Academic literature on the topic 'Roman populaire français – Histoire et critique'

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Journal articles on the topic "Roman populaire français – Histoire et critique"

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Fitriana, Vina, Sunahrowi Sunahrowi, and Ahmad Yulianto. "Le Genre et la Sexualité dans le Roman l’Amant de Marguerite Duras: Une Étude Selon Le Féminisme de Stevi Jackson." Lingua Litteratia Journal 7, no. 1 (May 29, 2020): 6–9. http://dx.doi.org/10.15294/ll.v7i1.38817.

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Abstract:
La littérature est divisée en deux, celle imaginative et celle non-imaginative. La littérature nonimaginative se compose de l’essais, des critiques, des notes biographiques et des lettres, tandis que la littérature imaginative se compose de la poésie, de la prose et du drame. Un exemple de la littérature imaginative est le roman. Marguerite Duras est une femme écrivaine qui est née à GiaDinh (L’Indochine-Française/ Viêt nam) en 1914. Ses œuvres sont beaucoup inspirés par sa propre histoire de vie et son amour pour la littérature. Son roman intitulé L’Amant est publié par les Éditions de Minuit en 1948, a reçu le prix Goncourt en 1986. Le roman français de Marguerite Duras est un roman du style autobiographique. Ce roman raconte le voyage de l’amour de l’écrivaine est très belle, très intime et plein de mystère. Le roman d’autobiogaphique est une histoire d’amour intéressante. Ce type de roman est populaire dans cette époque. Ce roman a été également traduit en Anglais. C’est pourqoui le chercheur a choisi ce roman comme object matériel. Pour découvrir les faits de l’historique dans le roman L’Amant, le chercheur l’a examiné en utilisant la théorie du féminisme de Stevi Jackson, sur le genre et la sexualité du personnage. Cette recherce se concentre sur les faits historiques dans l’œuvre elle-même, donc cette étude utilise une approche objective, afin d’exploiter autant que possible ces éléments, et en utilisant les techniques de bibliographie pour l’acquisition de données comme source écrite. Le chercheur a utilisé la methode analytique descriptive dans cette recherche. Le chercheur décrit les faits qui sont suivi par analyse en utilisant des mots ordinaires, et non sous forme de nombres, de graphique, ou de tableaux. Le chercheur a analysé comment le rôle du genre de personnage principale, la mère,le frère et l’influence du genre sur le personnage principale ou le jeune fille, ensuite la sexsualité de jeune fille et d’homme chinois. Le résultat d’analyse montre que le jeune fille a été influencé sur la discussion du genre et de la sexualité.
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Maldavsky, Aliocha. "Financiar la cristiandad hispanoamericana. Inversiones laicas en las instituciones religiosas en los Andes (s. XVI y XVII)." Vínculos de Historia. Revista del Departamento de Historia de la Universidad de Castilla-La Mancha, no. 8 (June 20, 2019): 114. http://dx.doi.org/10.18239/vdh_2019.08.06.

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Abstract:
RESUMENEl objetivo de este artículo es reflexionar sobre los mecanismos de financiación y de control de las instituciones religiosas por los laicos en las primeras décadas de la conquista y colonización de Hispanoamérica. Investigar sobre la inversión laica en lo sagrado supone en un primer lugar aclarar la historiografía sobre laicos, religión y dinero en las sociedades de Antiguo Régimen y su trasposición en América, planteando una mirada desde el punto de vista de las motivaciones múltiples de los actores seglares. A través del ejemplo de restituciones, donaciones y legados en losAndes, se explora el papel de los laicos españoles, y también de las poblaciones indígenas, en el establecimiento de la densa red de instituciones católicas que se construye entonces. La propuesta postula el protagonismo de actores laicos en la construcción de un espacio cristiano en los Andes peruanos en el siglo XVI y principios del XVII, donde la inversión económica permite contribuir a la transición de una sociedad de guerra y conquista a una sociedad corporativa pacificada.PALABRAS CLAVE: Hispanoamérica-Andes, religión, economía, encomienda, siglos XVI y XVII.ABSTRACTThis article aims to reflect on the mechanisms of financing and control of religious institutions by the laity in the first decades of the conquest and colonization of Spanish America. Investigating lay investment in the sacred sphere means first of all to clarifying historiography on laity, religion and money within Ancien Régime societies and their transposition to America, taking into account the multiple motivations of secular actors. The example of restitutions, donations and legacies inthe Andes enables us to explore the role of the Spanish laity and indigenous populations in the establishment of the dense network of Catholic institutions that was established during this period. The proposal postulates the role of lay actors in the construction of a Christian space in the Peruvian Andes in the sixteenth and early seventeenth centuries, when economic investment contributed to the transition from a society of war and conquest to a pacified, corporate society.KEY WORDS: Hispanic America-Andes, religion, economics, encomienda, 16th and 17th centuries. BIBLIOGRAFIAAbercrombie, T., “Tributes to Bad Conscience: Charity, Restitution, and Inheritance in Cacique and Encomendero Testaments of 16th-Century Charcas”, en Kellogg, S. y Restall, M. 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Au moment où nous rédigeons ces pages, à deux décades près de l'an deux mille, Freud a déjà réhabilité le rêve, Breton l'instinct, Durand l'imaginaire, Mabille le merveilleux, Todorov le fantastique ; Otto, Bataille, Caillois, les historiens Éliade et Dumézil ont réévalué depuis longtemps le sacré et le religieux. Jean-Charles Falardeau écoute ces « maîtres » avec un talent critique dont nous voudrions rendre compte ici pour mieux nous interroger avec lui sur d'autres perspectives possibles de l'étude du phénomène religieux dans le milieu canadien-français. Rappeler ce qui, à notre point de vue, constitue l'essentiel du message de notre distingué compatriote dans ces matières pourtant ardues, vérifier dans la mesure du possible les avenues que nous ouvrent déjà plusieurs de ses intuitions sur l'imaginaire et le merveilleux, voilà une entreprise pour le moins audacieuse. Au premier abord, il est difficile d'imaginer que cet homme raffiné et distingué au possible, sociologue en plus et conduit comme tel à scruter des systèmes de valeurs fermes et à inspecter le champ bien concret des structures sociales de la paroisse, du village, de la famille, puisse un jour rêver de merveilleux et d'espaces spirituels inédits. Prêtons-nous à ce frère amical, vénéré et admiré depuis plus de quarante ans, des considérations que seule une amitié excessive pourrait justifier? Quand on s'est longtemps occupé de l'univers religieux de ses ancêtres médiévaux et de sa translatio studii en Amérique française, n'est-ce pas témérité et gratuité pure que toutes ces préoccupations retrouvées dans une problématique moderne? Pourtant, ce n'est pas l'amour obsessif du Moyen Âge qui nous rapproche de Falardeau : ce sont plutôt les effets de l'héritage religieux en milieu nord-américain. Les mêmes quêtes spirituelles et les mêmes hésitations face aux changements culturels de notre temps nous conduisent à relire J.-C. Falardeau. L'académisme universitaire, l'aventure du surréalisme, l'affaire Borduas vingt ans plus tard, l'intervention courageuse de notre ami Robert Élie, des amitiés parallèles, tout ceci, nous l'avons partagé chacun à notre façon et sans même en discuter entre nous. Nous nous étions à divers degrés consacrés au service des étudiants. Il nous est aussi arrivé d'occuper successivement la même chaire de civilisation franco-québécoise à l'Université française de Caen. Dans de telles circonstances, il est presque normal que nos imaginations se soient souvent croisées. Où et quand? Mais quelque part, ne fût-ce que dans cet univers intérieur judéo-chrétien qui a enveloppé nos enfances respectives. Autant de prétextes qui nous amènent aujourd'hui à rejoindre Falardeau sur le terrain qu'il habite et défriche avec un acharnement digne de son sens du bien savoir et du bien faire. Surtout, l'occasion nous est enfin offerte de penser « sacré », « mystère », «imaginaire», «merveilleux» en compagnie d'un pionnier de la sociologie religieuse en Amérique française. Stimulus d'autant plus efficace que nous avons eu, au moins à trois reprises, l'occasion d'entendre les propos de notre collègue, avant qu'il ne les livrât à l'impression. La première fois, en avril 1962, ce fut à l'occasion du colloque de Recherches sociographiques ; la seconde fois, le 17 octobre 1971, à l'Institut supérieur des sciences humaines de l'Université Laval, lors du deuxième colloque sur les religions populaires. En 1973, le même J.-C. Falardeau proposait aux membres de l'Académie québécoise des sciences morales et politiques, à Montréal, une communication intitulée Problématique d'une sociologie du roman et publiée en 1974 dans Imaginaire social et littérature sous le titre déjà plus signifiant : « Le roman et l'imaginaire». Nous le revoyons encore assis à la table de conférence, sérieux et digne, ferme dans ses mots, bien aligné sur son texte ; nous l'entendons dire dans une langue froidement impeccable des paroles qui nous rassurent et nous interrogent tous. Sans qu'il le sache toujours, J.-C. Falardeau aura, par ses travaux autant que par la direction de ses recherches en matières religieuses, profondément influencé le Canada français depuis plus de vingt ans. Ses nombreuses études de sociologie et sa participation à l'évaluation périodique des croyances, rituels et agirs du plus grand nombre, ce que nous appelons provisoirement la religion populaire, restent de première importance. En somme, c'est presque un acte de piété, entendu au sens médiéval, que nous accomplissons en rendant hommage à celui dont nous avons si souvent relu les textes et pillé les bibliographies. Notre propos exact est de considérer tour à tour l'imaginaire, le merveilleux et le sacré pour mieux entrevoir, si possible, et toujours en compagnie de Falardeau, l'accès aux mystères qui définissent le sacré judéo-chrétien dans lequel la majorité de nos compatriotes canadiens-français ont vécu jusqu'à la limite de la pensée magique.
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Nadler, Leticia. "Maria Chapdelaine par L. Hémon." Deakin Review of Children's Literature 6, no. 3 (January 29, 2017). http://dx.doi.org/10.20361/g2tp5w.

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Hémon, Louis. Maria Chapdelaine (adaptation de Jennifer Tremblay). Québec : Les Éditions de la Bagnole et Soulières éditeur, 2013. ImpriméÉcrivain français, Louis Hémon est aussi une figure emblématique de la littérature canadienne française grâce à son roman Maria Chapdelaine paru au début du XXème siècle et considéré aujourd’hui comme un véritable classique. En 2013, Jennifer Tremblay sort une version adaptée de ce roman afin de le rendre accessible aux plus jeunes. Et pour mieux se rendre compte de la vie du terroir canadien-français, s’ajoute au texte en caractères agrandis, de nombreuses illustrations de Francesc Rovira.L’adaptation de Jennifer Tremblay, reste très fidèle à la version originale. Il raconte l’histoire de Maria, une jeune canadienne française en âge de se marier. C’est une « belle grosse fille, et vaillante avec ça » qui plait mais qui semble « presque inaccessible » à cause de la distance qui la sépare du village. En effet, Maria vit avec sa famille au nord de Péribonka, loin de l’Église, à la lisière du bois, isolée de tout et de tous. Des prétendants, au nombre de trois vaincront la distance pour aller veiller chez les Chapdelaine, chacun d’eux lui offrant un avenir différent. Même si elle est attirée par François et peut être bien aussi par Laurenzo, c’est Eutrope qu’elle épousera.Derrière une histoire d’apparence banale, se cache toute une réflexion sur le « Pays de Québec », d’ailleurs évoquée explicitement dans l’avant dernier chapitre. Ainsi, la lecture de Maria Chapdelaine permet de revisiter le Québec rural d’autrefois et de mieux comprendre l’état d’esprit des habitants de l’époque.Cet ouvrage est un roman mythique de la littérature canadienne française et l’adaptation de Jennifer Tremblay fait de lui une œuvre idéale à étudier avec des élèves du secondaire, qu’ils soient francophones ou francophiles. Il pourra aussi aisément illustrer des thèmes abordés en études sociales ou être étudié en parallèle avec l’une des trois adaptations cinématographiques. Dans tous les cas, que ce soit en salle de classe ou pas, c’est un livre à lire absolument.Note : 4 étoilesAuteur de la critique : Leticia NadlerLeticia a étudié au campus Saint-Jean où elle a obtenu un baccalauréat en éducation. Elle enseigne à présent le français à des jeunes du secondaire.
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Gomez, Leticia. "Les deux amoureux par G. Tibo." Deakin Review of Children's Literature 4, no. 1 (July 22, 2014). http://dx.doi.org/10.20361/g2003s.

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Tibo, Gilles. Les deux amoureux. Soulières Éditeur. Collection : ma petite vache à mal aux pattes. Saint-Lambert (Québec), 2014. Imprimé.Les deux amoureux est le dernier roman jeunesse de Gilles Tibo qui s’est inspiré de sa propre enfance pour écrire ce petit ouvrage de quarante-six pages aux illustrations très réalistes. Gilles Tibo est un auteur productif qui a déjà quatorze romans à son actif. C’est un écrivain à succès dont sept de ses livres ont été traduits en coréen et dont trois sont maintenant épuisés, signe incontesté de son talent.Claire et Gilou sont deux jeunes écoliers qui tombent amoureux l’un de l’autre à la récréation. L’amour va les rendre plus fort, notamment envers les adultes qui ne semblent pas comprendre l’intensité des sentiments partagés par ces deux élèves. Peu importe ce que les grandes personnes en pensent, Claire et Gilou ont décidé de ne pas se lâcher la main et de tout faire ensemble; ce qui ne va pas être sans conséquence.Leur histoire d’amour commence dans la cours de récréation alors que tout le monde jouait. Soudain, comme par miracle, les yeux de Claire rencontrèrent ceux de Gilou et le coup de foudre fût instantané. L’amour les tétanise et les empêche même de retourner en classe lorsque la cloche sonne. Ils sont donc envoyés chez monsieur le directeur qui tente de leur faire entendre raison. Mais c’est peine perdu, les deux amoureux n’ont que faire du discours des adultes. À bout de patience, le directeur fait appel à l’orthopédagogue qui à son tour fait appel au professeur de gym. Mais aucun d’eux n’arrivent à convaincre les tourtereaux de se lâcher la main, ni même leurs parents qui finissent par perdre patience.L’histoire d’amour entre ces deux jeunes enfants parait peu réaliste du fait de l’intensité du coup de foudre. Il semblerait que la romance du Claire et Gilou soit plutôt de l’ordre du symbolique mais elle n’en demeure pas moins poignante. En effet, Claire et Gilou peuvent se comprendre sans même se parler, indice d’une maturité émotionnelle hors du commun voire même surnaturelle. L’histoire d’amour racontée dans ce roman jeunesse, fait sans aucun doute réfléchir sur la force et le pouvoir du sentiment amoureux chez les enfants. Il nous montre que l’amour est un sentiment universel qui n’est pas uniquement réservé aux adultes, bien au contraire. L’histoire est racontée pour la plus part par un narrateur externe, dans un français standard, facilement compréhensible pour les enfants âgés d’au moins six ans. La présence de courts dialogues vient animer ce petit livre que je recommande à tous les parents dont les enfants, garçons et filles, seront un jour ou l’autre amoureux.Note : 3 étoilesAuteur de la critique : Leticia GomezLeticia étudie au Campus Saint-Jean depuis deux ans où elle effectue un baccalauréat en éducation secondaire avec une majeure en littérature. Elle écrit également des critiques littéraires pour le Franco, un journal francophone local.
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Sliwinski, Alicia. "Globalisation." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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Debaene, Vincent. "Anthropologie et littérature." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.090.

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Evoquer les rapports entre anthropologie et littérature, c'est un peu ouvrir la boîte de Pandore, en raison de la plasticité des deux termes en présence, particulièrement du second, en raison également de la charge affective dont ils sont investis. Le simple rapprochement des deux notions est invariablement porteur d'une réflexion sur la nature même de l'anthropologie et a souvent valeur polémique, ce qui explique en retour les réactions virulentes qu'il peut susciter. Qu'on prétende montrer la porosité de l'ethnologie et de la littérature ou qu'on veuille au contraire prémunir l'anthropologie de toute corruption littéraire, il s'agit toujours pour l'ethnologue de s'interroger sur sa propre pratique et de la définir. Il faut pourtant essayer d'y voir clair, et pour cela partir des études qui traitent effectivement de cette question en essayant d'abord d'y mettre de l'ordre. On peut distinguer trois cas ou trois façons d'articuler littérature et anthropologie: les études anthropologiques qui prennent la littérature orale ou écrite pour objet; les réflexions épistémologiques ou historiques qui envisagent la littérature et l'anthropologie comme des discours et s'interrogent sur les rapports que ces discours peuvent entretenir; les travaux, menés ou non par des anthropologues, qui cherchent un savoir anthropologique dans des œuvres considérées comme littéraires. La première de ces trois formes de mise en rapport n'est pas en tant que telle problématique; elle consiste à examiner dans une perspective anthropologique la littérature en tant qu'activité symbolique et culturelle valorisée par une société donnée. C'est à ce titre que la littérature orale est objet d'ethnologie depuis longtemps. On pourra seulement noter que les travaux qui, selon les mêmes principes, prendraient pour objet la littérature écrite des sociétés modernes sont plus rares. A cela il y a deux raisons évidentes: la production comme la consommation de littérature écrite sont très majoritairement solitaires et privées et se prêtent mal à une observation ethnographique classique. Cela n'a pas empêché certains anthropologues de refuser cette exclusion, par exemple en rétablissant la continuité entre tradition orale et poésie moderne (Casajus 2012) ou en proposant une ethnographie de la création littéraire, qui s'attache à la matérialité des pratiques des écrivains, aux formes de subjectivation par l'écriture ou à la sacralité propre à l'œuvre littéraire dans les sociétés modernes (Fabre 1999, 2014). La troisième ensemble de travaux décèle dans des corpus reconnus comme littéraires une ressource anthropologique. Là encore, il faut distinguer entre, d'une part, les études qui identifient dans les textes les jeux et les conflits entre formes culturelles hétérogènes (orale vs écrite, sacrée vs profane...) (c'est l'objet d'un courant des études littéraires, l'ethnocritique (Privat et Scarpa 2010)) et, d'autre part, les tentatives qui lisent les œuvres de la littérature comme porteuses d'un savoir anthropologique, voire de « leçons » à destination des ethnologues (Bensa et Pouillon 2012). Dans ces deux cas, la littérature est d'abord envisagée comme un corpus, dont la constitution n'est pas questionnée (en cela, ces analyses se distinguent de la sociologie de la littérature) et dont on montre la richesse et la densité telle qu'elles sont révélées par une approche ethnologiquement informée. Dans cette perspective, on a pu en particulier souligner les vertus d'une création fictionnelle qui permet, par variation imaginaire, de mettre en pleine lumière certaines déterminations anthropologiques (Jamin 2011, 2018). Mais la façon la plus fréquente d'articuler anthropologie et littérature, celle qui a donné lieu aux travaux les plus nombreux, consiste à considérer l'une et l'autre comme des discours, analogues ou rivaux, mais comparables dans leur rapport au lecteur et dans leur visée. Le gros de ces études s'est développé à partir des années 1980 et du tournant postmoderne de l'anthropologie. Il s'agissait alors d'attirer l'attention sur tout ce que l'anthropologie et la littérature ont en commun, dans un but plus général de dénonciation de l'objectivisme de la discipline. Contre l'idée que l'ethnographe est un observateur neutre d'une réalité sociale qu'il décrit et analyse, on a commencé par rappeler que son activité première n'est ni l'observation, ni la participation, ni l'interprétation, mais l'écriture (Geertz 1973). Dès lors, on a pu montrer que l'anthropologie relevait d'une poétique au même titre que la littérature des temps anciens (du temps où la poétique était prescriptive, la fabrication des œuvres reposant sur un certain nombre de règles à suivre) ou que la littérature des temps modernes (lorsque la poétique est devenu singulière et implicite, mais pouvait être reconstruite a posteriori par le critique à l'analyse des œuvres). Alors que l'anthropologie sociale s'était établie au 19e siècle par l'ambition de constituer en science le discours sur l'homme en société, tous les éléments considérés habituellement comme des marqueurs de scientificité se sont retrouvés mis en question par ces interrogations poétiques. Le dogme fondateur du refus de la fiction s'est trouvé d'abord fragilisé lorsque Clifford Geertz, réactivant l'étymologie du terme (du latin fingere, fabriquer, construire), a insisté sur la part d'imagination inhérente à l'écriture ethnographique, comparant la reconstruction des interactions sociales dans un univers donné au travail d'imagination de Gustave Flaubert dans Madame Bovary (Geertz 1973, 15-16). Puis ce dogme a été franchement remis en cause lorsque James Clifford, insistant davantage sur l'invention qu'exige un tel travail, a proposé d'envisager les travaux ethnographiques comme des constructions textuelles – true fictions et partial truths – à la fois, donc, partielles et partiales (Clifford 1986). Dans son sillage, on s'est plu à montrer que les anthropologues, comme les écrivains, avaient des « styles » (Geertz 1988) et, plus généralement, rétablir des continuités entre discours littéraire et discours anthropologique, retrouvant chez les anthropologues classiques des tropes, des modes de narration, des conceptions de soi et de l'autre, hérités de la poésie romantique, de la tradition du récit de voyage ou de celle du roman d'aventures. Ainsi a-t-on mis en évidence, par exemple, toute l'influence que l'œuvre de Joseph Conrad avait pu exercer sur celle de Bronislaw Malinowski (Clifford 1988b) ou l'articulation profonde entre projet anthropologique et ambition poétique chez Edward Sapir et Ruth Benedict (Handler 1986). Dès lors, la rupture entre anthropologie et littérature – moins affirmée par les fondateurs de la discipline que simplement postulée, puisqu'il était évident qu'en la consacrant comme science, on sortait l'anthropologie du monde des œuvres et de la belle parole – a pu apparaître non comme une coupure mais comme une dénégation. En niant qu'elle relevait d'une poétique, l'anthropologie niait surtout qu'elle relevait d'une politique (comme le souligne le sous-titre du célèbre recueil Writing Culture (Clifford et Marcus 1986)). Le questionnement poétique – qui interroge la fabrication des textes ethnographiques – s'est ainsi doublé d'un questionnement rhétorique, qui s'attache à la circulation de ces textes, aux déterminations pesant sur leur conception comme sur leur réception. On a souligné, dans les textes classiques de la discipline, le silence entourant les conditions d'obtention de l'information ou les rapports avec l'administration coloniale, l'éclipse des informateurs et des sources, le privilège accordé de facto au point de vue masculin, les déformations introduites par les exigences de l'univers académique de réception, etc. En écho avec d'autres réflexions épistémologiques soucieuses d'élucider les rapports entre projet anthropologique et projet colonial, la question de l'autorité ethnographique est devenue centrale, le discours et le texte anthropologiques apparaissant comme un des lieux majeurs où s'articulent savoir et pouvoir (Clifford 1988a). Dans cette perspective, la littérature « indigène » a pu être parfois promue non plus seulement comme une source mais bien comme la seule ethnographie véritable puisqu'elle échappe (censément) à toute appropriation autoritaire de la parole par une instance extérieure. Ces réflexions ont eu pour conséquence une certaine libération de l'écriture ethnographique, une plus grande réflexivité touchant les procédures de composition des textes, voire la promotion de modes de restitution et d'exposé inventifs et polyphoniques, prenant parfois pour modèle des formes anciennes de textualité ethnographique, antérieures à la stabilisation disciplinaire. Elles ont aussi suscité des critiques pour leur complaisance et parce qu'elles déplaçaient excessivement l'attention vers les pratiques des ethnographes au détriment de leurs objets, conduisant à une sorte de narcissisme de l'écriture (Bourdieu 1992). Dans tous les cas pourtant, malgré la prétention à reconnaître la part « littéraire » de l'ethnologie, il était en fait moins question de littérature que d'écriture de l'ethnographie. C'est en partie une conséquence du cadre anglo-américain dans lequel ces réflexions ont émergé. D'abord parce que, en anglais, les termes literature et literary ont un sens plus technique et instrumental qu'en français où le terme littérature désigne d'abord, dans l’usage courant tout au moins, sinon un canon, en tout cas une logique de consécration : seules les œuvres appartiennent de plein droit à la littérature. Que l'anthropologie exige un travail de l’écriture est une chose, que ce dispositif formel fasse une œuvre en est une autre (Debaene 2005). Ensuite, parce que ce prétendu « réveil littéraire de l'anthropologie » s'inscrit bon gré mal gré dans une conception herméneutique de la discipline et repose sur la conviction que « la philologie est, somme toute, l'ancêtre du 19e siècle commun à l'anthropologie et aux études littéraires » (Daniel et Peck 1996: 8, 11). Or si une telle construction généalogique est pertinente aux Etats-Unis, elle ne l'est pas partout, et les relations des ethnologues à la littérature (envisagée soit comme un corpus, soit comme une technique d'écriture) et aux études littéraires (envisagée soit comme un type d'approche, soit comme une discipline) varient beaucoup selon les lieux et les histoires disciplinaires nationales (Debaene 2010). S'il est vrai que l'anthropologie comme la littérature sont avant tout des réalités locales, alors il importe de comprendre que l'étude de leurs rapports ne relève pas premièrement d'un questionnement épistémologique mais d'abord d'une histoire de la culture.
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Dissertations / Theses on the topic "Roman populaire français – Histoire et critique"

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Neboit-Mombet, Janine. "L'image de la Russie dans le roman français (1859-1900)." Clermont-Ferrand 2, 2002. http://www.theses.fr/2002CLF20011.

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De 1859 à 1900, l'importance de la Russie dans la littérature romanesque française va croissant. Après la fin de la guerre de Crimée, l'idée d'une alliance avec la Russie se précise, surtout après la guerre franco-allemande, et aboutit en 93 à la conclusion d'un accord dans une atmosphère d'enthousiasme populaire et malgré la disparité des régimes politiques. La germanophobie et l'espoir d'une revanche jouent un rôle important qui se retrouve dans la thématique romanesque. France et Russie ont des préoccupations communes : "pacification" des territoires colonisés, attentats, montée de revendications politiques ou sociales. Les sources de documentation sur la Russie sont de plus en plus riches, la coopération se développe sur les plans économique et scientifique. La Russie et les Russes se retrouvent dans tous les genres romanesques : roman d'aventures, roman historique, roman populaire, roman sentimental et roman de moeurs. Des chapitres entiers sont consacrés à Jules Verne, Alexandre Dumas, Georges Sand, aux feuilletons du "Journal des Voyages", à la Comtesse de Ségur, aux romans mettant en scène des nihilistes. L'espace russe, par son immensité, sa variété et son peuplement, se prête à une utilisation littéraire à la fois comme décor et comme actant. En ce qui concerne le personnage, les stéréotypes dépendent de son rôle dans l'intrigue, de sa valeur métaphorique, voire mythique, du genre littéraire, plutôt que de sa "russité" ; "l'âme slave" est réduite à un cliché dont le contenu n'est jamais défini. L'image de la Russie qui se dégage de ces romans est une image ambivalente. La Russie est arriériée par rapport à l'Europe occidentale, mais fer de lance de la civilisation face à l'Asie. Elle suscite un attrait mêlé de crainte, et reflète les conflits idéologiques de la société française autour de l'évolution vers la laïcité, de la perte des valeurs chrétiennes, de l'émancipation féminine, du cosmopolitisme, du développement des mouvements sociaux
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Lavergne, Elsa de. "La naissance du roman policier français (1865-1915)." Paris 4, 2007. http://ezproxy.normandie-univ.fr/login?url=http://www.classiques-garnier.com/numerique-bases/garnier?filename=EleMS01.

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Abstract:
Cette étude retrace la naissance du roman policier français depuis la fin du Second Empire jusqu’à la Première Guerre mondiale. Elle trouve son origine dans les romans judiciaires d’Émile Gaboriau (1836-1873), le « père du roman policier français », et de ses imitateurs, des romanciers méconnus du Second Empire et de la Troisième République et prend fin avec le début des grands cycles d’aventures policières de la Belle Époque, ceux d’Arsène Lupin par Maurice Leblanc et de Rouletabille par Gaston Leroux. Dans un premier temps, l’étude met en relief les facteurs historiques, littéraires et sociaux qui ont favorisé l’émergence de ce genre : le développement de la presse populaire et du roman-feuilleton, l’intérêt croissant du public pour les matières criminelles et l’évolution des techniques policières. Elle montre la mise en place progressive d’une nouvelle forme de roman, centrée sur les agissements du personnage de l’enquêteur et sur son travail de reconstitution du scénario d’un crime. Dans un second temps, cette étude envisage le roman policier dans ses rapports au monde contemporain et souligne la richesse de son contenu. Le roman policier du XIXe siècle, à vocation réaliste, tend à se présenter comme un document sur le fonctionnement des institutions et des codes qui régissent la société. Il témoigne par ses thèmes des inquiétudes et de l’étonnement de ses contemporains qui vivent les mutations profondes de la civilisation industrielle et urbaine comme une agression et qui s’interrogent sur ses conséquences. Il reflète les peurs d’une société qui fait face à des dangers nouveaux, mais aussi ses espoirs, fondés sur les progrès scientifiques et techniques
This study relates the rise of the French detective novel from late Second Empire to the First World War. It springs up in the judicial novels of Emile Gaboriau (1836-1873), the “father of French detective novel” and of his imitators, unrecognized novelists of the Second Empire and the Third Republic. It ends up with the first great cycles of detective adventures in the Belle Epoque, Arsene Lupin’s ones, written by Maurice Leblanc, and Rouletabille’s by Gaston Leroux. First, the research singles out the historical, literary and social factors which favoured the emergence of this genre: the popular press and serial novel development, the public’s rising interest for criminal topics and the evolution of police methods. It shows how appeared and progressively came into practice a new kind of novel, based on the actions of the character of the detective and on the process of piecing together the crime scenario. Second, the study puts the detective novel back in its connections with the contemporary world and emphasizes the wealth of its content. 19th century detective novels possess a realist vocation and tend to be similar to documents about the functioning of institutions and the rules of society. Their themes reveal the fears and the astonishment of the contemporaries who experienced the deep mutations of the industrial and urban civilization as a trauma and wondered about their consequences. Detective novels mirror the fears of a society who faces new dangers, but they either reflect its hopes, based upon the scientific and technical progress
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Alaguillaume, Matthias. "Le roman de cape et d'épée d'Alexandre Dumas père." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040072.

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Abstract:
Sous-genre populaire du roman historique, le roman de cape et d'épée de Dumas s'élabore dans l'entre-deux de l'histoire et des histoires. Dans un premier temps, après avoir trace le parcours qui mène Dumas de l'histoire au roman historique, nous définirons précisement (a la lumière des théories de Jacques Ranciere et de Charles Grivel) comment s'articulent la matière historique et la matière littéraire au sein de ce genre novateur mis en place par l'écrivain. Nous soulignerons ensuite le rôle fictionnel de l'aventure, nous aidant principalement pour cela des interprétations de Vladimir Jankelevitch. Nous pourrons alors étudier dans un deuxième temps et dans le détail certains des éléments constitutifs du genre. Les personnages mis en scène, d'abord ; les lieux représentés, ensuite ; et, a travers ces deux études, les thématiques et les situations privilégiées par l'auteur. Enfin, nous tenterons de déduire de cette typologie une définition du romanesque dumasien. La dernière partie de notre étude s'attachera a examiner sérieusement un aspect de la création littéraire de Dumas souvent néglige par la critique : le lien possible entre l'écriture dumasienne et l'écriture cinématographique. En dégageant du roman de cape et d'épée dumasien, premièrement l'intention consciente d'une représentation littéraire basée essentiellement sur la capacité à faire voir, deuxièmement la mise en œuvre efficace d'une poétique du mouvement, nous pourrons finalement saisir la force créatrice qui sous-tend la production dumasienne. Force qu'on peut concevoir comme l'expression d'une forme cinématographique
As a popular kind of historic novel Alexandre Dumas' cloak and dagger novel emerged between history and stories. After describing the way which le Dumas from history to historic novel, we will show - thanks to the theories of Jacques Rancière and Charles Grivel - how historic matter and literary matter melted into a new genre invented by the writer. Afterwards, we will study the fictional aspect of adventure thanks to the works of Vladimir Jankélévitch. Secondly, we will highlight some key elements of the genre such as characters and places. In so doing we will study the themes and the situations developed by the author and we will try and give a definition of Dumas's novelistic expression. The last part will bring under close scrutiny an aspect of Dumas's creation which has often been neglected by critics, that is the relation between Dumas's writing and cinematographic writing. Analysing Dumas' cloak and dagger novel first as a literary representation essentially based on the ability to show pictures and secondly as the expression of a poetics of movement will enable us to have a better grasp of the creative part underpinning dumasian production. Such a power can be construed as an early cinematographic form or, at least, as an esthetical form half way between literature and cinema
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Hikoe, Tomohiro. "Roman et récits légendaires et populaire chez L. -F. Céline." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040048.

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Abstract:
En 1936, Walter Benjamin diagnostiqua dans un article le déclin du récit oral dans la société moderne, dont le roman est l'une des expressions privilégiées. La même année, Céline montra de son côté le même phénomène dans son deuxième roman: dans le prologue de Mort à crédit, suivant le conseil de son cousin qu lui dit de changer de genre, Ferdinand essaie de raconter la " Légende du Roi Krogold ", mais en vain. Ce parallélisme nous permet de supposer que Céline était lui-même sensible au phénomène de déclin du récit oral, et que son univers romanesque n'est pas monolithique. Une telle perspective nous permet de lire le corps du roman de Mort à crédit comme récit de formation d'un romancier, c'est-à-dire comme itinéraire d'un enfant obligé de renoncer au récit oral pour arriver au prologue où il apparaît comme un romancier. Cette lecture jettera d'ailleurs une lumière sur la raison pour laquelle Céline a écrit pendant une vingtaine d'années des arguments de ballet et des scénarios: ces textes sont eux aussi ce que Céline devait refouler malgré lui pour écrire ses romans. Mais, en même temps, cette lecture de Mort à crédit nous suggérera qu'au lieu de se résigner au refoulement du récit oral, il a opéré une sorte de synthèse avec le roman; en effet, il est possible de remarquer dans le travail stylistique de Céline des traces de cette synthèse
In an article in 1936, Walter Benjamin predicted the decline of oral tale in modern society, in which novels are a favoured means of expression. That very year, Céline demonstrated the same phenomenon in his second novel: in the prologue to Mort à crédit, advised by his cousin to change his genre, Ferdinand tries in vain to tell the " Légende du Roi Krogold ". This parallel allows us to suppose that Céline was himself sensitive to the decline of oral tale phenomenon, and that his novelistic universe is not monolithic. Such a perspective enables us to read the core of the novel Mort à crédit as an account of the coming of age of an author, in other words, as the path of a child forced to relinquish oral tale to come to the prologue where he appears as a novelist. This reading will in fat cast a light on the reason why Céline wrote ballet arguments and scenarios for twenty odd years: these texts are also what Céline must have been relinquishing in spite of himself to write his novels. But at the same time, this reading of Mort à crédit will suggest that instead of relinquishing to set aside oral tale, he devised a kind of synthesis with the novel. Indeed, it is possible to note traces of the synthesis in the stylistic work of Céline
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Rouayrenc, Catherine. "Recherches sur le langage populaire et argotique dans le roman francais de 1914 a 1939." Paris 3, 1988. http://www.theses.fr/1988PA030024.

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Abstract:
Dans la premiere partie est analysee la difference entre argot et langage populaire, celui-ci recouvrant des faits de "registre", lies a la situation de communication et employes par n'importe quel locuteur et des faits de "niveau" exclus du parler d'un locuteur cultive. Le langage populaire, qui se definit dans le roman par rapport au langage litteraire dont il n'est qu'une variante rejetee par la norme prescriptive, constitue un code, decrit dans la deuxieme partie. On fait populaire au moyen de quelques faits de type morphosyntaxique et phonetique qui correspondent a des "denoteurs" oraux de niveau, mais aussi de registre, et qui constituent un systeme ou chaque denoteur doit sa valeur a sa "representativite" et a sa significativite". Leur emploi, limite en principe aux dialogues, est soumis a certaines habitudes, pour l'essentiel, d'ordre contextuel. Une troisieme partie montre comment les particularites d'ecriture, le style, peuvent tenir a la mise en oeuvre du code ou a son enrichissement, mais aussi au lexique qui echappe a toute codification, ce que prouvent trois etudes comparatives de vocabulaire. La quatrieme partie est consacree a celine dont l'originalite tient non tant au code populaire qu'a une recherche de l'oralite fondee sur la syntaxe et surtout a une recherche constante d'une ambiguite de tous ordres : lexicale, syntaxique, narrative, enonciative. Enfin, est etudiee la valeur pragmatique de ce langage populaire, qui n'est que rarement subversif
In the first part we have analysed the difference between slang and popular language, the latter including "register" events revealing communication situations and used by any speaker, and "level" events excluded from the language of an educated speaker. Popular language, which defines itself in the novel by reference to litterary language of which it is only a variant refused by norm, constitutes a code which is described in the second part. Language is made popular thanks to some devices of a morphosyntaxic and phonetic nature which denote not only "level" but also "register" and which constitute a system in which each "denoter" draws its value from its "representativity" and "significativity". These are generally to be found in dialogues in some contexts fashioned by habit. In the third part we have shown how writing characteristics, style, may come not only from how the writer uses the code or how he expands it but also from the lexicon that escapes all codification, which we have proved in three comparative word studies of several writers. The fourth part is devoted to celine whose originality comes not so much from the popular code as from a search for "orality" based on syntax and mainly a permanent search for ambiguity in all fields: lexical, syntaxic, narrative and enunciative. At last, we have studied the pragmatic value of this popular language
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Roberge, Vincent. "L'imaginaire populaire et les écrivains-conteurs du XIXe siècle, étude comparative du conte québécois et du conte breton." Thesis, National Library of Canada = Bibliothèque nationale du Canada, 1998. http://www.collectionscanada.ca/obj/s4/f2/dsk2/tape15/PQDD_0019/MQ38182.pdf.

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Ricard, Jean-Pierre. "Le rastaquouère dans la littérature française (1880-1914) : contribution à l'étude d'un stéréotype." Paris 10, 2004. http://www.theses.fr/2004PA100082.

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Abstract:
En 1880-1881, un mot nouveau s'introduit dans la langue française : rastaquouère. Ce mot, qui désigne à l'origine un étranger au luxe tapageur, connaît un succès considérable jusqu'à la Première Guerre mondiale. Le rastaquouère devient rapidement un stéréotype de la littérature fin-de-siècle, qui occupe une place majeure au théâtre, dans le roman, les nouvelles mais aussi dans la presse et la réflexion des contemporains sur l'évolution de la société française. Ce stéréotype se définit par une certain nombre de traits : nom propre, langue, profession, moeurs. Son étude permet de mettre en évidence l'importance du rejet du cosmopolitisme en France, à la fois sur le plan politique, social et esthétique. Au-delà du rastaquouère, donc, c'est d'une certaine vision de l'identité française qu'il est ici question, le rastaquouère jouant le rôle d'un bouc émissaire commode
In 1881, a new world -rastaquouère- appeared in French. At first, the world rastaquouère meant an ostentatiously wealthy foreigner. It was widely used until the First World War. The rastaquouère soon became a stereotype of fin-de siècle literature and was as popular both on the stage and in the novel and short story. References to the rastaquouère were also widespread in the press and in contemporary social and political writing. The stereotype of the rastaquouère can be defined by his name, the language he spoke, his profession and his mores. The study of the rastaquouère brings to light the widespread rejection of cosmopolitanism in France, from the political, social as well as from the aesthetic points of view. Thus, beyond the question of the rastaquouère who became a convenient scapegoat, a certain view of French identity is in question here
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Lemaitre, Régine. "Fernando Fernán-Gómez : écrivain populaire." Rennes 2, 2000. http://www.theses.fr/2000REN20009.

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Abstract:
Fernando Fernán-Gómez est une des figures les plus importantes du cinéma espagnol, si bien que cette facette a quelque peu occulté celle de l'écrivain. Cette thèse prend donc en compte une partie de ses écrits, à savoir six romans et quatre pièces. Le propos de ce travail est d'examiner leur rapport avec la paralittérature, et le roman populaire français en particulier. En effet, l'auteur rappelle sans cesse son goût pour ce genre, et le rôle qu'il a joué dans son éducation. Dès lors, en retrouver les traces et les emprunts dans son oeuvre était une démarche qui s'imposait. Afin de savoir à quel niveau cette influence était la plus probable, il convenait de déterminer le caractère populaire de l'oeuvre considérée, et ce à partir de trois critères ; son origine, sa forme et son contenu. Les productions de Fern'an-G'omez sont-elles populaires pace que l'auteur lui-même est issu du peuple ; le sont-elles de par leur réalisme et leur lisibilité? ou le sont-elles enfin parce que l'auteur évoque essentiellement -en utilisant certains ressorts du roman populaire- le peuple espagnol, ce peuple de vaincus qui a souffert les rigueurs de la guerre civile et du franquisme, cadre historique récurrent de ses écrits. C'est à ce dernier niveau que le caractère populaire de l'oeuvre apparaît le plus nettement, l'auteur ayant lui-même déclaré que sa préoccupation pour les humbles lui venait de sa lecture, enfant, des "Misérables" de V. Hugo. Pris dans son sens fort d'écrivain "du Peuple", Fernando Fern'an-G'omez méritait d'être qualifié d'écrivain "populaire", comme le fut Eugène Sue en son temps
@Fernando Fern'an-G'omez is one of the most important figure of Spanish cinema, so that it has somewhat overshadowed the writer's facet. Therefore, this thesis takes into account one part of his written works, that is to say six novels and four plays. The aim of this work is to examine their relationships with the marginal literature and with the French popular novel in particular. Indeed, the author always evokes his taste for this genre and the role it has played in his education. From then on, to find its traces and borrowings in his work was a compulsory step. In order to know on which level this influence was the most likely,it was necessary to establish the popular feature of the considered work and likely, it was necessary to establish the populare feature of the considered work and this through three criteria : its origin, its form and its contents. Are Fernando Fern'an-G'omez's writings popular because the writer himself comes from the ordinary people ? Are they so because of their realism and readability ? Or finally are they so because the author mainly evokes -by using certain tricks of the popular novel- the Spanish people, these vanquished people who have suffered from harshness of the civil war and from the francoism which are two recurrent historical aspects of his written works. It is on this last level that the popular feature of the works appears the most clearly, the author having himself declared that his worries for the humble people came from his reading when he was a child of the book " Les Misérables " by V. Hugo. Strongly considered as the writer of the ordinary people ; Fernando Fern'an-G'omez deserved to be qualified as a popular writer as Eugene Sue was in his time
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Reffait, Christophe. "Le roman de la Bourse dans la seconde moitié du XIXe siècle, généalogie et logique d'un discours romanesque." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2003PA040130.

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Abstract:
La Bourse de Paris n'est pas seulement pour la littérature du XIXe siècle une curiosité. Parce qu'elle représente l'essence de l'économie de marché et un idéal de " démocratiqation du capital ", elle est surtout le terrain d'un débat moral et politique. Les thèses cardinales de ce débat sont fixées par la presse, le pamphlet et la comédie de mœurs au milieu du siècle (1854-1858), avant d'infuser dans le discours du roman de mœurs boursières (1857-1890), rhétorique de la réaction proche de l'écriture populaire. L'intérêt de ce moment fantasmatique de la littérature boursière, inséparable de la genèse de l'antisémitisme, est qu'il désigne la Bourse comme le principe de l'atomisation de la société. L'Argent (1890-1891) de Zola oppose à cette littérature un discours progressiste comparable au gospel of wealth du roman americain, mais parachève la pensée politique de l'économique montrant que la démocratie comme le marché sont gouvernés par des abstractions
The Paris Stock Exchange was intriguing to 19th century writers. But as it stood for "the democratization of capital", it soon became a major source of controversy. After a period of heated debate (1854-1858) in which the press, comedies of manners and pamphlets played great role, the major theses then developed found their way into a novel of manners (1857-1890) that was widely opposed to the market place. The Stock Exchange was then viewed as the principal cause of the breaking p of ancient Régime society, this rhetoric being closely related to the rise of antiqemitism. While Zola's l'Argent (1890-1891) enhances a counter-notion of progress that evokes the American gospel of wealth as exemplified by Frank Norris and Theodore Dreiser, it also brings the political approach of economics to completion by showing that both democracy and the market place are ruled by abstractions
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Akiki, Karl. "La recette du roman populaire, façon Alexandre Dumas." Thesis, Paris 3, 2013. http://www.theses.fr/2013PA030041/document.

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Abstract:
Le roman populaire est souvent associé à une littérature de seconde zone, gravitant autour des Lettres nobles. C’est surtout son public qui est décrié puisqu’il s’agit d’un lectorat de consommation qui impose à l’auteur un mode d’écriture particulier. Toutefois, certains auteurs comme Alexandre Dumas ont réussi à dépasser ce mépris en étant reconnus par la nation française. Pour cet écrivain prolifique, la reconnaissance voit le jour dans les couloirs sombres du Panthéon. Ses œuvres, elles, demeurent sur le parvis! Ce travail a l’ambition de montrer que l’écriture dumasienne détient un poids littéraire des plus considérables à travers sa sollicitation par les foules. Deux œuvres retiennent notre attention vu qu’elles sont connues de tous mais pas nécessairement lues par tous : Le Comte de Monte-Cristo et Les Trois Mousquetaires. Après un constat premier sur la réception double accordée à ces romans, nous analyserons leur imaginaire (personnages, espaces et scènes de genre) d’une part et leur structure narratologique (morphologie, narrateur et narration) d’autre part. Cette lente dissection tentera de comprendre, à partir de sa deuxième et de sa troisième partie, le mécanisme de l’attrait exercé par la plume de Dumas sur la grande masse des lecteurs. L’on aboutit ainsi à des ingrédients particuliers qui sont la signature de l’auteur. Néanmoins, force nous est de constater que cette recette est partagée par d’autres écrivains. Elle permet à la littérature populaire de regagner ses galons et d’affirmer sa légitimité
The popular novel is often considered to be second-class literature, orbiting around the Fine Literature. The blame is on the consumerism of its readers that forces the authors to follow a certain style of writing. However, some authors, like Alexandre Dumas, managed to avoid this contempt by getting the acknowledging of the French nation. For this prolific writer, recognition saw the light in the dark alleys of the Pantheon, unlike his works that remain snubbed.The aim of this thesis is to prove that Dumas’ work is a heavy-weight of literature due to the high appeal it has over the masses. Two works grab our attention as they are known to all, but not necessarily read by all : The Count of Monte Cristo and The Three Musketeers. In the first place, we will observe the double reception of each of these novels, before analyzing their imaginary (characters, spaces and genre scenes) on the one hand and narration structure (morphology, narrator and narration) on the other. Through this slow dissection, in the second and third part, we will try to understand how Dumas’ pen casts his spell over the big mass of readers. It thus leads us to specific ingredients that are the signature of the author. Nevertheless, we are compelled to note that this recipe is shared by other writers. It allows popular literature to regain its stripes and its legitimacy
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Books on the topic "Roman populaire français – Histoire et critique"

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Dorais, Fernand. Le roman canadien-français de 1930 à 1958: Essai. Sudbury, Ont: Université Laurentienne, Département de Français, 1985.

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Avez-vous lu Cervantès ? Québec: Presses de l'Université Laval, 2009.

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Pichette, Marie-Hélène. Musique populaire et identité franco-ontarienne: La Nuit sur l'étang. Sudbury, Ont: Société Historique du Nouvel-Ontario, 2001.

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Neveu, Érik. L' idéologie dans le roman d'espionnage. Paris: Presses de la Fondation nationale des sciences politiques, 1985.

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Pierre, Filion, and Miron Gaston 1928-, eds. Le premier lecteur: Chroniques du roman québécois, 1968-1994. Montréal: Leméac, 1994.

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Daniel-Rops: Romancier existentialiste chrétien : études des concepts d'absence et de présence chez le héros daniel-ropsien. Luneray: Bertout, 1999.

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1957-, Vaillancourt Claude, ed. Le roman québécois. Laval, Québec: Éditions Études vivantes, 2000.

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Brooks, Peter. The novel of worldliness: Cre billon, Marivaux, Laclos, Stendhal. Ann Arbor, Mich: University MicrofilmsInternational, 1991., 1991.

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Jonassaint, Jean. Des romans de tradition haïtienne: Sur un récit tragique. Montréal: Éditions du CIDIHCA, 2001.

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Le roman depuis la révolution. 8th ed. Paris: Armand Colin, 1985.

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