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Journal articles on the topic 'Ressemblance (Philosophie) dans l'art'

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1

Wunenburger, Jean-Jacques. "L’idole au regard de la philosophie des images." Protée 29, no. 3 (April 12, 2005): 7–16. http://dx.doi.org/10.7202/030633ar.

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Abstract:
L’idole est une image paradoxale : image suprême, autosuffisante, elle inaugure aussi la mort de l’image qui ne vit que d’un rapport de dissemblance dans la ressemblance. Toute la philosophie de l’image en Occident, grecque (chez Platon), chrétienne (dans l’incarnation), moderne (dans l’esthétique du sublime), n’a peut-être fait que commenter ce paradoxe en reprenant sans cesse le patient travail de classification et de hiérarchisation des images afin de les sauver de leur contrefaçon idolâtre.
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2

Danto, Arthur C. "Le corps dans la philosophie et l'art." Cités 26, no. 2 (2006): 129. http://dx.doi.org/10.3917/cite.026.0129.

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3

Ancori, Bernard. "Espace-temps d’un réseau sociocognitif complexe." Nouvelles perspectives en sciences sociales 3, no. 2 (April 17, 2009): 113–81. http://dx.doi.org/10.7202/602478ar.

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Abstract:
Résumé Ce texte analyse les frontières et la structure interne de l’espace d’un réseau sociocognitif complexe. À cette fin, il définit rigoureusement la notion de ressemblance entre acteurs d’un tel réseau en proposant une spécification de la manière aujourd’hui la plus satisfaisante d’exprimer mathématiquement la ressemblance entre deux objets : celle qu’exprime la notion duale de distance informationnelle définie dans le cadre de la complexité algorithmique. Dans ce cadre, deux objets sont d’autant plus semblables que l’on passe facilement de la description de l’un à la description de l’autre, et réciproquement. Dans le cas d’un réseau complexe d’acteurs cognitifs individuels, ce degré de ressemblance entre acteurs s’identifie à leur propension à communiquer. Cette propension exprime une probabilité conditionnelle à une situation réticulaire donnée et situe chaque acteur par rapport aux autres dans l’espace ainsi défini. Elle confère donc une structure au réseau, et cette structure exprime le présent de ce dernier comme une tension dialectique entre passé et avenir de son évolution temporelle. Ce concept de propension à communiquer constitue ainsi une formalisation de la notion de présent spécieux analysée aujourd’hui par la philosophie de l’esprit et les sciences cognitives, et il fonctionne comme un marqueur spatiotemporel dans l’évolution du réseau sociocognitif complexe.
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4

Charles, Syliane. "Réconciliation et dépassement de l’art par la philosophie chez Hegel : une analyse critique." Philosophiques 25, no. 1 (August 8, 2007): 49–61. http://dx.doi.org/10.7202/027471ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Hegel attribue à l'art et à Ia philosophie une même tâche dans l'histoire de l'Esprit, celle de « réconcilier » les opposés. Nous expliquerons de quels éléments à médiatiser il s'agit, et une étude détaillée de textes de l'Introduction à l'Esthétique nous amènera à critiquer le moment de la transition vers la philosophie, celui de la poésie romantique. Nous suggérerons en particulier que l'emploi de deux critères différents pour établir la hiérarchie des arts et des formes empêche Hegel de justifier réellement le dépassement de l'art par la philosophie ainsi que la supériorité de la réconciliation philosophique.
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Ribeiro dos Santos, Leonel. "O Retorno ao Mito. Nietzsche, A Música e a Tragédia." Philosophica: International Journal for the History of Philosophy 1, no. 1 (1993): 89–111. http://dx.doi.org/10.5840/philosophica1993117.

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Abstract:
L'auteur essaie de montrer comment le projet nietzschéen déployé dans La naissance de la tragédie (1872) doit être compris à l'intérieur d'un mouvement spéculatif de retour au mythe, en cours dans la philosophie européenne depuis Kant. Ce mouvement se caractérise par le rôle qu'on attribue alors à l'art, comprise soit comme l'expression suprême de la subjectivité, de l'esprit (Gemüt) et de la volonté, soit comme la révélation même de l'Absolu, de l'Etre et de la Nature. Dans l'oeuvre de Nietzsche c'est la musique - l'art romantique par excellence - qui, s'instituant d'abord comme "mythe et monde de symboles", mène la raison et la philosophie à la rencontre du sens du mythe tragique ancien et, par là, aussi à la rencontre de leur lieu d'origine, à la fois historique et essentiel, dans le mythe même.
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6

Nouailles, Bertrand. "La portée ontologique et épistémologique de l'art dans la philosophie de Ravaisson." Cahiers philosophiques 129, no. 2 (2012): 22. http://dx.doi.org/10.3917/caph.129.0022.

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7

Bouchard, Guy. "Gilson, l’oeuvre d’art et le roman." Articles 9, no. 2 (January 9, 2007): 195–221. http://dx.doi.org/10.7202/203192ar.

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Abstract:
Résumé La philosophie de l'art d'Étienne Gilson n'accorde aucune place au roman. Après avoir dégagé les raisons de ce rejet et en avoir dévoilé les présupposés, nous montrons que le roman a droit de cité dans la sphère des arts majeurs, et ce même à partir des principes de la théorie de Gilson.
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8

Jeanmart, Gaëlle. "L'art du combat dans la philosophie occidentale : de la dialectique antique à la dispute scolastique." Le Télémaque 31, no. 1 (2007): 35. http://dx.doi.org/10.3917/tele.031.0035.

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9

Zarader, Jean-Pierre. "Identité et résistance: fondements et enjeux philosophiques." Alea : Estudos Neolatinos 11, no. 1 (June 2009): 13–23. http://dx.doi.org/10.1590/s1517-106x2009000100002.

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Abstract:
La résistance est toujours résistance à une hégémonie ou à une homogénéisation, à ce que Derrida nomme une "homohégémonie". Elle entre toujours en résistance à la figure de la maîtrise - et d'abord dans le domaine de la culture. C'est contre la prétention hégémonique de la raison hégélienne - et donc de l'universel -, entendue comme l'identité absolue à soi, que la philosophie contemporaine entre en résistance. Elle s'efforce, en effet, renonçant au fantasme d'une pureté originaire, de penser une identité qui non seulement accueille une altérité mais se laisse altérer par elle. Qu'il s'agisse de jazz ou de langue, d'interprétation (Adorno et Patrick Williams) ou de traduction (Walter Benjamin), qu'il s'agisse même de l'art contemporain et de son rapport au Musée (Breton, Picasso, Malraux), c'est toujours dans la résistance que se constitue une véritable identité - qui est refus d'une clôture sur soi.
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10

Charles, Sébastien. ". Geneviève Brykman (dir.), Ressemblance et dissemblances dans l’empirisme britannique , Nanterre, Publications du Département de Philosophie Paris X-Nanterre (coll. « Le temps philosophique » n° 6), 1999, 172 p." Philosophiques 26, no. 2 (1999): 376. http://dx.doi.org/10.7202/004908ar.

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Melo, Danilo Augusto Santos. "Bergson e os paradoxos do tempo, ou como o cinema faz pensar ( Bergson et les paradoxes du temps, ou comme le cinéma fait penser)." Estudos da Língua(gem) 12, no. 1 (June 30, 2014): 9. http://dx.doi.org/10.22481/el.v12i1.1237.

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Abstract:
Este artigo apresenta de modo breve os principais conceitos da filosofia de Henri Bergson em relação à gênese do tempo e sua proximidade com a experiência do pensamento. O ponto de intercessão entre tempo e pensamento se dá aí pelo caso da memória e sua relação paradoxal com a percepção, onde a sucessão cronológica do presente e do passado é substituída pela coexistência virtual. Por fim, será esta relação que encontraremos no cinema, o qual se constituirá como a arte que faz disparar a experiência do pensamento através de suas imagens-tempo.PALAVRAS-CHAVE: Bergson. Tempo. Pensamento. Cinema. RÉSUMÉ Cet article présente brièvement les principaux concepts de la philosophie de Henri Bergson en ce qui concerne la genèse du temps et sa proximité avec l'expérience de la pensée. Le point d'intersection entre le temps et la pensée est donné ici par le cas de la mémoire et sa relation paradoxale avec la perception où la succession chronologique de la présente et le passé est remplacé par la coexistence virtuelle. Enfin, c'est cette relation que l'on retrouve dans le cinéma, qui constituera l'art qui pousse l’expérience de la pensée à travers votre images-temps.MOTS-CLÉS: Bergson. Temps. Pensée. Cinéma.
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Assayag, Jackie. "Modernisation de la caste et indianisation de la démocratie: le cas des Lingayat." European Journal of Sociology 27, no. 2 (November 1986): 319–52. http://dx.doi.org/10.1017/s0003975600004641.

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Abstract:
À travers les âges, l'unité de l'lnde — « India is one » disait Dumont — a été symbolisée par une continuité culturelle enchâssée dans une structure sociale fondamentalement religieuse, comme l'exprimait Srinivas: « The concept of the unity of India is essentially a religious one », mais l'on peut ajouter que la structure de cette tradition a contribué à la projection d'une image unifiée de la civilisation qui a atteint le point de son plus haut développement à la fin de la période Gupta. Non qu'il n'y ait pas eu de changements, mais, vers la fin de cette période, la plupart des traités systématiques dans les champs de la réligion, de la littérature, de l'art, de la science et de philosophie ou de l'éthique s'étaient cristallisés dans ce qu'on a pu recemment appeler la « Grande Tradition ». Les périodes qui suivirent revinrent à une particularisation graduelle des institutions et des valeurs à l'intérieur de la tradition culturelle hindoue et aboutirent, dans certains cas, à des phénoménes de segmentarisation de cette « Grande Tradition ». Le centre de l'effervescence culturelle émigra du nord au sud de l'lnde et se régionalisa, donnant lieu a des mouvements hétérodoxes de reformulation et de reinterpretation des croyances socio-religieuses et des structures rituelles fondamentales de l'hindouisme. Sous la poussée des divers mouvements de bhakti, des saints-philosophes comme Śankara, Rāmānuja, Madhya rapprochérent la « Grande Tradition » du peuple, tout en modifiant son enseignement et en orientant leurs efforts vers un mouvement plus libéral vis-à-vis des Śūdra ou des basses castes; comme l'exprimait Stein: « In the eleventh century […] doctrinal issues come to be related quite directly to the place of Sūdrain the sect » (Stein 1968, p. 83).
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Dumouchel, Daniel. "A. G. Baumgarten et la naissance du discours esthètique." Dialogue 30, no. 4 (1991): 473–502. http://dx.doi.org/10.1017/s0012217300011823.

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Abstract:
L'Æsthetica de Baumgarten est restée depuis plus de deux cents ans dans l'ombre de la «révolution» au moins nominale qu'elle a représentée pour l'histoire de la philosophic moderne. Et de fait, Baumgarten doit moins son importance historique à l'évaluation rigoureuse qu'on a pu faire des concepts qu'il a contribué à développer, qu'à l'ouverture d'un champ théorique et philosophique particulier. Car quelles que soient les limites et les lacunes historiques de son projet théorique, il n'en reste pas moins qu'une grande partie de la tradition philosophique de l'esthétique, en particulier dans le contexte de la philosophie allemande, y a trouvé la possibilité d'une unification et comme la marque d'une «origine». C'est Baumgarten qui, le premier en Allemagne, a réuni les conditions nécessaires pour assurer à la théorie de l'art et du beau une cohérence systématique qui lui avait été auparavant refusée et, par voie de conséquence, pour lui permettre de former un champ théorique et philosophique distinct. On a souvent fait remarquer que Baumgarten avait «inventé» très peu de thèmes nouveaux en esthétique; et il est indéniable qu'il s'est contenté la plupart du temps de réorganiser, dans ses observations, un matériau à la fois ancien et restreint, qu'il tire presque exclusivement de la rhétorique et de la poétique traditionnelles. Mais la pertinence historique de sa pensée tient plutôt au fait qu'il crée une nouvelle perspective unifiée, un nouveau centre de gravité qui permet d'organiser de façon neuve un ensemble de phénomènes qui avaient été traités avant lui de façon indépendante.
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Abi-Rached, Naoum. "La poesie dialectale libanaise." Hawliyat 9 (December 24, 2018): 39–56. http://dx.doi.org/10.31377/haw.v9i0.304.

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Abstract:
Pendant longtemps, dans les pays arabes et dans les esprits de certains, la prose fut considérée comme un genre mineur ; seul l'art poétique méritait bien ses lettres de noblesse. Il s'agit d'une idée dont les racines remonteraient à la période antéislamique qui aurait réservé à la poésie et aux poètes une place de prédilection. Par la suite, avec l'avènement de l'islam et sous les quatre premiers califes, la poésie se fit plus discrète pour revenir plus forte que jamais avec les Omeyyades et puis avec les Abbassides. La période dite de décadence que nous situons schématiquement entre le XIIIe et le XIXe siècle, n' a pas dérogé à cette règle. Les Mille et Une Nuits, que certains considèrent comme le chef-d'œuvre par excellence de la littérature de l'imaginaire populaire arabe, ne sont toujours pas classées par les spécialistes arabes dans le genre « sérieux » ; cette œuvre est rangée sous la rubrique du conte populaire. Les reproches formulés par l'intelli- gentsia al-&üssa à l'encontre des Mille et Une Nuits et de toutes les œuvres qui appartiennent au même genre soutiennent que ni les thèmes traités ne sont nobles, ni la langue utilisée n'est correcte ni soutenue. La conclusion en fut qu'il s'agit bien là d'un genre mineur destiné à amuser le peuple et à alimenter l'ima- ginaire du vulgum pecus ou la 'âmma. Durant les siècles qui ont précédé la renaissance Nama, la prose, lorsqu 'elle n'avait pas pour objet la philosophie falsafa, la grammaire, les sciences de la religion, l'exégèse coranique ou les sciences d'une manière plus large, et qu'elle ne satisfaisait pas aux principes de l'éloquence et de la rhétorique Fasâ&a et balâàa, n'appartenait pas au corpus du adab au sens noble du terme.
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Hagelstein, Maud. "Percevoir et reconnaître des symboles : La théorie de la représentation iconique de Dominic Lopes." Numéro 2: L'acte d'imagination: Approches phénoménologiques (Actes n°10), January 1, 2017. http://dx.doi.org/10.25518/1782-2041.965.

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Abstract:
Dans ses travaux sur la valeur épistémique des images (Understanding Pictures, 1996), Dominic Lopes (Département de philosophie, Université de Colombie Britannique) développe une esthétique analytique essentiellement tournée vers la représentation iconique, pour la compréhension de laquelle il confronte généralement deux modèles. Selon le premier de ces modèles, inspiré d’une approche perceptuelle comme celle de Richard Wollheim, les images dépendent de processus perceptifs (le perceptualisme repose sur l’idée d’une « ressemblance » entre l’image et ce qu’elle représente). Le défaut de ce modèle serait néanmoins de se fier de manière trop naïve au caractère naturel de la perception. La représentation iconique ne peut pas être expliquée par la seule perception, la vision étant bien entendu informée par les dimensions culturelle et surtout cognitive. En ce sens — et il faudra dans les lignes qui suivent pouvoir montrer pourquoi —, la reconnaissance iconique diffère de la reconnaissance visuelle ordinaire. Selon le deuxième modèle, qui mobilise les outils d’une approche symbolique comme celle de Nelson Goodman, la représentation iconique fonctionne en analogie avec d’autres types de symboles, notamment linguistiques. Une telle approche part des similitudes entre les images et le langage, en tant que représentations fonctionnant semblablement par dénotation et prédication. Or, on connaît les résistances actuelles des théoriciens de l’image à l’égard du paradigme langagier : le risque d’une confrontation avec le langage serait — selon certains défenseurs de l’iconic turn — de perdre la densité sémantique de l’image, au profit d’une « simple » capacité descriptive. Entre ces deux voies, D. Lopes développe sa « théorie de la reconnaissance d’aspect », qui incorpore des éléments perceptifs à une structure de compréhension symbolique. Si les images appartiennent bien à des systèmes symboliques de dénotation, « il est possible qu’elles soient des symboles dont la référence dépend de l’exercice d’aptitudes perceptives ». Mon article voudrait étudier cette proposition. La théorie de Lopes permet d’expliquer l’acquisition de compétences (capacités de reconnaître) par les images, et de montrer comment les images installent progressivement ces compétences.
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