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1

Demers, Jeanne. "Ars poetica. Ars poesis." Études littéraires 22, no. 3 (April 12, 2005): 7–10. http://dx.doi.org/10.7202/500908ar.

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Abstract:
Au Moyen Âge, la Musique chante l'unité du savoir et de l'être. Quand, au XIV e siècle, être et savoir se distancient l'un de l'autre, entraînant avec eux théorie et pratique, matière et forme, la «littérature» émergente joue un rôle d'articulation entre ces dichotomies. Les Arts de seconde rhétorique disent comment la poésie prend en quelque sorte le relais de la Musique au sein d'une économie marchande, et comment elle lutte contre l'hégémonie grandissante de la prose.
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Cullin, Olivier, and Christelle Chaillou. "La mémoire et la musique au Moyen Âge." Cahiers de civilisation médiévale 49, no. 194 (2006): 142–61. http://dx.doi.org/10.3406/ccmed.2006.2936.

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3

Russo, Daniel. "Les inventions de la musique au Moyen Âge, conclusions." Bulletin du Centre d’études médiévales d’Auxerre, no. 14 (May 18, 2010): 149–56. http://dx.doi.org/10.4000/cem.11531.

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4

Cazaux-Kowalski, Christelle. "Musique dans les abbayes et les cathédrales du Moyen Âge." École pratique des hautes études. Section des sciences historiques et philologiques. Livret-Annuaire, no. 141 (February 2, 2011): 207. http://dx.doi.org/10.4000/ashp.1010.

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5

Cazaux-Kowalski, Christelle. "Musique dans les abbayes et les cathédrales du Moyen Âge." École pratique des hautes études. Section des sciences historiques et philologiques. Livret-Annuaire, no. 140 (October 1, 2009): 226. http://dx.doi.org/10.4000/ashp.715.

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6

Grévin, Benoît. "Les mystères rhétoriques de l’État médiéval. L’écriture du pouvoir en Europe occidentale (XIIIe-XVesiècle)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 63, no. 2 (April 2008): 271–300. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900026925.

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Abstract:
RésuméL’analyse de la rhétorique solennelle du pouvoir au bas Moyen Âge (XIIIe-XVesiècle) pose des problèmes spécifiques liés à la coexistence de textes administratifs et politiques entièrement dépendants de formulaires figés avec une rhétorique d’apparat ménageant les possibilités d’une inventivité plus grande dans le respect des normes stylistiques en usage dans les diverses chancelleries. L’analyse des techniques de rédaction de ces derniers texts montre qu’ils dépendent de l’exploitation de recueils textuels d’un type particulier – lessumme dictaminis– en fonction de procédés de recréations textuelles sophistiqués permettant de recomposer un document en apparence original à partir d’un ou plusieurs modèles donnés. Cet art de la variation rhétorique est dépendant d’une mémorisation intensive du contenu dessummequi renvoie à une culture pratique du monde des chancelleries encore à explorer.
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Riou. "LA MUSIQUE ET LA POÉSIE LATINE CLASSIQUE DANS LE HAUT-MOYEN ÂGE." Revista de Musicología 16, no. 4 (1993): 2198. http://dx.doi.org/10.2307/20796078.

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8

Vickers, Brian. "Pour une véritable histoire de l'éloquence." Études littéraires 24, no. 3 (April 12, 2005): 121–52. http://dx.doi.org/10.7202/500989ar.

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Abstract:
Certains historiens modernes de la rhétorique mésestiment le rôle de l'éloquence : ils oublient que l' elocutio , exercice verbal de la persuasion, était considérée comme la fonction la plus importante. Au Moyen Âge et à la Renaissance, la rhétorique n'avait rien d'une théorie abstraite : il s'agissait d'un outil. Son ignorance du rôle vital de la rhétorique au XVIe siècle fait de l'ouvrage de Wilbur Samuel Howell, Logic and Rhetoric in England . 1500-1700 , un exemple typique de cette approche historique inadéquate. Thomas Whitfield Baldwin rétablit la perspective : tous les écrivains de l'époque avaient étudié l' elocutio et appris systématiquement par cur les tropes et les figures, en Angleterre aussi bien qu'en Europe. La Renaissance, qui redécouvrait les classiques, prenait la rhétorique au sérieux; à la suite d'Isocrate et de Cicéron, elle considérait la parole comme le fondement essentiel de la vita activa , et soulignait sa contribution à la bonne marche de la société.
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Michel, Alain. "Dire la beauté de Dieu : rhétorique et poétique dans le latin médiéval." Études littéraires 24, no. 3 (April 12, 2005): 25–36. http://dx.doi.org/10.7202/500983ar.

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Abstract:
La rhétorique peut-elle aider à exprimer l'ineffable? L'antiquité païenne apporte deux leçons opposées. Pour Platon (Phèdre) , la vérité ne peut être atteinte que par la dialectique et le mythe. Pour les poètes, comme Homère, le sublime s'atteint par la simplicité. Quant à la Bible, elle unit toutes les nuances du sublime et de l'humilité. Leçons qui ne seront pas oubliées au Moyen Âge où l'on accordera les traditions antiques et bibliques. Saint Augustin et le Pseudo-Denys, l'un latin, l'autre grec, sont à la source de cette tradition littéraire de la conciliation qui vivra durablement en Europe, et se réalisera d'abord dans la poésie liturgique et religieuse.
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Doudet, Estelle. "Le Jardin de Rhétorique. L’arbre, le prince et l’écrivain à la fin du Moyen Âge." Questes, no. 4 (May 15, 2003): 6–8. http://dx.doi.org/10.4000/questes.1749.

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Mithout, Anne-Lise. "Les musiciens aveugles itinérants au Japon du Moyen Âge au XXe siècle." Canadian Journal of Disability Studies 8, no. 6 (December 19, 2019): 87–107. http://dx.doi.org/10.15353/cjds.v8i6.581.

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Abstract:
Au Japon, il existe depuis les temps antiques une forte association entre déficience visuelle et musique. Les musiciens aveugles ont à la fois marqué la culture populaire, en inspirant de nombreux personnages de fiction, et apporté une contribution majeure à l’histoire littéraire et musicale du Japon. Cet article est une revue de littérature qui vise à explorer pourquoi et comment la figure du musicien aveugle a marqué l’imaginaire historique au Japon. Le terme « aveugle » employé dans ce texte n’est pas à entendre comme une catégorie médicale visant à définir les personnes concernées par leurs capacités visuelles, mais comme une catégorie de l’imaginaire collectif qui tend à associer ces personnes dans une communauté de destins. On montre que les diverses figures de musiciens aveugles visibles à travers l’histoire du Japon sont en grande partie le produit d’une autodéfinition par les communautés d’aveugles elles-mêmes qui ont travaillé à se construire et à faire reconnaître une identité spécifique. Elles donnent à voir des expériences vécues de la déficience visuelle qui peuvent différer de ce qu’on appelle aujourd’hui une « situation de handicap ».
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Berend, Nora. "Défense de la Chrétienté et naissance d’une identité. Hongrie, Pologne et péninsule Ibérique au Moyen Âge." Annales. Histoire, Sciences Sociales 58, no. 5 (October 2003): 1009–28. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900018102.

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Abstract:
RésuméAu milieu du XIIIesiècle, les rois de Hongrie comme de la péninsule Ibérique et, au milieu du siècle suivant, le roi de Pologne déclarèrent chacun que la défense de la Chrétienté dépendait de leur royaume. En conséquence, ils revendiquaient subventions et privilèges auprès de la papauté. Ce discours, certes fondé sur des réalités historiques, dévoile surtout l’invention d’une « identité » dans les cours royales. De plus en plus, hors contexte d’un danger immédiat, la position de « défenseur de la Chrétienté » servit de justification pour renforcer l’établissement du pouvoir royal sur les Églises locales. Néanmoins, cette rhétorique s’était forgée dans l’interaction avec la cour pontificale, d’où émana l’idée d’une Chrétienté territoriale dotée de frontières à défendre et à élargir. Fondamentale pour penser les frontières à l’échelle de la Chrétienté était, par ailleurs, l’existence préalable de limites locales.
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Yannou, Démètre. "Ο Ορφέας στην μουσική και στην μουσικοθεωρητική σκέψη των νεότερων χρόνων (15ος-17ος αιώνας)." Σύγκριση 11 (January 31, 2017): 22. http://dx.doi.org/10.12681/comparison.10764.

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Abstract:
L a légende d'Orphée a eu un retentissement particulier dans la musique et dans la pensée musicale des temps modernes. Grâce à la transmission de la légende à travers la littérature et la théorie de la musique du Moyen Âge, le personnage d'Orphée se présente, surtout pendant le XVe, le XVIe et le XVIIe siècle, comme allégorie de la musique à laquelle se réfère aussi bien la musique que la théorie de la musique. Pour la théorie de la musique, la légende d'Orphée s'inscrit dans la tradition de la doctrine des effectus musices. Dans ce cadre, la légende, de même que tous les mythes antiques se référant aux effets de la musique, a une double fonction au début des temps modernes. La première est de livrer des exemples attestant la théorie. Ces exemples subissent un examen critique qui va de la réfutation des faits racontés jusqu'à leur interprétation au moyen de forces naturelles. La deuxième fonction est de fournir des points de repère pour la conception de la réalité musicale de l'époque. Cette fonction concerne le public des milieux de la vie musicale de la Renaissance et du début du XVIIe siècle et elle se manifeste plutôt dans l'historiographie galante que dans la théorie de la musique . proprement dite. Pour la création musicale, le personnage d'Orphée représente d'un côté l'allégorie de la force de l'homme, et de l'autre, à travers la dramatisation de la légende, la force de la musique et plus spécialement du chant — champ d'expression par excellence de l'opéra naissant. «A partir du XVIIIe siècle, avec la naissance de l'acoustique moderne, la référence aux légendes de l'Antiquité disparaît de la théorie de la musique. Par contre, dans la création musicale, la légende d'Orphée continue de susciter l'intérêt des compositeurs jusqu' à la fin du XXe siècle. Néanmoins, la place des premières œuvres musicales inspirées par cette légende au début des temps modernes reste unique dans l'histoire de la musique, parce que ces œuvres s'inscrivent dans une époque pour laquelle la référence aux légendes musicales de l'Antiquité constituait un lieu de convergence de la théorie de la musique, de la création musicale et de la conception que les contemporains eux-mêmes se formaient de la réalité musicale de leur temps.
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Boucheron, Patrick. "L’implicite du signe architectural : notes sur la rhétorique politique de l’art de bâtir entre Moyen Âge et Renaissance." Perspective, no. 1 (June 30, 2012): 173–80. http://dx.doi.org/10.4000/perspective.627.

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Haines, John. "Introduction. Musique et littérature au Moyen Âge : héritage et témoignage des travaux de Pierre Aubry et Jean Beck." Cahiers de recherches médiévales et humanistes, no. 26 (December 30, 2013): 3–7. http://dx.doi.org/10.4000/crm.13386.

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Reynaud, François. "Informatisation des documents d’archives relatives à l’Histoire de la Musique au Moyen Âge et de la Renaissance (IDAHMMAR)." Le médiéviste et l'ordinateur 39, no. 1 (2000): 54–57. http://dx.doi.org/10.3406/medio.2000.1544.

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Nicolas, Patrice. "De quelques fausses idées du contrepoint d’école et de leurs conséquences." Les Cahiers de la Société québécoise de recherche en musique 14, no. 2 (March 13, 2014): 11–24. http://dx.doi.org/10.7202/1023737ar.

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Abstract:
Désirant renouer avec une tradition contrapuntique dont les principes étaient depuis longtemps oubliés, les théoriciens de l’école française des xixe et xxe siècles, désormais dominés par les notions harmoniques, donnèrent les chimères de leur imagination pour des vérités ayant de tout temps existé. Il est donc malheureux que leurs ouvrages servent encore de base à l’enseignement du contrepoint dans la plupart des institutions québécoises d’éducation musicale, en ce qu’ils condamnent l’esprit de tout apprenti contrapuntiste à se perdre dans le dédale inextricable d’une science imaginaire. Il en résulte d’ailleurs un fait fort inquiétant sur lequel on ne peut plus élever le moindre doute : c’est que le contrepoint d’école ne mène aucunement l’étudiant vers les grands polyphonistes. Dès lors, incapable d’analyser correctement les oeuvres du Moyen Âge et de la Renaissance – et donc incapable d’en saisir les mécanismes et de s’en faire une idée complète –, l’apprenti compositeur s’en détourne, passant à côté de bien des techniques d’écritures fort intéressantes, lesquelles, surtout en ces temps postmodernes, ne pourraient donner que plus d’élan à son originalité. Après un bref exposé de la théorie contrapuntique originelle, quelques-unes des fictions romantiques sont passées en revue. Il est ainsi démontré que rien ne vaut l’emploi des traités du Moyen Âge et de la Renaissance pour l’enseignement du contrepoint et de l’analyse de la musique ancienne. De courts extraits tirés d’oeuvres de différentes époques sont analysés afin de montrer que la théorie contrapuntique originelle conduit à une parfaite compréhension des oeuvres contemporaines, une chose à laquelle ne peut prétendre le pseudo-contrepoint romantique.
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Todeschini, Giacomo. "« Au ciel de la richesse »: Le cœur théologique caché du rationnel économique occidental." Annales. Histoire, Sciences Sociales 74, no. 1 (March 2019): 3–24. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2019.137.

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Abstract:
RésumésLes historiens de la pensée économique et les économistes ont souvent décrit notre vision actuelle de l’économie ainsi que la science économique, censée transposer cette vision en termes rigoureux, comme l’aboutissement d’un double processus : toutes deux seraient le fruit, d’une part, du développement de la rationalité européenne et, d’autre part, de la modernisation/sécularisation de la pensée économique prémoderne (c’est-à-dire médiévale). Le développement de la rationalité économique européenne a donc été envisagé et représenté comme la victoire sur les conceptions économiques propres au Moyen Âge et à l’époque moderne, et ce par des auteurs aux points de vue très variés. On peut toutefois avancer une autre interprétation de l’évolution des langages économiques européens et de l’histoire de la « pensée économique » occidentale entre le Moyen Âge et la modernité, autrement dit entre le xve et le xviiie siècle. Selon cette perspective alternative, sur le plan formel, certains aspects de la science économique moderne (et, plus généralement, de la modernisation économique de l’Occident) résulteraient plutôt de l’incorporation et de la mise en œuvre systématique, durant l’époque moderne, de composants linguistiques/politiques hérités de la prémodernité. Ces composants consistent en des métaphores, des images et des allégories qui représentent la croissance ou la stagnation économique, de même que les asymétries économiques et les disparités sociales, comme participant d’un équilibre organique, fondé sur un ordre naturel ou providentiel. Ce système métaphorique de notions, ancré à l’origine dans une syntaxe conceptuelle issue du discours théologique, fut traduit en un langage qui, en convertissant les métaphores économiques en lois de l’économie, dissimulait leur sens historique et politique. L’imaginaire économique prémoderne pouvait alors être réactivé sous la forme d’une rhétorique qui représentait les asymétries économiques comme la conséquence naturelle et nécessaire d’un ordre économique rationnel et vérifiable.
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Swift, Helen J. "« Des circuits de pouvoir »." Études françaises 47, no. 3 (November 29, 2011): 55–69. http://dx.doi.org/10.7202/1006446ar.

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Abstract:
Cet article a pour but de renouveler notre appréciation des rapports entre poète et mécène au moyen de trois études de cas de textes écrits à la louange des dames entre 1440 et 1534 : Le Champion des dames de Martin Le Franc, dédié à un homme (Philippe le Bon), La Nef des dames vertueuses de Symphorien Champier et Le Palais des nobles Dames de Jehan Du Pré, tous les deux destinés à des femmes (Anne de France et Marguerite de Navarre respectivement). Cette contribution s’intéresse en particulier au rôle que joue l’acte de publication (ou de re-publication) dans l’élaboration de ces rapports sur le plan idéologique aussi bien que matériel. On pourrait s’attendre à des rapports des plus simples dans un corpus où, semblerait-il, on n’a qu’à louer la ou les dames — adopter la rhétorique « pro-féminine » et se proclamer des plus sincères — afin de s’assurer le mécénat. Mais il arrive que les rapports ne se tissent pas de cette manière. En me servant du modèle sociologique des « circuits de pouvoir » proposé par Stewart R. Clegg dans Frameworks of Power (Londres, Sage, 1989), j’essayerai de formuler dans des termes plus précis la circulation du pouvoir dans les rapports poète-mécène dans les apologies du sexe féminin de la fin du Moyen Âge. L’article interrogera la flexibilité et l’espace de négociation issus de cet axe de communication à titre de stratégies potentielles, et, du côté négatif, les risques de résistance — autant de facteurs qui nous permettront d’identifier avec plus de nuance les enjeux de l’acte de publication et le rôle qu’y jouent ses acteurs principaux.
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Classen, Albrecht. "Mystique, langage, musique: dire l’indicible au Moyen Âge, ed. René Wetzel, Laurence Wuidar, with Katharina Wimmer. Scrinium Friburgense, 43. Wiesbaden: Reichert Verlag, 2019, XVIII, 310 S., 7 farb. Abb." Mediaevistik 32, no. 1 (January 1, 2020): 322–23. http://dx.doi.org/10.3726/med.2019.01.45.

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Abstract:
Die Erfahrung Gottes hat sich schon immer als ein profundes Problem erwiesen, es sei denn, dass die Begegnung zwischen Mensch und Gott in einer Revelation, einer Vision oder in einer Epiphanie stattfindet, wovon Propheten oder Mystiker regelmäßig berichtet haben, auch wenn der Rezipient dann kaum Möglichkeiten besitzt, rational darauf zu reagieren. Wie aber ist diese Beziehung dann gestaltet gewesen, welche Möglichkeiten bestanden, darüber zu reflektieren. Letztlich erweist sich jedoch Gott als unausdrückbar, als absolut fremd, es sei denn, der Mensch greift auf ebenso unbegreifliche Medien wie die Musik oder das Gedicht zurück, was schon seit den ältesten Zeiten immer so in allen Religionen der Fall gewesen ist.
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Le Blanc, Barbara. "Se masquer à la mi-carême : perspectives de renouveaux communautaires." Port Acadie, no. 13-14-15 (October 27, 2009): 335–42. http://dx.doi.org/10.7202/038438ar.

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Abstract:
Résumé La communauté acadienne de la région de Chéticamp en Nouvelle-Écosse a conservé la mi-carême, tradition qui a été amenée par les premiers migrants français dans leurs bagages culturels. La mi-carême, exemple d’un transfert culturel de l’Europe à l’Amérique, est une fête qui utilise le pouvoir du masque dans un rituel collectif de dérision. Pendant cette fête le masque protège, libère, garantit l’anonymat, transforme, épouvante et autorise la confusion. Nous voyons des exemples de fêtes semblables au Canada et ailleurs dans le monde, comme la mi-carême au Québec, le Mummering à Terre-Neuve, le mardi gras en Louisiane, dans les Antilles et au Brésil, et le carnaval en Europe. Nous proposons d’explorer les raisons pour lesquelles ces traditions ont pu traverser le temps et l’espace tout en se maintenant et en se renouvelant. Nous regarderons les éléments que ces célébrations ont en commun, comme la nourriture, la boisson, la musique, la chanson, la danse et le masque. L’étude des changements et de la continuité de ces traditions nous amène à conclure que ces fêtes ont su résister parce qu’elles permettent une ouverture à l’imagination et à la créativité. Cette ouverture permet aux groupes de répondre à certains besoins universels de l’être humain. De plus, ces groupes ont su partager ces expériences de dérision et de célébration communautaire dans le cadre du phénomène du tourisme culturel. Grâce à la force vive de ces fêtes, l’écho puissant du rire du Moyen-Âge vit dans le monde contemporain.
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"Rhétorique et poétique au moyen âge. Alain Michel." Speculum 78, no. 4 (October 2003): 1445. http://dx.doi.org/10.1017/s0038713400101745.

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Clouzot, Martine, and Eduardo Henrik Aubert. "Figures de musiciens II - Les inventions de la musique au Moyen Âge." Bulletin du Centre d’études médiévales d’Auxerre, no. 12 (August 15, 2008). http://dx.doi.org/10.4000/cem.7592.

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Clouzot, Martine. "Musique et iconographie. Autour de l’exposition “Moyen Âge. Entre ordre et désordre”." Bulletin du Centre d’études médiévales d’Auxerre, no. 8 (August 15, 2004). http://dx.doi.org/10.4000/cem.949.

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White-Le Goff, Myriam. "Le Moyen Âge en musique, interprétations, transpositions, inventions, éd. Élisabeth Gaucher-Rémond." Cahiers de recherches médiévales et humanistes, July 14, 2015. http://dx.doi.org/10.4000/crm.13514.

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Carreto, Carlos F. Clamote. "Plastica Dei et rhétorique du corps. Écritures de l’apparence au Moyen Âge (XIIe-XIIIe siècles)." Apparence(s), no. 2 (August 7, 2008). http://dx.doi.org/10.4000/apparences.403.

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Véronèse, Julien. "John Haines, Chants du diable, chants du peuple. Voyage en musique dans le Moyen Âge." Cahiers de recherches médiévales et humanistes, June 12, 2019. http://dx.doi.org/10.4000/crm.15613.

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Sieffert, Mathias. "Mathias Sieffert, L’Écriture de la voix. Poétique du rondeau sans musique à la fin du Moyen Âge (1350-1465)." Perspectives médiévales, no. 40 (January 11, 2019). http://dx.doi.org/10.4000/peme.19093.

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Grevin, Benoît. "L’ars dictaminis et la poésie: questions théoriques et pratiques (XIe-XIVe s.)." BRATHAIR - REVISTA DE ESTUDOS CELTAS E GERMÂNICOS 20, no. 1 (December 31, 2020). http://dx.doi.org/10.18817/brathair.v20i1.2442.

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Abstract:
La discipline rhétorique médiévale de l’ars dictaminis est justement fameuse pour avoir été un quelque chose de différent de la rhétorique classique. Elle fut conçue et employée principalement pour l’écriture, non pas de discours, mais de lettres dont l’échange formait une part importante de la communication politique et personnelle aux XIe-XVe siècles. Dans la quasi-totalité des cas, les traités théoriques présentent les recettes pour écrire ces lettres en prose, et la grande masse des dictamina (textes obéissant aux lois de l’ars dictaminis) qui appliquèrent ces recettes conservées sont écrits en prose. Le Moyen Âge a bien sûr connu l’écriture des lettres en vers, selon le modèle des Héroïdes d’Ovide, mais la théorisation de l’écriture en vers aurait plutôt relevé de la discipline voisine de l’ars poetriae. Le présent article tente de faire le point sur la question des rapports entre l’ars dictaminis et la poésie, en montrant que les choses sont en fait beaucoup plus complexes. D’une part, les traités insistent très souvent sur le fait que le dictamen prosaïque n’est qu’un des trois rameaux des « genres rédactionnels » (genera dictandi), dont les deux autres sont la poésie métrique et la poésie rythmique. Or le rapport entre ces trois genres n’est pas seulement classificatoire : la prose de l’ars dictaminis était une prose rythmée, et son enseignement comme sa pratique dépendait de la connaissance de la poésie métrique et rythmique. D’autre part, de très nombreuses interconnections existent entre la pratique de la poésie et celle de l’ars dictaminis, tant d’un point de vue théorique que pratique. Il existe une large intersection entre les artes poetriae et les artes dictandi (traités théoriques), et de nombreux traités hybrides. La prose rythmée est parfois conceptualisée comme une sorte de poésie. Au niveau de la pratique, les rédacteurs créent souvent des lettres prosaïques qui entretiennent un rapport complexe avec la poésie, soit par l’insertion de citations de classiques poétiques, soit par des procédés (prose cadencée et assonancée, par exemple) qui rapprochent leurs textes de la poésie. En définitive, l’étude conjointe de la théorie et de la pratique de l’ars dictaminis suggère que pour ses inventeurs et ses praticiens, la prose rythmée de l’ars était plus proche de la poésie que de la « prose simple ».
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Ailane, Sofiane. "Hip-hop." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.014.

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Abstract:
Le hip-hop englobe quatre expressions artistiques qui sont constitutives de la culture hip-hop : le dj’ing, le rap, le breakdance et le graffiti. Le rap est une forme de « parler-chanter » exécuté sur des rythmes de bases produits par le Disc Jockey (DJ). Le breakdance est l’expression corporelle du hip-hop, c’est une danse à dimension athlétique, dont l’esthétique se base sur la rupture du flux dans des mouvements amples et fluides. Le graffiti correspond à l’art graphique du hip-hop, ces peintures se donnent à voir généralement sur le mobilier urbain au travers de fresques colorées, mais bien souvent le graffiti reprend sous une forme quasi hiéroglyphique le pseudonyme de l’auteur. Il se distingue du tag par l’usage des techniques de spray, la superposition des couleurs ainsi que par des effets d’ombrage (Bazin 1998). Étymologiquement, « hip-hop », serait la composante de deux termes en anglais hip, qui est issu de l'argot de la rue, le jive talk, qui signifie « être dans le vent, être branché » et to hop qui se traduit littéralement par le verbe danser. Il existe aussi la possibilité que le terme hip-hop soit repris des onomatopées dans la langue anglaise et qui sont présentes dans le langage rap, ainsi on retrouve « hip » qui consiste à encourager et « hop » qui est l'onomatopée qui désigne l'action de sauter. Ces termes étaient utilisés et scandés par les DJ’s habitués à prendre le microphone afin d’encourager les danseurs et haranguer la foule lors des block parties (Toop 1984). D’un point de vue historique et compte tenu de l’hétérogénéité des éléments constitutifs de la culture hip-hop, il est complexe d’indiquer avec précision le moment fondateur de cette expression culturelle même si les années 1970 font consensus dans la communauté des chercheurs. Cependant, d’un point de vue géographique, le ghetto du Bronx apparaît comme le lieu de naissance de la culture hip-hop, d’ailleurs la Smithsonian Institution et le National Museum of American History ont reconnu le « 1520 Sedgwick Avenue » dans le Bronx comme « lieu d’invention » de la culture hip-hop. En effet, les différents éléments de la culture hip-hop se donnaient à voir de façon simultanée dans les block parties du Bronx. Ces fêtes improvisées prenaient place dans les écoles, les centres communautaires, les maisons abandonnées ou bien encore dans les jardins publics. Elles constituaient le moment de loisir privilégié d’une jeunesse délaissée voulant s’épanouir dans un New York en pleine mutation et qui n’offrait alors que peu d’opportunité, de joie et de plaisir (Chang 2005). Pour la jeunesse afro-américaine et caribéenne, habitant le ghetto et victimes collatérales des coupes budgétaires et de la rénovation urbaine, le hip-hop et notamment ces block parties constituaient un moyen d’exprimer une autre façon de vivre le ghetto par la création d’un exutoire salvateur qui leur permist d’appréhender de façon plus ludique les problèmes quotidiens auxquels ils étaient confrontés. Véritable remix urbain des cultures vernaculaires afro-américaines et caribéennes, le hip-hop se nourrit autant de son hybridité que des objets que pouvait lui fournir l’environnement urbain en matières de décors et de lieux d'inspiration, mais également en matières de technologie (spray, sonorisation, hifi) (Gilroy 2003 ; Rose 1994). De plus, l’influence au niveau musical, plastique et rhétorique ne se limite pas à l’Amérique du Nord et la Caraïbe, les civilisations asiatiques, par exemple font également figure de ressources dans lesquels puisent les hip-hoppers. Aujourd’hui en tant qu’objet culturel transnational, on constate la capacité du hip-hop à s’adapter au contexte culturel et social dans chaque partie du globe où il s’exprime (Mitchell 2001). Ces transformations et ces aspects hybrides reflètent l’ « état d’esprit » du hip-hop qui se veut être un espace expérimental non exclusif où les problèmes contemporains et les forces ancestrales fonctionnent ensemble, simultanément, devenant dès lors une figure du métissage (Laplantine et Nous 2001) Néanmoins, malgré l’extraordinaire pluralité des acteurs et des expressions que mobilise la culture hip-hop, il est intéressant d’observer que les hip-hoppers représentent bien souvent des secteurs marginalisés dans leur propre société et qu’ils sont au centre de revendications sociales et égalitaires (Osumare 2007). Bien souvent, le hip-hop constitue la bande sonore d’activistes et il accompagne et/ou porte des pédagogies alternatives en direction des jeunesses de rue (Ailane 2011). Il n’existe pas a priori un cadre d’analyse spécifique de la culture hip-hop en sciences humaines et sociales. Il est un objet d’étude complexe et plurivoque, sans cesse en train de se reformuler, il intègre de nouvelles modalités autant au niveau musical, corporel que dansé. Les causes de cette dynamique seraient à comprendre par sa distribution géographique qui le diversifie d’autant plus. Mais encore, en y regardant de plus près, le hip-hop occupe une place relative dans la vie de ses adeptes, certains le considèrent comme un simple loisir (écouter de la musique par exemple) voire l’identifient à un sport (pour certains pratiquants de breakdance), ou bien l’embrassent tel un mode de vie (les activistes du mouvement hip-hop). Selon les acteurs, le lieu d’expression et le contexte, le hip-hop se donne donc à voir de manière non-monolithique ; il présente inévitablement des variations qui rendent difficile son étude de façon trop généraliste. Il est, compte-tenu de cette hétérogénéité dans la pratique, difficile de se saisir du hip-hop, a fortiori, lorsqu’il s’agit de le mobiliser dans une recherche en sciences sociales. L’approche ethnographique et l’immersion dans l’univers micro-cosmique des hip-hoppers est ainsi souvent privilégiée (Condry 2006 ; Forman 2002 ; Pardue 2008 ; Perullo 2011). Toutefois, l’anthropologie et la sociologie urbaine sont souvent mobilisées pour aborder le hip-hop car en tant que culture urbaine, il permet d’accéder à une lecture de l’univers urbain par le récit que font les hip-hoppers de leur quotidien et l’usage qu’ils font des espaces publics. Le hip-hop peut être considéré comme une ressource fertile pour les chercheurs s’intéressant aux « marges urbaines ». Cette approche n’est pas dénuée de biais car bien souvent, le logiciel utilisé pour analyser les pratiques hip-hop est associé aux problématiques liées aux « pathologies urbaines », violence, trafic, délinquance, exclusion/inclusion, stigmatisation, marginalisation, mettant dès lors de côté, ou du moins minimisant, l’innovation culturelle et sociale dont font preuve les groupes juvéniles. Par ailleurs, les théoriciens des « cultures juvéniles » ont trouvé dans le hip-hop un terrain fertile pour mettre en mouvement leurs pensées. Dans la lignée des cultural studies, les chercheurs ont privilégié les approches qui analysent les rapports entre le hip-hop, considéré sous sa dimension de « subculture résistante » et la culture dite dominante. Cette perspective se concentre notamment autour de problématiques liées à l’authenticité. Bennet (1999) les oppose selon deux points de vue. Le premier consiste à penser l’authenticité dans le hip-hop à travers la préservation de ses origines en tant que culture de rue afro-américaine. Le second point de vue se développe sur une autre conception du hip-hop, considéré comme la construction d’un « lien » qui permettrait le « dialogue » entre les populations afro-diasporiques liées par l’expérience de l’esclavage. Ces deux tendances bien qu’opposées, ont toutefois le large défaut de considérer le hip-hop comme une expression essentiellement afro-centrée et elles évacuent un pan important de hip-hoppers qui ne sont pas noirs et/ou qui ne se revendiquent pas d’une communauté afro-diasporique. L’enjeu des recherches actuelles sur le hip-hop serait donc d’interroger également la dynamique culturelle provoquée par la relocalisation de ces musiques noires dans un contexte global, marqué par le capitalisme occidental et la circulation rapide d’images culturelles dans des lieux dans lesquels elles ont trouvé un nouvel écho
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Hervé, Caroline. "Communs." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.086.

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Abstract:
Les communs (commons en anglais) peuvent être définis comme un ensemble de ressources physiques, matérielles ou immatérielles que les êtres humains cherchent à exploiter, à gérer ou à protéger pour assurer leur survie biologique, économique, sociale ou encore culturelle. Très à la mode depuis une quarantaine d’années en anthropologie, sociologie, histoire, économie ou encore en philosophie, ce concept a vu son champ d’application s’élargir, ses propositions théoriques s’étoffer et ses analyses se complexifier, tout en perdant progressivement son sens historique. Sortis du champ académique et instrumentalisés par les mouvements de résistance au néolibéralisme, les communs sont désormais au cœur de débats de société. La façon dont cette notion interroge les interactions entre les êtres humains et leur environnement, son intérêt pour éclairer la fabrication du social et sa réutilisation dans le débat public en fait un objet de recherche riche pour l’anthropologie. La définition du concept de communs est une entreprise difficile tant il renvoie à des usages divers. Si certains chercheurs tendent à privilégier, en français, l’usage du pluriel afin de marquer la grande variété des ressources regroupées sous la terminologie de communs, que l’on parle de ressources naturelles, mais également sociales ou intellectuelles, d’autres auteurs insistent sur l’importance d’utiliser le terme au singulier afin de souligner son potentiel théorique et pratique (Hardt et Negri 2012 ; Dardot et Laval 2014). L’origine étymologique du terme commun, construit sur les locutions latines cum et munus, renvoie à une idée centrale, celle de la mise commun ou de la gestion commune de biens, mettant l’accent sur le fait que le commun « implique donc toujours une certaine obligation de réciprocité liée à l’exercice de responsabilités publiques » (Dardot et Laval 2014 : 23). Ces deux aspects, celui de réciprocité et de responsabilité publique, sont au cœur de la définition historique des communs. Les origines du concept renvoient à une pratique de gestion des terres qui était courante dans différentes régions d’Europe avant la fin du Moyen-Âge et qui consistait en la gestion commune de certaines terres par un groupe de personnes ou d’unités familiales pendant une période de temps limitée. Dans certaines circonstances, tout le monde pouvait avoir accès à ces terres, selon des règles d’usage particulières ; dans d’autres cas, leur usage était restreint et contrôlé. Ce fonctionnement communal a progressivement été mis en cause par les autorités publiques et les cercles politiques à partir du milieu du XVIIIe siècle. En l’espace d’un siècle, la plupart des communs en Europe de l’ouest devinrent ainsi des propriétés privées ou publiques (De Moor 2011 : 425). Ceci correspond au phénomène connu des enclosures qui s’est particulièrement développé en Angleterre dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, à travers lequel de larges étendues de champs ouverts, connus sous le nom de terrains communaux ou commons, ont progressivement été parcellisés et enclos (Hemmungs Wirtén 2013 : 2), dans un contexte marqué par l’augmentation démographique et l’industrialisation. Ce retour dans l’histoire est important pour comprendre les confusions qui sont apparues lorsque les chercheurs des différentes disciplines ont commencé à s’intéresser plus largement à la question des communs à partir du milieu du XXe siècle. L’une des confusions les plus importantes a été introduite par le biais du travail de Garrett Hardin dans son célèbre article « The Tragedy of the Commons », publié en 1968, dans lequel il explique que les communs sont susceptibles de surexploitation et donc de disparition. Sa thèse principale repose sur l’idée biaisée que les communs historiques étaient accessibles à tous et en tout temps. À la suite de la parution de cet article, les chercheurs ont ainsi commencé à utiliser le terme de communs pour faire référence à toutes formes de ressources utilisées par tous et sans contrôle, ce qui ne correspond pourtant pas à sa définition historique (De Moor 2011 : 425). L’article de Hardin a ouvert de nombreuses recherches portant sur les solutions à mettre en œuvre pour contrer la dégradation des communs. Mais ces travaux sont souvent restés coincés entre deux options : la prise en charge des communs par l’État ou par le marché. C’est dans ce contexte que le travail de la politologue Elinor Ostrom (1990), en proposant une troisième voie, a eu un retentissement important dans le monde académique, et même au-delà. La publication de son livre Governing the Commons constitue une étape essentielle dans les recherches sur la gestion des communs. Non seulement, elle montre que l’exploitation des communs ne mène pas inéluctablement vers leur fin, mais elle explore la diversité des arrangements institutionnels permettant la gestion de ceux-ci, sans pour autant avoir recours à l’État ou à la privatisation. Sa contribution est consacrée en 2009 lorsqu’elle reçoit, en même temps qu’Oliver Williamson, le prix Nobel d’économie pour son analyse de la gouvernance économique et celle des communs. La création de l’International Association for the Study of the Commons en 1989 ou encore la création de l’International Journal of the Commons en 2007, révélateurs d’un engouement scientifique pour la question des communs, permettent la diffusion des théories et des méthodes dans les différentes disciplines et dans la société civile, à tel point que l’étude même des communs comporte aujourd’hui des enjeux politiques, sociaux et même éthiques (Peugeot et Piron 2015). Les travaux d’Elinor Ostrom s’inscrivent dans une démarche résolument interdisciplinaire puisqu’elle utilise des études de cas, des concepts, des modèles et des méthodes issus de différentes sciences sociales, et tout particulièrement de l’anthropologie. Loin de développer une perspective purement institutionnelle, Ostrom s’intéresse en effet avant tout aux stratégies développées par les acteurs sociaux pour gérer des ressources en commun. Elle s’appuie pour cela sur de nombreuses études de cas développées par des anthropologues pour comprendre par exemple les systèmes d’irrigation au Népal, dans les Philippines ou à Los Angeles, la gestion des forêts en Inde, en Asie, en Afrique et en Amérique latine ou encore la pêche côtière en Inde ou au Canada (Acheson 2011 : 320). Même si son usage de l’anthropologie est qualifié de fragmentaire, puisque sortant ces études de cas de leurs contextes politiques ou culturels, ses travaux sont néanmoins reconnus comme une contribution majeure à la discipline anthropologique (Rabinowitz 2010). Outre celle des interactions entre les hommes et leur environnement, les travaux d’Ostrom rejoignent bien d’autres questions intéressant les anthropologues. Ils interrogent directement la gestion des ressources collectives, la nature des liens de coopération et la fabrique des communautés (Rabinowitz 2010 : 104), la production des normes et des règles sociales, ainsi que de la propriété, privée ou publique (Acheson 2011 : 320). Enfin, en montrant le rôle important de la réciprocité dans la plupart des cas de gestion alternative des ressources, les anthropologues ont mis en évidence, à partir de leurs différents terrains, le fait que l’homme n’était pas uniquement animé par une logique économique, mais que le symbolisme était central dans les pratiques d’échange, renvoyant ainsi aux théories sur le don, concept dont les anthropologues ont étudié les multiples formes dans les sociétés humaines. Dans la foulée des propositions théoriques de Hardin et de Ostrom, un véritable engouement s’est manifesté autour de la question de ces communs naturels, en anthropologie et dans les autres disciplines des sciences sociales. Ces travaux ont fourni des modèles inspirant pour d’autres types d’objets de recherche et plus récemment les chercheurs ont commencé à identifier de nouveaux communs (new commons), comme des biens communs sociaux (social commons) qui constituent des ressources sociales ou des services destinés à des groupes sociaux spécifiques, des communs de nature intellectuelle ou encore culturelle incluant des ressources aussi variées que la musique, l’artisanat, les technologies numériques, etc. (Nonini 2006 : 166-167). Certains anthropologues ont même avancé l’idée que les communs peuvent englober des dimensions plus invisibles de la vie sociale relevant du domaine cognitif, corporel ou affectif, comme par exemple chez les Urarina, peuple indigène du Pérou, pour lesquels la notion même de tranquillité doit être l’objet d’un partage ou d’une réciprocité (Walker 2015). L’extension du concept de communs à des domaines aussi divers de la vie sociale explique aujourd’hui la difficulté à en donner une définition uniforme et certaines ambivalences quant à ses usages et ses analyses. De façon plus générale, la naturalisation du discours sur les biens communs a nécessité de s’engager dans une réflexion critique sur cet objet, ce que l’anthropologie a pu prendre en charge à travers sa capacité à mettre en perspective la production du social. Le succès du terme ne s’est en effet pas limité au milieu académique. Dans le contexte des dernières décennies, alors que des corporations, des gouvernements et d’autres types d’institutions politiques, privées ou non-gouvernementales, ont dépossédé certains groupes humains de leurs ressources dans la mouvance de la globalisation néolibérale, des stratégies de résistance et de lutte pour conserver ou retrouver le contrôle sur ces biens se sont développées (Nonini 2006 : 165). Dans le même temps, les propositions théoriques sur les communs ont mis en valeur des alternatives séduisantes face à la mainmise du marché ou de l’État sur ces ressources. Les anthropologues ont ainsi montré que ces luttes ne concernent pas seulement le contrôle des ressources matérielles mais également le contrôle des significations culturelles associées aux communs et aux processus qui les préservent ou les détruisent (Nonini 2006 : 165). Les stratégies et les perspectives antagonistes des différents groupes se disputant les communs sont ainsi devenues des objets de recherche riches pour l’anthropologie. Dans le contexte sud-américain où la surexploitation des ressources naturelles s’impose comme un nouveau paradigme économique, le constat que chacune des deux parties réutilise le concept de biens communs et de communs pour légitimer, d’un côté l’exploitation des ressources naturelles, et de l’autre la lutte contre cette exploitation, rappelle la nécessité de repenser les fondements ontologiques de chacune de ces deux façons de concevoir la relation entre les humains et le monde naturel. Dans ce cadre, les peuples autochtones nous invitent plutôt à penser ces confrontations ontologiques à travers le concept d’« incommuns » ; celui-ci révèlerait plutôt l’existence et la persistance d’une certaine incompatibilité entre différentes façons d’être au monde. En effet, alors que les entreprises extractrices font reposer leurs justifications sur la distinction entre nature et culture, et plus précisément sur le contrôle de la nature par les êtres humains, les peuples autochtones de leur côté se perçoivent en continuité avec le monde naturel, engagé dans une relation réciproque avec lui et dans l’obligation de le protéger (Blaser et De La Cadena 2017 : 186-187).
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