Academic literature on the topic 'Roman anglais – 19e siècle – Histoire et critique'

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Journal articles on the topic "Roman anglais – 19e siècle – Histoire et critique"

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Debaene, Vincent. "Anthropologie et littérature." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.090.

Full text
Abstract:
Evoquer les rapports entre anthropologie et littérature, c'est un peu ouvrir la boîte de Pandore, en raison de la plasticité des deux termes en présence, particulièrement du second, en raison également de la charge affective dont ils sont investis. Le simple rapprochement des deux notions est invariablement porteur d'une réflexion sur la nature même de l'anthropologie et a souvent valeur polémique, ce qui explique en retour les réactions virulentes qu'il peut susciter. Qu'on prétende montrer la porosité de l'ethnologie et de la littérature ou qu'on veuille au contraire prémunir l'anthropologie de toute corruption littéraire, il s'agit toujours pour l'ethnologue de s'interroger sur sa propre pratique et de la définir. Il faut pourtant essayer d'y voir clair, et pour cela partir des études qui traitent effectivement de cette question en essayant d'abord d'y mettre de l'ordre. On peut distinguer trois cas ou trois façons d'articuler littérature et anthropologie: les études anthropologiques qui prennent la littérature orale ou écrite pour objet; les réflexions épistémologiques ou historiques qui envisagent la littérature et l'anthropologie comme des discours et s'interrogent sur les rapports que ces discours peuvent entretenir; les travaux, menés ou non par des anthropologues, qui cherchent un savoir anthropologique dans des œuvres considérées comme littéraires. La première de ces trois formes de mise en rapport n'est pas en tant que telle problématique; elle consiste à examiner dans une perspective anthropologique la littérature en tant qu'activité symbolique et culturelle valorisée par une société donnée. C'est à ce titre que la littérature orale est objet d'ethnologie depuis longtemps. On pourra seulement noter que les travaux qui, selon les mêmes principes, prendraient pour objet la littérature écrite des sociétés modernes sont plus rares. A cela il y a deux raisons évidentes: la production comme la consommation de littérature écrite sont très majoritairement solitaires et privées et se prêtent mal à une observation ethnographique classique. Cela n'a pas empêché certains anthropologues de refuser cette exclusion, par exemple en rétablissant la continuité entre tradition orale et poésie moderne (Casajus 2012) ou en proposant une ethnographie de la création littéraire, qui s'attache à la matérialité des pratiques des écrivains, aux formes de subjectivation par l'écriture ou à la sacralité propre à l'œuvre littéraire dans les sociétés modernes (Fabre 1999, 2014). La troisième ensemble de travaux décèle dans des corpus reconnus comme littéraires une ressource anthropologique. Là encore, il faut distinguer entre, d'une part, les études qui identifient dans les textes les jeux et les conflits entre formes culturelles hétérogènes (orale vs écrite, sacrée vs profane...) (c'est l'objet d'un courant des études littéraires, l'ethnocritique (Privat et Scarpa 2010)) et, d'autre part, les tentatives qui lisent les œuvres de la littérature comme porteuses d'un savoir anthropologique, voire de « leçons » à destination des ethnologues (Bensa et Pouillon 2012). Dans ces deux cas, la littérature est d'abord envisagée comme un corpus, dont la constitution n'est pas questionnée (en cela, ces analyses se distinguent de la sociologie de la littérature) et dont on montre la richesse et la densité telle qu'elles sont révélées par une approche ethnologiquement informée. Dans cette perspective, on a pu en particulier souligner les vertus d'une création fictionnelle qui permet, par variation imaginaire, de mettre en pleine lumière certaines déterminations anthropologiques (Jamin 2011, 2018). Mais la façon la plus fréquente d'articuler anthropologie et littérature, celle qui a donné lieu aux travaux les plus nombreux, consiste à considérer l'une et l'autre comme des discours, analogues ou rivaux, mais comparables dans leur rapport au lecteur et dans leur visée. Le gros de ces études s'est développé à partir des années 1980 et du tournant postmoderne de l'anthropologie. Il s'agissait alors d'attirer l'attention sur tout ce que l'anthropologie et la littérature ont en commun, dans un but plus général de dénonciation de l'objectivisme de la discipline. Contre l'idée que l'ethnographe est un observateur neutre d'une réalité sociale qu'il décrit et analyse, on a commencé par rappeler que son activité première n'est ni l'observation, ni la participation, ni l'interprétation, mais l'écriture (Geertz 1973). Dès lors, on a pu montrer que l'anthropologie relevait d'une poétique au même titre que la littérature des temps anciens (du temps où la poétique était prescriptive, la fabrication des œuvres reposant sur un certain nombre de règles à suivre) ou que la littérature des temps modernes (lorsque la poétique est devenu singulière et implicite, mais pouvait être reconstruite a posteriori par le critique à l'analyse des œuvres). Alors que l'anthropologie sociale s'était établie au 19e siècle par l'ambition de constituer en science le discours sur l'homme en société, tous les éléments considérés habituellement comme des marqueurs de scientificité se sont retrouvés mis en question par ces interrogations poétiques. Le dogme fondateur du refus de la fiction s'est trouvé d'abord fragilisé lorsque Clifford Geertz, réactivant l'étymologie du terme (du latin fingere, fabriquer, construire), a insisté sur la part d'imagination inhérente à l'écriture ethnographique, comparant la reconstruction des interactions sociales dans un univers donné au travail d'imagination de Gustave Flaubert dans Madame Bovary (Geertz 1973, 15-16). Puis ce dogme a été franchement remis en cause lorsque James Clifford, insistant davantage sur l'invention qu'exige un tel travail, a proposé d'envisager les travaux ethnographiques comme des constructions textuelles – true fictions et partial truths – à la fois, donc, partielles et partiales (Clifford 1986). Dans son sillage, on s'est plu à montrer que les anthropologues, comme les écrivains, avaient des « styles » (Geertz 1988) et, plus généralement, rétablir des continuités entre discours littéraire et discours anthropologique, retrouvant chez les anthropologues classiques des tropes, des modes de narration, des conceptions de soi et de l'autre, hérités de la poésie romantique, de la tradition du récit de voyage ou de celle du roman d'aventures. Ainsi a-t-on mis en évidence, par exemple, toute l'influence que l'œuvre de Joseph Conrad avait pu exercer sur celle de Bronislaw Malinowski (Clifford 1988b) ou l'articulation profonde entre projet anthropologique et ambition poétique chez Edward Sapir et Ruth Benedict (Handler 1986). Dès lors, la rupture entre anthropologie et littérature – moins affirmée par les fondateurs de la discipline que simplement postulée, puisqu'il était évident qu'en la consacrant comme science, on sortait l'anthropologie du monde des œuvres et de la belle parole – a pu apparaître non comme une coupure mais comme une dénégation. En niant qu'elle relevait d'une poétique, l'anthropologie niait surtout qu'elle relevait d'une politique (comme le souligne le sous-titre du célèbre recueil Writing Culture (Clifford et Marcus 1986)). Le questionnement poétique – qui interroge la fabrication des textes ethnographiques – s'est ainsi doublé d'un questionnement rhétorique, qui s'attache à la circulation de ces textes, aux déterminations pesant sur leur conception comme sur leur réception. On a souligné, dans les textes classiques de la discipline, le silence entourant les conditions d'obtention de l'information ou les rapports avec l'administration coloniale, l'éclipse des informateurs et des sources, le privilège accordé de facto au point de vue masculin, les déformations introduites par les exigences de l'univers académique de réception, etc. En écho avec d'autres réflexions épistémologiques soucieuses d'élucider les rapports entre projet anthropologique et projet colonial, la question de l'autorité ethnographique est devenue centrale, le discours et le texte anthropologiques apparaissant comme un des lieux majeurs où s'articulent savoir et pouvoir (Clifford 1988a). Dans cette perspective, la littérature « indigène » a pu être parfois promue non plus seulement comme une source mais bien comme la seule ethnographie véritable puisqu'elle échappe (censément) à toute appropriation autoritaire de la parole par une instance extérieure. Ces réflexions ont eu pour conséquence une certaine libération de l'écriture ethnographique, une plus grande réflexivité touchant les procédures de composition des textes, voire la promotion de modes de restitution et d'exposé inventifs et polyphoniques, prenant parfois pour modèle des formes anciennes de textualité ethnographique, antérieures à la stabilisation disciplinaire. Elles ont aussi suscité des critiques pour leur complaisance et parce qu'elles déplaçaient excessivement l'attention vers les pratiques des ethnographes au détriment de leurs objets, conduisant à une sorte de narcissisme de l'écriture (Bourdieu 1992). Dans tous les cas pourtant, malgré la prétention à reconnaître la part « littéraire » de l'ethnologie, il était en fait moins question de littérature que d'écriture de l'ethnographie. C'est en partie une conséquence du cadre anglo-américain dans lequel ces réflexions ont émergé. D'abord parce que, en anglais, les termes literature et literary ont un sens plus technique et instrumental qu'en français où le terme littérature désigne d'abord, dans l’usage courant tout au moins, sinon un canon, en tout cas une logique de consécration : seules les œuvres appartiennent de plein droit à la littérature. Que l'anthropologie exige un travail de l’écriture est une chose, que ce dispositif formel fasse une œuvre en est une autre (Debaene 2005). Ensuite, parce que ce prétendu « réveil littéraire de l'anthropologie » s'inscrit bon gré mal gré dans une conception herméneutique de la discipline et repose sur la conviction que « la philologie est, somme toute, l'ancêtre du 19e siècle commun à l'anthropologie et aux études littéraires » (Daniel et Peck 1996: 8, 11). Or si une telle construction généalogique est pertinente aux Etats-Unis, elle ne l'est pas partout, et les relations des ethnologues à la littérature (envisagée soit comme un corpus, soit comme une technique d'écriture) et aux études littéraires (envisagée soit comme un type d'approche, soit comme une discipline) varient beaucoup selon les lieux et les histoires disciplinaires nationales (Debaene 2010). S'il est vrai que l'anthropologie comme la littérature sont avant tout des réalités locales, alors il importe de comprendre que l'étude de leurs rapports ne relève pas premièrement d'un questionnement épistémologique mais d'abord d'une histoire de la culture.
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Dissertations / Theses on the topic "Roman anglais – 19e siècle – Histoire et critique"

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Ayache, Lydie. "L'image de la femme dans le roman anglais, 1836-1876." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1994PA040278.

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Abstract:
Le roman, genre littéraire créé en Angleterre au XVIIIe siècle, a connu au XIXe siècle un développement considérable et une immense popularité. Les grands auteurs anglais ne furent plus le privilège d'une élite, mais furent lus par l'ensemble de la population, à tel point que l'on se servit de ce phénomène de société pour former et policer les mœurs. Un modèle littéraire féminin victorien se créa, qui inspira aux écrivains du XIXe siècle des œuvres remarquables. Mon étude suit l'évolution de ce modèle féminin au cours du XIXe siècle dans les romans de W. M. Thackeray, de C. Dickens, des sœurs Brontë, et de G. Eliot. Mon but est de montrer que les écrivains, pendant cette période, ont utilisé cet idéal féminin victorien de façon constante et que, ce faisant, ils ont créé des procèdes littéraires nouveaux qui donnent de la femme une image plus authentique qu'elle ne l'était avant
The novel, a literary genre which was created in England in the 18th century, developed immensely and became very popular in the 19th century. The great authors were no longer the privilege of the elite, but were read by an increasing number of readers in such a constant way that they were used to improve the morals of the population. A new literary ideal was invented, and it inspired a series of remarkable novels. My work deals with this new feminine ideal, and follows its evolution in the 19th century literary production, through the novels of William M. Thackeray, Charles Dickens, Charlotte, Emily, Anne Brontë and George Eliot. My aim is to show that, thanks to the Victorian ideal, these great authors found new literary devices which revealed a deeper and more authentic image of woman
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Phal-Bellessort, Marie-Christine. "L'évolution du roman épistolaire au début du XIXe siècle en France, en Allemagne et en Angleterre : d'Oberman (1804) aux Mémoires de deux jeunes mariées (1842)." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1997PA040236.

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Abstract:
Cette thèse présente un bilan comparatif sur l'évolution du roman épistolaire au début du XIXe siècle dans trois pays européens : la France, l’Allemagne et l’Angleterre. En établissant ce bilan, l'auteur de la thèse a tenté de répondre à plusieurs questions. Dans une première partie, elle s'est interrogée sur la prétendue disparition du roman épistolaire en ce début de siècle en dressant un état des lieux après avoir écrit un bref rappel historique. Dans une seconde partie, elle s'est demandé sous quelles formes le roman épistolaire avait survécu et si une nouvelle définition n'était pas nécessaire, en mettant en valeur les limites, les paradoxes et les enjeux narratifs de ce genre romanesque. Dans une troisième et dernière partie, elle s'est penchée sur les raisons de la permanence de ce genre et sur ce qui en fait sa modernité, en étudiant les thèmes abordés par les romans épistolaires, leur adaptation aux nouvelles formes romanesques comme le roman historique et le journal intime, leur rôle dans l'émergence de nouveaux modes d'écriture comme le monologue intérieur. Le roman par lettres est une forme qui n'a cessé d'évoluer et de se diversifier en offrant de nombreuses ressources romanesques. Les romanciers du XIXe siècle ont su tirer parti d'un certain nombre de ses possibilités et se jouer des limites du roman épistolaire. Ce n'est que plus tard que ce mode d'écriture sera exploité comme technique littéraire à part entière par les écrivains du début du XXe siècle. S'il est certain que le roman par lettres a connu un succès inégal entre la France et l’Angleterre d'un côté et l’Allemagne de l'autre, il n'en demeure pas moins vrai qu'il a traversé l'époque romantique et cette résistance lui a permis de se maintenir jusqu'à nos jours
This thesis consists in a comparative study : its purpose is to present results and show how the epistolary novel developed at the beginning of the XIXth century in three European countries : France, Germany and England. In the course of her study, the author of this survey endeavored to raise a certain number of questions and bring out answers to these questions. In the first part, after a short historical outline, she made an inventory and examined the alleged disappearance of that type of novel. In the second pat, she wondered under which forms the epistolary novel had survived and whether a new definition of the genre was made necessary. At the same time, she laid stress on the limits, paradoxes and narrative options at stake. Finally, in the third part, the author's aim was to analyze the continuity of the genre as well as to study why it is so modern. Thus, she delineated the themes tackled in the epistolary novels; she studied now these themes adjusted to the new forms of the novel, such as the historical novel and the private diary. She also defined the part they played in the emergence of new modes of writing such as the monologue. The epistolary novel is a genre which has kept changing and moving. It evolved thanks to its multifarious Romanesque forms. The XIXth century novelists succeeded in the epistolary novel. It is much later, at the beginning of the century that this mode of writing would be operated by writers, as a literary technique in itself. Even if it is impossible to ignore the fact that the epistolary novel wasn't equally successful in France and England in the one hand, and in Germany on the other hand, it can't be denied that it lived through the whole romantic period and that this very ability to resist enabled the genre to live to this day
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Despeyroux, Dubrana Marie-Christine. "Erica Jong : Fanny et le roman anglais au XVIIIème siècle." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040175.

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Abstract:
Fanny est une œuvre majeure de la romancière américaine Erica Jong, laquelle a voulu écrire un roman dans le style du roman anglais du 18eme siècle, une épopée héroï-comique. Parfaitement documentée sur l'époque, maitrisant la technique d'auteurs comme Defoe, Fielding ou Cleland, elle tente de saisir l'esprit du 18eme siècle. Si elle relate la vie, les mœurs, les idées, la morale de l'époque, Erica Jong décrit une héroïne Fanny laquelle, si elle évoque Tom Jones, Fanny Hill, Moll Flanders ou Roxana, est très proche d’Isadora, son héroïne fétiche, son alter ego. Elle transcende naturellement le processus d'imitation concernant le style, l'évolution du personnage, attribuant à son héroïne une personnalité riche, complexe et moderne. Plus évoluée que les héroïnes du passé, intellectuelle, sensuelle, féminine, féministe et non-conformiste, Fanny bénéficie, outre de ses rencontres et de ses aventures nombreuses, variées et aléatoires, de la toute-puissance, de la psychologie et des préoccupations de la femme-auteur Erica Jong, ainsi que de l'évolution des idées à nos jours. Luttant contre les tabous, les préjugés et les inégalités, Fanny veut transmettre à sa fille Belinda, de naissance incestueuse, par le récit authentique de sa vie, le sens d'une éthique personnelle basée sur le goût de la culture et de la liberté pour acquérir la maitrise de son destin et l'épanouissement dans sa vie de femme, de mère, d'artiste. Voulant décrire toutes les facettes de la nature féminine dans un picaresque féminin, teinté d'humour, d'ironie, de sérieux, d'érotisme troublant et de satire personnelle, Erica Jong, qui cherche l'osmose entre l'art et la vie, décrit la complexité des origines et des influences du destin de la femme moderne, marquée par la dualité corps et esprit. S'investissant dans son personnage,. .
Fanny is a major work from the American novelist Erica Jong who wished to write a mock eighteenth-century novel. Very well informed about the period, mastering the technique of authors like Defoe, Fielding or Cleland, she tries to seize the mind of the period. If she relates the life, manners, ideas, and morality of the 18th century, Erica Jong describes an heroine, Fanny, who, if she evokes Tom Jones, Fanny Hill, Moll Flanders or Roxana, is very similar to Isadora, her favorite heroine, her alter ego. She naturally transcends the imitation process concerning the style, the evolution of the heroine, giving her character a rich, complex and modern personality. More advanced than the heroines of the past, intellectual, sensual, feminist, feminine, nonconformist, fanny benefits, apart from her various encounters and numerous and perilous adventures, from the whole power, the psychological experience and the concerns of the woman writer Erica Jong. Rebelling against taboos, prejudices and inequalities, Fanny wishes to pass on, with the true account of her life, to her daughter Belinda, born of incest, the sense of personal ethics based upon a taste for culture and freedom to acquire mastery over her fate and blooming in her life as a woman, a mother, an artist. Aiming to describe the characteristics of feminine nature in a female picaresque, marked with humor, irony, seriousness, eroticism and personal satire, Erica Jong, looking for osmosis between art and life, describes the complexity of the origins and influences of modern woman's fate who is marked by the duality head and body. Investing herself in fanny, she personally authenticates the. .
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Kahn-Paycha, Danièle. "Seuil et voix narrative dans le roman anglais : 1890-1899." Paris 4, 1995. http://www.theses.fr/1994PA040309.

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Sag, Mélanie. "Les guerres civiles dans les romans anglais et français de l'époque baroque (1580-1668) : poétique du roman, anatomie du conflit et usages de la fiction." Paris 7, 2014. http://www.theses.fr/2014PA070032.

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Abstract:
Notre étude porte sur les guerres civiles dans le roman de l'âge baroque (1580-1668) en France et en Angleterre, pays dont l'identité nationale se redéfinit à l'issue de crises dramatiques aux XVI' et XVIIe siècles. Au croisement des études génériques, des théories contemporaines de la fiction et des approches historicistes, notre travail poursuit deux objectifs : contribuer à la connaissance de la poétique romanesque, éclairer les rapports entre littérature et histoire à partir d'un corpus de trente romans encore trop peu connus. La comparaison entre France et Angleterre implique d'abord d'interroger les critères de définition et les frontières du genre romanesque, puis de retracer la généalogie des modèles narratifs de nos auteurs. Une poétique de la guerre est ensuite dégagée par l'analyse des fonctions narratives de la séquence guerrière, de la construction des personnages, de l'écriture de la violence (mise en spectacle ou estompée). L'étude s'achève par l'interprétation des textes, après une réflexion sur le statut du fait et de la fiction. Entre mémoire des guerres de religion et enregistrement à chaud de la Révolution anglaise, les romans de l'âge baroque développent une forme spécifique de roman historique dont les principales caractéristiques sont le déplacement des enjeux collectifs et la métaphorisation de la division religieuse au niveau du couple ou de la famille, ainsi que le recyclage de l'écriture allégorique. Genre dédié à l'amour, contrairement à l'épopée, le roman baroque élabore des représentations variées et complexes de la guerre civile, cette guerre intérieure qui questionne l'identité et l'appartenance, donc l'intime, objet romanesque par excellence
This work examines the use of civil wars in English and French novels between 1580 and 1668 that is to say during the Baroque period. At this time, France and England were going through a revolutionary political, religious but also social crisis. Our framework is based on genre studies, contemporary theories of fiction and historicity. We aimed at shedding a new light on novel's poetics and analysing the articulation of fact and fiction through the study of a corpus of thirty little-known novels. The comparison between the French novels and the English ones implies to identify what defines the genre of early modern novel and its boundaries for both countries, and determine the genealogy of the narrative models used by the authors. We then establish the poetics of war through the analyses of the narrative functions of war sequences, the way characters are build up and the stylistics of violence (staged or faded). Finally, we suggest an interpretation of the novels. From the remembrance of wars of religion to the record of the English Revolution, Baroque novels constitute a specific form of historical fiction, characterized by the displacement of collective stakes and the metaphorisation of the religious division to the level of the couple or the family but also the recycling of the allegorical writing style. The Baroque novel is dedicated to love as opposed to the epic genre, it offers various and complex representations of civil war, this internai conflict questioning one's identity, faith and sense of belonging, three key concepts of the early modern novel
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Talairach-Vielmas, Laurence. "Le secret et le corps dans le roman à sensation anglais du dix-neuvième siècle." Toulouse 2, 2000. http://www.theses.fr/2000TOU20047.

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Prungnaud, Joëlle. "Gothique et décadence : recherche sur la continuité d'un mythe et d'un genre au XIXe siècle, en Angleterre et en France." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040309.

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Abstract:
La première partie de notre travail traite de la continuité du mythe et du genre gothiques au XIXe siècle. Apres avoir justifié la validité de la notion de "mythe" appliquée au phénomène esthétique du "gothic revival", nous montrons selon quelles modalités cet héritage s'est transmis de génération en génération, sans discontinuité, tout au long du siècle. Puis, après avoir esquissé la typologie du "gothic novel", nous nous interrogeons sur la réception de ce genre romanesque après 1820, à partir d'une analyse des parodies et de la situation du roman gothique sur le marché de la librairie. L'examen de la titrologie nous permet de dégager les jalons d'une filiation littéraire, nous analysons ensuite les œuvres relais retenues : le roman noir de la restauration en France, le roman historique, le conte romantique et la littérature frénétique ; enfin, le roman populaire et le gothique victorien. Le deuxième volet de notre diptyque est consacré à l'exploration spécifique de la période fin-de-siècle (1880-1918). Nous envisageons tour à tour, et de manière symétrique, l'étude du mythe puis celle du genre gothique. Apres avoir abordé les conditions de réception de l'un et de l'autre, nous structurons nos analyses autour de deux axes essentiels : les deux éléments constitutifs du mythe que sont le moyen âge et la cathédrale, dans le premier cas ; les deux traits distinctifs du genre, soit la demeure noire et le personnage terrifiant, dans le deuxième cas (créatures de la science, revenant, vampire). Nous dégageons les caractéristiques du "gothique fin-de-siècle", qui renouvelle la thématique et la rhétorique d'une tradition littéraire menacée de sombrer dans le stéréotype et l'imitation. La décadence rend ainsi à l'esthétique de la terreur sa vitalité créatrice et sa féconde originalité
The first part of our research paper deals with the continuity of gothic myth and genre in the 19th century. After an attempt to prove the merits of such a notion as "myth" applied to the gothic revival aesthetic movement, we point out how the tradition was transferred from generation to generation, without a gap throughout the century. Then, after having sketched the gothic novel typology, we inquire about the way this genre was received from 1820 onwards, through a study of both parodies and catalogue of new editions and reissues of the original works. The examination of novel titles discloses the literary relationship between the first gothic novelists and their followers. An analysis of chosen works as part of such a continuous stream is then proposed. The second part of our work is devoted to the study of the french fin-de-siècle period and british eighteen nineties. We develop symmetrically the study of both myth and genre. After a review of the conditions in which each was received by public and readers, we organize our reflections in two directions : on the one hand, the constituent elements of gothic myth which are medievalism and praise of cathedrals ; on the other hand, the two main components of gothic genre i. E. The sinister mansion pattern and the hero-villain figure. We bring out the main features of "decadent gothic", which revived the themes and form of a literary tradition that would otherwise have been lost in commonplace imitation or hackneyed expression. Thus we see how decadence keeps the tale of terror alive and fully restores its richness and fruitfulness
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Coste, Marie-Amélie. "L'être et le paraître dans les romans de Charles Dickens." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040198.

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Abstract:
Cette étude se fonde sur un trait de l'écriture dickensienne, à savoir, un usage particulièrement fréquent du sens littéral. L'objectif de ce travail est de démontrer que la distinction entre sens littéral et sens figuré n'est pas seulement une question de jeu de mots, mais une opposition fondamentale qui sous-tend les trois niveaux du mot, de la fiction et de l'être et indique une quête problématique de la nature propre de ce qui est. Or la notion de littéral revêt une importance d'autant plus grande qu'elle n'est pas une préoccupation du seul Dickens, mais s'inscrit au cœur de débats propres à l'époque victorienne. Prenant en compte le contexte victorien, cette recherche débute par les phénomènes de " défiguration " observables dans la fiction dickensienne, c'est-à-dire l'effort de distinction radicale entre sens littéral et sens figuré. Cette distinction radicale, toutefois, se trouve fondamentalement remise en cause par les moments de l'œuvre dickensienne où sens littéral et sens figuré se confondent. Mais la suggestion fantastique et absurde, née d'une telle confusion, n'envahit jamais le texte de manière irréversible. Elle demeure de l'ordre du possible, du problème à résoudre dans un troisième type de rapport entre le littéral et le figuré, fusionnel celui-ci. Cela est rendu possible par la sympathie qui permet de dépasser les dichotomies stériles, forme une issue au désespoir et à l'angoisse du doute critique, donnant à l'être l'espoir d'une nouvelle croyance plus lucide
This study is based on a typical trait of Dickens's writing – the frequent use of literal meanings. This work aims to show that the distinction between literal and figurative meanings is not simply a matter of puns, but an essential opposition underlying the three levels of word, fiction and being, and revealing a problematic quest for the nature of what is. The notion of the literal appears as all the more important as it does not concern Dickens only, but is at the core of debates particular to the Victorian period. Taking into account the Victorian context, this research starts with the theme of “disfiguring” present in Dickens's novels, in other words with the attempted radical distinction between literal and figurative meanings. The latter, however, is challenged at those places, in Dickens's work, where literal and figurative meanings are confused. But the summoning of the fantastic and the absurd, which arises out of this confusion, never invades the text irrevocably. It remains a potentiality, an issue to be resolved in a third, harmonious way to envisage the relation between the literal and the figurative. This harmony is made possible by the notion of sympathy, which overcomes sterile dichotomies, allows an escape out of the despair and anxiety caused by critical doubt, giving human beings the hope of a more lucid form of belief
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Prévot, Valentine. "L'aventure du masculin : les aléas de la création d'une masculinité idéale dans les romans d'aventures britanniques pour garçons, 1830-1860." Sorbonne Paris Cité, 2016. http://www.theses.fr/2016USPCC076.

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Abstract:
Les romans d'aventures pour garçons des années 1830-1860 ont pour protagonistes de jeunes héros en quête d'aventure et d'horizons lointains dont l'itinéraire à travers les espaces coloniaux britanniques est un véritable cheminement initiatique vers un idéal masculin. La construction imaginée de l'identité masculine victorienne se situe à la croisée des chemins entre plusieurs traditions et images idéalisées de ce qu'« être un homme » signifie dans les premières décennies du règne de Victoria : entre virilité chrétienne et christianisme musculaire, entre figures du gentleman, du chevalier et du héros, ce qui se joue dans le roman d'aventures pour garçons c'est la production en palimpseste d'une masculinité idéalisée. Quelles images, normes et stéréotypes sont mis en jeu ? Comment circulent-ils et sont-ils mis en circulation ? Comment le cheminement vers un modèle dominant de masculinité est-il mis en mots et représenté par une grammaire ? Le texte littéraire enfante une « mise en scène » du genre, entre imitation et incorporation des normes, normes qui peuvent être par ailleurs contournées, voire renversées dans un processus d'hybridation des jeunes Britanniques au contact d'une altérité géographique, culturelle et genrée. Le lecteur est ainsi rapidement confronté aux aléas de romans moins figés que l'on pourrait le penser, romans qui s'avèrent être le site de production non pas d'une, mais de plusieurs masculinités en proie à des phénomènes de friction et d'interpénétration
The main characters in boys' adventure stories between the 1830s and the 1860s are young heroes on a quest to find adventure and remote horizons. Their itinerary through British colonial spaces is an initiatory progress towards a masculine ideal. This imagined fashioning of male identity is located at a crossroads between several traditions and idealized images of what "being a man" meant in the first decades of Queen Victoria's reign: between Christian manliness and muscular Christianity, figures of the gentleman, the knight and the hero, it is the palimpsestic production of an idealised masculinity which is being played out in those narratives. Which images, stereotypes and norms are brought into play? How do they circulate and how are they circulated? How is the progress towards a dominant model of masculinity narrated and illustrated by a grammar? The literary text gives birth to a specific staging of gender, between the imitation and the incorporation of norms, norm which can be otherwise circumvented, or even turned upside down through hybridization processes that these British boys are subjected to in the contact with geographical, cultural and gendered otherness. The reader is rapidly confronted to the fluctuation of novels which are much less rigid than one could anticipate. These novels turn out to be the production site of several masculinities which are experiencing phenomena of friction and interpenetration
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Dupuy, Sonia. "De Robinson Crusoé a Vanity Fair : la figure de lecteur dans les romans britanniques de 1719 a 1847." Thesis, Paris 3, 2010. http://www.theses.fr/2010PA030133.

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La figure de lecteur, prégnante dans les romans britanniques des XVIIIe et XIXe siècles, est porteuse de sens pour l’histoire du roman. Intimement liée à l’histoire du livre et à la discontinuité de lecture qu’impose la publication des romans en plusieurs volumes ou épisodes, elle s’impose aussi comme une représentation plus ou moins fidèle du lectorat. La figure de lecteur reconstruit ainsi l’histoire complexe que le roman entretient avec ses lecteurs. Derrière une bienveillante volonté d’inviter le plus grand nombre à la lecture romanesque se cache en réalité une tendance à la définition du lectorat par exclusion. Pour aussi paradoxal que cela soit, le roman a peur de ses lecteurs. Mus par la volonté de dissocier le genre des vulgaires « romances », les auteurs ne vont avoir de cesse de repousser en marge de leur texte tant de lecteurs indésirables susceptibles de faire échouer l’édifice littéraire aux préceptes encore très classiques qui se met en place. Au-delà, la figure de lecteur ne saurait être qu’une simple affaire de représentation : elle est aussi un double narratif, une sorte de miroir érigé au narrateur-auteur qui met à profit ce reflet inversé pour construire l’instance narrative encore bien peu légitime qu’il représente. Figure de lecteur et narrateur-auteur sont indissociablement liés. Ainsi les variations d’apparition de la figure de lecteur dans le texte n’ont d’égal que la fragilité de la voix auctoriale et l’expression de l’angoisse de réception que trahit une très symptomatique rhétorique de dépréciation
Pregnant as it is in 18th and 19thC British novels, the reader in the text is potent with meaning for the history of the novel. Related to the history of the book and the discontinuous act of reading imposed on readers by the publication of novels in different volumes or episodes, the reader figure may also be seen as a more or less faithful representation of actual readers. The reader figure thus retraces the complex history of the relationship between the novel and its readers. Behind what appears as a complacent will to invite the widest audience to the reading of novels, a more systematic tendency to define readership by exclusion can hardly be concealed. Paradoxical as this may be, the novel has much to fear from its readers. Moved by their will to have the genre clearly distinguished from vulgar romances, the authors will repeatedly push those unwelcome readers likely to lead the whole literary edifice to a collapse back to the margins of their texts. But the reader cannot just be a matter of representation: it also is a narrative double, a sort of mirror erected to the self-conscious narrator who uses it to build up the hardly legitimate literary authority he stands for. Thus the reader figure and the self-conscious narrator are linked by an indissolvable bond. The variations in number of reader figures only reverberate the frailty of the authorial voice and the anxiety of reception expressed in a highly symptomatic text-undermining rhetoric
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Mothers of the novel: 100 good women writers before Jane Austen. London: Pandora, 1986.

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Ahearn, Edward J. Marx and modern fiction. New Haven: Yale University Press, 1989.

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Martine, Aubert, ed. Des vies à écrire. Paris: Rivages, 2014.

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Le roman depuis la révolution. 8th ed. Paris: Armand Colin, 1985.

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Raimond, Michel. Le roman depuis la Révolution. 8th ed. Paris: A. Colin, 1991.

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The politics of story in Victorian social fiction. Ithaca, N.Y: Cornell University Press, 1988.

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Julien, Eileen. African novels and the question of orality. Bloomington: Indiana University Press, 1992.

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Spender, Dale. Mothers of the Novel. HarperSanFrancisco, 1988.

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Ahearn, Edward J. Marx and Modern Fiction. Yale University Press, 1991.

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