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Dissertations / Theses on the topic 'Rire – Dans la littérature'

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Vergneault, Alain. "Le rire de Céline." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040131.

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Abstract:
Pour tout lecteur familier de Céline, le rire que suscite n'importe laquelle de ses œuvres apparait à la fois comme une évidence et comme un paradoxe. C'est à l'explication, jamais proposée encore, de cette réaction de lecture, et à l'intégration de tout ce qu'elle implique pour le sens et la portée de l'œuvre, que la présente étude s'attache. La première idée retenue est que nous avons affaire à un rire d'auteur, non à un comique de genre. Aussi la question pragmatique de l'intention comique se pose-t-elle. D'entrée, tout est mis en œuvre pour commencer d'y répondre, du recours aux positions de l'écrivain relatives à ce problème, à la saisie directe du texte en vue de retrouver une dynamique de lecture assurément déterminante. L'analyse théorique peut alors avancer en s'appuyant sur les deux seules catégories du comique et de l'humour. Le premier est à situer au niveau de la représentation romanesque, comme une donnée incontournable de la transposition célinienne, marquée par l'exagération, le noircissement délibéré, et finalement le renversement de point de vue. Le second est à traiter comme fait d'énonciation, et invite à une exploration de jeux de voix multiples. Au-delà se détache la voix singulière d'un auteur, qui se confond alors, par les ruptures qu'elle marque toujours, avec celle de l'humour.
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Bertrand, Dominique. "Histoire du rire à l'âge classique." Paris 7, 1985. http://www.theses.fr/1985PA070021.

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3

Arnould, Dominique. "Le rire et les larmes dans la littérature grecque, d'Homère à Platon." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040268.

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Abstract:
Les grecs ont remarqué très tôt que le rire et les larmes sont des manifestations antithétiques d'un état émotif qui est souvent le même. La présente thèse les étudie conjointement à travers trois analyses complémentaires fondées sur une étude précise des textes, d'Homère à Platon, et tend à cerner des consensus littéraires. La première partie est consacrée aux émotions individuelles et aux conduites sociales. A cote des surprises de la volonté et de la raison (larmes de la douleur physique et de la peur, rire de l'inattendu), c'est surtout l'importance que l'on attache au statut social qui suscite le rire ou les larmes: le héros pleure quand il est privé de sa time, et c'est pour le priver de cette time que le groupe de ses ennemis rit de lui. Cet aspect caractéristique de la littérature grecque ne doit pourtant pas masquer la part des liens affectifs (rire de séduction et d'accueil, larmes de tendresse et d'amour) ni les notations qui se rapprochent de notre psychologie moderne. La seconde partie s'appuie sur les descriptions sonores et visuelles du rire et des larmes pour préciser le sens et l'emploi des mots grecs, mais aussi pour voir si l'homme est présenté comme actif ou comme passif à l'égard de ses émotions, et montrer comment les vers formulaires homériques ont une influence décisive sur la description et se développent en image souvent reprises dans l'ensemble de la période considérée. Ces vers formulaires créent aussi des séquences narratives qui perdurent jusque chez Platon et Xénophon, à côté de thèmes et de motifs nouveaux dont on examine les plus intéressants (Hérodote, tragédie). La troisième partie est consacrée aux grands débats et aux mythes: débats sur l’homme sensible et le spoudogeloios, sur les pouvoirs de la parole et les nécessités de la politique face aux émotions, mythes étiologiques et rites religieux, rire sardonique, niobe, héliades, pléiades, oiseaux chanteurs des larmes (rossignol, alcyon, cygne). On étudie comment ces mythes servent aussi d'embellissements littéraires, en même temps qu'ils disent la métamorphose de la réaction à une émotion en une émotion éternelle et intemporelle, ou rendent compte de genres littéraires et musicaux (Déméter et l'iambe, le chant de Linos). La conclusion générale étend rapidement la recherche à la littérature postérieure au IVe siècle<br>The Greeks very early remarked that laughter and tears are often antithetical manifestations of the same emotional state. The present dissertation studies them both through three complementary analyses, based on the study of texts from Homer to Plato, and tries to underline literary trends. The first part deals with individual and social behaviour. Of course, laughter and tears are shown, in Greek texts, to be provoked by individual physical emotions (bodily pain, fear, surprise), but, above all, the hero sheds tears when he is deprived of his social reputation and of his honours, and it is in order to deprive him of his status that the group laughs at him. However, this special and most important characteristic of Greek literature should not make us forget that the authors also describe tears and laughter as provoked by love and emotional ties. The 2nd part defines the meaning of the Greek words (dakru cheon, dakru cheitai, dakruo, klaio, stenacho, etc. , gelao, eis gelota piptein, meidao, etc. ) so as to study whether man is described as active or passive and to show that Homeric formulas have an influence on the description of these emotions and give rise to much used images. They create, as well, narrative sequences, which can be found as late as Plato and Xenophon. But there are also new motifs and themes, for instance in Herodotus and in tragedy. We study the most important ones. The 3rd part deals with the legitimacy of tears, the spoudogeloios aner, the debates on the power of speech and on the use of emotions in politics. It also deals with myths of tears and laughter and shows how they explain religious rites (Demeter), or poetic forms (the iambic meter, the Linos song). Other myths are considered: beside the sardonic laughter, we study the myths of niobe, of the heliads, of the pleiads, and three myths (nightingale, alcyo, swan) which serve as literary embellishment. The general conclusion looks forward to the later literature
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Chamié, Rim. "Le rire paradoxal dans le théâtre d'Eugène Ionesco." Toulouse 2, 2003. http://www.theses.fr/2003TOU20024.

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Abstract:
Le rire semble être la clé de voûte de l'oeuvre de Ionesco. Il trouve ses racines dans les oeuvres de Jarry, Kafka et les Surréalistes, mais il a ses propres caractéristiques. C'est un rire qui tente une révélation de la vérité sur notre condition humaine tout en faisant appel au travestissement burlesque, à la satire mais surtout à un humour moderne fondé sur le non-sens, d'où la création d'un nouveau langage caractérisé par un décalage sur le plan de la communication, par une rupture entre signifiants et signifiés. Le jeu de mots, la suppression des liaisons grammaticales créent un langage sans signification, ce qui fait jaillir le rire. Cet humour est aussi caractérisé par la mise en abîme des personnages. Fantoches sans caractères ni identité, marionnettes à ficelles, encombrées par la prolifération de la matière, les créatures de Ionesco portent en elles la tragédie de l'existence humaine. Le rire dans le théâtre de Ionesco a donc pour fonction d'exprimer l'angoisse et l'absurdité de l'existence humaine. Cette oeuvre permet ainsi au spectateur de prendre conscience du tragique de son existence et de s'en libérer par le rire<br>Laughter is cornerstone of Ionesco's theatre. Its roots can be traced back to the works of Jarry, Kafka and the Surrealists. However, Ionesco's laughter has its own characteristics. It is a laughter that attempts to denude truth through comic travesty, through satire, but above all through modern humour that verges on the absurd, using for medium a new language characterized by a separation from the normal way of communication, by rupture between the significant and the signified. The play on words and the suppression of grammatical links allow the appearance of a senseless language, which evokes laughter. This humour is characterized by exposing character vices. Ionesco's creation are without character or identity; puppets moved by strings, shackled by the proliferation of matter, carrying in them the tragedy of human existence. Doubtless, Ionesco's laughter shows the pain and absurdity of human existence and to be liberated from it by laughter
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Rapenne, Catherine. "Rire et fantastique dans la littérature romantique, de 1821 à 1869." Thesis, Strasbourg, 2014. http://www.theses.fr/2014STRAC026.

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Abstract:
De Nodier à Baudelaire, nombre de romantiques ont clamé leur désenchantement ou leur mélancolie ; on les a trop souvent pris au mot, oubliant « la puissance d'être à la fois soi et un autre » qui est la leur. Confrontés à un réel en voie d’uniformisation qu’ils méprisent ainsi qu’aux tourments d’une intériorité qu’ils découvrent duelle et déchirée, ils font du rire et de l’imagination, « reine des facultés », les leviers d’une résistance et d’une créativité renouvelée, cette dernière s’appuyant sur un recyclage humoristique de formes oubliées et visant à restaurer une sensibilité perdue tout en l’adaptant à leur époque. Ils inventent le fantastique moderne et font du rire le principe de son écriture. Le rire, paradoxal, y prend en charge les contradictions du réel et du langage, l’oblicité de l’ironie en révélant la réversibilité et la polysémie, dans un esprit malicieux et retors qui fait circuler partout, jusque sous les apparences les plus macabres les serpenteaux d’artifice du Witz. Le rire des fantastiqueurs n’est pas un rire « réduit » mais un rire intériorisé, un rire galvanisé par la découverte de l'épaisseur et de l'étrangeté des choses, un rire qui contribue à donner naissance à la bienveillance distanciée de l’humour moderne<br>From Nodier to Baudelaire, numerous romantic poets and writers claimed their disillusionment in human existence or their melancholy. Much too often, they have been taken at their words, one neglecting the ''power to be oneself and someone else at one and the same time” which was theirs and constituted their dual nature. Facing up a reality on its way to standardization, which they despised, as well astorments of their inner self which they experienced and felt as agonizingly dual and tornapart, they turned laughter and imagination, being “the most dignified faculty of mind”, into power of resistance and renewed creativity, the latter being based on a humorous adjustment and re-use of old forms, highlighting this way the revival of lost sensitivities while updating these to their time.They were the inventors of the modern fantastic literature and made out of laughter the principle of this new form of writing. There, laughter, paradoxical, takes on and assumes the internal contradictions of reality, the oblique and indirect nature of irony by disclosing the reversibility and the polysemy of their surrounding world, in a mischievous and cunning spirit which disseminates the pharaoh's serpent fireworks of the Witz all over the place, and which emit sparks even from the most macabre appearances such as the grim reaper of death.The laughter of the fantastic authors is not a "subdued" laughter, a restrained laughter, but an inner laughter, exalted by the consciousness of the density and weirdness as well as through the uncanny nature of things, a laughter which contributes to the emergenceof modern humor, because it takes a step back while paying benevolent attention to the other
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Schneider, Jean. "Les traités orthographiques antiques et byzantins, à propos de la tradition d'un fragment de Simonide (fragment 519 des Poetae Melici Graeci de Page) : avec un appendice sur Les explications antiques et byzantines du "rire sardonique", à propos de la tradition d'un fragment de Simonide (fragment 568 des Poetae Melici Graeci de Page)." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040304.

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Abstract:
Notre travail principal est une étude des traités orthographiques grecs antiques et byzantins. La première partie étudie les traites paléobyzantins de Thimotheios de Gaza et de Jean Charax, ainsi que deux ouvrages anonymes qu'on peut situer à la même époque. La deuxième partie présente les éléments orthographiques des lexiques étymologiques byzantins, les canons de Theognostos et l'orthographe de Choiroboscos, et divers recueils d'epimerismes, qui se situent à peu près à la fin de l'iconoclasme et à l'époque macédonienne. La troisième partie concerne des ouvrages postérieurs à 1150. La conclusion revient sur les ouvrages antiques perdus, et principalement sur le traité d'Hérodien. Nous étudions pour tous ces ouvrages la tradition directe et indirecte, signalant divers manuscrits qui avaient échappé à nos prédécesseurs. Nous avons lu dans les manuscrits plusieurs ouvrages inédits, et complété par le recours aux manuscrits divers éditions insuffisantes. Nous avons essayé de reconnaitre les sources utilisées dans ces divers ouvrages. L'appendice sur le "rire sardonique" s'inspire de la même méthode, puisque nous avons recherché dans tous les ouvrages érudits, édités ou inédits, les explications proposées pour cette expression en essayant de reconnaitre les sources de chacun<br>Our principal work is a study of the Greek orthographical treatises, antiques and byzantine. The first part studies the paleobyzantine treatises of Timotheos of Gaza and of Joannes Charax, as well as two anonymous works which we may place at the same time. The second part presents the orthographical elements of the byzantine etymological lexica, the "canones" of Theognostos, Choiroboscos' orthography, and a few collection of epimerisms, which belong to the end of iconoclasm and to the Macedonian period. The third part searches works posterior to 1150. The conclusion comes back to the lost antique works, mainly Herodian's treatise. We study, for all those works, the direct and indirect tradition, referring to manuscripts which had escaped our predecessors. We have read in manuscripts a few inedited works, and completed with manuscripts a few defective editions. We have tried to recognize the sources used in these various works. The appendix on the "sardonic laughter" proceeds with the same method, for we have sought in all the erudite works, published or not, the explanations proposed for that expression, trying to to recognize their sources
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Ohali, Avigail. "Le rire des sages : l'humour dans la Mishna et la Tosefta." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCA082.

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Abstract:
Grâce à sa vaste production littéraire, le judaïsme rabbinique, d’abord minoritaire, est devenu l’orthodoxie juive à la fin de l’antiquité. Les écrits rabbiniques ne cherchent pas à faire rire, mais nous avons constaté que les études académiques sur l’humour des rabbins de l’antiquité contribuent de manière significative à la compréhension des textes rabbiniques. Ces études ainsi que les théories modernes sur l’humour, les outils d’analyse littéraire et notre propre développement méthodologique, nous ont permis d’analyser les récits humoristiques dans les écrits tannaïtiques. Les résultats des travaux sur l’humour dans le Talmud Yerushalmi, le Talmud Babli et le midrash aggada, trouvent un écho dans les résultats de notre étude. Nous avons découvert dans la Mishna et la Tosefta une très grande variété de formes et de fonctions de l’humour. L’étude exhaustive des récits humoristiques dans ces deux corpus nous a permis de développer des nouvelles perspectives sur ces textes et leurs protagonistes, notamment concernant les polémiques internes et externes au mouvement rabbinique, les traits de caractère de certains sages et leur manière d’étudier, l’évolution de l’humour entre la Mishna, la Tosefta et les Talmudim. La grande majorité des récits que l’on trouve dans la Mishna et la Tosefta n’est pas humoristique, mais cette proportion est inversée dans certaines thématiques : dans les polémiques internes au mouvement tannaïtique nous avons noté un équilibre entre les textes humoristiques et sérieux, et de surcroît, dans les polémiques avec des groupes extérieurs au mouvement tannaïtique, les textes humoristiques sont majoritaires. L’humour des tanna’im s’avère être complexe et varié, il permet de faire remonter les origines de l’humour juif à l’époque tannaïtique, d’expliquer certains textes énigmatiques, et de mieux connaître la pensée des tanna’im<br>Thanks to their extensive literature, the rabbinic movement which was a marginal minority during the early centuries CE became, by late antiquity, the Jewish mainstream, and the rabbinic practice of Judaism became Jewish orthodoxy. Rabbinic writings do not aim to make one laugh, but we have noticed that academic research into the ancient rabbis’ humor contribute significantly to the understanding of rabbinic writings.Our tools for analyzing the humor in tannitic texts are based on previous studies, modern theories about humor, literary analysis techniques and our own personally developed methodology. The research results about humor in the Talmud Yerushalmi, the Talmud Babli and in Midrash Aggada are echoed in the results of our work.We have found in the Mishna and the Tosefta humor in various forms and functions. A comprehensive study of humorous anecdotes in these two textual corpora lends a new perspective about the rabbis and their writings: it also sheds light on the rabbis’ personalities and the house of study atmosphere, struggles within the rabbinic movement as well as with outside opponents, and the evolution of humor between the Mishna, the Tosefta and the Talmudim. The large majority of the stories found in the Mishna and the Tosefta are not humorous, but this proportion is reversed in certain themes: in polemics within the tannaitic movement we find an equal number of humorous and serious texts, and in polemics with opponents to the tannaitic movement, humorous texts are predominant. The tannaitic humor is complex and diversified, it traces the origins of modern Jewish humor not only to the Talmud but back to the tannaitic period, it helps explain some enigmatic texts, and to better know the tannaitic ideology
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Reea, Goenda. "Le comique dans la tradition orale et la littérature contemporaine tahitiennes - vision du rire, vision du monde." Thesis, Polynésie française, 2016. http://www.theses.fr/2016POLF0005.

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Abstract:
À Tahiti, il n’existe aucune recherche sur les « mots du rire » en langue tahitienne démontrant une manière de penser le monde. L’intérêt de cette étude est de révéler une réalité d’un point de vue interne ainsi que des processus inconscients qui régissent le rire de et dans la société tahitienne. Cette thèse a pour objectif de définir la spécificité du comique de la tradition orale et de la littérature contemporaine tahitiennes au travers des ’ūtē ’ārearea (chants comiques traditionnels) dans le cadre des fêtes culturelles du mois de juillet à Tahiti de 1986 à 2014 et de deux pièces de théâtre, Te pe’ape’a hau ’ore o Pāpā Pēnū ’e Māmā Rōrō de Maco Tevane (1972, rejouée en 2011), et E’ita ïa, de John Mairai (1989). En inscrivant cette analyse dans un cadre conceptuel et méthodologique sémiolinguistique et psychocritique, nous supposons qu’il est possible d’abstraire, par la superposition des textes du corpus de recherche, un substrat constitué d’invariants, qui concourent à la production du sens<br>In Tahiti, no research has been done about “comic words” in Tahitian language, demonstrating a way to consider the world. The relevance of this study is to reveal a reality in an internal point of view as well as unconscious processes which govern the laughter of and in the Tahitian society. The purpose of the present Thesis is to define the characteristics of Comic in the Tahitian oral tradition and contemporary literature, through the 'ūtē 'ārearea (traditional funny songs), in the context of July’s cultural celebrations in Tahiti, from 1986 to 2014, and through two plays, "Te pe'ape'a hau 'ore o Pāpā Pēnū 'e o Māmā Rōrō" by Maco Tevane (1972, played again in 2011) and “E'ita ïa” by John Mairai (1989). Placing this analysis into a conceptual and methodological as well as a semiolinguistical and psychocritical frameworks, makes us suppose that it is possible to abstract, by the superposition of the texts from the corpus of research, a substratum made of invariables, which contribute to the meaning of words
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Liouville, Matthieu. "Les rires de la poésie romantique, 1830-1856." Lille 3, 2005. http://www.theses.fr/2005LIL30023.

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Abstract:
Les rires de la poésie romantique ont été longtemps associés aux "mineurs" du romantisme. L'objet de ce travail est de montrer qu'ils s'inscrivent dans une tendance générale de la période, sous des formes diverses. Rires noirs, rires satiriques, rires vides, grotesque, ironie, humour (le mot fait précisément son apaprition en français durant la période), tous ces rires variés se ménagent une place en poésie non spécifiquement comique, pour dynamiter une logique en place : fantastique, effusion sentimentale, ligne narrative, monologisme. Le caractère potentiellement auto-parodique du poème romantique vient aussi apporter un degré suplémentaire d'ambiguïté. Le romantisme enrichit considérablement les qualités du rire : il n'est plus seulement admis en poésie, il intègre désormais le champ du "poétique". Ce travail s'intéresse donc aussi à la problématique du rire et du poétique, question à laquelle le XIXe siècle répond par l'intégration du mot "humour", chargé de regrouper les valeurs des deux termes
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Ricozzi, Giuliana. "Gli dèi, il riso e il comico : la rappresentazione del divino nelle fonti litterarie in lingua greca." Thesis, Paris Sciences et Lettres (ComUE), 2019. http://www.theses.fr/2019PSLEP070.

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Abstract:
La représentation des dieux dans les sources littéraires de la Grèce antique prévoit le recours au rire et à l'humour. C’est un aspect caractéristique de la description et configuration du monde divin hellénique qui se déploie sur un arc chronologique très large, et devient l'objet d'élaboration, de réélaboration et d'investigation par les poètes, les intellectuels et les philosophes, pendant plusieurs siècles. Le rire est une composante fondamentale et récurrente tant dans la représentation des dieux que dans celle des hommes : il définit le périmètre des figures divines, tout en fonctionnant comme une sorte de connecteur entre la sphère des immortels et le monde des êtres humainsDans le corpus épique, les dieux, comme les hommes, rient et sourient ; ils utilisent l'ironie et le sarcasme, recourent à des stratégies qui amusent les autres dieux et, dans certains cas, également le public destinataire des chants. La représentation du monde olympien dans l'Iliade et dans l'Odyssée est marquée par le rire et le sourire des dieux. Tel est le cas de l'épisode d'Héphaïstos au Chant I de l'Iliade, mais aussi de l'histoire tout aussi célèbre de l'adultère d'Arès et d'Aphrodite au chant VIII de l'Odyssée. Dans le premier épisode, Héphaïstos, laid et boiteux, s'improvise échanson, un rôle destiné aux être beaux et jeunes, et il déclenche ainsi les rires des autres dieux. Le fait d’apparaître inadéquat par rapport à la tâche qu’on exécute, aussi et surtout d'un point de vue esthétique, est un mécanisme du rire qui fonctionne à la fois pour les dieux et pour les hommes, comme l'illustre le cas de Thersite. Dans le Chant d'Arès et d'Aphrodite, les dieux se moquent du couple d'amoureux pris en flagrant délit d'adultère et se laissent aller à des blagues drôles et licencieuses, comme s'ils étaient des hommes. Chez Homère, les dieux sont représentés dans toute leur puissance mais aussi avec toutes leurs faiblesses : cette incohérence, cette différence souvent soudaine, est sans doute à l'origine du plaisir que le public ancien prenait à écouter ces histoires, comme en témoignent diverses sources. La Comédie et le drame satyrique exaspèrent à leur tour l'anthropomorphisme des dieux ; les auteurs exploitent ce paradoxe, en réduisant autant que possible la différence entre hommes et dieux. La complexité des figures divines fait ainsi l'objet d'un processus de simplification e d'altération qui transforme les dieux en de véritables caricatures. La réduction des figures divines en personnages stéréotypées, caractérisées par plusieurs vices et faiblesses met en mouvement la machine comique. Aux côtés des épisodes homériques et des représentations des divinités sur la scène comique, il ne faut pas oublier, enfin, la représentation ouvertement parodique des dieux homériques dans la Batracomyomachie, et la critique humoristique de Lucien à la configuration traditionnelle du monde divin qu’avaient construite les poètes aussi bien que les philosophes. La représentation humoristique et comique du divin dans les sources antiques est le symptôme d'une dialectique ludique entre dieux et hommes, d'une attitude joyeuse, amusée et amusante de l'homme face au divin qui habite le monde, et notamment du poète face aux dieux qu’il met en scène. Cette attitude diffère clairement de l'acte réel de dérision du divin, illustré par certains mythes et dûment sanctionné. Les formes comiques, humoristiques et parodiques de la représentation du monde olympien, récurrentes dans la production littéraire grecque, semblent donc indiquer clairement un choix d’articulation et de narration de la sphère divine qui au lieu de rejeter le rire, le considère un outil fondamental pour réfléchir sur les dieux et leurs rapports avec les hommes<br>The representation of the gods in ancient Greek literature is characterized by laughter and humour. This aspect of the description and configuration of the divine world embraces a wide chronological arc, and becomes the object of elaboration and investigation by poets, intellectuals and philosophers, over several centuries. Laughter is a fundamental and recursive component in the representation of both gods and men. It connects mortals and immortals, and at the same time it defines the perimeter of divine figures. In literary sources related to the genre of the epic, gods, like men, laugh and smile; they use irony and sarcasm, resort to humorous jokes that amuse other gods and, in some cases, the audience to whom the songs are addressed. The representation of the Olympic world in the Iliad and in the Odyssey is marked by the laughter and smile of the gods. This is the famous case of the episode of Hephaestus in Book I of the Iliad and the equally famous story of the adultery of Ares and Aphrodite in Book VIII of the Odyssey. Hephaestus, ugly and lame, improvises himself as a cupbearer, a role destined to beautiful and young immortals, and he thus triggers the laughter of the other gods. Being inadequate in relation to the assigned task, and also from an aesthetic point of view, is a mechanism of laughter that works for both gods and men, as illustrated by the case of Thersites. In the Song of Ares and Aphrodite, the gods mock the couple of lovers caught in the act of adultery and indulge in funny and licentious jokes, as if they were men. In Homer's work, the gods are represented in all their power but also with all their weaknesses: this ambivalence is at the origin of the pleasure that the ancient public felt when listening to these stories, as various sources attest. The Comedy and the satyric drama in turn exasperate the anthropomorphism of the gods; the authors exploit this paradox, reducing as much as possible the difference between men and gods. The complexity of the divine figures is thus the subject of a process of simplification and alteration that transforms the gods into true caricatures. The reduction of divine figures into stereotypical characters, characterized by several vices and weaknesses, sets the comic machine in motion. Alongside the homeric episodes and the representations of the gods on the comic scene, we must not forget, finally, the openly parodic representation of the homeric gods in the Batrachomyomachia, and Lucian's humorous criticism of the secular configuration of the divine world, built by poets and philosophers. The humorous and comic representation of the divine is the symptom of a playful dialectic between gods and men, of a joyful and amusing attitude of man towards the religious. This attitude clearly differs from the real act of derision of the divine, illustrated by certain myths and duly sanctioned. The comic, humorous and parodic forms of representation of the Olympic world therefore seem to indicate clearly a choice of articulation of the divine sphere which does not reject but considers laughter as a fundamental tool to reflect on the gods and, consequently, on their relationship with men
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Tanaka, Shuko. "Le rire et la mélancolie dans les romans de Milan Kundera." Thesis, Strasbourg, 2013. http://www.theses.fr/2013STRAC008/document.

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Abstract:
Le rire et la mélancolie constituent l'ambiance dominante des romans de Milan Kundera. Ce sont les deux faces de son attitude vis-à-vis du narcissisme de l'homme reflété par ses personnages. Comme Narcisse, l'homme n'est jamais celui pour qui il se prend. Le narrateur présente cette vision kundérienne de l'homme, en racontant le comique et la misère des personnages. Comme le vécu de Kundera se reflète dans les situations des personnages, ce narrateur assume d'un côté une fonction d'autocritique. Mais d'un autre côté, ce narrateur reflète également le romancier, en prenant jusqu'au nom même de Kundera, et présente son image du romancier que croit être Kundera. Ainsi, Kundera lui-même n'est pas non plus hors de l'emprise narcissique. Néanmoins, le roman est le seul espace qui lui permet de méditer sa subjectivité narcissique en la relativisant. Pour Kundera, le roman permet d'échapper momentanément à la condition de Narcisse, grâce au jeu solitaire et sérieux de l'écriture dans les marges de l'hypothèse<br>Laughter and melancholy constitute the dominant atmosphere of the novels of Milan Kundera. These are the two faces of his attitude about man’s narcissism and of which his characters are reflections. But man is never the person he thinks he is. Kundera expresses this vision of man through the narrators in his novels, who explore the comic and the miserable aspects of the characters appearing in them. Given the fact that the experience of Kundera is reflected in the characters’ situations, on one hand, the narrator endorses a function of self-criticism. On the other hand, this narrator reflects the novelist, sometimes taking even the name of Kundera himself, and presents his image of the novelist which Kundera believes himself to be. Therefore, Kundera is not free of narcissism. Nevertheless, the novel is the only place that allows him to ponder over his narcissistic subjectivity by the way of relativization. For Kundera, the novel enables him to escape momentarily the condition of Narcissus, by the solitary and serious game of writing in the margins of hypothesis
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Bunisset, Isabelle. "La dérision dans les premiers romans céliniens." Bordeaux 3, 2002. http://www.theses.fr/2002BOR30023.

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Abstract:
Cette étude a pour visée d'analyser le fonctionnement de la dérision selon une double perspective :l'écriture et l'imaginaire. Il s'est agi, non pas de donner une définition de la dérision , mais d'en dégager les phénomènes et les traductions formelles, d'en déterminer les motivations et les implications intimes, et de révéler l'extraordinaire puissance d'un tel comique qui se situe autant dans les forces vives de l'écriture que dans le déferlement d'un imaginaire débridé. La dérision n'a jamais cessé d'être pour nous la possibilité d'une voie royale menant au texte célinien, à ses richesses, ses profondeurs et ses zones d'ombre. Notre étude aura donc pour tâche de cerner la dérision célinienne, dans sa nature, sa tonalité parodique, sa finalité subversive. Puis notre étude proposera quelques pistes thématiques qui renseignent sur l'imaginaire propre à cette dérision. Dans ces romans, la dérision et la mort ne sont qu'un seul élan et une seule perception confondus. C'est ainsi que l'univers entier est gouverné par l'obsession de la mort, qu'il s'agisse de l'existence fébrile des hommes ou de la dégradation inéluctable du monde matériel. La dérision célinienne ne cesse de ressasser à même le texte cette fatalité atroce et grotesque qui unit les êtres et les choses Nous révélerons aussi cette complicité avec l'univers matériel qui est le défi de l'artiste, la rançon de son éternité. Nous tenterons de prouver que la singularité de la dérision célinienne réside dans l'intensité d'une écriture qui offre un puissant démenti au pessimisme ambiant, et qui ne cesse de combattre la mort dans les mots, dans ce mélange détonant de fougue et de tristesse, de désespoir tonique et de plaintes sarcastiques. Dans un premier temps, nous tenterons d'appéhender la dérision, cette fois-ci du côté des circonstance d'une vie et d'une pratique artistique.
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Vila, Baudry Bérénice. "Le rire de Démocrite et le pleurer d'Héraclite : la figure des philosophes de l'Antiquité dans la littérature espagnole des Siècles d'or." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040233.

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Abstract:
Cette étude porte sur les modalités de présence dans la littérature espagnole des Siècles d’Or de ce que nous considérons être une figure unique, formée par le philosophe qui rit, Démocrite, et le philosophe qui pleure, Héraclite. L’analyse de ses composantes ainsi que sa mise en perspective avec la figure traditionnelle du sage de l’Antiquité, permettent de définir les notions que la figure met en jeu, les problématiques qu’elle soulève et la dynamique qu’elle dessine (chap. 1). La figure de Démocrite et Héraclite apparaît comme une figure qui, de l’Antiquité à la Renaissance, a été commentée, interrogée et enrichie de significations nouvelles (chap. 2). Une vue d’ensemble sur les oeuvres espagnoles des XVIe et XVIIe siècles qui citent cette figure (chap. 3) permet de constater l’ampleur de l’intérêt que celle-ci a suscité dans l’Espagne des Siècles d’Or. Sa mise en oeuvre par les auteurs espagnols révèle l’étendue de ses possibilités de traitement (chap. 4). Figure d’essence dialogique, elle trouve un espace de déploiement naturel dans le dialogue où elle endosse des fonctions et des significations diverses : formelle et normative dans Heraclito i Democrito de nuestro tiempo d’Antonio López de Vega ; satirique dans La Torre de Babilonia d’Antonio Enríquez Gómez (chap. 5). On la retrouve à l’oeuvre chez des auteurs majeurs du XVIIe siècle où son empreinte va bien au-delà de sa présence nominale : dans le Criticón de Baltasar Gracián (chap. 6) ou dans La Dorotea de Lope de Vega (chap. 7). De façon paradoxale, parce qu’elle n’y est jamais citée explicitement, la figure de Démocrite et Héraclite déploie toutes ses potentialités dans le Quichotte de Cervantès (chap. 8 et 9)<br>This study is concerned with the various ways in which Spanish literature of the Golden Age represents the figure of Democritus, the philosopher who laughs, and that of Heraclitus, the philosopher who cries, which I take to be one and the same figure. By analyzing the components of the figure of Democritus and Heraclitus, and contrasting it with the traditional figure of the sage of the Antiquity, I aim at defining the notions it brings into play, the questions it raises and the dynamics that emerge from it (chapter 1). The figure of Democritus and Heraclitus was commented on, questioned, and enhanced with new meanings from Antiquity to the Renaissance (chapter 2). An overview of 16th and 17th century Spanish writings in which this figure is mentioned (chapter 3) shows how much interest this figure elicited during the Spanish Golden Age. Its various uses by Spanish authors reveal the many literary possibilities offered by this dual figure (chapter 4). Due to its essentially dialogic character, it fully develops its potentialities in dialogue, where it takes on various functions and meanings – formal and narrative functions in Heraclito i Democrito de nuestro tiempo by Antonio López de Vega, but satirical ones in La Torre de Babilonia by Antonio Enríquez Gómez (chapter 5). It is also found in the works of major 17th century authors, where its influence goes well beyond its nominal presence, be it in Baltasar Gracián’s Criticon (chapter 6) or in Lope de Vega’s La Dorotea (chapter 7). Paradoxically, it is in Cervantès’ Don Quixote, where it never explicitly appears, that the figure of Democritus and Heraclitus develops its full potentialities (chapter 8 &amp; 9)
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Roche, Bruno. "Le rire des libertins dans la première moitié du XVIIe siècle." Clermont-Ferrand 2, 2009. http://www.theses.fr/2009CLF20011.

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Abstract:
A priori rebelle à toutes les classifications, le rire émis par les "libertins" traduit une posture de supériorité. Les épisodes paradigmatiques des fictions comiques participent de la même attitude de distanciation lucide que celle qu'on remarque chez les érudits. Ce rire possède des enjeux philosophiques et idéologiques dont l'unité est à chercher dans le projet plus ou moins affirmé d'en finir avec la conception théologique de l'homme. Pour d'élémentaires raisons de sécurité, une telle visée devait se déployer sous le masque et le rire, emprunter les voies plus retorses de l'ironie. De ces contraintes sémiotiques et rhétoriques, nos auteurs se sont étonnamment bien accomodés. Dans leurs oeuvres, la pratique de l'équivoque et le dédoublement des pôles de l'énonciation s'avèrent structurels. Solidaire de l'activité érudite, l'inspiration érotique, ce moteur élémentaire du comique qu'on croyait propre au libertinage de moeurs, entérine la thèse épicurienne de l'origine corporelle des idées et alimente la critique antithéologique. Rejetant toute forme de dualisme, les libertins pensent dans la continuité les activités corporelles et psychiques. Pourtant le rire ne se laisse jamais totalement absorber par sa mission. N'étant pas toujours corrélé à une parole claire et démystificatrice, il renvoie au-delà de l'expression rationnelle à des réactions qui donnent matière à des jeux poétiquement féconds. Mu par cette dynamique, le rire libertin évolue sans heurt de l'ironique à l'onirique et favorise une éthique et une esthétique de la jubilation. Par le rire, le libertinage trouve ainsi son ultime et paradoxal accomplissement dans le champ littéraire
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Dubois, Florent. "La voix dans l'oeuvre de Willa Cather." Thesis, Université de Paris (2019-....), 2019. http://www.theses.fr/2019UNIP7183.

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Abstract:
Willa Cather était amatrice d’opéra et sa fiction est peuplée de chanteurs. Si les références musicales qui parsèment son œuvre ont retenu l’attention des critiques, la voix en tant que telle n’a jamais fait l’objet d’une monographie. Objet fuyant, à la frontière entre corps et langage, humanité et animalité, nature et culture, la voix permet de mettre en lumière le rapport au monde particulier que nous présente la fiction cathérienne. Nous examinons ici toutes ses manifestations dans les textes de Cather, depuis le chant lyrique jusqu’à la toux en passant par le rire et les accents régionaux. La première partie prend pour point de départ la rencontre entre la jeune écrivaine et les voix exceptionnelles de la scène, afin d’en souligner la dimension incarnée. La deuxième partie prend le contre-pied de la première, s’intéressant aux voix qui détonnent, sont jugées inadéquates voire rejetées, révélant de quelle manière cette œuvre dont on a pu fustiger l’absence d’engagement se confronte à la société et aux mouvements de l’Histoire. Dans la troisième et dernière partie, nous nous intéressons aux œuvres dans lesquelles le signifié de la voix se dérobe, conduisant à mettre en doute toute capacité de la voix à désigner autre chose qu’elle-même. Le pessimisme des derniers romans s’accompagne en effet d’une crise de la représentation, dont la voix est le symptôme et l’antidote, la jouissance du sonore servant à masquer la faillite du signifiant<br>Willa Cather was a regular operagoer and her fiction is peopled with singers. Although critics have been interested in the musical references scattered throughout her works, a full-length study of voice has never been undertaken. Voice is an elusive object, poised between body and language, humanity and animality, nature and culture. All of its manifestations in Cather’s texts are here examined, from opera singing to coughing to laughter and regional accents. The first part starts with the young writer’s discovery of the exceptional voices of the stage and emphasizes its embodied nature. The second part changes course radically by looking at jarring, inadequate, or rejected voices, uncovering the ways in which these supposedly escapist works grapple with society and the movements of history. The third and final part tackles those novels in which the voice’s signified proves elusive, leading us to question the voice’s ability to refer to anything other than itself. The pessimism apparent in Cather’s later novels is accompanied by a crisis of representation, which the voice is both a symptom of and an antidote to, as the jouissance provided by sounds serves to mask the failure of the signifier
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Manco, Clara. "« In Earnest or Jest » : rire, pouvoir et politique dans les Comédies de la Restauration (1660-1688)." Thesis, Sorbonne université, 2020. http://accesdistant.sorbonne-universite.fr/login?url=http://theses.paris-sorbonne.fr/2020SORUL048.pdf.

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Abstract:
Quel rôle joue le rire dans l'économie symbolique du pouvoir ? Comment reflète-t-il, et dans quelle mesure contribue-t-il en retour à structurer les imaginaires politiques contemporains ? Le moment historique situé entre la Restauration et le changement dynastique de la Glorieuse Révolution constitue un épisode privilégié de l'histoire du théâtre anglais pour aborder ces questions. Après les tourments de la guerre civile et le hiatus des années Cromwell, la scène entretient des liens institutionnels plus étroits que jamais avec le pouvoir de la Couronne. Parallèlement, une opposition émerge et se structure sous la forme du parti Whig. Celle-ci investit aussi très tôt l'institution théâtrale en tirant profit, entre autres, de la dépendance économique de nombreux dramaturges et du personnel théâtral. La comédie s'adapte ainsi à cette triple contrainte (économique, sociale, institutionnelle) en politisant pour l'occasion les stéréotypes qu'elle hérite de traditions antérieures, comme celui du cocu, du dévot ou du débauché. Ces types établis, qui sont le matériau propre de la comédie, deviennent à la fois des images des différents acteurs de l'échiquier politique et des armes au service de ces luttes d'influence. De ces exigences contradictoires émerge alors un mode de production et de réception comique unique, influencé par les pratiques satiriques, et fondé sur l'ambiguïté. Cette étude comparative s'appuie sur un corpus de quarante pièces de vingt et un auteurs différents, allant de figures canoniques comme Dryden, Shadwell et Behn à d'autres moins connues comme D'Urfey, Crowne et Ravenscroft<br>What is the role of laughter in the symbolic economy of power? How does it reflect and shape the minds and political imagination of contemporary society? The historical period between the Restoration and the dynastic shift of the Glorious Revolution constitutes a pivotal point in the history of English theatre in which to explore these questions. Following the violence of the Civil War and the hiatus of the Cromwellian years, the institutional links between the theatres and the Crown become tighter than ever. Meanwhile, the political opposition consolidates itself, becoming the Whig party, and invests in theatrical institutions by taking advantage inter alia of the financial dependence of playwrights and stage personnel. Comedy adapts to these economic, social and institutional constraints by politicising the stereotypes inherited from previous traditions, such as the « cuckold », the « zealot » or the « rake ». These comedic vehicles are used both as mirror images of the actors of political life and as tools serving specific agendas in contemporary power struggles. From these contradictory demands emerges a distinctive mode of comic production and reception, heavily influenced by satiric practices and structured with deliberate ambiguity. This comparative study is based on forty plays by twenty-one different authors, from canonical figures such as Dryden, Shadwell and Behn, to lesser-known authors like D'Urfey, Crowne and Ravenscroft
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Haddad, Dolly. "La verve polémique dans les lettres de Voltaire de 1758 à 1770." Nice, 1996. http://www.theses.fr/1996NICE2009.

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Abstract:
Siècle de la "terreur intellectuelle", du gouvernement des prêtres, le dix-huitième siècle est aussi celui de l'éclosion d'une parole philosophique qui tente de se libérer de ses fers par une verve révoltée, polémique. La correspondance de voltaire nous conte l'itinéraire d'un philosophe "engagé" armé du rire, en croisade contre l'ennemi : défenseurs du trône et de l'autel, chevaliers d'une entité tantôt concrète, tantôt abstraite, l'"infâme", présentée comme l'envers de la religion. Cette correspondance nous révèle également le risque que courait le polémiste entré en campagne au nom de la raison et les mesures préventives prises pour échapper à la répression. Dans ce combat philosophique mené religieusement, Voltaire s'acharne également sur Jean-Jacques Rousseau, mais l'attaque n'est pas à détacher de la lutte contre l'"infâme". En effet, en désertant le camp philosophique et en désignant dans ses fameuses Lettres écrites de la montagne, Voltaire comme auteur d'un écrit irréligieux, Jean-Jacques tombait dans le camp adverse. Jamais Voltaire ne lui pardonnera cette "trahison". Mais Jean-Jacques est aussi le rival politique de Voltaire dans la "guerre civile" de Genève<br>Century of intellectual terror, of priest government, the eighteenth century also gave birth to a polemic voice that tries to free itself from its chains through a revolted polemic verve. Voltaire's correspondence relates an "engaged" philosopher armed with laughter, a philosopher in crusade against the enemy : the defenders of the royalty and the church, knights of an entity, sometimes concrete, sometimes abstract, the "infame" presented as the reverse of religion. This correspondence also reveals the risk which the polemicist encountered in campaign in the name of the reason and the preventive measures taken in order to escape repression. In this philosophical struggle lead religiously, Voltaire also attacks J. J. Rousseau. But this attack must not be detached from the fight against l'"infame". Indeed, by deserting the philosophical camp and by designating Voltaire in his famous "Lettres écrites de la montagne" as the author of an irreligious work, J. J. Rousseau fell
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Kamar, Abdulkarim. "Le sentiment de dérision dans le théâtre de Jean Anouilh." Besançon, 2001. http://www.theses.fr/2001BESA1001.

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Abstract:
Nous nous chargeons, dans notre étude sur le théâtre de Jean Anouilh, d'analyser le sentiment de dérision dans le théâtre de Jean Anouilh. Le premier volet de ce travail est consacré à l'expression de la dérision dans l'oeuvre de jeunesse d'Anouilh. Nous mettons en lumière la manière dont l'angoisse se traduit dans cette première période : d'abord, par une révolte et un refus foncier de l'ordre du monde. D'autant plus que le pessimisme, qui jalonne les pièces de l'auteur ne s'arrête pas aux limites d'un simple refus des personnages du monde tel qu'il est, mais il devient la cristallisation d'une noirceur humaine. Le théâtre constitue en effet, une bouée pour échapper à la solitude. Toutefois, l'auteur transmet ses idées de la société et de la vie par le jeu du théâtre : théâtre comme la vie comme une éternelle scène de théâtre et le théâtre comme le meilleur endroit pour jouer la vie. . .
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Ben, Slama Kaouther. "Le réel et le simulacre dans l'oeuvre d'Anne Rice : une approche postmoderne." Grenoble 3, 2005. http://www.theses.fr/2005GRE39037.

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Abstract:
Ce travail examine l'œuvre d'Anne Rice à travers une approche postmoderne. L'étude de quelques œuvres de Rice permet de démontrer que l'œuvre est postmoderne aussi bien sur le plan thématique que sur le plan esthétique. Les histoires que Rice nous raconte sont déconstruites, aucune vérité n'est atteinte car elle est relative et aucune certitude n'est saisie car elle est évasive. Les romans de Rice ne sont pas de simples histoires gothiques divertissantes. Elles exposent des débats philosophiques et étalent des opinions qui se confrontent dans un espace gothique ce qui affaiblit la frontière entre réalité et fiction. Rice s'approprie des conventions gothique tels que l'atmosphère, l'exotisme et les êtres surnaturels, mais elle opte pour une nouvelle péripétie en plaçant ses protagonistes dans un cadre postmoderne.
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Dardompré, Carey. "La lodyans, un romanesque haïtien perspectives historique, poétique and didactique. Perspectives historique, poétique and didactique." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. http://www.theses.fr/2018USPCA027.

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Abstract:
Cette recherche tente de montrer comment la lodyans (en créole) ou « l'audience » (en français) est un genre littéraire typiquement haïtien. La lodyans peut être décrite comme l'art de raconter des histoires. Elle commence avec cette définition donnée par Georges Anglade : « La lodyans est un genre littéraire spécifiquement haïtien dont les racines plongent au plus profond de la culture haïtienne, au même niveau que la langue créole d'Haïti et le vodou haïtien. La personne qui raconte la lodyans ou les histoires est appelée un lodyanseur ». De 1905 jusqu'à nos jours, de nombreux écrivains haïtiens se sont servis de la lodyans comme d'un arrière-plan pour leurs œuvres littéraires. Parmi eux, on peut citer Justin Lhérisson, Fernand Hibbert, Maurice Sixto, et Gary Victor. Ce groupe comprend aussi Georges Anglade, le premier à avoir écrit une théorie du genre ; René Depestre, Frank Etienne et Dany Laferrière, sans être des lodyanseurs, ont été très influencés par le style de ceux qui se sont reconnus comme tels. En nous appuyant sur l'œuvre de ces lodyanseurs, et sur la critique de Mikhaïl Bakhtine, nous souhaitons prouver que la lodyans est un genre classique, même lorsqu'il frôle le grotesque<br>This study will seek to explore lodyans (in Creole) or « l’audience » (in French) as a Haitian literary genre. Lodyans can be described as the art of telling stories. Hughes St. Fort in his review of Haitian Laughter written by Georges Anglade (2006), cites the writer who describes it as follows: ‘‘The lodyans is a uniquely Haitian literary genre whose roots are found in the deepest soil of Haitian culture, at the same level as Haitian Creole language and Haitian vodou. The person who tells the lodyans or stories is known as a lodyanseur’’. From the 1905 to present, many Haitian writers have been used loydyans as a background for their literary works. Among them we cite the following: Justin Lhérisson, Fernand Hibbert, Maurice Sixto, and Gary Victor. This group also includes Georges Anglade, the first to write a theory of the genre; René Depestre, Frankétienne and Dany Laferrière who are not lodyanseurs, but are very influenced by the writing style of those known as such. Based on the works of these lodyanseurs, and the critique of Mikhail Bakhtin, we wish to prove that lodyans is a classical genre even when it borders on the grotesque
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Goffinet, Bruno. "Entre Kuma et Kune. Lectures socio-littéraires des rires romanesques dans la Collection « Monde noir poche », Hatier 1980-1988." Thesis, Sorbonne université, 2021. http://www.theses.fr/2021SORUL169.

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Abstract:
Afin de comprendre la structuration authentique du récit fictionnel africain, on peut détacher délicatement les strates du Sérieux apparent et de la Dérision réaliste de plusieurs mondes en révolution permanente. C’est la mission que s’est fixée cette thèse, au premier sens du terme « symbolique », dans la mesure où elle se confronte d’abord aux grandes théories du rire en littérature, en tant qu’action sociale partant d’une quête ésotérique native. Avançant dans la démystification de l’objet et du sujet écrivant/lisant en fin post-colonialisme trentenaire, on découvre une armature immémoriale de statuts initiés sans cérémonie, faite de princes déchus, de novices aveugles ou de sorcières mal aimées, qui suggèrent avec beaucoup d’autres une tentation : celle de distinguer, sous la page imprimée en coopération, une distribution de tragi-comédie inhumaine, survolée par l’Écrivain noir unique, guidé en ses enfers par un philosophe naturel. Dans cette recherche de l’ironique survie ancestrale, grâce à la risible contingence humaine, l’ordonnancement des signes africains dévoile à son tour la refondation d’un discours vieux comme le Cynisme historique, dévoyé par ses avatars pragmatiques-inertes, vite devenus machiavélismes éternels. À la lumière de cette lanterne romanesque en plein jour sociétal du sous-continent françafricain ténébreux, les rires spontanés ou cultivés, et des éclats plus subtilement enformulés trouvent un chemin à leur démarche supposée commune : promouvoir littérairement individus et collectivités dans un monde noir débarrassé de la barbarie innommable et sans un scrupule d’humour, sinon sadique<br>So as to unterstand the authentic structuration of the africain fictional story, strata can be gently removed from the patent Serious and the realistic Derision out of several universes on their permanent revolving orbit. It is the mission assumed by this thesis, by the first meaning of the word « symbolic », insofar as it first confronted with the great theories of laughter in literature as a social action coming from an esoteric native quest. Promoting demystification both of the writing and readind object and of the subject at the end of a thirty-year ood period of post-colonialism, an immemorial framework of initiated status can be discovered, made of deposed princes, blind novices or unloved witches. They suggest, along with many others, a temptation : to distinguish, under the page printed by cooperation, the casting of an inhuman tragicomedy overflew by the unique black Writer, guided throught his hells by a natural philosopher. In this research of the ironical ancestral survival, thanks to the risible human contingency, this arrangement of the african signs reveals in its turn the refoundation of a discourse as old as the historical Cynism. This has been misguided by its inert-pragmatic avatars, quickly transformed into permanent machiavellianisms. Under the illumining of this novelistic lantern, in the societal daylight of the dark franco-african subcontinent, the spontaneous or cultured laughters, and the more subtly expressed roarings, find a way for their supposed common approach : to literarily promote individuals and collectivities, in a black world freed from unspeakable barbarity, lacking in the least scruple of humour other than a sadictic one
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Ordynski, Rémi. "Montaigne et les traditions de consolation, « pour moy, ou pour un autre »." Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2023. http://www.theses.fr/2023PA030055.

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Abstract:
La critique récente a ouvert la voie à une meilleure compréhension des traditions antiques de consolation et de leurs modalités de résurgence à la Renaissance. La présente thèse propose d’en analyser l’influence sur l’écriture de Montaigne, de l’édition des œuvres de La Boétie de 1571-1572 jusqu’à celle des Essais de 1595. Cet héritage ne passe pas seulement par la lecture et la réécriture de textes antiques, mais également par le dialogue avec des pratiques contemporaines de l’auteur, à la fois sociales, philosophiques et scripturaires. L’essai des traditions consolatoires se manifeste par un examen critique de celles-ci mais également par une expérience mouvante et protéiforme, ainsi que par une véritable mise à l’épreuve de ces procédures. Multipliant les références au thesaurus consolatoire tout en cultivant l’infraction, l’infléchissement et le dévoiement, Montaigne met à mal ces traditions sans jamais les congédier définitivement. Une lecture rhétorique des Essais, à la lumière des préceptes d'écriture consolatoire appliqués aux lettres (Érasme, Fabri), à la poésie (Scaliger) ou aux discours (Vossius, Keckermann), révèle en effet la pratique, jusque dans les derniers chapitres et sur l’Exemplaire de Bordeaux, d’un type de parénèse que l’ironie ne suffit pas à disqualifier. Ce mode de discours met en relation un « je » et un « tu » qui ne se superposent pas exactement avec l’auteur et le lecteur. Dans cet espace – ce jeu –, s’instaure la recherche d’une autonomie et d’une singularité dans la façon de se dire et de se vivre, processus qui n’a de sens que dans la mesure où il requiert et sollicite l’autre<br>Recent research has opened the way to a better understanding of ancient consolatory traditions and the forms of their revival during the Renaissance. This dissertation aims at studying how they may have influenced Montaigne’s writings from the edition of works by La Boétie (1571-1572) to the publication of the Essais in 1595. This legacy does not only involve the reading and re-writing of ancient texts, it also establishes a dialogue with some practices that were contemporary to the author, whether they be social, philosophical or literary. The essay on consolatory traditions displays a critical analysis of these practices but also a shifting and protean experience and it singles itself out as a real assessment of these procedures. While constantly referring to the consolatory thesaurus, Montaigne also devotes himself to bending and altering these traditions which he questions without dismissing them altogether. A rhetorical analysis based on the treatises on letters (Erasm, Fabri), poetry (Scaliger) or speeches (Vossius, Keckermann) reveals the actual use, up to the last chapters and on the Bordeaux Copy, of a type of parenesis that irony alone cannot invalidate. This mode of expression connects an "I" and a "You" that do not correspond exactly to the author and the reader. In this in-between area, we can find the search for an autonomy and a singularity in the way of expressing oneself and experiencing life, a process that can only become meaningful if it calls upon and appeals to the other
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Muhiddin, Timur. "Istanbul rive gauche : le mythe de Beyoğlu dans la prose turque contemporaine (1870-1980)." Paris, INALCO, 2012. http://www.theses.fr/2012INAL0011.

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Abstract:
Istanbul rive gauche est envisagé comme référence au Quartier latin, considérant que Beyoğlu en est arrivé à incarner un mythe au moins aussi puissant que son équivalent parisien. Ce travail entend donc analyser la relation privilégiée qu'entretiennent Istanbul et Paris depuis les débuts de la modernisation de l'Empire ottoman. Outre l'ample mouvement de traduction de littérature française, le voyage à Paris se présente comme la condition première pour élaborer un nouveau paysage urbain dans la prose turque et confirmer l'existence d'une Bohème locale qui deviendra la marque distinctive de Pera/Beyoğlu. Dans la vie comme en littérature. Au cours du XXe siècle, ce mythe de la Grande ville a connu des phases successives de désenchantement et de décadence (vues par trois générations d'auteurs) avant de permettre l'émergence d'une littérature nationale plus autonome<br>The Istanbul Left Bank is meant as a reference to the Latin Quarter since Beyoğlu has come to embody a myth at least as powerful as its Parisian equivalent. The present study aims at analyzing the special relationship linking Istanbul to Paris since the early days of modernization in the Ottoman Empire : in addition to the vast translation movement from French authors, the journey to Paris stands as the first and foremost condition for authors prone to establish a new urban landscape in Turkish fiction and to confirm the local brand of Bohemia as a distinctive aspect of Pera / Beyoğlu. Both in life and literature. Ali along the XXth century, that dominant Big City mythology has gone through the successive phases of disillusionement and decadence which three generations of writers express in their novels and short-stories. Eventually, this shift has allowed for a more autonomous Turkish literature to emerge
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Pop, Mihaela Alexandra. "Aspects de l'imaginaire politique médiéval dans la littérature roumaine des XVIe et XVIIe siècles." Lyon 3, 2008. https://scd-resnum.univ-lyon3.fr/out/theses/2008_out_pop_ma.pdf.

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Abstract:
La présente étude se propose d'analyser un aspect de l'imaginaire politique médiéval roumain : la dynamique du mythe du voïévode roumain telle qu'elle se dégage de la littérature roumaine des XVIe et XVIIe siècles. Les Conseils de Neagoe Basarab pour son fils Théodose est le texte littéraire utilisé, dans un premier moment pour une analyse comparative de l'imaginaire des rituels politiques et religieux byzantins et roumains. L'Histoire Hiéroglyphique de Dimitrie Cantemir est le texte baroque choisi, dans un second moment, pour révéler le déclin du modèle mythique médiéval pendant le XVIIe siècle. L'analyse prouve que la théorie du « bassin sémantique » de Gilbert Durand fonctionne aussi dans la culture roumaine et que les mythes fondamentaux sont soumis non seulement au développement et au déclin mais connaissent aussi à des périodes de subsistance lorsqu'ils peuvent être utilisés comme instruments de propagande politique (le cas du communisme roumain). Pour une meilleure compréhension, nous avons traduit en annexe plusieurs extraits des deux textes littéraires analysés<br>This work analyzes the dynamics of the myth of the Romanian medieval prince as it reveals itself in the Romanian literature of the XVI-th and XVII-th centuries. Teachings of Neagoe Basarab to his son Theodosius is the literary text used for a comparative analysis between the imaginary of the Byzantine and Romanian political and religious rituals. Dimitrie Cantemir's Hieroglyphic History is the baroque text chosen to reveal the decline of the medieval prototype during the XVII-th century. Our analysis proves that Gilbert Durand's theory of the "semantic area” works also within the Romanian culture, and the fundamental myths are submitted not only to development and decline but also to subsistence periods when they can be used as instruments of political propaganda (the case of the Romanian communism)
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Al, Iftaihat Mareim. "Le comique problématique dans l'œuvre d'Eugène Ionesco." Thesis, Lyon 2, 2013. http://www.theses.fr/2013LYO20058.

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Eugène Ionesco est un «nouveau classique» dont la dramaturgie est à la fois en rupture avec la dramaturgie traditionnelle et en progrès sur elle, la dramaturgie ionescienne est alors labyrinthique. Les composants de cette dramaturgie sont également labyrinthiques : la construction dramatique, les personnages, le langage, le temps et l'espace. Ce labyrinthe total mène à une absurdité totale celle de l'indécision et de déséquilibre. Pour envisager cette absurdité, l'homme ionescien a recours à la révolte, à l'indifférence et au rêve, mais il se heurte toujours à sa condition tragique d'un errant sans racines ni buts. Il ne lui reste alors que le rire, d'où la naissance d'un comique à la recherche de son identité. C'est le comique problématique d'Eugène Ionesco. L'aspect problématique de ce comique est dû aux points suivants : premièrement, sa naissance dans une ambiance labyrinthique crée l'absurde qui rend incertaine même l'humanité de l'homme. Deuxièmement, ce nouveau comique s'inspire du comique classique de Molière, mais son essence n'est plus d'instruire, de corriger ou de plaire mais de réfléchir. Troisièmement, ce comique révèle la condition tragique de l'homme par des scènes qui augmentent l'angoisse au lieu de la dissiper. Par conséquent, c'est un comique problématique soit par rapport au tragique, soit par rapport au rire qui devient, à son tour, un effet du tragique. C'est pour cette raison que ce comique reste ouvert à de multiples hypothèses même celle de son inexistence<br>Eugene Ionesco is a "new classic" which is both dramatic break with the traditional drama and progress on it, the ionesco's dramatic is so labyrinthine. The components of this dramatic are labyrinthine: the dramatic structure, personages, language, time and space. This total maze leads to the utter nonsense of indecision and imbalance. To consider this absurdity, the ionescien man uses the revolt, indifference and dreams, but he still faces his tragic condition of a rootless wanderer or goals. He is left while laughing, hence the birth of a comic in search of his identity. This is the comic problematic of Eugene Ionesco. The problematic of this comic appearance is due to the following points: first, his birth in a labyrinthine environment creates the absurd makes uncertain even the humanity of man. Second, this new comic inspired by the classic Molière comic, but its essence is not to instruct, correct or pleasing but to reflect. Thirdly, the comic reveals the tragic condition of man by scenes that increase anxiety rather than dissipate. Therefore, this problematic is a comic or tragic compared to or relative to laughter becomes, in turn, an effect of tragedy. It is for this reason that this comic remains open to many assumptions even of its nonexistence
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Kahia, Béchir. "L'ironie dans l'oeuvre de Jean Giono d'après-guerre." Thesis, Aix-Marseille, 2015. http://www.theses.fr/2015AIXM3000.

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Abstract:
L'ironie atteint au plus complexe par le plus simple, à la raison par l'irrationnel, à la puissance par la douceur, au sérieux par la raillerie. C'est l'éclosion de l'art de subversion ironique. Dans la tradition rhétorique, nulle mention n'est faite d'une forme d'utilisation littéraire de l'ironie qui permettrait au sein d'une oeuvre romanesque, dramatique ou poétique l'intrusion de la figure de l'auteur. Dans la période d'après-guerre, on voit un nouveau Giono qui renouvelle l'édifice de son oeuvre sur une sorte de vertige : l'ironie, les sous-entendus, l'implicite, les vides narratifs aussi bien dans le style que dans la conception du monde. Les oeuvres qui paraissaient au moment où naît cette ère du soupçon qui a divisé l'oeuvre et a changé l'esthétique de l'écrivain, sont les plus marquées par l'ironie. Giono assigne l'ironie à un foyer de production fictionnelle qui ne saurait bénéficier de quelques immunités philosophiques, esthétiques, techniques. L'ironie c'est aussi l'effet des procédés typographiques. Dans cet univers, toute authenticité risque d'être pervertie dans un roman. Mais l'ironie de Giono est avant tout une vision tragique du monde. Elle est également une interprétation de la condition humaine. Le romancier est donc celui qui nage dans les eaux troubles de la contradiction. Il examine le monde en dévoilant les ambiguïtés<br>The irony achieves to the most complex by the simplest, to the reason by the irrational, to the power by the sweetness, to the seriously by the mockery. It is the hatching of the art of the ironic subversion. In the Rhetoric tradition, no mention was made of a shape of a literary use of irony which would allow within a novelistic, dramatic or poetic work, the intrusion of the figure of the author. In the post-war period, we see a new Giono who renews the building of his work on a kind of dizziness: the irony, the allusions, the implicit and the narrative emptiness, in the style and in the conception of the world as well. The works which appeared as is born this era of suspicions which divided the work and changed the esthetics of the writer, are the most marked by the irony. Giono assigns the irony to a home of fictional production which could not benefit philosophical, esthetical, and technical immunity. Irony is also the effect of the typographic processes. In this universe, any authenticity risks to be perverted in a novel. But the irony of Giono is primarily a tragic vision of the world, a form of belonging to this world and a way of participation in its mockeries and its delights. It is also an interpretation of the human condition. The novelist is thus the one who swims in shady waters of the contradiction. He examines the world by revealing the ambiguities
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Mangeard-Bloch, Nathalie. "La rentrée dans les albums de littérature de jeunesse : normes et représentations d'un rite de passage de la petite enfance." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCB187.

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Abstract:
De nombreux albums de littérature de jeunesse se proposent de désamorcer la tension dramatique qui entoure l'entrée à l'école du jeune enfant en mettant en scène ce premier jour. Ces ouvrages qui s'adressent aux enfants les plus jeunes et à leurs parents sont inscrits dans une double dynamique : miroir social et fabrique de représentations, ils participent à l'élaboration et à la transmission des codes et règles de l'entrée dans cette nouvelle vie sociale. Ils constituent des témoins privilégiés d'une épreuve de socialisation où le « métier d'élève » est constamment redéfini. L'analyse de contenu d'un corpus de 158 ouvrages (documentaires et fictions) propose de façon diachronique (de 70 à nos jours) et synchronique, d'inventorier les normes associées aux mises en représentation de ce rite de passage. Il s'agit de saisir comment évoluent et s'organisent ces systèmes de représentation, quelles définitions sociales de l'enfance les sous-tendent, et de quelle façon ils s'inscrivent dans un univers éditorial fortement hiérarchisé. Des entretiens menés auprès des auteurs des ouvrages visent dans ce sens à interroger le processus de fabrication de ces normes en pointant les éventuels conflits de normativités générés par les logiques qui s'entrecroisent au sein du champ de production de ces livres<br>Numerous children's books try to lessen the stress for young children, related to the beginning of a new school year, by depicting this first day back. These publications, which are aimed at very young children and their parents, act in two ways: they provide a mirror of society, and paint a picture, as they contribute to the development and communication of the different codes and rules linked to this new step in life. They provide a priceless account of this new challenge, in which the "role of the pupil" is constantly being redefined. In this analysis of a body of 158 works and their content (documentaries and fictions) we will try to make an inventory, diachronically (from 1970 to present day) and synchronically, of the connected norms and portrayals of this key moment in childhood. The aim is to understand how these different portrayals have evolved and have been structured, which underlying social definitions of childhood can be detected, and in what way they fit into a highly ordered editorial sphere. The interviews carried out with the authors of these publications aim to question the process used to create these norms, highlighting any potential conflicts regarding normative values generated by logical ideas which cross over in the context of the production of these books
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Crepiat, Caroline. "Le sujet lyrique dans la poésie du Chat Noir (1882-1897)." Thesis, Clermont-Ferrand 2, 2016. http://www.theses.fr/2016CLF20008.

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Abstract:
La fin du XIXe siècle voit éclore un grand nombre de « petites » revues littéraires et artistiques, liées aux avant-gardes et à la bohème. Parmi elles, Le Chat Noir (1882-1897), créée par Rodolphe Salis et Émile Goudeau pour assurer la promotion du désormais célèbre cabaret éponyme. On y publie des contes, des histoires drôles et sans paroles, mais aussi de la poésie. Le présent travail entend étudier de plus près ces poèmes, à la lumière de la crise qui agite alors la production littéraire. Il s’agit plus précisément d’analyser le traitement qui est fait de la notion de sujet lyrique, « principe structurel » (Käte Hamburger) du lyrisme. Dire " je" semble en effet perdre tout sens aux yeux de ces poètes, non seulement du fait du poids de la tradition qu’il est de bon ton de subvertir au nom de l’esprit fumiste dont ils se réclament, mais encore du régime collectif au sein duquel ils s’expriment. Toutefois, les multiples provocations à son encontre permettent aussi à ces artistes de disséquer et de questionner cette notion, et même de se la réapproprier, tant collectivement qu’individuellement. Une réflexion croisée, à la fois poétique, esthétique et sociopoétique, nous amènera à définir les logiques, enjeux et stratégies d’un tel positionnement<br>The end of the 19th Century is a key period for the « little » literary and artistic journals, produced by avant-garde and bohemian groups. One of them, Le Chat Noir (1882-1897), created by Rodolphe Salis and Émile Goudeau to promote the famous and eponymous cabaret. Tales, humoristic texts, illustrations or poetry appear in its columns. The present thesis aims for a closer study of these poems, in the light of the crisis which troubles the literary production. It is more precisely to analyse how the notion of the lyric subject, which is considered as the « structural principle » (Käte Hamburger) of lyricism, is treated. Indeed, saying « I » seems to lose sense for these poets, not only because of a tradition that is to subvert for the « fumiste » spirit’s sake which they claim, but also because of the collective context in which they find a space of expression. However, those provocations against the lyrical « I » is also for these artists a way to question and dissect it, and even to reappropriate it, for the collective as much as the individual distinction. A mixed reflexion, based on poetic, esthetic and « sociopoétique » analysis, will lead us to define the logics, stakes and strategies of such a position
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Razaimiandrisoa, Nirina. "Représentations de la société malgache dans les nouvelles d'un auteur malgache des années 30, Alfred Ramandiamanana (1886-1939)." Thesis, Paris, INALCO, 2013. http://www.theses.fr/2013INAL0028.

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Abstract:
La thèse porte sur les représentations de la société malgache dans les nouvelles d’un auteur des années 30, écrivant en malgache, Alfred RAMANDIAMANANA (1886-1939). Ecrivain, poète et nouvelliste au début de l’époque coloniale à Madagascar de 1906 à 1939, Ramandiamanana, nostalgique de l’époque précoloniale va s’affilier à une société secrète nationaliste découverte vers la fin de 1915 qui fut un mouvement intellectuel dont les principaux objectifs étaient de préserver l’unité nationale et la lutte pour le développement de Madagascar. Pendant presque trente ans il a publié soit des poèmes, soit des textes d’analyses, soit des nouvelles, dispersés dans les premiers journaux non confessionnels malgaches du début du XXe siècle. D’où l’intérêt de s’interroger sur le sens que prennent ses diverses formes d’écrits tout en les remettant dans leur contexte historique.La thèse se présente en deux volumes. Le volume I Analyse étudie l’articulation entre l’histoire et le contexte politique ainsi que le statut de la langue malgache par rapport à la langue française introduite par la colonisation. Durant cette période de pacification coloniale, la presse étant muselée par la censure, la répression étant sévère, l’analyse porte sur les façons dont les intellectuels se sont approprié la langue en intégrant la critique de la société coloniale et de la société malgache de l’époque en utilisant un langage codé. L’auteur utilise également le rire pour faire passer son message aux lecteurs. Ses œuvres expriment l’engagement culturel de l’auteur. Le deuxième volume comprend les 48 textes en malgache avec la traduction française réalisée par Nirina Vololomaharo RAZAIMIANDRISOA. Le vocabulaire utilisé, ainsi que le contexte d’écriture n’est pas toujours connu du public actuel, des explications détaillées dans des notes de bas de page sont fournies<br>The thesis focuses on the representations of the Malagasy society in the short stories of the writer of the 30s, writing in Malagasy, Alfred RAMANDIAMANANA (1886-1939).Writer, poet and short story writer at the beginning of the colonial era in Madagascar from 1906 to 1939, Ramandiamanana, nostalgic of the pre-colonial era joined a secret nationalist society discovered towards the end of 1915. The secret society turned out to be an intellectual movement whose main objectives were to preserve the national unity and the struggle for the development of Madagascar. For nearly thirty years, he published either poems, or text analysis, or short stories, dispersed in the first Malagasy non-denominational newspapers of the early twentieth century. It becomes therefore interesting to reflect on the direction taken by these various forms of writings while putting them in their historical context.The thesis is presented in two volumes. Volume I, the Analysis, examines the relationship between history and politics as well as the status of the Malagasy language in relation to the French language introduced by colonialism. During this period of colonial pacification, the press was muzzled by censorship and the repression was severe. Thus, the analysis focuses on the ways in which the intellectuals took over ownership of the language while taking into account the critique of the colonial society and the Malagasy society of the time, using a coded language. The author also uses laughter to get his message across to the readers. His works express the cultural commitment of the author.Volume II consists of 48 texts in Malagasy with the French translation by Nirina Vololomaharo RAZAIMIANDRISOA. Granted that the language used and the context are not always known to the public today, detailed explanations are provided in footnotes
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Kiès, Nicolas. ""Rencontrer en devisant" : La conversation facétieuse dans les recueils bigarrés des années 1580 (Du Fail, Cholières, Bouchet)." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040091.

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Abstract:
Autour de l’année 1585 paraissent en France des recueils dialogués cultivant l’hybridité formelle et le mélange des tons : les Contes et discours d’Eutrapel de Noël du Fail, les Matinées et les Apresdisnées de Cholières ainsi que les Serées du libraire-imprimeur poitevin Guillaume Bouchet. Exploitant une des potentialités du Décaméron de Boccace, ils mettent l’accent sur la pratique des « devis », c’est-à-dire sur les conversations nouées par des compagnies conteuses. Ces « contes et discours bigarrez » font alterner les bribes de nouvelles, les anecdotes plaisantes et les railleries avec les matières les plus graves, fiches historiques, apophtegmes édifiants et développements juridiques. En un curieux mélange, l’art de « rencontrer » (de dire des bons mots) s’y mêle à l’érudition la plus ostentatoire. Au carrefour de l’histoire des formes littéraires et de la sociabilité, les notions de « facétie » et de « devis » permettent d’interroger la singularité de ces textes, en termes à la fois poétiques et sociaux. Le genre de la facétie humaniste y est de mieux en mieux assimilé, tandis que le dialogue philosophique cède la place à de souples conversations, qui redéfinissent les rapports des plaisanteries aux savoirs. En décrivant les réactions des interlocuteurs, ces textes mènent aussi une réflexion sur la sociabilité et les normes de la civilité. Alors que le royaume est en proie aux guerres civiles, ces conversations facétieuses esquissent des modèles de coexistence originaux, valorisant la liberté de parole, les conflits ludiques et les ententes paradoxales. À la veille du Grand siècle se décide un tournant important de l’histoire de la conversation, entre urbanité et rusticité, politesse et gauloiserie<br>Dialogued works, hybrid in form and presenting a variety of tone, make their appearance around the year 1585, in the Contes et discours d’Eutrapel by Noël du Fail, Cholières’ Matinées and Apresdisnées, and Serées, by Poitou-native printer and bookseller, Guillaume Bouchet. Inspired by a potentiality offered by Boccaccio’s Decameron, the authors place the accent on the practice known as “devis”, or conversations that are started up in a storytelling mode. These “contes et discours bigarrez” alternate snatches of novellas, pleasant anecdotes and teasing mockery with more serious material, including historical notes, edifying apophthegms and legal developments. In a curious mélange, the art of “rencontrer” (being witty) is offset by showy erudition. At the crossroads of the history of literary forms and sociability, the notions of “facétie” and “devis” enlighten the singularity of these texts, in both poetic and social terms. The genre of humanistic witticism is increasingly integrated, while philosophical dialogue gives way to agile conversation, which redefines the relation between joking and learning. In describing the reactions of the persons addressed, these texts also invite research into the sociability and the civility codes of the day. At a time when the kingdom is rife with civil wars, these facetious or witty conversations are original models for coexistence, where freedom of speech, playful clashes and paradoxical agreements play leading roles. Part urbane, part countrified, between courteous and bawdy, an important turning point in the history of conversation is reached here, on the eve of the Grand Siècle
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Glinska, Klementyna Aura. "La "comédie latine" du XIIe siècle : rhétorique et comique." Electronic Thesis or Diss., Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040163.

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Abstract:
Le corpus des ‘comédies élégiaques’ ou ‘comédies latines’ du XIIe et du XIIIe siècle a été perçu comme un ensemble de textes étranges, dont la place dans la tradition littéraire était, pourtant, clairement définie. La notion de ‘comédie élégiaque’ désigne en effet la tradition théâtrale comme point de référence essentiel dans la formation du ‘genre’. L’objectif de la présente thèse est de déconstruire le concept de ‘comédie élégiaque’ et de décrire les textes du corpus, composés au XIIe siècle, tout en respectant leur historicité. Le mot ‘comique’ se rapporte ici à comoedia en tant que phénomène historique et non pas aux catégories anthropologique, philosophique ou psychologique ; ‘faire rire’ n’est ici qu’une des réponses possibles. La révision des sources fondamentales pour la formation des savoirs médiévaux de la comédie antique, ainsi que la lecture des poetriae du XIIe et XIIIe siècle, permet de préciser le sens du terme comoedia, employé par les auteurs des comoediae du Val de Loire et par leurs lecteurs. L’étude des rapports des comédies élégiaques avec la tradition de la comédie antique implique, en outre, l’examen de leurs paratextes et de leurs cotextes, dont l’ensemble est déterminé par les manuscrits conservés. Ainsi, l’analyse du contexte historique, idéologique et théorique, ajoutée à l’étude des manuscrits des comédies élégiaques, permet de définir ces compositions en tant que textes qui forment et incarnent les règles rhétoriques et éthiques exposées dans les poetriae<br>The corpus of ‘elegiac comedies’, or 12th and 13th-century ‘Latin comedies’, was perceived as an anthology of some curious texts, the literary tradition of which was, nevertheless, clearly defined. Indeed, the notion of 'elegiac comedy’ designates the theatrical tradition as a point of reference, which is essential for the formation of' the ‘genre’. The objective of this thesis is to deconstruct the concept of ‘elegiac comedy’ and to describe the 12th-century texts of the corpus in exact accordance with their historicity. The word ‘comic’ refers here to comoedia as a historical phenomenon and not to some categories of anthropological, philosophical or psychological nature; the ‘laughter’ is not but one of the possible answers. The revision of the sources fundamental for the formation of medieval knowledge of ancient comedy as well as the interpretation of 12th- and 13th-century poetriae help to shed light on the meaning of the term comoedia employed both by the authors of comoediae from the Loire Valley and by their readers. The study of the relations of the elegiac comedies with the tradition of ancient comedy involves, moreover, the examination of their paratexts and co-texts, the body of which is determined by the preserved manuscripts. Thus, the analysis of the historical, ideological and theoretical context, as well as the study of manuscripts of the elegiac comedies, define these compositions as the texts that form and embody the rhetorical and ethical rules exhibited in the poetriae
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Glinska, Klementyna Aura. "La "comédie latine" du XIIe siècle : rhétorique et comique." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040163.

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Abstract:
Le corpus des ‘comédies élégiaques’ ou ‘comédies latines’ du XIIe et du XIIIe siècle a été perçu comme un ensemble de textes étranges, dont la place dans la tradition littéraire était, pourtant, clairement définie. La notion de ‘comédie élégiaque’ désigne en effet la tradition théâtrale comme point de référence essentiel dans la formation du ‘genre’. L’objectif de la présente thèse est de déconstruire le concept de ‘comédie élégiaque’ et de décrire les textes du corpus, composés au XIIe siècle, tout en respectant leur historicité. Le mot ‘comique’ se rapporte ici à comoedia en tant que phénomène historique et non pas aux catégories anthropologique, philosophique ou psychologique ; ‘faire rire’ n’est ici qu’une des réponses possibles. La révision des sources fondamentales pour la formation des savoirs médiévaux de la comédie antique, ainsi que la lecture des poetriae du XIIe et XIIIe siècle, permet de préciser le sens du terme comoedia, employé par les auteurs des comoediae du Val de Loire et par leurs lecteurs. L’étude des rapports des comédies élégiaques avec la tradition de la comédie antique implique, en outre, l’examen de leurs paratextes et de leurs cotextes, dont l’ensemble est déterminé par les manuscrits conservés. Ainsi, l’analyse du contexte historique, idéologique et théorique, ajoutée à l’étude des manuscrits des comédies élégiaques, permet de définir ces compositions en tant que textes qui forment et incarnent les règles rhétoriques et éthiques exposées dans les poetriae<br>The corpus of ‘elegiac comedies’, or 12th and 13th-century ‘Latin comedies’, was perceived as an anthology of some curious texts, the literary tradition of which was, nevertheless, clearly defined. Indeed, the notion of 'elegiac comedy’ designates the theatrical tradition as a point of reference, which is essential for the formation of' the ‘genre’. The objective of this thesis is to deconstruct the concept of ‘elegiac comedy’ and to describe the 12th-century texts of the corpus in exact accordance with their historicity. The word ‘comic’ refers here to comoedia as a historical phenomenon and not to some categories of anthropological, philosophical or psychological nature; the ‘laughter’ is not but one of the possible answers. The revision of the sources fundamental for the formation of medieval knowledge of ancient comedy as well as the interpretation of 12th- and 13th-century poetriae help to shed light on the meaning of the term comoedia employed both by the authors of comoediae from the Loire Valley and by their readers. The study of the relations of the elegiac comedies with the tradition of ancient comedy involves, moreover, the examination of their paratexts and co-texts, the body of which is determined by the preserved manuscripts. Thus, the analysis of the historical, ideological and theoretical context, as well as the study of manuscripts of the elegiac comedies, define these compositions as the texts that form and embody the rhetorical and ethical rules exhibited in the poetriae
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Demanche, Diane. "Provocation et vérité. Forme et sens des paradoxes stoïciens dans la poésie latine, chez Lucilius, Horace, Lucain et Perse." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040079.

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Abstract:
La présence des paradoxes stoïciens dans l’œuvre de poètes dont les liens avec le Portique sont divers révèle le statut particulier occupé par ces formules déconcertantes dans la pensée romaine. Après l’étude des origines du paradoxe et de ses transformations au cours du développement des écoles philosophiques grecques, la thèse examine la spécificité du paradoxe stoïcien et son adaptation au monde romain. Contre toute attente, les Stoïciens ne renoncent pas à ces affirmations déconcertantes. Grâce à leur efficacité rhétorique, et malgré l’hostilité qu’ils suscitent par ailleurs, les paradoxes sont repris dans des textes étrangers au Portique. Leur adaptation dans des œuvres poétiques - satires de Lucilius, Horace et Perse, épodes, odes et épîtres d’Horace et épopée lucanienne - pourrait nous faire considérer qu’ils sont pervertis et détournés de leur fin première. En effet, le but de ces poètes n’est nullement de faire adhérer le lecteur à l’intransigeante perfection dessinée par les paradoxes stoïciens. Mais le lien entre les paradoxes que l’on trouve dans ce corpus poétique et leur origine stoïcienne est en réalité bien plus intime. Selon des modalités différentes, chaque poète reprend l’essentiel de la démarche paradoxale du Portique : il s’agit bien de réveiller les consciences, et de souligner la radicale nouveauté de la vérité que l’on veut faire entendre, tout en s’assurant que le lecteur peut s’y rallier. La virulence de Lucilius, le ton de confidence horatien, la stupeur lucanienne et l’obscurité de Perse constituent les voies distinctes mais convergentes par lesquelles est menée l’entreprise subtile consistant à choquer pour mieux convertir<br>The presence of Stoic paradoxes in the works of poets whose links with the Stoa are complex reveals the particular status of these incongruous formulas in Roman thought. After studying the origins of paradox and its transformations during the development of the Greek philosophical schools, the thesis considers the particularity of Stoic paradox and its adaptation to the Roman world. Unexpectedly, the Stoics do not sign away these disconcerting assertions. By their rhetorical effectiveness, and despite the hostility they also arouse, paradoxes appear in texts which do not belong to the Stoa. Their adaptation in poetic works – satires of Lucilius, Horace and Persius, epodes, odes and epistles of Horace, and Lucanian epic - could make us consider that they are perverted and diverted from their first aim. Indeed, the purpose of these poets is not at all to have the reader adhere to the uncompromising perfection outlined by the Stoic paradoxes. But the link between the paradoxes we find in this poetic corpus and their Stoic origin is actually much more intimate. By different ways, each poet takes up the main of the Stoic paradoxical approach : it consists in waking up the minds, and showing the radical novelty of the truth which one wants to reveal, making sure, at the same time, that the reader can join it. Lucilius’ virulence, Horace’s intimacy, Lucan’s daze and Persius’ abstruse language constitute the different but converging ways by which one subtly undertakes to shock in order to convert
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Reymond, Évelyne. "Le Rire dans l'oeuvre de Colette." Lille 3 : ANRT, 1985. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb375940570.

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Juge, Carole. "De l'innocence à l'expérience : la quête initiatique du cow-boy dans The Border Trilogy de Cormac McCarthy." Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040258.

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Abstract:
Cette étude vise à comprendre de quelle manière Cormac McCarthy caractérise le cow-boy novice dans le contexte contemporain de l'Ouest américain, théâtre de la première tragédie américaine: la fermeture de la frontier. John Grady et Billy, les deux protagonistes de cette Border Trilogy, s'embarquent dans des quêtes initiatiques afin de mieux comprendre leur statut d'héros américain moderne, tiraillé entre l'héritage du mythe et de la frontier, et la modernité d'un monde qui leur échappe. Par leurs méditations, leurs cheminements, les rituels qu'ils tentent de pratiquer à mi-chemin entre mythe et réalité, les jeunes novices définissent une éthique de l'apprentissage qui justifie la violence McCarthienne, un sujet intarissable d'étude critique sur l'auteur. En s'intéressant au problème de l'initiation, cette thèse espère apporter un éclairage nouveau sur ce débat, et propose comme pistes de réflexions les problèmes d'apprentissage et de rites inachevés, la solitude du héros et sa finitude ainsi que la "finitude" narrative d'un livre qui s'achève et la finitude "artistique" du narrateur qui s'interroge sur sa responsabilité sur l'(H)istoire<br>This dissertation undertakes the study of Cormac McCarthy's characterization of the cowboy hero,from his early state of innocence in the modern American West to his understanding of the first greatAmerican tragedy, the closing of the frontier. John Grady and Billy, the two main protagonists of thisBorder Trilogy, try to follow in the old pioneers' footsteps, attempting to achieve heroic status throughpublic display of bravery in a modern world that ignores them. Through their meditation, theirinitiatory journeys, and attempts to perform rites they define an ethics of experience making whichhelps justify the violence at the core of McCarthy's novels, a topic very popular in McCarthian studies.This dissertation hopes to shed light on the bond that ties initiation to violence and offers to discussproblems of experimentation and unfulfilled rituals, the hero's solitude and finitude, as well as thenarrative finitude of the book that always ends and the artistic finitude of the storyteller who also seeksanswers on his responsibility in the (hi)story
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Salagnon, Gérard. "Sourires de l'art : sous l'art de rire." Paris 1, 1994. http://www.theses.fr/1994PA010587.

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Abstract:
Notre thèse vise à plonger sous l'art de rire en cherchant, dans la matière première de l'art, ce que peut cacher ce signe qui déjà dissimule, sous la peau d'un modèle pourtant présente comme expressif. Commençant par la surface expressive du visage qui peut, parmi d'autres mimiques, exprimer un sourire, nous nous orientons ensuite vers les sourires de l'art. Trois parties composent ce travail. La première définit le sourire dans l'art par l'exploration du visage, de ses représentations, de ses utilisations et de ses significations. La seconde s'attache plus particulièrement à la fabrication formelle, physiologique et plastique de cette expression. L'art de sourire, enfin, nous emmène vers les interprétations, sous l'art de rire, à la recherche de ce qui produit cette expression, la provoque, la fonde selon des cultures différentes. Le sourire n'est pas d'abord musculairement indispensable à nos faces, ni à leurs représentations, mais il peut l'être pour son sens propre et sa fonction sociale, ce que l'art ne livre pas au premier abord. Pouvant exprimer l'ultime terreur comme l'extrême enthousiasme, le sourire, bien que fige dans l'art, témoigne inlassablement de son indispensable présence pour l'esprit sur un visage humain<br>Our thesis aims at exploring the art of laughing - looking in the medium of art for that hidden sign, concealed beneath the skin of a model who has nevertheless been presented as expressive. Beginning with the face's outward expression which, among other mannerisms, can express a smile, we will then look towards smiles in art. This work is made up of three parts. The first defines the smile in art by exploring the face, its representations, uses and meanings. The second emphasises the formal, physiological and modelled construction of this expression. Finally, the art of smiling leads us through the art of laughing towards an interpretation of what produced and provoked this expression and its implications for different cultures. The smile isn't muscularly indispensable to our faces or its representations, but its significance and social function could be something that art doesn't deliver at first sight. Equally able to express mortal terror as immense enthusiasm, the smile, although set in art, never stops showing the undeniable presence of the spirit on a human face
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Fradet, Anne-Isabelle. "« Atterrer les rieurs » : Jean-Jacques Rousseau entre la gaieté et la risée (1712-1778)." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040072.

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Abstract:
Contrairement aux idées reçues, Jean-Jacques Rousseau a aimé le rire et la gaieté : différents écrits, souvent allègres, depuis les œuvres autobiographiques jusqu’à ses comédies, nous le prouvent. La Correspondance Complète le confirme : goût du comique, badinage, rire sentimental, bonhomie et même humour caractérisent le Citoyen de Genève que l’on oppose traditionnellement à Voltaire pour son manque de légèreté. Bien plus, les notions de gaieté et le rire s’intègrent à son système philosophique, et contribuent à enrichir sa conception de la société, de l’éducation, de l’enfance et même des femmes – bien au-delà de la seule Lettre à d’Alembert. Inversement, l’écrivain s’est méfié de manière innée du rire de dérision, et surtout du persiflage, dont il s’est vu la victime dans les salons de Paris. De plus, à partir de 1750 et surtout de la réforme de 1756, le Citoyen, devenu le ‘’pourfendeur des rires’’ sur le plan intellectuel et moral, devient lui-même, progressivement, la risée de Paris, de Genève et de Londres (de la part de personnalités aussi différentes que Palissot, Voltaire, Walpole, Grimm ou Diderot) – au point d’imaginer l’existence du « complot » en 1766 à Wootton, et d’y perdre un peu de sa « raison » - mais jamais vraiment de sa gaieté originelle<br>Contrary to generally accepted ideas, Jean-Jacques Rousseau liked the laughter and the cheerfulness: various writings (his novel Julie ou La Nouvelle Héloïse, his four comedies, his autobiographical works, and even pamphlets), often joyful, prove it. The Complete Correspondence confirms this idea: taste of comic, pleasantry, sentimental laughter, and even humor characterize the Citizen of Geneva who is traditionally opposed to Voltaire for his lack of lightness or wit. Moreover, the notions of cheerfulness and laughter fit his philosophical system, and enrich his conception of society, education, childhood and even women – well beyond the Lettre à d’Alembert sur les spectacles published in 1758. Conversely, and in a more conventional way, the writer used to distrust in an innate way, derision, and the ‘’persiflage’’ he was the victim in the salons of Paris. Especially from 1750 and more specifically after the personal reformation in 1756, Rousseau was the slayer of laughter at an intellectual and moral level, and he became gradually the victim of the laughing stock of Paris, Geneva and London (from personalities as diverse as Palissot, Voltaire, Walpole, Diderot and Grimm) –so much as to imagine the existence of the “complot” at Wootton in 1766
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Shahbaz, Pegah. "Les récits persans en prose en Inde : exemple : Touti-Nâme." Thesis, Strasbourg, 2014. http://www.theses.fr/2014STRAC030.

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Abstract:
Ce travail de recherche vise à présenter une collection de récits traditionnels persans, soit tirés et traduits des ressources indiennes, soit écrits et composés directement en persan dans le sous-continent. Notre attention s'est portée sur les récits en prose qui détiennent plusieurs emprunts de la tradition et la culture indienne, et ceux qui sont enrichis par des éléments narratifs et imaginaires fabuleux. Ces spécificités apparaissent dans de divers aspects : la structure du récit-cadre, les thèmes principaux et les personnages des contes. Les récits indo-persans sélectionnés sont présentés en détail par des informations sur leurs auteurs / traducteurs, la date et le lieu de composition, leurs thématiques, leurs sources originales, les manuscrits disponibles et d'autres références. La recherche actuelle est également un effort pour la pratique et le développement de la perception symbolique dans les récits classiques. Touti-Nâme, choisi comme le corpus de notre étude, nous fournit des scènes sur la vie sociale, les relations intimes et conjugales dans les contextes individuels et sociaux. J’ai examiné les thèmes dominants de la ruse des femmes, du conflit entre le désir et la loi, du rêve et du rire à travers des approches mythiques et symboliques. Le rôle prépondérant des personnages féminins et des perroquets sont étudiés profondément dans les contes. J'ai aussi essayé d'analyser les aspects psychiques des personnages par le biais de l'approche psychanalytique jungienne. Des exemples concrets de l'autorité et des jeux de pouvoir entre les sexes sont donnés dans Touti-Nâme comme spécificité des sociétés traditionnelles patriarcales<br>The present research aims to introduce a collection of Persian traditional narratives, either translated from Indian sources, or written and composed directly into Persian language in the sub-continent. Our focus has been on prose narratives which hold multiple specificities borrowed from Indian tradition and culture, and are enriched by fabulous and imaginary narrative elements. Such specificities appear in diverse aspects : the frame structure of the stories, the leading themes and the typical Indian characters. These stories are presented in detail by providing information about their authors / translators, date and place of composition, themes, original sources, available manuscripts and other references.The current research is also an endeavor to practice and develop symbolic perception in classical stories. Touti-Nâme, chosen as our target text, demonstrates social life, conjugal relationships and power-struggle in both individual and social contexts. The dominant themes of women’s guiles and tricks, love and law conflict, dream and laughter have been examined through mythical and symbolic approaches. Women characters and birds such as parrots have gone through profound studies due to their predominant roles within the tales. I have also tried to study psychological aspects of story characters and their role in the events by means of the Jungian psychoanalytical approach. Concrete examples of gender authority and power-games in traditional patriarchal societies have been given in Touti-Nâme
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Giret, Lena. "Hjalmar Bergman : le pouvoir, la volonté, l'angoisse et le rire." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040008.

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Abstract:
Hjamlar Bergman, écrivain suédois né en 1883 dans une famille de la grande bourgeoisie provinciale, fit des études de philosophie et d'esthétique qui marquèrent son œuvre. Il partagea sa vie entre Stockholm et le continent européen, un bref passage à Hollywood se solda par un échec artistique. Longtemps mal compris par la critique et fragilise par sa santé chancelante, sa production ne fit cependant que s'accroitre jusqu'à sa mort en 1931 à Berlin. Son œuvre de jeunesse s'inscrit dans le prolongement du symbolisme des années 1880 mais prendra une tournure plus personnelle vers 1910 dans des récits dépeignant les habitants d'une petite ville de province. Influencé par le déterminisme schopenhauerien, sa conception de l'hérédité inclut aussi la possibilité de transmettre une action à travers les générations et Bergman tente d'y relier le problème de la responsabilité personnelle. Dans une perspective spinoziste, il préconise la reconnaissance de la vérité aboutissant au renoncement aux ambitions et au vouloir-vivre, sans quoi l'homme deviendra un mort vivant. Pour asseoir ses descriptions psychologiques, il étudie le rôle de l'hypnose, de la suggestion, du souvenir et du subconscient dans les travaux de Ribot et Freud, entre autres<br>Hjalmar Bergman was born in 1883 in Sweden in a well-to-do banking family. After having finished his studies, he spent his life travelling between Stockholm and different European cities. He was for a long time misunderstood by the major part of the critics but, although in poor health because of his psychological instability and severe alcoholism, he was profusely productive until his death in 1931 in berlin. A penetrating study of literature, philosophy and aesthetics had a decisive effect upon his writings which under his first period was influenced by european romantic symbolism before turning to a more realistic description of provincial swedish way of life. Philosophically influenced by Schopenhauer’s determinism and captured by the question of the function of the will, he also aims to introduce an ethical standpoint which should lead to an acceptance of personal responsibility. This apparent contradiction had great importance for the formation of one of his recurring themes, "life is insight". Being convinced of the determining influence of heritage, especially in degenerative phases within certain
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Boyer, Céline. "Langue du sacré et langue du secret : le mythe et le rite dans la poésie de Kathleen Raine et Ruth Fainlight : le monomythe et ses phases-stase, extase et anastasie : de la parésie à la parousie." Bordeaux 3, 2006. http://www.theses.fr/2006BOR30061.

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Abstract:
Kathleen Raine (1908-2003) est un poète et critique anglais qui explore le pouvoir de l’émotion, de la vision et de l’imagination à travers l’exaltation. Elle a publié 11 recueils de poésie et rédigé des essais remarquables sur Blake, Yeats, Hopkins, Coleridge. Ruth Fainlight (1931-) est poète, traductrice, librettiste et essayiste américaine, épouse d’Alan Sillitoe, amie et double de Sylvia Plath, et a été influencée par Robert Graves. D’après les définitions du sacré de Mircea Eliade, Rudolf Otto, Roger Caillois et Otto Rank, le mythe s’avère être une voie possible vers le sacré: elles créent un mundus imaginalis féminin construit sur le tremendum et le fascinans. Leur écriture tente de fuir la réalité à travers l’imaginal, l’exotisme et le passéisme, s’efforçant de rassembler les fragments épars de la modernité afin de renouer avec l’unité perdue de l’Eden – la Nature, Magna Mater, devient l’épitomé du secret (mythe personnel) et du sacré (mythe collectif). Elle leur permet de faire l’expérience d’un mysticisme visionnaire. Grâce à Isis, Raine explore le sacré au féminin, Fainlight, explore la Sybille: elles donnent naissance à des voyages dans l’imaginaire et dans la sphère du sacré dépassant ainsi le profane. Elles aspirent à connaître la transcendance à travers les hiérophanies/théophanies du quotidien, ainsi l’exaltation de leurs émotions les conduit à découvrir la promesse palingénésique. Cette recherche s’appuie sur la notion joycienne de monomythe étudiée par Joseph Campbell qui définit trois phases – fragmentation, initiation, retour. Leur poésie se fonde sur le motif du monomythe, d’un point de vue esthétique, philosophique et mythique<br>Kathleen Raine (1908-2003) is an English poet and critic who explores the field of the emotional, the visionary and the imaginative through the power of exaltation. She published 11 volumes of poetry and wrote brilliant essays on Blake, Yeats, Hopkins, Coleridge. Ruth Fainlight (1931-) is an American poet, translator, librettist and essayist, Alan Sillitoe’s wife, Sylvia Plath’s friend and double, who has been influenced by Robert Graves. According to definitions of the sacred by Mircea Eliade, Rudolf Otto, Roger Caillois and Otto Rank, myth is a possible path towards the sense of this sacred : they create a feminine mundus imaginalis based on the tremendum and the fascinans. . Their writing aims at fleeing from reality through the space of fantasizing, exoticism and passeism, trying to recollect the broken fragments of modernity to reach the lost unity of the glorious Eden - Nature, Magna Mater, becomes the epitome of the secret (personal myth) and of the sacred (collective myth). It definitely becomes the real possibility to experience visionary mysticism. With the figure of Isis, Raine explores the sacredness of femininity, Fainlight explores the Sybil, both create imaginary journeys into the space of the sacred beyond the space of the profane. They seek transcendent experience and spiritual truth in the hierophanies/theophanies of everyday life and their emotional exaltation leads them to the discovery of the possibility of palingenesia. This research is based on Joyce’s idea of monomyth studied by Joseph Campbell who defines three stages – fragmentation, initiation, return. Their poetry explore the motif of the monomyth, aesthetically, philosophically and mythically
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Humeau, Marie Kany-Turpin José. "Sénèque et la pédagogie de la dérision enjeux éthiques et esthétiques du rire dans les "Lettres" et les "Dialogues /." Créteil : Université de Paris-Val-de-Marne, 2007. http://doxa.scd.univ-paris12.fr:8080/theses-npd/th0394787.pdf.

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Abstract:
Thèse de doctorat : Études latines : Paris 12 : 2004.<br>Version électronique uniquement consultable au sein de l'Université Paris 12 (Intranet). Titre provenant de la version papier. Bibliogr. : 433 réf. Index.
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Prévost, Maxime. "Gaiete perverse et rire de force dans l'œuvre de Victor Hugo." Thesis, McGill University, 2000. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=37816.

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Abstract:
This thesis studies the theme of laughter in the works of Victor Hugo, distinguishing two topical networks: that of perverse gaiety and that of forced laughter. Part One (La Gaiete perverse) shows how Hugo, drawing various commonplaces related to cruel laughter in the gothic novel, creates a first family of characters whose laugh derives from their demented nature (the monster, the headsman, the priest, the outlaw, the mob, the court jester). Part Two (La Tristesse des justes) concerns the Hugo which, between 1845 and 1862, fashions a mythology of the People renewing with commonplaces related to perverse gaiety, which he now links to characters seen as pillars of the Second Empire (the tyrant, the soldier, the police officer). While the wicked laugh, the just man cries, and the laughter of the oppressed (the convict, the prostitute, the street urchin) is constrained. Part Three (Le Rire de force) considers three works dating from Hugo's exile, including L'Homme qui rit, where the author clearly defines what constitutes forced laughter: a victim's exultation caused by the perversity of his social torturer, the tyrant. This transition from perverse gaiety (which stems from individual perversion) to forced laughter (the result of society's perversion) will be interpreted as the reflexion of a shift in the identity of Hugo's implied reader. While the first Hugo wrote about the people, the later Hugo aspires to write for the people, which considerably affects the meaning conferred to various commonplaces used throughout his writing career.
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Marion-Andrès, Claudine. "Etude sur la dramaturgie comique dans le premier théâtre de Lope de Vega : du rire des personnages au rire des spectateurs (1588-1595)." Rouen, 2013. http://www.theses.fr/2013ROUEL007.

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Abstract:
À un moment crucial de la constitution de la comedia, le rire lopesque est un des piliers de la construction théâtrale. Au cours de cette étude sur la dramaturgie comique dans le premier théâtre de Lope de Vega, nous considérons les causes et les conséquences du rire, ses modes d’apparition, les personnages qui en sont porteurs et ceux qui le subissent. Les mécanismes comiques mis en œuvre sont analysés, pour essayer de mettre en valeur le lien complexe et mystérieux qui peut unir le spectateur, l’auteur, et le personnage incarné par l’acteur. Ainsi essayons-nous de comprendre comment Lope ritualise le rire et le met au cœur d’un acte social partagé qui lui garantit le succès. Le premier chapitre consacré aux rires des personnages souligne le rôle essentiel qu’ils jouent dans la structure de la pièce et dans l’élaboration de son sens. Dans le deuxième chapitre, notre intérêt se porte sur une forme de rire propre au dramaturge, un rire de partage, contagieux, érotique, inconvenant et irrévérencieux. Nous montrons comment la comedia associe de façon spécifique rire et gravité, et d’une réplique à l’autre, bouleverse et bouscule le public. Ce constat conduit à aborder, dans le troisième chapitre, les rapports qu’entretient le rire avec le politique. Au chapitre quatre, l’importance donnée à des espaces qui représentent le peuple dans sa spontanéité, dans sa vie immédiate, renforce la complicité au sein du corral, et peut permettre la superposition des rires des personnages à ceux des spectateurs. Dans le chapitre cinq, nous démontrons que le rire est double – centripète et centrifuge – et peut s’imposer au travers de symboles revisités. Enfin, dans le dernier chapitre, nous étudions les jeux qui allient, dans des moments clefs, des improvisations contrôlées et des enjeux dramaturgiques<br>At the crucial time when the comedia started, the laughter of Lope was one of the pillars of dramatic construction. In this survey of the dramatic art of the comic in the early theatre of Lope, we will consider the causes and consequences of laughter, the ways that it appeared, the characters who convey it and those who are subjected to it. The mechanisms of the comic brought into play are analysed so as to highlight the mysterious and complex bond that may unite the audience, the playwright and the character embodied by the actor. We will thus endeavour to understand how Lope ritualizes laughter and puts it at the core of a shared social act, making a success of it. The first chapter devoted to the laughter of the characters emphasizes the essential part that they play in the structure of the play itself and the working-out of its meaning. In the second chapter, we will be interested in a form of laughter peculiar to the playwright, based upon sharing, which is infectious, erotic, improper and irreverent. We will show how the comedia specifically associates laughter and solemnity and from one cue to another, upsets and bullies the audience. This observation leads us in chapter three, to broach the relationship between laughter and politics. In chapter four, the importance given to spaces representing the people in their spontaneity, their immediate lives reinforces the harmony within the corral and may enable to superimpose the laughter of the characters on the laughter of the audience. In chapter five, we will demonstrate that the laughter is doubled-sided – centripetal as well as centrifugal – and can impose itself through revisited symbols. In the last chapter, we will eventually study the games that associate controled improvisations and dramatic stakes at key-moments
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Garnerin, Fabienne. "Jean Ganiayre/Joan Ganhaire : entre rire et désespoir, un regard occitan sur l'humaine condition." Electronic Thesis or Diss., Montpellier 3, 2020. http://www.theses.fr/2020MON30059.

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Abstract:
L’œuvre de Joan Ganhaire (Jean Ganiayre en français) est d’une exceptionnelle richesse. Cet auteur contemporain, qui a fait de l’occitan limousin son unique langue d’écriture, a abordé des genres littéraires variés : nouvelles fantastiques, « nhòrlas » [histoires drôles], romans de cape et d’épée, romans policiers, sans compter une forme de poésie en prose qui affleure dans de nombreux textes. Sous son apparente diversité, cette œuvre est d’une grande cohérence par ses thèmes, par ses images, par ses « biais de dire » [façons de s’exprimer] récurrents. Elle peut se lire à des niveaux multiples et ouvre sur des possibilités d’interprétation très différentes selon le point de vue que l’on adopte, interprétations qui se croisent et s’enrichissent mutuellement. Hanté par les questions de la mort, de la violence omniprésente et de l’absurdité du monde, à la fois en tant qu’homme et par sa profession de médecin, Ganhaire, comme de nombreux auteurs des XXe et XXIe siècles, leur oppose le rire et la dérision comme un ultime pied de nez. Son œuvre est un hommage à l’imaginaire limousin, en relation étroite avec la nature, et dont il s’est senti imprégné dès l’enfance. Elle en propose une expression contemporaine, irriguée et hybridée par les imaginaires de grandes figures de la littérature mondiale, mais aussi par d’autres arts comme le cinéma<br>The work of Joan Ganhaire (in French Jean Ganiayre) is of exceptional richness. This contemporary author, who made the Limousin Occitan his only language of writing, addressed various literary genres : fantastic short stories, «nhòrlas» [funny short stories], cape and sword novels, detective novels, not to mention a form of poetry in prose that outcrops in many texts. Under its apparent diversity, this work is very consistent because of its themes, its images, and its recurring « biais de dire » [ways of saying]. It can be read at multiple levels and opens up very different possibilities of interpretation depending on the point of view adopted, interpretations that cross and enrich each other. Haunted by the questions of death, of the omnipresent violence and of the world’s absurdity, both as a man and by his profession as a doctor, Ganhaire, like many authors of the twentieth and twenty-first centuries, opposes them laught and derision like an ultimate snub. His work is a tribute to the imaginative limousin world, in close relationship with nature, which he felt imbued from childhood. It proposes a contemporary expression of it, irrigated and hybridized by the imaginative worlds of great figures of world literature, but also by other arts such as cinema
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Argoud-Sigaud, Chantal. "Les Bases stylistiques du rire et de ses limites dans "Mangeclous" d'Albert Cohen." Lille 3 : ANRT, 1987. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37594461b.

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Bismuth, Serge. "Rire des maîtres de l'art moderne : Courbet et Manet." Paris 1, 1996. http://www.theses.fr/1996PA010555.

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Abstract:
La réception critique des œuvres de Courbet et Manet peut laisser croire que le succès de l'art moderne - dont ils furent les premiers "maitres" - a été fonction de sa capacité à déplaire et à paraitre incompréhensible. Pourquoi leurs œuvres furent-elles ainsi reçues ? Nécessitaient-elles un autre type de compréhension de l'expression artistique ? Quelles furent leurs intentions ? Le problème du "réalisme" dans l'art, manifeste par le premier, permet-il de répondre à ces questions ? Pourquoi la façon dont Manet voulut "rendre son impression" fut-elle incompréhensible et risible? Pourquoi ses œuvres qu'il affirmait "sincères" révèlent-elles ces réminiscences de tableaux et gravures anciennes ? Autant de questions qui permettent de dégager celles de l'auteur et de l'originalité. Question essentielle que leurs œuvres paraissent avoir pose de façon critique. Une critique dont le rire qu'elle suscita peut s'apparenter à l'ironie. L'ironie, notamment de l'œuvre de Manet, que la pensée de Mallarmé nous a permis d'appréhender. Pensée du poète à laquelle il importe d'accorder une attention toute particulière car ce dernier avait confié avoir été le "témoin quotidien inoublieux" de "l'enseignement" de l'artiste; "enseignement" qui aurait consisté à vouloir, "chaque fois", se mettre en jeu. Mise en jeu dont il devait ressortir qu'il "n'eta(i)t autre que tous" soit un jeu qui mettait fondamentalement en question l'originalité de l'artiste<br>The way the works by Courbet and Manet were critically received can lead us to believe that the success of modern art - of which they were the first masters - depended on its ability to displease or to look incomprehensible. Why were their works received in such a way? Did they need another type of understanding oft artistic expression? What were their intentions? Does the problem of "realism" in art, demonstrate by the first, allow to answer those questions? Why was the way Manet meant to "render his impression" incomprehensible and ludicrous? Why do his works - that he claimed to be "sincere" reveal reminiscences of old paintings and engravings? All those questions seem to be asking the question of the artist and of originality. Their own works seem to have asked this crucial question in a critical way. This critique engendred laughters that could ve assimilated to irony ; this irony, especially the one found in Manet's works, Mallarme's thinking taught us to apprehend it. We ought to pay special attention to the poet's tinking, for he confessed to have been the "daily and heedful witness" of the artist's "teaching"; a teaching that would have consisted to be willing, "each time", to bring oneself into play. From such a play had to be concluded that he "was no other thant the rest"
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Roy, Samanta. "Le grotesque dans les fabliaux érotiques : figure féminine et poétique du rire populaire." Thèse, Université du Québec à Trois-Rivières, 2011. http://depot-e.uqtr.ca/2304/1/030277658.pdf.

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Toulhoat, Mélanie. "Rire sous la dictature, rire de la dictature. L'humour graphique dans la presse indépendante ˸ une arme de résistance sous le régime militaire brésilien (1964-1982)." Electronic Thesis or Diss., Paris 3, 2019. http://www.theses.fr/2019PA030007.

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Abstract:
Cette thèse porte sur le rôle politique de diverses formes d’humour graphique – la charge, la caricature, la bande dessinée, la gravure et le détournement d’image photographique – publiées dans la presse indépendante, sous le régime militaire brésilien instauré à la suite du coup d’État du 31 mars 1964. Il s’agit d’analyser les styles, les mécanismes et les pratiques contestataires spécifiques au dessin d’humour et à l’image satirique à partir de l’institutionnalisation du pouvoir autoritaire et jusqu’à la réinvention des moyens d’expression indépendants au début des années 1980. Dans un contexte de fermeture progressive du régime, de répression policière, de rétrécissement drastique du champ légal de l’action politique et de sévères limitations imposées à la liberté d’expression, l’humour graphique fut employé par les rédactions afin de contourner les diverses formes de censure et de lutter contre l’imaginaire autoritaire. La réinterprétation de certaines pratiques inscrites dans la tradition de l’humour visuel brésilien, construite à partir de l’essor de la presse imprimée au XIXe siècle, fut accompagnée d’innovations esthétiques, thématiques et militantes majeures dans un rapport mouvant à l’interdit, au toléré et à l’autorisé. Les périodiques, les dessinateurs et événements furent représentatifs d’importantes étapes dans l’élaboration des luttes symboliques et légales menées par les rédactions indépendantes. La diversité des sources iconographiques, manuscrites, imprimées et orales révèle l’important pouvoir de synthèse et le rôle fondamental de l’humour graphique dans la construction d’univers visuels thématiques caractéristiques des combats – et des divergences – des mouvements brésiliens de l’opposition démocratique<br>This thesis deals with the political role of various forms of graphic humor – charge, caricature, cartoon, engraving print and photomontage – published in the independent press under the military regime established as a result of the 31st march 1964’s coup. We analyse the styles, mechanisms and protester practices specific of humoristic drawings and satirical images from the authoritarian power’s institutionalization to the reinvention of the independent ways of expression in the early 80’s. Against a background of progressive regime’s closure, police repression, extreme reduction of the legal scope of political action and severe restrictions imposed on freedom of expression, the graphic humor was used by the editorial offices in order to circumvent the various forms of censorship and fight against the authoritarian imaginary. The reinterpretation of some practices that has been part of the Brazilian visual humor tradition built from the rise of the print press in the XIXth century, was accompanied by major aesthetic, thematic and militant evolutions in a moving connection with the forbidden, the tolerated and the allowed. The newspapers, the cartoonists and the events were representative of important steps in the development of symbolic and legal struggles led by the independent editorial teams. The diversity of iconographic, manuscript, printed and oral sources reveals the huge synthesis power and the crucial purpose of graphic humor within the building of thematic and visual universes characteristic of the fights – and the discrepancies – of the Brazilian democratic opposition’s movements<br>Esta tese se dedica ao estudo do papel político de várias formas de humor gráfico – tais como a charge, a caricatura, a história em quadrinhos, a gravura e o corte-colagem de fotografia – publicadas na imprensa independente durante o regime militar brasileiro, a partir do golpe do 31 de março de 1964. Se trata de analisar os estilos, os mecanismos e as práticas contestatórias específicos do desenho de humor e da imagem satírica a partir da institucionalização do poder autoritário e até a reinvenção dos meios de comunicação independentes no começo dos anos 1980. Num contexto de fechamento progressivo do regime, de repressão policial, de diminuição drástica do campo legal da ação política assim como de severas limitações impostas à liberdade de expressão, o humor gráfico foi empleado pelas redações para contornar as diversas formas de censura e lutar contra o imaginário autoritário. A reinterpretação de certas práticas inscritas na tradição do humor visual brasileiro, construida a partir do crescimento da imprensa no siglo XIX, foi acompanhada de importantes inovações estéticas, temáticas e militantes numa relação em movimento com o proibido, o tolerado e o autorizado. Os periódicos, os cartunistas e eventos foram representativos das maiores etapas de elaboração das lutas simbólicas e legais por parte das redações independentes. A diversidade das fontes iconográficas, manuscritas, impressas e orais revela o importante poder de síntese e o papel fundamental do humor gráfico na construção de universos visuais temáticos caraterísticos das lutas, e das divergências, dos movimentos brasileiros da oposição democrática
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Liouville, Matthieu. "Les rires de la poésie romantique /." Paris : H. Champion, 2009. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb420088795.

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Pasqueron, de Fommervault Inès. "Pour une anthropologie du rire : les cadres de l'expérience du corps riant dans les villages de la Kagera (Nord-Ouest de la Tanzanie)." Thesis, Aix-Marseille, 2019. http://www.theses.fr/2019AIXM0352.

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Abstract:
Le rire fait incontestablement partie des universaux humains : on ne connait pas de société qui ne rit, ni même d’individu incapable de rire. Je ne conteste pas cette idée, mais invite à penser que le rire ne peut se limiter à cette définition universaliste. Cette thèse entend dépasser le débat de l’inné et de l’acquis, en postulant que le rire est universel, mais résulte d’un apprentissage social qui « domestique » son expression. Cette recherche s’est effectuée à partir d’une enquête ethnographique dans les villages de la Kagera en Tanzanie, où le rire avait déjà fait parler de lui. En 1962, une « crise de fou rire » que les habitants ont appelé « la maladie du rire » (omumneepo) s’est répandue dans un internat de jeunes filles dans le village de Kashasha. Ce « fait-divers » constitue le point de départ de cette thèse, qui porte essentiellement sur les pratiques du rire dans ces villages tanzaniens. Pour les habitants de la Kagera le rire est un droit qui s’acquiert et que tout le monde ne possède pas. Certains rires sont inappropriés et il faut savoir les retenir sans quoi ils peuvent devenir irrespectueux et même dangereux, comme l’ont été les rires de ces jeunes filles en 1962. D’autres répondent à une éthique tout autant qu’à une esthétique sociale et relèvent de l’obligation la plus parfaite. Toutefois, et malgré l’institution de ces « cadres-rire », les rieurs riant réinventent constamment de nouvelles manières de rire. Il existe aussi des rieurs marginaux dont le rire transgressif bouleverse les normes et les structures et les remet même en question. Ainsi, si le rire peut être garant de l’ordre social, il a aussi le pouvoir de le renverser<br>Laughter is a universal behavior, all humans laugh. Our purpose is not to dispute this but to argue that laughter cannot be solely reduced to this universal definition. This study aims at going beyond the debate about innate and acquired behaviors by showing that although laughter may be universal, it results also from a social learning process.This research is based on an ethnographic survey undertaken in villages from the Kagera region in Tanzania. Laughter has already raised a social challenge there in the past. In 1962, a “fit of giggling”, locally known as "the disease of laughter", spread in a girl’s boarding school. This event proves the existence of an affective script. In these villages, laughter is an acquired social practice, to some extent laughter there is a right which must be acquired. Individuals must laugh according to their age, status and gender, and according to context. Some laughs are inappropriate and must be inhibited, if they are not, they are seen as disrespectful, obscene, even dangerous, as were the girl’s laughs in 1962. Other laughers reflect ethic and aesthetic social obligations. However, and despite the institution of these "laughing frames", people perpetually reinvent new ways of laughing. They appear in social back-stages, in liminal or in-between spaces. In these villages, there are also outsiders whose laughter compromise socials norms. Thus, if laugher can reinforce social order it also can also question it. This thesis tries to demonstrate that the body, the socio-cultural factors and the inter-individual relations are in permanent interaction, that is why laughter must be understood as a fluctuating and shifting phenomenon
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