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Dissertations / Theses on the topic 'Rome – Politique et gouvernement – 510-30 av. J.-C'

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Cogitore, Isabelle. "La légitimité dynastique : à l'épreuve des conspirations (44 av. J.-C. - 68 ap. J.-C.)." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1993PA040323.

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Abstract:
L'examen des conspirations permet de comprendre la naissance et le fonctionnement de la légitimité dynastique des Julio-claudiens. Une première période, de 44 av. J. -C. à 13 av. J. -C. , montre une évolution des conspirations contre le triumvir Octave à celles qui mettent en scène la clémence du prince. La dynastie est ainsi établie et acceptée, sauf par deux courants qui la nient : l'un comprend les individus qui veulent détruire le régime et tuer le prince, sans proposer d'autres solutions ; l'autre est sous-tendu par une constante référence à la république et a la liberté. Enfin, les conspirations "dynastiques" sont des tentatives pour intervenir sur le fonctionnement de la dynastie et favoriser un membre de la famille impériale ou le représentant d'une grande famille, souvent liée aux Julio-claudiens. Ainsi, la légitimité dynastique se fonde et évolue à travers les conspirations<br>A study of the conspiracies plotted against the Julio-Claudian dynasty enables us to date the origin of dynastic legitimacy and to chart its evolution. From the death of Julius Caesar until 13 b. C. , the nature of the conspiracies changes, first directed at Octavian, the triumvir, and then helping the new Augustus to both present a positive image his reign and construct the dynasty. This legitimacy is contested by two kinds of opposition, the firs6t aimed at destruction of dynasty and the emperor himself, and the second hoping for restoration of the republic. The main stream of conspiracies consists of acts by members of the imperial family itself, attempting to alter the succession for their own benefit, or else of rival families who fall victims of the jealousy of the emperor
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Hollard, Virginie. "Les rôles législatif et électoral du peuple, à Rome, sous les règnes d'Auguste et de Tibère : ruptures et continuités dans le fonctionnement des institutions du peuple sous les premiers Julio-claudiens." Aix-Marseille 1, 2006. http://www.theses.fr/2006AIX10095.

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Abstract:
La mise en place du principat induit-elle une évolution du rôle politique du peuple, plus précisément de ses rôles législatif et électoral ? Ce travail étudie le fonctionnement des assemblées du peuple sous les règnes d'Auguste et de Tibère et pose la question de l'évolution du rôle du peuple dans la période de transition entre la fin de la République et le principat. Les éléments de continuité et de rupture entre les deux périodes sont au centre de cette enquête. A partir de la lecture de cinq auteurs traitant de l'époque concernée (Les Res Gestae, Velléius, Tacite, Suétone et Dion Casius) et de quelques textes épigraphiques et juridiques, nous tentons de restituer la fréquence des sollicitations comitiales du peuple. Une fois constatée leur régularité, il s'agit de leur donner une signification politique qui ne leur est pas assez souvent reconnue. Fréquence et signification politique seront définies comme les éléments attestant la continuité entre la République et le principat.
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MOURGUES, JEAN LOUIS. "Recherches sur la diplomatique des actes (lettres, souscriptions, edits) des gouverneurs du haut-empire romain (1er-iiieme siecles) preserves dans les inscriptions et les papyrus." Paris 1, 1993. http://www.theses.fr/1993PA010533.

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Abstract:
Apres qu'aient ete rassembles dans le premier volume les lettres, souscriptions, et edits des gouverneurs du haut-empire, il est procede dans le second a l'etude de leurs differentes parties diplomatiques, qui permettent de mieux comprendre les modalites de leur genese, de leur redaction, et de leur transmission dans les provinces. La comparaison avec les documents des souverains hellenistiques, des magistrats republicains, et des empereurs romains permet de voir que c'est dans cette diplomatique des gouverneurs du haut-empire qu'il faut sans doute chercher les origines de la diplomatique du bas-empire<br>The letters, subscriptions, and edicts of the roman governors of the early empire are collected in the first volume. Their different diplomatic parts are studied in the second volume, and enable to present a number of informations on their genesis, their writing, and their transmission in the provinces. The comparison with the documents of the hellenistic sovereigns, of the republican magistrates, and the roman emperors shows that one should look for the origins of the late imperial diplomatics in these diplomatics of the governors of the early roman empire
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Des, Boscs Françoise. "Ascension des élites hispano-romaines et pouvoir politique à Rome d'Auguste à Hadrien : la montée d'un "parti" hispanique ? (27 av. J.-C.-138 ap. J.-C.)." Bordeaux 3, 1996. http://www.theses.fr/1996BOR30071.

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Abstract:
Les familles equestres et senatoriales de souche hispanique sont originaires essentiellement de la betique et de la tarraconaise, et seulement pour une part infime de la lusitanie. A l'interieur de chaque province, quelques zones de recrutement privilegiees emergent : la vallee du guadalquivir et ses abords pour la betique, le littoral et ponctuellement la vallee de l'ebre pour les senateurs de tarraconaise, tandis que les chevaliers proviennent de presque tout le territoire. Les familles equestres sont tres majoritairement d'origine locale, tandis que chez les senateurs les descendants d'italiens immigres sous la republique conservent une place de choix. Le moyen essentiel de promotion de ces familles jusqu'a l'ordre equestre a ete sur plusieurs generations, l'exercice de magistratures municipales dans leur cite. La puissance de ces familles, en particulier senatoriales, a repose sur la constitution de fortunes tres importantes, dont la base se situe en peninsule iberique, mais aussi sur la constitution de reseaux d'alliances familiales qui ont su garder une coloration iberique certaine, tout en s'alliant a des familles italiennes dominantes. Ces familles ont souvent fonctionne comme un instrument de patronage efficace, surtout sous les flaviens. En effet c'est entre neron et domitien que l'on enregistre la plus forte croissance des effectifs. Celle-ci s'est accompagnee de l'entree progressive d'un noyau consequent d'hispaniques, surtout chez les senateurs, dans les cercles dirigeants de l'empire, et parmi les proches collaborateurs de l'empereur, phenomeme en partie responsable de l'acces de trajan a l'empire. Avec trajan, l'influence hispanique dans le gouvernement atteint son apogee, ce qui s'exprime tant par les carrieres des hispaniques que par leur place dans le conseil et leur role dans la succession. Avec hadrien, l'influence hispanique se maintient, mais presente des signes de fragilite<br>Equestrian and senatorial families of hispanic origin mainly come from baetica and taraconensis ; only a few of them come from lusitania. Within each province, we can find those families at specific spots : the guadalquivir valley and its surroundings in the baetica. The senators of tarraconensis come mainly from the coast and occasionally the ebre valley, while knights come from almost the whole territory. The equestrian families for the great majority are of local origin, while among the senators we find mainly italian descendants of the republic period immigrants. The best way for those families to be promoted to the equestrian order was, over several generations, to exercise the magistrature over their cities. The power of these families, and particularly of the senatorial ones, wazs based on building-up of large fortunes, the roots of which were in the iberic peninsula ; but also on the setting-up of familial networks which have kept their iberic specificity, even though they have opened-up onto powerfull italian families. These families have often acted as an effective mean of patronage, above all during the flavian period. Thus it is between neron and domitian that the strongest growth of strengh was recorded. It resulted in the progressive penetration of sizeable hispanic circle (and above all the senators into the ruling circles of the empire. With trajan, the spanish influence inside the goverment came to a peak. This is clear if we consider the spanish's careers as well as their role in the counsil and in the succession. With hadrian, the hispanic influence is maintained, but shows flimsiness
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Bérenger, Agnès. "Missions sénatoriales et administration de l'Empire : censiteurs et correcteurs d'Auguste à Sévère Alexandre (31 av. J.-C. - 235 ap. J.-C.)." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010501.

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Abstract:
Au cours du Haut-Empire (31 av. J. -C. -235 ap. J-C. ) apparaissent diverses missions extraordinaires confiées à des sénateurs, le plus souvent de rang prétorien ou consulaire. Cette thèse étudie l'émergence et le développement de ces missions. Un premier tome regroupe les notices prosopographiques de trente légats censiteurs et vingt-quatre correcteurs, ainsi que de douze incerti. Présentées selon l'ordre alphabétique, elles analysent l'ensemble de la carrière de chaque sénateur, mais surtout tentent de déterminer, à la lumière de leurs fonctions antérieures, les raisons qui peuvent expliquer leur choix pour ce type de mission. Le second tome analyse les fonctions et leurs détenteurs. Après une étude des circonstances qui expliquent l'institution de ces missions, leur évolution est examinée, afin de déterminer les structures spatiales et temporelles qui se sont mises en place. Un troisième chapitre s'attache à une analyse des charges de mission, à travers leur titulature et leur carrière, et tente de dégager un profil spécifique. Enfin, les modalités de leurs missions sont envisagées, à travers les pouvoirs qui leur sont dévolus, les attestations de leur action dans les provinces, et les réactions des provinciaux<br>The early empire (31 B. C. - 235 A. D) bears witness to the appearance of various extraordinary missions which were often confered on senators of praetorian or consular rank. This thesis attempts to trace the emergence and development of these missions. The first part of the thesis draws together the prosopographies of thirty censitores, twenty four correctores and twelve incerti. Presented in alphabetic order, these prosopographic studies analyse the particular career of each individual senator. They also attempt to define, in the light of the senators earlier posts, the reasons which might explain why they were selected for this particular mission. The second part of the thesis studies the missions specific powers and functions and their holders. After an investigation into the circumstances leading to the initial creation of the senatorial missions as such, their evolution is examined in order to better define their spatial and temporal structures. A third chapter is devoted to the special envoys as seen through their titles and carrers, and attempts to outline a specific profile. Finally, the missions methods are brought into focus through a study of their powers, the reports of their activities in the provinces and the reactions of the provincials
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Bothorel, Julie. "Le tirage au sort des provinces sous la République romaine et au début du Principat (227 av. J.-C. - 14 ap. J.-C.)." Electronic Thesis or Diss., Paris 10, 2019. http://www.theses.fr/2019PA100108.

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Abstract:
Dans la Rome républicaine et impériale, le hasard occupait une place importante tant dans la vie quotidienne que dans le fonctionnement des institutions. Le tirage au sort (sors ou sortitio en latin) était ainsi utilisé dans des contextes familiaux et privés (jeux de hasard ou pratiques magiques), dans les sanctuaires oraculaires, mais également dans la sphère civique afin de sélectionner des citoyens ou attribuer des tâches. Cette enquête étudie le tirage au sort utilisé pour répartir les provinces consulaires et prétoriennes entre les consuls et les préteurs en charge et, après 52 av. J.-C., sortis de charge (sortitio prouinciarum). Ce tirage au sort jouait un rôle stratégique dans la mesure où il permettait chaque année de répartir le commandement des armées et les principales tâches juridiques, judiciaires et administratives à Rome et dans l’Empire entre les magistrats curules tout en limitant les effets délétères de la compétition aristocratique. L’enquête débute à l’époque républicaine, plus précisément au IIIe siècle av. J.-C., siècle marqué par l’expansion territoriale de l’Empire et le développement des magistratures, et s’achève à la fin du règne d’Auguste, fondateur du Principat. Deux parties la structurent. La première restitue la législation qui encadrait alors le tirage au sort des provinces et étudie son évolution entre l’époque républicaine et impériale. La seconde analyse la manière dont était effectué, dans la pratique, le rituel du tirage au sort et les significations que lui donnaient les Romains<br>In Republican and Imperial Rome, chance played an important role, both in the private and the public sphere. While drawing of lots — called sors or sortitio in Latin — was commonly called upon for everyday purposes (in games of chance or magic rituals, for instance), and played an important role in oracular prophesies, the procedure was also used in an official context to assign public offices. We examine here a specific kind of sortition : the random drawing of provinces among consuls and praetors and, after 52 BCE, among former consuls and praetors. This sortition played a strategic role. It allowed indeed the Senate to assign military commands, juridical and judicial missions as well as administrative tasks in Rome and in the Empire among the high-ranking magistrates, while reducing the harmful effects of aristocratic competition. This research aims to restore the legal framework for the drawing by lot of provinces and to show how it evolved from the end of the 3rd century BCE until the reign of Augustus during the 1st century CE. It will then describe how the sortition worked out in practice and the meanings that Roman people attached to this ritual
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Hoët-Van, Cauwenberghe Christine. "Rome et la société provinciale du Péloponnèse sous le Haut-Empire (31 avant J. -C. - 235 après J. -C. )." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010502.

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Abstract:
Le Péloponnèse, acropole de la Grèce selon Strabon, faisait partie de la province romaine d'Achaïe, dont la gestion fut attribuée en 27 av. J. -C. Au sénat romain. La conquête de la Grèce remontait à 146 av. J. -C. , date à laquelle Corinthe fut détruite par les romains. L'intégration à l'imperium romanum fut parachevée sous l'empire, mais le Péloponnèse conserva bien des spécificités, dont un attachement au principe de liberté des grecs. Cette liberté fut accordée par l'empereur Néron à l'ensemble de la Grèce, mais rapidement annulée par son successeur. Ensuite, Hadrien tenta de rassembler tous les grecs dans le cadre du Panhellénion. Trois colonies modifièrent le paysage de la péninsule. L'une d'entre elles, Corinthe, fut la capitale de la province. Des notables grecs de la province y firent carrière et s'engagèrent ensuite au service de l'empire. Les élites grecques furent maintenues par Rome et Sparte eut une place privilégiée dans les rapports avec le pouvoir central. Les cités libres demeurèrent assez nombreuses dans le Péloponnèse et la vie civique fut particulièrement dynamique durant le haut-empire. Les liens personnels avec l'empereur furent fondamentaux. Le patronage des Claudii fut déterminant pour l'accès à la citoyenneté romaine des notables locaux, qui y accédèrent massivement sous les julio-claudiens. Le mouvement d'octroi fut ensuite ralenti jusqu'à la concession générale sous Caracalla. Le culte impérial, marque par les pratiques hellénistiques et manifestation de la loyauté des provinciaux, fut dynamique au plan municipal. Le culte impérial fédéral fut préféré à un culte provincial, difficile à créer et à maintenir. Les romains n'influencèrent pas les péloponnésiens en matière de religion si ce n'est en intervenant pour la restauration des cultes traditionnels grecs. L'action d'Auguste, puis celle d'Hadrien furent fondamentales. Cette dernière accompagna et amplifia le mouvement de la seconde sophistique<br>Peloponnesus, the acropolis of Greece according to strabo, was part of the roman province Achaia, the management of which was allocated in 27 bc to the roman senate. The conquest of greek went back to 146 bc, when Corinth was destroyed by romans. The integration into imperium romanum was completed under the empire, but Peloponnesus retained many specificities, included its attachment to the Greek principle of liberty. This one was granted the entire greece by nero, but swiftly revoked by his successor. Later, hadrian tried to gather all the greeks in the framework of Panhellenion. Three colonies modified the landscape of the peninsula. One of them, corinth, was the capital city of the province and got involved later in serving the empire. The greek elites were maintained by rome and sparta was favoured in its relations with the central authority. Free cities remained quite numerous in Peloponnesus and the civic life was really lively during the early empire. Personal ties with the emperor were essential. Claudii's patronage was vital for local notables to obtain the roman citizenship, they got in great numbers under the Julio-Claudians. This procedure for granting was them slowered until the general concession under caracalla. The imperial cult, marked by hellenistic practices, was lively at the municipal level. The federal imperial cult overtook the provincial cult, uneasy to set up and maintain. Romans didn't hang over the peloponnians in other religious matters, except by intervening on the restoration of traditional greek cults. Augustus', then Hadrian's actions were essential. Hadrian backed up and extended the movement of second sophistic
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Perrin, Yves. "Art et société à Rome à l'époque de Néron." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040097.

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Abstract:
L'époque néronienne s'inscrit dans un triple processus artistique, social et institutionnel qui voit l'affirmation d'un régime de type monarchique. Architecturalement, les domus de Néron constituent le sceau des domus aristocratiques républicaines, mais la domus aurea est déjà un palais. Son art s'enracine dans la tradition nationale qui a assimilé le legs hellénistique et cultive le legs des julio-claudiens. Le quartier occidental des vestiges de l’Esquilin est antérieur à 64. La domus n'est pas une résidence solaire. Socialement, l'époque est marquée par la stabilité des cadres juridiques augustéens, mais aussi par un profond renouvellement des ordres supérieurs. L'art de l'époque claudio-néronienne révèle d'un côté l'évolution impériale de la société et du régime au premier siècle, de l'autre la nature du néronisme et l'état des mentalités<br>The claudio-nerian period is in keeping with a triple process, artistic, social and institutional, in which a monarchistic type regime is asserted. Architecturally, Nero's domus form the seal of republican aristocratic domus, but the domus aurea is already a palace. Its art is rooted in the national tradition which assimilated the Hellenistic legacy and the Julio-Claudian one. The western quarter of the remains of the Esquiline is prior to 64; the domus is not a solar residence. Socially, the period is marked by the stability of the augustean juridical structures and also by a profound renewal of the superior orders. The art of the claudio-neronian period reveals on the one hand the imperial evolution of society and of the regime in the lst cent. , and, on the other hand the nature of the neronism and mentalities
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Landrea, Cyrielle. "Les Valerii Messallae : histoire, mémoire et pouvoir d'une famille noble (Ier s. av. J.-C. - Ier s. ap. J.-C.)." Thesis, Paris 1, 2013. http://www.theses.fr/2013PA010639.

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Abstract:
Les Valerii Messallae appartiennent à une des plus anciennes et prestigieuses familles de Rome, la gens Valeria. L'étude porte sur l'époque tardo-républicaine, jusqu'à la fin de la dynastie julio-Claudienne. C'est une époque essentielle, durant laquelle s'effondre le régime républicain, puis se constitue le Principat. Les Valerii ont contribué à l'émergence d'un régime politique nouveau, auquel ils ont partiellement apporté leur adhésion. La thèse envisage les définitions et les formes nouvelles que prennent les indices de l'appartenance à la nobilitas : carrière politique, culte des ancêtres, évergétisme, fabrique de l'histoire familiale, héritage politique, marqueurs de la richesse et de la supériorité sociale, patronat judiciaire, port des cognomina héroïques et ethniques, privilèges juridiques .... Il s'agit d'identifier les permanences et les ruptures dans la définition d'une triple identité (patricienne, nobiliaire et gentilice) des Messallae et comprendre comment ils ont justifié leur supériorité en remodelant leur passé et en réinventant l'histoire de leurs ancêtres<br>The Valerii Messallae belong to one of the oldest and most prestigious families of Rome, the gens Valeria. The study focuses on the late-Republican era to the Julio-Claudian dynasty. This is a critical time in which the republican regime collapses and where the Principate is being formed. The thesis focuses on the definitions and new forms that take the indices belonging to the nobilitas : political career, ancestor worship, family history, political legacy, markers of wealth and social superiority, cognomina, legal privileges ... It aims to identify the permanence and ruptures in the definition of a triple identity (patrician, noble and family) of Messallae and how they justified their superiority by reshaping their past and by reinventing the history of their ancestors
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Pagé, Marie-Michelle. "Alimenta Italiae : politique globale impériale et vie minicipale italienne sous les règnes des empereurs Nerva (96-98) et Trajan (98-117)." Master's thesis, Université Laval, 2005. http://hdl.handle.net/20.500.11794/18088.

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Gohary, Laurent. "INTERREGNUM LE PARTAGE DU CORPS SOUVERAIN ET LA NAISSANCE DE LA LIBERA RES PUBLICA." Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/27851/27851.pdf.

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Abstract:
Les institutions de la République romaine (509-27 av. J. C.) prévoyaient théoriquement que les magistratures électives et annuelles ne devaient jamais être vacantes. Ce principe juridique fondamental avait pour conséquence une continuité dans la détention du pouvoir exécutif qui reposait sur le ius, les auspicia et l’imperium. Cependant, il arriva à maintes reprises que les magistratures supérieures – consulat, tribunat militaire à pouvoir consulaire – fussent suspendues en raison soit d’entrave à la tenue des comices électoraux soit de scrupules religieux entraînant l’expiation rituelle et la renouatio auspiciorum. La légitimité et la légalité de la solution à la vacance du pouvoir exécutif reposait alors sur les patres auctores, détenteurs de l’auspicia patrum. Le rite de l’interregnum, procédure juridique archaïque, était l’émanation la plus claire de cette auctoritas patrum, apanage exclusif des sénateurs patriciens. Les vénérables pères, descendants des plus illustres familles de Rome, étaient les seuls à même de remédier à la vacance des magistratures par ce rite qui remontait, d’après la tradition, à l’époque royale latino-sabine et renvoyait au mythe bien connu du démembrement et de l’apothéose de Romulus. Le partage du corps souverain constitue à ce titre un symbole fondamental pour la représentation de l’auctoritas patrum et de la magistrature républicaine dont il serait peut-être vain de rechercher l’historicité. L’objet de cette étude est donc d’analyser la fort ancienne institution de l’interregnum qui, comme bien d’autres, était caractérisée par un passage progressif du sacral au juridique. Le droit public prévoit dans tout système institutionnel des recours d’exception révélant la représentation psychologique du pouvoir souverain. Rome n’échappe pas à la règle voire même elle put, d’une certaine façon, l’inventer.<br>The institutions of the Roman Republic (509-27 B.C.) were made to ensure, in theory, that electives and annuals magistracies must never be vacant. This fundamental juridical rule had as consequence an absolute continuity in the detention of the executive power which was based on ius, auspicia and imperium. However, it occurred several times that the supreme magistracies – consulate, military tribunate with consular power – were suspended because either of hindrance to the holding of consular elections or religious misgiving leading to ritual expiation and renouatio auspiciorum. The legitimacy and the legality of the solution to the vacancy of the executive power then relied on the patres auctores, holders of the auspicia patrum, exclusive privilege of the patrician senators. The venerable fathers, heirs of Rome’s most illustrious families, were the only ones to be able to put an end to the vacancy of the magistracies by using the ritual called interregnum which appeared, according to the roman tradition, during the royal latine-sabine period and were connected to the famous myth of the dismemberment and the apotheosis of Romulus. The partition of the king’s embodiment constitute, as such, a fundamental symbol of the representation of auctoritas patrum and of the republican magistracy of which it should be vain to search any historicity. The purpose of this study is thus to analyse the very old institution of the interregnum which, as many, was characterised by the progressive transformation from the sacred to the juridical. In every institutional system, the public law makes provision for exception recourses revealing the psychological representation of the sovereign power. Rome is not an exception to the rule; the city could even, in a certain manner, have invented it.
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Péna, Marc. "Le stoïcisme et l'empire romain." Aix-Marseille 3, 1989. http://www.theses.fr/1989AIX32013.

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Abstract:
Le stoicisme allie un systeme complexe hautement technique et un style de vie parfaitement identifiable en dehors de toute reference philosophique. Il en resulte une sagesse ouverte non systematique sans hermetisme riche et fluide a meme de traverser les vicissitudes de l'histoire. Cela permet de mieux comprendre la plasticite etonnante du portique, capable d'etre a l'origine des temps hellenistiques, puis d'integrer et de soutenir un regime politique qui correspondait en grande partie a sa vision du monde : l'empire romain. Enfin il sut survivre a ce meme regime pour influencer les grandes constructions doctrinales du christianisme aux temps modernes, ainsi que la pensee politique contemporaine sous certains aspects. En effet en tant qu'ideologie politique, l'apport du stoicisme est surement d'avoir su penser le tout, une monarchie universelle ou tous les individus peuvent se retrouver en tant que morale politique c'est d'avoir voulu et su preserver la liberte de l'un l'individu au sein de ce tout. Presque officiellement adoptee par rome et ses empereurs, le stoicism alla beaucoup plus loin. Sa conception de l'individu autour de l'archetype du sage, sa conception d'un monde un et universel, sa construction philosophique autour de l'accord de ces deux poles que sont l'individu et l'universalite permirent le culte d'un dieu interieur s'adressant au centre de la personnalite<br>Stoicism allies a highly technical and complex system to a thoroughly identifiable style of life outside any philosophical reference. The result is an opem, non systematic wisdom, without any hermetism, which is rich and fluid and able to live through the vicissitudes of history. It permits us to have a better apprehension of the astonishing plasticity of portico, able to be at the origin of the hellenistic period, then to ? and support a political system corresponding largely to its vision of the word : the roman empire. Lastly it managed to survive this very system and to influence the great doctrine from christianity to modern times, as weel as contemporany political thinking in some respects. Indeed, as a political ideology the contribution of stoicism is certainly to have been able to concerve the whole, a universal monarchy in which all individuals can find a place. As a political moral doctrine, it is to have wanted and to have been able to safeguard the freedom of each of the individual in this whole. Almost officially adopted by rome and its emperors, stoicism went much further. Its notion of the individual resting upon the archetypal sage, its notion of a world that is one and universal, its philosophical notion of the harmony between these two poles : the individual and the universal, gave rise to the cult of an inner god renderer to the core of the individual
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Gohary, Laurent. "La politique coloniale de César en Espagne : enjeux des ressources naturelles et colonisation dans la guerre civile 49-44 avant J.C." Thesis, Université Laval, 2005. http://www.theses.ulaval.ca/2005/23000/23000.pdf.

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Abstract:
La République romaine au Ier siècle av. J.-C. fut secouée par de nombreux conflits. La seconde guerre civile, de 49 à 44 av. J.-C., opposa César à Pompée puis à ses fils. Au-delà d’un conflit entre deux ambitions politiques, des considérations économiques et sociales entraient en jeu. L’Espagne, de ces points de vue, constitue un exemple illustrant clairement ces enjeux. César, afin de contrebalancer l’importance de la clientèle pompéienne dans les provinces ibériques, planifia l’implantation de colonies. Elles ne furent pas toutes établies de son vivant. Néanmoins, certains éléments méritent une étude comparative en fonction du contexte. La présence d’importantes zones minières fut, on le pense, liée à l’âpreté des luttes dans ces provinces de Citerior et d’Ulterior. Cette étude est fondée sur les sources littéraires classiques, des textes épigraphiques, dont la loi d’Urso, et sur des études archéologiques.
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Louis, Nathalie. "Commentaire historique du Diuus Augustus de Suétone." Nice, 2000. http://www.theses.fr/2000NICE2007.

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Abstract:
Dans cet essai de commentaire historique, on s'est fixé trois objectifs pincipaux : En apportant des indications complémentaires d'ordre politique, géographique, historique qui permettent de replacer les faits et les personnages dans l'environnement institutionnel et culturel de l'époque, on vise à une meilleure compréhension du texte qui, centré tout entier sur le portrait du princeps, laisse volontiers de côté toute information qui ne le concerne pas directement. - En mettant en parallèle les informations données par Suétone et celles fournies par les auteurs de l'Antiquité et des commentaires postérieurs, on se fait une idée plus juste de la motivation et de la portée des actes d'Auguste, et l'on est sensible à une présentation qui contribue à l'élaboration d'une image originale de ce personnage.
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Lyasse, Emmanuel. "Le principat et son fondateur : mémoire d'Auguste et référence à Auguste de l'avènement de Tibère à la mort de Trajan." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040204.

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Abstract:
Le principat, régime sans fondement juridique certain, se définit essentiellement par la personnalité et l'œuvre de son fondateur. On tente donc ici, après avoir démontré qu'Auguste était considéré dès le Ier siècle comme l'inventeur d'un nouveau régime et évacué la notion de "fiction républicaine", de mesurer comment s'est construite son image au cours de ce siècle, pour étudier ensuite le rapport de chaque prince, de Tibère à Trajan, à sa mémoire. L'étude s'appuie sur la confrontation du témoignage des historiens postérieurs aux auteurs contemporains, quand il y en a, et au témoignage des monnaies et des inscriptions. Tibère, Caligula et Claude échouent à s'imposer comme des successeurs dignes d'Auguste. Néron semble chercher une voie originale, mais ne la trouve pas. Après les trois échecs rapides de l'année 68-69, Vespasien réussit en se construisant une image de nouvel Auguste. Trajan met fin à une période en étant le premier à imposer son image propre face à celle d'Auguste<br>Principate is a regime without a definite legal basis and can be defined mainly according to the personality and works of its founder. After showing that Augustus was considered as early as the first century A. D. As the inventor of a new type of regime and dismissing the notion of "republican fiction", the author of this thesis will try to appraise how the image of a principate was built during that century and then go on to study the relation between every prince and his legacy from Tiberius to Trajan. The study is based on the accounts of historians who came after contemporary writers, where these accounts exist, and the evidence provided by coins and inscriptions. This thesis aims to show that Tiberius, Caligula, Claudius and Nero failed to assert themselves as worthy successors of Augustus. Vespasian succeeded in building for himself the image of a new Augustus. Trajan succeeded where his predecessors had failed, asserting himself and coming out of Augustus' shadow
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Ciurea, Emilia. ""Imperatorem facere" : le processus de transmission du pouvoir impérial d'Auguste à l'avènement d'Hadrien." Paris, EHESS, 2002. http://www.theses.fr/2002EHES0142.

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Abstract:
Malgré l’existence d’une vaste bibliographie consacrée au problème de la transmission du pouvoir impérial, seulement un nombre réduit d’études a été consacré à l’épineux problème du choix d’un successeur, sa désignation et son investiture impériale. En considérant tous les points controversés qui restent toujours en suspens concernant le processus de transmission du pouvoir impérial, nous avons décidé d’aborder, à notre tour, ce sujet complexe pour tenter de proposer autant que possible, une nouvelle analyse de cet aspect bien particulier de l’histoire du Principat. Le point de départ de notre étude est la prise en considération de toutes les données fournies par les sources : littéraires, épigraphiques, numismatiques et iconographiques. En effet, en dépit de leur nature différente, ces sources nous permettent de recueillir des renseignements concernant le choix et la « mise en piste » par l’empereur régnant d’un successeur au pouvoir impérial. Concernant l’étude proprement dite, nous l’avons divisée en trois parties différentes. Ainsi, la première partie a été consacrée à une analyse globale des sources historiques autres que les textes écrits, qui ont été réunies et présentées dans trois catalogues thématiques en annexe de ce mémoire. Deux objectifs ont été poursuivis dans la deuxième partie : déterminer qui effectuait le choix de la personne en vue de la succession impériale et quelles étaient les étapes de la désignation du successeur présomptif. Enfin, la troisième partie a été consacrée à l’étude de la nature du pouvoir impérial, ainsi qu’au ‘cursus honorum’ réservé aux princes de la famille impériale et aux membres marquants du milieu politique. En guise de conclusion générale à notre étude, nous tenons à souligner que la démarche que nous proposons est un effort de synthèse qui essaye de prendre en considération toutes les données dont nous disposons, en les analysant de plusieurs points de vue. C’est notamment dans cette approche de synthèse que réside, nous l’espérons, l’originalité de la thèse que nous soumettons à l’attention de la communauté scientifique<br>Despite the existence of an important bibliography dedicated to Roman imperial power, only an insignificant part of it takes into consideration the moment of the transmission of imperial power from one emperor to the other. We decided to initiate a complex research on this topic, combining the analytical methods (synchronic and diachronic) in order to discover the elements of continuity, and of discontinuity in the transmission of the imperial power. In our opinion, in understanding how the process of designation of the new emperor works, we could have an accurate image of the mechanisms of imperial power, in order to understand who had the power of decision in designating a new emperor: the Senate or the emperor. We had also dedicated special attention to the relationships among the main Roman institutions – the emperor, the Senate, and the army – in order to find out the main changing comparison with the Republican regime, as long as their evolution during the first century of the Principate. After a critical survey of the historiographical literature dedicated to the study of the nature of imperial power, we divided our research topic into three main parts. Part one is dedicated to critically analyzing neglected historical sources (numismatics, glyptique, monuments, and statuary groups) and to constituting a thematic catalogue. The second part deals with the study of the first phase of the process of the transmission of imperial power, in other words, with the designation of the successor of the emperor. The third part is reserved to the ‘cursus honorum’ of the members belonging to the imperial family, before, and after their designation as the successor. Finally, we took into consideration the investiture of the new emperor, due to a ‘lex de imperio curiata’, and his discourse of legitimacy. In our conclusions, we emphasize the decisive role of the emperor in the designation of his successor, and also the political involvement of the army in protecting the interests of the imperial family against the authoritative tendencies of the Senate, who tried hard to recuperate its republican status
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Murray, Nathan. "Auctoritas : les sources du droit public dans la pensée cicéronienne." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28282.

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Abstract:
Ce mémoire propose une analyse de la pensée constitutionnelle tardorépublicaine telle qu'elle est exprimée dans les discours, traités rhétoriques et traités philosophiques de l'orateur et homme d'État romain Marcus Tullius Cicéron, entre 67 et 43 avant Jésus-Christ. Le chapitre I adopte une structure chronologique et brosse un portrait du parcours privé et public de Cicéron, en s'attardant principalement sur les éléments de son éducation et de sa carrière politique qui ont pu influencer sa réflexion. Ces éléments sont situés dans leur contexte historique et institutionnel. Les chapitres II et III sont consacrés respectivement à la réflexion cicéronienne sur le peuple et le Sénat et adoptent une approche théorique et rhétorique du droit public romain : sont étudiées les constructions et les conceptions qui sous-tendent l'analyse constitutionnelle élaborée par Cicéron, mais aussi l'instrumentalisation de celle-ci au service d'une idéologie et d'un projet politiques. Les questions de la « souveraineté » supposée du populus romanus, de la « refondation » du droit écrit par la loi naturelle, de l'idéal cicéronien de primauté institutionelle, constitutionelle et politique du Sénat, de même que celle de la valeur juridique du sénatus-consulte sont abordées. Le chapitre IV, enfin, s'attarde à la constitution « en action » : le droit public romain y est étudié dans sa pratique et son application. L'analyse d'une sélection précise de crises politiques qui sont en fait autant d'affrontements légaux – le recours au sénatus-consulte ultime, le tribunat de Clodius et l'exil de Cicéron, les troubles qui suivent l'assassinat de César dictateur – permet ainsi de mettre la théorie cicéronienne à l'épreuve du réel. La conclusion offre un retour sur une pensée paradoxale mais cohérente, qui mit au service d'une conception radicale de la suprématie sénatoriale une savante rhétorique de la tradition et une réflexion philosophique et juridique complexe.
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Mészáros, Alexis. "Construire la première république romaine : (VIe-IIIe siècles avant Jésus-Christ)." Thesis, Paris 1, 2019. http://www.theses.fr/2019PA01H081.

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Abstract:
La première république romaine (509-218 av. J.-C.) ne correspond pas à un régime politique particulier mais à une construction historiographique amorcée à partir du IIe s. av. J.- C. Les ressorts institutionnels des trois premiers siècles de la République étaient déjà incompréhensibles des Romains eux-mêmes. L’histoire de cette période servit plutôt à créer ou à faire disparaître des précédents, afin de légaliser ou non une action. Les événements lus par les historiens modernes sont le produit de strates historiographiques (des historiens grecs du IIIe s. av. J.-C. aux éditeurs des XIXe et XXe s.) et de logiques propres à chaque strate qui permettent d’élaborer un récit cohérent. L’étude comporte une analyse détaillée de ces strates. Elle propose une méthode d’analyse de la première république appliquée notamment à la construction de la dictature, magistrature emblématique de la République romaine<br>The first roman republic (509-218 B.C.) is not a specific regime but a historiographical elaboration beginning in the Second Century B.C. For the Romans themselves, the real operation of the institutions were lost for the first three centuries of the Republic. The history of this time was rather used to create or delete constitutionnal precedents in order to legalize (or not) some later behaviours. Events read by modern scholars are the product of historiographical stratums (from the Greek historians in the 3rd Century B.C. to the editors of the 19th and 20th centuries) and logics present in each stratum in order to elaborate a consistent story. The study includes a detailed analysis of these stratums and proposed a new method to analyze the first republic. This method is especially applied to the construction of dictatorship, typical magistrature of the Roman Republic
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Kennedy, Jérôme. "Une "République impériale" en mutation : pensée politique, institutions et société romaine de l'époque de Sylla (138-78 av. n. è.) à la fin du Ier siècle de n. è." Thesis, Lille 3, 2019. http://www.theses.fr/2019LIL3H021.

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Abstract:
Quiconque a déjà vu Gladiator de Ridley Scott a pu observer Joaquin Phoenix incarner un bien cruel empereur Commode, maître des armes et détenteur d’un pouvoir absolu, qui, isolé dans son palais, peut décider de la vie et de la mort de ses sujets. Mais il a également pu voir Derek Jacobi jouer le sénateur Gracchus, farouche partisan de la res publica (notion qui, dans ce contexte, prend le sens de République), système politique qui existait avant que ne soit créé le pouvoir des empereurs. Ce clivage politique entre pouvoir personnel et exercice collégial du gouvernement ne correspond en rien à la réalité historique propre à l’époque du dernier des Antonins, mais il est assurément le reflet de ce que l’imaginaire commun a pu retenir de cette période de l’Antiquité. Cette approche duale et contradictoire du pouvoir politique romain n’est pas une invention des Modernes. Elle peut renvoyer, certes de manière très schématique, à la période qui, du Ier siècle avant notre ère au Ier siècle de notre ère, voit émerger non pas un changement de régime mais un entre-deux politique, entre démocratie et monarchie, où le pouvoir impérial fondé par Auguste au tournant de notre ère fait sienne toute une culture nobiliaire du pouvoir tout en développant un contact et une réelle interaction avec le populus de Rome et, plus largement les habitants de l’imperium Romanum. C’est à cela même que renvoie la notion de « République impériale » romaine. Le recours à ce concept peut paraître surprenant puisqu’il a surtout été utilisé par des historiens de l’époque contemporaine, que l’on songe à Raymond Aron ou Olivier Le cour Grandmaison mais il permet de rendre compte des nuances propres à cette période où, pour paraphraser le philosophe Cicéron, des individus ont bénéficié « d’un pouvoir supérieur à celui de l’État tout entier » sans pour autant que les structures de celui-ci ne soient brutalement remises en cause. Complexe à définir et tout à fait spécifique, cet entre-deux ne peut être compris que dans une dynamique de mutation, ses structures militaires, économiques, politiques et, pour reprendre un terme actuel bien qu’inadapté, idéologiques évoluant à mesure que se renforce l’administration du « monde romain » - qui s’étend sur une partie de l’Europe, de l’Asie et de l’Afrique - mais aussi que les habitants de cet ensemble ne s’habituent au pouvoir personnel. En prenant appui sur les acquis récents de l’historiographie tout autant que sur les controverses qui lui sont propres (citons à titre d’exemple l’opposition de vue entre Fergus Millar et Karl-Joachim Hölkeskamp à propos de la nature démocratique et/ou aristocratique de la res publica romaine), la présente enquête entend renouveler la perception de cadres chronologiques souvent réduits à une succession République/Empire afin de percevoir au mieux les modalités d’enracinement d’un pouvoir personnel et centralisé au sein d’un « monde romain », dont la capitale continue d’être pensée comme une cité où le pouvoir s’incarne aux travers de magistratures et de l’ordre sénatorial. Ancrée dans le champ politique et institutionnel, cette réflexion ne peut faire abstraction des apports qui sont ceux de la sociologie mais aussi de la science politique, y compris dans ses aspects les plus récents, afin de saisir comment un système politique peut profondément évoluer sans pour autant changer brutalement, soit un questionnement très actuel à l’heure où le modèle démocratique tel que forgé au sortir de la Seconde Guerre mondiale tend à être remis en cause<br>Anyone who has ever seen Gladiator by Ridley Scott has watched Joaquin Phoenix embody a cruel emperor Commodus, a military and all-powerful leader, who, all by himself in his palace, can decide of life and death among his subjects. But they could also see Derek Jacobi play senator Gracchus, fierce partisan of the res publica (a notion which, in this context, means Republic), a political system which existed before the power of emperors was created. This political division between personal power and collective governing does not match the historical reality of the era of the last of the Antonine emperors, but it shows what people could remember of this era of Antiquity. This dual and contradictory vision of Roman political power is not a recent idea. It can refer - certainly in an oversimplified way - to the period when, from the first century BC to the first century AD, there appeared something different from a simple change of regime, a political in-between system - between democracy and monarchy - in which the imperial power created by Augustus at the start of our era integrates the aristocratic culture while developing a contact and a real interaction with the people of Rome and more generally speaking the inhabitants of the imperium Romanum. This is what is referred to by the notion of Roman « imperial Republic ». Referring to this concept may be surprising as it has essentially been used by the contemporary historians, whether it be Raymond Aron or Olivier Le cour Grandmaison ; yet it enables to bring out the subtler points of this period when, to paraphrase Cicero, some individuals benefited from « a power superior to that of the whole state » without strongly questioning the structures of that State. This political phase is really specific and thus hard to define ; it can only be understood in a dynamic of change, its military, economic, political and - to use a current term - ideological structures evolving as the administration of the Roman world - which is spread on Europe, Asia and Africa - gets stronger, but also as the inhabitants of this Empire get used to personal power. While relying on the recent studies of historiography as much as its controverses (one can quote the opposed opinions of Fergus Millar and Karl-Joachim Hölkeskamp concerning the democratic and/or aristocratic nature of the Roman res publica), this study aims at casting a new light on the perception of chronological frameworks often reduced to a succession of Republic/Empire in order to understand how a personal power centralised in a « Roman world », is rooted in a world whose capital is still considered as a city where power is embodied by magistracies and senatorial order. Rooted in the political and institutional fields, this work cannot leave aside the contribution of sociological and political sciences, including their most recent aspects, so as to understand the way a political system can deeply evolve without changing brutally, which is a current issue at a time when the democratic model as forged at the end of the Second World war tends to be questioned
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Querol, Lola. "Structures territoriales et formation de la communauté : aspects institutionnels et historiographiques dans la Rome républicaine." Thesis, Université Grenoble Alpes (ComUE), 2018. http://www.theses.fr/2018GREAH024/document.

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Abstract:
L’objectif de cette étude est d'analyser les structures territoriales que nous identifierons et de mettre en évidence leurs liens avec la formation de la communauté. Dans cette perspective, il s'agira dans un premier temps d'identifier les éléments phares de l’organisation territoriale de la ville et de la construction identitaire romaine, éléments indispensables pour comprendre la territorialité de la communauté romaine. Nous nous pencherons ensuite sur les implications du franchissement des limites sacrées urbaines afin de déterminer le poids des espaces et celui des limites dans la définition des pouvoirs et des normes juridico-religieuses. L'immense territoire qui constitue l'empire de Rome est d'une extraordinaire complexité juridico-sacrée. Les anciens avaient déjà conscience de cet état de fait, lié à des normes politiques et religieuses que les érudits de l'époque impériale (Ier – Vème siècle de notre ère) ne maîtrisaient sans doute plus complètement. L'analyse détaillée, à la fois de la complexité territoriale, conceptuelle et fonctionnelle, ainsi que celle des rituels qui permettent de définir les statuts, contribuera à donner son sens à un état de fait qui ne peut pas s'expliquer uniquement par un « conservatisme religieux » romain, mais repose aussi sur une fonctionnalité réelle<br>The objective of this study is to analyze the territorial structures which we shall identify and to bring out their connections with the formation of the community. In this perspective, it will be a question at first of identifying the key elements of the territorial organization of the city and the roman identity construction, essential elements to understand the territoriality of the roman community. We will then examine the implications of crossing the sacred urban boundaries to determine the weight of spaces and the limits in the definition of powers and legal-religious norms. The vastness of the Roman empire has an extraordinary juridical-sacred complexity. The ancients romans were already conscious of this established fact, connected to political and religious norms which the savant of imperial period (Ist - 5th century AD) no longer mastered completely.The detailed analysis, both the territorial complexity, conceptual and functional, as well as that of the rites which allow to define the statutes, will contribute to give its sense to an established fact which cannot give some explanation only by a « religious roman conservatism », but also by a real feature
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Vé, Karlis. "Romulus, Quirinus et Victoria : la construction d’un destin collectif à Rome entre 338 et 290 av. J.-C." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040128.

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Abstract:
La période entre 338 et 290 av. J.-C. fut un tournant pour Rome, car elle vit la soumission des Latins et la défaite des Samnites, ce qui permit à l’Urbs de devenir la première puissance italique. On assista donc à l’avènement d’un impérialisme romain. Se pose alors la question de l’idéologie d’État de cette Rome en transition. Comme cette expansion fut accompagnée par la construction, à Rome, de dix nouveaux temples, souvent dédiés à des divinités nouvelles, et que toute divinité exprimait une idéologie, il nous a semblé possible de reconstituer, dans ses grands traits, cette idéologie d’État grâce aux nouvelles divinités et leurs sanctuaires. Nous avons donc choisi d’analyser deux nouveaux temples : celui de Quirinus et celui de Victoria. Le choix de Quirinus s’explique par le fait que ce dieu avait, on l’a montré, déjà été assimilé à Romulus ; quant à Victoria, on l’a choisie pour trois raisons : elle était une déesse de la victoire ; son temple fut élevé au-Dessus du Lupercal, au cœur même de la « Rome de Romulus » ; grâce aux fouilles de P. Pensabene, on peut reconstituer son sanctuaire. Puis, on a analysé les deux temples et leurs divinités à travers les concepts (cadre social de la mémoire, mémoire collective) issus de la sociologie de M. Halbwachs. On a ainsi constaté qu’à travers ces temples, l’élite dirigeante avait diffusé auprès du peuple une nouvelle identité collective affirmant le caractère exceptionnel de Rome et contenant l’idée d’une expansion illimitée de l’Urbs. Cette création d’une identité romaine impérialiste se fondant sur Romulus et la religion en général, on peut l’interpréter comme la construction d’un destin collectif pour Rome<br>The period between 338 and 290 B.C. saw a sea change for Rome, because the subjugation of the Latins and the defeat of the Samnites allowed her to become the main italic power, and witnessed the advent of a roman imperialism. In this context arises the problem of the state ideology of this Rome in transition. As this expansion was accompanied by the construction of ten new temples in Rome, frequently consecrated to new deities, each of them expressing a specific ideology, we thought it possible to reconstruct the new state ideology through an analysis of the deities and shrines in question. So, for our study, we chose two new temples, those of Quirinus and of Victoria. Quirinus because of his assimilation to Romulus, Victoria because she was a deity of victory; her shrine was built above the Lupercal, at the heart of the “Rome of Romulus”; and because her temple can be reconstructed thanks to the excavations of P. Pensabene. Then we analyzed the two temples and their godheads through concepts (social frame of memory; collective memory) taken from the sociology of M. Halbwachs. In this way we came to the conclusion that, through these two shrines, the ruling élite had tried to communicate to the common people a new collective identity promoting the exceptionality of Rome and her unlimited powers of expansion. This construction of an imperialistic roman identity being based on Romulus and the religion in general, one can interpret it as construction of a collective destiny for Rome
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Demerliac, Oriane. "Le locus de la mer chez les poètes augustéens : miroir et creuset des mutations poétiques, politiques et morales du début du Principat." Thesis, Lyon, 2019. http://www.theses.fr/2019LYSEN066.

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Abstract:
Pour montrer la richesse des représentations poétiques de la mer, l’époque augustéenne constitue un moment clef. Avec la bataille d’Actium, la mer occupe une place nouvelle à Rome et devient un enjeu majeur, lieu de victoires et de pouvoir dans le discours d’Auguste et dans l’imaginaire romain, à un moment de refondation aussi bien politique que morale de la cité après les guerres civiles. C’est la manière dont cet objet s’est constitué en tant que catalyseur de toutes les grandes mutations de l’époque augustéenne qui retient notre attention. Nous étudions la mer comme locus, c’est-à-dire comme un objet poétique susceptible de refléter ou de modifier le lieu réel où l’activité humaine se déploie durant l’histoire grecque et romaine, mais aussi les représentations socioculturelles. Dans notre première partie, nous entreprenons une comparaison des rapports à la mer chez les Grecs et les Romains, dans leur histoire, leurs mentalités et leur littérature. Il apparaît que d’un point de vue axiologique, si la mer des poètes augustéens reçoit un traitement négatif en grande partie influencé par la poésie grecque, ce motif est enrichi d’un élément inédit : la condamnation de la navigation. Reliée aux guerres et à la luxuria, elle s’inspire chez les poètes augustéens d’une synthèse entre les influences de la philosophie grecque et de la morale traditionnelle : elle devient le lieu d’expression des passions humaines, depuis la cupidité jusqu’à la colère du Prince. Mais les poètes augustéens ont aussi été sensibles à l’héritage grec du motif épique de la mer : Virgile, dans l’Énéide, élabore à partir des modèles grecs un héroïsme nouveau, adapté à l’arrière-plan culturel romain, où prime la pietas, dans des errances où les épreuves maritimes sont systématiquement désamorcées. Ovide, dans ses Métamorphoses, relit Virgile pour déconstruire cette mer de la fabrique des héros et proposer une nouvelle représentation de la mer, miroir de la Pax Augusta. Pourtant, c’est l’élégie qui, en transférant toute ses ambiguïtés au locus marin, en fait le mieux le miroir troublant des changements politiques et des mutations morales que connaît Rome au début du Principat : la réélaboration élégiaque du motif épique de la mer est l’occasion du questionnement et de la réaffirmation des valeurs du mos maiorum, d’expérimentations génériques et surtout de la construction d’un nouvel héroïsme en mer, celui d’Auguste à Actium<br>To show the richness of the poetic representations of the sea, the Augustan epoch is considered a key period. With the battle of Actium, the sea holds a new place in Rome and becomes a major stake, place of victories and power in the speech of Augustus and in the Roman imagination, during a political and moral city rebuilding after the civil wars. It is the way this object was established as a catalyst of all the great changes of the Augustan period that holds our attention. We study the sea as locus, that is to say as a poetic object likely to reflect or modify the real place where the human activity spreads out during the Greek and Roman history, but also the socio-cultural representations. In our first part, we undertake a comparison of the relationships with the sea for Greeks and Romans, in their history, their mentalities and their literature. It appears that from an axiological point of view, if the sea of Augustan poets receives a negative treatment as in Greek poetry, this pattern is enriched by a previously unseen element: the navigation condemnation. Linked with war and luxuria, it is inspired for the Augustan poets by a synthesis between the influences of Greek philosophy and traditional morality: it becomes the place of expression of the human passions, from greed to anger of the Prince. But the Augustan poets have also carried the Greek heritage of the epic motif of the sea Virgil, in the Aeneid, develops from the Greek models a new heroism, adapted to the Roman cultural background, where the pietas takes the central part through wanderings where sea trials are systematically undone. Ovid, in his Metamorphoses, rereads Virgil to deconstruct this sea of heroes and to build a new representation of the sea, mirror of the Pax Augusta. However, the elegy, as the most ambiguous genre, introduces the most original and complex vision of the marine locus. Elegiac poets makes it the most disturbing mirror of the political changes and moral mutations that Rome experienced at the beginning of the Principate: the elegiacre-elaboration of the epic motif of the sea is an opportunity to question and reaffirm the values of the mos maiorum, generic experiments and especially the construction of a new heroism at sea, that of Augustus to Actium
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Bellissime, Marion. "Edition, traduction et commentaire de Cassius Dion, Histoire romaine, livres 52 et 53." Thesis, Bordeaux 3, 2013. http://www.theses.fr/2013BOR30048.

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Abstract:
Cette thèse, une édition traduite et commentée de deux livres de l’Histoire romaine (livres 52 et 53), s’insère dans un programme d’édition critique complète et moderne de cette œuvre. Dans ces livres, Cassius Dion, historien grec et sénateur romain sous les Sévères, s’appuie sur sa connaissance de la politique romaine pour décrire en termes institutionnels la transition entre République et Empire. Les questions institutionnelles l’intéressaient tout particulièrement et il avait accès à une documentation que négligent ou ignorent les sources parallèles : il nous livre souvent un point de vue inédit sur l’histoire de Rome. C’est particulièrement vrai dans les livres 52 et 53 : ces livres sont centrés sur le passage de la République au Principat et ils consacrent une large place à l’analyse de ce changement de régime et des mutations institutionnelles qu’il entraîne. À travers une série de discours probablement fictifs, placés dans la bouche des protagonistes de cette « révolution » (par exemple Auguste, Agrippa, Mécène), Dion met en place un vaste débat sur « le meilleur régime », qui puise à de multiples traditions : certaines sont bien connues et ont été étudiées, comme la tradition historiographique, qui commence avec Hérodote et que l’on retrouve ensuite dans les tragédies comme dans la philosophie. Mais la perspective historique et institutionnelle se double d’une perspective proprement littéraire : le travail de Dion se nourrit en effet aussi de deux traditions, celle du débat philosophique sur le meilleur régime politique et celle de la déclamation rhétorique. La présence de la tradition rhétorique a jusqu’à présent été ignorée dans les études sur Dion, voire méprisée, car elle contredit la vision moderne de l’histoire alors qu’elle correspond tout à fait aux normes antiques et à la conception des discours fictifs sur les bases de l’éloquence. À côté de notre travail d’établissement du texte et de traduction, nous proposons donc un commentaire qui s’articule autour de deux questions, plus liées qu’il n’a paru jusqu’alors : quelle est la valeur historique du témoignage de Dion sur les débuts du régime augustéen et dans quelle mesure les discours, généralement considérés comme des démonstrations d’éloquence, participent au projet historiographique de l’œuvre ?<br>This thesis is a translated edition of Books 52 and 53 of Cassius Dio’s Roman History with a commentary. The last French edition of Cassius Dio’s Roman History is now obsolete. Moreover there is no modern translation of this text. For a few years an up-to-date edition, with a translation, has been in progress, which includes our work. In Books 52 and 53, the author, a Greek historian and a Severian senator, describes the evolution of the Roman institutions between Republic and Principate. His analyses are based on his own political knowledge, his official duties and on his study of his Greek predecessors (such as Polybius or Dionysius of Halicarnassus). His point of view is most of the time original. In books 52 and 53, he focuses on the monarchic transition and the changes that affected the constitution and the institutions. The most important actors of the “revolution” (Augustus, Agrippa and Maecenas) are delivering probably fictive speeches that illustrate this change. There is also in these books an interesting literary work. Dio is to be considered as an heir of two traditions: the debate over the best constitution (as old as Herodotus at least) and the rhetoric declamation. Both of them are at work in the speeches of books 52 and 53. The well-known debate between Maecenas and Agrippa (Book 52) has thoroughly been studied but rarely in connection with the other speeches of the Augustan books. Besides, the literary part of these texts has been, most of the time, used to criticize them. This work lays stress on two (in our opinion) linked questions: how valuable is the historical testimony of Cassius Dio on this key period? And what do the speeches bring (besides the rhetorical display) to Dio’s historiographical project?
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Champy, Flora. "Exemples et modèles politiques : fonction critique de l'Antiquité chez Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSEN028/document.

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Abstract:
Si la forte présence des personnages illustres et des cités antiques dans les œuvres politiques de Jean-Jacques Rousseau a été remarquée dès leur parution, leur fonction a trop longtemps été interprétée comme celle d'exemples à imiter. L'étude des multiples sources de Rousseau nous permet de mettre en lumière la complexité de ses références à l'Antiquité. Loin de présenter les grandes figures et les cités antiques comme des exemples monolithiques que le lecteur serait invité à faire revivre ou à regretter, Rousseau construit des modèles dynamiques, afin d'établir et d'explorer les « principes du droit politique», selon les termes du sous-titre du Contrat social. A partir de l'admiration pour les grands héros de Plutarque découverts dans son enfance, cette représentation se déplace dès le Discours sur les sciences et les arts vers l'étude des cités antiques, dont la réussite politique tient à ce qu'elles ont pleinement compris et exploité l'articulation fondamentale entre anthropologie et politique. C'est donc uniquement en observant comment les institutions politiques antiques prennent en charge la formation morale de l'homme que l'on peut pleinement établir les critères de fondation d'un corps politique légitime. La pensée politique antique joue ainsi un rôle considérable dans l'établissement de la distinction fondamentale entre souveraineté (pouvoir législatif) et gouvernement (pouvoir exécutif). L'étude de ces deux parties essentielles du corps politique met en évidence que la prégnance du modèle romain, plus fort que le modèle spartiate, permet à Rousseau de penser non seulement la fondation, mais encore la durée et le devenir du cor ps politique<br>This dissertation conducts a systematic examination of Jean-Jacques Rousseau 's representation of Antiquity and provides a new interpretation of its meaning. Rousseau's lifelong interest in ancient Greece and Rome has so far been interpreted mainly as a personal myth, rooted in his emotional identification with examples of civic virtue. Challenging this interpretation, I analyze Rousseau's vision of Antiquity as a carefully constructed representatio n that seeks to answer key questions of early modern political thought. As he constructs his political system, Rousseau considers ancient material through a complex web of mediations, which alter his representation of Antiquity . The admiration for great men inherited from his childhood reading of Plutarch quickly turns into the construction of dynamic political models. Rousseau draws on ancient historical examples, as weil as on Plato's and Aristotle's political philosophy, to articulate his own definition of key modern political concepts such as sovereignty and body politic. In Rousseau's view ancient cities were politically successful because they fully understood the fundamental connection between anthropology and politics, placing the moral education of the citizens at the core of political action. Studying examples of ancient cities thus becomes indispensable not only to define a truly legitimate political structure, but also to design methods and practices to make it last over ti me. In this respect, the Roman Republic, whose institutions more successfully faced the challenge of history, serves as a more significant political model than Sparta. Reassessing Rousseau's representation of Antiquity thus allows usto reevaluate the place of government in his political system
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