Academic literature on the topic 'Rôle selon le sexe au travail – Gabon'

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Journal articles on the topic "Rôle selon le sexe au travail – Gabon"

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Berthe, Bénédicte, and Camille Chédotal. "La culpabilité au travail : La parole aux salariés." Articles 73, no. 2 (June 18, 2018): 295–318. http://dx.doi.org/10.7202/1048572ar.

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Abstract:
La culpabilité est une émotion couramment éprouvée dans la vie quotidienne. L’objectif de cette recherche était de l’étudier dans le cadre du travail. Une recherche exploratoire a donc été menée afin, d’une part, d’identifier les situations générant de la culpabilité au travail ainsi que les effets de cette émotion et, d’autre part, de déterminer si la culpabilisation est une stratégie de management permettant d’obtenir davantage de travail de la part des salariés. Les personnes interviewées sont des salariés aux profils variés selon l’âge, le sexe, le poste occupé, le secteur d’activité, la taille de l’entreprise et le statut. Vingt-huit entretiens semi-directifs ont ainsi été menés. Les résultats identifient les caractéristiques de la culpabilité éprouvée au travail en révélant que cette dernière est familière, d’intensité et de fréquence variables, et évolutive. L’analyse des entretiens révèle aussi huit situations génératrices de culpabilité qui sont liées aux phénomènes suivants : une absence ou un retard, la perception d’un travail globalement mal fait, des demandes ou des promesses non suivies, des comportements ou attitudes non corrects, des caractéristiques personnelles (par exemple, un manque de compétence), un client ou un collègue qui souffrent et ne peuvent être aidés, un manque de temps ainsi que l’impact du travail sur la vie privée. Cette recherche montre que la culpabilité ressentie génère une gêne chez les personnes. Mais elle a, surtout, des effets positifs sur le travail réalisé par les salariés. La culpabilité a généralement un effet bénéfique sur les efforts au travail, sauf quand cette émotion est trop intense. La culpabilisation est un autre axe important de cette étude. Si elle est bien constatée par les répondants, il en ressort qu’elle est jugée inefficace lorsqu’elle émane des supérieurs. Elle est alors rejetée et mal vécue. Cet article ouvre des perspectives de recherche afin, d’une part, d’approfondir la place et le rôle de cette émotion et, d’autre part, de développer des implications managériales en termes de bien-être au travail et de performance au travail.
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2

Boyes, Randy D., Iwona A. Bielska, Raymond Fong, and Ana P. Johnson. "Caregiver Out-of-Pocket Costs for Octogenarian Intensive Care Unit Patients in Canada." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 38, no. 1 (November 22, 2018): 51–58. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980818000387.

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Abstract:
RÉSUMÉLes problèmes médicaux affectant la population vieillissante sont de plus en plus préoccupants et ont des impacts sur les patients et leurs soignants familiaux. Cette étude a permis de déterminer les coûts directs et indirects encourus par les soignants familiaux de personnes âgées hospitalisées en unités de soins intensifs (USI) au Canada. Les soignants familiaux de patients hospitalisés en USI ont répondu à un sondage portant à la fois sur les coûts directs qu’ils assumaient pour les soins de ces patients et sur les coûts indirects, tels que les heures de travail et de loisirs perdues lors de la prestation de ces soins. Les coûts totaux mensuels des soins ont été stratifiés selon le sexe, l’âge et la région géographique du soignant. La moyenne des coûts directs pour les soignants était de 791 $ ($CA en 2016) par patient au cours du premier mois de soins intensifs. Le coût total quotidien moyen par patient était de 162 $ par jour pour ces soignants. Les hommes ayant le rôle de soignant principal ont payé davantage de frais que les femmes. Des programmes de subvention seraient nécessaires pour aider les soignants familiaux à couvrir les frais considérables liés aux soins qu’ils apportent à des patients en USI, en incluant aussi les frais de déplacements, de repas, d’hébergement et de stationnement.
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3

Auclair, Isabelle. "Féminismes." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.096.

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Abstract:
« Nous sommes tous féministes » affirmait Chimamanda Ngozi Adichie en 2015. L’argumentaire de cette auteure nigériane met de l’avant l’importance de réfléchir et d’agir collectivement pour enrayer les inégalités qui existent entre les hommes et les femmes, déboulonnant ainsi l’idée que l’égalité serait atteinte et réaffirmant la pertinence du féminisme. Le féminisme peut être défini comme une «prise de conscience d’abord individuelle, puis ensuite collective, suivie d’une révolte contre l’arrangement des rapports de sexe et la position subordonnée que les femmes y occupent dans une société donnée, à un moment donné de son histoire» (Toupin 1998 : 10). La reconnaissance de l’oppression des femmes et des inégalités systémiques qui en découlent est centrale aux théories, aux mouvements et aux luttes féministes. Cependant, la modulation historique et géographique de cette oppression, selon le contexte social et culturel, génère des conceptions diversifiées des causes menant à la subordination des femmes et des mesures à prendre pour atteindre l’égalité. Reconnaissant l’hétérogénéité du féminisme, il est pertinent d’utiliser le pluriel pour aborder de façon plus large «les féminismes». Cette diversité des théorisations et des mouvements féministes rend l’exercice de définition et de catégorisation complexe, voire limité. Il est toutefois possible de poser des balises et des pistes de définition en s’intéressant aux différents courants de pensée. Dans une perspective historique, la pensée féministe est souvent représentée en trois vagues, bien que celles-ci recoupent une multitude de courants. La première vague est associée à la période du début du XXe siècle, qui a vu notamment l’émergence du mouvement des suffragettes pour les droits politiques des femmes. Alors que la deuxième vague est généralement associée aux combats sociaux initiés dans les années 1960 visant notamment les revendications quant aux droits sexuels et reproductifs des femmes et le droit à une vie sans violences, la troisième est associée à la période contemporaine du début du XXIe siècle et à l’éclatement des conceptions et la diversité des points de vue, notamment par les réflexions queer, intersectionnelles et postcoloniales. Bien que cette catégorisation soit aidante parce que simple, elle cache la diversité des courants et leur chevauchement. Aborder la définition des féminismes par ses différents courants permet une meilleure prise en compte de cette diversité mais demeure tout de même réducteur puisque tous les courants ne peuvent être détaillés et chacun est complexe et comporte ses propres nuances et tensions. La conception des causes des inégalités et des façons de les aborder diffèrent entre les courants. Les tenant.e.s du féminisme libéral et égalitaire remettent en question le rôle traditionnel des femmes et les discriminations qu’elles vivent en recherchant l’égalité de droits. Les féministes s’inscrivant dans le courant radical (Mathieu 1991) souhaitent aller à la racine de l’oppression des femmes qu’elles identifient comme étant le système et les structures patriarcales. Selon Christine Delphy (2004 : 155), le patriarcat « (…) désigne une formation sociale où les hommes détiennent le pouvoir, ou encore, le pouvoir des hommes. Il est ainsi quasi synonyme de « domination masculine » ou d’oppression des femmes ». Ce système de dévalorisation du féminin, soutenu par les structures inégalitaires et nourri par les manifestations machistes, engendre la subordination des individus associés à ce groupe. Le courant marxiste féministe priorise quant à lui la prise en compte de l’exploitation économique des femmes en raison du système capitaliste. Combinant certains éléments des féminismes radical et marxiste, le féminisme matérialiste critique l’idée que le capitalisme prévaudrait sur le patriarcat. Ce courant s’attarde à l’analyse des conditions matérielles d’existence et à l’oppression des femmes au quotidien entre autres grâce au concept de division sexuelle du travail (Kergoat 2000). D’autres courants féministes émergent pour mettre de l’avant les réalités différenciées et les multiples oppressions que vivent les femmes, que ce soit en raison de leur orientation sexuelle, notamment par le féminisme lesbien qui donnera les bases de la réflexion sur l’hétérosexisme. Le féminisme afro-américain nait de l’invisibilisation des femmes afro-américaines dans les mouvements des droits civiques, en tant que femmes, et dans les revendications féministes, en tant qu’afro-descendantes (hooks, 1981). Ce courant met de l’avant l’importance d’analyser l’imbrication des différents systèmes d’oppression et leurs impacts sur la vie des femmes. Cette prise en compte donnera naissance au féminisme intersectionnel (Crenshaw 1989) lequel permet de reconnaître la co-construction des systèmes inégalitaires, incluant le sexisme, le racisme, la classe sociale, l’hétérosexime et le capacitisme ou validisme (stéréotypes, dévalorisation et discriminations des personnes en situation de handicap), ainsi que les effets imprévisibles de leur articulation. Selon Patricia Hill Collins et Sirma Bilge (2016), l’intersectionnalité s’appuie sur six idées de base : les inégalités sociales, le pouvoir, la relationnalité, le contexte social, la complexité et la justice sociale. Pour certaines féministes postmodernes, notamment celles ayant développé les théories queer, ce sont les catégories sociales binaires du sexe et du genre qui doivent être déconstruites pour éliminer les inégalités. Judith Butler (2004) parlera à cet effet de «défaire le genre». D’autres courants, plus marginaux, tels que le féminisme de la différence ou essentialiste, le féminisme anarchique ou l’écoféminisme, proposent d’autres analyses des causes des inégalités ainsi que des mesures pour les éradiquer. Les diverses perspectives féministes impliquent, entre autres, la priorisation de la prise en compte des besoins, des intérêts, des expériences des femmes et de leur propre analyse de celles-ci. S’appuyant sur leurs réalités et leurs enjeux spécifiques découlant du processus de colonisation qu’elles ont subi (et subissent encore), les femmes autochtones et des Suds ont développé les féminismes autochtones, postcoloniaux et décoloniaux (Verschuur et Destremau 2012). En somme, les féminismes proposent des analyses multiples et variées de la dissymétrie, de la binarisation et de la hiérarchisation des rapports sociaux de sexe et des inégalités qui en découlent. Les féminismes cherchent ainsi à visibiliser et à expliquer les inégalités systémiques que vivent les femmes de tous les horizons et qui se manifestent aux niveaux structurels, normatifs, organisationnels et comportementaux. Dans cette optique, les recherches et les initiatives féministes s’inscrivent dans une démarche de justice sociale visant à transformer en profondeur les rapports sociaux pour mettre en place des sociétés plus égalitaires (Dagenais 1987). Cette démarche multidisciplinaire, à laquelle plusieurs anthropologues ont contribué (notamment, Françoise Héritier (2007) et Nicole-Claude Mathieu dans le contexte européen francophone et Marie France Labrecque (2012) et Huguette Dagenais en contexte québécois), vise des changements sociaux. Pour ce faire, elle se déploie à la fois au niveau conceptuel, par le développement de théories et de méthodologies, que pratique dans les actions et les revendications sociales. Comme le suggère Diane Lamoureux (2016 : 18) « (…) le féminisme est le lieu d’une diversité idéologique qui ne constitue pas un frein, mais plutôt un moyen fécond de réfléchir et de se développer». Le slogan de 2015 de la Marche mondiale des femmes est évocateur de la pertinence des luttes et des réflexions féministes dans un contexte de diversité : «Tant que toutes les femmes ne seront pas libres, nous serons en marche! »
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Martig, Alexis. "Esclavage contemporain." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.085.

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Abstract:
Depuis la fin du XXe siècle, on assiste à un usage récurrent et de plus en plus fréquent de la notion d’esclavage moderne par tout un ensemble d’acteurs sociaux et politiques : organisations non gouvernementales, associations, organisations internationales, médias, gouvernements nationaux… Selon l’Organisation internationale du Travail, il s’agit d’un phénomène touchant plus de 25 millions de personnes et qui génère 150 milliards de dollars de profits annuels illégaux. Face à ce constat, un certain nombre de disciplines (sociologie, économie politique, études des migrations, droit, histoire) en ont fait un objet propre, tentant quelquefois de le définir (Bales 1999) et, parlant d’esclavage moderne ou d’esclavage contemporain, certains ont été jusqu’à évoquer l’émergence d’un nouveau champ d’études : lesContemporary Slavery Studies (Brysk et Choi-Fitzpatrick 2012). Comment expliquer le fait que l’anthropologie contemporaine a quant à elle jusqu’alors produit peu de réflexions sur le sujet ? Le premier élément de réponse a trait à la nature même de l’analyse anthropologique, qui la distingue des autres disciplines des sciences humaines et sociales, et qui considère avant tout les notions émiques mobilisées par les sujets. Dans le cas de l’esclavage moderne, on est face à une notion éminemment politisée et utilisée avant tout par des acteurs associatifs, institutionnels ou médiatiques pour décrire les conditions de travail ou d’exploitation d’autres sujets souvent associés au passage au registre des « victimes ». Ce n’est que depuis très récemment qu’on assiste à l’usage de la notion par les sujets eux-mêmes pour dénoncer leurs conditions de travail, sans doute sous l’effet de sa banalisation dans les discours des acteurs de la lutte contre l’esclavage moderne. L’apparition et la dissémination de cette notion chez les acteurs sociaux et politiques ne sont cependant pas sans intérêt pour l’anthropologie. Elles sont notamment révélatrices de ce que Didier Fassin a qualifié d’« économie morale de notre temps » et de « nouvel ordre moral » mondial (2005) : il s’agit de cette économie morale globale constituée autour de nouveaux intolérables moraux inhérents aux droits de l’homme et à l’invention de la catégorie anthropologie d’humanité dans le contexte postérieur à la Seconde Guerre mondiale. La condamnation morale globale de l’esclavage moderne en est un exemple parfait. Les discours qui la constituent expriment et visent à générer une indignation, tout en ayant fréquemment recours aux registres des « victimes », de la « vulnérabilité » et de « la traite » avec pour effet de nier l’agencéité des sujets en faisant disparaître leurs trajectoires de vie et leurs motivations spécifiques. Comme l’a montré l’anthropologue américaine Alicia Peters (2015), si politisée que soit cette notion, rien n’empêche l’anthropologie de s’en saisir comme objet en étudiant notamment les jeux d’acteurs au cœur des plans de lutte qui en découlent. Peters a ainsi montré comment, aux États-Unis, la moralisation du travail du sexe et de la prostitution forcée a eu pour effet de rendre invisibles ou illégitimes la majorité des cas de traite humaine qui touchent d’autres secteurs : agriculture, usines, restaurants, sphère domestique… Cette moralisation et surreprésentation du travail du sexe et de la prostitution forcée dans la lutte contre l’esclavage moderne, assimilée à la traite d’êtres humains (human trafficking), est caractéristique des pays développés. Le deuxième élément de réponse touche au caractère fourre-tout d’une notion générique qui renvoie à tout un ensemble de situations hétérogènes situées dans des contextes sociaux, historiques et culturels extrêmement différents et dont la complexité, les spécificités et les nuances sont reléguées au second plan dans les discours politiques. En fonction des acteurs, l’esclavage moderne désigne des cas de : mariage forcé, travail forcé, travail infantile, enfants soldats, camps de travail, exploitation sexuelle… et ce, sur toute la planète… Mais pour saisir les spécificités et la complexité des cas étudiés, il faut aussi considérer les formes socioculturelles légitimatrices de la servitude ou de l’esclavage, de son acceptation ou de sa tolérance et les formes de régulation de la domination inhérentes : formes de parrainage, dettes, processus d’altérisation infériorisants… Si les situations dénoncées ont émergé ou ont évolué à partir de formes passées dans un contexte global de précarisation des conditions de travail, et en ce sens sont bien des phénomènes contemporains, il est pour autant impossible de les penser en faisant abstraction de la mémoire des régimes d’esclavages précédents et notamment de l’esclavage transatlantique. Il faut à ce titre distinguer les réflexions sur l’esclavage moderne, du grand nombre d’études anthropologiques sur les descendants d’esclaves, la mémoire de l’esclavage ou les problématiques de réparation. Comme l’a fait remarquer Roger Botte (2005), l’esclavage a toujours été pluriel. Il faut cependant reconnaître que l’une des caractéristiques de l’époque contemporaine est bien celle de la disparition progressive, depuis les abolitions de l’esclavage en tant que statut officiel. C’est en ce sens qu’Alain Morice, au sujet de travailleurs temporaires marocains en France, a utilisé l’expression d’« esclavage métaphorique » (2005), en opposition à l’esclavage historique. Derrière cette distinction s’en cache une autre qu’il est capital de saisir pour comprendre les enjeux des situations qualifiées d’esclavage moderne et leur analyse anthropologique : celle des conditions d’esclavageet dustatut d’esclave. Dans une analyse très intéressante entre un cas d’esclavage domestique en France en 2013 avec un cas d’esclavage datant du début du XIXe siècle, l’historienne Rebecca Scott (2013) attire l’attention sur le fait que, statut officiel ou non, les conditions des situations dénoncées sous l’expression d’esclavage moderne peuvent être identiques à celles de régimes d’esclavage passés. L’attention portée à la nature des conditions est intéressante car elle vient souligner que, s’il est important de conserver une distance face à un discours institutionnel et politisé, il n’en demeure pas moins que dans certains cas l’esclavage n’est pas que métaphorique… Une autre caractéristique liée à la disparition du statut est le fait que les situations observées sont très souvent temporaires, pour des raisons de coûts économiques et dans le but d’éviter de possibles contrôles. Plusieurs auteurs ont, de manière distincte, mis en avant que l’esclavage moderne n’est pas fondé de manière absolue sur des critères raciaux, mais sur des critères inscrits dans des rapports de production (Botte 2005 ; Bales 1999). Comme le fait justement remarquer Julia O’Connell Davidson (2015), si cela est pertinent, il ne faut pas pour autant perdre de vue que la majorité des populations concernées se trouvent dans d’anciennes colonies ou émigrent de celles-ci vers les pays développés. Si la race n’est donc pas l’élément premier à l’origine des formes d’exploitation, celles-ci s’inscrivent pour autant dans une division internationale du travail racialisée et genrée telle que décrite par la sociologie décoloniale, et Ramon Grosfoguel (2014) notamment. À ce sujet, il est intéressant de souligner certaines dynamiques de cette division internationale du travail qui distinguent les formes d’esclavage moderne dans les pays développés et les pays en développement. Dans les premiers, les cas concernent principalement des migrants légaux ou illégaux confrontés à des politiques migratoires qui les vulnérabilisent structurellement. Dans les pays en développement, il s’agit majoritairement et massivement de citoyens nationaux, protégés normalement par ailleurs par les droits associés à leur citoyenneté. La question de l’esclavage moderne se pose alors en termes d’anthropologie des droits associés à la citoyenneté, et de leur performativité, en s’intéressant aux manières dont les critères symboliques à la base de la construction de ces citoyens en tant qu’alter inégaux ont tendance à normaliser la négation de leurs droits comme dans le cas des travailleurs ruraux au Brésil, ou encore des intouchables en Inde, etc. S’ajoutent à cela les exclus des nations issues de la colonisation – là où d’anciens empires ont laissé la place à des nations aux frontières dessinées par les colons –qui constituent une main-d’œuvre potentielle, comme dans la zone située entre la Thaïlande et la Birmanie (Ivanoff, Chantavanich et Boutry 2017). L’un des enjeux spécifiques de la réflexion anthropologiques touche à la méthode d’investigation de la discipline : l’enquête de terrain. Pour la plupart des cas, ou du moins les plus extrêmes, il est quasiment impossible d’accéder aux terrains en question pour y pratiquer une forme d’observation participante. Les difficultés d’accès s’apparentent à celles des terrains de guerre, de combats, de prostitution, de camps de travail forcé, etc. Les recherches de terrain consistent donc le plus souvent à rencontrer et accompagner les sujets postérieurement aux situations pour réaliser avec eux des entretiens. Quand cela est possible, car comme le souligne l’anthropologue Denise Brennan, auteurede Life Interrupted: Trafficking into Forced Labour in the United States, s’entretenir au sujet d’une expérience souvent traumatisante n’est pas non plus sans difficultés ou sans poser de questions quant au rôle de l’anthropologue et de la nature de sa relation avec les sujets du terrain (Brennan 2014). L’un des autres enjeux des analyses anthropologiques, dans des contextes prononcés de vulnérabilité structurelle et face aux processus de subalternisation des sujets par le biais des discours institutionnels, est de faire ressortir l’agencéité des sujets. L’anthropologie, dans sa tendance à replacer les situations étudiées dans les trajectoires de vie des sujets et à donner la parole à ces derniers, possède un avantage certain sur d’autres disciplines pour donner à voir leur agencéité sans perdre de vue pour autant les contraintes structurelles auxquelles ceux-ci font face. L’engagement volontaire de sujets dans la prostitution, de manière temporaire (ou non), pour améliorer leur quotidien matériel, d’enfants au travail malgré leur âge mineur, la migration illégale volontaire par l’intermédiaire de passeurs, la fuite, l’usage des compétences linguistiques ou une volonté de travailler plus dur que les autres, etc., sont autant d’exemples d’agencéité des sujets. Plutôt que de négliger de prendre en considération l’esclavage moderne à cause de son caractère institutionnalisé et sa nature protéiforme, il me semble que l’anthropologie et son regard critique ont un rôle à jouer pour mettre en lumière la complexité des différentes dimensions de ce phénomène et leur enchevêtrement : une économie morale globale, une économie néolibérale précarisant les conditions de travail et une division internationale du travail racialisée, genrée et hiérarchisée entre les pays développés et en développement. Pour ce faire, et apporter une plus-value heuristique, les analyses anthropologiques sur l’esclavage moderne devront s’ancrer dans le contemporain et repenser des catégories analytiques dichotomiques héritées du début des sciences sociales qui ne parviennent plus à rendre compte des situations étudiées : esclavage, liberté, travail libre et travail non libre, etc. Ces catégories ne permettent pas de penser le continuum de situations (allant de libres à non libres) de travail dans lequel les sujets évoluent dans le temps et l’espace, et dont les conditions peuvent, à une extrémité du continuum, être similaires à des régimes passés d’esclavage. C’est dans cet esprit qu’une des voies pour saisir la complexité du social et les dynamiques de ce phénomène si actuel est celle des « situations contemporaines de servitude et d’esclavage » (Martig et Saillant 2017). La notion de « situations » permet en effet de garder à l’esprit que l’objet étudié relève localement des spécificités sociohistoriques et culturelles considérées tout en se « situant » aussi dans le contexte économique, moral, politique et historique plus global : c’est l’articulation de ces différentes dimensions qui permettent de saisir la complexité du social. Enfin, penser en termes de situation a pour avantage de replacer l’expérience liée à l’esclavage moderne dans la trajectoire de vie plus large des sujets, et de saisir ainsi plus facilement leur agencéité. Il s’agit d’une proposition. D’autres voies verront sûrement le jour pour analyser un phénomène complexe qui, loin de disparaître, donne à voir les limites des mythes du travail libre et de la performativité des droits des sociétés démocratiques libérales contemporaines, et en appelle du coup à une anthropologie du contemporain.
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Kilani, Mondher. "Culture." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.121.

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Abstract:
La culture, mot ancien, a une longue histoire et pour les anthropologues, qui n’ont pas envie de l’abandonner, elle garde tout son potentiel heuristique. Du verbe latin colere (cultiver, habiter, coloniser), la culture a immédiatement montré une remarquable versatilité sémantique. Comme Cicéron (106-43 av. J.-C.) l’avait dit, il n’y a pas seulement la culture des champs, il y a aussi la cultura animi : c’est-à-dire la philosophie. Cultura animi est une expression que l’on retrouve également au début de la modernité, chez le philosophe anglais Francis Bacon (1561-1626). Elle devient ensuite « culture de la raison » chez René Descartes (1596-1650) et chez Emmanuel Kant (1724-1804). Mais au XVIIIe siècle, nous assistons à un autre passage, lorsque la culture, en plus des champs, de l’âme et de la raison humaine, commence à s’appliquer également aux coutumes, aux mœurs, aux usages sociaux, comme cela est parfaitement clair chez des auteurs tels que François-Marie Arouet, dit Voltaire (1694-1778), et Johann Gottfried Herder (1744-1803). Nous pourrions nous demander pourquoi ces auteurs ne se sont pas contentés de continuer à utiliser les termes désormais testés de coutumes et de mœurs. Pourquoi ont-ils voulu ajouter la notion de culture? Qu’est-ce que cette notion offrait de plus? Autrement dit, quelle est la différence entre culture et coutume? Dans l’usage de Voltaire et de Herder, la culture est presque toujours singulière, alors que les coutumes sont très souvent plurielles. La culture a donc pour effet d’unifier les coutumes dans un concept unique, en surmontant leur pluralité désordonnée et désorientante : les coutumes sont nombreuses, variables, souvent divergentes et contradictoires (les coutumes d’une population ou d’une période historique s’opposent aux coutumes d’autres sociétés et d’autres périodes), alors que la culture désigne une capacité, une dimension, un niveau unificateur. Dans son Essai sur les mœurs (1756), Voltaire a clairement distingué le plan de la « nature », dont dépend l’unité du genre humain, de celui de la « culture », où les coutumes sont produites avec toute leur variété : « ainsi le fonds est partout le même », tandis que « la culture produit des fruits divers », et les fruits sont précisément les coutumes. Comme on peut le constater, il ne s’agit pas uniquement d’opposer l’uniformité d’une part (la nature) et l’hétérogénéité d’autre part (les coutumes). En regroupant les coutumes, Voltaire suggère également une relation selon laquelle le « fonds » est le terrain biologique, celui de la nature humaine, tandis que la culture indique le traitement de ce terrain et, en même temps, les fruits qui en découlent. Tant qu’on ne parle que de coutumes, on se contente de constater la pluralité et l’hétérogénéité des « fruits ». En introduisant le terme culture, ces fruits sont rassemblés dans une catégorie qui les inclut tous et qui contribue à leur donner un sens, bien au-delà de leur apparente étrangeté et bizarrerie : bien qu’étranges et bizarres, ils sont en réalité le produit d’une activité appliquée au terrain commun à toutes les sociétés humaines. Partout, les êtres humains travaillent et transforment l’environnement dans lequel ils vivent, mais ils travaillent, transforment et cultivent aussi la nature dont ils sont faits. Appliquée aux coutumes, la culture est donc à la fois ce travail continu et les produits qui en découlent. En d’autres termes, nous ne pouvons plus nous contenter d’être frappés par l’étrangeté des coutumes et les attribuer à une condition d’ignorance et aux superstitions : si les coutumes sont une culture, elles doivent être rapportées à un travail effectué partout, mais dont les résultats sont sans aucun doute étranges et hétérogènes. Il s’agit en tout cas d’un travail auquel chaque société est dédiée dans n’importe quel coin du monde. Nous ne voulons pas proposer ici une histoire du concept de culture. Mais après avoir mentionné l’innovation du concept de culture datant du XVIIIe siècle – c’est-à-dire le passage du sens philosophique (cultura animi ou culture de la raison) à un sens anthropologique (coutumes en tant que culture) –, on ne peut oublier que quelques décennies après l’Essai sur les mœurs (1756) de Voltaire, Johann Gottfried Herder, dans son Ideen zur Philosophie der Geschichte der Menschheit (1784-1791), fournit une définition de la culture digne d’être valorisée et soutenue par l’anthropologie deux siècles plus tard. Herder ne se limite pas à étendre la culture (Kultur) bien au-delà de l’Europe des Lumières, au-delà des sociétés de l’écriture (même les habitants de la Terre de Feu « ont des langages et des concepts, des techniques et des arts qu’ils ont appris, comme nous les avons appris nous-mêmes et, par conséquent, eux aussi sont vraiment inculturés »), mais il cherche le sens profond du travail incessant de la Kultur (1991). Pourquoi, partout, aux quatre coins du monde, les humains se consacrent-ils constamment à la formation de leur corps et de leur esprit (Bildung)? La réponse de Herder est dans le concept de l’homme en tant qu’être biologiquement défectueux (Mängelwesen), en tant qu’être qui a besoin de la culture pour se compléter : le but de la culture est précisément de fournir, selon différentes conditions historiques, géographiques et sociales, une quelque forme d’humanité. Selon Herder, la culture est « cette seconde genèse de l’homme qui dure toute sa vie » (1991). La culture est la somme des tentatives, des efforts et des moyens par lesquels les êtres humains « de toutes les conditions et de toutes les sociétés », s’efforcent d’imaginer et de construire leur propre humanité, de quelque manière qu’elle soit comprise (1991). La culture est l’activité anthropo-poïétique continue à laquelle les êtres humains ne peuvent échapper. Tel est, par exemple, le propre du rituel qui réalise la deuxième naissance, la véritable, celle de l’acteur/actrice social/e, comme dans les rites d’initiation ou la construction des rapports sociaux de sexe. La culture correspond aux formes d’humanité que les acteurs sociaux ne cessent de produire. Le but que Herder pensait poursuivre était de rassembler les différentes formes d’humanité en une seule connaissance généralisante, une « chaîne de cultures » qui, du coin du monde qu’est l’Europe des Lumières « s’étend jusqu’au bout de la terre » (1991). On peut soutenir que dans les quelques décennies de la seconde moitié du XVIIIe siècle, on avait déjà posé les bases d’un type de connaissance auquel on allait donner plus tard le nom d’anthropologie culturelle. Parmi ces prémisses, il y avait le nouveau sens du terme culture. Cependant, il faut attendre plus d’un siècle pour que ceux qui allaient être appelés anthropologues reprennent ce concept et en fassent le fondement d’une nouvelle science. La « science de la culture » est en fait le titre du chapitre I de Primitive Culture (1871) d’Edward Burnett Tylor, chapitre qui commence par la définition de la culture connue de tous les anthropologues : « Le mot culture ou civilisation, pris dans son sens ethnographique le plus étendu, désigne ce tout complexe comprenant à la fois les sciences, les croyances, les arts, la morale, les lois, les coutumes et les autres facultés et habitudes acquises par l’homme dans l’état social (Tylor1920). » Dans cette définition, les points suivants peuvent être soulignés : premièrement, la culture est un instrument qui s’applique de manière ethnographique à toute société humaine; deuxièmement, elle intègre une pluralité d’aspects, y compris les coutumes, de manière à former un « ensemble complexe »; troisièmement, les contenus de cet ensemble sont acquis non par des moyens naturels, mais par des relations sociales. Dans cette définition, la distinction – déjà présente chez Voltaire – entre le plan de la nature et le plan de la culture est implicite; mais à présent, le regard se porte avant tout sur la structure interne de la culture, sur les éléments qui la composent et sur la nécessité d’ancrer la culture, détachée de la nature, au niveau de la société. Il initie un processus de formation et de définition d’un savoir qui, grâce au nouveau concept de culture, revendique sa propre autonomie. La première fonction de la culture est en fait de faire voir le territoire réservé à la nouvelle science : un vaste espace qui coïncide avec tous les groupes humains, des communautés les plus restreintes et les plus secrètes aux sociétés qui ont dominé le monde au cours des derniers siècles. Mais jusqu’à quel point ce concept est-il fiable, solide et permanent, de sorte qu’il puisse servir de fondement au nouveau savoir anthropologique? On pourrait dire que les anthropologues se distinguent les uns des autres sur la base des stratégies qu’ils adoptent pour rendre le concept de culture plus fiable, pour le renforcer en le couplant avec d’autres concepts, ou, au contraire, pour s’en éloigner en se réfugiant derrière d’autres notions ou d’autres points de vue considérés plus sûrs. La culture a été un concept novateur et prometteur, mais elle s’est aussi révélée perfide et dérangeante. On doit réfléchir aux deux dimensions de la culture auxquelles nous avons déjà fait allusion: le travail continu et les produits qui en découlent. Les anthropologues ont longtemps privilégié les produits, à commencer par les objets matériels, artistiques ou artisanaux : les vitrines des musées, avec leur signification en matière de description et de classification, ont suggéré un moyen de représenter les cultures, et cela même lorsque les anthropologues se sont détachés des musées pour étudier les groupes humains en « plein air », directement sur le terrain. Quelles étaient, dans ce contexte, les coutumes, sinon les « produits » de la culture sur le plan comportemental et mental? Et lorsque la notion de coutume a commencé à décliner, entraînant avec elle le sens d’un savoir dépassé, la notion de modèle – les modèles de culture – a dominé la scène. Saisir des modèles dans n’importe quel domaine de la vie sociale – de la parenté à la politique, de la religion au droit, de l’économie à l’art, etc. – ne correspondait-il pas à une stratégie visant à construire, dans un but descriptif et analytique, quelque chose de solide, de répétitif et de socialement répandu, bref, un système capable de se reproduire dans le temps? Ce faisant, on continuait à privilégier les produits avec leur continuité et leur lisibilité au détriment du travail continu et obscur de la culture, de son flux presque insaisissable et imprévisible. Nous pensons par exemple à la quantité incroyable et chaotique de gestes, mots, idées, émotions qui se succèdent, se chevauchent, se croisent et se mélangent dans chaque moment de la vie individuelle et collective. Le sentiment que les produits toujours statiques et achevés de la culture priment sur sa partie la plus significative et la plus dynamique (une sorte de matière ou d’énergie obscure), devient un facteur de frustration et de perturbation pour l’entreprise anthropologique. À cet égard, les anthropologues ont adopté plusieurs voies de sortie, notamment : la tendance à réifier la culture, ce qui lui confère une solidité presque ontologique (c’est le cas d’Alfred L. Kroeber 1952); l’intention de réduire sa portée et de l’ancrer ainsi dans une réalité plus cohérente et permanente, telle que pourrait être la structure sociale dans ses diverses articulations (Alfred Radcliffe-Brown 1968 et plus largement l’anthropologie sociale); la tentative de capturer dans les manifestations apparemment plus libres et arbitraires de la culture, que peuvent être les mythes, l’action de structures mentales d’un ordre psycho-biologique (Claude Lévi-Strauss 1958 et 1973 et plus largement le structuralisme). Plus récemment, la méfiance envers la culture a pris la forme même de son refus, souvent motivé par une clef politique. Comment continuer à s’appuyer sur la culture, si elle assume désormais le rôle de discrimination autrefois confié à la race? Plus la culture devient un terme d’usage social et politique, identifié ou mélangé à celui d’identité et se substituant à celui de race, plus des anthropologues ont décrété son caractère fallacieux et ont pensé à libérer la pensée anthropologique de cet instrument devenu trop dangereux et encombrant. Lila Abu-Lughod écrit en 1991 un essai intitulé Against Culture et les critiques du concept de culture refont surface dans le texte d’Adam Kuper, Culture, 1998 et 1999. Mais si l’anthropologie doit se priver de ce concept, par quoi le remplacera-t-elle? Est-il suffisant de se contenter de « pratiques » et de « discours » qu’Abu-Lughod a puisés chez Michel Foucault (1966)? C’est une chose de critiquer certains usages de la notion de culture, tels que ceux qui tendent à la confondre avec l’identité, c’en est une autre d’accepter le défi que ce concept présente à la fois par son caractère fluide et manipulable, et par les expansions fertiles dont il est capable. Par « pratique » et « discours », réussirons-nous, par exemple, à suivre l’expansion de la culture vers l’étude du comportement animal et à réaliser que nous ne pouvons plus restreindre la « science de la culture » dans les limites de l’humanité (Lestel 2003)? Presque dans le sens opposé, la culture jette également les bases de la recherche ethnographique au sein des communautés scientifiques, une enquête absolument décisive pour une anthropologie qui veut se présenter comme une étude du monde contemporain (Latour et Woolgar 1979). Et quel autre concept que celui de culture pourrait indiquer de manière appropriée le « tout complexe » (complex whole) de la culture globale (Hamilton 2016)? Qu’est-ce que l’Anthropocène, sinon une vaste et immense culture qui, au lieu d’être circonscrite aux limites de l’humanité, est devenue une nouvelle ère géologique (Zalasiewicz et al. 2017)? Bref, la « science de la culture », formulée en 1871 par Edward Tylor, se développe énormément aujourd’hui : la culture est l’utilisation de la brindille comme outil de capture des termites par le chimpanzé, de même qu’elle correspond aux robots qui assistent les malades, aux satellites artificiels qui tournent autour de la Terre ou aux sondes envoyées dans le plus profond des espaces cosmiques. Ces expansions de la culture sont sans aucun doute des sources de désorientation. Au lieu de se retirer et de renoncer à la culture, les anthropologues culturels devraient accepter ce grand défi épistémologique, en poursuivant les ramifications de cette notion ancienne, mais encore vitale, dynamique et troublante.
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Dissertations / Theses on the topic "Rôle selon le sexe au travail – Gabon"

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Bouanga, Marc Florent Anicet. "Le commerce féminin et ses incidences sur le statut de la femme des couches moyennes à Libreville (Gabon)." Amiens, 2007. http://www.theses.fr/2007AMIE0002.

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Abrous, Dahbia. "L'honneur face au travail des femmes en Algérie." Aix-Marseille 1, 1989. http://www.theses.fr/1985AIX1XXX6.

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Serdjénian, Evelyne. "Les Femmes et l'égalité." Paris, EHESS, 1986. http://www.theses.fr/1986EHES0059.

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Doutsona, Judith. "Les femmes dans la fonction publique au Gabon : étude des trajectoires professionnelles (1930-1980)." Paris 7, 2011. http://www.theses.fr/2011PA070036.

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Abstract:
Le recrutement des auxiliaires africains de l'administration coloniale concerne dans un premier temps les hommes, touche timidement les femmes au début des années 1930. L'éducation, l'un des piliers essentiels de la politique colonial est un élément moteur dont les femmes doivent être les vecteurs dans la réalisation de la mission civilisatrice La formation de quelques unes et l'obtention d'un diplôme leur permettent d'entrer dans la fonction publique où elles exercent quelques rares métiers accessibles. L'étude de la fonction publique gabonaise vue sous l'angle des trajectoires professionnelles des années 1930 aux années 1980 permet de retracer l'entrée des femmes dans les emplois publics ainsi que leur accession progressive à des professions valorisantes et de pouvoir. Ce travail étudie à la fois la formation des filles, les conditions de recrutement, les types de métiers exercés, ainsi que l'impact du travail salarié des femmes sur les relations hommes-femmes notamment dans la sphère privée, en passant par l'analyse de leurs origines sociales. L'étude propose l'approche thématico-chronologique qui permet de montrer les évolutions en termes de recrutement et les changements intervenus après l'indépendance. La prise de conscience par les nouvelles autorités gabonaises pour une administration égalitaire sur le plan juridique conjuguée à la politique de gabonisation des cadres, assurent une participation relativement massive des femmes dans la fonction publique gabonaise, le tout sous l'œil vigilant des institutions internationales (ONU) qui stimulent les politiques nationales et constituent des leviers essentiels
The recruitment of the African auxiliaries of the colonial administration which concerns at first the men, gets touches the women at the beginning of 1930s. The education, one of the pillars colonial main part of the politics is a driving element the women of which have to be vectors in the realization of the civilizing mission. The formation of some and the obtaining of a diploma allow them to enter the public service where they exercise some rare accessible jobs. The study of the Gabonese public service seen under the angle of the careers from the 1930s to 1980s allows to redraw the entrance of the women to the public jobs as well as their progressive entry in developing occupations and to be able to. This work studies at once the formation of the girls, the conditions of recruitment, the types of exercised jobs , as well as the impact of the salaried work of the women on the gender relations in particular in the private sphere, by way of the analysis of their social origins. The study proposes the thematico-chronological approach which allows to show the evolutions in terms of recruitment and the changes intervened after the independence. With the awareness by the new Gabonese authorities for an equaliterian administration on the legal plan in the politics of gabonisation of the executives the Gabonese of which are stakeholders, under the watchful eye of the international institutions (ONU) which stimulate the national politics and constitute essential control levers
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Lee, Eunjoo. "L’influence du rôle de la femme ayant une activité professionnelle sur la construction des rôles respectifs d’homme et de femme chez les adolescents : Les conséquences sur la culture coréenne." Paris 9, 2008. https://portail.bu.dauphine.fr/fileviewer/index.php?doc=2008PA090030.

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Abstract:
Le statut et le rôle des femmes, qui étaient subordonnés dans une structure sociale dominée par les hommes, ont évolué grâce à leur engagement dans une activité professionnelle. Cette évolution entraîne des conflits entre groupes sociaux et des conflits intérieurs chez les femmes elles-mêmes. L’activité professionnelle des femmes étend leur rôle à la société, ce qui leur permet de prendre conscience de leur individuation. Cette activité leur confère également un pouvoir économique. Ces deux éléments sont les principaux facteurs de l’accélération de l’activité professionnelle des femmes en Corée du Sud. Observant cette évolution, les adolescents se font une image positive du rôle professionnel des femmes et projettent une idée des rôles sans discrimination des genres. Cette idée est différente de la conception traditionnelle et montre une facette de l’évolution des rôles au fil des générations. Cette recherche analyse l’influence de l’activité professionnelle des femmes sur la manière dont les adolescents construisent l’idée qu’ils se font des rôles respectifs des hommes et des femmes. Les résultats permettent de présager de nouveaux rôles pour les femmes en Corée du Sud dans un proche avenir. Cette évolution confère un nouveau statut aux femmes, et ce statut modifie le lien social et familial. Mais il entraîne aussi une évolution de la culture traditionnelle. Le rôle et le statut des femmes ne s’appuient plus sur la culture traditionnelle confucéenne. Nous avons finalement pu confirmer que l’activité professionnelle des femmes est un facteur principal de l’évolution de la culture en Corée du Sud
The status and role of women, who are considered subordinate in a social structure dominated by men, has changed thanks to their participation in work. This change has led to a clash between social groups and struggle within the women themselves. Employment broadens women’s role in society which raises their awareness of their individuation and gives them economic power. These two elements are major factors in the increase in women in work, in South Korea. By observing this evolution, adolescents can build a positive image of women’s professional roles which projects a non-discriminatory impression of the genders. This image is different from the traditional views and shows a facet of how women’s roles have evolved through generations. This research analyzes the influence of working women on the way adolescents develop ideas of the role of men and women. The findings enable us to predict new roles for women in South Korea in the near future. Once women are in employment, they become aware of themselves as individuals, capable of breaking free of subordination to male domination. This evolution provides new status to women. This status changes not only family and social links but also the traditional culture. Women’s role and status are no longer based on the traditional Confucian culture. Finally, the analysis has confirmed that women’s employment is the main factor in the evolution of culture in South Korea
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Séhili, Djaouida. "L'insolite répartie féminine : les ambivalences du féminin et du masculin face à la dynamique du changement." Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100095.

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Abstract:
LE MONDE DU TRAVAIL SUBIT AUJOURD'HUI LES CONTRECOUPS DE LA PRECARISATION. DANS CE CONTEXTE, L'USAGE DE SOI QUE LES INDIVIDUS SONT CONTRAINTS DE FOURNIR PEUT PARFOIS ETRE TRES DOULOUREUX. D'AUTANT QU'IL N'EXISTE PAS DE COUPURE PSYCHIQUE ENTRE LA SPHERE DU TRAVAIL ET CELLE DU HORS TRAVAIL OU ENCORE ENTRE, CE QUE L'ON NOMME COMMUNEMENT, LA << VIE PROFESSIONNELLE >> ET LA << VIE PRIVEE >>. LA FORMATION D'UNE IDENTITE AU TRAVAIL, FEMININE OU MASCULINE, NE PEUT DONC SE CONCEVOIR DE MANIERE LIMITATIVE A DES DETERMINANTS STRICTEMENT LIES AUX RELATIONS AVEC LA HIERARCHIE, AVEC LES COLLEGUES, AVEC LES CLIENTS, ETC. ELLE DEPEND EGALEMENT DE TOUT UN CORPUS PSYCHOSOCIAL QUI TROUVE SES FONDEMENTS BIEN AU-DELA : A SAVOIR DANS LE << MOI >> INTIME DE CHACUN S'EXPRIMANT AU TRAVERS D'UN << MOI >> PUBLIC. CE << MOI >> INTIME EST PLUS OU MOINS DEVOILE PAR DES MANIFESTATIONS QUI SONT TOUJOURS FONDAMENTALEMENT PORTEUSES DE SENS. L'UN DE CES SENS, NOTAMMENT, REVELE BIEN LE POIDS DES VALEURS SOCIALES QUI ENFERMENT LES INDIVIDUS DANS DES CATEGORIES, LIEES AU FEMININ ET AU MASCULIN, QUI NE SE REDUISENT PAS A LEUR SEXE. SELON QU'ILS SE DEFINISSENT A PARTIR DE CES CATEGORIES, LES INDIVIDUS FEMMES ET HOMMES, VIVENT LE CHANGEMENT, ET LES INNOVATIONS QU'IL INDUIT, DE MANIERES RELATIVEMENT CONTRASTEES. CERTAINS NOUS ONT AINSI LIVRE UNE REPRESENTATION << FEMININE >> DU CHANGEMENT ALORS QUE D'AUTRES, NOUS ONT PLUTOT FAIT ENTENDRE UNE REPRESENTATION PLUS << MASCULINE >>. LORSQUE LES REPRESENTATIONS PORTEES RELEVAIENT PLUTOT DU << MASCULIN >>, IL NOUS EST APPARU, QUE LA DESTRUCTURATION DES PROCESSUS IDENTITAIRES SEMBLE PRODUIRE UN ETAT QUI S'APPARENTE A UNE DEMOBILISATION DOUCE. ATTEINTS DANS LEUR << VIRILITE >>, ILS PARAISSENT MOINS << PREPARES >> ET PLUS << TOUCHES >> QUE LEURS COLLEGUES DU GENRE FEMININ. BEAUCOUP, PARTICULIEREMENT LES TECHNICIENS, FORTEMENT STIGMATISES CAR CETTE << CASTRATION SYMBOLIQUE >>, MANIFESTENT L'INTENSITE DE LEURS AFFECTS PAR L'EXPRESSION MULTIPLE ET VARIEE DE LEUR SOUFFRANCE.
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Danechmand, Mitra. "Travail des femmes et division sexuelle des rôles : le discours journalistique de Marie-Claire en 1954, 1972 et 1984." Paris 5, 1992. http://www.theses.fr/1992PA05H014.

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Abstract:
L’objet de cette recherche est : - l'examen de l'évolution de la situation du travail des femmes et celui du rôle féminin en général. - ainsi que l'étude de leurs représentations dans le discours du magazine "Marie-Claire", a trois périodes différentes : 1954-1955, 1972-1973 et 1984. L’objectif est de tender d'expliquer ce discours dans le cadre des conditions de son élaboration, en privilégiant les relations entre les modalités de ce discours et les caractéristiques du milieu intellectuel des femmes, suivant les époques
The purpose of this study is : - to examine the evolution of the situation of women's work, and that of the feminine role in general, - as well as the study of their representation in the presentation made by the magazine "Marie-Claire", at three different periods : 1954-1955. 1972-1973 and 1984. The objective is to try to explain this presentation in the perspective of the condition of its elaboration. Favoring the relationship between the presentations and the characteristics of women's intellectual circle, according to the different periods
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Flautre, Anne. "Les remaniements temporels : le cas du compte épargne temps." Toulouse 2, 2002. http://www.theses.fr/2002TOU20045.

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Abstract:
Les temps sociaux rythment nos activités quotidiennes au point de constituer un cadre de contraintes si fortes qu'il est bien difficile de s'en défaire. Le temps de travail y occupe une place prépondérante de manière à constituer un temps dominant qui englobe et défínit toutes les autres temporalités. L'analyse de la fabrication de lois relatives au temps de travail et des usages du temps montre que la construction des normes temporelles combine des régulations politiques et des régulations locales. Les premières fixent les lois concerannt l'épargne temps (loi du 24 juillet 1994, loi Aubry) en vue de constituer des réserves pour des projets alternatifs et personnels. Les secondes fixent les accords collectifs en vue de définir l'espace des usages autorisés. Avec les 35 heures, les réserves temporelles sont utilisées pour un triple remaniement: une remise de travail à sa place, une redistribution des tâches domestiques au sein du couple, l'invention d'une troisième sphère d'activités ni professionnelle, ni domestique, une sphère pour de vrais projets personnels. Dans tous la cas, ces arrangements temporels sont sexués. Mais ce caractère sexué évolue au travers des remaniements temporels qui sont autant d'occasions pour renégocier les rapports des hommes et des femmes entre eux
Social time patterns rhythm our daily activities to the point of creating a framework of constraints which is so strong that it is difficult to break away from them. The major position occupied by working time is such that it constitutes a dominant time which encompasses and defines all other temporalities. An analysis of the development of laws relative to working time and the way time is used shows that the construction of temporal norms combines political regulations and local regulations. The former fix the laws concerning time-saving provisions (law of 24 July 1994, "loi Aubry") with the aim of constityuting time accruals for alternative and personal projects. The latter fix the collective agreements with a view to defining the scope of authorised usage. With the 35-hour week, the tempral accruals are used for a threefold reorganisation: work is restored to its rightful place, domestic tasks ae redistributed within the couple and a third sphere of activities is invented, neither professional nor domestic; a space for real personal projects. In all cases, thes temporal arragements are gender-related. But this gender division is evolving with these temporal reorganisations; each one being the oppotunity to renegotiate male/female relations
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Sarang, Aitzaz Ahsan Alias. "Three essays on board gender diversity, corporate governance and corporate finance." Electronic Thesis or Diss., Aix-Marseille, 2019. http://www.theses.fr/2019AIXM0460.

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Abstract:
Cette thèse étudie l’impact de la diversité de genre dans les conseils d’administration en finance et gouvernance d’entreprise. Le premier chapitre présente la littérature sur la diversité de genre en sciences de gestion. Nous concluons le chapitre en soulignant les voies de recherche futures dans le domaine de la diversité au sein des conseils d'administration et de la finance d'entreprise. Les chapitres ultérieurs examinent empiriquement l'effet des femmes administratrices dans trois domaines importants en finance, mais non explorés dans le contexte du marché français. Il s'agit notamment du risque de liquidité, du coût des capitaux propres et de la probabilité de révocation du dirigeant suite à un faible rendement. Le deuxième chapitre examine l'effet des femmes administratrices sur la trésorerie de l'entreprise. À partir d'un échantillon d'entreprises françaises sur la période 1998-2015, nous montrons qu’il existe une relation positive significative entre la présence d’administratrices et deux mesures de la trésorerie des entreprises. Les résultats confortent l'idée que les administratrices ont une propension moins élevée à prendre des risques de liquidité que leurs homologues masculins. Le troisième chapitre examine la relation entre la diversité de genre au sein du conseil et le coût des capitaux propres. Nous constatons un effet négatif significatif des femmes administratrices sur le coût des capitaux propres. Le quatrième chapitre est basé sur la théorie de la masse critique. Les résultats suggèrent que le fait d’avoir au moins trois femmes augmente la probabilité de révocation des dirigeants peu performants
This thesis examines the effect of board gender diversity in corporate finance. The first chapter provides a survey of literature on board gender diversity in management science domain and conclude the chapter by highlighting the potential areas of future work in the board gender diversity and corporate finance domain. The next chapters empirically examine the effect of female directors in three important, yet not explored areas of finance in the context of the French market. The second chapter examines the effect of female directors on corporate cash holdings. Using a sample of French firms over the period 1998 to 2015, we document a significant positive relationship between women directors and two measures of corporate cash holdings. The results support the notion that female directors have a lower liquidity risk-taking propensity than their male counterparts. The third chapter examines the relationship between board gender diversity and the cost of equity. We document a significant negative effect of female directors on the cost of equity. The fourth chapter is based on the critical mass theory. The results suggest that attaining the number of at least three women increases the likelihood of dismissing poorly performing CEOs. In summary, the results validate the notion that women directors are risk averse, strict at monitoring executives, and they increase the value of firm
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Millet, Charlyne Denise. "Parcours professionnels et carrières d'enseignants-chercheurs sous le prisme du genre : pour une théorisation en termes de conflits d'activités." Strasbourg, 2011. http://www.theses.fr/2011STRA1051.

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Abstract:
Notre recherche porte sur les parcours professionnels et les développements de carrière des enseignants-chercheurs. Nous souhaitons notamment comprendre comment se forment les inégalités de carrières entre femmes et hommes dans l’enseignement supérieur. Aujourd’hui, les femmes représentent 55,7 % des étudiants dans les universités publiques françaises. Cette présence masque néanmoins des inégalités entre femmes et hommes dans l’accès aux niveaux supérieurs des hiérarchies académiques. Pour l’année universitaire 2008-2009, les femmes représentaient seulement 19,1 % des professeurs des universités et 41,2 % des maîtres de conférences. Comment interpréter ce paradoxe d’une égalité presque généralisée entre les sexes à l’entrée à l’université et d’une absence presque générale des femmes aux postes de professeurs des universités ? Comment éclairer ce « plafond de verre » ? Notre recherche porte donc sur la construction des trajectoires individuelles des femmes et des hommes, afin de mieux comprendre les écarts observés entre les deux sexes lors du passage au professorat. À partir du recueil de vingt-cinq entretiens semi-directifs (treize femmes et douze hommes, en lettres ou sciences, maîtres de conférences ou professeurs des universités en fin de carrière) et d’une analyse du discours, nous avons comparé le déroulé de leur parcours professionnel. Notre recherche développe un axe d’investigation particulièrement peu exploré, celui des choix effectués au cours de la carrière, analysés sous l’angle particulier des conflits au cœur de l’activité des enseignants-chercheurs. In fine, nous proposons une théorisation en termes de conflits d’activités
Our research focuses on professional paths and career development of academics. Specifically, we want to understand how inequalities between women and men careers in higher education are built. Today, women represent 55. 7 % of students in French universities. However this presence hides inequalities between women and men in access to higher levels of academic hierarchies. In 2008-2009, women only represent 19. 1 % of full professors and 41. 2 % of assistant professors. How to interpret this paradox? How to explain this « glass ceiling » ? Our research focuses on the construction of individual paths of women and men and on choices made in early career, in order to understand differences observed between women and men accessing to the tenure. From twenty-five semi-structured interviews (thirteen women and twelve men, in Humanities or Science, at the end of their careers) and a discourse analysis, we compared their career paths. We highlight that the distribution of women and men in certain levels of the academic hierarchy, based on disciplines, is the result of various social processes. However, our research develops a particularly unexplored line of investigation centered on choices made during career and analyzed in terms of conflict at the heart of academics’ activity. Finally, we propose a theory in terms of activity conflicts
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Books on the topic "Rôle selon le sexe au travail – Gabon"

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Mendell, Adrienne. Travailler avec les hommes: Les règles du jeu. Paris: InterEditions, 1997.

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Lowe, Graham S. Le travail des femmes et le stress: Nouvelles pistes de recherche. Ottawa, Ont: Conseil consultatif canadien sur la situation de la femme, 1989.

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Unfinished business. London, England: Oneworld, 2015.

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Hart, Lois Borland. The sexes at work: Workshop designs and activities for improving gender relations in the workplace. Amherst, MA: HRD Press, 1995.

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Policing and gendered justice: Examining the possibilities. Toronto: University of Toronto Press, 2009.

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Colloque, sur la situation économique des femmes sur le marché du travail (1984 Montréal Québec). Pour un partage équitable: Compte rendu du colloque sur la situation économique des femmes sur le marché du travail, novembre 1984. Ottawa, Ont: Conseil économique du Canada, 1985.

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Juggling: The unexpected advantages of balancing career and home for women and their families. New York: Free Press, 1991.

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Juggling: The unexpected advantages of balancing career and home for women and their families. New York: Free Press, 1993.

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Andres, Lesley. Recherches stratégiques au sujet des jeunes Canadiens: Transitions chez les jeunes femmes. Hull, Qué: Développement des ressources humaines Canada, 2002.

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Women vs. women: The uncivil business war. New York, NY: American Management Association, 1987.

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