Academic literature on the topic 'Roman noir (Genre littéraire) canadien'

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Journal articles on the topic "Roman noir (Genre littéraire) canadien"

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Rinne, Marie-Noëlle. "Errance et tropismes dans l’écriture de Simone Chaput." Articles, essais 20, no. 1-2 (March 15, 2010): 17–31. http://dx.doi.org/10.7202/039393ar.

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Abstract:
RésuméLes deux notions d’errance et de tropismes ont, chacune à leur façon, suscité maintes études littéraires. La première, souvent évoquée au sujet de la littérature canadienne d’expression française, relève aussi des littératures migrantes en général, regroupant une thématique à la fois variée et commune: absence de racines, sentiment d’altérité et questionnement sur un avenir précaire (ou pressenti comme tel). Sous la plume d’auteurs canadiens, de tels sujets de réflexion et d’inquiétude deviennent fréquemment ceux de personnages caractérisés comme étant nouvellement arrivés au Canada, ou comme des francophones vivant les difficultés issues de leur fait minoritaire. La notion de tropismes, quant à elle, ne semble pasa prioriappartenir à la rhétorique canadienne. En effet, elle se centre plutôt sur l’écriture de Nathalie Sarraute et du monde littéraire qui s’y rattache: le Nouveau Roman, l’absurde, l’après-guerre. Cette étude rassemble pourtant les deux notions, formant un nouveau cadre d’analyse dans l’approche de trois romans de Simone Chaput, écrivaine manitobaine:Le coulonneux,La vigne amèreetUn piano dans le noir. Alors que les deux premières parties de cette recherche relèvent les éléments s’apparentant à l’errance ou aux tropismes, la troisième partie tente d’en interpréter les motivations sous-jacentes. S’agit-il d’une représentation philosophique spécifique à Simone Chaput, de portraits défaitistes de femmes, ou bien cette écriture exprime-t-elle le malaise dû au fait minoritaire de l’Ouest canadien francophone?
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Pujante González, Domingo. "Apertura: No hay palabras..." HYBRIDA, no. 5(12/2022) (December 27, 2022): 3. http://dx.doi.org/10.7203/hybrida.5(12/2022).25813.

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Abstract:
Il me regarde. Parfois il murmure des mots que je ne comprends pas. Et puis il s’assoit sur le lit, et il rabat les couvertures. Il dit mon nom tout bas, tu dormais, mon amour ? Là il n’y a plus d’espoir, je sais que ça commence. J’ouvre les yeux sur le noir de la chambre qui peu à peu s’éclaire et dévoile le visage de papa. Il n’y a pas de mots pour ce qu’il me fait dans la chambre. Voix coupée, je ne pourrai jamais le dire. À moi seule je le dis pour ne pas me perdre de vue. Lori Saint-Martin (1999). Mon père, la nuit (p. 7). L’instant même. Nous voilà au troisième solstice d’hiver pour la revue HYBRIDA. J’ai eu la chance de passer mon anniversaire à Montréal, de recevoir l’automne aux couleurs changeantes, de savourer l’énergie du jaune, ma couleur préférée, décliné à l’infini : citron, cadmium, moutarde, ocre, auréolin, indien, de Naples, de Sienne, de Cambodge… L’Association Internationale des Études Québécoises, incarnée dans la précieuse figure de Suzie Beaulieu, a contribué à la réussite de ce séjour d’un mois à l’Université de Montréal, accueilli par une personne magnifique et généreuse, écrivaine prestigieuse à juste titre, Catherine Mavrikakis, qui venait de publier son dernier roman Niagara (2022), ainsi que par son entourage académique et familial, son frère Nicolas Mavrikakis, perspicace critique d’art ; son conjoint, l’insigne professeur de littérature Terry Cochran, et leur fille Loulou, toujours le sourire aux lèvres et aux yeux… Le mois d’octobre est spécialement animé du point de vue culturel à Montréal ce qui m’a permis de participer à une intense vie culturelle : nouvelles publications, activités théâtrales, expositions artistiques, cycles organisés par la cinémathèque québécoise (dont la superbe rétrospective sur l’œuvre du canadien Bruce LaBruce)… Je me suis plu à visiter les intéressantes librairies montréalaises toujours en ébullition. J’ai eu la chance d’entrer en contact direct avec le monde éditorial québécois qui connaît certainement un nouvel âge d’or, des maisons d’édition d’une longue tradition comme Gallimard, dont l’ancien directeur Rolf Puls m’a parlé de tant d’anecdotes littéraires en nous régalant avec des huîtres et des oursins des mers du Nord, et dont l’actuelle directrice générale, Florence Noyer, m’a ouvert également les portes. Tout comme les éditions du Boréal où je suis passé plusieurs fois, reçu magnifiquement par Jean Bernier, avec qui j’ai passé des moments d’intense complicité où j’ai pu partager la passion pour Marie-Claire Blais, qu’il connaît dans le moindre détail, et le deuil à cause de la disparition douloureuse, cet intense mois d’octobre, du jeune écrivain Simon Roy, qui était venu à Valence présenter son premier roman Ma vie rouge Kubrick (2014) ; ainsi que celle de Lori Saint-Martin quelques jours plus tard. Il me reste à mentionner la maison d’édition Héliotrope. Un vrai bijou. J’ai eu le privilège de partager quelques conversations littéraires et humaines de haut niveau et une belle promenade du côté du Mont Royal, avec une halte dans la petite pâtisserie du quartier portugais pour prendre un vrai café, avec sa directrice, écrivaine elle-aussi, Olga Duhamel-Noyer, une âme sœur, qui dirige cette maison respirant sans aucun doute un air nouveau, fortement stimulant. Ma valise était donc bien pleine au retour à Valence et j’aurai de quoi lire dans les prochains mois. Tout cela m’a permis de rencontrer, parfois intensément, dans divers contextes, plusieurs écrivain·e·s, tous les âges confondus, dont je signalerai, par ordre alphabétique, Martine Audet, Arianne Bessette (écrivaine discrète et sensible avec qui j’ai connecté immédiatement), Lula Carballo (« ma Lula », mon double), David Clerson, Pierre-­André Doucet (charmant auteur et musicien acadien spécialement remarquable), Clara Dupuis-Morency, Benjamin Gagnon Chainey, Julien Guy-Béland (personne exceptionnelle, engagée, et écrivain percutant), Monique Proulx, que j’ai reçue à Valence et que j’apprécie énormément comme écrivaine et comme personne, avec qui j’ai partagé des croissants et de la confiture faite maison sur son balcon en regardant les arbres perdre leurs feuilles lorsqu’elle me dédicaçait son dernier roman Enlève la nuit (2022) ; et, bien entendu, Lori Saint-Martin. Je ne voudrais pas oublier le professeur de l’Université de Montréal Alex Noël, qui s’intéresse à la littérature québécoise récente et à la mémoire queer, et qui m’a fait découvrir le travail de l’artiste multidisciplinaire canadienne, originaire de l’île Maurice, Kama La Mackerel et le professeur espagnol de l’Université du Québec à Montréal Antonio Domínguez Leiva, écrivain lui-aussi, dont j’avais perdu la trace et avec qui je partage bien des intérêts littéraires autour du corps, de la monstruosité et du « panique ». Une dernière mention spéciale pour deux danseurs : Francis Paradis, personne instruite et empathique qui est restée tout le temps à mon écoute et m’a fait découvrir des lieux remarquables ; et, enfin, le danseur tunisien Achraf El Abed, en asile politique à Montréal à cause des persécutions LGBT dans son pays, n’ayant pas pu venir à Valence pour ces raisons lors du Colloque Queer Maghreb que nous avons organisé en juin 2022. Il a dansé pour nous en privé chez moi dans le quartier du Red Light de Montréal, pas loin de l’emblématique Café Cléopâtre, le jour de mon anniversaire, en compagnie de ma collègue et amie Adela Cortijo, qui était venue pour l’occasion. Je n’oublierai jamais ce moment magique. Merci à tous et à toutes pour avoir contribué à rendre ce séjour montréalais si spécial et si riche dans tous les sens. Comme je l’annonçais, nous avons perdu Lori Saint-Martin, excellente professeure, traductrice et écrivaine canadienne, ayant choisi le français comme langue d’asile et de refuge, d’identité réinventée, et surtout personne proche et généreuse, disparue dans la Seine, subitement. Des ombres spectrales ont envahi mon cœur et mes pensées à cause de ce destin trop funeste, trop tragique, trop romanesque, tellement j’ai envie de ne pas y croire… et, pourtant, Lori n’est plus là. Juste un dernier message sur WhatsApp quelques jours avant l’hécatombe : « Aquí todo bien » (« tout va vient ici »). Elle adorait l’espagnol, sa nouvelle demeure, sa nouvelle passion. Lori, mon amie, tu as troublé mon âme et laissé un grand vide difficile à combler. Je n’ai que des mots de gratitude envers toi. Et, pourtant, la vie continue à couler, elle coule et coule… comme les larmes des mères qui perdent leurs enfants dans toutes les guerres de la planète. Cette planète Terre qui pleure de plus en plus fort pour que l’on prenne soin d’elle, pour que l’on développe une conscience écologique efficace et durable… Temps catastrophiques, oui… excessifs, oui… scandaleux, oui… Et, pourtant, temps de Saturnales et de Noël, de fêtes, de chants et de vœux, de décorer les maisons, d’allumer les bougies et d’offrir des cadeaux, de rêves de santé, de paix et d’amour… tellement on a besoin de diluer les tensions que l’on ressent ; temps d’apaiser nos esprits… de se ressourcer, de reprendre haleine… de se projeter dans un meilleur avenir… malgré… Revenons à nos moutons… Le Dossier central de ce cinquième numéro de la revue HYBRIDA, coordonné par Fabio Libasci, vise à s’interroger sur les multiples enjeux de la notion d’extrême, que ce soit du point de vue chronologique que du point de vue conceptuel. En effet, l’expression « extrême contemporain », étant en perpétuel déplacement, reste spécialement attirante mais problématique, depuis sa création attribuée à Michel Chaillou, à la toute fin des années 80 du siècle dernier. On assisterait, de nos jours, à une « deuxième génération » de l’extrême contemporain. On pourrait donc l’actualiser pour faire référence aux productions littéraires et culturelles récentes au sens large. Du point de vue thématique, l’extrême est vite associé à la notion de limite, de démesure, voire de violence. En ce sens, force est de constater une tendance et une présence des esthétiques de rupture et des formes de l’excès chez des auteur·e·s contemporain·e·s, plus ou moins jeunes, ce qui nous a menés à nous pencher sur les usages et, peut-être les abus, de cette notion poreuse et changeante. Ce Dossier est composé de quatre articles venus de Côte d’Ivoire, de Finlande et de France. Ils abordent l’œuvre des écrivain·e·s Azo Vauguy, Koffi Kwahulé et Hélène Cixous et des cinéastes tels qu’Anne Fontaine, Christopher Doyle ou Julien Abraham. Dans la section Mosaïque, nous publions quatre articles très intéressants également. Hassna Mabrouk, de l’Université Chouaïb Doukkali (Maroc), en s’appuyant sur le révisionnisme historique proposé par les études postcoloniales et subalternes, s’empare de la figure historique de l’explorateur et interprète du début du XVIe siècle Mostafa Al-Azemmouri ou Estevanico, connue essentiellement en Europe sous l’angle de la relation de voyage de Cabeza de Vaca, trop eurocentrée, pour y opposer d’autres représentations de l’explorateur comme celle du personnage Al-Azemmouri qui apparaît dans le roman de Kebir M. Ammi, Les Vertus immorales (2009) où les représentations artistiques qui perdurent dans la ville marocaine d’Azzemmour où il est né. Ahmed Aziz Houdzi, de l’Université Chouaïb Doukkali également, analyse les transformations identitaires du sujet diasporique par rapport aux événements historiques dans le contexte français marqué par les attentats terroristes qui ont eu lieu à Paris en 2015. Il fait une fine lecture de Ce vain combat que tu livres au Monde (2016) de Fouad Laroui où le personnage principal se débat entre le désir d’intégration dans la société laïque et la tentation intégriste incarnée par l’État islamique. Lourdes Rubiales Bonilla de l’Université de Cadix (Espagne) se penche sur « l’affaire Batouala ». Dans son article, elle analyse avec précision les clés de la réception et de la diffusion dans la presse du moment du Prix Goncourt de 1921 octroyé au roman Batouala. Véritable roman nègre de René Maran. Ainsi, elle s’efforce de démontrer les mécanismes de la censure pour essayer de neutraliser le discours politique de l’auteur. Enfin, Diana Requena Romero de l’Université de Valence (Espagne) revient sur la problématique liée à l’étude des personnages féminins dans l’œuvre de Boris Vian. Pour ce faire, elle prend un corpus peu étudié qui est celui des nouvelles de l’auteur afin d’y déceler les processus de métamorphose du corps et les images de l’hybridation de la femme-animal située dans des espaces intermédiaires. Dans la section Traces, plus créative, nous publions trois contributions. Nous avons l’honneur de publier un texte fragmentaire bilingue (en français et en espagnol) de l’écrivaine québécoise, originaire de l’Uruguay, Lula Carballo intitulé restos de barrios (« des restes de quartiers ») où les bribes du passé se mélangent à la rupture du discours à la recherche de nouvelles voies d’expression littéraire. Son premier roman Créatures du hasard (2018) a été spécialement apprécié par la critique. Elle a aussi publié l’album illustré Ensemble nous voyageons (2021), co-écrit avec Catherine-Anne Laranjo et illustré par l’artiste Kesso. Carballo explore avec délicatesse et subtilité la mémoire liée aux souvenirs d’enfance et d’adolescence dans un contexte social spécialement marqué par la pauvreté et la migration, ainsi que les hybridations culturelles et la quête identitaire guidée par l’émotion et par un clair positionnement féministe aux côtés des minorités. Alexandre Melay nous offre [Timescapes], un document photographique présenté par l’auteur où il met en valeur ses préoccupations environnementales et nous fait partager son regard engagé face à « l’impossibilité du paysage » et « l’implacable déconstruction structuraliste du sujet ». Ces photographies en noir en blanc, sorte de cartographie de villes grises, polluées, envahies par les déchets et les éléments inhospitaliers, à l’ère du « Capitalocène », constituent un bel exemple de l’« extrême urbain contemporain ». Enfin, Natalia L. Ferreri de l’Université Nationale de Cordoba et Francisco Aiello de l’Université Nationale de Mar del Plata (toutes deux en Argentine) ont eu la générosité de choisir notre revue pour publier un long entretien en espagnol avec l’écrivaine française (née en Argentine en 1968) Laura Alcoba intitulé « ¿Para qué sirven las historias ? » (« À quoi servent les histoires ? »). Après l’évocation de son sixième et dernier roman intitulé Par la forêt (2022) où la narratrice évoque des expériences traumatiques telles que l’infanticide, le suicide et l’exil, Ferreri et Aiello passent en revue, d’une manière savante et subtile en même temps, les questions essentielles qui traversent l’écriture d’Alcoba où le geste de la traduction, la langue maternelle et la matière des histoires occupent une place prépondérante. Nous inaugurons la section Éventail, où nous voudrions, par le biais des recensions ou des comptes rendus, aérer et diffuser des publications de recherche ou de création proches des intérêts et des perspectives qui animent notre revue. En ce sens, nous publions l’intéressante et complète recension de Martine Renouprez de l’Université de Cadix (Espagne) sur le livre de Laurence Hansen-Love (2022), Planète en ébullition. Écologie, féminisme et responsabilité. Notre revue commence à décoller, à être indexée, répertoriée, présente un peu partout dans le monde grâce au grand intérêt démontré particulièrement par les chercheur·e·s africain·e·s. Un grand merci à vous. Bonne lecture et rendez-vous en juin 2023 pour questionner les « frontières » dans un Dossier intitulé LIMES. Sol invictus.
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Dissertations / Theses on the topic "Roman noir (Genre littéraire) canadien"

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Pezard, Emilie. "Le romantisme « frénétique » : histoire d’une appellation générique et d’un genre dans la critique de 1821 à 2010." Thesis, Paris 4, 2012. http://www.theses.fr/2012PA040069.

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Abstract:
L’appellation « genre frénétique », créée par Charles Nodier en 1821, fait aujourd’hui partie intégrante du vocabulaire des études sur le romantisme. Le genre qu’elle désigne donne cependant lieu à des définitions divergentes, tant au niveau des auteurs qui l’exemplifient qu’au niveau des caractéristiques qui le décrivent. Cette thèse retrace l’histoire du genre frénétique tel qu’il a été défini par la critique, de 1821 à 2010, à partir d’une étude des emplois de l’appellation générique dans un corpus de près de 630 textes critiques. Dans les années 1820 et 1830, la notion du frénétique revêt une visée polémique dans le cadre du débat sur le romantisme. Alors que Nodier inventait le genre frénétique pour le distinguer du romantisme, de nombreux critiques assimilent au contraire, totalement ou partiellement, les deux notions, l’appellation permettant de décrire le romantisme dans ses dimensions violente et excessive. Après plusieurs décennies où le genre disparaît des lectures du romantisme, le genre « frénétique » est à nouveau convoqué au début du XXe siècle et connaît un succès croissant, qui a pour corollaire une complexification des définitions. Manifestation d’une révolte métaphysique ou transposition littéraire d’un èthos, le « frénétique », qu’il soit jugé favorablement ou non, permet aussi généralement de rendre compte de la vogue, à l’époque romantique, d’un genre horrifique et outrancier, héritier du roman gothique anglais. Ce dernier genre, formé par les romans de Radcliffe, Lewis et Maturin, constitue cependant un corpus hétérogène déterminant deux lignées génériques qui méritent d’être distinguées, le roman noir et le frénétique
The name of the “Frénétique” genre was created by Charles Nodier in 1821 and is now an integral part of the vocabulary of Romanticism studies. The genre it designates, however, has experienced diverging definitions, both with regards to the authors associated with this genre and the characteristics that describe it. The present thesis traces the history of the genre known as “Frénétique” as defined by critiques from 1821 to 2010, based on a study of the uses of the genre name in a corpus of close to 630 critiques. In the 1820s and 1830s, the notion of “Frénétique” was used in debates on Romanticism with a polemical purpose. While Nodier invented the “Frénétique” genre so as to distinguish it from Romanticism, numerous critics instead assimilated the two notions in part or in whole —using the “Frénétique” appellation to describe the most violent and excessive dimensions of Romanticism. After disappearing from Romanticism readings for several decades, the “Frénétique” genre emerged again in the early 20th century, when its rising success lead to an increasing complexity of its definitions. The “Frénétique” genre can be the manifestation of a metaphysical revolt, the literary transposition of an èthos, or is generally used to describe the Romantic-era craze for a horrific and excessive genre that inherited its key characteristics from the Gothic Novel. The latter, constituted by the novels of Radcliffe, Lewis and Maturin, spurred two genres that should be distinguished: the French Gothic Novel and the “Frénétique” genre
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Coz, Jean-François. "Un imaginaire au tournant des Lumières : Jacques-Antoine de Reveroni Saint-Cyr (1767-1829)." Thesis, Paris 4, 2010. http://www.theses.fr/2010PA040108.

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Abstract:
Cette thèse propose une étude de l’œuvre intégrale de Jacques-Antoine de Révéroni Saint-Cyr (1767-1829), ingénieur militaire et écrivain, au sein de la production littéraire de l’époque révolutionnaire et impériale, à la croisée de la littérature, de l’histoire des sciences et de la musique. Étude historique, thématique et herméneutique, cette lecture critique analyse un imaginaire au tournant des Lumières qui comprend des mémoires sur l’art militaire, sur les beaux-arts et sur l’équilibre européen, des textes scéniques (opéras-comiques et comédies) et des romans. Cette diversité générique témoigne d’un complexus imaginaire partagé entre cœur et raison, mécanique et sensibilité, sérénité et inquiétude, qui inscrit le corpus révéronien dans un paradigme charnière entre l’héritage rationaliste de la philosophie des Lumières et une esthétique à coloration romantique
This thesis studies the integral work of Jacques-Antoine de Révéroni Saint-Cyr (1767-1829), a military engineer and writer, at the breast of literary production of the French Revolution and Empire, encompassing literature, history of sciences and music. Historical, thematic and hermeneutical, this critical study analyses Reveroni’s imagery at the turning point of the age of enlightenment which includes essays about military art, fine arts and European equilibrium, theatrical production (comic operas and comedies) and novels. This variety of genres constructs an “imagery complexus” divided between heart and reason, mechanic and sensibility, serenity and anxiety, linked to a key paradigma between the rationalist heritage of the philosophy of enlightenment and an aesthetic coloured with romanticism
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Books on the topic "Roman noir (Genre littéraire) canadien"

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Mikaël, Demets, ed. Polar: Le grand panorama de la littérature noire. Paris: La Martinière, 2013.

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2

Gothic forms of feminine fictions. Manchester ; New York: Manchester University Press, 1999.

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3

Parlures d'Acadie. Montréal: Planète rebelle, 2007.

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4

The apparition in the glass: Charles Brockden Brown's American gothic. Athens: University of Georgia Press, 1993.

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5

Gothic traditions and narrative techniques in the fiction of Eudora Welty. Baton Rouge: Louisiana State University Press, 1994.

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6

1962-, Grégoire Claude, ed. Le fantastique même: Une anthologie québécoise. Québec: L'Instant même, 1997.

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7

The gothic tradition. Cambridge: Cambridge University Press, 2000.

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8

Dick, Tomasovic, ed. Tôt ou tard: Récits. Bruxelles: Les Éperonniers, 1999.

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9

Gender and the Gothic in the fiction of Edith Wharton. Tuscaloosa: University of Alabama Press, 1995.

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10

Noir, c'est noir. Paris: Rivages, 1995.

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