appuyant la recension des écrits. Ils considèrent généralement que les NMEP ont eu un impact négatif sur la qualité de leur travail et leur satisfaction au travail. Toutefois, cet impact est différencié en fonction que les participants aient obtenu ou non un permis de psychothérapie et qu'ils aient ou non fait des démarches pour en obtenir un. De plus, lorsqu'invité à décrire les impacts des NMEP, le manque de reconnaissance professionnelle a été amené naturellement par près de 50 % des participants. Les résultats de la présente étude convergent avec ceux d'une étude qualitative récente réalisée auprès de quelques travailleurs sociaux en santé mentale jeunesse.
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Bouchard, Marie-Pier. ""Paroisses de femmes" : expériences des femmes lors des migrations saisonnières masculines dans la région de Charlevoix, 1940-1980." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28102.

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Abstract:
La région de Charlevoix, à la géographie aussi pittoresque que contraignante, est rapidement devenue un terroir saturé, où les habitants durent user de multiples stratégies pour subsister : certains se résignèrent à partir définitivement, mais d'autres parvinrent à rester dans la région, du moins de façon discontinue. C'est ce qui donna lieu aux migrations périodiques masculines, où les hommes, pour quelques mois ou presque toute l'année, quittent leur village natal pour travailler au loin, que ce soit en mer, en forêt ou dans d'autres villes. Dans ce mémoire, il est question non pas des hommes qui partent, mais des femmes qui restent. Nous avons voulu comprendre comment se déclinaient les expériences féminines de l'absence maritale et nous avons ainsi interviewé dix-sept femmes ayant vécu, pour la majorité, les migrations du mari et, dans quelques cas, celles du père, dans une période qui s'échelonne de 1940 à 1980. Pour appréhender cette réalité, trois niveaux ont été privilégiés : l'espace économique, pour bien définir le contexte dans lequel ces migrations ont eu lieu; l'espace familial, qui nous permet de mieux comprendre comment les femmes gèrent ce rythme d'absence et de présence maritales; et l'espace communautaire, qui nous informe de la façon dont les femmes interagissent avec ce milieu marqué par l'absence. Territoire à la nature capricieuse, Charlevoix est un espace marqué par les allers retours de ceux qui doivent quitter mais souhaitent revenir. Pourtant, à l'inverse du nomadisme des hommes, il y a aussi l'ancrage des femmes, qui restent malgré les misères de l'absence maritale. Fortes d'une autonomie qu'elles affermissent et affirment, alors qu'elles doivent savoir se débrouiller seules, et soutenues par des réseaux de sociabilité très forts, où la famille occupe une place prépondérante, les femmes s'enracinent dans ce territoire de solitude, mais aussi de solidarité.
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Belzile, Cathy. "Travailler pour une entreprise sans y être directement lié par un contrat de travail : analyse comparée de l'impact de diverses configurations de l'externalisation sur le travail ainsi que sur la relation et les conditions d'emploi." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/33031.

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Abstract:
Dans un contexte économique diversifié, complexe et instable, un modèle de gestion de la production et d’organisation du travail mobilisé par la quête de flexibilité est recherché par les entreprises. Cellesci choisissent d’externaliser des activités de production, des activités périphériques ou de recrutement, ce qui engendre la création de deux grandes catégories de travailleurs : les travailleurs internes, directement engagés par l’entreprise et les travailleurs externes, provenant d’une agence ou travaillant pour une entreprise sous-traitante. L’analyse de ces formes d’externalisation, se traduisant par une reconfiguration de la relation d’emploi, invite entre autres à s’interroger sur la définition de celle-ci, sur les conditions de travail et d’emploi qui sont offertes aux travailleurs externalisés ainsi que sur la manière dont ils doivent composer avec la gestion de l’insécurité et du risque. Cette recherche se veut donc une analyse comparée de l’impact de diverses configurations de l’externalisation sur les conditions de travail et d’emploi et sur la relation d’emploi. Plus précisément, elle cherche à savoir en quoi l’externalisation affecte les conditions de travail et d’emploi et elle s’attarde à identifier comment l’externalisation transforme la relation d’emploi. Afin de répondre à ces interrogations, cette recherche s’appuie sur une étude de cas multiple (N=9) menée dans le secteur agroalimentaire et plus précisément dans le segment transformation de la filière de la volaille, une filière qui recourt à diverses configurations de l’externalisation et qui est organisée en chaîne de valeur. La stratégie de collecte des données mobilise cinq sources d’informations (documentation, visite d’une usine, entretiens semi-dirigés, conventions collectives, offres d’emploi publiées). La diversification de l’échantillon permet d’effectuer des comparaisons sur les trois niveaux d’analyse possibles : micro, méso et macro. Il ressort des analyses qu’une détérioration des conditions de travail et d’emploi s’enregistre à mesure que l’on descend dans la chaîne de valeur. Plus précisément, trois facteurs sont susceptibles de faire varier les conditions de travail et d’emploi. Il s’agit effectivement de la position de l’entreprise ou de l’établissement dans la chaîne de valeur (pivot, sous-traitant), mais également de son type d’activité (abattage et première transformation ou seconde transformation) et de la configuration de l’externalisation (agences de placement de personnel ou sous-traitance). De plus, lors de cette recherche, quatre types de relations d’emploi ont pu être observées, soit des relations bipartites typiques, bipartites atypiques, multipartites en sous-traitance et multipartites en agences de placement de personnel. La comparaison de ces diverses modalités a permis de comprendre comment l’externalisation transforme la relation d’emploi classique, ainsi que les effets de cette transformation sur les conditions de travail et d’emploi. En s’intéressant à l’externalisation, cette recherche démontre que ce choix stratégique comporte des enjeux pour le travail et l’emploi (par exemple, difficulté d’application des normes minimales et de santé et sécurité du travail), mais également pour l’ensemble de la société. Elle met de plus en lumière les limites des théories classiques en relations industrielles dans l’explication du phénomène de l’externalisation et invite à leur renouvellement. Mots-clés : externalisation, agences de placement de personnel, sous-traitance, relation d’emploi, conditions de travail.
In an economic context that is diversified, complex and unstable, employers are turning towards production management and work organization models fostered by a quest for flexibility. By choosing to externalize their core, non-core or recruitment activities, they create two categories of workers: “internal workers” that have been hired directly by the company and “external workers” that have been hired through staffing agencies or subcontractors. These externalization strategies bring major changes to the employment relationship. This raises questions about the very definition of the employment relationship, the external workers’ working and employment conditions and the way they manage to deal with insecurity and risk. This research is a comparative analysis of the impact of different types of externalization on working and employment conditions and on the employment relationship. More precisely, this research aims to explain how externalization affects working and employment conditions and how it transforms the employment relationship. This research is based on multiple case studies (N=9) from the food industry. More specifically, companies were chosen in the poultry sector because they are known for externalizing many of their activities and because this sector is structured using the value chain model. Data was collected using five sources of information (business documentation, plant tour, semi-directed interviews, collective agreements and online job postings). A diverse sample made comparisons possible on all levels of analysis: micro, meso and macro. This study shows that working and employment conditions worsen as we move down the value chain. Three variables were found to explain this phenomenon: the company’s or the plant’s location on the value chain, its activities (first-stage and second-stage processing) and the types of externalization (staffing agencies or subcontractors). Four types of employment relationships were found in the poultry industry: two-party, standard relationships; two-party, nonstandard relationships; multiparty with subcontracting and multiparty with staffing agencies. Comparing these types of employment relationships allowed for a better understanding of how externalization transforms the traditional employment relationship and the effects of this transformation on working and employment conditions. By focussing on externalization, this research demonstrates that this strategic choice raises challenges for both work and employment (regarding, for instance, occupational health and safety or labour standards enforcement) as well as for society as a whole. Finally, this research highlights the many limits of the mainstream theories of the field of industrial relations in explaining the externalization phenomenon and argues in favour of their renewal. Keywords: externalization, staffing agencies, subcontracting, employment relationship, working conditions.
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Lunkebein, Caroline. "Communication et formation interculturelle d'intervenants sociaux au Québec : étude de cas dans un CLSC." Mémoire, 2007. http://www.archipel.uqam.ca/3274/1/M9736.pdf.

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Abstract:
Ce travail représente une étude de cas dans le domaine de la communication interculturelle dans le contexte de l'immigration au Canada. Il s'agit d'une étude communicationnelle sur une formation interculturelle qui est proposée aux employés du « Centre local de services communautaire » (CLSC) du quartier Côtes-des-Neiges à Montréal. Ce quartier regroupe une forte population immigrante de Montréal. Par conséquent, la formation est à priori conçue pour les professionnels d'intervention sociale du CLSC qui jouent un rôle d'interface entre immigrants et la population d'accueil au niveau de la ville en tant que témoin et acteur. L'étude vise à définir l'approche de formation utilisée quant aux conceptions des relations interculturelles dans les contenus (les concepts traités) et les méthodes d'enseignement à travers la formation. Concrètement, il s'agit de déterminer si la vision des relations interculturelles qui est communiquée lors de la formation correspond à la vision ou l'idéologie des relations interculturelles du multiculturalisme canadien. La première partie de cette étude évoque la problématique, le cadre théorique ainsi que l'hypothèse de travail. Pour expliciter la problématique et la situation dans laquelle le cas examiné s'insère, le contexte social du cas est exposé : l'immigration au Canada, à Montréal et au quartier Côtes-des-Neiges. Ensuite la formation interculturelle est présentée en tant que mesure avancée pour préparer des participants à la situation de coprésence de différentes ethnies au niveau urbain. Le cadre théorique retenu repose sur le domaine de la communication interculturelle (la culture, la communication, l'interculturalité, l'interaction). Concrètement il est tenu recours à des modèles interactionnistes sur les relations interculturelles. D'après l'hypothèse de la recherche, il est supposé que la fornation interculturelle, qui est enseignée à partir d'une organisation publique, un CLSC, dans le contexte sociopolitique du mulliculturalisme canadien devrait s'insérer dans la logique intégrative du multiculturalisme canadien par ses contenus et ses objectifs. La deuxième partie de cette étude porte sur l'analyse des données relevées sur la conception, la mise en oeuvre et les effets « bénéfiques » de la formation interculturelle au CLSC de Côtes-des-Neiges qui vise à vérifier l'hypothèse. Les données ont été recueillies par les méthodes d'entrevues semi-dirigées, par l'observation d'une formation et par une enquête par questionnaire. L'analyse globale vise à faire sortir les approches et les visions sous-jacentes touchant l'approche interculturelle à l'aide des modèles interactionnistes qui servent comme grille d'analyse. Principaux Résultats de l'analyse: les résultats globaux de l'analyse du cas montrent que la formation repose sur une version intégrative, semblable à la notion habituelle du multiculturalisme au Canada. Mais dans certains contenus, elle se rapproche de la vision proposée au Québec, plus assimilatrice. Il faut ajouter que les résultats ne peuvent pas être transposé à d'autres formations, comme il s'agit d'une étude d'un cas. La troisième et dernière partie de ce travail permettra de prendre distance avec les concepts et les modèles utilisés et de jeter un oeil critique sur les notions de l'intégration et du multiculturalisme canadien ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Formation interculturelle, Relations interculturelles, Étude de cas, Travail social, Multiculturalisme.
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