Academic literature on the topic 'Réseaux monétaires'

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Journal articles on the topic "Réseaux monétaires"

1

Levasseur, Lionel. "La déréglementation des réseaux de l'argent : interdépendance des réseaux monétaires et financiers et des réseaux de communication." Quaderni 7, no. 1 (1989): 107–21. http://dx.doi.org/10.3406/quad.1989.1910.

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2

Scheele, Judith. "L’énigme de lafaggāra: commerce, crédit et agriculture dans le Touat algérien." Annales. Histoire, Sciences Sociales 67, no. 2 (June 2012): 471–93. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900010180.

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Abstract:
RésuméDans le Touat algérien, les économies locales dépendent nécessairement de sources d’investissement extérieures et font donc partie de projets économiques et socio-politiques qui les dépassent. La propriété foncière y est morcelée, les réseaux d’investissement multiples et complexes. L’économie locale s’y exprime en partie en termes monétaires qui participent de la création de dettes, celles-ci assignant la plupart des producteurs dans une dépendance chronique. Le droit islamique y est volontairement adopté pour redéfinir les transactions locales en termes universalistes et inscrire le local dans un monde intellectuel et spirituel plus vaste. Les oasis apparaissent ainsi comme le résultat d’un mouvement « colonisateur » intérieur, tant sur le plan politique et commercial que spirituel.
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3

ALARY, V., G. DUTEURTRE, and B. FAYE. "Élevages et sociétés : les rôles multiples de l’élevage dans les pays tropicaux." INRAE Productions Animales 24, no. 1 (March 4, 2011): 145–56. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.1.3246.

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Abstract:
Par sa faculté à se développer dans des espaces restreints ou dans des milieux agro-écologiques difficiles, l’élevage constitue une opportunité pour une très grande diversité de groupes sociaux dans presque tous les milieux géographiques. Objet de nombreux échanges économiques, sous forme de troc ou d’échanges monétaires, l’élevage génère aussi des prestations sociales sous forme de dons, d’héritages ou de confiages. L’activité d’élevage permet ainsi dans de nombreux contextes la structuration de réseaux sociaux qui participent à la solidarité et à la sécurité des groupes humains, et constitue un facteur important de renforcement des actifs économiques et du capital social des familles. L’élevage est ainsi un objet complexe aux rôles multiples qui constituent autant d’atouts ou d’opportunités pour les éleveurs. Mais cette multifonctionnalité explique aussi que l’élevage soit au cœur de nombreux enjeux de développement pour les régions, à l’interface entre les objectifs de sécurité alimentaire et les objectifs de développement humain, environnemental et sociétal. Le rôle de l’élevage est ainsi l’objet de controverses qui s’expriment notamment au niveau des familles d’éleveurs, mais aussi au niveau des économies locales et nationales. Cette revue du rôle de l’élevage dans les sociétés du Sud montre en quoi l’élevage constitue un moyen de lutte contre la pauvreté dans des milieux agro-écologiques ou sociaux contraints sans pour autant négliger le
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4

CHATELLIER, V., P. MAGDELAINE, and Y. TRÉGARO. "La compétitivité de la filière volaille de chair française : entre doutes et espoirs." INRA Productions Animales 28, no. 5 (January 14, 2020): 411–28. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2015.28.5.3043.

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Abstract:
La filière avicole française, qui bénéficie encore d’une croissance de la demande intérieure, a enregistré une baisse de sa production au cours de la dernière décennie, surtout en dindes. Cette évolution traduit une perte de compétitivité par rapport à d’autres pays, notamment européens, particulièrement structurés en termes productif et industriel et dynamiques en termes d’innovations et de réseaux commerciaux. Les importations françaises de viande de volailles, qui proviennent en priorité de pays voisins (Allemagne, Belgique et Pays-Bas) et beaucoup plus marginalement des grands acteurs du commerce mondial (Brésil, USA, Thaïlande…), sont devenues préoccupantes. Elles représentent, en 2014, plus de 30% de la consommation intérieure contre un peu moins de 15% en 2000. Si la balance commerciale de la France en viande de volailles avec les pays tiers (hors Union Européenne) demeure positive, rien n’est acquis pour le futur. A court terme, la mise à zéro des restitutions n’a pas encore produit tous ses effets et les exportateurs français ont bénéficié depuis mi-2014 d’une parité entre l’euro et le dollar favorable. A moyen terme, la concurrence entre les grandes zones exportatrices pourrait s’accentuer en raison des différentiels de compétitivité, de l’ouverture croissante des marchés et de la sensibilité des flux commerciaux à l’évolution des parités monétaires. Le nombre de pays clients de la France est limité, ce qui accentue le niveau de dépendance à des considérations ciblées d’ordre géopolitique ou économique. Enfin, l’évolution récente des règles européennes relatives aux aides à l’export peut fragiliser les produits historiquement bénéficiaires. En conclusion, une attention est portée aux principales raisons d’espérer pour la filière avicole française : une forte dynamique de la demande mondiale ; un marché français à forte valeur ajoutée sur certains créneaux (volaille de qualité) ; l’amorce d’une restructuration de la filière française qui devrait favoriser une reconquête au moins partielle du marché domestique.
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5

Bosa, Réal. "La planification nationale des services d’information documentaire." Documentation et bibliothèques 24, no. 3 (January 3, 2019): 129–35. http://dx.doi.org/10.7202/1055164ar.

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Abstract:
L’évolution des services de bibliothèques et de documentation, tant dans les pays développés que dans les pays en développement, a conduit ces derniers à modifier, et cela globalement, leur approche en matière de développement. Plusieurs raisons militent en faveur d’une planification à l’échelon national des services documentaires : l’inflation monétaire, l’explosion de l’information et les moyens requis (tels les systèmes et réseaux) pour en assurer, grâce à l’évolution des technologies, un meilleur contrôle et une plus large utilisation. Un certain nombre de gouvernements se sont déjà résolument engagés dans le sens d’une planification nationale. Cette dernière implique, entre autres, la reconnaissance officielle de l’information comme facteur primordial de développement, l’inventaire des ressources existantes ainsi que des études sur leur utilisation, l’établissement d’un réseau national et l’élaboration de programmes de mise en valeur des ressources documentaires.
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6

Fadairo, Muriel, Joseph Kaswengi, Cintya Lanchimba, and Eugênio José Silva Bitti. "Protection du capital marque et nouvelles dynamiques géographiques : un travail empirique sur la franchise au Brésil." Recherche et Applications en Marketing (French Edition) 36, no. 3 (May 12, 2021): 10–28. http://dx.doi.org/10.1177/07673701211009055.

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Abstract:
Cet article s’intéresse aux clauses contractuelles dans les contrats de franchise. Le succès de ces contrats peut dépendre du marché. La franchise commerciale repose sur le partage, au sein d’un réseau, d’une marque et d’un concept développés par le franchiseur. En tant qu’actifs immatériels, marques et concepts n’ont pas tous la même valeur. Ainsi, nous examinons l’impact de l’organisation spatiale sur les contrats de franchise impliquant la marque-mère dans le marché brésilien. Les travaux antérieurs, basés sur la théorie de l’agence ont montré que la présence de points de vente distants amène le franchiseur à choisir un mécanisme de paiement conçu pour fournir un maximum d’incitations aux franchisés, soit une faible redevance et un droit d’entrée élevé. A partir de données de panel brésiliennes uniques, nous montrons que la dispersion spatiale du réseau produit le résultat inverse. Ce nouvel éclairage suggère qu’il est nécessaire de protéger la marque dans le contexte d’un marché émergent. Par ailleurs, les clauses monétaires et les outils alternatifs jouent un rôle important dans la protection et l’assistance envers la marque.
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NZINO MUNONGO, VICTORINE GHISLAINE, and MARTHA ENEKE MUNONGO. "La culture de l’eau : ressource monétaire ou fait social?" NGABAN-DIBOLEL, 2021, 31–57. http://dx.doi.org/10.46711/ngaban-dibolel.2021.2.1.2.

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Abstract:
L’eau est perçue comme le minimum que l’on puisse offrir à son invité en guise de courtoisie. Par ailleurs, la gratuité de la ressource poussait certain-e-s à voir en l’eau une ressource naturelle inépuisable dont l’humain peut jouir à sa guise. L’introduction des infrastructures de nouvelles techniques d’exploitation et de production dans le contexte social africain impose une gestion rationnelle de l’eau en y intégrant le souci majeur de l’approvisionnement des populations en une eau de qualité. Les réseaux d’adduction d’eau, gérés par des centres de traitement et de distribution, sont installés à cet effet. Ces équipements apportent une modification des usages coutumiers africains liés à cette ressource. Désormais, il s’agit de prendre l’eau comme une ressource monétaire en investissant, d’une part, pour l’approvisionnement maximal de la population et, d’autre part, pour la maintenance des installations. Une modification qui requiert une implication de la population dans les nouvelles dispositions de gestion et d’accès à l’eau. L’enjeu actuel est d’empêcher la prédominance de la considération de la ressource d’eau en bien purement économique au détriment de sa fonction sociale. Dans un tel contexte, l’hydraulique a été proposée comme un élément devant figurer parmi les Objectifs de développement durable qui adopte l’approche bottom-up dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques hydrauliques à l’inverse de l’approche top down attribuée aux Objectifs millénaires du développement.
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Vuillemenot, Anne-marie, and Silvia Mesturini. "Chamaniser." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.004.

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Abstract:
Nous devons le terme « chamaniser » à l’anthropologue Roberte Hamayon. Elle a utilisé cette notion dans son célèbre ouvrage paru en 1990, La chasse à l'âme: esquisse d'une théorie du chamanisme sibérien, puis dans un certain nombre d’écrits postérieurs, afin d’interroger et analyser la diversité des manifestations du chamanisme ainsi que son rôle et fonctionnement social, auprès des peuples bouriates situés en Sibérie (République autonome bouriate de l’U.R.S.S.), en République Populaire de Mongolie et dans la Région Autonome de Mongolie en Chine. Le verbe « chamaniser » est utilisé par l’auteure en contraste avec la notion « d’agir en chamane ». «Chamaniser, c’est se livrer à une forme de pratique individuelle sans valeur rituelle pour la communauté, qui est, dans la plupart des sociétés chamanistes, plus ou moins accessible à tout un chacun. En revanche, agir en chamane est réservé à ceux que la communauté reconnaît comme tels» (Hamayon 1995: 160). Cette distinction insiste sur l’incontournable reconnaissance de la collectivité comme base de l’émergence d’une figure désignée comme chamane et donc sur l’impossibilité d’isoler le chamane de la communauté qui le dit tel. De plus, elle permet d’envisager l’existence d’une pratique libre de profane. Pratique partielle, moins performante, de personnes qui ne portent pas la responsabilité de leur communauté, mais pratique qui permet de réinscrire le chamanisme parmi les manières de faire et d’être au monde de toute une société. Surtout, Hamayon propose une approche sociale, relationnelle et pragmatique du chamanisme allant à l’encontre de l’émergence d’une lecture comparatiste fortement axée sur les notions de transe et d’extase et sur une figure de chamane isolée de son contexte et notamment de la communauté qui le requiert, l’instaure, le légitime et le surveille (pour cette même approche du rituel voir aussi Houseman et Severi 2009). Les formes contemporaines du « chamaniser » montrent, tour à tour, la porosité ou l’affirmation de cette distinction entre les deux pratiques au profit d’une multiplication de démarches qui s’inscrivent dans plusieurs perspectives: locale, globale, monétarisée et professionnalisée. La mobilité, les mouvements de population et les transformations des sociétés contemporaines, aussi « reculées » soient elles dans les imaginaires occidentaux, induisent un processus de changement profond au sein des formes du chamaniser sans en effacer la pragmatique. Parallèlement, un certain engouement universitaire et para-universitaire fait du chamanisme une technique parmi d’autres permettant un accès et une maîtrise d’états altérés de conscience. Le chamane « maître de l’extase » proposé par Mircea Eliade (Eliade 1951[1951]) devient un objet de fascination et d’identification, une figure a-contextuelle et prisée pour ses compétences psycho-spirituelles. Dans l’univers chamanique dépeint par Eliade, seul le chamane semble chamaniser. Cette lecture en même temps technicisée, subjectivisée et phénoménologique du chamanisme se double d’un intérêt très culturaliste pour ces chamanes et les peuples à chamanes qui deviennent des personnages et lieux privilégiés d’initiation pour des occidentaux en quête de ce savoir de l’ailleurs (Chaumeil 2009). Pour le chamane jouissant d’une réputation locale, précédant ou concomitant à son succès international, se pose la question de l’articulation entre les deux. C’est à l’intérieur de cette articulation que nous voyons apparaître l’impact des alliances à long-terme et le prix que le chamane doit payer pour les maintenir. Les réseaux du chamanisme international permettant une émancipation financière pour les guérisseurs qui parviennent à s’y intégrer, ces derniers ne pourront garder une réputation et un réseau d’alliés locaux qu’à travers une redistribution de leurs nouvelles richesses. Toute accumulation sans redistribution auprès de ceux qui ont « fait » de lui un chamane au niveau local, parents et alliés chamaniques, entraîne une mort sociale parfois formulée en termes d’accusation de sorcellerie (Mesturini et Cappo 2013). Face à une demande grandissante - locale et internationale - de patients/clients, le nombre de personnes qui se déclarent chamane tend à augmenter. En principe, le chamane se charge de régler les multiples problèmes (désordres) du groupe social qui l’a reconnu, aux yeux duquel il a le devoir de trouver des solutions de réparation. Il faut entendre ici la charge en tant que rôle social imposé et devoir en tant qu’obligation de l’agir (au sens habermassien de communicationnel) et de résultats. La professionnalisation du chamaniser introduit une ambivalence du rôle, de la position sociale et même de l’agir du chamane dont la pratique devient la source principale de revenus monétaires, ce qui était de l’ordre du troc restant marginalisé. Cependant, le statut de chamane reste un statut précaire, toujours soumis à la qualité de sa performance rituelle et au jugement de ceux qui y participent. Cet aspect éminemment social de la pratique chamanique et sa composante relationnelle perdurent malgré la relative décontextualisation territoriale ( Dorais et Laugrand 2007; Vuillemenot 2013). Les développements internationaux des pratiques chamaniques invoquent également la différence entre « agir en chamane » et « chamaniser » à un autre niveau. En effet une tendance, qui accompagne ces développements et que l’on pourrait qualifier de typiquement New Age, suggère à tout-un-chacun de « réveiller son chamane intérieur », notamment à travers les techniques reconnues comme vecteurs de transe: la quête de visions, l’utilisation du tambour, l’ingestion de plantes psychoactives, les huttes de sudation ou les pratiques de jeûne. Si, d’une part, ce type d’approche implique que tout le monde est chamane ne fut-ce que potentiellement, ce qui porte atteinte à toute reconnaissance ou légitimation sociale du statut de chamane, il comporte, d’autre part, une invitation élargie à chamaniser. En ce sens, ce type de discours révèle une intention de « faire groupe» ou de « faire société » autour du partage d’un rapport dit chamanique aux mondes et aux êtres, humains et non-humains.
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Cortado, Thomas Jacques. "Maison." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.131.

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Abstract:
Le champ sémantique de la maison imprègne nos perceptions individuelles et collectives du monde comme peu d’autres. Il suffit de songer à la distinction très marquée entre house et home en anglais, si difficile à retranscrire dans nos langues latines, ou encore aux usages politiques de l’expression « chez nous » en français. Ce champ renvoie à des lieux souvent riches d’affects, de mémoires et de désirs, qui nous définissent en propre et orientent nos perceptions du temps et de l’espace. Ils font d’ailleurs la matière des poètes, peintres et autres artistes. À cet égard, lorsque nous perdons notre maison, nous ne nous retrouvons pas seulement privés d’un bien utile et échangeable, d’un « logement », nous voyons aussi s’effacer une partie de nous-mêmes et le centre à partir duquel s’organise notre existence quotidienne. En dépit de sa densité, les anthropologues ont d’abord rabattu le thème de la maison sur ceux de la famille et de la culture matérielle. Pour Lewis H. Morgan, la forme de l’espace domestique ne fait qu’épouser un certain type d’organisation familiale; elle en est, pour ainsi dire, le révélateur (1877). À la « hutte » des « sauvages » correspond donc la famille consanguine, qui autorise le mariage entre cousins, alors qu’à la « maison commune » des « barbares » correspond la famille patriarcale, autoritaire et polygame. Les « maisons unifamiliales » de l’Occident contemporain renvoient à la famille nucléaire, fondement de la « civilisation ». Quant aux anthropologues davantage intéressés par l’architecture et les artefacts domestiques, leurs analyses consistent souvent à expliquer leur genèse en accord avec une vision évolutionniste du progrès technique ou par des facteurs géographiques. On aurait pu s’attendre à ce que l’invention de l’ethnographie par Bronislaw Malinowski ouvre de nouvelles perspectives. Avec elle, c’est en effet un certain rapport à la maison qui se met à définir le métier d’anthropologue, celui-là même qu’exemplifie la célèbre représentation de ce dernier sous sa tente, immortalisée dans la première planche photographique des Argonautes du Pacifique occidental. Pour autant, la maison reste un objet secondaire par rapport à l’organisation de la vie familiale, le vrai principe de la société. Elle est avant tout le lieu où le couple choisit de résider après le mariage et ce choix se plie à certaines « règles », dont on peut assez facilement faire l’inventaire, grâce aux liens de filiation entre les membres du couple et les autres résidents (Murdock 1949). On parlera, par exemple, de résidence « matrilocale » quand le couple emménage chez les parents de l’épouse, « patrilocale » dans le cas inverse. Quant aux sociétés occidentales, où le couple forme habituellement un nouveau ménage, on parlera de résidence « néolocale ». La critique de ces règles permet, dans les années 1950 et 1960, d’étendre la réflexion sur la maison. Face aux difficultés concrètes que pose leur identification, Ward Goodenough suggère d’abandonner les taxinomies qui « n’existent que dans la tête des anthropologues » et de « déterminer quels sont, de fait, les choix résidentiels que les membres de la société étudiée peuvent faire au sein de leur milieu socioculturel particulier » (1956 : 29). Autrement dit, plutôt que de partir d’un inventaire théorique, il faut commencer par l’étude des catégories natives impliquées dans les choix résidentiels. La seconde critique est de Meyer Fortes, qui formule le concept de « groupe domestique », « unité qui contrôle et assure l’entretien de la maison (householding and housekeeping unit), organisée de façon à offrir à ses membres les ressources matérielles et culturelles nécessaires à leur conservation et à leur éducation » (1962 : 8). Le groupe domestique, à l’instar des organismes vivants, connaît un « cycle de développement ». En Europe du sud, par exemple, les enfants quittent le domicile parental lorsqu’ils se marient, mais y reviennent en cas de rupture conjugale ou de chômage prolongé ; âgés, les parents souvent cherchent à habiter près de leurs enfants. En conséquence, « les modèles de résidence sont la cristallisation, à un moment donné, d’un processus de développement » (Fortes 1962 : 5), et non l’application statique de règles abstraites. La maison n’est donc pas seulement le lieu où réside la famille, elle est nécessaire à l’accomplissement de tâches indispensables à la reproduction physique et morale des individus, telles que manger, dormir ou assurer l’éducation des nouvelles générations (Bender 1967). Cette conception du groupe domestique rejoint celle qu’avait formulée Frédéric Le Play un siècle auparavant : pour l’ingénieur français, il fallait placer la maison au centre de l’organisation familiale, par la défense de l’autorité paternelle et la transmission de la propriété à un héritier unique, de façon à garantir la stabilité de l’ordre social (1864). Elle exerce de fait une influence considérable sur les historiens de la famille, en particulier ceux du Cambridge Group for the History of Population and Social Structure, dirigé par Peter Laslett (1972), et sur les anthropologues (Netting, Wilk & Arnould 1984), notamment les marxistes (Sahlins 1976). En Amérique latine, de nombreuses enquêtes menées dans les années 1960 et 1970 mettent en évidence l’importance des réseaux d’entraide, attirant ainsi l’attention sur le rôle essentiel du voisinage (Lewis 1959, Lomnitz 1975). La recherche féministe explore quant à elle le caractère genré de la répartition des tâches au sein du groupe domestique, que recoupe souvent la distinction entre le public et le privé : à la « maîtresse de maison » en charge des tâches ménagères s’oppose le « chef de famille » qui apporte le pain quotidien (Yanagisako 1979). Un tel découpage contribue à invisibiliser le travail féminin (di Leonardo 1987). On remarquera néanmoins que la théorie du groupe domestique pense la maison à partir de fonctions établies par avance : ce sont elles qui orientent l’intérêt des anthropologues, plus que la maison en elle-même. C’est à Claude Lévi-Strauss que l’on doit la tentative la plus systématique de penser la maison comme un principe producteur de la société (1984 ; 2004). Celui-ci prend pour point de départ l’organisation sociale de l’aristocratie kwakiutl (Amérique du Nord), telle qu’elle avait été étudiée par Franz Boas : parce qu’elle présentait des traits à la fois matrilinéaires et patrilinéaires, parce qu’elle ne respectait pas toujours le principe d’exogamie, celle-ci défiait les théories classiques de la parenté. Lévi-Strauss propose de résoudre le problème en substituant le groupe d’unifiliation, tenu pour être au fondement des sociétés dites traditionnelles, par celui de « maison », au sens où l’on parlait de « maison noble » au Moyen Âge. La maison désigne ainsi une « personne morale détentrice d’un domaine, qui se perpétue par transmission de son nom, de sa fortune et de ses titres en ligne réelle ou fictive » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Plus que les règles de parenté, ce sont les « rapports de pouvoir » entre ces « personnes morales » qui déterminent les formes du mariage et de la filiation : celles-ci peuvent donc varier en accord avec les équilibres politiques. Lévi-Strauss va ensuite généraliser son analyse à un vaste ensemble de sociétés apparemment cognatiques, qu’il baptise « sociétés à maison ». Celles-ci se situeraient dans une phase intermédiaire de l’évolution historique, « dans un état de la structure où les intérêts politiques et économiques tend[ent] à envahir le champ social » (Lévi-Strauss 1984 : 190). Très discuté par les spécialistes des sociétés concernées, ce modèle a eu la grande vertu de libérer l’imagination des anthropologues. Critiquant son évolutionnisme sous-jacent, Janet Carsten et Stephen Hugh-Jones (1995) proposent toutefois d’approfondir la démarche de Lévi-Strauss, en considérant la maison comme un véritable « fait social total ». L’architecture, par exemple, ne relève pas que d’une anthropologie des techniques : celle de la maison kabyle, analysée par Pierre Bourdieu, met en évidence un « microcosme organisé selon les mêmes oppositions et mêmes homologies qui ordonnent tout l’univers » (1972 : 71), un parallélisme que l’on retrouve dans de nombreux autres contextes socioculturels (Hamberger 2010). Fondamentalement, la maison relève d’une anthropologie du corps. Dans son enquête sur la parenté en Malaisie, Carsten souligne le rôle joué par la cuisine ou le foyer, en permettant la circulation des substances qui assurent la production et la reproduction des corps (alimentation, lait maternel, sang) et leur mise en relation, ce que Carsten appelle la « relationalité » (relatedness) (1995). Fait dynamique plutôt que statique, la maison nous met directement au contact des processus qui forment et reforment nos relations et notre personne : son étude permet donc de dépasser la critique culturaliste des travaux sur la parenté; elle nous montre la parenté en train de se faire. Il convient aussi de ne pas réduire la maison à ses murs : celle-ci le plus souvent existe au sein d’un réseau. Les enquêtes menées par Émile Lebris et ses collègues sur l’organisation de l’espace dans les villes d’Afrique francophone proposent ainsi le concept de « système résidentiel » pour désigner « un ensemble articulé de lieux de résidences (unités d’habitation) des membres d’une famille étendue ou élargie » (Le Bris 1985 : 25). Ils distinguent notamment entre les systèmes « centripètes », « de concentration en un même lieu d’un segment de lignage, d’une famille élargie ou composée » et les systèmes « centrifuges », de « segmentation d’un groupe familial dont les fragments s’installent en plusieurs unités résidentielles plus ou moins proches les unes des autres, mais qui tissent entre elles des liens étroits » (Le Bris 1985 : 25). Examinant les projets et réseaux que mobilise la construction d’une maison dans les quartiers noirs de la Bahia au Brésil, les circulations quotidiennes de personnes et d’objets entre unités domestiques ainsi que les rituels et fêtes de famille, Louis Marcelin en déduit lui aussi que la maison « n’est pas une entité isolée, repliée sur elle-même. La maison n’existe que dans le contexte d’un réseau d’unités domestiques. Elle est pensée et vécue en interrelation avec d’autres maisons qui participent à sa construction – au sens symbolique et concret. Elle fait partie d’une configuration » (Marcelin 1999 : 37). À la différence de Lebris, toutefois, Marcelin part des expériences individuelles et des catégories socioculturelles propres à la société étudiée : une « maison », c’est avant tout ce que les personnes identifient comme tel, et qui ne correspond pas nécessairement à l’image idéale que l’on se fait de cette dernière en Occident. « La configuration de maisons rend compte d’un espace aux frontières paradoxalement floues (pour l'observateur) et nettes (pour les agents) dans lequel se déroule un processus perpétuel de création et de recréation de liens (réseaux) de coopération et d'échange entre des entités autonomes (les maisons) » (Marcelin 1996 : 133). La découverte de ces configurations a ouvert un champ de recherche actuellement des plus dynamiques, « la nouvelle anthropologie de la maison » (Cortado à paraître). Cette « nouvelle anthropologie » montre notamment que les configurations de maisons ne sont pas l’apanage des pauvres, puisqu’elles organisent aussi le quotidien des élites, que ce soit dans les quartiers bourgeois de Porto au Portugal (Pina-Cabral 2014) ou ceux de Santiago au Chili (Araos 2016) – elles ne sont donc pas réductibles à de simples « stratégies de survie ». Quoiqu’elles se construisent souvent à l’échelle d’une parcelle ou d’un quartier (Cortado 2019), ces configurations peuvent très bien se déployer à un niveau transnational, comme c’est le cas au sein de la diaspora haïtienne (Handerson à paraître) ou parmi les noirs marrons qui habitent à la frontière entre la Guyane et le Suriname (Léobal 2019). Ces configurations prennent toutefois des formes très différentes, en accord avec les règles de filiation, bien sûr (Pina-Cabral 2014), mais aussi les pratiques religieuses (Dalmaso 2018), le droit à la propriété (Márquez 2014) ou l’organisation politique locale – la fidélité au chef, par exemple, est au fondement de ce que David Webster appelle les « vicinalités » (vicinality), ces regroupements de maisons qu’il a pu observer chez les Chopes au sud du Mozambique (Webster 2009). Des configurations surgissent même en l’absence de liens familiaux, sur la base de l’entraide locale, par exemple (Motta 2013). Enfin, il convient de souligner que de telles configurations ne sont pas, loin de là, harmonieuses, mais qu’elles sont généralement traversées de conflits plus ou moins ouverts. Dans la Bahia, les configurations de maisons, dit Marcelin, mettent en jeu une « structure de tension entre hiérarchie et autonomie, entre collectivisme et individualisme » (Marcelin 1999 : 38). En tant que « fait social total », dynamique et relationnel, l’anthropologie de la maison ne saurait pourtant se restreindre à celle de l’organisation familiale. L’étude des matérialités domestiques (architecture, mobilier, décoration) nous permet par exemple d’accéder aux dimensions esthétiques, narratives et politiques de grands processus historiques, que ce soit la formation de la classe moyenne en Occident (Miller 2001) ou la consolidation des bidonvilles dans le Sud global (Cavalcanti 2012). Elle nous invite à penser différents degrés de la maison, de la tente dans les camps de réfugiés ou de travailleurs immigrés à la maison en dur (Abourahme 2014, Guedes 2017), en passant par la maison mobile (Leivestad 2018) : pas tout à fait des maisons, ces formes d’habitat n’en continuent pas moins de se définir par rapport à une certaine « idée de la maison » (Douglas 1991). La maison relève aussi d’une anthropologie de la politique. En effet, la maison est une construction idéologique, l’objet de discours politiquement orientés qui visent, par exemple, à assoir l’autorité du père sur la famille (Sabbean 1990) ou à « moraliser » les classes laborieuses (Rabinow 1995). Elle est également la cible et le socle des nombreuses technologiques politiques qui organisent notre quotidien : la « gouvernementalisation » des sociétés contemporaines se confond en partie avec la pénétration du foyer par les appareils de pouvoir (Foucault 2004); la « pacification » des populations indigènes passe bien souvent par leur sédentarisation (Comaroff & Comaroff 1992). Enfin, la maison relève d’une anthropologie de l’économie. La production domestique constitue bien sûr un objet de première importance, qui bénéficie aujourd’hui d’un regain d’intérêt. Florence Weber et Sybille Gollac parlent ainsi de « maisonnée » pour désigner les collectifs de travail domestique fondés sur l’attachement à une maison – par exemple, un groupe de frères et sœurs qui s’occupent ensemble d’un parent âgé ou qui œuvrent à la préservation de la maison familiale (Weber 2002, Gollac 2003). Dans la tradition du substantialisme, d’autres anthropologues partent aujourd’hui de la maison pour analyser notre rapport concret à l’économie, la circulation des flux monétaires, par exemple, et ainsi critiquer les représentations dominantes, notamment celles qui conçoivent l’économie comme un champ autonome et séparé (Gudeman et Riviera 1990; Motta 2013) – il ne faut pas oublier que le grec oikonomia désignait à l’origine le bon gouvernement de la maison, une conception qui aujourd’hui encore organise les pratiques quotidiennes (De l’Estoile 2014). Cycles de vie, organisation du travail domestique, formes de domination, identités de genre, solidarités locales, rituels et cosmovisions, techniques et production du corps, circulation des objets et des personnes, droits de propriété, appropriations de l’espace, perceptions du temps, idéologies, technologies politiques, flux monétaires… Le thème de la maison s’avère d’une formidable richesse empirique et théorique, et par-là même une porte d’entrée privilégiée à de nombreuses questions qui préoccupent l’anthropologie contemporaine.
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De Briey, Valérie, Andreia Lemaître, Vincent Lhuillier, Marthe Nyssens, Leïla Oulhaj, and Alexis Platteau. "Numéro 20 - mars 2004." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2004.03.01.

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Abstract:
Si l’on se penche sur le détail des engagements pris lors de la conférence pour l’emploi, des 60.000 emplois nouveaux projetés sur quatre ans, 25.000 devraient être créés grâce à la réforme des titres-services. Ce dossier a fait l’objet de nombreux débats et a donné naissance à une «seconde génération» de titre-service. Malgré les nombreuses discussions sur ce sujet, notamment entre les différents partenaires de la coalition au pouvoir, certaines questions importantes méritent d’être approfondies, questions qui sont cruciales pour le succès des titres-services. Nous argumentons notamment que les titres-services ne sont pas nécessairement suffisamment attractifs pour les travailleurs et les consommateurs. Nous nous interrogeons ensuite sur les champs d’activités couverts par le titre-service. Les titres-services sont-ils suffisamment attractifs pour les travailleurs ? Pas nécessairement pour tous. L’accord qui a été négocié distingue le cas des allocataires sociaux de celui des autres prestataires. Pour ces derniers, ils seront soumis à un régime totalement souple (pas de minimum d’heures à prester, CDD ou CDI) pendant les trois premiers mois et ensuite ils devront passer sous contrat à durée indéterminée sans minimum d’heures à prester. Les allocataires sociaux, s’ils peuvent prester quelques heures pendant les 6 premiers mois, tout en gardant leur statut d’allocataire, devront être engagés après six mois sous contrat à durée indéterminée pour un travail d’au moins un mi-temps. On pense tout spécialement aux personnes actives en ALE qui seront invitées à passer dans le système des titres-services avant la fin de l’année. Dans la mesure où celles-ci sont majoritairement des femmes, le plus souvent cohabitantes ou dans une moindre mesure, chefs d’une famille monoparentale, la question centrale est donc de savoir si les avantages monétaires et non-monétaires - en particulier compte tenu du caractère pénible de la tâche (nettoyage principalement) et de la fragmentation des prestations - seront suffisants pour inciter les demandeurs d’emploi à s’insérer dans le système des titres-services. Pour les chefs de famille monoparentale, la réponse est plus que probablement négative. Pour les cohabitants, les avantages monétaires du titre-service sont plus élevés dans la mesure où l’allocation de chômage est nettement plus basse que celle des chefs de famille. De toute manière, et ce contrairement à la situation actuelle, les travailleurs(ses) ALE devront être disponibles pour entrer sur le marché du travail à partir d’octobre 2004. Ces personnes ne pourront donc pas refuser une offre d’emploi “titre-service” pour autant que cette offre soit jugée “adéquate”. Les titres-services sont-ils suffisamment attractifs pour les consommateurs ? Cela dépendra de la confiance que les opérateurs pourront développer. Pour que les consommateurs soient intéressés par l’utilisation de titres-services, il ne suffit pas que le prix les rende accessibles, il faut également que les ménages soient convaincus de l’opportunité de déléguer un certain nombre de tâches accomplies auparavant dans la sphère domestique ou informelle. Ainsi, le travail au noir dans le secteur du nettoyage à domicile repose sur une logique de réseau : on engage une personne qui est renseignée comme une «personne de confiance» par un autre usager. En ce qui concerne le titre-service, les entreprises doivent être agréées mais il apparaît que les conditions d’agrément sont très souples et ne reposent pas sur des exigences précises notamment en termes d’encadrement des travailleurs. C’est dans ce cadre que l’on peut souligner l’apport de certains opérateurs d’économie sociale qui ont une longue expérience d’encadrement de travailleurs peu qualifiés. De plus, si le secteur de l’aide à domicile était jusqu’alors réservé au non-marchand caractérisé par une finalité de service à la collectivité et non de profit, l’accès du secteur privé à but lucratif est désormais ouvert. Se pose donc également la question de savoir comment le secteur privé à but lucratif peut développer le capital de confiance nécessaire dans ce champ. Faut-il limiter les titres-services au champ de l’aide ménagère ? Oui dans la mesure où il faut réserver ce type d’instrument dans des domaines dans lesquels la mise en concurrence de différents opérateurs ne pose pas de problème sur le plan de la qualité et de l’équité. Avec la mesure de titre-service, un nouveau type de régulation «quasi-marchande» est en effet introduit dans le champ de l’aide à domicile dans laquelle des prestataires de nature différente - publics, privés lucratifs, et d’économie sociale, du secteur marchand et du secteur non-marchand - sont mis en concurrence dans un champ jusqu’alors réservé aux organisations non-marchandes. Cette seconde génération de titre-service est un instrument qui privilégie, de facto, un objectif de politique économique et de création d’emploi dans le secteur de l’aide ménagère par rapport à un objectif de politique sociale d’aide à des personnes dépendantes. Cette régulation concurrentielle ne pose pas de problèmes déontologiques particuliers dans le cas des services ménagers stricto senso. Elle pourrait être étendue dans des activités comme celle du petit jardinage. En revanche, elle peut occulter un enjeu essentiel comme celui de l’équité. En effet, des services dans un champ comme celui de l’aide aux personnes dépendantes doivent être accessibles en termes de prix pour toute personne qui en a le besoin. Elle pose également la question de la régulation de la qualité. En effet, les services aux personnes - comme l’accueil de l’enfance et l’aide à domicile aux personnes dépendantes - sont composés d’une articulation entre des tâches techniques et du temps relationnel. Ainsi, l’exacerbation de la concurrence peut déboucher sur une baisse de la qualité des services, en l’absence de normes attestant de la fiabilité des prestataires. Si la conférence réserve, comme il nous semble souhaitable, le titre-service à certaines activités comme l’aide ménagère, elle laisse, du même coup, ouverte la question des besoins non satisfaits dans le champ de l’aide à domicile aux personnes dépendantes ou dans l’accueil de l’enfance.
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Dissertations / Theses on the topic "Réseaux monétaires"

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Ouvrard, Benjamin. "Les nudges dans la régulation environnementale : alternative ou complément aux instruments monétaires ?" Thesis, Strasbourg, 2016. http://www.theses.fr/2016STRAB011/document.

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Abstract:
Dans cette thèse, nous proposons une modélisation de la réaction à un nudge (basé sur l'annonce de la contribution socialement optimale), dans le cadre de la régulation environnementale. Nous comparons l'efficacité de cet instrument à celle d'une taxe. Nous testons les prédictions théoriques obtenues à l'aide d'une expérience en laboratoire. Nous montrons que la réaction à notre nudge dépend de la sensibilité environnementale des sujets, contrairement à la taxe. Dans une autre expérience, nous testons la persistance des effets de ces instruments sur le long terme. Nous considérons également la mise en place d'un instrument mixte (taxe et nudge), afin de faire prendre conscience aux sujets (à l'aide du nudge) qu'ils sont taxés, car leur comportement n'est pas optimal. Dans le dernier chapitre, nous étendons l'analyse précédente en considérant des agents arrangés dans des réseaux fixes, et nous analysons les conséquences de la mise en place de notre nudge sur les équilibres de contribution
In this thesis, we propose to mode! individuals' reaction to a nudge, based on the announcement of the socially optimal contribution. We want to compare the efficiency of this incentive, with the efficiency of a tax to improve environmental quality. We test the theoretical predictions we obtained in a laboratory experiment. We show that the reaction to our nudge depends on subjects' environmental sensitivity, contrary to the tax. ln a second experiment, we test the existence of persistent effects of these two instruments in the long term. We also consider a mix tool (tax and nudge), to raise subjects' awareness (with the nudge) that they are taxed because their behaviour is not optimal. ln the last chapter, we extend our analysis considering agents arranged in fixed networks. We analyze how the equilibria are shaped under the implementation of our nudge
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Le, Quéré Francoise. "La substitution de l'Ecu aux monnaies nationales : le traité de Maastricht et la monnaie de réglement." Orléans, 1996. http://www.theses.fr/1996ORLE0502.

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Abstract:
Dans la première partie, on montre comment l'acceptabilité d'une monnaie s'obtient et s'auto-renforce. L'acceptabilité existantes constitue une source d'inertie les opportunités d'une substitution spontanée des agents en faveur de l’Ecu on étudié ensuite les conditions d'émergence d'un réseau d'utilisateurs de la monnaie européenne face à la concurrence d monétaires existants : les externalités liées au nouveau réseau, futures et incertaines, concourent défavorablement à son basculement à l’Ecu par la diffusion d'une masse critique de transactions est une étape qui rend crédible la généralisation son usage on analyse dans la seconde partie les modalités d’intégration au plan européen des systèmes de paiement de montants elec caractérises par une extrême hétérogénéité. On montre d'abord que la création d'un système de paiement intègre est subordonnée à une interconnexion des systèmes nationaux fonctionnant sur la base du règlement brut en temps réel. On montre ensuite que l'abandon conjoint des systèmes de compensation évite une mise en concurrence déloyale de réseaux de paiement interbancaire degrés d'exigence sensiblement différents. On analyse aussi l'architecture du système européen de paiement et les modalités supervision et d'intervention du système européen de banques centrales pendant la phase finale de la transition la troisième partie pose le problème de l'insertion internationale de la monnaie européenne. Les externalités de réseau économies d'échelle liées à la détention d'une monnaie dans les transactions internationales sont intégrées à l'analyse fondée sur la comparaison des caractéristiques respectives des devises internationales. On montre dans un cadre théorique malgré des qualités intrinsèques prévisibles, il existe une inertie défavorable a l'accession de l’Ecu au statut de devise enfin, on met en evidence de façon pratique les utilisations dans lesquelles la monnaie européenne peut s'imposer comme internationale
We show in the first part how the acceptability of a transactions currency is obtained and self-reinforced. The acceptable existing currencies leads to asking of inertia and limits opportunities of a spontaneous adoption of ecu (euro). We then conditions under which a European currency user’s network can emerge beside existing monetary networks: futures and nice externalities of the new network contribute unfavorably to its expansion. The switch to ecu by the diffusion of a critic transactions is a step that makes its later widespread use credible. We analyze in the second part methods of integrating large-value payment systems characterized by an externe diversity European level. We show first that the creation of an integrated payment system depends on the interconnection of national gross settlement systems. We demonstrate then that a joint abandonment of net settlement systems allows to avoid an unfair competition between interbank payment networks characterized by different degrees of risk exposure. We also analyze the structure of the future integrated payment system and also the implementation of banking supervision and interventions European system of central banks towards the end of the transition. The third part raises the problem of the internationalization of the European currency. Network externalities and economy derived from the use of a currency in international transactions are integrated into the traditional analysis based on t the respective characteristics of international currencies. We show in a theatrical framework that in spite of expected qualities, an inertia prevents ecu from emerging as an international currency. Finally, we underline uses in which the e currency may emerge as an international money
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Vivier-Lirimont, Sébastien. "Risques et fragilités dans les réseaux interbancaires." Paris 1, 2006. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00136543.

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Abstract:
Par des contrats de dette, des dépôts interbancaires via les marchés, ou des systèmes privés de compensation les banques sont intégrées dans de véritables réseaux interbancaires. Ces réseaux permettent aux banques de gérer leur liquidité de manière à réduire le montant des réserves oisives pour accroître celui des investissements. Cependant, la topoloqie -au sens d'architecture- des réseaux interbancaires est non neutre tant pour ce qui est de la gestion du risque de liquidité et que pour ce qui est de la qestion du risque de faillite. En effet, dans un modèle à la Diamond et Dybviq (1983) étendu à plusieurs banques, on peut montrer que la topologie influence la capacité des différents réseaux à distribuer la liquidité de manière efficace, c'est-à-dire de manière à permettre aux intervenants de faire face à la contrainte séquentielle de service de liquidité avec un niveau de réserves minimal tout en se protégeant d'un risque de course à la banque. Pour y parvenir le réseau doit exhiber des propriétés topologiques strictes. La rapidité de distribution de la liquidité et le rythme de décroissance du nombre de banques iIIiquides sont variables selon la topologie en cause. De plus le réseau interbancaire peut se révéler être un canal de propagation capable de transformer un choc localisé dans le système en une crise systémique. L'effet domino apparaît par l'intermédiaire de la cascade de paiements liant les intervenants que le réseau représente. La ra pidité de propagation de la crise d'illiquidité et le nombre d'institutions en faillite sont des fonctions de la distance entre les parties prenantes au réseau, des degrés de centralité et de connectivité de celui-ci.
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Veselska, Oleksandra. "Études Structurales et Photophysiques de Polymères de Coordination de Thiolates de Métaux Monétaires." Thesis, Lyon, 2019. http://www.theses.fr/2019LYSE1197/document.

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Abstract:
Les polymères de coordination (PCs) à base de thiolates de métaux monétaires sont bien connus pour leurs propriétés luminescentes. Cependant, leurs structures sont sous-explorées. Dans cette thèse, nous présentons une étude pionnière visant la compréhension de la formation de la structure et de la corrélation ‘structure-propriétés’ des PCs homoleptiques neutres, [M(SR)]n, M = Cu(I), Ag(I), Au(I). Les composés avec les dérivés du thiophénolate étudiés dans ce travail, illustrent comment l'utilisation de certains ligands organiques fonctionnalisés conduit à la formation de réseaux 2D étendus ou de colonnes 1D par l'addition d'un encombrement stérique. De plus, la première étude structurelle comparative des PCs thiolées amorphes a été réalisée par analyse PDF. Les études photophysiques ont montré la diversité des propriétés luminescentes des PCs à base de thiolates de métaux monétaires. Des pics d'émission doubles ou multiples, un rendement quantique élevé, des émetteurs orange à proche infrarouge, des variations significatives de durée de vie en fonction de la température... toutes ces propriétés intrinsèques révèlent le potentiel élevé de ces composés pour diverses applications optiques
The coordination polymers (CPs) based on thiolates of coinage metals are well known for their luminescence properties. However, their structures stayed underexplored. In the thesis we present a pioneering study targeting the understanding of the structure formation and the ‘structure-properties’ correlation for neutral homoleptic CPs, [M(SR)]n, M = Cu(I), Ag(I), Au(I). The compounds with thiophenolate derivatives studied in the work, illustrate how the use of some functionalized organic ligands leads to the formation of extended 2D networks or 1D columns by addition of some steric hindrance. The first comparative structural study of amorphous thiolated CPs was performed by PDF analysis. The photophysical studies showed the diversity of luminescent properties of the CPs based on thiolates of coinage metals. Double or multiple emission peaks, high quantum yield of orange-toinfrared emitters, significant lifetime variation with temperature… all of these intrinsic properties reveal the high potential of these compounds for diverse optical applications
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Zouhri, Abdelhakim. "Essai sur les indicateurs avancés de risque-pays : application des réseaux de neurones et choix de politiques optimales." Nice, 2007. http://www.theses.fr/2007NICE0036.

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Abstract:
Cette étude propose une méthodologie de mesurer les risques spécifiques aux pays émergents. Ceci paraît aujourd'hui d'autant plus important que la plupart des investisseurs adoptent ces mesures de risque, à la fois dans le processus de sélection des investissements internationaux et dans le pilotage ex post de la rentabilité de ces investissements. L'intuition du travail repose sur la formulation d'un cadre théorique qui nous permet d'obtenir et de tester empiriquement les déterminants de la probabilité d'occurrence de crise pays dans les principaux pays émergentes. Les résultats obtenus par les réseaux neurals a des implications sur la robustesse des résultats présentés par le modèle de crise de change de la troisième génération en terme d'efficacité de la politique monétaire
This study suggests a methodology to measure specific risks in emerging countries. Nowadays this appears even more critical as most investors adopt these risk measures in an international investments selection process while the focus is on profitability of the investisments. The idea behind this model lives on a theoretical frame formulation that provides us with a practical method to obtain and ckeck out these keys points of the probability to a case of country crisis in the main emerging countries. Norals networks gether results which have implications on the sturdiness of results presented by the crisis model of the third generation exchange in terms of efficiency of monetary politic
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Godjé, Madi. "Réseaux aériens et structuration des territoires : les effets de la déréglementation du transport aérien en Afrique : le cas de la Communauté Économique et Monétaire de l'Afrique Centrale." Le Havre, 2005. http://www.theses.fr/2005LEHA0051.

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Abstract:
Constitués d'aéroports et de lignes qui mettent en relation les lieux, les réseaux aériens nécessitent peu d'infrastructures au sol. Depuis la déréglementation américaine de 1978, le secteur aérien est en mutation. Cette mutation soumet les Etats africains à une crise brutale et aux conséquences considérables. L'exemple de la Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC) est assez démonstratif. En effet, dans les années 1960, les Etats de cette sous-région d'Afrique avaient mis en place des politiques explicitement favorables au transport aérien : multiplication d'aéroports et de liaisons sous couvert des compagnies aériennes nationales, tant pour structurer et développer leurs territoires que pour afficher et affirmer une souveraineté nationale nouvellement acquise. Avec la mutation du transport aérien international, ils sont dans l'incapacité ou l'impossibilité de demeurer des acteurs efficaces. Ils sont d'ailleurs confrontés à des difficultés économiques et financières telles que des mesures dites d'ajustement structurel leur sont imposées par les bailleurs de fonds internationaux (Banque Mondiale, Fonds Monétaire International), peu enclins à vouloir maintenir les mécanismes de l'intervention publique dans les secteurs qu'ils vouent à la loi du marché et aux intérêts privés. Les effets immédiats sont une fragilisation du modèle africain. La faillite financière des Etats entraîne la faillite ou la quasi-faillite des compagnies aériennes nationales ; ce qui pose des problèmes pour la desserte des territoires. Il se développe une accessibilité très différenciée des lieux. A travers l'exemple de la CEMAC, c'est la question de l'insertion des réseaux aériens africains et donc la recherche d'un nouveau modèle de développement du transport aérien qui est posée
Composed of airports and lines that connect the places, air networks need fewer infrastructures on the ground. Since the American Air Deregulation, air transport is in change. This change subjects the African States to a brutal crisis and the considerable consequences. The example of the Economic and Monetary Community of Central Africa (EMCCA) is rather clear. Indeed, in the 1960s, states of this part of Africa set up policies favourable to air transport: multiplication of airports and connections under cover of the state-owned air carriers as well as to structure and develop their territories as to post and affirm a national sovereignty newly acquired. With the change in the international air transport, they have no possibility to remain effective actors in the field. They confronted besides with economic and financial crisis such as measurements known as of structural adjustment are imposed to them by the international backers (World Bank, International Monetary Funds) not very inclined to maintain the mechanisms of the public intervention in the sector that they dedicate to market and private interests. The financial bankruptcy of the States leads to the bankruptcy of the state-owned air carriers. That raises some problems for the service road the country. Il is developing an accessibility very differentiated from the places. The example of the EMCCA shows a problem that involves most African countries. How to build effective air connections in order to benefit from an increasing demand of air transport ?
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Saroyan, Susanna. "Essays on the European interbank market in times of crisis." Thesis, Toulouse 1, 2016. http://www.theses.fr/2016TOU10070.

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Abstract:
Cette thèse étudie les conditions d’accès des banques européennes au financement interbancaire non sécurisé entre 2006 et 2012. Elle contient trois essais empiriques explorant des micro-données relatives aux transactions interbancaires. La première étude empirique adopte une approche en termes de paires banque prêteuse/banque emprunteuse et montre que, une fois le risque de contrepartie et les imperfections de marché contrôlées, les banques ayant un risque de liquidité plus élevé paient une prime de taux d’intérêt. Nous montrons également que cette prime est augmentée par les banques disposant d’excès de liquidités, sans doute motivées par la thésaurisation ou des stratégies de “short-squeezing” des banques en besoin de liquidité. Cette étude souligne finalement l’imperfection du marché interbancaire et l’importance des diverses interventions de la BCE qui ont cherché à réduire le risque de liquidité des banques au cours de la crise. La seconde étude, par le biais d’un model 2P-FRM, explore empiriquement l’impact des relations de clientèle entre banques sur la structure de maturité de la dette interbancaire. Les résultats dévoilent que l’accès aux prêts interbancaires longs et non sécurisés est facilité par les relations durables avant et durant les périodes de stress. Cependant, lors des moments aigus de la crise suivant la chute de la banque Lehman, ces effets positifs des variables bilatérales de relations fortes, calculées comme la concentration des actifs sur une banque emprunteuse, ne sont pas là. La deuxième partie de notre modèle montre que la part en volume des crédits à terme est plus faible pour les couples de banques partenaires. Finalement, notre variable unilatérale de relation interbancaire, qui mesure la concentration du réseau d’emprunt de la banque prêteuse, s’avère impacter négativement les prêts à terme post-Lehman. Cela confirme l’hypothèse que le propre risque de refinancement court du prêteur peut être l’origine du gel post-Lehman des prêts interbancaires à terme. Finalement, le troisième essai explore le lien entre la segmentation du marché interbancaire et le noeud de corrélation des risques souverains/bancaires. En utilisant les changements des primes des CDS souverains et bancaires, nous proposons une mesure originale de corrélation partielle des spillovers souverains-banques, qui permet d’attribuer une direction pays-banques à la contagion. Les résultats montrent que ces spillovers accentuent la segmentation du marché monétaire Italien lors de la phase critique de la crise des dettes souveraines. De plus, l’étude montre que, même si l’impact pays d’origine/banques est important, la contagion venant d’autres souverains en crise est loin d’être négligeable
This thesis studies European banks’ terms to access to unsecured interbank funding during the period 2006 to 2012. It contains three empirical essays exploring micro-data on interbank transactions. The first empirical study adopts a bank pair panel approach evidencing that, once counterparty risk and other market imperfections are controlled for, banks with higher funding liquidity risk (liquidity-short banks) pay an interest rate premium. The bank pair level analysis also permits to show that this premium is charged by liquidity-long banks, probably motivated by strategic short-squeezing or prudential hoarding purposes during the crisis. This study emphasizes the imperfection of interbank markets and the importance of theECB’s emergency interventions dedicated to dampening banks’ funding risk concerns. The second essay explores empirically the impact of relationship lending on the interbank debt maturity structure of banks by mean of a two-part fractional response model. The findings show that durable bilateral liquidity partnerships can positively impact the probability of contracting term loans before and during periods of acute stress. The positive effects of the bilateral relationship lending variable measured as asset-side concentration, is however, not straightforward, especially after the Lehman default. The second part of our model shows that the post-Lehman maturity shift is pronounced for partner banks. Finally, we find that our unilateral (lender level) relationship variable impacts negatively long term lending confirming the rollover risk viewpoint of the term interbank market freeze. Finally, the third essay investigates the link between interbank market segmentation and bank–sovereign risk nexus. Using bank and country CDS spread changes it suggests an original partial correlation based measurement of sovereign/bank spillovers providing us with a direction of contagion. Empirical findings from this part of the thesis evidence that bank-sovereign risk correlation is a significant source of fragmentation during the most acute phase of the sovereign debt crisis. Moreover, the study shows that, even if home country/bank ties impact seriously interbank market integration, the risk from other distressed countries is far from negligible
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Chitu, Livia. "The architecture of the international monetary and financial system : new perspectives." Thesis, Paris 1, 2016. http://www.theses.fr/2016PA01E035.

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Abstract:
Cette thèse vise à présenter des éléments nouveaux sur quelques questions clés relatives à l’architecture du système monétaire et financier international permettant d’éclairer les enjeux de son évolution possible au cours des années à venir. Les deux premiers chapitres présentent des éléments empiriques en faveur du « regard nouveau » sur la concurrence entre monnaies internationales. Ils étudient deux dimensions de l’utilisation internationale d’une monnaie, à savoir son rôle comme instrument de financement dans les marchés obligataires internationaux et celui de moyen de paiement des transactions internationales pour un bien homogène comme le pétrole. Le troisième chapitre met en lumière une source d’inertie dans le choix des monnaies internationales autre que les externalités et rendements croissants liées aux effets de réseau qui a attiré jusqu’à présent moins d’attention, à savoir les coûts fixes et les effets d’apprentissage endogènes. Le dernier chapitre identifie le risque d’aléa moral comme canal permettant à l’accumulation de réserves d’avoir des effets inflationnistes
This dissertation presents new evidence on selected issues relating to the architecture of the international monetary and financial system, which might help shed some light on its potential evolution in the period ahead. The first two chapters of the dissertation provide new evidence in support of the “new view”. They study two different dimensions of international currency use, namely the role of currencies as financing units in the global bond market and their role as means of payment in international transactions in homogenous goods, specifically in the global oil market. The third chapter sheds light on a source of persistence in international currency use besides network externalities and increasing returns which had attracted less attention hitherto, namely sunk costs and endogenous learning effects. The last chapter identifies moral hazard as a channel through which reserve accumulation can have inflationary effects
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Vasselin, Françoise. "Essai sur l'adoption et l'usage de la monnaie électronique." Thesis, Paris 2, 2017. http://www.theses.fr/2017PA020053.

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Abstract:
Cette thèse comporte trois chapitres. Le premier chapitre décrit les moyens de paiement permettant le transfert de monnaie électronique (e-monnaie), les déterminants de leur adoption et leur usage dans le monde. Les deux chapitres suivants sont des articles qui analysent la concurrence entre la monnaie fiduciaire et l’e-monnaie à partir du modèle de Lagos-Wright (2005). Dans le premier article, à la différence des espèces, la détention d’e-monnaie est garantie contre le risque de perte ou de vol, et les marchands doivent investir pour recevoir l’e-monnaie. Du fait des complémentarités stratégiques entre les acheteurs et les vendeurs, il existe une multiplicité d’équilibres où seule une monnaie, ou les deux circulent. Nous analysons le bien-être et quantifions le modèle pour expliquer l’échec de l’e-monnaie en Europe et son succès en Asie et aux Etats-Unis. Dans le second article, les espèces concurrencent la monnaie mobile (M-monnaie). Les agents peuvent créer des partenariats et chaque transaction est réglée avec un seul moyen de paiement. Les agents sans partenaire utilisent les espèces, les autres utilisent l’M-monnaie. Les acheteurs avec un partenaire détiennent toujours de l’M-monnaie, seule ou en complément des espèces, alors que les acheteurs sans partenaire utilisent soit l’une, soit l’autre, soit les deux, soit aucune monnaie. Cependant, l’M-monnaie ne remplace les espèces que si le nombre de vendeurs traditionnels est très faible et l’inflation pas trop élevée. Ainsi, le partenariat est un mécanisme de coordination qui explique le succès des applications de paiement mobile proposées par des enseignes à leurs clients fidèles aux Etats-Unis
This thesis has three chapters. The first chapter describes the means of payment allowingthe transfer of electronic money (e-money), the determinants of their adoption and their usein the world. The following two chapters are articles that analyze the competition between fiat money and e-money from the Lagos-Wright model (2005). In the first article, unlike cash, the holding of e-money is guaranteed against the risk of loss or theft, and merchants must invest to receive e-money. Due to strategic complementarities between buyers andsellers, there is a multiplicity of equilibria where only one money, or both, circulate. We analyze welfare and quantify the model to explain the failure of e-money in Europe and its success in Asia and in the United States. In the second article, cash competes with mobilemoney (M-money). Agents can create partnerships and each transaction is settled with one means of payment only. Agents without a partner use cash, the others use M-money.Buyers with a partner always hold M-money, alone or in addition to cash, while buyers without a partner use either one, or the other, or both, or no money. However, M-money replaces cash only if the number of traditional sellers is very low and inflation not too high.So, partnership is a coordination mechanism that explains the success of mobile payment applications offered by brands to their loyal customers in the United States
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Mahdavi, Ardekani Seyed Aref. "Essays on bank network characteristics : implications for bank capital and liquidity regulation and for monetary policy." Thesis, Limoges, 2019. http://www.theses.fr/2019LIMO0004.

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Abstract:
L'objectif de cette thèse est de fournir une évaluation de l'importance des caractéristiques du réseau bancaire pour expliquer la prise de décision des banques soumises à différents scénarios de politiques macroprudentielles et monétaires. Cette thèse examine donc les implications de la topologie des réseaux interbancaires pour la réglementation du capital et de la liquidité des banques et pour les politiques monétaires. Le premier chapitre examine comment les banques définissent leurs ratios de liquidité en fonction de la topologie de leur réseau sur le marché interbancaire. Nos résultats montrent que la prise en compte les connexions bancaires au sein d'un réseau améliore significativement les modèles de liquidité traditionnels. De plus, nous montrons que les banques fixent un ratio de liquidité plus bas lorsqu'elles ont un accès plus facile au marché interbancaire. Nos résultats soulignent également que le comportement en termes de liquidité des banques de tailles différentes ou des banques opérant dans différents systèmes bancaires pourrait varier en fonction de leurs positions interbancaires locales ou à l'échelle du système. Le deuxième chapitre analyse la réaction des prix des actions des banques aux annonces de politiques monétaires en fonction de leur position sur le marché interbancaire. Nos résultats montrent que la prise en compte de la manière dont les banques sont liées au sein d’un réseau contribue à l’explication de la réaction des prix de leurs actions à l’annonce des politiques monétaires. Nos résultats suggèrent qu'une position de réseau solide à l'échelle du système augmente les réactions positives à de telles annonces de politiques, alors qu'une position de réseau locale forte les réduit. Le troisième chapitre examine comment les effets de substitution de la liquidité sur le capital sont influencés par la position de la banque sur le marché interbancaire. Nous montrons que l’effet de substitution de la liquidité sur le capital est atténué si les banques sont fortement interconnectées dans le réseau interbancaire. Nos résultats suggèrent qu'en période de crise, les grandes banques non liquides détiennent un ratio de fonds propres élevé uniquement lorsqu'elles occupent une position faible sur le réseau interbancaire au niveau local ou à l'échelle du système, tandis que les petites banques non liquides renforcent leur solvabilité lorsqu'elles comptent un plus grand nombre d'emprunteurs directs
The aim of this dissertation is to provide an evaluation of the importance of the bank network characteristics in explaining bank decision making under different macroprudential and monetary policy scenarios. This study examines, therefore, the implication of interbank network topology for bank capital and liquidity regulation and for monetary policies. The first chapter investigates how banks set their liquidity ratios depending on their network topology in the interbank market. Our results show that incorporating bank connections within a network adds value to traditional liquidity models. Moreover, we show that banks set lower liquidity ratios when they have easier access to the interbank market. Our findings also highlight that liquidity behavior of banks with different size, or banks that are operating in different banking sectors could vary depending on their local or system-wide interbank positions. The second chapter analyses the reaction of bank stock prices to the announcements of monetary policies depending on their position on the interbank market. Our results show that taking into account the way that banks are linked to each other within a network adds value to explain bank stock prices reaction to the announcement of monetary policies. Our findings suggest that strong system-wide network position increases the positive reactions to such policy announcements while strong local network position reduces them. The third chapter examines how the substitution effect of liquidity on capital are influenced by bank network position on the interbank market. We show that the substitution effect of liquidity on capital is dampened if banks are strongly interconnected in the interbank network. Our findings suggest that during crisis periods, illiquid large banks set higher capital ratio only when they have a weak local or system-wide position on the interbank network while illiquid small banks strengthen their solvency when they have a higher number of direct borrowers in that network
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Book chapters on the topic "Réseaux monétaires"

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"Coûts et avantages monétaires des conséquences de l'agriculture sur les réseaux hydrographiques." In Études de l'OCDE sur l'eau, 77–88. OECD, 2012. http://dx.doi.org/10.1787/9789264121119-6-fr.

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de Lattre, André. "La coopération monétaire internationale comités et réseaux." In Le rôle des ministères des Finances et de l’Economie dans la construction européenne (1957-1978), 199–205. Institut de la gestion publique et du développement économique, 2002. http://dx.doi.org/10.4000/books.igpde.7848.

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Bost, Jean-Pierre. "Le rayonnement des ateliers de Pax Iulia, Ebora et Emerita : essai de géographie monétaire des réseaux urbains de la Lusitanie romaine à l’époque julio-claudienne." In L’Empire romain et les sociétés provinciales, 409–14. Ausonius Éditions, 2009. http://dx.doi.org/10.4000/books.ausonius.8537.

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