Academic literature on the topic 'Rousseau, Jean-Jacques (1712-1778) – Et le travail'

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Journal articles on the topic "Rousseau, Jean-Jacques (1712-1778) – Et le travail"

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Paiva, Wilson Alves de. "Rousseau e as Artes." Revista de Filosofia Moderna e Contemporânea 8, no. 3 (January 31, 2021): 225–46. http://dx.doi.org/10.26512/rfmc.v8i3.31941.

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Abstract:
O presente texto apresenta uma tradução da peça Pygmalion, escrita pelo filósofo genebrino Jean-Jacques Rousseau (1712-1778). A tradução foi feita direta do original em francês, o qual está contida nos “Contes et Apologues” (Contos e Apólogos) das Œuvres Complètes (Obras Completas), publicada em cinco volumes, na França, pelas Edições Gallimard, da coleção Bibliothèque de la Pléiade, sob a direção de Bernard Gagnebin e Marcel Raymond. Após a tradução, o artigo procura discutir que enquanto Rousseau condenava as artes, dentre elas o teatro, como um dos elementos causadores da corrupção humana, escreveu diversas obras artísticas, entre elas poesias, romances, óperas e peças de teatro. Aliás, o autor pode ser considerado como um dos precursores do romantismo, tendo influenciado nomes como o do grande escritor alemão Goethe. Entretanto, a estética rousseauniana tem a perspectiva de se encontrar o remédio no próprio veneno, isto é, a utilização das artes como remédio para os males que elas causaram no coração humano.
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Dissertations / Theses on the topic "Rousseau, Jean-Jacques (1712-1778) – Et le travail"

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Faïck, Denis. "Le travail ou l'être humain, anthropogenèse et sociogenèse par le travail dans la philosophie de Jean-Jacques Rousseau." Toulouse 2, 1999. http://www.theses.fr/1999TOU20067.

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Abstract:
Le travail est l'être humain dans la philosophie de Jean-Jacques Rousseau. L'homme quitte sa condition animale de l'état de nature par le travail, et accède ainsi à l'humanité. C'est en devenant homo faber que l'homme actualise son humanité : sa raison et sa conscience, marque de Dieu. Le travail est ensuite l'activité qui affronte le matériau, qui fait l'expérience de la nécessité des choses, et donc de la liberté, de la moralité ; le travail est aussi développement de l'intelligence. Il conserve de surcroit les qualités de l'etat de nature : la force, l'indépendance, le bonheur. L'homme advient dans une praxéologie ergologique. Le travail est genèse, organisation et développement de la nation : liberté, vertu, justice, amour de la patrie. Raison, conscience, moralité, liberté, intelligence, citoyenneté, telles sont les qualités essentielles de l'être humain, dont le travail est le fondement. Il est à cet égard anthropogène, d'où la primauté chronologique de Rousseau sur Hegel. Rousseau, en faisant du travail l'essence de l'homme, et en critiquant la division du travail, aspect industriel qu'il rejette, pose des bases que Marx fera siennes. Rousseau est en définitive le premier philosophe qui rompt avec une tradition qui enferme le travail dans la simple poiésis. Le travail est fin en lui-même, ce qui fait de Rousseau un philosophe du travail.
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2

St-Pierre, Thomas O. "L'idéal et le réel chez Jean-Jacques Rousseau." Master's thesis, Université Laval, 2010. http://hdl.handle.net/20.500.11794/22169.

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Abstract:
Cette recherche a pour but d'interpréter la pensée de Jean-Jacques Rousseau en la voyant avant tout comme un mouvement dialectique entre l'idéal et le réel, le premier étant ce que Rousseau désire, le second ce qu'il constate au sujet du monde qui l'entoure. Nous présenterons cette dialectique en trois temps. Tout d'abord, Rousseau critique la société. Secondement, il propose des idéaux - nous en aborderons quatre - pour la réformer et, ce faisant, soulevant lui-même les obstacles qui s'opposent à ces idéaux, il pose des artifices pour les surmonter. Finalement, devant l'inadéquation définitive et nécessaire entre idéal et réel, Rousseau se rétracte dans des constats aussi ternes que conservateurs et, ultimement, fuit la réalité dans une solitude paranoïaque dont témoignent éloquemment ses écrits autobiographiques. Notre conclusion tentera de montrer comment ce parcours sinueux jonché d'artifices et de rétractations est d'une richesse et d'une rareté fort précieuses pour la philosophie.
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3

Larochelle, Élaine. "L'imagination dans l'oeuvre de Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040013.

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Abstract:
La thèse présente une étude systématique du rôle de l'imagination dans l'œuvre de Jean-Jacques Rousseau. Dans la première partie, par l'examen des textes où se déploie le système de Rousseau, nous montrons que toutes les notions cruciales de ce système sont dépendantes de l'imagination. C'est le cas de la perfectibilité, de l'amour-propre, de l'opinion, de l'amour, des mœurs de la vertu. Apres avoir établi que l'homme est pour Rousseau, d'abord et avant tout, un animal imaginant, nous jetons une nouvelle lumière sur tous les grands thèmes rousseauistes : la politique, la religion, l'éducation à la vertu, le langage, l'influence et la fonction de la femme dans la société, les effets du théâtre et des arts. Dans la seconde partie, l'étude du rôle que Rousseau attribue à l'imagination dans la direction de sa propre vie, selon les écrits autobiographiques, permet d'établir la concordance entre le système et la vie, et de dégager la conception de la vérité qui se trouve à la base du système de Rousseau, conception qui tranche avec celles qui l'ont précédée, en renversant la compréhension traditionnelle des fonctions de la raison et de l'imagination. Cette nouvelle conception de la vérité permet de comprendre la pertinence du style littéraire propre à Rousseau, qui se situe à mi-chemin entre la littérature et la philosophie, et qui s'adresse d'abord à l'imagination. Elle aide à voir l'unité profonde de l'œuvre de Rousseau, puisqu'elle permet d'affirmer que les écrits autobiographiques constituent l'aboutissement logique du système de Rousseau.
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4

Touchefeu, Yves. "L'Antiquité et le christianisme dans la pensée de Jean-Jacques Rousseau." Paris, EHESS, 1992. http://www.theses.fr/1992EHES0333.

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Abstract:
Jean-jacques rousseau defendit passionnement les valeurs de la communaute republicaine. Il fut lui-meme citoyen de la petite republique de geneve : conforte par cette identite specifique, il recueillit avec ferveur l'enseignement des hommes illustres de plutarque et les lecons de l'antiquite republicaine. Parallement, en soulignant de facon eclatante son irreductible singularite, il donna une intensite exceptionnelle aux valeurs du moi et a la figure nouvelle de l'individu. Cette exigence de radicale auto-determination se trouvait liee, dans sa conscience, a une conviction religieuse, qui n'etait pas sans rapport avec ce christianisme reforme qui prevalait a geneve. Mais rousseau, qui accueillait ainsi la double tradition de l'antiquite republicaine et du christianisme protestant ne crut pas possible de faire converger ces deux ideaux. Nous le voyons reconnaitre, au fil de ses ecrits, une configuration bipolaire, qui finit par se durcir en une radicale antinomie. En opposant avec une douloureuse obstination les valeurs de l'homme et celles du citoyen, jean-jacques creusait, au plus profond de lui-meme, une tragique dechirure. Mais il posait aussi des question essentielles, qui prennent tout leur relief quand on les situe dans l'univers intellectuel des lumieres : comment penser le lien entre l'individu et la communaute ? comment definir le politique, dans son rapport avec l'economique, le social, le religieux ? comment choisir entre le patriotisme et le cosmopolitisme, entre la paix et la liberte, entre le calme de la meditation contemplative et l'urgence de l'action ? ces questions n'ont pas fini de nous concerner
Jean-jacques rousseau stood up with passion for the values of the republican community. He was himself a citizen of the small republic of geneva : upheld by that specific identity, he fervently took in plutarch's teaching and the lessons of the republican antiquity. At the same time, he strongly emphasized his indomitable singularity and gave a particular intensity to the new values of the individual. He consciously connected such an exacting demand for self-determination to religious belief, itself not without links with the protestant christianity which ruled in geneva. Yet rousseau, receiving so the double tradition of republican antiquity and protestant christianity, did not believe it possible to bring together the two ideals. As he writes, we see him acknowledging a bipolar configuration, which eventually hardens into a fearsome antinomy. Setting the values of man against those of the citizen with painful obstination, jeanjacques was tragically tearing himself apart. But he was also asking essential questions, which take on particular significance when placed in the intellectual world of the enlightenment: how can one conceive the link between the individual and the community ? how to define politics, in relation to economic, social and religious concepts ? how to choose between patriotism and cosmopolitanism, between peace and freedom, between the quietness of meditative contemplation and the urgency of action ? we will always be concerned with such questions
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L'Aminot, Tanguy. "Images de Jean-Jacques Rousseau de 1912 à 1978." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040348.

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Abstract:
Les trois commémorations rousseauistes de 1912 (bicentenaire de la naissance de Rousseau), 1962 (250 anniversaire de sa naissance, bicentenaire de Du contrat social), 1978 (bicentenaire de sa mort) permettent de montrer l'évolution de l'image du philosophe et de son œuvre au XXe siècle. Objet d'un enjeu politique entre la gauche et la droite au début du siècle, Rousseau est vraiment lu et commente après la Seconde Guerre mondiale, mais son image subira le regard soupçonneux et la mise à distance de la génération de l'apres-68
The three rousseauistic commemorations of 1912 (Rousseau’s bicentennial), 1962 (250th anniversary, Contrat social bicentennial), 1978 (bicentennial of his death), bring to light the evolution of the philosopher's image and work in the 20th century, in as much as said anniversaries prompted a blossoming of publications. Subjected to a political debate between left-wing and right-wing at the beginning of the century - Rousseau was to be really read and commented after World War II. Yet his image suffered the suspicious glances and putting off from the post-68 generation
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Flavigné, Corinne. "L'Etre et son espace dans l'oeuvre autobiographique de Jean-Jacques Rousseau." Montpellier 3, 2002. http://www.theses.fr/2002MON30011.

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7

Tindy-Poaty, Juste Joris. "Jean-Jacques Rousseau et l'exigence d'une éducation spirituelle." Poitiers, 1998. http://www.theses.fr/1998POIT5002.

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Abstract:
L'interprétation spiritualiste que nous proposons de la pensée de Rousseau sur l'éducation a pour fondement principal son analyse anthropologique. Cette dernière repose notamment sur la distinction entre "l'homme de la nature" et l'homme de l'homme" ou l'homme de la civilisation. Comparativement à l'homme de l'homme, l'homme de la nature est l'archétype de l'humanité authentique. Il s'ensuit que l'éducation doit avoir pour modèle cet homme de la nature. Eduquer, c'est alors ramener les individus à la nature, à l'humanité originelle. Cette entreprise n'est point illusoire dans la mesure où la distance qui nous sépare de cette humanité originelle n'est pas historique, mais intérieure. Le retour à la nature est un appel à la conversion spirituelle. En encourageant l'individu à se reconcilier avec lui-même, l'éducation l'incite également à une reconciliation avec Dieu. Cette relation de l'individu avec Dieu s'inscrit non pas sous le mode de la transcendance, mais sous celui de l'immanence qui souligne mieux la question de l'unité de l'être. Cette question de l'unité de l'être conduit à reconnaître l'importance de l'éducation à la liberté. Eduquer véritablement, c'est aprendre aux individus à être leur propre recours dans une parfaite unité de soi. Cette éducation à la liberté est, cependant, aussi une éducation à la vertu. Car être vertueux, c'est savoir coi͏̈ncider avec soi. Cet encouragement à l'intimité spirituelle, qui n'exclut pas une éducation à la citoyenneté, est un éloge de la philosophie. L'unité de l'être, mise en mal par les revers de la civilisation, ne peut être reconstruite que par la philosophie, entendue comme enseignement riche de sens et dépositaire d'une vérité absolue.
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Kuwase, Shojiro. "Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau en France (1770-1794) les aménagements et les censures, les usages, les appropriations de l'ouvrage /." Paris : H. Champion, 2003. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb390250634.

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9

Yamazaki-Jamin, Harumi. "Jean-Jacques Rousseau et Paris." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040207.

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Abstract:
Jean-Jacques Rousseau fait à Paris trois séjours : le premier en 1731, le deuxième de 1742 à 1756 et enfin le troisième de 1770 à 1778. Le premier séjour n'est que de courte durée. Nous étudions dans la première partie l'aspect général de Paris. Le deuxième séjour est le plus long et le plus important. C'est dans cette capitale que l'homme totalement inconnu devient homme célèbre dans le monde des lettres. Suivant chronologiquement l'itinéraire de Rousseau à Paris, nous nous promenons, comme l'aurait fait Rousseau autrefois, dans les quartiers parisiens : le quartier latin, le quartier du Faubourg Saint-Germain, le quartier du Louvre, le quartier du Palais Royal et le quartier de Saint-Eustache. Nous découvrons le paysage de chaque quartier avec ses habitants. Le troisième séjour est le plus pathétique de la vie de Rousseau. Le célèbre proscrit mène un combat solitaire dans le plus grand secret. La grandeur de Paris lui permet de se dissimuler dans la foule, où Rousseau n'est qu'un homme âgé de milieu artisanal. Nous découvrons enfin la rue Plâtrière, telle que Rousseau a dû la connaitre dans les années 1770. Nous trouvons la maison des Dupin et les maisons qu'habita Rousseau.
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10

Coz, Michel. "La Cène et l'autre scène : désir et profession de foi chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 7, 1993. http://www.theses.fr/1993PA070073.

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Abstract:
Le but de cette these est d'etudier les rapports entre le desir et la foi chez jean-jacques rousseau. Elle se situe donc dans une perspective psychanalytique et tente d'eclairer les representations imaginaires qui soutiennent les choix doctrinaux de rousseau. Elle avance que sa position religieuse n'est pas fondamentalement chretienne car elle recuse le dogme de l'incarnation. L'investigation psychanalytique tend, alors, a souligner les presupposes inconscients qui suscitent, chez jean-jacques,le rejet de l'imaginaire chretien et permet d'associer ses deviations theologiques sur le peche originel,la revelation ou le miracle a une problematique centree sur la question de l'origine. Rejeter le christianisme, c'est refuser un monde religieux axe sur la mediation et la filiation. L'opposition de rousseau a la symbolique trinitaire doit des lors etre referee a sa "position" dans l'ordre genealogique,position tres incertaine en raison de la perversion du discours paternel lui intimant d'occuper imaginairement une place symboliquement marquee par l'interdit. C'est donc par defaut de l'inscription d'un signifiant susceptible de limiter l'angoisse que l'appel de la jouissance produit en lui que rousseau se doit de conforter,par sa propre profession de foi,l'image d'un pere idealise,non marque par la castration. Cependant,avec la nouvelle heloise, sa foi echappe a toute tentative de reduction definitive et aussi bien la negation athee de wolmar que la solution mystique de julie signalent la singularite d'un desir que les determinations trop assurees des catechismes de tous bords ne peuvent epuiser
The purpose of this thesis is to study the relationship between faith and desire in jean-jacques rousseau. It therefore takes a psychoanalytical perspective and attempts to shed light on the imaginary representations underlying rousseau's doctrinal choices. It puts forward the idea that rousseau's religious position is fundamentally non-christian in so far as it challenges the dogma of incarnation. The psychoanalytical investigation here aims at emphasizing the unconscious assumptions which contribute to his rejection of the christian imaginary. It also associates rousseau's deviating views on original sin,the revelation, and miracles with a problematic pattern focusing on the question of the origin. His rejection of christianity is that of a religious realm based on mediation and filiation. His refusal of the symbolic order of the trinity must be seen in relation to his very uncertain genealogical "position": his father's perverted discourse summons him to take an imaginary place symbollically marked by interdict. For lack of a signifier which could limit the anxiety aroused by the call of pleasure,rousseau must,by his profession of faith,strengthen the image of an idealised father unmarked by castration. In la nouvelle heloise however, his faith escapes any attempt at categorization; wolmar's atheistic negation as well as julie's mystical solution are both signs of a singular desire which overconfident dogmas of any kind cannot reduce
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Books on the topic "Rousseau, Jean-Jacques (1712-1778) – Et le travail"

1

Blondel, Éric. Rousseau: 1712-1778. Paris: Ellipses, 2000.

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2

Origines et retraites dans La nouvelle Héloïse. New York: P. Lang, 1997.

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3

Rousseau, Jean-Jacques. Julie ou la nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.

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4

Rousseau, Jean-Jacques. Eloisa: Or, a series of original letters. Oxford: Woodstock Books, 1989.

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5

Rousseau, Jean-Jacques. Julie, ou, la Nouvelle Héloïse: Lettres de deux amants habitants d'une petite ville au pied des Alpes. Paris: Garnier, 1988.

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6

Rousseau, Jean-Jacques. Julie, ou, La nouvelle Héloïse: Extraits. Paris: Bordas, 1985.

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7

Rousseau, Jean-Jacques. Julie ou la nouvelle Héloïse. Paris: Gallimard, 1993.

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8

Rousseau, Jean-Jacques. Eloisa: Or, a series of original letters. Oxford: Woodstock Books, 1989.

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9

Rousseau, Jean-Jacques. Les rêveries du promeneur solitaire. Paris: Dunod, 1997.

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10

Rousseau, Jean-Jacques. Les rêveries du promeneur solitaire. Paris: Flammarion, 1997.

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