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Journal articles on the topic 'Résistance aux parasites'

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BAKER, R. L. "Résistance génétique des petits ruminants aux helminthes en Afrique." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 99–110. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3981.

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Abstract:
Certaines races locales de ruminants présentent des aptitudes génétiques particulières à résister et/ou à tolérer les parasites internes. Cet article passe en revue les données encore éparses existant sur les variabilité intra et inter-races de la résistance aux helminthes des bovins, ovins et caprins, et décrit plus précisément les projets de recherches de l’International Livestock Research Institute (ILRI) en matière de résistance génétique aux nématodes gastro-intestinaux des petits ruminants au Kenya, en Ethiopie, au Sénégal . Les agneaux Red Maasai sont plus résistants aux parasites internes que les agneaux Dorper dans la région côtière sub-humide du Kenya. En outre, des variations génétiques intra-race ont été mises en évidence. Les résultats montrent clairement l’intérêt économique de l’élevage de races ovines plus résistantes aux parasites internes dans cette partie du Kenya. Il semble aussi que les caprins Small East African soient plus résistants aux parasites internes que les caprins Galla. En Éthiopie (Debre berhan, 1780 m d’altitude), il n’a pas été mis en évidence de nette différence entre les ovins Menz (race indigène de la région) et les ovins Horro (race introduite des basses régions montagneuses). Cependant, la variabilité intra-race est prometteuse en termes de sélection ultérieure. Au Sénégal, en collaboration avec le CIRAD-EMVT et l’ISRA, des études en ferme ont débuté en 1992 sur différents sites dans la zone nord, aride (Louga, ovins Fulani et chèvres sahéliennes) et la zone humide du sud (Kolda, ovins Djallonké et caprins West African Dwarf). Dans une station expérimentale de Kolda, des accouplements raisonnés à partir de reproducteurs identifiés en ferme, permettront de déterminer des paramètres génétiques de la résistance aux strongles digestifs chez les ovins Djallonké.
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2

Uilenberg, Gerrit. "Lutte intégrée contre les parasitoses animales tropicales." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 2 (February 1, 1996): 124–29. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9529.

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Abstract:
Dans le passé, la lutte contre les parasites était essentiellement basée sur l'utilisation de médicaments et de pesticides. La tendance actuelle est vers une approche plus flexible, intégrant divers autres moyens de combattre ces pathologies. Les raisons principales de cette évolution sont les suivantes : - apparition de résistances des parasites aux composés utilisés ; - ralentissement du développement de nouveaux composés pour compenser ce phénomène de résistance (réglementation de plus en plus stricte sur la toxicité et les résidus) ; - accroissement des coûts des nouveaux produits pour l'utilisateur ; - problèmes liés à la toxicité, à la pollution de l'environnement et aux résidus dans les produits d'origine animale. La gestion intégrée des moyens de lutte contre les parasites utilise, dans la mesure du possible, la lutte biologique et mécanique, la résistance acquise et innée de l'hôte du parasite, ainsi que des procédures mécaniques, sanitaires et réglementaires, même si la lutte chimique ne peut que rarement être complètement abolie.
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3

Benguesmia, Mohamed, Mourad Hamiroune, Aline Chrétien, Françoise Prévot, Christelle Grisez, Jean-Paul Bergeaud, Caroline Lacroux, et al. "Cinétique d’infestation par Haemonchus contortus et réponse d’ovins de races résistante (Martinik Black Belly) et sensible (Lacaune)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 2 (June 29, 2020): 123–31. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31874.

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Abstract:
L’extension de la résistance des nématodes gastro-intestinaux aux anthelminthiques, récemment observée pour Haemonchus contortus, représente un réel problème et rend urgente la recherche de solutions alternatives comme la sélection d’animaux résistants aux helminthes. Tous les cas d’infestations expérimentales mettent en évidence une variabilité individuelle importante dans les excrétions d’oeufs, discriminant bien les individus résistants et les individus sensibles, ce qui permet d’envisager la sélection d’individus résistants dans les races étudiées. Toutefois, la méconnaissance des mécanismes de la réponse immunitaire des ovins vis-à-vis de ces strongles reste un obstacle au développement de cette sélection. Il est acquis que le niveau d’excrétion d’oeufs de parasites dans les matières fécales représente un indicateur pertinent pour évaluer la résistance d’un animal aux strongles. Ce critère a été examiné lors de la présente étude, réalisée avec deux races ovines françaises, la Martinik Black Belly (résistante) et la Lacaune (sensible). Les animaux ont été infestés par voie orale avec une seule dose de 10 000 larves L3 d’H. contortus. La réponse des ovins a fait l’objet d’un suivi lors d’examens ante mortem et post mortem. Les résultats ont montré clairement qu’au cours d’une primo-infestation par H. contortus il y avait une différence significative entre les populations parasitaires (intensité parasitaire et production d’oeufs) et entre certains paramètres physiopathologiques (éosinophilie sanguine et tissulaire) observés chez ces deux races ovines.
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4

Barré, Nicolas, I. Amouroux, Rosalie Aprelon, and T. Samut. "Résistance des strongles gastro-intestinaux aux anthelminthiques dans les élevages caprins en Guadeloupe (Antilles françaises)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 2 (February 1, 1997): 105–10. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9579.

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Abstract:
Des tests de réduction du nombre d'œufs de strongles après traitement anthelminthique ont été réalisés sur 1 057 caprins appartenant à 19 élevages répartis dans diverses zones géographiques de Guadeloupe. Cinq anthelminthiques ont été administrés à une posologie 1,5 à 2 fois celle recommandée pour les ovins : fenbendazole, albendazole, fébantel, tétramisole et ivermectine. Dans tous les élevages, les parasites étaient résistants aux dérivés du noyau benzimidazole. Trois genres de strongles étaient concernés : Haemonchus, qui était dominant et le plus résistant, Trichostrongylus et Oesophagostomum. Le tétramisole et l'ivermectine se sont révélés dans l'ensemble très efficaces. Seul un élevage a été suspecté d'un début de résistance à l'ivermectine. Les conditions tropicales propices au développement des strongles, la rapidité des réinfestations, la fréquence excessive des traitements réalisés avec la même molécule utilisée de façon prolongée et les échanges d'animaux sont des facteurs susceptibles d'avoir favorisé la sélection de strongles résistants en Guadeloupe.
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5

DE LA CHEVROTIÈRE, C., C. MORENO, P. JAQUIET, and N. MANDONNET. "La sélection génétique pour la maîtrise des strongyloses gastro-intestinales des petits ruminants." INRAE Productions Animales 24, no. 3 (July 7, 2011): 221–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2011.24.3.3257.

Full text
Abstract:
La durabilité des systèmes d'élevage tropicaux et tempérés extensifs est à rechercher dans l'équilibre entre le milieu et les productions, animales et végétales. Ainsi, il est judicieux de choisir les animaux pour leur adaptation aux contraintes du milieu, plutôt que de chercher à les en soustraire. Dans ce contexte, les strongyloses gastro-intestinales représentent une contrainte pathologique majeure des petits ruminants, particulièrement en zone tropicale humide. Depuis quelques années, la stratégie d'éradication des parasites a évolué vers une logique de manipulation des équilibres hôtes-parasites dans les systèmes pâturés par combinaison de diverses stratégies. La résistance génétique aux strongles gastro-intestinaux s'inscrit dans cette nouvelle démarche et y tient un rôle majeur. L'objectif de cette synthèse est de souligner les apports de la génétique et de la génomique à la compréhension et à l'exploitation de différences entre individus pour la résistance aux strongyloses gastro-intestinales. Les races locales se révèlent dans la plupart des cas les plus résistantes et les plus productives dans leur milieu. Que ce soit chez des races de milieu tropical ou tempéré, une variabilité génétique intra-race a pu être observée chez les ovins et les caprins. Des critères de résistance exploitables en sélection sont connus chez les ovins comme chez les caprins avec un contrôle génétique comparable. Enfin, la composante immunitaire (complexe majeur d'histocompatibilité notamment) de la résistance est clairement impliquée dans les mécanismes. Cependant, du fait de comportements alimentaires différents, les mécanismes sous jacents pourraient être plus simples et moins efficients chez les caprins. L'information génomique s'accumule mais reste encore difficilement valorisable par les professionnels.
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Bâ, H., and S. Geerts. "La résistance aux benzimidazoles des nématodes gastro-intestinaux des petits ruminants en Gambie et au Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 51, no. 3 (March 1, 1998): 207–10. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9623.

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Abstract:
Cinquante-cinq troupeaux de petits ruminants en Gambie et au Sénégal ont été examinés en utilisant le test d'inhibition de l'éclosion des œufs et/ou le test de réduction des œufs de nématodes dans les fèces afin de détecter une résistance éventuelle aux benzimidazoles. Sur 34 troupeaux villageois exa-minés, quatre cas de suspicion de résistance aux benzimidazoles ont été identifiés. En revanche, chez 21 troupeaux améliorés deux cas de résistance et quatre cas de suspicion de résistance ont été constatés. Cette étude a permis de mettre en évidence pour la première fois des cas de résistance aux benzimidazoles chez les nématodes gastro-intestinaux des petits ruminants auSénégal et en Gambie. Des recherches devraient être faites sur une plus grande échelle afin de mesurer la prévalence de la résistance des nématodes aux anthelminthiques dans la région et de déterminer les espèces de parasites mises en cause.
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Anene, B. M., C. C. Chukwu, and S. M. Anika. "Sensibilité à l'acéturate de diminazène et au chlorue d'isométamidium de trypanosomes isolés de chiens dans la région de Nsukka, Nigeria." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 52, no. 2 (February 1, 1999): 129–31. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9687.

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Abstract:
La sensibilité de trypanosomes à l’acéturate de diminazène (Bérénil) et au chlorure d’isométamidium (Samorin) a été évaluée à deux doses différentes pour chacun des produits (respectivement 7 et 14 mg/kg de poids corporel, et 0,25 et 0,5 mg/kg de poids corporel) chez des souris infectées par voie intrapéritonéale. Les trypanosomes avaient été isolés de chiens cliniquement infectés, après qu’ils aient été amenés à l’hôpital de l’Ecole vétérinaire de l’Université du Nigeria à Nsukka, Etat d’Enugu, Nigeria. Sur les 11 échantillons sanguins infectés testés (10 par Trypanosoma brucei et un seul à la fois par T. brucei et T. congolense), six et huit contenaient des parasites qui ont présenté des niveaux de résistance différents respectivement au Bérénil et au Samorin. Ainsi, trois et cinq échantillons sanguins infectés contenaient des parasites considérés comme ayant un faible niveau de résistance respectivement au Bérénil et au Samorin, alors que trois échantillons pour chacun des produits contenaient des parasites présentant des niveaux de résistance aux trypanocides modérés à importants. Cette résistance des trypanosomes aux doses standard de traitement par les trypanocides laisse présager de sérieux problèmes lors de la réalisation d’une chimiothérapie efficace contre la trypanosomose chez les chiens de cette région.
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BEUGNET, Frédéric. "La résistance aux antiparasitaires chez les parasites des chevaux." Bulletin de l'Académie vétérinaire de France, no. 1 (2006): 77. http://dx.doi.org/10.4267/2042/47815.

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MORENO-ROMIEUX, C., G. SALLÉ, P. JACQUIET, A. BLANCHARD, C. CHYLINSKI, J. CABARET, D. FRANCOIS, et al. "La résistance génétique aux infections par les nématodes gastro-intestinaux chez les petits ruminants : un enjeu de durabilité pour les productions à l’herbe." INRA Productions Animales 30, no. 1 (June 14, 2018): 47–56. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.1.2231.

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Abstract:
La résistance génétique des petits ruminants aux infestations par les nématodes gastro-intestinaux (strongles) peut être sélectionnée puisqu’elle est mesurable indirectement par le comptage d’oeufs dans les fèces, héritable et génétiquement peu ou pas corrélée aux autres critères de sélection. La mise en place d’une telle sélection dans les schémas nécessitera la création de plateformes permettant de faire face au nombre de mesures à réaliser et imposera le suivi de l’évolution de la communauté de nématodes afin de prévenir un contournement potentiel de la résistance de l’hôte par les parasites. La meilleure pratique pour éviter ce contournement est de considérer la résistance génétique comme un levier d’action à intégrer à d’autres stratégies (la nutrition, la gestion des prairies et les traitements anthelminthiques).
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MANDONNET, N., G. AUMONT, J. FLEURY, L. GRUNER, J. BOUIX, J. VU TIEN KHANG, and H. VARO. "Résistance aux strongles gastro-intestinaux des caprins. Influence de différents environnements tropicaux sur l’expression du potentiel génétique de résistance." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 91–98. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3980.

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Abstract:
Dans un proche avenir, il sera nécessaire de disposer d’animaux résistants pour maîtriser les strongyloses gastro-intestinales des petits ruminants, du fait de l’incidence de cette pathologie, quelle que soit la zone d’élevage. Or, bien que l’élevage caprin soit une production importante, notamment en zone tropicale, et très sensible à cette pathologie, la résistance génétique est peu étudiée dans cette espèce. L’objectif du protocole conduit à l’INRA-Antilles-Guyane est de déterminer, après vérification de son existence chez les caprins Créoles, si le même caractère de résistance génétique s’exprime dans des environnements contrastés du point de vue du risque parasitaire et de l’apport fourrager. La résistance de 13 boucs Créoles a été estimée dans 2 systèmes de pâturage, par la moyenne des performances de leurs descendants, aux âges de 6 et 10 mois.Haemonchus contortus et "Trichostrongylus colubriformis" ont été les espèces parasites dominantes. Le déterminisme génétique de la résistance est mis en évidence chez les chevreaux de 6 mois par une tendance à un effet père significatif dans tous les environnements. Le classement relatif des 13 boucs est corrélé dans les 2 milieux nutritionnels favorables : + 0,83 (P<0,001). En revanche, la corrélation n’est pas significative entre les milieux nutritionnels favorables et le milieu nutritionnel défavorable. Ce résultat semble indiquer que des mécanismes biologiques gouvernés par des gènes de résistance différents s’expriment dans un milieu nutritionnel favorable et dans un milieu nutritionnel défavorable. Aucune variabilité génétique n’est mise en évidence sur les mesures à 10 mois du fait d’un niveau d’infestation insuffisant des chevreaux.
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DUCROT, C., J. CABARET, S. TOUZEAU, D. ABRIAL, C. JACOB, H. QUIQUAMPOIX, J. GROSCLAUDE, and L. GRUNER. "Epidémiologie de la tremblante et de l’Encéphalopathie Spongiforme Bovine en France." INRAE Productions Animales 17, HS (December 20, 2004): 67–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2004.17.hs.3630.

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Abstract:
Après avoir brossé un tableau des connaissances actuelles sur les sources de contamination et les voies de transmission des Encéphalopathies Spongiformes Transmissibles (EST), l’article présente l’éventail des travaux réalisés à l’INRA sur la résistance de l’agent pathogène dans le milieu extérieur, les sources d’infection, les voies de transmission et la dynamique de la maladie dans les populations animales, en matière de tremblante et d’Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB). Ces travaux sont menés en collaboration avec de nombreuses équipes nationales et internationales, à travers des projets scientifiques nationaux et européens. Trois approches complémentaires sont poursuivies. Des travaux expérimentaux portent sur la rémanence et la dispersion de la protéine prion dans le sol, ainsi que sur le rôle possible des nématodes parasites dans la contamination des animaux. Des études épidémiologiques de terrain sont conduites pour analyser les facteurs de transmission de la tremblante, relatifs aux rongeurs, acariens du foin, parasites, pratiques d’élevage au sens large et voisinage, et de l’ESB, focalisées sur le rôle de l’alimentation. Enfin, divers modèles mathématiques basés sur les données de terrain permettent de simuler le devenir à long terme des épidémies de tremblante et d’ESB selon différents scénarii, ou de tester certaines hypothèses biologiques quant aux sources de contamination. Les encadrés apportent des éclairages et des résultats sur plusieurs de ces études.
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Hüe, Thomas, Julie Petermann, Jean-Claude Hurlin, Huguette Gaia, and Laura Cauquil. "Etat des lieux des résistances de la tique du bétail Rhipicephalus (Boophilus) microplus (Canestrini) à la deltaméthrine, l’amitraze et la moxidectine en Nouvelle-Calédonie : quelles perspectives de lutte ?" Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 68, no. 4 (May 9, 2016): 167. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31164.

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Abstract:
La tique du bétail, Rhipicephalus microplus, présente sur le territoire calédonien depuis 1942, a un impact important sur la santé des animaux et la rentabilité des élevages. La lutte contre ce parasite, qui reposait jusqu’à présent sur l’utili­sation de produits acaricides, a conduit au développement de résistances aux molécules successivement mises sur le marché. Afin de faire un état des lieux des résistances aux derniers produits utilisés, une enquête basée sur la réalisation de tests vis-à-vis de la deltaméthrine, de l’amitraze et de la moxidectine a été mise en place entre octobre 2013 et septembre 2014. Ses objectifs ont été de faire un point sur l’efficacité de l’amitraze, utilisé depuis 18 ans en Nouvelle-Calédonie, d’évaluer la possibilité de réutiliser la deltaméthrine 10 ans après l’arrêt de sa distribution, et de surveiller l’apparition d’éventuelles résistances aux lactones macrocycliques dont l’usage est actuellement restreint. Selon les critères de résis­tance retenus, la prévalence de la résistance, ou d’un statut intermédiaire, à la deltaméthrine et à l’amitraze ont été respectivement de 25,8 et 23,0 %. Il n’a pas été mis en évidence de résistance à la moxidectine. Dans le cadre du développe­ment progressif des résistances à l’amitraze, la gestion de la lutte contre la tique a été transférée en 2010 au Groupement de défense sanitaire dont une des mis­sions est de mettre en place des programmes de lutte intégrée contre ce parasite. Cet article présente ainsi, en partant des résultats observés, les possibilités d’évo­lution de la gestion de la lutte contre les tiques en Nouvelle-Calédonie, lutte qui doit aujourd’hui passer d’un usage exclusif et régulier des acaricides chimiques au développement d’un ensemble de mesures complémentaires dans le cadre d’une lutte intégrée, pilotée par les professionnels.
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Oliver, A., K. V. Ramaiah, and G. D. Leroux. "Évaluation de lignées de sorgho (Sorghum bicolor) pour leur résistance à la mauvaise herbe parasite Striga hermonthica au Burkina Faso." Phytoprotection 73, no. 1 (April 12, 2005): 13–23. http://dx.doi.org/10.7202/706016ar.

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Abstract:
Des essais en pots et au champ ont été réalisés au Burkina Faso en 1987 pour évaluer la résistance de lignées de sorgho (Sorghum bicolor) vis-à-vis la mauvaise herbe parasite Striga hermonthica. Dans l'expérience en pots, les lignées de cycle court ICSV-1079 BF et ICSV-1078 BF ont présenté un nombre et une biomasse de S. hermonthica inférieurs à ceux du témoin sensible. Cette réaction n'a pas été confirmée dans l'expérience au champ. Aucune lignée ne s'est avérée résistante. Parmi les lignées de cycle moyen, aucune lignée ne s'est démarquée du témoin sensible dans l'expérience en pots. Dans l'expérience au champ, la lignée ICSV-1089 BF a présenté une faible sensibilité au S. hermonthica. Cependant, cette lignée a obtenu de faibles rendements. Aucune des lignées testées ne semble pouvoir être recommandée pour la lutte envers le S. hermonthica dans le sorgho au Sahel. Le cultivar Framida ne saurait être utilisé comme source de résistance au S. hermonthica. Il est urgent d'identifier de nouvelles sources de résistance afin de répondre aux besoins des programmes d'amélioration du sorgho.
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Hüe, Thomas. "La tique du bétail en Nouvelle-Calédonie : synthèse sur 75 ans de présence et 60 ans de recherche. Une histoire locale pour un enseignement global." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 72, no. 3 (October 7, 2019): 123. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31781.

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Abstract:
Alors que les premiers bovins étaient présents depuis le milieu du XIXe siècle en Nouvelle-Calédonie, la tique du bétail, Rhipicephalus (Boophilus) microplus (Canestrini), y fut malencontreusement introduite en 1942. Du jour au lendemain, ce parasite a bouleversé l’élevage bovin, modifié les habitudes des éleveurs et marqué la vie en brousse au rythme des rentrées de bétail pour la baignade acaricide. Soixante-quinze ans plus tard, il façonne encore le paysage calédonien en obligeant une majorité des éleveurs à abandonner les races historiques, trop sensibles à la tique, au profit de races plus résistantes. Les premiers programmes de recherche visant à contrôler ce parasite ont vu le jour il y a près de 60 ans. Ils ont généré des informations permettant de proposer aujourd’hui différents outils aux éleveurs calédoniens pour maintenir leurs élevages malgré cette pression parasitaire. La synthèse des données sur ces décennies de présence de la tique et de recherche indique que les éleveurs ont dû s’adapter à ce problème au risque de voir leur activité mise en péril, mais également que la gestion à venir de ce parasite ne pourra plus reposer uniquement sur l’usage des acaricides chimiques du fait de la résistance développée par R. microplus. Une attention particulière doit être apportée à la détermination des demandes des éleveurs au-delà des besoins identifiés par la recherche et les services techniques, afin de faciliter l’adhésion de tous aux solutions proposées.
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RAVINET, N., C. CHARTIER, H. HOSTE, M. MAHIEU, A. DUVAUCHELLE-WACHE, A. MERLIN, N. BAREILLE, P. JACQUIET, and A. CHAUVIN. "Enjeux et outils du traitement raisonné contre les strongles gastro-intestinaux chez les bovins et les petits ruminants." INRA Productions Animales 30, no. 1 (June 14, 2018): 57–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.1.2233.

Full text
Abstract:
Chez les ruminants élevés au pâturage, les strongles gastro-intestinaux (SGI) peuvent induire des pertes de production, voire des atteintes cliniques chez les animaux non immuns. Le contrôle de l’infestation repose essentiellement sur les traitements anthelminthiques (AH) administrés fréquemment sans évaluation préalable de la réalité du risque parasitaire. Cette synthèse vise tout d’abord à exposer les principaux risques associés à ce recours insuffisamment raisonné aux AH : apparition de populations de parasites résistants aux AH, écotoxicité pour la microfaune prairiale dégradant les fèces, et installation retardée de l’immunité anti-strongles (notamment chez les bovins). Les stratégies de traitement ciblé-sélectif devraient permettre de maîtriser ces risques tout en prévenant les atteintes cliniques et sécurisant les performances des animaux. Il s’agit de rationaliser les traitements AH en ciblant les troupeaux ou les lots et les périodes à risque, et en sélectionnant les individus les plus parasités ou « souffrant » le plus du parasitisme. Cette synthèse vise donc ensuite à décrire les outils et les indicateurs étudiés pour mettre en œuvre de telles stratégies chez les ruminants. Il s’agit d’indicateurs zootechniques (gain moyen quotidien, parité, niveau de production…), cliniques (FAMACHA©, index de diarrhée…), parasitologiques (coproscopie, niveau d’anticorps anti-SGI…), ou d’indicateurs de conduite (modalité de pâturage), et aussi d’outils informatiques (modélisation du recyclage parasitaire). Leur fiabilité et leur opérationnalité sont variables. La mise en place de telles stratégies nécessitera de dépasser les freins à l’acceptation de ces nouvelles pratiques tant au niveau des éleveurs que des vétérinaires prescripteurs. Cet usage raisonné des AH assurerait une meilleure durabilité du contrôle de l’infestation par les SGI.
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Benhamou, N., and K. Picard. "La résistance induite : une nouvelle stratégie de défense des plantes contre les agents pathogènes." Article de synthèse 80, no. 3 (April 12, 2005): 137–68. http://dx.doi.org/10.7202/706189ar.

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Abstract:
Tout au long de leur co-évolution, les plantes et les microorganismes pathogènes ont développé des relations complexes résultant d'un échange constant d'informations moléculaires. Les agents pathogènes ont élaboré toute une gamme de stratégies offensives pour parasiter les plantes et en contrepartie, les plantes ont déployé un arsenal défensif similaire à bien des égards aux défenses immunitaires animales. Les percées récentes en biologie moléculaire et en transformation des végétaux ont démontré que sensibiliser une plante à répondre plus rapidement à l'infection pouvait lui conférer une protection accrue contre des microorganismes virulents. Un aspect important dans la mise en évidence du rôle joué par les molécules de défense au niveau de l'expression de la résistance est une connaissance exacte de leur localisation spatio-temporelle dans les tissus en état de stress. Afin de cerner le processus associé à l'induction de résistance chez les plantes, l'effet d'éliciteurs biologiques, microbiens et chimiques sur la réponse cellulaire des plantes envers une attaque pathogène a fait l'objet d'investigations et les mécanismes impliqués dans le phénomène ont été étudiés. Dans tous les cas, il a été montré qu'une corrélation existait entre la réponse globale de la plante et des changements dans la biochimie et la physiologie des cellules, lesquels étaient accompagnés de modifications structurales incluant la formation d'appositions pariétales riches en callose et l'infiltration de composés phénoliques aux sites de pénétration potentielle par l'agent pathogène. L'activation du sentier des phénylpropanoïdes est un phénomème crucial dans la restriction de la croissance de l'agent pathogène et dans la survie des cellules-hôtes en conditions de stress. Bien qu'il n'existe que peu d'exemples d'application pratique de la résistance induite en tant que méthode de lutte contre les maladies des plantes, les résultats obtenus à partir de quelques expériences menées en plein champ et en serre sont encourageants et indiquent que cette approche a le potentiel de devenir une stratégie de lutte efficace et durable contre toute une gamme d'agents pathogènes.
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BARRÉ, N. "Les tiques des ruminants dans les Petites Antilles : biologie, importance économique, principes de lutte." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (February 7, 1997): 111–19. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3982.

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Abstract:
Deux espèces de tiques tropicales, Boophilus microplus, d’origine asiatique, et Amblyomma variegatum, d’origine africaine, parasitent les ruminants des Antilles, en particulier des Antilles françaises (Guadeloupe et Martinique). Elles sont vectrices de diverses maladies : babésioses et anaplasmose pour Boophilus, theilérioses bénignes et cowdriose pour Amblyomma. De plus Amblyomma est associé aux formes cliniques sévères, fréquemment mortelles, de la dermatophilose. En Guadeloupe, où la majorité des bovins sont de type créole, hautement résistants à ces maladies, mais où les caprins paient un lourd tribut à la cowdriose, le préjudice annuel généré par les tiques est estimé à 13,8 MF. Alors que Boophilus a couvert dans les Antilles et sur le continent l’ensemble de son aire de distribution potentielle, Amblyomma, l’espèce la plus pathogène, n’est encore présente que dans les Petites Antilles et à Porto Rico. Encore confinée à 4 îles au milieu de ce siècle, elle a infesté 14 îles nouvelles au cours des 25 dernières années. De fortes présomptions permettent de penser que le Héron garde-boeufs, arrivé dans les Petites Antilles à la fin des années 50 depuis l’Afrique, largement répandu dans la Caraïbe, pourrait être à l’origine de l’accélération récente de la propagation de la tique dans la région. Celle-ci menace le continent américain et les Grandes Antilles. Malgré de grandes capacités de diffusion régionale sur ses hôtes, cette tique a une productivité numérique, donc un pouvoir d’installation et de colonisation, bien moindre que Boophilus. Dès l’apparition d’un foyer, la mise en place de mesures adaptées peut donc efficacement entraver son développement. Là où elle est établie, des mesures rigoureuses doivent permettre de rompre son cycle de développement et de détruire définitivement ses populations. De plus, elle ne semble pas manifester actuellement de phénomène de résistance aux acaricides, et elle est, au stade adulte, assez spécifique des animaux domestiques de grande taille. Ceci est en faveur de la mise en oeuvre d’une stratégie de lutte ayant pour objectif un programme d’éradication spécifique basé sur l’application régulière d’acaricides sur ses hôtes domestiques.
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Gheysen, Godelieve, Jan De Meutter, Tom Tytgat, and August Coomans. "Sedentary endoparasitic nematodes as a model for other plant parasitic nematodes." Nematology 2, no. 1 (2000): 113–21. http://dx.doi.org/10.1163/156854100508827.

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Abstract:
AbstractPlant parasitic nematodes are known to cause a severe reduction in crop yield. Recently much effort is being put to engineering new nematode-resistant crop cultivars. Plant parasitic nematodes occur in three widely separated orders: Triplonchida, Dorylaimida and Tylenchida. All triplonchid and dorylaimid plant parasitic nematodes are migratory ectoparasites of roots. Within the Tylenchida, several different types of plant parasitism can be recognised. The sedentary endoparasites have the most complex interaction with their host, and are responsible for the vast majority of the agricultural damage. This causes most research to be concentrated on two groups of the sedentary endoparasitic nematodes: cyst- and root-knot nematodes. Both induce specialised feeding structures in the vascular cylinder of the plant root. The mechanism of phytoparasitism of the cyst- and root-knot nematodes is reviewed, of which some aspects will be applicable to the study of the other plant parasitic nematodes. Les nématodes parasites de plantes sont connus pour provoquer de sévères réductions dans les rendements des cultures. Actuellement, un effort se développe pour créer de nouveaux cultivars résistants aux nématodes. Les nématodes parasite de plantes appartiennent à trois ordres très éloignés: Triplonchida, Dorylaimida et Tylenchida. Tous les nématodes parasites de plantes chez les Triplonchida et Dorylaimida sont des ectoparasites migrateurs. Chez les Tylenchida, plusieurs types différents de parasitisme peuvent être identifiés. Les endoparasites sédentaires ont l’interaction la plus complexe avec leur hôte et sont responsables de la plus grande part des dégâts agricoles. C’est la raison pour laquelle la plupart des recherches sont concentrées sur deux groupes de nématodes endoparasites sédentaires, les nématodes à kystes et les nématodes galligènes. Ces deux groupes induisent des structures d’alimentation spécialisées dans les tissus vasculaires de la racine végétale. Le mécanisme parasitaire des nématodes à kystes et galligènes est revu, certaines de leurs caractéristiques pouvant être applicables à l’étude des autres nématodes phytoparasites.
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Banville, Gilbert. "La pomme de terre au Québec de 1908 à 2008 : un siècle de protection contre les maladies." Phytoprotection 89, no. 2-3 (November 20, 2009): 73–75. http://dx.doi.org/10.7202/038234ar.

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Abstract:
Les faits saillants survenus par rapport à la pomme de terre au cours de ce siècle sont traités selon un ordre chronologique relatif et présentés sur trois tableaux, chacun couvrant environ 33 ans. Sur le premier, on voit que les grandes superficies, les rendements pitoyables et la destruction quasi annuelle du feuillage par les maladies et les insectes ont placé les arrosages au premier rang des activités de protection jusque vers 1942. La connaissance des virus est rudimentaire et la production de semences saines pointe à l’horizon. Le deuxième tableau s’étend jusque vers 1975. On assiste au déplacement de la production des semences de base sur la Côte-Nord du Québec. Avec les nouvelles variétés apparaissent de nouvelles maladies. Pendant que plane partout le spectre du flétrissement bactérien, l’importance accordée aux virus fait oublier les organismes telluriques qui s’attaquent aux tubercules fragilisés par l’immaturité et les blessures. Plusieurs esquisses constituent le troisième tableau qui conduit à 2008. Virus S, filosité et flétrissement bactérien ont secoué les systèmes. La lutte aux maladies fongiques fait de grands pas grâce à la prévention des blessures. La protection de la pomme de terre devient étroitement liée aux bases physiologiques du plant et du tubercule, nouvelle forme de lutte intégrée contre l’underground : rhizoctonie, gale commune et verticilliose. Le nématode doré apparaît au Québec en 2006. En contrepartie, la toute première variété jamais crée au Québec, ‘Aquilon ‘, est résistante à ce redoutable parasite.
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Faucon, J. P., P. Drajnudel, and C. Fléché. "Varroose : mise en évidence de la résistance du parasite aux acaricides par la méthode de «détermination du temps létal moyen»." Apidologie 27, no. 2 (1996): 105–10. http://dx.doi.org/10.1051/apido:19960205.

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Bélair, Guy. "Les nématodes, ces anguillules qui font suer les plantes... par la racine." Conférences [Symposium : Santé des racines, santé des plantes. Société de protection des plantes du Québec. 97e Assemblée annuelle (2005) Gatineau (Québec), 9 et 10 juin 2005] 86, no. 1 (November 22, 2005): 65–69. http://dx.doi.org/10.7202/011717ar.

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Abstract:
Les nématodes phytoparasites ou anguillules sont d’importants ravageurs des plantes en agriculture. À l’échelle de la planète, les nématodes occasionnent plus de 100 milliards de dollars en perte de production annuellement. Ces petits vers microscopiques, tous munis d’un stylet creux, sont transparents et mesurent de 300 à 1500 μm de longueur et de 15 à 35 μm de diamètre. Leur petit diamètre ne permet pas de les voir à l’oeil nu, mais ils sont facilement observables sous la loupe binoculaire. Au Canada, on rapporte un total de 19 genres et 37 espèces de nématodes associés à une maladie des plantes. La majorité, soit 16 genres et 31 espèces, parasitent le système racinaire des plantes. Ils peuvent occasionner des dommages à la plante variant de négligeables jusqu’à une perte totale. La sévérité des dommages occasionnés aux plantes est reliée à plusieurs facteurs comme la combinaison plante-nématode et aussi aux facteurs environnementaux comme les précipitations, le type de sol et les pratiques culturales. Dans leur processus de nutrition, ils ponctionnent à l’aide de leur stylet le système racinaire de la plante, ce qui diminue la capacité d’absorption de l’eau et des éléments nutritifs dans le sol. Des symptômes typiques d’un dommage causé par les nématodes sont une réduction du système racinaire, une distorsion de la structure racinaire ou l’augmentation du diamètre des racines. Parmi les ravageurs prépondérants, mentionnons les espèces endoparasites suivantes : le nématode cécidogène du nord Meloidogynehapla Chitwood, le nématode des lésions Pratylenchuspenetrans (Cobb) Filipjev & Schuurmans-Stekhoven, le nématode des tiges et des bulbes Ditylenchus dipsaci (Kühn) Filipjev, le nématode dague Xiphinema rivesi Dalmasso, et le nématode à kystes du soja Heterodera glycines Ichinohe. Même s’ils sont répertoriés au Canada, certains nématodes comme le nématode doré de la pomme de terre Globodera rostochiensis (Wollenweb.) Behrens et G.pallida (Stone) Behrens sont des organismes de quarantaine et doivent être interceptés par l’Agence canadienne d’inspection des aliments afin de limiter leur distribution sur le territoire. Au Canada, le contrôle des nématodes s’effectue avec des méthodes culturales (ex. rotation, résistance) et chimiques.
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Kulshrestha, Anvita. "Influence of major histocompatibility complex (MHC) on human mating preferences." Journal of Student Science and Technology 10, no. 2 (November 15, 2017). http://dx.doi.org/10.13034/jsst.v10i2.136.

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Abstract:
Several studies related to vertebrates have revealed that highly polymorphic genes within the Major Histocompatibility Complex (MHC) may play a role in mate choice. Females gain direct or indirect fitness benefits by choosing between males with traits that are expressed from good genes, as females can obtain good genes for their offspring by mating with males whose genes are compatible or complementary to their own. There is a tendency for humans to prefer MHC-dissimilar mates, as it would favour the production of heterozygous offspring who would be more resistant to pathogens. This phenomenon has been reviewed on the similar concepts of the influence of MHC genes on human mating preferences, with potential but largely unknown in offspring fitness. The qualitative method can include surveying and interviewing people about their mate choices i.e. females select males with heterozygosity MHC genes over males with homozygous MHC genes. Chi-square test can be performed for statistical analysis. Mating with a MHC dissimilar individual can produce MHC heterozygous offspring that has strong immunocompetence against several parasite types. A heterozygous MHC gene combination has more capability to identify rapidly evolving parasites, which can escape recognition by immune systems containing common alleles.Plusieurs études reliées aux vertébrés ont révélé que les gènes extrêmement polymorphes au sein du complexe majeur d’histocompatibilité (MHC) peuvent jouer un rôle dans le choix d’un partenaire. Les femmes tirent des avantages directs ou indirects de valeur sélective en choisissant entre les hommes dont les traits sont exprimés avec les bons gènes, comme les femmes peuvent obtenir de bons gènes pour leur progéniture par accouplement avec des mâles dont les gènes sont compatibles ou complémentaires à leurs propres. Il y a une tendance pour les humains de préférer les camarades MHC-dissemblables, car ceci favoriserait la production de descendants hétérozygotes qui seraient plus résistants aux pathogènes. Ce phénomène était étudié sur les concepts similairesde l’influence des gènes du MHC sur les préférences d’accouplement humaines, avec un potentiel largement inconnu dans la valeur sélective de la progéniture. La méthode qualitative peut comprendre une enquête et l’interrogation des gens sur leur choix de partenaire, par ex. les femelles choisissent les mâles avec des gènes du CMH hétérozygote sur les hommes ayant des gènes du CMH homozygotes. Le test du chi carré peut être effectué pour faire l’analyse statistique. L’accouplement avec une personne avec un différent CMH peut produire la progéniture CMH hétérozygote qui a une forte immunocompétence contre plusieurs types de parasites. Une combinaison de gènes CMH hétérozygotes a plus de capacité d’identifier les parasites qui évoluent rapidement, qui peuvent échapper à la reconnaissance par le système immunitaire contenant des allèles communs.
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