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Journal articles on the topic 'Roches sédimentaires'

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Chamley, H. "Atlas des roches sédimentaires." Earth-Science Reviews 39, no. 3-4 (December 1995): 271–72. http://dx.doi.org/10.1016/0012-8252(95)90024-1.

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Zalasiewicz, Jan, Colin Waters, and Mark Williams. "Les strates de la ville de l'Anthropocène." Annales. Histoire, Sciences Sociales 72, no. 2 (June 2017): 329–51. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264917000567.

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Abstract:
RésuméLe tissu d'une ville correspond à une transformation de matériaux géologiques bruts en un assemblage complexe de nouveaux minéraux, fabriqués par des humains, et de roches, telles que l'acier, le verre, le plastique, le béton, la brique et la céramique. Cette activité est considérée en termes de « métabolisme urbain », avec des afflux et des flux quotidiens de personnes, de nourriture, d'eau et de déchets. Empruntée aux temps géologiques, une échelle de temps plus longue, de quelques années au millénaire, est adoptée ; elle reste pertinente pour le présent et les générations humaines futures. Dans les systèmes sédimentaires naturels, les flux de matériaux sont gouvernés par des forces naturelles, comme le climat et la gravité, et ils laissent des traces physiques dans les strates des rivières. Dans les villes, les flux de matériaux géologiques nécessaires à les construire et à les reconstruire sont réalisés par les humains et sont largement produits par les énergies fossiles stockées dans les hydrocarbures. Les assemblages de roches anthropogéniques et de minéraux qui en résultent peuvent être pensés comme des systèmes sédimentaires (et/ou des traces fossiles), fossilisables, à l’échelle de la planète. Extrêmement plus diversifiés que les strates géologiques naturelles, ils évoluent aussi bien plus rapidement, notamment en ce qui concerne les déchets. Considérer les villes par le biais d'une telle perspective peut devenir de plus en plus utile, compte tenu de leur nécessaire adaptation aux conditions changeantes de l’époque émergente, l'Anthropocène.
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Tajdi, Amina, Ali Nazih, Atika Eddif, Jamila Kenafi, Issam Mahboubi, Jihad Oubezza, and Et Tarik Chelouati. "Modélisation Du Cycle Des Roches Sédimentaires Au Profit Des Apprenants De La Première Année Collégiale." European Scientific Journal, ESJ 13, no. 16 (June 30, 2017): 146. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2017.v13n16p146.

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Abstract:
The present study aims to identify the difficulties to assimilate the concept of the sedimentary rocks cycle for first year middle high school students. It also aims to test the importance of a physical model that we have proposed. In order to collect the didactic difficulties encountered in the classroom as well as the means suggested to overcome them, we administered an anonymous questionnaire to 44 teachers of Life and Earth Sciences. To test the significance of the model, 184 learners were divided into two groups. While the first group was taught using a model, no specific one was used to teach the other group. After a constructive evaluation, 73% of the learners in the first group achieved satisfactory results, against 34% in the second one.
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Prichonnet, Gilbert, André Doiron, and Marc Cloutier. "Le mode de retrait glaciaire tardiwisconsinien sur la bordure appalachienne au sud du Québec." Géographie physique et Quaternaire 36, no. 1-2 (November 29, 2007): 125–37. http://dx.doi.org/10.7202/032473ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le retrait glaciaire sur la bordure occidentale des Appalaches du Québec fut influencé par la topographie. Le relief est marqué par des crêtes et des dépressions orientées NNE-SSO, d'origine structurale (écailles, klippen) et quelques monadnocks de roches intrusives : il s'élève par paliers vers l'E, de 80 à 960 m (monts Sutton). On ne peut pas déceler de front de stabilisation important. De plus, les dépôts de contact glaciaire cartographies ne paraissent pas avoir de signification climatique précise. Les corps sédimentaires fluvioglaciaires associés au retrait glaciaire sont dispersés sur les pentes, au coeur des vallées majeures et dans des talwegs mineurs. Les dépôts sont organisés selon deux types nets: l'un arqué, concentrique, fait de segments morainiques NE-SO, subparallèles et irrégulièrement espacés (100 à 500 m); l'autre, SE-NO, donc radial et perpendiculaire au précédent. L'analyse des structures sédimentaires démontre le caractère unidirectionnel des courants à l'origine de chaque dépôt fluvio-glaciaire (vers le SE et le S). Chaque accumulation, ou série d'accumulations, constitue un phénomène qui doit être analysé et interprété « individuellement ». Plusieurs segments des dépôts antérieurement attribués au « Complexe morainique du front des Hautes Terres » ne font pas exception à ce modèle de retrait des glaces. Les fronts glaciaires s'adaptent aux reliefs, au cours d'un recul quelque peu erratique. Il paraît difficile de relier ces fronts glaciaires mineurs. Leur direction est oblique au « Complexe morainique du front des Hautes Terres » : celui-ci n'existe pas en tant que tel dans la région étudiée.
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Laverdière, Camille, and Pierre Guimont. "Les types de littoraux des lacs Mistassini et Albanel, Québec." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 3 (February 2, 2011): 329–43. http://dx.doi.org/10.7202/1000543ar.

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Abstract:
Par 50°30’ et 51°30’ de latitude nord et 72°30’ et 74° de longitude ouest, en plein bouclier précambrien, un bassin de roches sédimentaires protérozoïques, à faible pendage vers le SE, a été sculpté en relief de cuesta avec fronts et revers comme autant d’abrupts et de rampes dans un paysage avant tout d’aplanissements et d’étendues lacustres. De grand axe parallèle à l’écoulement des glaces continentales, cette cuvette de roches relativement tendres en a subi l’érosion par surcreusement : le principal lac qui l’occupe atteint des profondeurs de plus de 185 m. La mise en place des matériaux d’accrétion, profilés dans le sens du déplacement glaciaire, est arrivé à constituer la plus belle région à drumelinoïdes de tout le Québec, tant par leur nombre et leur ampleur que par l’étendue qu’ils occupent. De-ci de-là, des moraines transversales, des moraines d’ablation et des dépôts fluvioglaciaires ont aussi contribué à la désorganisation du réseau hydrographique. Ainsi est né le lac Mistassini, la plus grande étendue d’eau douce du Québec; avec le lac Albanel au NE qui lui est associé à tous les points de vue, un littoral de centaines de kilomètres de long vu la multitude de ses rentrants et saillants, de ses îles et presqu’îles, s’est développé à la fois dans la roche en place à structure monoclinale et dans les dépôts drumelinoïdaux. Le premier type de littoral comprend donc une rive de fronts de cuesta tournés vers le NO, et une rive de revers orientés au contraire vers le SE. Le deuxième type est représenté par une rive à drumelinoïdes dont le matériel meuble empâte très souvent le bâti rocheux; il constitue plus de la moitié du littoral des deux lacs.
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Fyffe, Leslie R. "The Grand Manan Terrane of New Brunswick: Tectonostratigraphy and Relationship to the Gondwanan Margin of the Iapetus Ocean." Geoscience Canada 41, no. 4 (December 3, 2014): 483. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.051.

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Abstract:
Recently gathered stratigraphic and U–Pb geochronological data indicate that the pre-Triassic rocks of the Grand Manan Terrane on the eastern side of Grand Manan Island can be divided into: (1) Middle Neoproterozoic (late Cryogenian) quartzose and carbonate sedimentary sequences (The Thoroughfare and Kent Island formations); (2) a Late Neoproterozoic (early Ediacaran) volcanic-arc sequence (Ingalls Head Formation); and (3) Late Neoproterozioc (mid- Ediacaran) to earliest Cambrian (early Terreneuvian) sedimentary and volcanic-arc sequences (Great Duck Island, Flagg Cove, Ross Island, North Head, Priest Cove, and Long Pond Bay formations). A comparison to Precambrian terranes on the New Brunswick mainland (Brookville and New River terranes) and in adjacent Maine (Islesboro Terrane) suggests that the sedimentary and volcanic sequences of the Grand Manan Terrane were deposited on the continental margin of a Precambrian ocean basin that opened during the breakup of Rodinia in the Middle Neoproterozoic (Cryogenian) and closed by the Early Cambrian (Terreneuvian) with the final assembling of Gondwana. Rifting associated with the initial opening of the Paleozoic Iapetus Ocean began in the Late Neoproterozoic (late Ediacaran) and so overlapped in time with the closing of the Precambrian Gondwanan ocean. The southeastern margin of the Iapetus Ocean is defined by thick sequences of quartz-rich Cambrian sediments (within the St. Croix and Miramichi terranes of New Brunswick) that were largely derived from recycling of Precambrian passive-margin sedimentary rocks preserved in the Grand Manan and Brookville terranes of New Brunswick and in the Islesboro Terrane of Maine. These Precambrian terranes are interpreted to represent dextrally displaced basement remnants of the Gondwanan continental margin of Iapetus, consistent with the model of a two-sided Appalachian system proposed by Hank Williams in 1964 based on his work in Newfoundland.SOMMAIREDes données stratigraphiques et géochronologiques U–Pb obtenues récemment indiquent que les roches prétriasiques du terrane de Grand Manan du côté est de l’île Grand Manan peuvent être répartis en: 1) séquences sédimentaires quartzeuses et carbonatées du Néoprotérozoïque moyen (Cryogénien tardif) (formations de Thoroughfare et de Kent Island); 2) séquence d’arc volcanique du Néoprotérozoïque tardif (Édiacarien précoce) (formation d’Ingalls Head); 3) séquences sédimentaires et d’arc volcanique du Néoprotérozoïque tardif (milieu de l’Édiacarien) au tout début du Cambrien (Terreneuvien précoce) (formations de Great Duck Island, Flagg Cove, Ross Island, North Head, Priest Cove et Long Pond Bay). Une comparaison avec des terranes du Précambrien dans la partie continentale du Nouveau-Brunswick (terranes de Brookville et New River) et dans le Maine adjacent (terrane d’Islesboro) semble indiquer que les séquences sédimentaires et volcaniques du terrane de Grand Manan se sont déposées sur la marge continentale d’un bassin océanique précambrien qui s’est ouvert durant la fracturation de la Rodinia au Néoprotérozoïque moyen (Cryogénien) et s’est fermé au Cambrien précoce (Terreneuvien) avec l’assemblage final du Gondwana. La distension continentale associée à l’ouverture initiale de l’océan Iapetus au Paléozoïque a commencé au Néoprotérozoïque tardif (Édiacarien tardif) et a donc partiellement coïncidé avec la fermeture de l’océan précambrien du Gondwana. La marge sud-est de l’océan Iapetus est définie par d’épaisses séquences de sédiments cambriens riches en quartz (dans les terranes de St. Croix et de Miramichi du Nouveau-Brunswick) issus en grande partie du recyclage de roches sédimentaires de la marge continentale passive du Précambrien préservées dans les terranes de Grand Manan et de Brookville au Nouveau-Brunswick et dans le terrane d’Islesboro dans le Maine. Ces terranes précambriens sont interprétés comme la représentation de vestiges, ayant subi un déplacement dextre, du socle de la marge continentale gondwanienne de l’océan Iapetus, ce qui concorde avec le modèle d’un système appalachien à deux côtés proposé par Hank Williams en 1964 sur la base de ses travaux à Terre-Neuve.
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Hughes, K. Stephen, James P. Hibbard, Jeffrey C. Pollock, David J. Lewis, and Brent V. Miller. "Detrital Zircon Geochronology Across the Chopawamsic Fault, Western Piedmont of North-Central Virginia: Implications for the Main Iapetan Suture in the Southern Appalachian Orogen." Geoscience Canada 41, no. 4 (December 3, 2014): 503. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.052.

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Abstract:
The Chopawamsic fault potentially represents the main Iapetan suture, previously unidentified in the southern extent of the Appalachian orogen. The fault trends through the north-central portion of the western Piedmont of Virginia and separates the composite metaclastic Potomac terrane, commonly interpreted to be of Laurentian affinity, from the Chopawamsic terrane, the remains of a Middle Ordovician volcanic arc of uncertain crustal affinity. To gain insight on the first-order orogenic significance of the Chopawamsic fault, we report the results of LA–ICP–MS U–Pb analyses of 1,289 detrital zircons from 13 metasedimentary rock samples collected from both sides of the fault. The near exclusivity of Middle Ordovician zircon grains (ca. 470 – 460 Ma) in four sampled metasedimentary rocks of the Chopawamsic Formation likely represents the detrital recycling of syndepositional Chopawamsic volcanic rocks. A subset of Cambrian and older grains hint at one or more additional, older sources. Samples from the Potomac terrane include mostly Mesoproterozoic zircon grains and these results are consistent with previous interpretations that the metaclastic rocks are Laurentian-derived. The youngest zircons (ca. 550 – 500 Ma) and the age of cross-cutting plutons indicate that at least some parts of the Potomac terrane are Late Cambrian – Early Ordovician. The results imply temporally discrete and geographically isolated sedimentary systems during deposition of sedimentary rocks in the Chopawamsic and Potomac terranes. Metasedimentary rocks near Storck, Virginia, previously identified as a successor basin, contain detrital zircon populations that indicate they are actually peri-Gondwanan derived metasedimentary rocks unrelated to a successor basin system; their geographic position between the Laurentian-derived Potomac terrane and the Chopawamsic terrane suggests a peri-Gondwanan affinity for the Chopawamsic arc and geographic separation of the Chopawamsic and Potomac terranes in the Middle Ordovician. Consequently, we tentatively support the hypothesis that the Chopawamsic fault system represents the main Iapetan suture in the southern Appalachian orogen. Most detrital zircons from samples of the Arvonia successor basin crystallized in the Ordovician—Silurian or Mesoproterozoic. These data suggest that the Arvonia basin was deposited in the latest Ordovician to Early Silurian only after the Late Ordovician accretion of the Chopawamsic arc to Laurentia. SOMMAIRELa faille de Chopawamsic représente peut-être la principale suture japétienne, non-reconnue dans prolongement sud de l’orogène des Appalaches. La faille traverse la portion nord du centre du piedmont ouest de Virginie et sépare le terrane métaclastique de Potomac, d’affinité laurentienne pensait-on, du terrane de Chopawamsic, vestige d’un arc volcanique de l’Ordovicien moyen d’affinité crustale incertain. Afin de mettre en lumière la signification orogénique première de la faille de Chopawamsic, nous présentons les résultats d’analyses U-Pb par ICP–MS par AL sur 1 289 zircons détritiques provenant de 13 échantillons de roches métasédimentaires prélevés de chaque côté de la faille. L’existence quasi-exclusive de grains de zircon de l’Ordovicien moyen (env. 470 – 460 Ma) dans quatre roches métasédimentaires de la Formation de Chopawamsic représente vraisemblablement le recyclage détritique des roches volcaniques synsédimentaires de Chopawamsic. Un sous-ensemble de grains cambriens et plus anciens, évoque l’existence d’une ou plusieurs sources plus anciennes additionnelles. Les échantillons du terrane de Potomac renferment principalement des grains de zircon du Mésoprotérozoïque, ce qui correspond avec les interprétations antérieures voulant que les roches métaclastiques soient d’origine laurentienne. Les zircons les plus jeunes (env. 550 – 500 Ma) ainsi que l’âge des plutons qui recoupe l’encaissant indiquent qu’au moins certaines parties du terrane de Potomac sont de la fin du Cambrien ou du début de l’Ordovicien. Les résultats impliquent l’existence de systèmes sédimentaires distincts au cours du temps, et isolés géographiquement durant le dépôt des roches sédimentaires dans les terranes de Chopawamsic et de Potomac. Les roches métasédimentaires près de Storck en Virginie, jadis interprétées comme bassin successeur, renferment des populations de zircons détritiques qui indiquent qu’ils proviennent en fait de roches métasédimentaires péri-gondwaniennes sans rapport avec un système de bassin successeur; leur localisation géographique entre le terrane de Potomac issu des Laurentides et le terrane de Chopawamsic porte à penser que l’arc de Chopawamsic est d’affinité péri-gondwanienne, et que les terranes de Chopawamsic et de Potomac à l’Ordovicien moyen étaient séparés géographiquement. En conséquence il nous semble justifié de proposer que le système de faille de Chopawamsic représente la principale suture japétienne dans le sud de l’orogène des Appalaches. La plupart des zircons détritiques des échantillons du bassin successeur d’Arvonia ont cristallisés entre l’Ordovicien et le Silurien ou au Mésoprotérozoïque. Ces données suggèrent que le bassin d’Arvonia s’est rempli de la fin entre l’Ordovicien et le début du Silurien, seulement après l’accrétion de l’arc de Chopawamsic à la Laurentie, à la fin de l’Ordovicien.
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Ross, Pierre-Simon, and Patrick Mercier-Langevin. "Igneous Rock Associations 14. The Volcanic Setting of VMS and SMS Deposits: A Review." Geoscience Canada 41, no. 3 (August 29, 2014): 365. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.045.

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Abstract:
Volcanogenic massive sulphide (VMS) deposits and seafloor massive sulphide (SMS) deposits have a spatial and genetic connection with contemporaneous volcanism. The control exerted by the volcanic succession (e.g. rock type, architecture and facies) on the nature and style of the ore and alteration (e.g. subsea-floor replacement vs. exhalative, or discordant vs. conformable) is significant, making it imperative to understand the local volcanology in developing better genetic and exploration models. Three VMS deposit groupings collectively represent a high proportion of cases: (1) deposits associated with complexes of submarine felsic domes, cryptodomes, lobe-hyaloclastite flows and/or blocky lavas, and their reworked equivalents; (2) deposits associated with thick piles of pumiceous felsic pyroclastic rocks, suggesting a caldera context; and (3) deposits associated with mafic volcanic footwalls and/or with sedimentary hosts, including significant deposits such as Windy Craggy (~300 Mt) in British Columbia. With regard to number (2) above, demonstrating the presence of a caldera in ancient successions can be difficult because silicic calderas tend to be large and exceed the limits of deposit-scale investigations. Furthermore, there is no consensus regarding what a large submarine caldera should look like, i.e., no accepted facies model exists showing the distribution of rock types. But without thick piles of pumiceous felsic pyroclastic deposits, arguing for a large submarine caldera is a challenge.SOMMAIRELes gisements de sulfures massifs volcanogènes (SMV) et leurs équivalents actuels au fonds des mers ont une connexion spatiale et génétique avec le volcanisme. La succession volcanique – composition, architecture, faciès – exerce un contrôle important sur la nature et le style de minéralisation et d’altération hydrothermale (p. ex. minéralisation mise en place par remplacement sous le fond marin vs. exhalative; altération discordante ou plus concordante). Il est donc impératif de connaître la volcanologie des roches encaissantes pour développer de meilleurs modèles génétiques et d’exploration. Trois groupes de gisements couvrant collectivement une grande proportion des cas sont discutés ici. Premièrement, plusieurs gisements sont associés à des complexes de dômes felsiques sous-marins, des cryptodômes, des coulées de type lobes-hyaloclastite et/ou des laves en blocs, ou leur équivalents resédimentés. Deuxièmement, certains gisements sont associés à d’épaisses séquences de roches pyroclastiques felsiques ponceuses, suggérant un contexte de caldeira. Troisièmement, plusieurs gisements sont associés avec des roches volcaniques mafiques et/ou avec des roches sédimentaires, par exemple l’important dépôt de Windy Craggy (~300 Mt) en Colombie-Britannique. Concernant les contextes de type 2, la démonstration d’une caldeira peut être difficile dans les successions anciennes, car les caldeiras felsiques sont de grandes dimensions, excédant les limites des études à l’échelle du gîte. De plus, il n’existe pas de consensus sur un modèle de faciès pour une grande caldeira sous-marine. Mais sans la présence d’épais empilements de roches pyroclastiques felsiques ponceuses, il est difficile d’argumenter en faveur d’une caldeira sous-marine.
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Alaoui Mhamdi, M., L. Aleya, S. Rachiq, and J. Devaux. "Étude préliminaire sur les échanges de phosphore à l'interface eau- sédiment au sein de la retenue d'Al Massira (Maroc)." Revue des sciences de l'eau 7, no. 2 (April 12, 2005): 115–30. http://dx.doi.org/10.7202/705192ar.

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Abstract:
Les échanges de phosphore à l'interface eau-sédiment ont été étudiés dans la retenue Al Massira. La campagne de prélèvements a été menée pendant la faible oxygénation des eaux profondes au mois d'octobre 1991. Les mesures des échanges de phosphore ont été réalisées in situ en chambre benthique. Les valeurs de pH sont élevées et reflètent clairement l'influence de la nature géologique du bassin versant sur la composition chimique des eaux. Ce bassin versant, formé essentiellement de roches sédimentaires calcaires, est vraisemblablement à l'origine des concentrations élevées en calcium mesurées dans les chambres benthiques. En période de faible oxygénation, on note une augmentation des teneurs en phosphore particulaire dans les eaux surnageantes en raison de la présence de complexes calcium-phosphore, fer-phosphore et manganèse-phosphore. En période d'anoxie, la réduction de ces complexes est accompagnée d'une aug- mentation des teneurs en phosphore. La densité bactérienne et la concentration en phosphore total et notamment en orthophosphates suivent une évolution temporelle comparable. Une fraction non négligeable du phosphore particulaire serait liée aux bactéries. Des mesures drastiques de déphosphatation du tributaire Oum Errbia doivent être prises pour éviter la dissociation des complexes Ca, Fe, Mn-Phosphore et le relargage de phosphore biodisponible.
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Sala, Monique, and Bernard Long. "Évolution des structures deltaïques du delta de la rivière Natashquan, Québec." Géographie physique et Quaternaire 43, no. 3 (December 18, 2007): 311–23. http://dx.doi.org/10.7202/032785ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le delta de la rivière Natashquan (Côte-Nord du Saint-Laurent) offre un exemple typique de construction de structures deltaïques (lobes) dans un contexte de régression, sous la dépendance des processus hydrodynamiques fluvial et marin. Actuellement, depuis la migration de l'embouchure de la rivière, un des lobes du delta est partiellement en voie d'érosion et de fossilisation. La structure du substratum (bouclier cristallin précambrien et roches sédimentaires paléozoïques) détermine la morphologie et le drainage préglaciaires de la région. Les glaciations du Pleistocene ont creusé des vallées en auge. La transgression de la Mer de Goldthwait, liée au relèvement glacioisostatique, donne la morphologie actuelle de la région (paléolignes de rivage, delta). Le delta multilobé, encore partiellement submergé, est limité au large par une ligne de cuestas submergée. Une étude géophysique et sédimentologique décrit les sédiments recouvrant le substratum. Le prisme sableux deltaïque progresse sur des sédiments argilosilteux prédeltaïques de la Mer de Goldthwait. La pente du front du delta varie de 0,5° est à 10° ouest. La structure interne du lobe montre plusieurs unités complexes de couches frontales tronquées, reposant sur des couches basâtes; les couches sommitales érodées sont absentes. Les effets combinés des processus fluvial et marin entraînent une progradation rapide d'un large volume de sédiments à l'ouest avec des couches frontales très inclinées (8°) provoquant des mouvements gravitaires.
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Willner, Arne P., Axel Gerdes, Hans-Joachim Massonne, Cees R. Van Staal, and Alexandre Zagorevski. "Crustal Evolution of the Northeast Laurentian Margin and the Peri-Gondwanan Microcontinent Ganderia Prior to and During Closure of the Iapetus Ocean: Detrital Zircon U–Pb and Hf Isotope Evidence from Newfoundland." Geoscience Canada 41, no. 3 (August 29, 2014): 345. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.046.

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Abstract:
Detrital zircon populations in sedimentary rocks from the Laurentian margin and the accreted microcontinent Ganderia on both sides of the main Iapetus suture (Red Indian Line) in central Newfoundland have been studied by combined U–Pb and Lu–Hf isotope analyses. Variation in εHf(t) values with age of zircon populations of distal provenance (>900 Ma) reflect the crustal evolution within the source continents: in zircon derived from Laurentia, episodes of juvenile magma production in the source could be detected at 1.00 – 1.65 and 2.55 – 3.00 Ga, and mixing of juvenile and recycled crust in continental magmatic arcs occurred at 0.95 – 1.40, 1.45 – 1.60, 1.65 – 2.05 and 2.55 – 2.75 Ga. These ages are consistent with the crustal history of northeastern Laurentia. Similarly, zircon of distal provenance from Ganderia reveals times of juvenile magma production in the source at 0.70 – 0.90, 1.40 – 1.75, 1.85 – 2.40 and 2.7 – 3.5 Ga, and episodes of mixing juvenile and recycled crust at 0.95 – 1.35, 1.45 – 1.60, 1.70 – 2.15 and 2.6 – 2.8 Ga. These data reflect the crustal evolution in the present northern part of Amazonia, its likely source craton. The evolution of magmatic arcs at the margins of both continents can be studied in a similar way using detrital zircon having a proximal provenance (<900 Ma). In contrast to the Laurentian margin, Ganderia is characterized by development of Neoproterozoic – Cambrian continental arcs (ca. 500 – 670 Ma) that were built on the margin of Gondwana. εHf(t) values indicate recycling of Neo- and Mesoproterozoic crust. During and following accretion of the various elements of Ganderia to Laurentia, the syn-tectonic Late Ordovician to Silurian sedimentary rocks deposited on the upper plate (composite Laurentia) continued showing only detritus derived from Laurentia. These sedimentary rocks contain detrital zircon from Iapetan juvenile, continental and successor arcs that were active between ca. 440 and 550 Ma, and from continuing magmatic activity until 423 Ma. Arrival of the first Laurentian detritus at the outermost part of Ganderia indicates that the Iapetus ocean was closed at ca. 452 Ma. The magmatic arcs along the former Laurentian margin in Newfoundland evolved differently. In the northwestern part, εHf(t) values point to recycling of Mesoproterozoic and Paleoproterozoic crust. In the southwest, εHf(t) values indicate addition of juvenile crust, recycling of Mesoproterozoic crust and mixing with juvenile magma. SOMMAIRELes populations de zircons détritiques des roches sédimentaires issus de la marge laurentienne et du microcontinent d’accrétion de Ganderia, des deux côtés de la principale suture Iapetus (linéation de Red Indian) dans le centre de Terre-Neuve, ont été étudiés par analyses combinées U–Pb et Lu–Hf. Les variations des valeurs εHf(t) en fonction de l’âge des populations de zircons distaux (>900 Ma) reflètent l’évolution de la croûte des continents sources : les zircons de Laurentie ont permis de détecter des épisodes magmatiques juvéniles dans la source entre 1,00 - 1,5, et 2,55 - 3,00 Ga, ainsi que des épisodes de mélange de croûte juvénile avec des croûtes d’arcs magmatiques continentaux recyclés entre 0,95 – 1,40, 1,45 – 1,60, 1,65 – 2,05, et 2,55 – 2,75 Ga. Ces datations correspondent bien à l’histoire de la croûte de la portion nord-est de la Laurentie. De même, le zircon distal de Ganderia révèle des épisodes de production de magmas juvéniles dans la source entre 0,70 - 0,90, 1,40 - 1,75, 1,85 - 2,40, et 2,7 - 3,5 Ga, ainsi que des épisodes de mélanges de matériaux juvéniles et de croûtes recyclés entre 0,95 - 1,35, 1,45 - 1,60, 1,70 - 2,15, et 2,6 - 2,8 Ga. Ces données reflètent l’évolution de la croûte dans la portion nord actuelle de l’Amazonie, son craton source probable. L’évolution des arcs magmatiques à la marge de ces deux continents peuvent être étudiées de la même manière en utilisant le zircon détritique proximal (<900 Ma). Contrairement à la marge laurentienne, celle de Ganderia est caractérisée par le développement d’arcs continentaux Néoprotéozoïque-Cambrien (env. 500 – 670 Ma) qui se sont constitués à la marge du Gondvana. Les valeurs de εHf(t) indiquent un recyclage de la croûte au Néoprotérozoïque et au Mésoprotérozoïque. Durant et après l’accrétion des divers éléments de Ganderia et de la Laurentie, les roches sédimentaires syntectoniques de la fin de l’Ordovicien et du Silurien qui se sont déposées sur la portion supérieure de la plaque (Laurentie composite) ne montrent toujours que des débris provenant de la Laurentie. Ces roches sédimentaires renferment des zircons détritiques juvéniles iapétiques, et d’arcs continentaux et d’arcs subséquents, qui ont été actifs entreentre (env. 440 et 550 Ma) et d’une activité magmatique continue jusqu’à 423 Ma. L’apport des premiers débris à la marge extrême de Ganderia indique que l’océan s’est fermée il y a env. 452 Ma. Les arcs magmatiques le long de l'ancienne marge laurentienne à Terre-Neuve ont évolué différemment. Dans la portion nord-ouest, les valeurs de εHf(t) indiquent un recyclage de la croûte au Mésoprotérozoïque et au Paléoprotérozoïque. Dans la portion sud-ouest, les valeurs de εHf(t) indiquent l’ajout d’une croûte juvénile, un recyclage de la croûte mésoprotérozoïque et un mélange avec un magma juvénile.
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Van Staal, Cees R., Dave M. Chew, Alexandre Zagorevski, Vicki McNicoll, James Hibbard, Tom Skulski, Sébastien Castonguay, Monica P. Escayola, and Paul J. Sylvester. "Evidence of Late Ediacaran Hyperextension of the Laurentian Iapetan Margin in the Birchy Complex, Baie Verte Peninsula, Northwest Newfoundland: Implications for the Opening of Iapetus, Formation of Peri-Laurentian Microcontinents and Taconic – Grampian Orogenesis." Geoscience Canada 40, no. 2 (August 24, 2013): 94. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2013.40.006.

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Abstract:
The Birchy Complex of the Baie Verte Peninsula, northwestern Newfoundland, comprises an assemblage of mafic schist, ultramafic rocks, and metasedimentary rocks that are structurally sandwiched between overlying ca. 490 Ma ophiolite massifs of the Baie Verte oceanic tract and underlying metasedimentary rocks of the Fleur de Lys Supergroup of the Appalachian Humber margin. Birchy Complex gabbro yielded a Late Ediacaran U–Pb zircon ID–TIMS age of 558.3 ± 0.7 Ma, whereas gabbro and an intermediate tuffaceous schist yielded LA–ICPMS concordia zircon ages of 564 ± 7.5 Ma and 556 ± 4 Ma, respectively. These ages overlap the last phase of rift-related magmatism observed along the Humber margin of the northern Appalachians (565–550 Ma). The associated ultramafic rocks were exhumed by the Late Ediacaran and shed detritus into the interleaved sedimentary rocks. Psammite in the overlying Flat Point Formation yielded a detrital zircon population typical of the Laurentian Humber margin in the northern Appalachians. Age relationships and characteristics of the Birchy Complex and adjacent Rattling Brook Group suggest that the ultramafic rocks represent slices of continental lithospheric mantle exhumed onto the seafloor shortly before or coeval with magmatic accretion of mid-ocean ridge basalt-like mafic rocks. Hence, they represent the remnants of an ocean – continent transition zone formed during hyperextension of the Humber margin prior to establishment of a mid-ocean ridge farther outboard in the Iapetus Ocean. We propose that microcontinents such as Dashwoods and the Rattling Brook Group formed as a hanging wall block and an extensional crustal allochthon, respectively, analogous to the isolation of the Briançonnais block during the opening of the Alpine Ligurian–Piemonte and Valais oceanic seaways.SOMMAIRELe complexe de Birchy de la péninsule de Baie Verte, dans le nord-ouest de Terre-Neuve, est constitué d’un assemblage de schistes mafiques, de roches ultramafiques et de métasédiments qui sont coincés entre des massifs ophiolitiques d’ascendance océanique de la Baie Verte au-dessus, et des métasédiments du Supergroupe de Fleur de Lys de la marge de Humber des Appalaches en-dessous. Le complexe de gabbro de Birchy a donné une datation U-Pb sur zircon ID-TIMS correspondant à la fin de l’Édiacarien, soit 558,3 ± 0,7 Ma, alors qu’un gabbro et un schiste tufacé intermédiaire montrent une datation LA-ICP-MS Concordia sur zircon de 564 ± 7,5 Ma et 556 ± 4 Ma, respectivement. Ces datations chevauchent la dernière phase de magmatisme de rift observée le long de la marge Humber des Appalaches du Nord (565-550 Ma). Les roches ultramafiques associées ont été exhumées vers la fin de l’Édiacarien et leurs débris ont été imbriqués dans des roches sédimentaires. Les psammites de la Formation de Flat Point susjacente ont donné une population de zircons détritiques typique de la marge laurentienne de Humber des Appalaches du Nord. Les relations chronologiques et les caractéristiques du complexe de Birchy et du groupe de Rattling Brook adjacent, permettent de penser que ces roches ultramafiques pourraient être des écailles de manteau lithosphérique continental qui auraient été exhumées sur le plancher océanique peu avant ou en même temps que l’accrétion magmatique de roches mafiques basaltiques de type dorsale médio-océanique. Par conséquent, elles seraient des vestiges d’une zone de transition océan-continent formée au cours de l’hyper-extension de la marge de Humber avant l’apparition d’une dorsale médio-océanique plus loin au large dans l’océan Iapétus. Nous proposons que des microcontinents comme de Dashwoods et du groupe de Rattling Brook ont constitués respectivement un bloc de toit et un allochtone crustal d’extension, de la même manière que le bloc Briançonnais a été isolé lors de l’ouverture des bras océaniques alpins de Ligurie-Piémont et de Valais.
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Schoonmaker, Adam, William S. F. Kidd, Stephen E. DeLong, and John F. Bender. "Lawrence Head Volcanics and Dunnage Mélange, Newfoundland Appalachians: Origin by Ordovician Ridge Subduction or in Back-Arc Rift?" Geoscience Canada 41, no. 4 (December 3, 2014): 523. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.053.

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Abstract:
This paper reviews the geological setting and reports new geochemical trace element data from the Ordovician Lawrence Head Volcanics (LHV) and the underlying gabbro sills in the Exploits Group. In combination with existing published analyses and ages of these rocks, the volcanic rocks and sills are indistinguishable in composition and age, and the data are consistent with the hypothesis that they represent the same (mostly E-MORB composition) magmatic event in the early–mid Darriwilian (~465 ± 2 Ma). The LHV and their enclosing strata show regional evidence for: 1) upward decline of volume and grain size of arc-derived volcaniclastic materials over the uppermost interval of turbidite sedimentary strata below the LHV; 2) change to shallow marine conditions locally by the end of the LHV event, followed immediately by significant subsidence, and 3) no evidence of coarse-grained clastic input, nor of normal faulting, during or immediately after LHV magmatism. Ridge–trench interaction (ridge subduction) at a subduction system is consistent with all of these features and spatial distribution of related elements, but a rift (back-arc) origin over a subduction zone can only accommodate the compositions, and is inconsistent with the geological evidence. The Dunnage Mélange (DM) has been interpreted either as olistostromal in a developing back-arc rift basin, or as a subduction accretionary prism. Peraluminous intrusions in the mélange (Coaker Porphyry ― CP) are more readily explained by ridge subduction, and a previously reported zircon age (469 ± 4 Ma) is consistent with the age of the LHV and gabbro sills, also interpreted as products of ridge subduction. Localization of the CP in the eastern area of DM, and of most of the large LHV-derived volcanic blocks in the western DM, suggests a slightly younger age, and perhaps a different mechanism, for the origin of the western DM.SOMMAIRECet article passe en revue le contexte géologique et présente de nouvelles données géochimiques d’éléments traces des roches volcaniques ordoviciennes de Lawrence Head (LHV) et des filons-couches de gabbro sous-jacents du Groupe Exploits. Considérant la combinaison des données d’analyse publiées et des datations de ces roches, les roches volcaniques et les filons-couches sont indiscernables tant en composition qu’en âge, et les données sont compatibles avec l’hypothèse selon laquelle ils représentent le même événement magmatique (principalement E-MORB) du Darriwilien précoce à moyen (~465 ± 2 Ma). Les LHV ainsi que les strates de l’encaissant renferment des indices régionaux qui montrent : 1) que le volume et la granulométrie des matériaux volcanoclastiques d’arc diminuent vers le haut dans l’intervalle supérieur des strates de turbidites sédimentaires sous les LHV; 2) que le changement vers des milieux marins peu profonds localement vers la fin de l’événement des LHV a été suivi immédiatement par une subsidence importante, et 3) qu’il n’existe pas d’indices d’apports clastiques à gros grains, non plus que de formation de failles normales, durant ou immédiatement après le magmatisme des LHV. L’interaction crête-fosse (subduction de la crête) au lieu d’un système de subduction concorde avec toutes ces caractéristiques et la répartition spatiale des éléments reliés, alors qu’une origine de crête (arrière-arc) au-dessus d’une zone de subduction ne peut expliquer que les compositions et qu’elle est incompatible avec l’évidence géologique. Le Dunnage Mélange (DM) a été interprété soit comme un olistostome dans un bassin d’arrière-arc en développement, ou comme un prisme d’accrétion de subduction. Les intrusions hyperalumineuses dans le mélange (Porphyre Coaker — CP), s’explique plus facilement par une subduction de crête, et un âge de datation sur zircon de (469 ± 4 Ma) correspond à l’âge des LHV et des filons-couche de gabbro, aussi interprétés comme produits d’une subduction de crête. La localisation du CP dans la portion orientale du DM, et de la majeure partie des grands blocs volcaniques dérivés des LHV de la portion ouest du DM, suggère un âge légèrement plus jeune, et peut-être un mécanisme différent, pour l’origine de la portion ouest du DM.
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Van Staal, Cees R., Alexandre Zagorevski, Vicki J. McNicoll, and Neil Rogers. "Time-Transgressive Salinic and Acadian Orogenesis, Magmatism and Old Red Sandstone Sedimentation in Newfoundland." Geoscience Canada 41, no. 2 (May 7, 2014): 138. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.031.

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Abstract:
We propose an intimate relationship between Silurian terrestrial red bed sedimentation (Old Red Sandstone), slab breakoff-related magmatism and deformation in the Newfoundland Appalachians. Red bed sedimentation started during the Early Silurian, and records the progressive rise of the Salinic mountains in the tectonic hinterland of the orogen. The red beds were mainly deposited in molasse-style foreland basins in front of an east-propagating terminal Salinic deformation front. New U–Pb zircon dating of volcanic rocks interlayered with the Silurian red beds in key structural locations yielded ages ranging between 425 and 418 Ma, which, combined with the existing geochronological database, suggests that the sedimentary rocks are progressively younger from west to east and overstep the accreted Gondwana-derived terranes. We propose that deposition of the red beds is a good proxy for the time of cratonization of the accreted terranes. Eastward migration of the Salinic deformation front was accompanied by eastward-widening of a slab-breakoff-related asthenospheric window. The latter is interpreted to have formed due to a combination of progressive steepening of the down-going plate following entrance of the leading edge of the Gander margin and its eduction. Gander margin eduction (reversed subduction) is proposed to have been instigated by the trench migration of the Acadian coastal arc built upon the trailing edge of the Gander margin, which developed contemporaneously with the Salinic collision. The resultant thinning of the lithosphere beneath the Salinic orogen, built upon the leading edge of the Gander margin immediately prior to the onset of the Early Devonian Acadian orogeny, set the stage for generation of the widespread bloom of Acadian magmatism.SOMMAIRENous proposons qu’il y a eu une relation intime entre la sédimentation des couches rouges continentales au Silurien (vieux-grès-rouges), un magmatisme lié à une rupture de segments de croûte, et la déformation appalachienne à Terre-Neuve. La sédimentation des couches rouges qui a débuté au début du Silurien témoigne du soulèvement progressif des monts saliniques de l’arrière-pays tectonique de l’orogène. Les couches rouges se sont déposées sous forme de molasses dans des bassins d’avant-pays, à l’avant du front de déformation salinique terminale qui se déployait vers l’est. De nouvelles datations U-Pb sur zircon de roches volcaniques interstratifiées avec des couches rouges siluriennes en des lieux structurels stratégiques montrent des âges qui varient entre 425 Ma et 418 Ma, ce qui, combiné aux bases de données géochronologiques existantes permet de penser que les roches sédimentaires sont progressivement plus jeunes d’ouest en est, et qu’elles surplombent les terranes accrétés du Gondwana. Nous suggérons que les couches rouges sont de bons indicateurs temporels de la cratonisation des terranes accrétés. La migration vers l’est du front de la déformation salinique a été accompagnée par un élargissement vers l’est d’une fenêtre asthénosphérique liée à une rupture de la croûte. Cette dernière aurait été provoquée par la combinaison de l’enfoncement progressif de la plaque qui a suivi l’entrée du bord d’attaque de la marge de Gander, et son éduction. Nous proposons que l’éduction (l’inverse de la subduction) de la marge de Gander a été provoquée par la migration de la fosse tectonique côtière acadienne, induite par la migration du bord d’attaque de la marge de Gander, contemporaine de la collision salinique. L’amincissement de la lithosphère sous l’orogène salinique qui en a résulté, et qui s’est déployé au bord d’attaque de la marge de Gander juste avant l’enclenchement de l’orogénie acadienne au début du Dévonien, a préparé le terrain du déploiement à grande échelle du magmatisme acadien.
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Coulibaly, Yoh Natogoma, Fori Yao Paul Assale, Ismaël Ben Ouattara, and Sylvain Monde. "Evolution lithostratigraphique et diagénétique des dépôts argileux de l’albien du bassin sédimentaire de côte d’ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 3 (June 19, 2020): 1153–66. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i3.40.

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Abstract:
Nombreuses études sur les déblais de forage à l’Albien du bassin sédimentaire (Côte d’Ivoire) ont montré la présence d’un fort taux de dépôts d’argiles. Toutefois, ces roches argileuses apparemment identiques peuvent être différentes chimiquement. Afin de caractériser ces roches, deux types d’analyses ont été réalisées : l’analyse de la poudre de roche et celle de la fraction fine. Le traitement des données de la poudre de roche s’est fait avec le logiciel EVA et celui de la fraction fine avec le logiciel Fytik 0.9.8. L’analyse lithologique des sédiments d’âge albien présente une alternance de bancs d’argile, de sables, de grès, de silts et de kaolin. Au toit, alternent avec les bancs d’argiles des bancs carbonatés. Le cortège détritique est essentiellement constitué de quartz, albite, traces de microcline, sidérite et calcite. En outre, les minéraux argileux sont constitués de : la kaolinite, des interstratifiés néoformés à deux feuillets : l’illite/smectite régulier (R1) par endroits et illite/chlorite irrégulier (R0) à la base de l’Albien moyen et des interstratifiés néoformés à trois feuillets : illite/chlorite/smectite, illite/vermiculite/smectite. Ces minéraux traduisent une évolution en fonction de la profondeur impliquant la disparition progressive des feuillets de smectite et l’apparition progressive des feuillets de chlorite. Cette évolution est favorisée par une diagénèse d’enfouissement (qui évolue en fonction de la profondeur).Mots clés : Diagénèse, minéralogie, lithologie, Albien.
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Provansal, Mireille, Frédérique Bertoncello, and Guillaume Gili. "Dynamiques morpho-sédimentaires et peuplement sur le Rocher de Roquebrune-sur-Argens (Var)." ArchéoSciences, no. 30 (December 31, 2006): 173–80. http://dx.doi.org/10.4000/archeosciences.360.

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Fauchille, Anne-Laure, Bram van den Eijnden, Kevin Taylor, and Peter David Lee. "Détermination de la taille et du nombre d’échantillons devant être analysés en laboratoire pour la caractérisation statistique de la microstructure d’une roche argileuse." Revue Française de Géotechnique, no. 165 (2020): 1. http://dx.doi.org/10.1051/geotech/2020024.

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Abstract:
À l’échelle du laboratoire, les roches argileuses sont des matériaux hétérogènes dont le comportement thermo-hydromécanique est en grande partie contrôlé par la microstructure. Le choix du nombre et de la taille des échantillons à étudier en laboratoire est déterminant pour appréhender la variabilité des propriétés de la roche argileuse à petite échelle. Cet article présente une méthode statistique permettant de préciser la surface (ou le volume) et le nombre d’échantillons à prendre en compte pour qu’une propriété p choisie caractérisant la microstructure, soit statistiquement représentative. Initialement établie dans un cas général par Kanit et al. (2003. Determination of the size of the representative volume element for random composites: statistical and numerical approach. Int J Solids Struct 40(13–14): 3647–3679), cette méthode consiste à partitionner un échantillon de propriété moyenne [see formula in PDF] connue, en sous-échantillons de surface D × D afin de calculer l’écart-type et l’erreur relative de la mesure de p en fonction de D. Cette méthode permet ainsi de définir des surfaces élémentaires représentatives de p en tenant compte de l’erreur relative par rapport à [see formula in PDF]. La méthode est d’abord présentée dans des cas généraux en 2D et 3D, et un exemple type est ensuite développé en 2D pour caractériser la fraction argileuse d’une lamine sédimentaire de Bowland (Royaume-Uni). La fraction surfacique argileuse est choisie comme propriété p, à partir d’une image grand-champ en microscopie électronique à balayage. La méthode est applicable en 2D et 3D sur les matériaux finement divisés autant sur les roches que sur les sols argileux, tant que l’échantillon considéré contient suffisamment d’éléments figurés (inclusions rigides ou pores dans une matrice par exemple) pour permettre l’utilisation des statistiques. L’apport principal visé pour la communauté des ingénieurs est dans la mesure du possible un meilleur ciblage de la quantité d’échantillons à prélever en forage pour mieux évaluer la variabilité des paramètres macroscopiques des roches argileuses. Les limites de la méthode sont ensuite discutées.
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Thomas, William A. "A Mechanism for Tectonic Inheritance at Transform Faults of the Iapetan Margin of Laurentia." Geoscience Canada 41, no. 3 (August 29, 2014): 321. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.048.

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Abstract:
Transform faults along the Iapetan rifted continental margin of Laurentia offset the continental rift and/or bound domains of oppositely dipping low-angle detachments. Rift-parallel and transform-parallel intracratonic fault systems extend into continental crust inboard from the rifted margin. Ages of synrift igneous rocks, ranging from 765 to 530 Ma, document non-systematic diachroneity of rifting along the Iapetan margin. Synrift sedimentary accumulations show abrupt variations in thickness across transform faults, and some concentrations of synrift igneous rocks are distributed along transform faults and transform-parallel intracratonic fault systems. The greatest thicknesses of Cambrian–Ordovician passive-margin shelf-carbonate deposits are along transform margins and in continental-margin basins along transform faults, as well as along transform-parallel intracratonic fault systems, indicating anomalously great post-rift thermal subsidence along transform faults. Along the Ordovician–Permian Appalachian-Ouachita orogenic belt, a diachronous array of synorogenic clastic wedges fills foreland basins, recording tectonic-load-driven flexural subsidence of the lithosphere. The greatest thicknesses of synorogenic clastic wedges of all ages are consistently in foreland basins along transform margins and inboard from intersections of transform faults with the rifted margin, indicating systematically weaker lithosphere along transform faults. The distinctive and pervasive properties and behaviour of the lithosphere along transform faults in successive tectonic settings suggest fundamental controls on tectonic inheritance at transform faults. Recent models for continental rifting incorporate ductile extension of the mantle lithosphere beneath brittle extension of the crust; the domain of ductile extension of the mantle lithosphere may reach significantly inboard from the rifted margin of the brittle crust, accounting for rift-parallel extensional faults in the crust inboard from the rifted margin. A transform offset of a rift in brittle crust requires a similar offset in ductile extension of the mantle lithosphere, leading to differential ductile flow on opposite sides of the transform and imparting a transform-parallel distributed-shear fabric. Transform-parallel distributed shear in the mantle lithosphere provides a mechanism for brittle transform-parallel fault systems in the continental crust. Studies of seismic anisotropy show fast directions parallel with transform faults, indicating systematic orientation of crystals through transform-parallel distributed shear in the mantle lithosphere.SOMMAIRELes failles transformantes le long de la marge continentale divergente japétienne de la Laurentie décalent le rift continental et/ou les domaines accrétés en des décollements à pendages opposés faibles. Des systèmes de failles intracratoniques parallèles au rift, et parallèles à la transformation, pénètrent vers l’intérieur de la croûte continentale à partir de la marge de rift. Les âges des roches ignées syn-rift, entre 765 Ma et 530 Ma, témoignent d’une activité de rifting diachronique non-systématique le long de la marge japétienne. Des empilements sédimentaires syn-rifts montrent des variations abruptes d’épaisseur d’une faille transformante à l’autre, et des concentrations de roches ignées syn-rifts se répartissent le long des systèmes de failles transformantes et de failles intracratoniques parallèles. Les accumulations les plus épaisses de carbonates de plateforme de marge continentale passive se trouvent le long des marges de cisaillement et dans les bassins de marge continentale le long de failles transformantes, de même qu’au long des systèmes de failles intracratoniques parallèles, évoquant une subsidence anormalement forte le long des failles transformantes. Le long de la bande orogénique ordovicienne-permienne Appalaches-Ouachita, une gamme diachronique de prismes clastiques synorogéniques remplit les bassins d’avant-pays, attestant d’une subsidence par flexure lithosphérique d’origine tectonique. Les plus grandes épaisseurs de prismes clastiques synorogéniques à tous les âges sont toujours situées dans les bassins d’avant-pays le long des marges transformantes, et vers l’intérieur, à partir des intersections des failles transformantes avec la marge de rift, indiquant une lithosphère systématiquement plus fragile le long des failles transformantes. Les propriétés particulières et le comportement généralisés de la lithosphère le long des failles transformantes dans les contextes tectoniques successifs sont la marque de contrôles fondamentaux sur l'héritage tectonique des failles transformantes. Les modèles récents de rifting continental comportent une extension ductile de la lithosphère mantellique sous l’extension cassante de la croûte; le domaine d'extension ductile de la lithosphère mantellique peut s’étendre significativement vers l’intérieur de la marge de divergence de la croûte cassante, d’où les failles d'extension parallèle au rift, à l’intérieur de la croûte de la marge de divergence. Un décalage de transformation de rift de la croûte comporte un décalage du même genre de l’extension ductile de la lithosphère mantellique, ce qui implique un différentiel de flux ductile sur les bords opposés de la transformation, d’où cette fabrique d’extension parallèle à la transformation. L’extension parallèle à la transformation de la lithosphère mantellique fournit un mécanisme qui explique les systèmes de failles transformantes parallèles dans la croûte continentale. Les études de l’anisotropie sismique montre les grandes vitesses de propagation parallèles aux failles de transformations, ce qui indique une orientation systématique des cristaux induite par une extension répartie selon les cassures transformantes dans la lithosphère mantellique.
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Rose, Catherine V., Adam C. Maloof, Blair Schoene, Ryan C. Ewing, Ulf Linnemann, Mandy Hofmann, and John M. Cottle. "The End-Cryogenian Glaciation of South Australia." Geoscience Canada 40, no. 4 (December 20, 2013): 256. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2013.40.019.

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Abstract:
The Elatina Fm. records the younger Cryogenian ice age in the Adelaide Rift Complex (ARC) of South Australia, which has long-held the position as the type region for this low-latitude glaciation. Building upon a legacy of work, we document the pre- and syn-glacial sedimentary rocks to characterize the dynamics of the glaciation across the ARC. The Elatina Fm. records an array of well-preserved glacial facies at many different water depths across the basin, including ice contact tillites, fluvioglacial sandstones, dropstone intervals, tidal rhythmites with combined-flow ripples, and turbidites. The underlying Yaltipena Fm. records the pro-glacial influx of sediment from encroaching land-based ice sheets. The onset of the glaciation is heralded by the major element ratios (Chemical Index of Alteration) of the pre-glacial facies across the platform that show a reduction in chemical weathering and a deterioration in climate towards the base of the Elatina Fm. The advancing ice sheets caused soft-sediment deformation of the beds below the glacial diamictite, including sub-glacial push structures, as well as sub-glacial erosion of the carbonate unit beneath. Measured stratigraphic sections across the basin show glacial erosion up to 130 m into the carbonate platform. However, δ13C measurements of carbonate clasts within the glacial diamictite units were used to assess provenance and relative timing of δ13C acquisition, and suggest that at least 500 m of erosion occurred somewhere in the basin. Detrital zircon provenance data from the Elatina Fm. suggest that glacial sediment may have been partially sourced from the cratons of Western Australia and that the Whyalla Sandstone, even if stratigraphically correlative, was not a sediment source. The remainder of the Elatina Fm. stratigraphy mostly records the deglaciation and can be divided into three facies: a slumped sandstone, dropstone diamictite, and current-reworked diamictite. The relative sea level fall within the upper Elatina Fm. requires that regional deglaciation occurred on the timescale of ice sheet – ocean gravitational interactions (instant) and/or isostatic rebound (~104 years). Structures previously interpreted as soft-sediment folds within the rhythmite facies that were used to constrain the low-latitude position of South Australia at the time of the Elatina glaciation are re-interpreted as stoss-depositional transverse ripples with superimposed oscillatory wave ripples. These combined-flow ripples across the ARC attest to open seas with significant fetch during the initial retreat of local glaciers. In addition, this interpretation no longer requires that the magnetization be syn-depositional, although we have no reason to believe that the low-latitude direction is a result of remagnetization, and positive reversal tests and tectonic fold tests are at least consistent with syn-depositional magnetization. Together, these paired sedimentological and chemostratigraphic observations reveal the onset of the glaciation and advance of the ice sheet from land to create a heavily glaciated terrain that was incised down to at least the base of the pre-glacial Trezona Fm.SOMMAIRELa Formation d’Elatina représente la phase précoce de l’âge glaciaire du Cryogénien de l’Adelaide Rift Complex (ARC) dans le sud de l’Australie, région qui a longtemps été la région type de cette glaciation de basse latitude. À partir d’un legs de travaux, nous nous sommes appuyés sur l’étude des roches sédimentaires préglaciaires et synglaciaires pour caractériser la dynamique de la glaciation à travers l’ARC. La Formation d’Elatina renferme une gamme de faciès glaciaires bien préservés correspondant à différentes profondeurs d’eau à travers le bassin, dont des tillites de contact glaciaire, des grès fluvioglaciaires, des intervalles à galets de délestage, des rythmites tidales avec des combinaisons de rides d’écoulement, et des turbidites. La Formation sous-jacente de Yaltipena est constituée de sédiments proglaciaires provenant de lentilles de glace en progression. Le début de la glaciation est reflété dans les ratios des éléments majeurs (indice d’altération chimique) des faciès préglaciaires de la plateforme qui montre une réduction de l’altération chimique et une détérioration du climat à l’approche de la base de la Formation d’Elatina. La progression des nappes de glace a entraîné une déformation des lits de sédiments meubles sous la diamictite glaciaire, montrant entre autres des structures de poussée sous-glaciaires ainsi que de l’érosion sous-glaciaire de l’unité de carbonate sous-jacente. Les mesures de coupes stratigraphiques à travers le bassin montrent que l’érosion glaciaire a enlevé jusqu’à 130 m du carbonate de la plateforme. Toutefois, les signatures isotopiques δ13C de fragments de carbonate dans les unités de diamictites glaciaires utilisées pour établir la provenance et la chronologie d’acquisition relative de la signature δ13C des fragments, permet de penser qu’il y a eu au moins 500 m d'érosion quelque part dans le bassin. Les données de provenance sur zircons détritiques de la Formation d’Elatina permettent de penser que les sédiments glaciaires provenaient partiellement des cratons de l'Australie occidentale et que le grès de la Formation de Whyalla, bien que stratigraphiquement corrélé, n'a pas été une source de sédiments. Ce qui reste de la stratigraphie de la Formation d’Elatina représente principalement la déglaciation, laquelle peut être divisée en trois faciès : un grès plissé, une diamictite à galets de délestage, et une diamictite remaniée par des courants. La baisse du niveau relatif de la mer dans la partie supérieure de la Formation d’Elatina suppose une déglaciation régionale sur une échelle de temps de l’ordre de celle de la nappe de glace – interactions gravitationnelles de l’océan (instantanées) et/ou rebond isostatique (~ 104 ans). Des structures décrites précédemment comme des plis de sédiments mous dans des faciès de rhythmites qui impliquait une position de basse latitude pour l'Australie du Sud à l'époque de la glaciation Elatina, sont réinterprétées comme des rides sédimentaires transverses asymétriques avec des rides de vagues oscillatoires superposées. Ces combinaisons de rides d’écoulement à travers l’ARC confirment l’existence d’un milieu marin ouvert d’une ampleur certaine au moment de la retraite initiale des glaciers locaux. En outre, cette interprétation ne nécessite plus que la magnétisation soit synsédimentaire, bien que nous n'ayons aucune raison de penser que l’orientation magnétique de basse latitude soit le résultat d’une ré-aimantation, et que les tests de réversibilité positifs et les tests de plissement tectonique sont au minimum conformes à une magnétisation synsédimentaire. Ensemble, ces observations sédimentologiques et chimiostratigraphiques mettent en lumière le début de la glaciation et l'avancée du couvert de glace continental menant à une région fortement englacée qui a été incisée jusqu'à à la base de la Formation préglaciaire de Trezona.
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Bertran, Pascal, Cédric Beauval, Stéphane Boulogne, Michel Brenet, Julia Chrzavzez, Émilie Claud, Sandrine Costamagno, et al. "Dynamique sédimentaire et taphonomie des abris-sous-roche et des porches de grotte en milieu périglaciaire." Les Nouvelles de l'archéologie, no. 118 (December 1, 2009): 11–16. http://dx.doi.org/10.4000/nda.846.

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Regnauld, H., C. Kuzucuoglu, and A. Ramos Pereira. "Morphodynamics and sedimentary evolution of rocky platforms in front of the cliffs of Estremadura (Portugal) (observations of mobile submarine sands)." Zeitschrift für Geomorphologie 39, no. 3 (September 4, 1995): 313–30. http://dx.doi.org/10.1127/zfg/39/1995/313.

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Montoroi, J. P., O. Grünberger, and S. Nasri. "Utilisation de l'hydrochimie d'un bassin versant de lac collinaire tunisien pour l'étude de la recharge de la nappe alluviale." Revue des sciences de l'eau 17, no. 2 (April 12, 2005): 245–63. http://dx.doi.org/10.7202/705533ar.

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Abstract:
En climat méditerranéen, les ressources en eau des bassins sédimentaires sont rares. Pour limiter les écoulement de surface et recharger les nappes souterraines, des lacs collinaires ont été construits sous une pluviométrie annuelle comprise entre 250 et 500 mm. Des échantillons d'eau ont été prélevés dans le bassin versant d'El Gouazine, situé en Tunisie centrale, pour mieux expliciter le fonctionnement hydrochimique et la recharge de la nappe phréatique d'un lac collinaire très filtrant. Les eaux ont été échantillonnées à deux périodes distinctes (retenue presque asséchée et retenue pleine), en amont de la retenue dans le bassin versant et en aval dans l'aquifère alluvial. Trois faciès chimiques (bicarbonaté calcique, chloruré sodique et sulfaté calcique) caractérisent les eaux de nappe, l'eau de la retenue étant sulfatée calcique. La roche-mère et la nappe phréatique sont chimiquement très dépendantes. Les isotopes stables de l'eau montre que la nappe amont est peu profonde et d'origine météorique. L'eau de la retenue se mélange avec les eaux souterraines en conservant un caractère météorique en période d'écoulement et en acquérant un caractère évaporé en période d'assèchement. La nappe alluviale aval est alimentée par les eaux mélangées de la retenue. L'altération d'un affleurement gréseux forme un aquifère en rive gauche du lac expliquant en partie les pertes par infiltration. Les principaux processus géochimiques, qui se produisent au cours de l'écoulement de la nappe dans les formations superficielles, permettent une compréhension partielle du fonctionnement hydrochimique de la retenue et de son bassin versant.
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Dupont, Nicolas, Yves Quinif, Caroline Dubois, Hai Cheng, and Olivier Kaufmann. "Le système karstique de Sprimont (Belgique). Holotype d’une spéléogenèse par fantômisation." BSGF - Earth Sciences Bulletin 189, no. 1 (2018): 1. http://dx.doi.org/10.1051/bsgf/2017205.

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Abstract:
Le système karstique de Sprimont est riche de phénomènes karstiques variés dans un contexte géologique bien défini : un synclinal de carbonates carbonifères entourés au nord, à l’est et au sud par des formations famenniennes imperméables. À l’ouest, l’Ourthe recoupe le synclinal perpendiculairement à son axe d’allongement dans le cadre d’un relief appalachien typique et constitue le niveau de base karstique. Le relief consiste en un vallon orienté est-ouest dont l’axe coïncide avec celui du synclinal. Les ruisseaux qui descendent des hauteurs imperméables vers le vallon se perdent après leur entrée dans le domaine calcaire. Ces ruisseaux confluent sous terre pour résurger au « Trou Bleu », unique résurgence du système, non loin du talweg de l’Ourthe. Le système compte de nombreuses grottes, de dimensions souvent décamétriques. Quelques-unes sont de plus grande ampleur, dont la grotte du « Noû Bleû » récemment découverte, qui est un regard sur la rivière souterraine à quelques dizaines de mètres en amont de la résurgence. Les carrières ont dévoilé en plus de diverses grottes des phénomènes karstiques de type fantôme de roche. La karstogenèse de type fantôme de roche consiste en une altération modérée des carbonates produisant une séparation de phase. D’une part, la phase soluble comprend essentiellement le calcium, le magnésium, le bicarbonate et la silice colloïdale. Elle sort du système par la voie souterraine. D’autre part, une altérite résiduelle constitue la phase solide restante comprenant une partie des carbonates cinétiquement moins solubles comme la calcite sparitique et la dolomie pro parte, les insolubles comme les minéraux argileux, le quartz, et la matière organique. Cette phase solide évolue de façon isovolume lors d’une première étape et voit donc sa porosité augmenter, de même que sa fragilité mécanique. Cette première étape se déroule durant une période géologique où le potentiel hydrodynamique est très réduit, la fantômisation s’exerçant grâce à des circulations phréatiques très lentes mais chimiquement agressives. On obtient ainsi des volumes soit totalement circonscrits dans la masse rocheuse (pseudoendokarsts) soit sous forme de couloirs descendant du toit de la roche mère, remplis par l’altérite résiduelle. À Sprimont, la carrière du Coreux a dévoilé ces fantômes de roche. Durant une seconde phase, lorsqu’apparaît un potentiel hydrodynamique suite à une surrection et à l’incision des rivières, l’altérite peut être mécaniquement érodée par des circulations fluviatiles : les grottes « spéléologiques » se forment. Dans le site étudié, une cavité, la grotte « Nico », a été ouverte par l’avancée du front de la carrière. On y trouve une coupe sédimentaire montrant l’altérite résiduelle ravinée par des formations fluviatiles. Cet article décrit la coupe levée dans ces formations au travers de la lithostratigraphie, de la granulométrie et de la minéralogie des grains. La grotte « Nico » résulte de la coalescence de deux grottes superposées, le plancher rocheux séparant les deux cavités étant fantômisé et affaissé. Les parois et le sol sont des fantômes de roche dont l’altérite résiduelle est essentiellement formée de grains dolomitiques, tels les encrines dolomitisées. Les formations fluviatiles ravinent l’altérite suivant une surface chenalisante. Les grains sont constitués de grains remaniés d’altérite, calcite et dolomite, et d’une faible partie d’insolubles tels des grains de muscovite et de quartz en provenance des psammites famenniens. La série détritique est coiffée par un plancher stalagmitiques dont deux échantillons ont été datés de 53 851 ± 2493 et 61 542 ± 1235 ans B.P. ce qui situe l’érosion de l’altérite à une date relativement récente dans le Pléistocène supérieur. Ces phénomènes éclairent d’un jour nouveau la formation des grottes en Haute Belgique. L’évolution du karst de Sprimont trouve son origine dans un massif fantômisé partiellement érodé au cours de la surrection plio-quaternaire. L’apparition du potentiel hydrodynamique responsable de cette érosion trouve son origine dans les différences d’altitude entre pertes supérieures et résurgence à l’aval par enfoncement du niveau de base : la rivière Ourthe. Nous sommes confrontés à un holotype de spéléogenèse dans le cadre d’un relief appalachien. La grotte « Nico » et les phénomènes associés permettent de concevoir un modèle d’évolution des karsts de la Haute Belgique. Enfin, cet exemple montre aussi qu’une distinction claire peut être faite entre le terme karstogenèse qui englobe la fantômisation de celui de spéléogenèse qui ne concerne que le creusement des grottes spéléologiques par érosion mécanique de l’altérite résiduelle.
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Vishiti, Akumbom, Dieudonne Charles Isidore Ilouga, Ndzegha Collins Bomyoymoah, and Cheo Emmanuel Suh. "Petrology of banded iron formation-related country rocks at the northern limit of the Mbalam iron ore district, southeastern Cameroon." Journal of the Cameroon Academy of Sciences 18, no. 2 (October 24, 2022): 447–72. http://dx.doi.org/10.4314/jcas.v18i2.5.

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Abstract:
Banded iron formation (BIF)-related country rocks at the northern limit of the Mbalam iron ore district constitute part of the Archean to Proterozoic greenstone belt of the Congo Craton (CC). In this study the petrology of BIFs and amphibolites from the lower part of the Njweng ridge is presented in a bid to decipher the source of the sediments and their inherent iron enrichment. The BIFs vary from oxide to silicate facies categories, composed mainly of magnetite bands alternating with quartz bands and their mineralogy is dominated by magnetite, hematite and quartz. The amphibolites contain quartz, magnetite, amphibole, biotite, garnet with a distinct schistocity. The Fe2O3 and SiO2 content of the BIFs reach highs of 54.55 wt% and 57.83 wt%, respectively. The average Fe2O3 content of 46.7 wt% coupled with SiO2 and Al2O3 as deleterious elements indicate a relatively low-grade iron ore. Gold content reaches a maximum of 1.1 ppb. Low Al2O3, TiO2 and High Field Strength Elements (HFSE) indicate BIF derivation from detritus-free chemical sediments. Their Fe/Ti, Fe/Al and Si/Al ratios are typical of marine BIF systems with hydrothermal overprint. On Post Archaean Australian Shale (PAAS)-normalized Rare Earth Elements-Yttrium (REE-Y) patterns the BIFs present a slightly negative Ce anomaly and positive Eu and Y anomalies; characteristics typical of modern seawater. The amphibolites are enriched in Light Rare Earth Elements (LREE) relative to Heavy Rare Earth Elements (HREE) and show peaks of Y, Nb, La Ta and their Au content attains a maximum of 1.7 ppm. Gold contents in the BIFs and amphibolites indicate the BIF-related country rocks as a potential primary source of the alluvial gold mined in the Mbalam district. Les gisements de Fer rubanés (BIFs) localisés à la limite Nord du district ferrifere de Mbalam, sont partiellement représentatives des ceintures de roches vertes Archéennes à Protérozoïques dans le Craton du Congo (CC). Dans cette étude, la pétrologie des BIFs et amphibolites de la partie inferieure de la crête de Njweng est présentée afin de déceler la source des sédiments ainsi que leur enrichissement en Fer. Différentes catégories de BIFs variant des facies à oxydes aux silicates, sont composées principalement de bandes à magnétite avec alternances de bandes quartzeux. Leur minéralogie est dominée par la magnétite, l’hématite et le quartz. Les amphibolites contiennent du quartz, magnétite, l’amphibole, biotite, et grenat avec une schistosité distincte. La teneur en Fe2O3 et SiO2 des BIFs atteint un maximum en poids de 54,55 % et 57,83 % respectivement. La teneur moyenne en Fe2O3 de 46,7 % en poids, associée au SiO2 et Al2O3 comme éléments délétères, indique un minerai de fer à teneur relativement faible. Les teneurs en Or atteignent un maximum de 1,1 ppb. Les faibles teneurs en Al2O3, TiO2 et élément de champ électrostatique élevé (HFSE) indiquent que les BIFs dérivent d’un environnement sédimentaire chimique d’origine non détritique. Leur rapports Fe/Ti, Fe/Al et Si/Al sont typiques des systèmes BIFs marin avec une signature hydrothermale. Sur les modèles tarres rares-yttrium normalisés par schiste australien post- archéen (PAAS), les BIFs révèlent une légère anomalie négative de Ce couplée à une anomalie positive de Eu et Y, caractéristique d’un environnement marin récent. Les amphibolites sont enrichies en tarres rares légères par rapport aux tarres rares lourdes et montrent des pics de Y, Nb, La et Ta, Leurs teneurs en Au atteignent un maximum de 1,7 ppm. Les teneurs en Or dans les BIFs et les amphibolites indiquent que les formations de fer rubanées (BIFs) en place dans le district de Mbalam sont une source potentielle d’or.
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Oliveros, Veronica, Pablo Moreno-Yaeger, and Laura Flores. "Igneous Rock Associations 25. Pre-Pliocene Andean Magmatism in Chile." Geoscience Canada, July 10, 2020, 65–82. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2020.47.158.

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Abstract:
Andean-type magmatism and the term ‘andesite’ are often used as the norm for the results of subduction of oceanic lithosphere under a continent, and the typical rock formed. Although the Andes chain occupies the whole western margin of South America, the most comprehensively studied rocks occur in the present-day Chilean territory and are the focus of this paper. Andean magmatism in this region developed from the Rhaetian-Hettangian boundary (ca. 200 Ma) to the present and represents the activity of a long-lived continental magmatic arc. This paper discusses Pre-Pleistocene volcanic, plutonic, and volcano-sedimentary rocks related to the arc that cover most of the continental mass of Chile (between the Pacific coast and the High Andes) between the latitudes of 18° and 50°S. They comprise most of the range of sub-alkaline igneous rocks, from gabbro to monzogranite and from basalt to rhyolite, but are dominated by the tonalite-granodiorite and andesite example members. Variations in the petrographic characteristics, major and trace element composition and isotopic signature of the igneous rocks can be correlated to changes in the physical parameters of the subduction zone, such as dip angle of the subducting slab, convergence rate and angle of convergence. Early Andean magmatic products (Jurassic to Early Cretaceous) are found along the Coastal Cordillera in the westernmost part of the Andes. The rock record of the subsequent stages (Late Cretaceous, Paleocene–Early Eocene, Middle Eocene–Oligocene, Miocene) is progressively shifted to the east, reflecting migration of the magmatic front towards the continent. Tectonic segmentation of the convergent margin, as attested by the magmatic record, may have occurred throughout the Andean life span but it is particularly evident from the Eocene onwards, where the evolution of the northern part of the Chilean Andes (north of 27°S latitude) is very different to that of the southern segment (south of 27°S latitude). RÉSUMÉLe magmatisme de type andin et le terme « andésite » sont souvent les appellations utilisées pour décrire les résultats de la subduction de la lithosphère océanique sous un continent, et la roche typique formée. Bien que la chaîne des Andes occupe toute la marge ouest de l'Amérique du Sud, les roches les plus étudiées se trouvent dans le territoire chilien actuel et sont l'objet de cet article. Le magmatisme andin dans cette région s'est développé depuis la limite rhéto-hettangienne (environ 200 Ma) jusqu'à aujourd'hui et représente l'activité d'un arc magmatique continental persistant. Cet article a pour sujet les roches volcaniques, plutoniques et volcano-sédimentaires du pré-Pléistocène liées à l'arc qui couvrent la majeure partie de la masse continentale du Chili (entre la côte du Pacifique et les Hautes Andes) entre les latitudes de 18° et 50°S. Elles comprennent la majeure partie de la gamme de roches ignées sous-alcalines, du gabbro à la monzogranite et du basalte à la rhyolite, mais sont dominées par des roches de type tonalite-granodiorite et andésite. Les variations des caractéristiques pétrographiques, de la composition des éléments majeurs et traces et de la signature isotopique des roches ignées peuvent être corrélées aux changements des paramètres physiques de la zone de subduction, tels que l'angle de pendage de la plaque plongeante, le taux de convergence et l'angle de convergence. Les premiers produits magmatiques andins (du Jurassique au Crétacé inférieur) se trouvent le long de la Cordillère de la Côte dans la partie la plus occidentale des Andes. La succession de roche des stades suivants (Crétacé supérieur, Paléocène – Éocène inférieur, Éocène moyen – Oligocène, Miocène) est progressivement déplacée vers l'est, reflétant la migration du front magmatique vers le continent. La segmentation tectonique de la marge convergente, comme l'attestent les enregistrements magmatiques, peut avoir eu lieu tout au long de la formation des Andes, mais elle est particulièrement évidente à partir de l'Éocène, où l'évolution de la partie septentrionale des Andes chiliennes (au nord de 27°S de latitude) est très différente de celle du segment méridional (sud de 27°S de latitude).
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McCutcheon, Steven R., and James A. Walker. "Great Mining Camps of Canada 7. The Bathurst Mining Camp, New Brunswick, Part 1: Geology and Exploration History." Geoscience Canada, October 31, 2019, 137–54. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2019.46.150.

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Abstract:
The Bathurst Mining Camp of northern New Brunswick is approximately 3800 km2 in area, encompassed by a circle of radius 35 km. It is known worldwide for its volcanogenic massive sulphide deposits, especially for the Brunswick No. 12 Mine, which was in production from 1964 to 2013. The camp was born in October of 1952, with the discovery of the Brunswick No. 6 deposit, and this sparked a staking rush with more hectares claimed in the province than at any time since. In 1952, little was known about the geology of the Bathurst Mining Camp or the depositional settings of its mineral deposits, because access was poor and the area was largely forest covered. We have learned a lot since that time. The camp was glaciated during the last ice age and various ice-flow directions are reflected on the physiographic map of the area. Despite abundant glacial deposits, we now know that the camp comprises several groups of Ordovician predominantly volcanic rocks, belonging to the Dunnage Zone, which overlie older sedimentary rocks belonging to the Gander Zone. The volcanic rocks formed during rifting of a submarine volcanic arc on the continental margin of Ganderia, ultimately leading to the formation of a Sea of Japan-style basin that is referred to as the Tetagouche-Exploits back-arc basin. The massive sulphide deposits are mostly associated with early-stage, felsic volcanic rocks and formed during the Middle Ordovician upon or near the sea floor by precipitation from metalliferous fluids escaping from submarine hot springs. The history of mineral exploration in the Bathurst Mining Camp can be divided into six periods: a) pre-1952, b) 1952-1958, c) 1959-1973, d) 1974-1988, and e) 1989-2000, over which time 45 massive sulphide deposits were discovered. Prior to 1952, only one deposit was known, but the efforts of three men, Patrick (Paddy) W. Meahan, Dr. William J. Wright, and Dr. Graham S. MacKenzie, focused attention on the mineral potential of northern New Brunswick, which led to the discovery of the Brunswick No. 6 deposit in October 1952. In the 1950s, 29 deposits were discovered, largely resulting from the application of airborne surveys, followed by ground geophysical methods. From 1959 to 1973, six deposits were discovered, mostly satellite bodies to known deposits. From 1974 to 1988, five deposits were found, largely because of the application of new low-cost analytical and geophysical techniques. From 1989 to 2000, four more deposits were discovered; three were deep drilling targets but one was at surface. RÉSUMÉLe camp minier de Bathurst, dans le nord du Nouveau-Brunswick, s’étend sur environ 3 800 km2 à l’intérieur d’un cercle de 35 km de rayon. Il est connu dans le monde entier pour ses gisements de sulfures massifs volcanogènes, en particulier pour la mine Brunswick n° 12, exploitée de 1964 à 2013. Le camp est né en octobre 1952 avec la découverte du gisement Brunswick n° 6 et a suscité une ruée au jalonnement sans précédent avec le plus d’hectares revendiqués dans la province qu’à présent. En 1952, on savait peu de choses sur la géologie du camp minier de Bathurst ou sur les conditions de déposition de ses gisements minéraux, car l’accès était très limité et la zone était en grande partie recouverte de forêt. Nous avons beaucoup appris depuis cette période. Le camp était recouvert de glace au cours de la dernière période glaciaire et diverses directions d’écoulements glaciaires sont révélées sur la carte physiographique de la région. Malgré des dépôts glaciaires abondants, nous savons maintenant que le camp comprend plusieurs groupes de roches ordoviciennes à prédominance volcanique, appartenant à la zone Dunnage, qui recouvrent de plus vieilles roches sédimentaires de la zone Gander. Les roches volcaniques se sont formées lors du rifting d’un arc volcanique sous-marin sur la marge continentale de Ganderia, ce qui a finalement abouti à la formation d’un bassin de type mer du Japon, appelé bassin d’arrière-arc de Tetagouche-Exploits. Les gisements de sulfures massifs sont principalement associés aux roches volcaniques felsiques de stade précoce et se sont formés au cours de l’Ordovicien moyen sur ou proche du plancher océanique par la précipitation de fluides métallifères s’échappant de sources chaudes sous-marines. L’histoire de l’exploration minière dans le camp minier de Bathurst peut être divisée en six périodes: a) antérieure à 1952, b) 1952-1958, c) 1959-1973, d) 1974-1988 et e) 1989-2000, au cours desquelles 45 dépôts de sulfures massifs ont été découverts. Avant 1952, un seul dépôt était connu, mais les efforts de trois hommes, Patrick (Paddy) W. Meahan, William J. Wright et Graham S. MacKenzie, ont attiré l’attention sur le potentiel minier du nord du Nouveau-Brunswick, ce qui a conduit à la découverte du gisement Brunswick n° 6 au mois d’octobre 1952. Dans les années 50, 29 gisements ont été découverts, résultant en grande partie de l’utilisation de levés aéroportés, suivis de campagnes géophysiques terrestres. De 1959 à 1973, six gisements ont été découverts. Ce sont essentiellement des formations satellites de gisements connus. De 1974 à 1988, cinq gisements ont été découverts, principalement grâce à l’utilisation de nouvelles techniques analytiques et géophysiques peu coûteuses. De 1989 à 2000, quatre autres gisements ont été découverts. Trois étaient des cibles de forage profondes, mais l’un était à la surface.
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De Wit, Maarten J., Bastien Linol, and Vhuhwavhohau Nengovhela. "Proterozoic–Paleozoic Sedimentary Rocks and Mesozoic–Cenozoic Landscapes of the Cape Mountains Across the Kango Complex Reveal ‘More Gaps Than Record’ from Rodinia and Gondwana to Africa." Geoscience Canada, July 10, 2020, 7–58. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2020.47.157.

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Abstract:
The Kango (Cango) region flanks the northern margins of the Klein Karoo and the Cape Mountains across the Western Cape Province of South Africa. It preserves a condensed Proterozoic–Paleozoic stratigraphy exposed via a Mesozoic–Cenozoic morphology with a present Alpine-like topography. Its rocks and landscapes have been repeatedly mapped and documented for the past 150 years. Over the last 25 years, we remapped and dated a central-eastern section of this region. The subvertically bedded and cleaved rocks reveal an 8–10 km thick stratigraphy covering more than 700 million years between ca. 1200 and 500 Ma with several unconformities and disconformities. At ca. 252 Ma, during the Cape orogeny, this Kango Complex was deformed along thrusts and sub-isoclinal folds producing steeply dipping phyllites and slates. It was uplifted by 3–5 km during the Kalahari epeirogeny between 140 and 60 Ma while eroding at ca. 100–200 m/m.y. (120–80 Ma). During the Cenozoic, the rate of uplift decreased by an order of magnitude and today is ca. 0.4–0.7 m/m.y. across steep slopes and canyons in contrast to the Himalayas where erosion rates are about hundred times faster. A recent publication about this central-eastern section of the Kango region disputes the existence of regional isoclinal folds and suggests that deposition of the oldest sedimentary successions, including carbonate rocks of the Cango Caves (limestone-marble with enigmatic microfossils) was simple, continuous and restricted to between ca. 700 and 500 Ma, decreasing earlier estimates of the stratigraphic age range by 60–80%. Similarly, recent interpretations of the complex landscapes link the northern contact between the Kango and Table Mountain rock sequences to Quaternary faults. We present a new geological database, mapped between 1:500 and 1:10,000 scales, and twelve stratigraphic sections with younging directions linked to structural and isotopic data that support repetitions along regional isoclinal folds and thrust zones of the Kango sequences during the Permo–Triassic Cape orogeny, and geomorphic data that link the origin of its landscapes to weathering and erosion during the Cretaceous–Cenozoic Kalahari epeirogeny. During its evolution, the Kango Basin directly flanked both Grenvillian and Pan-African Mountain systems. But, at an average sedimentation rate of ca. 1 mm/70 years (0.014 mm/year) and with present low erosion rates (0.005 mm/year), there is likely more time missing than preserved of the tectono-erosion across these different regions of Rodinia and Gondwana before Africa emerged. To further evaluate the geodynamic significance of these time gaps requires more field mapping linked to new transdisciplinary geosciences. RÉSUMÉLa région du Kango (Cango) flanque les marges nord du petit Karoo et des montagnes du Cap dans la province du Western Cape en Afrique du Sud. Elle préserve une stratigraphie condensée protérozoïque–paléozoïque exposée via une morphologie mésozoïque–cénozoïque avec une topographie actuelle de type alpin. Ses roches et ses paysages ont été cartographiés et documentés durant les 150 dernières années. Au cours des 25 dernières années, nous avons re-cartographié et daté une section du centre-est de cette région. Les roches litées de manière subverticale et clivées révèlent une stratigraphie de 8 à 10 km d'épaisseur couvrant plus de 700 millions d'années entre environ 1200 et 500 Ma avec plusieurs non-conformités et disconformités. À 252 Ma, au cours de l'orogenèse du Cap, ce Complexe du Kango s'est déformé le long de chevauchements et de plis isoclinaux produisant des schistes à fort pendage. Il a été soulevé de 3 à 5 km au cours de l'épirogenèse du Kalahari entre 140 et 60 Ma, tout en s'érodant à 100–200 m/m.a. (120–80 Ma). Pendant le Cénozoïque, le taux de soulèvement a diminué d'un ordre de grandeur et il est aujourd'hui d'environ 0,4 à 0,7 m/m.a. à travers des pentes abruptes et des canyons, contrairement à l'Himalaya où les taux d'érosion sont environ cent fois plus rapides. Une publication récente sur cette section du centre-est de la région du Kango conteste l'existence de plis isoclinaux régionaux et suggère que le dépôt des plus anciennes successions sédimentaires, y compris les roches carbonatées des Grottes du Cango (marbre calcaire avec des microfossiles énigmatiques) était simple, continu et limité entre environ 700 et 500 Ma, diminuant les estimations antérieures de la tranche d'âge stratigraphique de 60-80%. De même, des interprétations récentes des paysages complexes relient le contact nord entre les séquences rocheuses du Kango et de Table Mountain à des failles quaternaires. Nous présentons une nouvelle base de données géologiques, cartographiée à des échelles entre 1:500 et 1:10,000, et douze coupes stratigraphiques avec des directions de superposition liées à des données structurales et isotopiques qui concordent avec les répétitions le long des plis isoclinaux régionaux et des zones de chevauchement des séquences du Kango pendant l’orogenèse permo–triassique du Cap, et des données géomorphiques qui relient l'origine de ses paysages à l’altération et à l'érosion au cours de l'épirogenèse du Kalahari au Crétacé–Cénozoïque. Au cours de son évolution, le bassin du Kango flanquait les systèmes montagneux grenvillien et panafricain. Mais, à un taux de sédimentation moyen d’environ 1 mm/70 ans (0,014 mm/an) et avec les faibles taux d'érosion actuels (0,005 mm/an), il manque probablement plus d’enregistrements de la tectonique et érosion de ces différentes régions de Rodinia et Gondwana avant l'émergence de l'Afrique que ce qui est actuellement préservé. Pour évaluer la signification géodynamique de ces intervalles de temps manquant, il faut d’avantage de cartographie de terrain associée à de nouvelles géosciences transdisciplinaires.
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Ootes, Luke, Sarah A. Gleeson, Elizabeth Turner, Kirsten Rasmussen, Steve Gordey, Hendrik Falck, Edith Martel, and Kelly Pierce. "Metallogenic Evolution of the Mackenzie and Eastern Selwyn Mountains of Canada’s Northern Cordillera, Northwest Territories: A Compilation and Review." Geoscience Canada 40, no. 1 (April 26, 2013). http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2013.40.005.

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Abstract:
The Mackenzie and eastern Selwyn Mountains, Northwest Territories, Canada, are the northeast expression of the Cordilleran orogen and have a geologic history that spans the last one billion years. The region has undergone a diverse tectonic evolution, which is reflected in an equally diverse collection of mineral deposits and prospects. More than 300 of these deposits and prospects have been documented in this area of the Northwest Territories and here they are categorized into mineral deposit types and their mode of formation evaluated and highlighted. Stratiform/stratabound Cu-Ag occurrences are hosted in the Neoproterozoic Coates Lake Group, generally preserved in the hanging wall of the Cretaceous Plateau fault, and define a belt through the central part of the Mackenzie Mountains. Low-grade phosphatic stratiform iron (47.5% Fe) occurs as iron formation in the Neoproterozoic Rapitan Group in the very northwest of the Mackenzie Mountains. Sedimentary exhalative Zn-Pb (± Ba) deposits are preserved in Cambrian through Devonian strata of the Selwyn Basin in the eastern Selwyn Mountains. Numerous carbonate-hosted Zn-Pb (± base-metals) occurrences are located in the Paleozoic strata of the Mackenzie Platform in the Mackenzie Mountains. Cretaceous felsic-intermediate plutons, which occur throughout the eastern Selwyn Mountains, are associated with tungsten skarn (proximal to intrusions), base-metal skarn (distal from intrusions), rare metals, semi-precious tourmaline related to pegmatites, and vein-hosted emeralds. Other resources of potential interest include coal deposits, placer gold, and possible Carlin-type gold deposits that have recently been identified farther west in the Yukon.SOMMAIRELes monts Mackenzie et ceux de la chaîne orientale de Selwyn, dans les Territoires du Nord-Ouest, au Canada, sont l'expression au nord-est de l'orogène de la Cordillère, et leur histoire géologique s’étale sur le dernier milliard d’années. La région a été l’hôte d’une évolution tectonique diversifiée, et cela se reflète par une suite tout aussi diversifiée de gisements minéraux et d’indices prometteurs. Plus de 300 de ces dépôts et indices prometteurs ont été documentées dans cette région des Territoires du Nord-Ouest, et le présent article ils sont classés en types de gîtes minéraux, et l’attention est portée sur leur mode de formation. Les gisements de Cu-Ag stratiformes ou stratoïdes sont encaissés dans le Groupe néoprotérozoïque de Coates Lake, et ils sont généralement préservés dans l'éponte supérieure de la faille du plateau crétacé, et ils forment une bande qui traverse la partie centrale des monts Mackenzie. Le fer se retrouve dans des gisements phosphatées stratiformes à faible teneur (47,5% Fe) qui provient de formations de fer dans le Groupe néoprotérozoïque de Rapitan situé dans la pointe nord-ouest des monts Mackenzie. Des gisements sédimentaires exhalatifs de Zn-Pb (± Ba) sont préservés dans des strates cambriennes à dévoniennes du bassin de Selwyn dans la portion est des monts Selwyn. De nombreux indices de Zn-Pb (± métaux communs) dans des roches carbonatées des strates paléozoïques de la plate-forme de Mackenzie, des monts Mackenzie. Des plutons felsiques intermédiaires crétacés, qui pointent tout au long de la chaîne est de Selwyn, sont associées à des skarns de tungstène (proximaux), à des skarns de métaux communs (distaux), à des concentrations de métaux rares, de tourmaline semi-précieuses liés aux pegmatites, et à des émeraudes filoniennes. Parmi d’autres ressources d'intérêt, on retrouve des gisements de charbon, d'or alluvionnaire, et d’éventuels gisements d'or de type Carlin qui ont été découverts récemment plus à l'ouest au Yukon.
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BRIL, Hubert. "Géodiversité et patrimoine géologique : l’exemple du Limousin." Tome 29 | 2020, no. 29 (December 11, 2020). http://dx.doi.org/10.25965/asl.1106.

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Abstract:
Les objets géologiques font partie de la variété naturelle qu’offre notre planète. Nous utilisons des matériaux extraits du sous-sol et la biosphère ou les activités humaines dépendent, directement ou non, de la nature et de la composition du substrat géologique et des sols qui s’y sont développés : la géodiversité interagit avec la biodiversité. La géodiversité est une part de notre patrimoine naturel. En Limousin la diversité géologique, c’est d’abord un socle métamorphique et granitique avec une belle variété de roches (gneiss, serpentinites, granit(oïd)es) qui donnent à nos villes et villages leur cachet particulier. Sur sa bordure méridionale, le Limousin introduit via le bassin sédimentaire de Brive avec ses grès rouges ou ses falaises calcaires, aux plaines et collines de l’Aquitaine. Les reliefs limousins participent à la fois des hauts plateaux du Massif central et des basses terres induisant des différences climatiques qui vont des hivers du plateau de Millevaches à la douceur des printemps précoces au sud de Brive. Cette diversité géologique, (géo)morphologique et climatique s’exprime dans les sols et dans la circulation des eaux souterraines ou superficielles. La Commission régionale du Patrimoine géologique (CRPG) a dressé un inventaire des richesses de la géologie limousine. Plus d’une centaine de sites, roches, paysages, structures géologiques qui ont valeur d’exemple ont été recensés. Des documents qui permettent d’avoir accès à ces connaissances ont été élaborés. Il importe maintenant de les diffuser largement comme cela a été fait en d’autres lieux, en aménageant les sites les plus importants.
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Moulin, Bernard, Marylise Onfray, and Ludovic Mevel. "Occupations et réoccupations d’un abri-sous-roche à la fin du Paléolithique récent. Dynamique sédimentaire et microstratigraphie de la séquence archéologique de l’abri des Douattes (Musièges, Haute-Savoie)." Palethnologie, no. 11 (July 1, 2023). http://dx.doi.org/10.4000/palethnologie.10136.

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