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Journal articles on the topic 'Réserves forestières'

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AHONONGA, Fiacre Codjo, Gérard Nounagnon GOUWAKINNOU, Samadori Sorotori Honoré BIAOU, and Séverin BIAOU. "Vulnérabilité des terres des écosystèmes du domaine soudanien au Bénin de 1995 à 2015." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 346 (January 13, 2021): 35–50. http://dx.doi.org/10.19182/bft2020.346.a36295.

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Abstract:
Le Nord du Bénin abrite 92,5 % de la couverture forestière nationale, principalement constituée des réserves de faune et de forêts classées, destinées à la conservation de la biodiversité. Ces zones du domaine classé, pourtant dotées pour la plupart de plans d’aménagement et d’un système de surveillance qui devraient limiter la dégradation du milieu, sont soumises à un fort taux de régression de la couverture forestière, dû aux pressions anthropiques. Cette étude vise à analyser la vulnérabilité des formations forestières dans les domaines classé et non classé de trois communes du Nord-Bénin : Matéri, Toucountouna et Ségbana. Une interprétation visuelle des images SPOT de 1995, 2005 et 2015, avec le logiciel Quantum GIS, a été effectuée pour faire ressortir les changements et évaluer la vulnérabilité des formations forestières. Les résultats révèlent une régression des formations forestières naturelles au profit de celles anthropiques. Les champs et jachères ont vu leur superficie multipliée par près de cinq entre 2005 et 2015. Au cours de cette même période, la dégradation a été plus forte dans le domaine classé que dans le non classé, alors qu’à l’inverse la déforestation a surtout affecté le domaine non classé. Les formations naturelles ont été vulnérables à la perte de superficie au profit des champs et jachères et des habitations. Les taux de vulnérabilité des différentes formations sont fonction de la période et du niveau de protection. Ces situations constituent une menace pour la biodiversité et nécessitent la mise en place d’une politique de planification de l’occupation des terres dans la périphérie du domaine classé. Cela garantira leur fonction et réduira les effets des facteurs de déforestation et de dégradation sur les réserves forestières.
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Quenet, Grégory. "Pierre Poivre (1719-1786). Le pionnier des réserves forestières." Les Grands Dossiers des Sciences Humaines N° 56, no. 9 (September 1, 2019): 25. http://dx.doi.org/10.3917/gdsh.056.0025.

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3

KOOP, H., and C. A. J. M. BODDEZ. "Bilan européen des réserves intégrales forestières et leurs enseignements pour la foresterie." Revue Forestière Française, S (1991): 185. http://dx.doi.org/10.4267/2042/26269.

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Reyes Hernández, Humberto, Jose Nelson Montoya Toledo, Javier Fortanelli Martínez, Miguel Aguilar Robledo, and José Garcia Pérez. "Applications de méthodologies participatives pour l'analyse du déboisement en forêt tropicale de montagne à San Luis Potosí, Mexique." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 318, no. 318 (December 1, 2013): 27. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.318.a20515.

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Abstract:
Les forêts tropicales de montagne, ou forêts de brume, sont parmi les écosystèmes les plus riches en biodiversité de la planète. L'État de San Luis Potosí au Mexique a perdu 2 868 hectares de ces forêts en 35 ans. Cet article analyse, dans ce contexte, les causes de ce déboisement et les solutions possibles pour protéger les derniers lambeaux de ces forêts de brume en s'appuyant sur des techniques de recherche participatives : ateliers, cartographie participative, transects, entretiens semi-structurés et observations participatives. Les premières causes de destruction de ces forêts sont les contrats d'exploitation forestière, les subventions publiques à l'élevage, le défrichage pour les cultures et l'abattage sélectif. Si les services écosystémiques rendus par les forêts tropicales de montagne sont bien connus, ils sont moins appréciés que les services rendus par l'agriculture et l'élevage. De plus, les effets du sous-développement, de la pauvreté et des problèmes liés à la propriété foncière se conjuguent au détriment de cet écosystème, qui risque de disparaître dans les prochaines années. Cette étude fait valoir enfin que la création de réserves forestières communautaires représenterait la seule solution réaliste permettant de conserver cet écosystème en voie de disparition.
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Borzykowski, Nicolas, Andrea Baranzini, and David Maradan. "Y a-t-il assez de réserves forestières en Suisse ? Une évaluation contingente." Économie rurale, no. 359 (May 10, 2017): 51–79. http://dx.doi.org/10.4000/economierurale.5201.

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Bernard, Jean-Thomas, Luc Bouthillier, and Martin K. Luckert. "L’application de la méthode des comparables à la forêt publique québécoise." Articles 69, no. 2 (March 23, 2009): 53–69. http://dx.doi.org/10.7202/602107ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ En 1986, le gouvernement du Québec a institué une nouvelle méthode d’évaluation des redevances forestières pour les terres qui relèvent de sa propriété, soit la méthode des comparables. Elle consiste à transposer la valeur des bois extraits des terres privées à celle des tiges croissant sur les terres publiques. Même si des réserves peuvent être exprimées quant au degré de concurrence sur le marché des boisés privés, ce point semble mineur en regard de l’ouverture de ce marché vers l’extérieur de la province. Des difficultés apparaissent cependant dans la transposition des valeurs du bois sur pied de la forêt privée à la forêt publique, à cause de la responsabilité partagée de la gestion de la forêt publique entre le gouvernement et l’entreprise privée qui découle du système de tenure. Cette responsabilité partagée introduit certains biais dans l’évaluation du bois debout sur les terres publiques. Ces biais réduisent les redevances forestières que le gouvernement pourrait percevoir, tout au moins à long terme. Pour résoudre certaines difficultés, le gouvernement pourrait accroître l’information disponible sur les coûts de production pour les terres publiques notamment en privatisant certaines parties du domaine public.
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Tia, Lazare, and Dohouri Rose Dago. "Morcellement d’une aire protégée en agglomération urbaine : le cas du parc national du Banco (Côte d’Ivoire)." Cahiers de géographie du Québec 59, no. 168 (August 10, 2016): 349–76. http://dx.doi.org/10.7202/1037254ar.

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Abstract:
La volonté de préserver et de conserver les ressources forestières en leur état naturel est à l’origine de la création des parcs nationaux et réserves naturelles, en Côte d’Ivoire. Ce processus fut entamé avec le parc national (PN) du Banco, qui est passé du statut de station forestière, en 1926, à celui de parc national, en 1953. De par sa situation géographique, le PN du Banco est classé parmi les parcs urbains du monde. Ce riche patrimoine naturel est l’objet de dégradations et pollutions diverses. Les résultats d’une enquête exhaustive montrent que la conjugaison de plusieurs facteurs a contribué au morcellement du parc dans sa partie nord-est, connue comme le Triangle de Sagbé (52 ha). Parmi ces facteurs on note les fortes pressions démographique et foncière urbaine, ainsi que les crises socioéconomiques et politicomilitaires doublées d’une faiblesse institutionnelle. Au total, 1134 acteurs économiques informels s’y sont installés par vagues successives, de 1987 à 2013. La quasi totalité des exploitants (95,6 %) des sites du Triangle de Sagbé sont bien disposés à libérer les lieux, mais ils s’y maintiennent à la faveur de la passivité et de la réduction du rôle régalien de l’État dans la protection des aires protégées. Pour garantir une conservation durable du parc, des mesures coercitives de déguerpissement, la construction d’au moins 14,2 km de clôture et l’application du système de gestion participative sont nécessaires.
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MOHAMMED, Ummi Khalthum. "Fuelwood Gap Theory: Exploring Fuelwood Source Regions in Northern Nigeria’s Drylands." AFRIGIST JOURNAL OF LAND ADMINISTRATION AND ENVIRONMENTAL MANAGEMENT 2, no. 1 (November 16, 2022): 1–16. http://dx.doi.org/10.54222/afrigist/jgst/v2i2.1.

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Abstract:
Fuelwood consumption has for a while been assumed to be the ultimate cause of forest degradation, and if not checked could lead to forest disappearance. This is owed to the fact that over 90 per cent of the population of Sub-Saharan Africa is dependent on the resource as a source of energy. Hence, this paper investigates the conformity of the major fuelwood source regions of Northern Nigeria to the Fuelwood Gap Theory. The objectives are; to examine the source regions' vegetation cover and identify the regions' major activities. The methods employed include triangulation of field surveys, Maximum likelihood supervised classification and Post Classification comparison. On average 77 trees were cut down for every 3600m2 of farmland. From the maximum likelihood supervised classification result, six major classes were identified namely: forest, water body, woodland, farmlands, built-up area and bare surface. From the post-classification done, Dukku Forest Reserve lost 132.9km2 of the forest class from 1990 to 2018. For the same period, the forest class in Falgore Game reserve increased by 173.36km2. Lastly, in Rafin Chiyawa Forest Reserve the forest class decreased by 276km2 from 1990 to 2018. The major activities at the sites include agriculture, sand mining, fuelwood collection and rearing of animals. This indicated that the Fuelwood Gap Theory does not hold for the three Forest Reserves. It is recommended that The Fuelwood Gap Theory be modified to look at forest degradation from a fuelwood consumption-agricultural activities nexus. ResumeLa consommation de bois de feu a longtemps été considérée comme la cause ultime de la dégradation des forêts qui, si elle n’est pas maîtrisée, pourrait entraîner la disparition des forêts. Cela est dû au fait que plus de 90% de la population de l’Afrique subsaharienne dépend de la ressource comme source d’énergie. Par conséquent, cet article étudie la conformité des principales régions sources de bois de feu du nord du Nigéria à la théorie de l’écart de bois de feu. Les objectifs sont les suivants : examiner le couvert végétal des régions sources et identifier les principales activités dans les régions. Les méthodes employées comprennent la triangulation des enquêtes sur le terrain, la classification supervisée du maximum de vraisemblance et la comparaison des postes de classification. En moyenne, 77 arbres ont été abattus pour 3600m2 de terres agricoles. À partir du résultat de la classification supervisée selon la probabilité maximale, six grandes classes ont été identifiées, à savoir : forêt, plan d’eau, boisé, terres agricoles, zone bâtie et surface nue. D’après la post-classification effectuée, la réserve forestière de Dukku a perdu 132,9 km2 de la classe forestière de 1990 à 2018. Pour la même période, la classe forestière dans la réserve de Falgore a augmenté de 173,36 km2. Enfin, dans la réserve forestière de Rafin Chiyawa, la classe forestière a diminué de 276 km2 entre 1990 et 2018. Les principales activités sur les sites comprennent l’agriculture, l’extraction de sable, la collecte de bois de feu et l’élevage d’animaux. Cela indique que la théorie de l’écart de bois de feu ne tient pas pour les trois réserves forestières. Il est recommandé de modifier la théorie de l’écart de bois de feu pour examiner la dégradation des forêts à partir d’un lien entre la consommation de bois de feu et les activités agricoles.
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Debaive, Nicolas, Nicolas Drapier, Grégoire Gautier, Laurent Larrieu, and Rita Bütler. "Espaces protégés forestiers et libre évolution." Revue forestière française 73, no. 2-3 (March 30, 2022): 339–65. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5474.

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Abstract:
La protection d’espaces forestiers en libre évolution, définie formellement pour la première fois dans le parc national des Cévennes, s’inscrit dans la continuité d’une longue histoire de préservation des espaces naturels. Ces forêts couvrent en 2022 environ 41 000 ha en métropole (0,24 % des forêts), principalement grâce aux réserves biologiques intégrales, et contribuent significativement à la préservation d’espèces et écosystèmes forestiers remarquables parfois sur de grandes surfaces d’un seul tenant. Elles sont toutefois actuellement en proportion encore insuffisantes pour assurer la conservation de l’ensemble des espèces forestières. Ces forêts constituent également des terrains d’observation privilégiés pour des recherches scientifiques à long terme. À la recherche du meilleur compromis entre enjeux de protection et faisabilité, la protection d’espaces forestiers en libre évolution nécessite de déployer différents leviers d’acceptabilité sociale. L’expérience ainsi acquise trouvera toute son utilité pour la mise en œuvre de la stratégie nationale pour les aires protégées.
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Polesny, Zbynek, Vladimir Verner, Martina Vlkova, Jan Banout, Bohdan Lojka, Pavel Valicek, and Jana Mazancova. "Non-timber forest products utilization in Phong Dien Nature Reserve, Vietnam: Who collects, who consumes, who sells?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 322, no. 322 (October 17, 2014): 39. http://dx.doi.org/10.19182/bft2014.322.a31233.

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Abstract:
Nous avons analysé dans cette étude la col- lecte et l’utilisation des produits forestiers non ligneux en zone rurale au centre du Viet- nam. Il s’agit d’éléments importants pour mieux comprendre les interactions entre ménages et forêts dans les zones rurales proches de réserves naturelles, surtout dans les pays en développement à forte croissance économique. L’objectif de nos recherches était triple : (i) documenter les produits fores- tiers collectés dans la réserve naturelle et leurs utilisations, (ii) comprendre les facteurs pouvant motiver leur commercialisation, et(iii) connaître les attentes des familles locales quant aux capacités et à l’utilisation des res- sources forestières. Les données ont été col- lectées au moyen d’entretiens semi-structurés entre 2008 et 2010, auprès de familles ins- tallées dans ou aux alentours de la réserve naturelle de Phong Dien. Des entretiens ont été menés auprès de 48 familles représen- tatives des différentes conditions socio-éco- nomiques et naturelles dans la zone cible. Notre enquête montre que la plupart des produits forestiers collectés dans la réserve sont auto-consommés à des fins alimentaires, médicinales et de construction, et surtout selon une logique de subsistance. Cependant, certains végétaux faisant l’objet d’une forte demande, comme le rotin ou le licuala, sont récoltés en grandes quantités et commercia- lisés par le biais d’intermédiaires. Les familles ramassent également des produits forestiers pour satisfaire leurs besoins alimentaires en période de disette. Lesdeux stratégiespeuvent contribuer à l’appauvrissement de la forêt, déjà avéré dans les perceptions des familles locales reflétant une raréfaction de la plupart des produits forestiers. Ces derniers sont collectés essentiellement par les familles ayant peu de terres cultivables, aux revenus peu diversifiés et pratiquant une agriculture dominée par les cultures annuelles. Il convient ainsi, pour toute nouvelle action de déve- loppement dans cette zone, d’envisager la mise en place de systèmes agricoles per- mettant de diversifier les revenus, couplée à des actions de sensibilisation des familles à l’importance de la biodiversité. Sans éliminer totalement l’extraction de produits forestiers, une telle approche permettrait de la maintenir à un niveau viable.
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Kassoum, Traore. "Le couvert forestier en Côte d’Ivoire : une analyse critique de la situation de gestion des forêts (classées, parcs et réserves)." International Journal of Social Sciences and Humanities Invention 5, no. 2 (February 6, 2018): 4387–97. http://dx.doi.org/10.18535/ijsshi/v5i2.02.

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Abstract:
Preserving the forest is a "vital" action for maintaining the climate balance and promoting eco-tourism. The history mentions that the Ivorian forests played an important role in the dynamics of the development of the country because they sheltered a great diversity floristic and wildlife. Unfortunately, from 16 million hectares at the beginning of the last century (1900), the dense rainforest increased to 9 million hectares in 1965 and 3 million hectares in 1991. Today, it is estimated at about 2.5 million hectares. This situation is attributable to extensive agriculture based on the technique of shifting cultivation, the overexploitation of the forest with timber and wood energy and bush fires. Moreover, the phenomenon of forest infiltration with regard to the occupation or colonization of forest areas, particularly in the south-west of the country by migrants to build houses and / or villages, is an important factor in the disappearance of the forest. Also, successive crises that the country has experienced since 1999 until 2010 (post-election), with periods of tension, have led to mass displacements of populations. This regrouping of the populations in turn caused the clearing of the forest areas for their relocation. Thus, from the analysis of the situation of forest pressure in Côte d'Ivoire, the Ministry in charge of the management of the Ivorian forest cover indicates that the accelerated rate of destruction of Ivorian forests has today reached an estimated average of 450,000 hectares a year. The forest situation is catastrophic, if corrective measures are not taken and put into effect, the forest cover is supposed to disappear around 2040. The present work attempts to contribute to the level of reflection undertaken to improve the management of the sector. Résumé: Préserver la forêt est une action « vitale » pour le maintien de l’équilibre climatique et la promotion de l’éco-tourisme. L’histoire mentionne que les forêts ivoiriennes ont joué un rôle important dans la dynamique du développement du pays car elles abritaient une grande diversité floristique et faunique. Malheureusement, de 16 millions d’hectares au début du siècle dernier (année 1900), la forêt dense humide est passée à 9 millions d’hectares en 1965 et à 3 millions d’hectares en 1991. Aujourd’hui, elle est estimée à environ 2,5 millions d’hectares. Cette situation est imputable à l’agriculture extensive basée sur la technique des cultures itinérantes sur brûlis, la surexploitation de la forêt en bois d’œuvre et bois énergie et les feux de brousse. Par ailleurs, le phénomène de l’infiltration des forêts au regard de l’occupation ou la colonisation des zones forestières notamment du Sud-Ouest du pays par des migrants pour bâtir les habitations et/ou des villages est un facteur important de la disparition du couvert forestier.Egalement, les crises successives qu’a connues le pays depuis 1999 jusqu’en 2010 (post-électorale), populations. Ce regroupement des populations à son tour, a occasionné le défrichement des zones forestières pour leur relocalisation. Ainsi, de l’analyse de la situation des pressions sur les forêts en Côte d’Ivoire, le ministère en charge de la gestion du couvert forestier ivoirien indique que le rythme accéléré de destruction des forêts ivoiriennes a atteint de nos jours une moyenne estimée à 450.000 hectares par an. La situation des forêts est catastrophique, si des mesures correctives ne sont pas entreprises et mises en vigueur, le couvert forestier doit en principe disparaitre vers 2040. Le présent travail tente d’apporter sa contribution au niveau des réflexions engagées pour améliorer la gestion du secteur. Mots clés : forêts classées, parcs et réserves, gestion du couvert forestier, Côte d’Ivoire
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Hladik, C. M., Muriel Pinte, and Bruno Simmen. "Les densités de population de Prosimiens nocturnes du sud de Madagascar varient-elles à long terme dans les réserves forestières accessibles au public ?" Revue d'Écologie (La Terre et La Vie) 53, no. 2 (1998): 181–85. http://dx.doi.org/10.3406/revec.1998.2254.

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Medjahdi, Boumediene, Assia Ltreuch-Belarouci, and Rémy Prelli. "Actualisation du catalogue des pteridophytes du Nord Ouest Algerien (region de Tlemcen). An update of the cheklist of pteridophytes from Nordwest Algeria (Tlemcen region)." Acta Botanica Malacitana 38 (December 1, 2013): 33–39. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v38i0.2638.

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Abstract:
Français. Un inventaire des ptéridophytes a été entrepris dans les forêts de la région de Tlemcen. L’inventaire de ces populations constitue une étape importante pour le développement des stratégies de conservation des ressources génétiques et de la diversité de ces populations sur l’ensemble de leur aire de distribution naturelle. Nous avons ainsi effectué le recensement et l’identification des fougères existantes dans la région de Tlemcen. Au total, plusieurs stations dont les caractéristiques écologiques diffèrent d’un site à un autre ont été prospectées, cela a permis l’identification de 26 taxons (dont 5 exceptionnellement rare). La création de réserves naturelles forestières renforcée par une protection réglementaire des espèces les plus menacées est nécessaire pour le maintien de ces communautés si particulières. English. An inventory of Pteridophyta was begun in the forests of the Tlemcen region. The inventory of these populations constitutes an important stage for the developement of the strategies of preservation of the genetic resources and the diversity of these populations on their whole area of natural distribution. We so made the inventory and the identification of the existing ferns in the region of Tlemcen. On the whole, several stations the ecological characteristics differ from a site in the other one were canvassed; they allowed the identification of 26 taxes (among which 5 exceptionally rare). The creation of forest nature reserves strengthened by a statutory protection of the most threatened species is necessary for the preservation of these particular communities.
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Hodgins, Bruce W., and Jamie Benidickson. "Resource Management Conflict in the Temagami Forest, 1898 to 1914." Historical Papers 13, no. 1 (April 20, 2006): 148–75. http://dx.doi.org/10.7202/030482ar.

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Abstract:
Résumé En 1901, la région du Témagami devient la première réserve forestière de l'Ontario. Ce système de réserves, institué en 1898, désignait certaines régions comme devant servir uniquement à la coupe du bois et visait ainsi à assurer à la province la perpétuité de cette importante ressource. Le programme n'eut toutefois pas les résultats escomptés. Dès le début, les Indiens habitant la contrée - en l'occurence, ici, celle du Témagami - opposèrent une résistance formelle au projet, et, cette attitude fut longuement maintenue; de plus, les politiques toujours à court terme des gouvernements au pouvoir allaient souvent à rencontre des buts proposés en 1898; enfin, si lointaines que semblaient ces régions au moment de l'élaboration du système des réserves, les progrès assez impressionnants du début du siècle, qu'il s'agisse de ceux des chemins de fer, de la prospection, de la colonisation, ou encore, du tourisme, eurent tôt fait de rapprocher ces régions des grands centres, et, par le fait même, de compromettre les chances de succès de l'entreprise. De fait, de par la coïncidence de ces divers facteurs, la région du Témagami n'avait pas encore subit de dommages sérieux à l'approche de la première grande guerre.
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Agbahoungba, Symphorien, Achille Ephrem Assogbadjo, Flora Josiane Chadare, Rodrigue Idohou, Valère Kolawolé Salako, Eric Etchikinto Agoyi, and Romain Lucas Glèlè Kakaï. "ECOLOGICAL DIVERSITY AND CONSERVATION OF WILD EDIBLE FRUIT TREE SPECIES IN THE LAMA FOREST RESERVE IN BENIN." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 329, no. 329 (July 21, 2017): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.329.a31312.

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Abstract:
Une bonne connaissance des interac- tions entre les forêts et les communautés humaines voisines est indispensable à la gestion participative des ressources forestières. La présente étude s’est atta- ché à déterminer la diversité écologique des arbres sauvages à fruits comes- tibles (ASFC) dans la Réserve forestière de Lama, zone protégée dans le sud du Bénin, et à définir des stratégies de conservation adaptées. Un inventaire des ASFC a été réalisé sur 53 placettes systématiquement délimitées dans des forêts denses typiques, de forêt dense dégradée et de jachère dans la Réserve forestière de Lama, ainsi qu’une enquête ethnobotanique auprès de 136 partici- pants. Les habitats des ASFC ont été iden- tifiés à partir d’une Analyse des Corres- pondances Simples sur les données de densité. Une liste d’especes prioritaires a été générée par la méthode des rangs composés : Dialium guineense, Diospy- ros mespiliformis, Drypetes floribunda, Mimusops andogensis et Pterocarpus santalinoides en forêt dense typique ; Pancovia bijuga, Psidium guajava et Lecaniodiscus cupanioides en forêt dense dégradée ; Ficus capensis et Spon- dias mombin dans les jachères. Contrai- rement aux autres essences, la densité moyenne de D. guineense, D. mespili- formis, D. floribunda, L. cupanioides et M. andongensis varie de manière signifi- cative (P < 0,01) selon les types de végé- tation. Les ASFC recensés sont principa- lement utilisés dans l’alimentation et la pharmacopée. Les essences à conserver en priorité sont P. guajava, S. mombin, F. capensis, P. santalinoides et P. bijuga. Des efforts de protection renforcés sont nécessaires en forêt dense dégradée et dans les zones de jachère pour assurer la conservation de ces essences. D’autre part, il convient d’intégrer les ASFC prio- ritaires dans des programmes de planta- tion afin de réduire la pression des com- munautés humaines voisines.
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Patricia, Konan Affoué, Neuba Danho Fursy Rodelec, Malan Djah François, and Akaffou Tchimou Antoine. "Caractérisation phytosociologique des anciens sites de traitements sylvicoles et de la réserve naturelle dans le parc national du Banco (Abidjan-Côte d’Ivoire)." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 24 (July 31, 2022): 1. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n24p1.

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Abstract:
La perturbation des milieux est à l’origine de la destruction des habitats, elle contribue à la perte de la biodiversité et est une des causes du changement de la flore dans une localité. Elle entraine par conséquent la transformation des associations végétales. L’objectif principal de cette étude est de rechercher les associations végétales dans le parc national du Banco suite aux plantations villageoises et aux essais sylvicoles dus à la recherche d’une méthodologie propre à la sylviculture africaine. Pour ce faire, la caractérisation phytosociologique des anciens sites de traitements et de la réserve forestière a été réalisée. La méthode utilisée est celle de la phytosociologie synusiale. Les 91 relevés (82 dans les anciens sites de traitements sylvicoles et 9 dans la réserve forestière) ont permis de recenser 337 espèces de plantes réparties en 65 familles et 268 genres. Le dendrogramme issu de la classification hiérarchique ascendante des relevés a mis en évidence trois syntaxons dont deux sont constitués essentiellement des relevés des anciens sites de traitements et un des relevés de la réserve forestière. Aucun syntaxon ne renferme la totalité des espèces caractéristiques de l’association Turraeantho-Heisterietum. Cependant, dans deux syntaxons, la proportion des espèces caractéristiques de cette association est supérieure à 50%. 70,59% dans le syntaxon à Tarrietia utilis et Cola heterophylla (syntaxon des forêts secondaires), 52,94% dans le syntaxon à Cola chlamydantha et Drypetes chevalieri (syntaxon de la réserve forestière). Alors que dans le syntaxon à Dacryodes klaineana et Pleiocarpa mutica (syntaxon des forêts secondaires), 41% de ces espèces caractéristiques ont été enregistrées. Les espèces caractéristiques des autres formations forestières sont également peu représentées dans les syntaxons (moins de 40%). Il ressort donc de cette étude que le parc national du Banco demeure une forêt à Turraeanthus africanus et Heisteria parvifolia. The disturbance of the environment is at the origin of the destruction of the habitats, it contributes to the loss of the biodiversity and is one of the causes of the change of the flora in a locality. It therefore leads to the transformation of plant associations. The main objective of this study is to research the plant associations in the Banco National Park following village plantations and silvicultural trials due to the search for a methodology specific to African silviculture. To do this, the phytosociological characterization of the former treatment sites and the forest reserve was carried out. The method used is that of synusial phytosociology. The 91 surveys (82 in the former silvicultural treatment sites and 9 in the forest reserve) made it possible to identify 337 species of plants divided into 65 families and 268 genera. The dendrogram resulting from the ascending hierarchical classification of the readings revealed three syntaxa, two of which essentially consist of the readings of the old treatment sites and one of the readings of the forest reserve. No syntaxon contains all the characteristic species of the Turraeantho-Heisterietum association. However, in two syntaxa, the proportion of characteristic species of this association is greater than 50%. 70.59% in the syntaxon to Tarrietia utilis and Cola heterophylla (syntaxon from secondary forests), 52.94% in the syntaxon to Cola chlamydantha and Drypetes chevalieri (syntaxon from the forest reserve). While in the Dacryodes klaineana and Pleiocarpa mutica syntaxon (secondary forest syntaxon), 41% of these characteristic species were recorded. Species characteristic of other forest formations are also poorly represented in the syntaxa (less than 40%). It therefore emerges from this study that Banco National Park remains a forest with Turraeanthus africanus and Heisteria parvifolia.
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Nduwimana, André, Richard Habonayo, Blaise Ndayizeye, and Mathias Hitimana. "Analyse phytosociologique de la végétation de la réserve naturelle forestière de Vyanda au Sud-Ouest du Burundi." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 4 (November 17, 2021): 1325–37. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i4.3.

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Abstract:
La réserve naturelle forestière de Vyanda subit des pressions anthropiques permanentes et risque de disparaître avant qu’elle ne soit étudiée. La présente étude a pour objectif de déterminer la composition et la diversité de la végétation de cette réserve et de motiver la prise des mesures de conservation localement adaptées. L’étude a procédé par l’inventaire de la végétation suivant la méthode du relevé phytosociologique de Braun Blanquet (1932). Des spectres bruts et pondérés des formes biologiques, des types de diaspores et des types phytogéographiques ont été établis. Les résultats de l’inventaire floristique ont fait état de 108 espèces réparties en 81 genres et 41 familles. Sur le plan des formes biologiques et des types de diaspores, les phanérophytes et les sarcochores dominent tandis que les hémicryptophytes de même que les sclérochores sont bien représentés. Sur le plan phytogéographique, l’étude a mis en évidence une forte représentativité de l’élément paléo-africain, de l’élément soudano-zambézien et de l’élément guinéo-congolais. Ces spectres attestent la spécificité de cette réserve comme forêt claire du type miombo tout en mettant en évidence l’impact des perturbations dont elle est victime. L’étude met en évidence la richesse spécifique de la réserve et démontre l’intérêt qu’il y a de prendre des mesures visant à arrêter les perturbations anthropiques et à bien gérer ce milieu naturel. Sa diversité est en effet grande comparé aux autres réserves naturelles du voisinage. English title: Phytosociological analysis of the vegetation of the Vyanda natural forest reserve in southwestern Burundi The Vyanda natural forest reserve is under constant human pressure and is in danger of disappearing before it is studied. The objective of this study is to determine the composition and diversity of the vegetation of this reserve and to motivate the taking of locally adapted conservation measures. The study carried out a vegetation inventory using the Braun Blanquet (1932) phytosociological approach. Spectra of life forms, phytogeographical elements and diaspores morphology were established. The results of the floristic inventory revealed 108 species divided into 81 genera and 41 families. In terms of life forms and types of diaspores, phanerophytes and sarcochores dominate when hemicryptophytes as well as sclerochores are well represented. Phytogeographically, the study revealed a strong representativeness of the Paleo-African element, the Sudano-Zambezian element and the Guinean-Congolese element. These spectra attest to the specificity of Vyanda natural forest reserve as an open forest of the miombo type while highlighting the impact of the disturbances that affect it. The study highlights the specific richness of the reserve and its diversity and demonstrates an urgent need to take measures to stop anthropogenic disturbances and well managing this natural ecosystem. Its diversity is indeed great compared to other natural reserves in the region.
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EL-HADJ ISSA, Azizou, Dossou Sèblodo Judes Charlemagne GBEMAVO, Achille HOUNKPEVI, Guy Apollinaire MENSAH, and Brice SINSIN. "Pressions anthropiques et dynamique des habitats naturels de la Réserve Transfrontalière de Biosphère du W-Bénin." Annales de l’Université de Parakou - Série Sciences Naturelles et Agronomie 11, no. 2 (December 31, 2021): 1–14. http://dx.doi.org/10.56109/aup-sna.v11i2.48.

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Abstract:
Les pressions anthropiques ont accéléré la dégradation des aires protégées surtout dans les pays en voie de développement où les populations dépendent fortement des ressources forestières. La présente étude vise à évaluer l’impact de la gouvernance induite par les différents projets / programmes connus par la Réserve Transfrontalière de Biosphère du W du Bénin (RTBW/B) entre 2000 et 2017 sur son intégrité écologique. De façon spécifique, elle vise à (i) analyser la variation spatio-temporelle des unités d’occupation des terres dans la RTBW/B entre 1990 et 2020 ; et (ii) évaluer la dynamique des indicateurs de pression (défrichement, braconnage, transhumance, pêche illégale, exploitation forestière illégale) sur la réserve de 1990 à 2020. Pour cela, une classification supervisée a été faite sur des images Landsat 4 pour l’année 1990, Landsat 7 pour 2000 et Landsat 8 pour 2020. De plus, une analyse de la tendance des indicateurs de pression a été faite. Les résultats ont montré que le paysage de la RTBW/B s’est fortement dégradé entre 1990 et 2000 avec des taux annuels de changement, certes, relativement bas (entre -0,002 et 0,336 %) mais traduisant une dynamique homogène du paysage. Par contre, entre 2000 et 2020, une nette amélioration du couvert végétal est observée et ceci se traduit notamment par le fait que les mosaïques de champs et jachères ont fortement régressé (ΔS<0 et Tc = -0,822%). De plus, une tendance régressive est globalement notée pour les indicateurs de pression sur la période. Tout ceci pourrait traduire un impact positif des actions des différents projets/programmes mis en œuvre entre 2000 et 2017. Toutefois, il est important de disposer de données sur de longues périodes sur les aires protégées bénéficiaires afin de mieux appréhender les impacts des multiples projets et programmes sur leur intégrité écologique des aires protégées.
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Jibril, Mamman Saba, David Sesugh Aule, and Ali Hussain Idris. "LAND COVER CHANGES IN DANBATTA LOCAL GOVERNMENT AREA OF KANO STATE, NIGERIA." AFRIGIST JOURNAL OF LAND ADMINISTRATION AND ENVIRONMENTAL MANAGEMENT 2, no. 1 (May 17, 2022): 27–38. http://dx.doi.org/10.54222/afrigist/ajlaem/v2i1.3.

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Abstract:
This research analyzed desertification and land degradation in the Dambatta Local Government Area (LGA) of Kano State with the view to delineating hotspot areas that require intervention. The imageries used for the research analysis were obtained from the National Space Research and Development Agency (NASRDA), Abuja. The data sets were captured by Landsat Multispectral Scanner/Thematic Mapper (MSS/TM) 1997, Landsat Enhanced Thematic Mapper Plus (ETM+) 2007 and Operational Land Imager (OLI) 2017. The Maximum Likelihood Classifier (MLC) algorithm was used for classification. Post classification change detection technique was conducted using ILWIS 5.2 and later converted to shapefiles where it was imported to ArcMap 10.2 GIS software. The result of the classification was presented in tables, which were subsequently compared using the Post Classification Comparison (PCC) technique to estimate and compute temporal and spatial changes as well as the rate and area extent of changes between the four images. The result shows that desert encroachment has occurred in the study area at the rate of 5.65km2/yr over the 20 years. A composite Land Cover map and NDVI map of 2017 was created and superimposed with the localities within Dambatta LGA, where the settlements requiring intervention were then drawn out. It revealed that almost all parts of the LGA require intervention. . However, some areas have more serious land degradation issues than others. This has resulted from anthropogenic activities, environmental factors and erosion with negative effects on farmers, rural development, forest reserves and policymakers. Hence intervention in the form of afforestation is recommended to prevent further expansion of bare lands in the area. Cette recherche a analysé la désertification et la dégradation des terres dans la zone d’administration locale de Dambatta (LGA) de l’État de Kano en vue de délimiter les zones de hotspot qui nécessitent une intervention. Les images utilisées pour l’analyse de la recherche ont été obtenues auprès de l’Agence nationale de recherche et de développement spatial (NASRDA), Abuja. Les ensembles de données ont été capturés par Landsat Multispectral Scanner/Thematic Mapper (MSS/TM) 1997, Landsat Enhanced Thematic Mapper Plus (ETM+) 2007 et Operational Land Imager (OLI) 2017. L’algorithme MLC (Maximum Likelihood Classifier) a été utilisé pour la classification. La technique de détection des modifications post-classification a été réalisée à l’aide d’ILWIS 5.2 et convertie ultérieurement en fichiers de forme où elle a été importée dans le logiciel SIG ArcMap 10.2. Le résultat de la classification a été présenté dans des tableaux, qui ont ensuite été comparés à l’aide de la technique de comparaison post-classification (PCC) pour estimer et calculer les changements temporels et spatiaux ainsi que le taux et l’étendue des changements entre les quatre images. Le résultat montre que l’empiètement du désert s’est produit dans la zone d’étude au rythme de 5,65 km2 / an au cours des 20 années. Une carte composite de la couverture terrestre et une carte NDVI de 2017 ont été créées et superposées aux localités de la LGA de Dambatta, où les colonies nécessitant une intervention ont ensuite été dessinées. Il a révélé que presque toutes les parties de la LGA nécessitent une intervention. Cependant, certaines régions ont des problèmes de dégrdation des terres plus graves que d’autres. Cela résulte des activités anthropiques, des facteurs environnementaux et de l’érosion qui ont des effets négatifs sur les agriculteurs, le développement rural, les réserves forestières et les décideurs. Par conséquent, une intervention sous forme de boisement est recommandée pour empêcher une nouvelle expansion des terres nues dans la région.
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Barbalat, Sylvie. "Mesures de gestion favorisant les coléoptères du bois dans une réserve forestière." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 163, no. 2 (February 1, 2012): 43–48. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2012.0043.

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Abstract:
Measures favouring saproxylic beetles in a forest reserve The goal of this study is to propose conservation measures aiming at favouring saproxylic beetle populations, considering the general management of a forest reserve. The study site is a periurban forest above the city of Neuchâtel in the Swiss Jura. The studied habitats are oak and beech forests alternating with dry meadow patches and black pine (Pinus nigra) plantations. The general management goal of this forest reserve is to conserve rare plant associations and to preserve characteristical fauna and flora. In order to achieve these goals, the following management actions were undertaken: preserve open habitats, reduce black pine occurrence, restore and enhance oak forest and preserve islands of old growth. An inventory of four beetle families (Cerambycidae, Buprestidae, Lucanidae and Cetoniidae) was made by means of direct collection. Between 2004 and 2009, twenty-five collecting tours lasting for an average of 1 hour 45 minutes were performed from the beginning of May to the beginning of July. Fifty-two beetle species were caught and grouped in six categories based on their larval ecology. For each of them, enhancing actions were proposed, potential conflicts between saproxylic beetle conservation and general management actions were discussed. In order to find a balance between sometimes contradictory actions, the best solution to promote an optimal biodiversity is a patchwork of forest and open biotopes. As far as saproxylic beetles are concerned, tree diversity should be enhanced and old trees preserved. In the open areas, old bushes growing in the edges should not be removed.
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BARTHOD (Christian) and TROUVILLIEZ (Jacques). "La protection des forêts dans la politique forestière française, le cas particulier des réserves intégrales." Revue Forestière Française, no. 1 (2002): 7. http://dx.doi.org/10.4267/2042/4903.

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Laques, Anne-Elisabeth, and Philippe Béringuier. "Trois scénarios d’évolution prospectifs pour le front pionnier de la Réserve Forestière de Ticoporo." Mappemonde 35, no. 3 (1994): 31–35. http://dx.doi.org/10.3406/mappe.1994.1146.

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GENOT (Jean-Claude). "Gestion forestière dans le parc naturel régional des Vosges du Nord, réserve de biosphère." Revue Forestière Française, sp (2001): 235. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5302.

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Benest, Fabienne, Jonathan Carruthers-Jones, and Adrien Guetté. "Travaux actuels d'inventaire des forêts à forte naturalité à l'échelle nationale et européenne." Revue forestière française 73, no. 2-3 (March 30, 2022): 161–78. http://dx.doi.org/10.20870/revforfr.2021.5467.

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Abstract:
Divers travaux menés à différentes échelles concernent la distribution des forêts anciennes et matures, mais il n’existe pas à ce jour de cartographie complète au niveau national. Au niveau européen, le récent rapport du Joint Research Centre de l’Union européenne donne quelques éléments. Au niveau national, la cartographie des forêts anciennes (continuité de l’état boisé) progresse, et parallèlement, le projet CARTNAT envisage le niveau de naturalité toutes occupations du sol confondues. Une récente étude de l’INRAE a permis de modéliser la distribution des forêts selon leur date de dernière exploitation. Les réserves biologiques intégrales créées en forêt publique, maintenues en libre évolution sur 27 000 ha en métropole, ont fait l’objet en 2020 d’un bilan complet de leur contenu en termes d’habitats forestiers. En Nouvelle-Aquitaine, une méthode croisant diverses données géographiques et d’inventaires a permis de situer des zones à fort potentiel de naturalité au sein des forêts anciennes. Les forêts récentes, férales, liées à la recolonisation spontanée par une végétation forestière de zones en déprise font maintenant l’objet d’un suivi spécifique dans les protocoles de l’Inventaire forestier national.
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Mekideche, Siham, Lila Brakchi-Ouakour, and Leila Kadik. "Impact des perturbations anthropiques sur la diversité végétale de la subéraie de Chréa, au nord de l’Algérie." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 337 (November 26, 2018): 53. http://dx.doi.org/10.19182/bft2018.337.a31633.

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Abstract:
La subéraie de la réserve de biosphèrede Chréa, au nord de l’Algérie, révèle une action anthropique ayant profondément modifié le paysage végétal. Les feux récurrents et le surpâturage sont les principales perturbations des formations forestières présentes, s’agissant de perte de surface et de biomasse végétale. Notre objectif était de savoir comment, au sein de cette réserve, réagit la végétation de l’écosystème à Quercus suber L. aux conditions de milieu et aux perturbations liées à l’activité humaine. Pour y répondre, nous avons adopté une approche synchronique en réalisant 124 relevés phytoécologiques dans les différents stades dynamiques, en tenant compte de la présence ou de l’absence de la perturbation liée au pâturage. Une première analyse canonique des correspondances a porté sur les données floristiques et les variables environnementales ; une seconde concernait les attributs vitaux des espèces, en utilisant les traits de vie facilement mesurables (type biologique, stratégie adaptative de Grime, mode de dissémination). Les résultats montrent que la végétation de la subéraie s’organise le long d’un gradient de dégradation lié à l’action anthropique (incendies et pâturage), masquant l’effet des facteurs mésologiques dominants (altitude et exposition). L’approche fonctionnelle confirme cette dynamique régressive avec l’individualisation de deux groupes fonctionnels. Le premier recouvre les traits de vie « phanérophyte, compétition-stress, zoochore », caractéristiques des formations végétales les plus matures. Le second groupe englobe les traits « thérophyte, stress-rudéral, anémochore », liés aux formations ouvertes des pelouses surpâturées. Cette étude, conduite selon une approche fonctionnelle de la biodiversité, est une première évaluation de la réponse des subéraies algériennes aux perturbations anthropiques représentées par les incendies et le pâturage.
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SCHNITZLER (A.). "L'Intérêt du modèle architectural dans l'analyse de la biodiversité forestière. Application à la gestion des réserves naturelles rhénanes." Revue Forestière Française, sp (2001): 217. http://dx.doi.org/10.4267/2042/5299.

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Ahouandjinou, Sfich T. B., Hounnankpon Yédomonhan, Monique G. Tossou, Aristide C. Adomou, and Akpovi Akoègninou. "Diversité floristique et caractérisation structurale de la réserve forestière de Ouoghi en zone soudanoguinéenne (Centre-Bénin)." European Scientific Journal, ESJ 13, no. 12 (April 30, 2017): 400. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2017.v13n12p400.

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Abstract:
Objective: The objective of this study is to identify the plant species and to characterize the vegetation of the Ouoghi forest reserve in the commune of Savè (Center-Benin). Method and results: Floristic and forest inventories were carried out through 144 relevés in according to the Braun-Blanquet method. A total of 246 plant species were identified. They belong to 178 genera and 63 families. Multivariate analyzes with the Community Analysis Package (CAP) software made it possible to individualize 3 vegetation formations comprising 8 plant groups. This is the shrub savannah with Prosopis africana and Pennisetum polystachion, the tree savannah with Hymenocardia acida and Pennisetum polystachion, the tree savannah to Vitellaria paradoxa and Pennisetum polystachion, the tree savannah to Pterocarpus erinaceus and Hyptis suaveolens, the woodland savannah with Daniellia Oliveri and Chromolaena odorata, the woodland savannah at Isoberlinia doka and Pennisetum polystachion, the woodland savannah at Daniellia oliveri and Andropogon tectorum and the tree flood savannah to Daniellia oliveri and Leersia hexandra. The floristic and structural parameters change from one group to another. Thus, the specific richness varies from 49 to 153 species and the diversity of families is between 22 and 49 with a predominance of Leguminosae. The density varies from 95 to 275 stems / ha, basal area from 2.35 to 8.44 m² / ha. Conclusion and application of results: The study evaluated the floristic diversity of the Ouoghi reserve. In addition, it indicated the need for its integral protection for its dynamics towards dry dense forest vegetation. Sustainable management of this site needs implication of local population.
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Lassagne, Antoine. "Exploitation forestière, développement durable et stratégies de pouvoir dans une forêt tropicale camerounaise." Anthropologie et Sociétés 29, no. 1 (November 18, 2005): 49–79. http://dx.doi.org/10.7202/011740ar.

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Abstract:
Résumé Dans le bassin du Congo, l’exploitation des ressources de la forêt a toujours été au coeur des formes les plus violentes de la relation coloniale. L’exemple de la région de la forêt du Dja dans le sud-est du Cameroun suggère que l’installation du pouvoir colonial s’est appuyée sur la mise en place d’un complexe « territoire-population-ressources », processus similaire à celui qui a eu cours en Occident dès la fin du XVIIe siècle. Nous pensons que cette « gouvernementalisation de la population », si l’on s’appuie sur cette notion proposée par Michel Foucault, est déterminante dans la compréhension des modes d’exploitation de la forêt en vigueur depuis la décolonisation jusqu’à aujourd’hui. Il nous est dès lors possible d’envisager les stratégies de pouvoir adoptées par les exploitants forestiers et par les acteurs du développement durable comme faisant partie d’un même dispositif de gestion combinée de la nature et du social. La nouvelle loi forestière adoptée par le gouvernement camerounais en 1994 apparaît comme le point de jonction du discours scientifique sur la population et la forêt tropicale et des intérêts du secteur forestier industriel. Dans ce contexte, les Badjoués qui habitent la périphérie de la Réserve de biosphère du Dja se trouvent être à la fois la cible des conservationistes et des exploitants forestiers.
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Oumorou, Madjidou, Armand K. Natta, Aristide C. Adomou, and Bruno de Foucault. "Caractéristiques écologiques et phytosociologiques des galeries forestières de la Réserve de biosphère de la Pendjari (nord-ouest du Bénin)." Acta Botanica Gallica 158, no. 1 (January 2011): 125–39. http://dx.doi.org/10.1080/12538078.2011.10516260.

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Halleux, Dominique, and Steven M. Goodman. "The rediscovery of the Madagascar Red Owl Tyto soumagnei (Grandidier 1878) in north-eastern Madagascar." Bird Conservation International 4, no. 4 (December 1994): 305–11. http://dx.doi.org/10.1017/s0959270900002859.

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Abstract:
SummaryThe Madagascar Red Owl, known from the eastern rainforest of central Madagascar by a few specimens collected in the nineteenth and early twentieth century and one sight record in 1973, was rediscovered in late July 1993 in north-eastern Madagascar. An adult bird, held in captivity for approximately one year, was located in the town of Andapa. According to the owner, the owl had been obtained south-west of Andapa, near the village of Antanamangotroka, in a forested area connected to the Réserve Spéciale d'Anjanaharibe-Sud, and at about 800 m above sea-level. This record expands the known geographic range of this species and provides the first documentation of its continued existence in over 20 years.La Chouette de Soumagne, connue de la forêt pluviale orientale du Domaine du Centre de Madagascar à travers quelques spécimens collectés au 19ème siècle et début du 20ème siècle et d'aprés une observation en 1973, a été redécouverte à la fin du mois de juillet 1993 au nord-est de Madagascar. Un individu adulte, qui venait de passer plus d'un an en captivité, a été découvert dans la ville d'Andapa. D'après la personne qui détenait l'animal, la chouette avait été capturee au sud-ouest d'Andapa, pres du village d'Antanamangotroka, au sein d'une zone forestière connectée avec la Réserve Spéciale d'Anjanaharibe-Sud, à une altitude d'environ 800 m au-dessus du niveau de la mer. Cette nouvelle donnée constitue une expansion significative de l'aire de distribution de cette espèce et apporte la preuve de la survie de cette espèce endémique qui n'avait pas été observee depuis plus de 20 ans.
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Tegno Nguekam, Eric Wilson, Salomon C. Nguemhe Fils, Joachim Etouna, and Simon Njeudeng Tenku. "ANALYSE DE LA DEFORESTATION DANS LA PERIPHERIE OUEST DE LA RESERVE DE BIOSPHERE DU DJA AU CAMEROUN, A PARTIR D'UNE SERIE MULTI-ANNUELLE D'IMAGES LANDSAT." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 222 (November 26, 2020): 31–41. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2020.434.

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Abstract:
Résumé : Dans cet article, il est question d’évaluer la déforestation dans la périphérie Ouest de la réserve de Biosphère du Dja à travers les techniques de Télédétection et de Système d’Information Géographique. Pour cela, 08 images Landsat de date différentes (2011 à 2018) ont été utilisées pour produire les cartes d’occupation du sol, à travers la méthode de classification supervisée et l’algorithme « maximum likelihood ». Les classes d’occupation de sol retenues pour cette classification sont : forêt dense, forêt dégradée, zone de culture, zone marécageuse, zone d’habitation, sol nu et eau. L’analyse des changements a été faite avec la technique de « change detection ». Les résultats de cette étude ont montré que la déforestation a été importante pendant la période d’étude (2011 – 2018). Les surfaces forestières se sont principalement transformées en zone de culture, marécage, forêt dégradée, sol nu. Le taux de déforestation observé est de 6,8% et dénote une importante baisse du couvert forestier dense. L’étude a montré des tendances de déforestation dans cette périphérie. Elle a permis d’observer que les zones tendancieuses sont concentrées principalement autour de certaines activités anthropiques présentes dans cette zone (la plantation agricole SUDCAM, le barrage de Mekin, les lieux habités). Mots-clés : Déforestation, Changement climatique, forêt, tendances de déforestation, images satellites
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MANGAZA, Lisette, Jean-Remy MAKANA, Wannes HUBAU, Denis SONWA, Germain BATSI, and Adeline FAYOLLE. "Impacts du changement d’utilisation des terres sur la biomasse et la diversité dans le paysage forestier de la réserve de biosphère de Yangambi en République démocratique du Congo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 353 (October 1, 2022): 61–73. http://dx.doi.org/10.19182/bft2022.353.a36836.

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Abstract:
Les forêts tropicales de la République démocratique du Congo sont menacées par la déforestation et la dégradation forestière, qui affectent la structure et la diversité arborée. Cette étude a pour objectif de quantifier les pertes de biomasse et de diversité liées à la déforestation et à la dégradation, en se concentrant sur la réserve de biosphère de Yangambi. Quatre parcelles de 50 m x 50 m ont été inventoriées dans chacun des huit types d’utilisation des terres identifiés : la forêt mature mixte, la forêt mature à Gilbertiodendron dewevrei, les champs des cultures vivrières, les jachères (5 à 10 ans), les forêts secondaires (20 à 40 ans), les plantations de cacaoyers, les plantations de caféiers et les plantations de palmiers à huile. Les stocks de biomasse dans les forêts matures s’élèvent à environ 400 et 380 Mg/ha respectivement pour la forêt à G. dewevrei et la forêt mixte. Les résultats montrent que la forêt mature perd 50, 70 et 90 % de sa biomasse aérienne quand elle est convertie en plantations de cacaoyers, caféiers et palmiers, respectivement, et la quasi-totalité (99 %) lorsqu’elle est convertie en champs de cultures vivrières ; mais quand le champ est abandonné, la biomasse se reconstitue progressivement à 7,5 % après 5 à 10 ans et à 38,8 % après 20 à 40 ans. La diversité est aussi impactée par la conversion, et, bien que la richesse spécifique semble se reconstituer plus rapidement que la biomasse, la composition est fondamentalement modifiée. Ces résultats fournissent des informations essentielles pour quantifier les impacts des solutions « naturelles » pour lutter contre le changement climatique : la protection des forêts matures, l’amélioration de la gestion forestière et le reboisement ; même si l’approche doit être étendue à plus grande échelle.
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Jeanrichard, Stéphane. "Bois de l'Hôpital, une réserve forestière à interventions particulières | «Le Bois de l'Hôpital»: a forest reserve for special intervention." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 157, no. 7 (July 1, 2006): 271–75. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2006.0271.

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Abstract:
Within the framework of its sustainable development policy(Agenda 21), the city of Neuchâtel has created a number of forest reserves among others «le Bois de l'Hôpital», which covers an area of roughly 100 ha and is destined for special intervention. The perimeters of the woods consist of a rich mosaic of rare plant societies including very special forest stands (oak groves, various deciduous species and European black pine resulting from earlier afforestation). The absence of exploitation has led to a strong densification of certain massifs and the disappearance of a dry lawn in the «garides». First tending measures and the opening of clearings between 2002 and 2005 have been very beneficial to the diversity of flora and fauna,especially the insects.
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Tabopda, Gervais Wafo, and Jean-Marie Fotsing. "Quantification de l'évolution du couvert végétal dans la réserve forestière de Laf-Madjam au nord du Cameroun par télédétection satellitale." Sécheresse 21, no. 3 (July 2010): 169–78. http://dx.doi.org/10.1684/sec.2010.0256.

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Mongo, Léon Iyongo Waya, Marjolein Visser, Charles De Cannière, Erik Verheyen, Benjamin Dudu Akaibe, Joseph Ulyel Ali-Patho, and et Jan Bogaert. "Anthropisation et effets de lisière : Impacts sur la diversité des rongeurs dans la Réserve Forestière de Masako (Kisangani, R.D. Congo)." Tropical Conservation Science 5, no. 3 (September 2012): 270–83. http://dx.doi.org/10.1177/194008291200500304.

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Havyarimana, François, Jan Bogaert, Joël Ndayishimiye, Yao Sadaiou Sabas Barima, Marie José Bigendako, Jean Lejoly, and Charles De Cannière. "Impact de la structure spatiale de Strombosia scheffleri Engl. et Xymalos monospora (Harv.) Baill. sur la régénération naturelle et la coexistence des espèces arborescentes dans la réserve naturelle forestière de Bururi, Burundi." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 316, no. 316 (June 1, 2013): 49. http://dx.doi.org/10.19182/bft2013.316.a20530.

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Abstract:
Dans le but d'analyser l'influence de la structure spatiale sur le fonctionnement écologique des écosystèmes forestiers, une étude sur la distribution spatiale, la régénération naturelle et la coexistence des principales espèces arborescentes a été menée dans la réserve naturelle forestière de Bururi au Burundi. Cette aire protégée constitue la partie la plus méridionale du système de forêts de la crête Congo-Nil. La présente étude cherche à tester l'hypothèse selon laquelle la structure spatiale agrégée d'une espèce arborescente aurait un impact sur la régénération naturelle et la coexistence avec des espèces arborescentes du même habitat. Deux méthodes, l'une basée sur la distance au plus proche voisin et l'autre sur la variation du nombre d'individus de l'espèce dans les placettes échantillonnées, ont été appliquées pour déterminer le type de distribution spatiale des espèces arborescentes. Leur régénération naturelle a été évaluée sur la base de la distribution de leurs diamètres. L'analyse de la distribution spatiale a montré que Strombosia scheffleri et Xymalos monospora sont caractérisées par une distribution spatiale agrégée. La présente étude a ensuite mis en évidence l'impact négatif de la distribution agrégée de S. scheffleri et X. monospora sur la régénération naturelle de Entandrophragma excelsum et Prunus africana, deux espèces menacées de disparition au Burundi. Ainsi, la dominance locale d'une espèce arborescente peut réduire la diversité comme le stipule l'hypothèse d'échappement.
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Gautier, Laurent. "Contact forêt-savane en Côte d'Ivoire centrale: évolution de la surface forestière de la réserve de Lamto (sud du V-Baoulé)." Bulletin de la Société Botanique de France. Actualités Botaniques 136, no. 3-4 (January 1989): 85–92. http://dx.doi.org/10.1080/01811789.1989.10826960.

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Dourma, Marra, Kperkouma Wala, Ronald Bellefontaine, Komlan Batawila, Kutzo-Atsu Guelly, and Koffi Akpagana. "Comparaison de l'utilisation des ressources forestières et de la régénération entre deux types de forêts claires à Isoberlinia au Togo." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 302, no. 302 (December 1, 2009): 5. http://dx.doi.org/10.19182/bft2009.302.a20400.

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Abstract:
Une étude ethnobotanique sur un échantillon de 135 personnes a permis de définir le rôle de l'homme et les utilisations des ressources végétales au sein des forêts claires à Isoberlinia du domaine soudanien au Nord-Togo. Les caractéristiques structurales et les modes de régénération ont été étudiés sur 28 placeaux de 20 x 20 m installés dans six forêts villageoises à accès libre et 28 autres placeaux situés dans la réserve de faune d'Alédjo ayant un statut de protection. La matrice " utilisations x personnes enquêtées " a été soumise à la classification ascendante hiérarchique grâce au logiciel Statistica 6.0. Elle a permis de confirmer le rôle écologique, agricole, économique et vital des ressources végétales à 35 % de dissemblance. Le mode actuel d'exploitation des forêts locales compromet leur pérennité, surtout en l'absence de mesures de sauvegarde. La richesse spécifique est assez semblable dans les deux types de forêts claires. Les indices de Shannon (3,77 bits) et d'équitabilité de Piélou (0,68) sont plus élevés dans les forêts protégées que dans celles à accès libre (3,31 bits ; 0,53). Ce qui suggère que l'absence d'activités anthropiques favorise une meilleure conservation de la diversité des forêts qui se régénèrent par semis, par rejets de souche et par drageons. La densité (475 tiges/ha), la surface terrière (15,2 m²/ha), le diamètre moyen (23,9 cm) et la hauteur moyenne (15,5 m) des arbres sont plus élevés dans les forêts protégées que dans celles non protégées (300 tiges/ha ; 13,9 m²/ha ; 18,8 cm ; 11,9 m). (Résumé d'auteur)
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Ngando, W. E., M. J. E. Essouma, V. A. Voula, O. J. S. Ondoua, Y. T. Djoah, L. Ngatourbam, A. O. Onana, and B. Z. Zing. "Evaluation de l’effet insecticide de certaines plantes locales sur les performances agronomiques de la tomate dans la réserve forestière de Mbalmayo (Cameroun)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 16, no. 3 (August 29, 2022): 1253–68. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v16i3.27.

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Abstract:
L’utilisation des pesticides chimiques dans la lutte contre les ravageurs des plantes cultivées est très onéreuse et non respectueuse de l’environnement. Cette situation est tellement préoccupante qu’il est impératif de trouver davantage des méthodes de traitements palliatives à ces problèmes. C’est ainsi que cette étude a été faite avec pour objectif d’évaluer l’efficacité des extraits aqueux de Tithonia diversifolia et de Nicotiana tabacum sur la croissance et le développement de la tomate. Le dispositif expérimental était constitué de 24 parcelles répartis dans 8 blocs de 3 sous-unités complètement randomisés. 8 traitements ont été appliqués, à savoir, le produit de référence (PR) à la dose de 33 ml par pulvérisateur de 15 litres d’eau, les extraits aqueux de feuilles de Nicotiana tabacum Ta (30%), Ta (40%), Ta (50%), et de Tithonia diversifolia Ti (30%), Ti (40%), Ti (50%) et un traitement témoins (TNT). Les résultats ont montré que trois traitements sur huit ont permis d’avoir des meilleurs paramètres agronomiques à 18, 32 et 46 Jours Après Repiquage. PR a présenté un poids frais de 67,19±3,19 Kg; un poids sec de 5,79±0,31 Kg et un rendement de 705,53±33,44 Kg/ha. Suivi de Ta (50) qui a présenté 66,26±5,52 Kg; 5,64±0,54 Kg et 695,73±32,97 Kg/ha respectivement. Enfin, Ti (50%) où l’on a observé 62,60±5,52 Kg; 5,34±0,54 Kg et 657,30±31,14 Kg/ha. En revanche, le TNT a enregistré la performance agronomique la moins satisfaisante dans l’ensemble. Ainsi, Ta (50%) et Ti (50%) ont permis d’avoir des performances agronomiques satisfaisantes sans différences significatives avec le PR. Alors, les extraits aqueux d’une concentration de 50% de chacune de ces deux espèces peuvent être conseillés aux agriculteurs dans le cadre de la lutte contre les ravageurs de la tomate (Lycopercicum esculentum). The use of chemical pesticides in the control of crop pests is very expensive and not environmentally friendly. This situation is so worrying that it is imperative to find more palliative treatment methods to these problems. Thus, this study was carried out with the objective of evaluating the efficacy of aqueous extracts of Tithonia diversifolia and Nicotiana tabacum on the growth and development of tomato. The experimental set-up consisted of 24 plots divided into 8 completely randomised blocks of 3 sub-units. Eight treatments were applied, namely, the reference product (RP) at a dose of 33 ml per 15 litre water sprayer, the aqueous leaf extracts of Nicotiana tabacum Ta (30%), Ta (40%), Ta (50%), and Tithonia diversifolia Ti (30%), Ti (40%), Ti (50%) and a control treatment (TNT). The results showed that three out of eight treatments gave better agronomic parameters at 18, 32 and 46 Days After Planting. PR had a fresh weight of 67.19±3.19 Kg; a dry weight of 5.79±0.31 Kg and a yield of 705.53±33.44 Kg/ha. Followed by Ta (50) which presented 66.26±5.52 Kg; 5.64±0.54 Kg and 695.73±32.97 Kg/ha respectively. Finally, Ti (50%) where 62.60±5.52 Kg; 5.34±0.54 Kg and 657.30±31.14 Kg/ha respectively were observed. On the other hand, the TNT treatment recorded the least satisfactory agronomic performance overall. Thus, Ta (50%) and Ti (50%) provided satisfactory agronomic performance without significant differences with the PR. So, the aqueous extracts of 50% concentration of each of these two species can be advised to the farmers in the pest control of tomato (Lycopercicum esculentum).
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Ambara, Joseph, Kadiri Serge Bobo, Juvenal Donfack Demesse, and Antoine David Mvondo-Ze. "Caractérisation de la compétition et de la croissance de Pericopsis elata (Harms) Van Meeuven dans les plantations de la Réserve Forestière de Deng-Deng (Est, Cameroun)." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 2 (June 22, 2021): 559–77. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i2.15.

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Abstract:
Pericopsis elata est une espèce ligneuse à grande valeur commerciale menacée d’extinction. Les plantations d’Assamela installées dans la Réserve Forestière de Deng-Deng en 1974 ont été abandonnées après leur mise en place. Dès lors, très peu de connaissances relatives au développement de ces peuplements sont disponibles. L’objectif de la présente étude est de contribuer à la compréhension des conditions de croissance de Pericopsis elata dans la réserve et induire un aménagement efficace. Trois inventaires exhaustifs ont été conduits, au cours desquels les données dendrométriques et structurales ont été collectées. Les indices de compétition de Hegyi, les semi-variogrammes et la distribution spatiale des tiges ont été analysés et interprétés. Les densités actuelles sont sans effet limitant pour la croissance des tiges. Les effets du milieu se révèlent comme étant le facteur qui a plus d’impact sur la croissance des tiges de Pericopsis elata. La plantation de recrû (33,21 cm), moins sensible à l’effet de la densité en termes de croissance comparée aux plantations des grands layons (26,91 cm et 26,89 cm), enregistre les meilleures performances de croissance en diamètre. Ainsi, des travaux d’entretien et des éclaircies portées vers une réduction considérable des compétitions interspécifique et intra spécifique sont nécessaires.Mots clés : Indice de Hegyi, méthodes sylvicoles, modes de compétition, plantations équiennes, semi-variogramme, Cameroun. English Title: Characterization of the competition and growth of Pericopsis elata (Harms) Van Meeuven in the plantations of the Deng-Deng Forest Reserve (East, Cameroon)Pericopsis elata is a valuable woody species threatened with extinction. The Assamela plantations established in the Deng-Deng Forest Reserve in 1974 were abandoned after their establishment. As a result, very little knowledge about the development of these stands is available. The objective of the present study is to contribute to the understanding of the growing conditions of Pericopsis elata in the Reserve and to induce proper management. Three exhaustive inventories were conducted, during which dendrometric data were collected. Hegyi’s competition indices, variograms and spatial distribution of stems were developed. Current densities have no limiting effect on stem growth. Environmental effects were found to be the factor that had the greatest impact on the growth of Pericopsis elata stems. The recruiting plantation (33.21 cm), which is less sensitive to the effect of density in terms of growth compared to the large layon method (26.91 cm and 16.89 cm), has the best growth in diameter performance. Thus, maintenance work and thinning leading to a considerable reduction in interspecific and intraspecific competition is necessary.Keywords: Regular plantations, Hegyi’s competition index, mode of competition, Silvicultural methods, semi-variogram, Cameroon.
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Medjahdi, Boumediene, Mohammed Ibn Tottou, Djamel Barkat, and Khélouf Benabdeli. "La flore vasculaire des Monts des Trara (Nord Ouest Algérien)." Acta Botanica Malacitana 34 (December 1, 2009): 57–75. http://dx.doi.org/10.24310/abm.v34i0.6917.

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RÉSUMÉ. La flore vasculaire des monts des Trara (Nord Ouest Algérien). Les monts des Trara, important massif du littoral oranais (Nord Ouest algérien), offre des conditions particulièrement favorables pour le développement d’une végétation luxuriante riche en taxons endémiques et/ou rares. L’analyse de la flore vasculaire forestière des Trara a révélé l’existence de 558 taxons appartenant à 87 familles et 306 genres. Un nombre important d’endémiques a été inventorié: 37 algéro-marocains, 41 ibéro-algéro-marocains, 17 sont endémiques d’Afrique du Nord (Algérie, Maroc, Tunisie) et 15 sont endémiques d’Afrique du Nord et de la Péninsule ibérique. Une dizaine de taxons rares et endémiques ont été proposés pour faire l’objet d’un programme de conservation en même temps que la création d’une réserve naturelle.Mots clés. Inventaire, endémisme, Conservation, Monts des Trara, Nord Ouest Algérien.SUMMARY. The vascular flora of the Trara mounts (North Western Algerian). Trara mounts is important clump of oranian coast (North-western Algerian). It provide a particularly favorable conditions for develo- pment of a rich luxurious vegetation with endemic taxa and/or rare. The analysis of the forest vascular flora in Trara has revealed the existence of 558 taxa which belong to 87 families and 306 genera. An important endemics number has recorded: 37 algero-moroccan, 41 ibero-algero-moroccan, 17 are endemic in North Africa (Algeria, Morocco, Tunisia) and 15 are endemic in Iberian peninsula and North Africa. About ten rare endemics taxa has been proposed to be involved in conservation measures including creation of a natural reserve.Key word. Inventory, endemics, conservation, Trara mounts, North-Western Algerian.
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Bangirinama, Frédéric, Marie José Bigendako, Jean Lejoly, Nausicaa Noret, Charles De Cannière, and Jan Bogaert. "Les indicateurs de la dynamique post-culturale de la végétation des jachères dans la partie savane de la réserve naturelle forestière de Kigwena (Burundi)." Plant Ecology and Evolution 143, no. 2 (July 23, 2010): 138–47. http://dx.doi.org/10.5091/plecevo.2010.386.

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Vittoz, Pascal, Alexandre Buttler, and Pascal Junod. "Délimitation d'une réserve forestière totale: approche par l'étude de la végétation | Vegetation study to determine the optimal surface area of an unmanaged forest reserve." Schweizerische Zeitschrift fur Forstwesen 156, no. 3-4 (March 1, 2005): 112–21. http://dx.doi.org/10.3188/szf.2005.0112.

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Abstract:
Forestry law in Switzerland allows cantonal authorities to define forest reserve areas of at least 5 ha. During a university field-training course in botany, postgraduate students carried out vegetation studies to determine the most appropriate size for an area of completely unmanaged forest reserve within a forest division near Bevaix (canton of Neuchâtel). On the 50 plots of an experimental grid a phytosociological survey and forest mensurations were carried out and the amount of dead wood was determined. Plant biodiversity and tree regeneration were studied by means of a plant survey. Each plot was assigned a score depending on its specific value to a forest reserve. Results suggest that a surface area of 7 ha is most likely to achieve the goal. The grid points of the chosen plots are permanently marked in the field, in order to facilitate further inventories and follow-up studies.
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Payette, Serge, and Roxane Lajeunesse. "Les combes à neige de la rivière aux Feuilles (Nouveau-Québec) : indicateurs paléoclimatiques holocènes." Géographie physique et Quaternaire 34, no. 2 (January 28, 2011): 209–20. http://dx.doi.org/10.7202/1000398ar.

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Abstract:
L’analyse des sols et de la végétation de ces milieux a permis de situer leur origine et leur évolution au cours du Néoglaciaire. La présence de macrorestes fossiles (charbons de bois, cônes calcinés d’épinette noire Picea mariana (Mill)) BSP et de mélèze Larix laricina (DuRoi) K. Koch, fragments de bois) indique que les combes à neige viennent de milieux anciennement boisés. La disparition du couvert forestier se serait produite à la suite de feux survenant au cours de périodes climatiques froides inhibant toute régénération forestière. Les combes à neige sont ainsi la réponse à des périodes de détérioration climatique qui se sont manifestées quelque temps après 2600, 2200, 1600-1400, 1000-900 et 500-300 ans BP. Quelques combes à neige apparues tôt au Néoglaciaire auraient connu une régression autour de 1300-1200 ans BP (sous réserve), grâce à un réchauffement climatique ayant favorisé une certaine réafforestation. L’apparition et l’expansion graduelles des combes à neige aux dépens du couvert forestier de 2600 ans BP jusqu’à nos jours suggèrent que le refroidissement climatique, bien que persistant, n’était pas de grande amplitude; les feux auraient servi la plupart du temps d’amorce à l’expansion du couvert de neige. Les combes à neige situées à proximité de formations arborescentes ont subi un envahissement de mélèzes entre 1940 et 1970, corrélé avec le réchauffement climatique du XXe siècle. Depuis 1970, un renversement de la tendance climatique est survenu et est caractérisé par la mortalité d’au moins 17 % de la population de mélèzes des combes à neige. Cette mortalité est étroitement reliée à l’intense reprise des processus périglaciaires dans les combes. Finalement, l’apparition toute récente de grandes coulées de gélifiluction sur les versants enneigés a eu pour conséquence de détruire la végétation des bas-versants et favoriser la formation de nouvelles combes à neige.
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Peltier, Regis. "Quelle place pour l’agroforesterie dans l’avenir des forêts tropicales ?" BOIS & FORETS DES TROPIQUES 341 (August 20, 2019): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2019.341.a31769.

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Abstract:
Avec une population estimée à dix milliards d’habitants dans quelques décennies, l’avenir du monde intertropical sera obligatoirement entre les mains des êtres humains. Ceux-ci protégeront une petite partie des forêts dites naturelles afin d’essayer d’y conserver la biodiversité qu’elles abritent ; ils géreront de façon plus productive une autre partie, ce qui passera très probablement par une simplification de leur diversité, dans la mesure où l’on favorisera les espèces les plus productives, les plus faciles à régénérer et dont les produits seront faciles à industrialiser et à vendre.Et entre la forêt protégée et la forêt aménagée, que restera-t-il ? Des plantations monospécifiques de bananiers, de riz, de cacaoyers, de coton ? Mais alors, comment les espaces forestiers pourront-ils évoluer en échangeant du matériel génétique, s’adapter aux changements climatiques, résister aux maladies nouvelles, etc. ?Les écologues estiment que la forêt ne pourra survivre que s’il existe des liens de continuité entre les massifs forestiers. La connectivité écologique ne pourra que très rarement être assurée par des corridors forestiers continus. L’existence d’îlots forestiers discontinus mais proches et à distance régulière permet le passage en « pas japonais » de nombreuses espèces végétales et animales, mais pas de toutes. Les micro-organismes et la macrofaune des sols forestiers ne peuvent se déplacer qu’à la condition d’une certaine continuité dans la trame arborée. Celle-ci n’est possible que par la présence d’arbres dans les zones cultivées, voire urbanisées. L’agroforesterie est la voie la plus prometteuse pour assurer cette continuité écologique.L’agroforesterie consiste à associer des arbres avec l’agriculture et/ou l’élevage, au niveau des parcelles, des exploitations ou des paysages. Les systèmes traditionnels, à faibles niveaux d’intrants, étaient et sont encore agroforestiers ; mais l’agriculture industrielle à hauts niveaux d’intrants (cf. mécanisation du travail, apport d’engrais, d’herbicides, de semences très améliorées, voire génétiquement modifiées) a, en général, exclu l’arbre des parcelles.Aujourd’hui, de nombreux agronomes, pastoralistes et forestiers travaillent ensemble pour appuyer techniquement et politiquement le retour des arbres dans l’espace agricole et pastoral.La diffusion à grande échelle de méthodes standardisées, mises au point en station de recherche, a rarement marché en milieu tropical. Par exemple, la culture en couloirs, mise au point par l’Icraf1 dans ses stations du Kenya au cours des années 1980, n’a pas été adoptée par les agriculteurs. Elle nécessitait trop de travail pour rabattre régulièrement les rejets d’arbres et limiter le développement de leurs racines, sans résoudre le problème de l’acidification des sols.Croire que l’agroforesterie permettra de stopper les défrichements forestiers par les agriculteurs essarteurs (sur abattis-brûlis) est également une erreur d’analyse. Il est certes vrai que l’agroforesterie permet aux agriculteurs qui la pratiquent de récolter chez eux de nombreux produits qu’ils récoltaient autrefois en forêt ; elle facilite également la culture continue sur le même sol, sans avoir à défricher de nouvelles forêts. Cependant, tant que les gouvernements laisseront les agriculteurs s’approprier des terres en défrichant la forêt publique, puis en la brûlant et en la mettant en culture, ceux-ci continueront à utiliser cette pratique qui permet d’étendre son capital foncier et de cultiver, avec peu de travail et une bonne production, pendant au moins une trentaine d’années.Les systèmes agroforestiers, qui permettent de répondre à presque tous les besoins d’une famille sur une surface limitée, nécessitent une bonne technicité pour limiter les concurrences entre espèces végétales et animales, récolter les différents produits – il est par exemple difficile d’abattre un arbre, pour en récolter son bois, sans écraser les cultures associées – et demandent un travail soutenu. C’est pourquoi les systèmes agroforestiers les plus performants se rencontrent dans les pays où la densité de la population rurale est la plus forte et où les forêts ont disparu (lakous d’Haïti, jardins agroforestiers de Java, bocage Bamilèkè et parcs arborés sur terrasses Kapsiki au Cameroun). Les résultats les plus probants, en matière de diffusion des systèmes agroforestiers au cours des trois dernières décennies, résultent du respect de modalités présentées ci-après :- L’accès aux forêts est limité, soit de fait lorsqu’il n’en existe plus, soit par décision du gouvernement qui met des forêts « sous cloche », en créant des forêts protégées définitivement (parcs et réserves) ou temporairement (capital foncier pour l’avenir), ce gouvernement ayant les moyens de faire appliquer cette politique, ce qui est très rarement le cas (ex. : Costa Rica, certains États de l’Inde).- On apporte une subvention durable aux agriculteurs qui conservent de jeunes arbres pour restaurer ou étendre leurs systèmes agroforestiers. C’est le cas de l’extension des parcs à Faidherbia albida au Nord-Cameroun, la subvention étant financée par un prélèvement sur la vente du coton. Également, les agroforestiers sont subventionnés pour les services écosystémiques qu’ils rendent à une communauté solvable ; tel est le cas des têtes de bassins versants approvisionnant une ville en eau en Inde ou au Costa Rica. En dehors des zones tropicales, ailleurs dans le monde, la plantation de haies bocagères est financée, notamment par la PAC2 en Europe.- On valorise les produits issus des systèmes agroforestiers en leur donnant des labels, qui permettent de les vendre plus cher à des consommateurs engagés (cas du café bio et équitable et du bois d’œuvre au Nicaragua).- On sécurise le foncier, ce qui garantit à l’agriculteur que les arbres qu’il plante pourront être récoltés par lui ou ses héritiers (exemple de la loi Gestion locale sécurisée, à Madagascar).- On encourage chaque agroforestier à adapter le système à ses possibilités (conditions écologiques, sociales, économiques) et à son accès aux marchés. Par exemple, dans l’Ouest-Cameroun, les agriculteurs éliminent de leurs haies des arbres devenus sans valeur (exemple : ficus producteurs de fibres végétales) pour les remplacer par des fruitiers ou des arbres producteurs de bois de sculpture et de menuiserie, de plus en plus recherchés en ville.Sans être une panacée qui permettra de bloquer le défrichement des forêts, l’agroforesterie est une nécessité absolue pour assurer aux populations du monde tropical une partie des biens et des services qui étaient autrefois rendus par les forêts. Par ailleurs, elle permettra aux forêts conservées d’être moins sollicitées par les populations, et elle contribuera à assurer leur survie à long terme, en facilitant le flux et l’évolution des ressources génétiques forestières.
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Byanikiro, Richard Mahamba, Alidor Kankonda Busanga, and Jean-Claude Micha. "Ecologie et Répartition Spatiale des Peuplements des Siluriformes dans deux Rivières Forestières Yoko et Biaro (Province Tshopo, Fleuve Congo, R.D. Congo)." European Scientific Journal, ESJ 18, no. 30 (September 30, 2022): 114. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2022.v18n30p114.

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Abstract:
La présente étude sur l’écologie et la répartition des Siluriformes entreprise de septembre 2008 à août 2009, a pour but de caractériser et de déterminer les facteurs responsables de la distribution spatio-temporelle des Siluriformes dans les rivières Yoko et Biaro dans la Réserve forestière de Yoko. Des filets maillants, palangres et nasses traditionnelles ont été utilisés pour capturer les poissons. Ainsi, 572 silures au total, repartis en 15 espèces appartenant à 9 genres et 6 familles ont été récoltés. Les Clariidae et Claroteidae sont les plus diversifiées avec respectivement : 5 et 4 espèces chacune. L’indice de diversité de Shannon varie de 1,54 à 0,40 ; tandis que, celui de Simpson oscille entre 0,75 et 0,18 et l’équitabilité entre 0,86 et 0,29. Ce qui indique une biodiversité élevée mais dont l’équilibre et la structure varient selon les stations. L’Analyse en Composantes Principales (ACP), l’Analyse Factorielle des Correspondances (AFC) et l’Analyse Canonique des Correspondances (ACC) montrent qu’il existe, d’une part, des liens entre les stations Yoko 1, 2, 3 et 4 et Biaro 3 et d’autre part, entre les espèces Schilbe marmoratus, Clarias (Anguilloclarias) ebriensis, Schilbenigrita, Clarias buthupogon, Clarias pachynema et Parauchenoglanis punctatus, du fait de la corrélation positive qui existe entre les paramètres abiotiques et la végétation ripicole. De même, Schilbe grenfelli ; Anaspidoglanis macrostoma et Chrysichthys (Melanodactylus) dageti sont respectivement liées aux stations Biaro 1, 2 et 4, du fait de la corrélation positive existant avec les variables végétation ripicole, température de l’eau élevée (avoisinant 24°C), vitesse de l’eau moyennement faible (variant entre 0,29 et 0,37 m/s) d’une part et d’autre part, du fait de plus grande profondeur de l’eau (0,67 m), plus grande largeur de rivière (17,9 m) et oxygène dissous légèrement déficitaire. Et enfin, du fait de la nature des substrats (sablonneux, caillouteux, rocheux garni de pierres, feuilles mortes, bois morts et débris végétaux). Ceci atteste, que les variables environnementales (abiotiques et biotiques) agissent ensemble dans la répartition spatiale des peuplements des Siluriformes. This paper on the ecology and distribution of Siluriformes, undertaken from September 2008 to August 2009, focuses on characterizing and determining the factors responsible for the spatio-temporal distribution of Siluriformes in the Yoko and Biaro rivers in the Yoko Forest Reserve. Gillnets, longlines, and traditional traps were used to catch the fish. 572 catfish in total, divided into 15 species, belonging to 9 genera and 6 families were collected. The Clariidae and Claroteidae are the most diversified with 5 and 4 species each respectively. Shannon's diversity index varies from 1.54 to 0.40, while that of Simpson oscillates between 0.75 and 0.18 and the equitability between 0.86 and 0.29. This indicates a high biodiversity but their balance and structure varies according to the stations. Principal Component Analysis (PCA), Factorial Correspondence Analysis (FCA), and Canonical Correspondence Analysis (CCA) show that there are, on the one hand, links between stations Yoko 1, 2, 3 and 4 and Biaro 3 and, on the other hand, between the species Schilbe marmoratus, Clarias (Anguilloclarias) ebriensis, Schilbe nigrita, Clarias buthupogon, Clarias pachynema and Parauchenoglanis punctatus. This is due to a positive correlation that exists between the abiotic parameters and the riparian vegetation. Likewise, Schilbe grenfelli, Anaspidoglanis macrostoma, and Chrysichthys (Melanodactylus) dageti are respectively linked to Biaro stations 1, 2, and 4. This also is due to the positive correlation existing with the variables riparian vegetation, high water temperature (around 24°C), and speed of moderately low water (varying between 0.29 and 0.37 m/s) on the one hand. On the other hand, it is due to greater water depth (0.67 m), greater river width (17.9 m), slightly lower dissolved oxygen, and finally because of the nature of the substrates (sandy, stony, rocky topped with stones, dead leaves, dead wood and plant debris). This shows that the environmental variables (abiotic and biotic) act together in the spatial distribution of Siluriformes populations.
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SYLLA, Diarra, Taibou BA, Mariama Dalanda DIALLO, Tamsir MBAYE, Aly DIALLO, Jean Luc PEIRY, and Aliou GUISSÉ. "Dynamique de l’occupation du sol de la commune de Téssékéré de 1984 à 2015 (Ferlo Nord, Sénégal)." Journal of Animal & Plant Sciences 40, no. 3 (July 28, 2019): 6674–89. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v40-3.2.

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Abstract:
Dynamique de l’occupation du sol de la commune de Téssékéré de 1984 à 2015 (Ferlo Nord, Sénégal) Diarra SYLLA1,2, Taibou BA2, Mariama Dalanda DIALLO3,4, Tamsir MBAYE5, Aly DIALLO6, Jean Luc PEIRY3,7, Aliou GUISSÉ1,3* 1Département de Biologie végétale, Faculté des Sciences et Techniques, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, BP. 5005 Fann, Dakar, Sénégal 2Centre de Suivi Écologique pour la gestion des ressources naturelles (CSE), Fann Résidence, Rue Léon Gontran Damas, Dakar, Sénégal 3Observatoire Hommes-Milieux international (OHMi) Tessékéré, Ferlo, Sénégal 4Section Productions Végétales et Agronomie, UFR des Sciences Agronomiques, de l’Aquaculture et des Technologies Alimentaires, Université Gaston Berger, BP. 234, Saint Louis, Sénégal 5Centre National de Recherches Forestières, Institut Sénégalais de recherches Agricoles, Bel Air, Dakar, Sénégal 6Département d'Agroforesterie, Université Assane Seck de Ziguinchor, BP: 523 Néma, Ziguinchor, Sénégal 7CNRS, Unité Mixte Internationale 3189 « Environnement, Santé, Société », Dakar, Sénégal *Auteur correspondant : alguisse@orange.sn; +221 776389669 Mots clés: Occupation du sol, Dynamique, Télédétection, SIG, Téssékéré, Ferlo, Sénégal Keywords: Land-cover, Dynamics, Remote sensing, SIG, Téssékéré, Ferlo, Sénégal Publication date 30/06/2019, http://www.m.elewa.org/JAPS 1 RESUME L’objectif de cette étude a été de déterminer l’évolution de l’occupation du sol de la commune de Tessékéré dans le Ferlo situé au Nord du Sénégal entre 1984 et 2015, en utilisant les techniques de télédétection et les Systèmes d’Information Géographiques (SIG). En 2015, 13 modes d’occupation du sol appelés classes ont été identifiées dans la commune : savane boisée, savane arborée, savane arbustive à arborée, savane arbustive, steppe arborée, steppe arbustive à arborée, steppe arbustive, cultures maraîchères, cultures pluviales-jachère, village, mare, zone nue, plantation. Toutes ces classes étaient présentes dans la commune en 1984 à l’exception de la classe plantation. La dynamique spatio-temporelle de la commune a montré que les classes savane arbustive à arborée, savane arbustive et plantation ont connu une évolution progressive tandis que les classes savane arborée, steppe arborée, steppe arbustive et zone nue ont eu une évolution régressive. L’analyse des changements intervenus entre 1984 et 2015 a montré que 27,46% de la superficie de la commune sont restés à l’état initial ; 65,54% ont subi des modifications et 7% se sont converties. Cette étude élargie sur toute la réserve sylvopastorale (aire protégée) permettra d’évaluer l’efficacité des plans de gestion des zones protégées au Ferlo. The land cover evolution of the Tessekere commune from 1984 to 2015 (North Ferlo, Senegal)
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PERKINS, PHILIP D. "Hydraenidae of Madagascar (Insecta: Coleoptera)." Zootaxa 4342, no. 1 (November 3, 2017): 1. http://dx.doi.org/10.11646/zootaxa.4342.1.1.

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Abstract:
The Madagascar fauna of the beetle family Hydraenidae is comprehensively revised, based on the study and databasing of 6,949 specimens. New collection records are provided for 11 previously described species, and 95 new species are described. Three new subgenera of Hydraena, viz. H. (Micromadraena), H. (Monomadraena), and H. (Dnahydnaedna) are described, and several new species groups of Hydraena are diagnosed. Two new genera in the tribe Madagastrini are described: Menomadraena and Trinomadraena. The Malagasy hydraenid fauna now comprises 106 species arrayed in the following nine genera: Aulacochthebius (2), Hydraena (65), Limnebius (10), Madagaster (8), Menomadraena (6), Ochthebius (1), Protozantaena (5), Sicilicula (8), and Trinomadraena (1). Lectotypes are designated for the following species: Aulacochthebius plicicollis (Fairmaire), 1898 (Ochthebius); Hydraena dilutipes Fairmaire, 1898; Hydraena impressicollis Fairmaire, 1898; Hydraena marginicollis Regimbart, 1903 (= Hydraena regimbarti Zaitzev 1908; nomen novum); and Ochthebius alluaudi Regimbart, 1903. Hydraena discicollis Fairmaire, 1898, is considered a nomen dubium: no type specimens were found, and the description appears to be that of a species of Aulacochthebius or Ochthebius, not Hydraena. High resolution digital images of lectotypes and holotypes of new species are presented (online versions in color). Male genitalia, representative antennae, maxillary palpi, and female terminal abdominal segments and spermathecae are illustrated. Geographic distributions of all species are mapped. Possible colonization and vicariance events are discussed at the tribal, generic and species group levels. The tribe Madagastrini, found only in Madagascar and southern India, is hygropetric, indicating that this microhabitat type has been continuously present in both Madagascar and India at least since the two separated, currently estimated to be 88 million years ago. Contrastingly, some lowland lentic species of other genera appear to be closely related to species in southern Africa, suggesting rather recent colonization events. New species of Aulacochthebius: A. perlaevis (Mahajanga, Boeny: Mahavavy Kinkony RS). New species of Hydraena (Micromadraena): H. breviceps (Fianarantsoa, 29 km SSW Ambositra, Ankazomivady); H. fortipes (Antsiranana, Forêt d' Antsahabe); H. genuvela (Antsiranana, Forêt de Binara); H. parvipalpis (Antananarivo, Réserve Spéciale d'Ambohitantely); H. rubridentata ((Mahajanga, Parc National de Namoroka); H. serripennis (Antsiranana, Forêt d' Antsahabe). New species of Hydraena (Monomadraena): H. acicula (Antsiranana, Antsaba, Galoko Mountains); H. ambohitantely (Antananarivo, Ambohitantely Spec. Res.); H. amplexa (Fianarantsoa, Andringitra NP); H. amplipunctata (Fianarantsoa, 7 km W Ranomafana); H. antsahabe (Antsiranana, Forêt d' Antsahabe); H. bergsteni (Antsiranana, Diana: Beraty); H. bisinuata (Toamasina, Tamatave 6.3 km S Ambanizona); H. bisinuloba (Toliara, Menabe: Kirindy RS.); H. bispica (Toamasina, Alaotra Mangoro: Analamazoatra SR); H. casacolumna (Fianarantsoa, Andringitra NP); H. compacta (Antananarivo, Ankaratra, Reserve Manjakatompo); H. contracolorata (Antsiranana, Montagne des Francais); H. epipleurata (Antsiranana, Forêt de Binara); H. furcula (Toliara, 40km N of Fort Dauphin, Managotry); H. gereckei (Antananarivo, Ankaratra, Reserve Manjakatompo); H. goldschmidti (Antananarivo, Anjozorobe, Ravoandrina); H. inseriata (Antananarivo, Anjozorobe, Ravoandrina); H. jubata (Antsiranana, Sava Marojejy NP); H. levifurcata (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km SW Ranomafana); H. lubrica (Antananarivo, Ambohitantely Spec. Res.); H. mahavavona (Fianarantsoa, Ionilahy, Mahavavona); H. manjakatompo (Antananarivo, Ankaratra, Reserve Manjakatompo); H. marojejy (Antsiranana, Parc National de Marojejy); H. multiarcuata (Fianarantsoa, Ranomafana); H. oscillata (Toamasina, Alaotra Mangoro Andasibe-Mantadia NP); H. parvispinosa (Toamasina, Andasibe NP); H. pentarubra (Antsiranana, Montagne d'Ambre); H. quatriloba (Toliara, Andohahela NP, Tsimelahy); H. ranomafana (Fianarantsoa, Ranomafana); H. ravoandrina (Antananarivo, Anjozorobe, Ravoandrina); H. rubrifurcata (Antsiranana, Sava, Marojejy NP); H. sculponea (Antsiranana, Befingotra (9.2 km WSW), Res. Anjanaharibe-Sud); H. simplicata (Antsiranana, Montagne d'Ambre); H. tibiodentipes (Fianarantsoa, Andringitra NP); H. triaequalis (Fianarantsoa, Ranohira); H. tripartita (Fianarantsoa, Ranomena); H. upsilonica (Toamasina, Zahamena NP); New species of Hydraena (Hydraenopsis): H. andranomena (Toliara, Andranomena); H. arta (Antsiranana, Parc National de Marojejy); H. bucollis (Toamasina, Tamatave, Andranobe Field Station); H. clavulata (Fianarantsoa, Ranomafana); H. contorta (Antananarivo, Anjozorobe forest reserve); H. dilutipoides (Mahajanga, Parc National Tsingy de Bemaraha); H. divisa (Antsiranana, Antsaba,Galoko Mountains); H. elementaria (Antananarivo, Tamatave, Coastal lagoon); H. fulgidicollis (Antananarivo, Parc de Tsimbazaza); H. longiloba (Fianarantsoa, Madiorano); H. nanula (Antsiranana, Ankarana, Ampositelo); H. orchisa (Toamasina, Alaotra Mangoro Andasibe-Mantadia NP); H. pilobova (Antsiranana, Sava, Marojejy NP); H. pilotumida (Fianarantsoa, 7 km W Ranomafana); H. ranarilalatiani (Toamasina, Alaotra Mangoro: Analamazoatra SR); H. randriamihajai (Antsiranana, Diana: Montagne d'Ambre NP); H. renalisa (Antsiranana, Sambava: Marojejy NP); H. sinuatipes (Antsiranana, Ankarana); H. torquata (Fianarantsoa, Andringitra NP). New species of Limnebius: L. angulatus (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km W Ranomafana); L. balkei (Antsiranana, Montagne d'Ambre); L. bergsteni (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km W Ranomafana); L. clandestinus (Mahajanga, Boeny:Mahavavy Kinkony RSc); L. labratus (Toamasina, Maroantsetra); L. lacrimosus (Toamasina, 18.7911S 48.4259E Alaotra Mangoro Andasibe-Mantadia NP); L. lobatus (Toliara, Manakaravavy); L. maximadus (Toamasina, Alaotra Mangoro: Analamazoatra SR); L. nanostillus (Antsiranana, Ankarana); L. steineri (Fianarantsoa, 7 km W Ranomafana). New species of Madagaster: M. barbata (Fianarantsoa, Andringitra NP); M. bergsteni (Antananarivo, 18.8704S 47.6708E Analamanga); M. cataracta (Antsiranana, Sava, Marojejy NP); M. procarina (Fianarantsoa, 32 km S Ambositra); M. quadricurvipes (Fianarantsoa, Andringitra NP); M. simplissima (Fianarantsoa, 32 km S Ambositra). New species of Menomadraena: M. andringitra (Fianarantsoa, Res. Andringitra); M. concava (Fianarantsoa, R.S. Ivohibe); M. fisheri (Toliara, Enakara (11 km NW), Res. Andohahela); M. ivohibe (Fianarantsoa, R.S. Ivohibe); M. nitedula (Fianarantsoa, Res. Andringitra); M. sembella (Fianarantsoa, Amparihibe). New species of Protozantaena: P. duplicata (Antananarivo, Vakinankaratra: Manjakatompo Stn. Forestière); P. elongata (Antananarivo, Vakinankaratra: Manjakatompo Stn. Forestière). New species of Sicilicula: S. ampla (Antananarivo, Onive River near Ilempona); S. bergsteni (Fianarantsoa, 21.2263S 47.3694E, Matsiara Ambony, Ranomafana NP); S. conjugalis (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km SW Ranomafana); S. cordicollis (Fianarantsoa, Namarona River, 7 km SW Ranomafana); S. hygropetrica (Fianarantsoa, Matsiara Ambony, Ranomafana NP); S. malagasica (Fianarantsoa, Abohimahasoa); S. sexplanata (Antsiranana, Mt. Tsaratanana). New species of Trinomadraena: T. clusa (Antsiranana, Mt. d’Ambre).
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CANDELIER, Kévin, and Jean-François TRÉBUCHON. "Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 349 (October 11, 2021): 2–3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2021.349.a36797.

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Abstract:
Bois et Forêts des Tropiques contribue à la médiation scientifique pour accompagner les changements indispensables de la société Les connaissances et les savoirs sont essentiels pour faire évoluer les sociétés. Ils constituent un élément-clé pour mieux cerner le monde qui nous entoure et mieux comprendre les changements et les défis auxquels nous devons faire face. Le métier de chercheur consiste à exploiter ce gisement intarissable représenté par l’inconnu. Les chercheurs apportent au grand public cette ressource en la modelant de façon à la rendre accessible aux diverses strates de la société. Malgré la multitude de formes imaginées pour interagir, il s’avère que ces dialogues peinent encore à tisser les liens solidaires indispensables entre les différentes parties prenantes pour transformer ensemble le monde. Les citoyens se sentent bien souvent exclus et les scientifiques ont le sentiment de ne pas toujours être bien entendus. La communication ou médiation scientifique, notamment celle liée aux sciences du bois, sciences forestières et sciences de l’environnement, doit aujourd’hui amener à considérer tout public en tant qu’acteur essentiel, en l’invitant à participer aux réflexions scientifiques. Cette ouverture vers le grand public aidera à mieux le préparer aux évolutions de son environnement scientifique tout en développant une pensée critique et rationnelle. Cela amènera tous les citoyens à participer de manière responsable aux grands enjeux sociétaux et environnementaux. C’est donc en introduisant la science dans la société, et vice versa, que les évolutions scientifiques et sociétales seront mieux acceptées. Le travail des chercheurs ne se résume pas uniquement à la publication de leurs expériences et de leurs résultats dans des articles ou tout autre support destiné et réservé uniquement aux univers académique et scientifique. Ce travail de partage de connaissances et savoirs attire le chercheur bien au-delà de cette sphère d’évaluation et de publication nécessaire à la profession. Les chercheurs trouvent des occasions et des solutions pour familiariser le grand public à la démarche scientifique. C’est dans cette perspective que Bois et Forêt des Tropiques s’associe à cette démarche de médiation scientifique et de diffusion des savoirs au sein de la société et vers le grand public. Cette action se traduit par la mise en avant de quelques exemples d’implications de chercheurs des sciences du bois et des sciences forestières. Il est essentiel que le grand public prenne connaissance du fonctionnement des forêts, de leur utilité pour l’environnement, ainsi que des multiples services qu’elles rendent à l’humanité. Pour mieux comprendre tous ces phénomènes observés et les méthodes scientifiques employées, le citoyen a besoin de pratiquer par une mise en situation. Il s’impliquera ainsi plus facilement dans des réflexions collectives relatives aux grands enjeux planétaires et locaux, pour lesquels chacun d’entre nous joue un rôle, qu’il s’agisse de la conservation de la biodiversité, de la protection et de la valorisation des forêts, ou de l’atténuation du changement climatique. Cet engagement sociétal se manifeste par exemple lorsqu’un chercheur intervient auprès d’un jeune public, en accompagnant des enfants à découvrir la démarche scientifique et les postures adoptées dans son travail. C’est ce que nous rapporte l’expérience menée par Candelier et al., en partenariat avec le dispositif « Savanturiers – École de la Recherche », publié ici dans ce numéro de Bois et Forêts des Tropiques. À cette occasion, les auteurs nous décrivent la fraîcheur du candide face à l’inconnu et les nouveaux savoirs qu’ils tentent de faire émerger et d’intégrer avec méthode et rigueur, encadrés par le chercheur. Ce qu’ils nous disent, c’est que cet échange entre la sphère scientifique et la société doit s’adosser aux principes d’une éducation aux sciences et à la démarche scientifique, à un accès équitable à la connaissance, mais aussi, et surtout, à l’incontournable entrelacement collaboratif des différents acteurs en quête de savoirs. Dans ce cas, le chercheur et l’enseignant inscrivent l’élève dans une démarche de pédagogie collaborative tout en le rendant acteur de son auto-apprentissage. Elle déclenche chez l’apprenant les mécanismes pour observer, expérimenter, exposer son jugement et le discuter à travers des jeux, des mises en scène, des ateliers, et via des expériences sensorielles, sociologiques, écologiques. Les possibilités de transmission de savoirs vers la société sont sans limites et parfois même imperceptibles. Elles peuvent apparaître dans des festivals, des expositions, des ateliers pédagogiques, des randonnées nature, dans la presse quotidienne, dans des films, des livres, les bandes dessinées, etc. Les chercheurs sont libres de faire jouer leur imagination et d’utiliser à loisir les médias afin de mieux se connecter avec le citoyen. Cette médiation peut prendre la forme d’une exposition itinérante sur la manière de préserver et de valoriser les forêts d’Afrique centrale, telle qu’organisée par Rossi et Lescuyer (2021), ou un livre adressé au grand public sur les pistes possibles de préservation et de valorisation des forêts tropicales, tel Vivre avec les forêts tropicales rédigé et illustré par le collectif de recherche Forêts et Sociétés (Sist et al., 2021), ou encore un jeu de rôle comme Foster forest (Fouqueray, 2019 et 2020) pour adapter les pratiques professionnelles de la foresterie afin de faire face aux changements climatiques, produit émergeant du parcours d’un doctorant encadré par une équipe de chercheurs. L’énumération serait longue tant elle est foisonnante. Les scientifiques encouragent les différentes strates de la société à s’approprier les savoirs et les connaissances qui les amèneront à prendre des décisions individuelles et collectives éclairées. Par le canal médiatique de Bois et Forêts des Tropiques, ils promeuvent les produits de la recherche autrement que les articles qui y sont publiés traditionnellement. C’est pourquoi paraissent dans les pages de cette revue scientifique et technique des résumés de thèse et des descriptifs techniques. Dans l’avenir, les chercheurs pourront occasionnellement s’y exprimer sous d’autres formes encore, comme l’ont proposé Candelier et al. (2021). Ces efforts de médiation aident à réagir face aux petits et grands défis qui tapissent les paysages de l’environnement dans lesquels nous évoluons tous, tels que les grands changements sociétaux liés à la démographie, le partage des ressources et savoirs, les changements des climats, pour ne citer que ceux-là. L’exposé de ces quelques exemples d’entrelacement sociétal témoignent donc de l’implication quotidienne de la recherche dans la société, et vice versa. Kévin Candelier, Jacques Tassin, Jean-François TrÉbuchon Membres de l’équipe éditoriale de la revue Bois et Forêts des Tropiques
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LEBRUN, Anaïs. "Application du protocole de suivi dendrométrique des réserves forestières à la réserve naturelle nationale de la tourbière des Dauges." Tome 27 | 2018, no. 27 (June 25, 2018). http://dx.doi.org/10.25965/asl.846.

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Abstract:
La Réserve naturelle nationale de la Tourbière des Dauges a été classée par décret ministériel en 1998. D’une superficie de 200 hectares, elle abrite notamment au sein de l’alvéole, 35 hectares d’habitats tourbeux, principale raison de son classement. La majeure partie du périmètre concerne le bassin versant de cet alvéole tourbeux, constitué principalement de boisements (150 ha). Les habitats qui ont justifié le classement en réserve et notamment les habitats tourbeux ont bénéficié de nombreux inventaires et suivis depuis sa création. En revanche, peu de données ont été acquises sur les boisements du bassin versant, notamment la hêtraie à Houx, habitat d’intérêt communautaire qui constitue la plus grande entité forestière homogène et préservée de gestion de la réserve. Connaître et suivre l’évolution des milieux forestiers de la réserve est l’un des objectifs inscrits dans le plan de gestion actuel du site. La mise en place du Protocole de Suivi Dendrométrique des Réserves Forestières (PSDRF) sur le site répond donc aux objectifs de connaissance des milieux forestiers définis dans le plan de gestion de la réserve. L’état initial de conservation de la forêt étudiée a été évalué par la description des peuplements, tandis que l’installation de placettes permanentes permet la réitération du suivi notamment spatio-temporel de la dynamique des peuplements. Le PSDRF a été mis en place sur la hêtraie du Bois du Rocher, réserve naturelle de la tourbière des Dauges, en 2015. Les éléments relevés permettent d’évaluer l’état actuel de conservation de l’entité forestière. Les résultats mettent en exergue une forêt relativement jeune ou des conditions contraignantes (sol pauvre et peu profond), constituée principalement d’arbres de petit diamètre et d’une faible proportion d’arbres sénescents et de bois mort dans le peuplement. Les stades de sénescence, propices à la diversification des micro-habitats favorables à la biodiversité, sont très peu représentés.
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