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Dissertations / Theses on the topic 'Rousseau, Jean-Jacques (1712-1778) – Et le travail'

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Faïck, Denis. "Le travail ou l'être humain, anthropogenèse et sociogenèse par le travail dans la philosophie de Jean-Jacques Rousseau." Toulouse 2, 1999. http://www.theses.fr/1999TOU20067.

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Abstract:
Le travail est l'être humain dans la philosophie de Jean-Jacques Rousseau. L'homme quitte sa condition animale de l'état de nature par le travail, et accède ainsi à l'humanité. C'est en devenant homo faber que l'homme actualise son humanité : sa raison et sa conscience, marque de Dieu. Le travail est ensuite l'activité qui affronte le matériau, qui fait l'expérience de la nécessité des choses, et donc de la liberté, de la moralité ; le travail est aussi développement de l'intelligence. Il conserve de surcroit les qualités de l'etat de nature : la force, l'indépendance, le bonheur. L'homme advient dans une praxéologie ergologique. Le travail est genèse, organisation et développement de la nation : liberté, vertu, justice, amour de la patrie. Raison, conscience, moralité, liberté, intelligence, citoyenneté, telles sont les qualités essentielles de l'être humain, dont le travail est le fondement. Il est à cet égard anthropogène, d'où la primauté chronologique de Rousseau sur Hegel. Rousseau, en faisant du travail l'essence de l'homme, et en critiquant la division du travail, aspect industriel qu'il rejette, pose des bases que Marx fera siennes. Rousseau est en définitive le premier philosophe qui rompt avec une tradition qui enferme le travail dans la simple poiésis. Le travail est fin en lui-même, ce qui fait de Rousseau un philosophe du travail.
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2

St-Pierre, Thomas O. "L'idéal et le réel chez Jean-Jacques Rousseau." Master's thesis, Université Laval, 2010. http://hdl.handle.net/20.500.11794/22169.

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Abstract:
Cette recherche a pour but d'interpréter la pensée de Jean-Jacques Rousseau en la voyant avant tout comme un mouvement dialectique entre l'idéal et le réel, le premier étant ce que Rousseau désire, le second ce qu'il constate au sujet du monde qui l'entoure. Nous présenterons cette dialectique en trois temps. Tout d'abord, Rousseau critique la société. Secondement, il propose des idéaux - nous en aborderons quatre - pour la réformer et, ce faisant, soulevant lui-même les obstacles qui s'opposent à ces idéaux, il pose des artifices pour les surmonter. Finalement, devant l'inadéquation définitive et nécessaire entre idéal et réel, Rousseau se rétracte dans des constats aussi ternes que conservateurs et, ultimement, fuit la réalité dans une solitude paranoïaque dont témoignent éloquemment ses écrits autobiographiques. Notre conclusion tentera de montrer comment ce parcours sinueux jonché d'artifices et de rétractations est d'une richesse et d'une rareté fort précieuses pour la philosophie.
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3

Larochelle, Élaine. "L'imagination dans l'oeuvre de Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040013.

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Abstract:
La thèse présente une étude systématique du rôle de l'imagination dans l'œuvre de Jean-Jacques Rousseau. Dans la première partie, par l'examen des textes où se déploie le système de Rousseau, nous montrons que toutes les notions cruciales de ce système sont dépendantes de l'imagination. C'est le cas de la perfectibilité, de l'amour-propre, de l'opinion, de l'amour, des mœurs de la vertu. Apres avoir établi que l'homme est pour Rousseau, d'abord et avant tout, un animal imaginant, nous jetons une nouvelle lumière sur tous les grands thèmes rousseauistes : la politique, la religion, l'éducation à la vertu, le langage, l'influence et la fonction de la femme dans la société, les effets du théâtre et des arts. Dans la seconde partie, l'étude du rôle que Rousseau attribue à l'imagination dans la direction de sa propre vie, selon les écrits autobiographiques, permet d'établir la concordance entre le système et la vie, et de dégager la conception de la vérité qui se trouve à la base du système de Rousseau, conception qui tranche avec celles qui l'ont précédée, en renversant la compréhension traditionnelle des fonctions de la raison et de l'imagination. Cette nouvelle conception de la vérité permet de comprendre la pertinence du style littéraire propre à Rousseau, qui se situe à mi-chemin entre la littérature et la philosophie, et qui s'adresse d'abord à l'imagination. Elle aide à voir l'unité profonde de l'œuvre de Rousseau, puisqu'elle permet d'affirmer que les écrits autobiographiques constituent l'aboutissement logique du système de Rousseau.
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4

Touchefeu, Yves. "L'Antiquité et le christianisme dans la pensée de Jean-Jacques Rousseau." Paris, EHESS, 1992. http://www.theses.fr/1992EHES0333.

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Abstract:
Jean-jacques rousseau defendit passionnement les valeurs de la communaute republicaine. Il fut lui-meme citoyen de la petite republique de geneve : conforte par cette identite specifique, il recueillit avec ferveur l'enseignement des hommes illustres de plutarque et les lecons de l'antiquite republicaine. Parallement, en soulignant de facon eclatante son irreductible singularite, il donna une intensite exceptionnelle aux valeurs du moi et a la figure nouvelle de l'individu. Cette exigence de radicale auto-determination se trouvait liee, dans sa conscience, a une conviction religieuse, qui n'etait pas sans rapport avec ce christianisme reforme qui prevalait a geneve. Mais rousseau, qui accueillait ainsi la double tradition de l'antiquite republicaine et du christianisme protestant ne crut pas possible de faire converger ces deux ideaux. Nous le voyons reconnaitre, au fil de ses ecrits, une configuration bipolaire, qui finit par se durcir en une radicale antinomie. En opposant avec une douloureuse obstination les valeurs de l'homme et celles du citoyen, jean-jacques creusait, au plus profond de lui-meme, une tragique dechirure. Mais il posait aussi des question essentielles, qui prennent tout leur relief quand on les situe dans l'univers intellectuel des lumieres : comment penser le lien entre l'individu et la communaute ? comment definir le politique, dans son rapport avec l'economique, le social, le religieux ? comment choisir entre le patriotisme et le cosmopolitisme, entre la paix et la liberte, entre le calme de la meditation contemplative et l'urgence de l'action ? ces questions n'ont pas fini de nous concerner
Jean-jacques rousseau stood up with passion for the values of the republican community. He was himself a citizen of the small republic of geneva : upheld by that specific identity, he fervently took in plutarch's teaching and the lessons of the republican antiquity. At the same time, he strongly emphasized his indomitable singularity and gave a particular intensity to the new values of the individual. He consciously connected such an exacting demand for self-determination to religious belief, itself not without links with the protestant christianity which ruled in geneva. Yet rousseau, receiving so the double tradition of republican antiquity and protestant christianity, did not believe it possible to bring together the two ideals. As he writes, we see him acknowledging a bipolar configuration, which eventually hardens into a fearsome antinomy. Setting the values of man against those of the citizen with painful obstination, jeanjacques was tragically tearing himself apart. But he was also asking essential questions, which take on particular significance when placed in the intellectual world of the enlightenment: how can one conceive the link between the individual and the community ? how to define politics, in relation to economic, social and religious concepts ? how to choose between patriotism and cosmopolitanism, between peace and freedom, between the quietness of meditative contemplation and the urgency of action ? we will always be concerned with such questions
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L'Aminot, Tanguy. "Images de Jean-Jacques Rousseau de 1912 à 1978." Paris 4, 1987. http://www.theses.fr/1987PA040348.

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Abstract:
Les trois commémorations rousseauistes de 1912 (bicentenaire de la naissance de Rousseau), 1962 (250 anniversaire de sa naissance, bicentenaire de Du contrat social), 1978 (bicentenaire de sa mort) permettent de montrer l'évolution de l'image du philosophe et de son œuvre au XXe siècle. Objet d'un enjeu politique entre la gauche et la droite au début du siècle, Rousseau est vraiment lu et commente après la Seconde Guerre mondiale, mais son image subira le regard soupçonneux et la mise à distance de la génération de l'apres-68
The three rousseauistic commemorations of 1912 (Rousseau’s bicentennial), 1962 (250th anniversary, Contrat social bicentennial), 1978 (bicentennial of his death), bring to light the evolution of the philosopher's image and work in the 20th century, in as much as said anniversaries prompted a blossoming of publications. Subjected to a political debate between left-wing and right-wing at the beginning of the century - Rousseau was to be really read and commented after World War II. Yet his image suffered the suspicious glances and putting off from the post-68 generation
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Flavigné, Corinne. "L'Etre et son espace dans l'oeuvre autobiographique de Jean-Jacques Rousseau." Montpellier 3, 2002. http://www.theses.fr/2002MON30011.

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Tindy-Poaty, Juste Joris. "Jean-Jacques Rousseau et l'exigence d'une éducation spirituelle." Poitiers, 1998. http://www.theses.fr/1998POIT5002.

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Abstract:
L'interprétation spiritualiste que nous proposons de la pensée de Rousseau sur l'éducation a pour fondement principal son analyse anthropologique. Cette dernière repose notamment sur la distinction entre "l'homme de la nature" et l'homme de l'homme" ou l'homme de la civilisation. Comparativement à l'homme de l'homme, l'homme de la nature est l'archétype de l'humanité authentique. Il s'ensuit que l'éducation doit avoir pour modèle cet homme de la nature. Eduquer, c'est alors ramener les individus à la nature, à l'humanité originelle. Cette entreprise n'est point illusoire dans la mesure où la distance qui nous sépare de cette humanité originelle n'est pas historique, mais intérieure. Le retour à la nature est un appel à la conversion spirituelle. En encourageant l'individu à se reconcilier avec lui-même, l'éducation l'incite également à une reconciliation avec Dieu. Cette relation de l'individu avec Dieu s'inscrit non pas sous le mode de la transcendance, mais sous celui de l'immanence qui souligne mieux la question de l'unité de l'être. Cette question de l'unité de l'être conduit à reconnaître l'importance de l'éducation à la liberté. Eduquer véritablement, c'est aprendre aux individus à être leur propre recours dans une parfaite unité de soi. Cette éducation à la liberté est, cependant, aussi une éducation à la vertu. Car être vertueux, c'est savoir coi͏̈ncider avec soi. Cet encouragement à l'intimité spirituelle, qui n'exclut pas une éducation à la citoyenneté, est un éloge de la philosophie. L'unité de l'être, mise en mal par les revers de la civilisation, ne peut être reconstruite que par la philosophie, entendue comme enseignement riche de sens et dépositaire d'une vérité absolue.
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Kuwase, Shojiro. "Les Confessions de Jean-Jacques Rousseau en France (1770-1794) les aménagements et les censures, les usages, les appropriations de l'ouvrage /." Paris : H. Champion, 2003. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb390250634.

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Yamazaki-Jamin, Harumi. "Jean-Jacques Rousseau et Paris." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1998PA040207.

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Abstract:
Jean-Jacques Rousseau fait à Paris trois séjours : le premier en 1731, le deuxième de 1742 à 1756 et enfin le troisième de 1770 à 1778. Le premier séjour n'est que de courte durée. Nous étudions dans la première partie l'aspect général de Paris. Le deuxième séjour est le plus long et le plus important. C'est dans cette capitale que l'homme totalement inconnu devient homme célèbre dans le monde des lettres. Suivant chronologiquement l'itinéraire de Rousseau à Paris, nous nous promenons, comme l'aurait fait Rousseau autrefois, dans les quartiers parisiens : le quartier latin, le quartier du Faubourg Saint-Germain, le quartier du Louvre, le quartier du Palais Royal et le quartier de Saint-Eustache. Nous découvrons le paysage de chaque quartier avec ses habitants. Le troisième séjour est le plus pathétique de la vie de Rousseau. Le célèbre proscrit mène un combat solitaire dans le plus grand secret. La grandeur de Paris lui permet de se dissimuler dans la foule, où Rousseau n'est qu'un homme âgé de milieu artisanal. Nous découvrons enfin la rue Plâtrière, telle que Rousseau a dû la connaitre dans les années 1770. Nous trouvons la maison des Dupin et les maisons qu'habita Rousseau.
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Coz, Michel. "La Cène et l'autre scène : désir et profession de foi chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 7, 1993. http://www.theses.fr/1993PA070073.

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Abstract:
Le but de cette these est d'etudier les rapports entre le desir et la foi chez jean-jacques rousseau. Elle se situe donc dans une perspective psychanalytique et tente d'eclairer les representations imaginaires qui soutiennent les choix doctrinaux de rousseau. Elle avance que sa position religieuse n'est pas fondamentalement chretienne car elle recuse le dogme de l'incarnation. L'investigation psychanalytique tend, alors, a souligner les presupposes inconscients qui suscitent, chez jean-jacques,le rejet de l'imaginaire chretien et permet d'associer ses deviations theologiques sur le peche originel,la revelation ou le miracle a une problematique centree sur la question de l'origine. Rejeter le christianisme, c'est refuser un monde religieux axe sur la mediation et la filiation. L'opposition de rousseau a la symbolique trinitaire doit des lors etre referee a sa "position" dans l'ordre genealogique,position tres incertaine en raison de la perversion du discours paternel lui intimant d'occuper imaginairement une place symboliquement marquee par l'interdit. C'est donc par defaut de l'inscription d'un signifiant susceptible de limiter l'angoisse que l'appel de la jouissance produit en lui que rousseau se doit de conforter,par sa propre profession de foi,l'image d'un pere idealise,non marque par la castration. Cependant,avec la nouvelle heloise, sa foi echappe a toute tentative de reduction definitive et aussi bien la negation athee de wolmar que la solution mystique de julie signalent la singularite d'un desir que les determinations trop assurees des catechismes de tous bords ne peuvent epuiser
The purpose of this thesis is to study the relationship between faith and desire in jean-jacques rousseau. It therefore takes a psychoanalytical perspective and attempts to shed light on the imaginary representations underlying rousseau's doctrinal choices. It puts forward the idea that rousseau's religious position is fundamentally non-christian in so far as it challenges the dogma of incarnation. The psychoanalytical investigation here aims at emphasizing the unconscious assumptions which contribute to his rejection of the christian imaginary. It also associates rousseau's deviating views on original sin,the revelation, and miracles with a problematic pattern focusing on the question of the origin. His rejection of christianity is that of a religious realm based on mediation and filiation. His refusal of the symbolic order of the trinity must be seen in relation to his very uncertain genealogical "position": his father's perverted discourse summons him to take an imaginary place symbollically marked by interdict. For lack of a signifier which could limit the anxiety aroused by the call of pleasure,rousseau must,by his profession of faith,strengthen the image of an idealised father unmarked by castration. In la nouvelle heloise however, his faith escapes any attempt at categorization; wolmar's atheistic negation as well as julie's mystical solution are both signs of a singular desire which overconfident dogmas of any kind cannot reduce
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Doroszczuk, Catherine. "Une obscure exigence : Jean-Jacques Rousseau et les métamorphoses de l'espace littéraire." Paris 7, 1993. http://www.theses.fr/1992PA070106.

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Abstract:
Notre these s'efforce de cerner le role de rousseau dans l'evolution de ce que m. Blanchot a appele "espace litteraire", et qui comprend pour nous l'ecriture, la creation litteraire, et le personnage de l'ecrivain. Rousseau est a l'origine d'une conception mythique de l'ecriture. En musicien, il la pense sur la perte de la parole, et s'efforce de renouer avec le lyrisme de cette voix originelle. Suscitant autour de son ecriture des commentaires passionnes, il est surtout celui qui denonce l'alienation qu'implique l'acte d'ecrire. Son oeuvre se heurte aux legendes de la creation litteraire, en particulier celle de l'inspiration. Construisant, et montrant les contradictions des notions de genie et d'oeuvre, la reflexion de rousseau est profondement ambigue. Elle met a jour le danger d'alination a l'oauvre dans le processus creatif, et invente des lieux de sauvegarde de soi. Elle instaure surtout un rapport inedit au lecteur, et a l'editeur sommes de devenir des intimes, ou des ennemis. Enfin rousseau cree le personnage moderne, et conflictuel, de l'ecrivain. Longtemps refuse et hai, celui-ci trouve dans l'oeuvre reousseauiste l'absence de statut et le masque de solitude qu'il gardera pour nous : figure constamment en proces, il est l'embleme d'un espace qui ne cessera plus d'interroger le bien-fonde de son existence
Our paper's objective is trying to picture rousseau's influence on the evolution of what m. Blanchot described as "literary space". This so called "literary space" consists in writing, literature creation, and rousseau as a writer. Rousseau is the source of a writing mythical concept. As a musician, he thinks writing in terms of loss of speach, and endeavours to give hints of the original voice. Creating passionate comments on the topic of his writing, he is first and above all denouncing the alienating feeling he senses when writing. Building up and puting forward the concept of genius and work, rousseau's track of thoughts reasoning especially ambiguous. This reasing uncovers the danger of alienation at work in creative process, and invents safe spots for self protection. Above all it creates a new relationship between writer, reader and editor, summoned to become friends or foe. Moreover rousseau creates the modern and self conflicting figure of the writer. For a long time rejected, hated, this figure finds in rousseau's work the lack of standing and the mask of loneliness which he will maintain for us : constantly litigating, he is the emblem of a space who will never stop to question himself on the meaning of life
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Séité, Yannick. "La Nouvelle Héloïse et son paratexte : Rousseau, le livre et la lecture." Paris 7, 1994. http://www.theses.fr/1994PA070059.

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Abstract:
Cette these evalue, a travers l'etude de la premier edition du roman de jean-jacques rousseau julie ou la nouvelle heloise (1761). Les effets, sur l'interpretation que nous pouvons produire d'un texte, de tous les elements materiels (format, typographie. . . ) ou textuels (titre, prefaces, notes. . . ) qui l'accompagnent ou servent a le vehiculer et dont gerard genette a federe certains aspects sous le vocable de <>. Apres une introduction qui jette une passerel le entre etude du paratexte. << histoire des pratiques culturelles >> (roger chartier), histoire du livre et << sociolog ie des textes >> (d. F. Mckenzie), la premiere partie restitue les circonstances de la publication dejulie et analyse les textes publicitaires qui l'ont annoncee. La deuxieme s'attache a des objets paratextuels compris dans l'espace meme du livre et a leur retentissement sur la lecture du texte. On voit, au teme de ces deux premieres etapes, comment rousseau s'implique non seulement dans l'ecriture de son texte mais aussi dans l'elaboration du livre qui va porter ce dernier. De meme. Sa pratique des prefaces et des notes - c'est l'objet de la troisieme partie - est originale et aboutit a faire du lecteur un exegete constamment contraint au travail par un paratexte pense pour destabiliser. La quatrieme partie dessine la conception et les usages du livre et de la lecture qui sont ceux de rousseau puis verifie la validite des donnees theoriques ainsi mises au jour en les appliquant au reste des elements paratextuels presents dans l'edition : illustrations, table des matieres. . . La conclusion pose les bases d'une << histoire litteraire du livre au xviiie siecle >>. Si rousseau et le plus pur exemple d'un siecle durant lequel les auteurs chassent sur le terrain des formes et effets de sens du livre-objet, d'ordinaire devolu a l'editeur, voltaire, retif de la bretonne, beaumarchais. Bernadin. . . Ses contemporains ont, du lvire, une pensee et une pratique originale qu'il importe d'etudier
This thesis deals with the first of jean-jacques rousseau's novel julie ou la nouvlle heloise (1761) and studies the way our interpretation of a text can be influenced by the many differents types of textual (title, prefaces, footnotes. . . ) or material (format, paper, typography. . . ) elements that accompany or <> it. The introduction demosntrates the ne cessity of a pluri-subjects - book history, << paratextual >> studies. . . - approach to texts. The first two parts show how rousseau wanted to control not only the writing of his text but also the making of the book which carried it and which was conceived according to a litterary project. The third part proves that rousseau devised the prefaces and footnotes to his novel in order to disturb the reader and to constrain him to think by himself. The fourth and last part first of all brings to light rousseau's conception of book and reading, then tests the validity of the theorical elemen ts thus obtained by applying them to the rest of the paratextual objects present in the first editions of julie : plates , table of contents. . . The conclusion insists on the necessity to elaborate a <> : if rousseau is probably, with his novel, the most meaningful exemple of a writer implication into what is nowadays usually considered as a pure publisher concern, many of his contemporaries - voltaire, retif de la bretonne, beaumarchais, bernardin de saint pierre. . . - did expres the interest they took in the material dimension of a book conceived as capable to influence the meaning of the text it carries; that is to say as a litterary object
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Marie, Dominique. "Jean-Jacques Rousseau : autobiographie et politique." Besançon, 1991. http://www.theses.fr/1991BESA1018.

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Abstract:
Comparaison entre la genèse "réelle" de l'idée de complot telle qu'elle apparait dans la correspondance des années 1757-1770 et la reconstitution "imaginaire" des persécutions à laquelle se livre l'autobiographe des confessions et des dialogues. Le sens profond que rousseau donne au complot: l'opposition conjointe des philosophes et des autorités aux théories professées par l'écrivain et illustrées par l'homme. Les différents récits de "l'illumination de Vincennes", pièce maitresse de la polémique sur la validité et la sincérité de l'œuvre doctrinale. Genèse d'une personnalité à travers la restitution des expériences sociales et affectives de Jean-Jacques (première partie des confessions). L'autobiographie explore les origines du moi, en même temps elle interprète les faits et élabore un mythe. L'histoire intellectuelle et morale de Jean-Jacques, dans les confessions, est présentée comme le fondement de l'œuvre; elle en est aussi le produit. Les rêveries du promeneur solitaire, aboutissement de l'autobiographie. Les divers visages de la solitude : retraite et protection contre le complot; solitude et création; nostalgie de la vie sociale. La rêverie, mode complexe de l'activité de l'esprit : les différentes formes de la rêverie et leurs rapports. Les thèmes explicitement politiques des rêveries : poursuite de la polémique avec les philosophes réflexion et refus de la réflexion, rêve d'une société idéale chez le citoyen solitaire.
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Stern, Martin. "Le problème de la conversion dans la pensée musicale de J. -J. Rousseau et ses conséquences théoriques." Lille 3, 2006. https://www-vlebooks-com.ressources.univ-poitiers.fr/Vleweb/Search/Keyword?keyword=9782745334114.

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Abstract:
C'est à partir de sa conversion à la musique italienne que Rousseau élabore une théorie musicale qui s'oppose explicitement à celle de Rameau. Mais l'embarras dans lequel le met cette conversion contraint Rousseau à approfondir sa pensée musicale sur le terrain philosophique : par le biais d'une conversion aux origines, il construit une théorie de l'essence de la musique et des langues et de leur dégénérescence commune, qui rend compte de l'opposition esthétique du premier moment de sa conversion musicale sur un plan ontologique, mais contrarie sur certains points ses positions antérieures. Cette conversion problématique en deux temps possède néanmoins une portée théorique extraordinaire dont témoigne son œuvre philosophique, mais également littéraire : dans cette perspective, la conversion musicale apparaît comme une matrice qui diffuse dans les autres domaines de la réflexion de Rousseau des concepts, des tensions et des problèmes issus de la pensée musicale. L'utilisation de la notion de conversion comme outil d'analyse fait encore apparaître la conversion musicale comme une conversion maîtresse, dont l'étude pourrait contribuer à renouveler la lecture de son œuvre
It is from his conversion to Italian music that Rousseau works out a musical theory which is explicitly opposed to Rameau's one. But the embarrassment caused by his conversion constrained Rousseau to go deeply into his musical's thought on the philosophical ground : through a conversion to the origins, he builds a theory of the essence of music and languages and of their common degeneration, which justify of an ontological level the aesthetic opposition of the first moment of his musical conversion, but contradicts some points of his previous statements. This problematic conversion in two periods has nevertheless an extraordinary theoretical significance which his philosophical work shows, but also his literary one : from his point of view, the musical conversion seems like a matrix which diffuses to the other fields of Rousseau's reflection some concepts, tensions and problems resulting from the musical thought. The use of the concept of conversion as an analysis tool shows the musical conversion as a main conversion too, whose study could contribute to renew the reading of his work
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Adamy, Paule. "Les corps de Jean-Jacques Rousseau." Paris 1, 1995. http://www.theses.fr/1995PA010551.

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Abstract:
Si tant de livres ont été écrits sur Jean-Jacques Rousseau, c'est que cet auteur est divers : Rousseau commença par écrire des vers, des comédies, des contes ; son ton peut être celui de la confidence intime, mais également celui du pamphlet; Rousseau est à la fois auteur politique et romancier, et parfois dans le même livre. D'autre part, Rousseau fut en butte à la persécution des encyclopédistes, qui l'ont présenté comme un homme faux : si Rousseau écrit les confessions, puis les dialogues, c'est pour se disculper au regard de la postérité. Les psychanalystes se sont emparés de son cas, pour en faire un exemple d'un homme en proie au délire de la persécution. Rousseau semble être révolutionnaire avant la lettre, dans le discours sur l'inégalité, et dans le contrat social : mais dans la nouvelle Héloïse, l'utopie de Clarens est d'inspiration conservatrice et paternaliste. Où trouver l'unité de cette diversité ? La réponse donnée dans notre travail est : si l'œuvre de Rousseau est divisée, c'est que Rousseau lui-même fut une personne divisée; et cette division vient de l'absence d'unité, En Rousseau, de la représentation de son propre corps. Selon nous, Rousseau a non pas un corps unique, mais quatre corps : un corps féminin (alors qu'il est un être masculin), un enfantin qu'il veut garder toute sa vie, un corps persécuté par la maladie mais également par des persécuteurs qui finissent par être le genre humain tout entier, et un corps naturel, dont rousseau exprime à demi, mais à demi seulement, les penchants : ces penchants se ramèneraient à une homosexualité indécise. Et cette homosexualité est dite indécise parce qu'elle se fonde moins sur une pratique homosexuelle (d'ailleurs niée énergiquement par Rousseau) que sur le refus d'admettre la coupure du genre humain en deux genres, le masculin et le féminin
The reason why so many books were written on Jean-Jacques Rousseau is that this author has many facets : he commenced by writing poetry, comedies and tales. His tone can be that of intimate confidences or that of satirical tracts. Rousseau is both a political writer and a novelist, sometimes in a single book. But he was criticized by the encyclopaedists who presented him as a false man : he wrote les confessions and les dialogues in order to exculpalte himself in the eyes of posterity. Indeed psychoanalysts consider his case as an example of persecution mania. His political thinking is paradoxical : in discours sur l'inegalite or in le contrat social, he was revolutionary before the term existed, but in la nouvelle heloise, clarens utopia is rather conservative and paternalistic. Is there an unity lying hidden in this variety ? An answer to this question is given in the present work : the reason why Rousseau's works are diverse is that rousseau himself was a diverse, split person, and this splitting results from a lack of unity in the representation of his own body. According to the present analysis, Rousseau has indeed not a single body, but rather four bodies : a female body (while he is a male person), a childish body (that he wants to keep for life), a body plagued by illness but also persecuted by mankind as a whole, and finally a natural body, whose inclinations are only half expressed by Rousseau : these inclinations would lead to an indecisive homosexuality. We call this homosexuality indecisive because it is not borne out by a pract
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Crogiez, Labarthe Michèle. "Rousseau et le paradoxe." Paris 4, 1994. http://www.theses.fr/1994PA040275.

Full text
Abstract:
Contre l'accusation inlassablement formulée contre lui d'être un auteur "à paradoxe" et en dépit de la mauvaise réputation de ce procédé rhétorique, Rousseau y trouve le moyen le meilleur pour exposer la nouveauté de ses idées. L'étude littéraire et rhétorique de l'histoire du paradoxe, l'étude de la réception de l'œuvre de Rousseau, l'étude de son imaginaire de l'activité littéraire et celle de ses méthodes argumentatives montrent qu'il n'utilise pas seules les vertus rhétoriques - affectives et ludiques - du paradoxe : il les confirme par ses vertus herméneutiques et philosophiques, dans le cadre d'une conception de la littérature ou la recherche du sens est un impératif moral. L'étude de l'utilisation que Rousseau a faite du paradoxe permet de réexaminer sa conception de la littérature et de montrer qu'elle est le lieu pour l'auteur autant que pour le lecteur - d'une parole responsable et donc morale
In spite of the charge constantly alleged to Rousseau of being a paradoxical writer and the poor reputation of this rhetorical figure, Rousseau finds it the most convenient way to express his ideas. Studying the literary and rhetorical history of paradox, the reception of Rousseau’s works, his imaginary vision of what literature is and his discourse-making methods leads to show that the does not rely exclusively upon the affective and playful qualities of paradox, but confirms them by applying to the hermeneutic and philosophical abilities of paradox, within such an ideal of literature that search for accurate meaning is a moral demand. Through considering what Rousseau’s use of paradox is, we get a reexamination of his conception of literature and can establish that, according to him, literature is - both for writers and readers - a place of responsible speech and thus of moral action
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Huberlant, Gérard. "Éducation et bonheur chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 8, 2002. http://www.theses.fr/2002PA083666.

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Abstract:
La recherche porte sur les mêmes thèmes : le bonheur, l'éducation, la recherche de l'authenticité dans un monde social et culturel factice. La thèse que je propose peut s'énoncer ainsi : toute philosophie de l'éducation est en dernière analyse une philosophie du bonheur. Cette proposition à laquelle je donne expressément un caractère d'universalité sera appliquée à la philosophie rousseauiste dont je vais questionner plus particulièrement l' « Émile ». Il s'agit de déterminer l'être de l'homme auquel peut s'appliquer une telle conception et démarche éducatives. Le monde social, la cité politique étant un risque pour l'aboutissement heureux de l'éducation, Jean-Jacques Rousseau va développer une sotériologie et une doctrine de l'art d'agir, une éthique toute pratique qui fera d'Émile un homme rare. Pour Rousseau, il s'agit de réinventer une nature sociale pour se construire un bonheur qui ne soit sur les traces de personne, un bonheur authentique. En ce sens, l'éducation rousseauiste est une hodologie : le pédagogue doit faire découvrir à son élève « la route du vrai bonheur ». À partir de là, on pourra s'interroger sur la problématique du bonheur et sur une conception rousseauiste d'un type d'homme fort défini dans une dialectique du vouloir et de l'agir, de la puissance et de la volonté. En organisant la réflexion de Rousseau autour du concept d'authenticité et en faisant appel à des auteurs aussi divers que Platon, Kant, Locke et même à des théoriciens contemporains de l'éducation, je veux encore faire parler une œuvre qui a déjà fait couler beaucoup d'encre.
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Casassus, Philippe. "Jean-Jacques Rousseau : le malade et le penseur de la médecine." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2016. http://www.theses.fr/2016USPCD026/document.

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Abstract:
Dans l'œuvre de Jacques Rousseau, à côté de sa philosophie originale, on trouve des idées très précises sur la médecine. Il s'y montre très critique sur l'inefficacité des médecins, qu'il eut bien des occasions de connaître et de juger. Il a en effet souffert d'une pathologie urologique chronique, se manifestant par des crises douloureuses de rétention d'urine, dont il parle régulièrement dans ses courriers. Ce travail trouve sa source principale dans les 7175 lettres (écrites ou reçues) de sa correspondance regroupée par Leigh, complétée par certaines réflexions des Confessions. Son objectif a été d'analyser les symptômes dont il s'est plaint, d'argumenter les propositions de diagnostic faites par les historiographes, mais aussi de suivre l'évolution de ses idées sur les médecins (dont certains ont eu une importance dans sa vie qu'il a été jugé utile de développer), et de ses idées sur une médecine qu'il voulait fondée sur le respect de la nature. Celles-ci, notamment développées dans L'Emile, rejoignaient celles du docteur Tissot et des Hygiénistes. Mais Rousseau était aussi connu pour son caractère susceptible et son goût de la solitude, au point d'être pris en exemple de délire paranoïaque par les psychiatres français du début du XXe siècle. Ce diagnostic est évalué à partir des épisodes de sa vie et des réactions qu'elles suscitent dans cette correspondance, à la lumière des dernières recommandations internationales
Accurate ideas are found in the writings of Rousseau about médicine. He has shown a very critical judgment about the inefficiency of his médical doctors. It is obvious that he contacted them frequently, before ignoring them definitively. lndeed, he suffered in many decades from a painful urologie disease, which could not be cured by physicians, a chronical and congenital urine rétention. Our work draws his source mainly from the 7175 letters (written or received by Rousseau) grouped by Leigh, completed with some data found in the Confessions. Our aim was to analyze his symptoms, evaluate the diagnosis suggested by the numerous doctors and biographs pf Rousseau's life, but also to discuss the évolution of his sévère judgment about the doctors (among which some were so important in his life to justify a development) and his ideas about the medicine, dominated by the respect of Action of nature, particularly approved by doctor Tissot and the « Hygienists » thought group. On the other hand, Rousseau was well known as having shady and solitary character, andt french psychiatrists in the beginning of XXe century took him even as a current example of paranoid délusion. We assess this hypothesis, analyzing his reactions along his eventful life, with reference to international recommendations (DSM)·
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Hatzenberger, Antoine. "Rousseau et l’utopie : de l’état insulaire aux cosmotopies." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040186.

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Abstract:
Au croisement de l’utopologie et des études rousseauistes, cet examen des thèmes et des modèles utopiques dans l’oeuvre de J. -J. Rousseau en révèle une composante importante et permet de ressaisir un moment de transition entre l’âge classique du genre utopique et les utopies modernes. Apparaît alors ceci : revisitant les non-lieux de l’utopie, la cartographie rousseauiste dessine les linéaments d’une utopie critique ; au-delà des principes et des limites de l’État insulaire - particulièrement sensibles dans le Projet de constitution pour la Corse -, se pose le problème de l’utopique dans le cadre des relations internationales. Cette recherche a conduit à considérer (1) les contextes de la réception de l’utopie au XVIIIe siècle et des critiques de l’utopisme rousseauiste ; (2) les sources, les formes, les lieux et la méthode de l’utopie dans la philosophie politique de Rousseau ; (3) la dimension cosmopolitique des utopies de Rousseau
At the meeting-point of utopology and Rousseau studies, this enquiry into the effects of utopia on Rousseau’s political philosophy shows the importance of the latter in the transition between classical utopian patterns and modern utopias. With Rousseau, utopia is at a turning-point : utopias become projects of government, and are developed into a critical model, which goes far beyond the borders of the insular state - epitomized by the Projet de constitution pour la Corse -, and opens up a new scope for international politics. This research on the history of an idea considers (1) the different contexts of the reception of utopia and its influence on the constitution of “rousseauism” ; (2) the utopian models and methods in Rousseau’s works ; (3) Rousseau’s cosmopolitan utopias
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Lenoir, Norbert. "Domination et légitimité : deux stratégies d'interrogation du politique chez Jean-Jacques Rousseau." Aix-Marseille 1, 1998. http://www.theses.fr/1999AIX10023.

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Abstract:
La pensee politique de rousseau possede deux versants. Dans le premier versant, rousseau developpe une reflexion genealogique de la domination politique. Cette genealogie ne fait pas simplement intervenir la categorie psychologique de "la soif du pouvoir". Il s'agit de comprendre que la domination politique s'ordonne a un double processus. Dominer, c'est creer un ordre politique inegalitaire en etant maitre de la puissance d'exclure le peuple des decisions politiques et disposer du pouvoir de produire une opinion publique rendant possible le recouvrement de l'inegalite et favorisant le consentement des individus a cet ordre politique. Le deuxieme versant correspond a une reflexion sur la legitimite politique a laquelle nous conferons deux degres. La legitimite de premier degre met en place les institutions legitimes necessaires du politique qui sont au nombre de trois : le souverain, lieu du pouvoir legislatif, le legislateur, lieu symbolique du savoir politique, le gouvernement, siege du pouvoir executif. Le gouvernement produit, au sein du politique, une dynamique illegitime : de pouvoir subordonne, il devient un pouvoir autonome et usurpe la souverainete. Le probleme du politique, chez rousseau, se pose en ces termes : a partir du moment ou, avec le gouvernement, nous avons d'une part une institution legitime et necessaire et d'autre part l'operateur du renversement du souverain, existe-t-il un moyen politique faisant obstacle a cette dynamique de renversement ? rousseau repond a cette question dans la legitimite de second degre. Dans cette legitimite, rousseau definit trois moyens politiques assumant les fonctions d'obstacle a la dynamique gouvernementale : le tribunal, la manifestation du souverain, la circulation du pouvoir.
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Fradet, Anne-Isabelle. "« Atterrer les rieurs » : Jean-Jacques Rousseau entre la gaieté et la risée (1712-1778)." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040072.

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Abstract:
Contrairement aux idées reçues, Jean-Jacques Rousseau a aimé le rire et la gaieté : différents écrits, souvent allègres, depuis les œuvres autobiographiques jusqu’à ses comédies, nous le prouvent. La Correspondance Complète le confirme : goût du comique, badinage, rire sentimental, bonhomie et même humour caractérisent le Citoyen de Genève que l’on oppose traditionnellement à Voltaire pour son manque de légèreté. Bien plus, les notions de gaieté et le rire s’intègrent à son système philosophique, et contribuent à enrichir sa conception de la société, de l’éducation, de l’enfance et même des femmes – bien au-delà de la seule Lettre à d’Alembert. Inversement, l’écrivain s’est méfié de manière innée du rire de dérision, et surtout du persiflage, dont il s’est vu la victime dans les salons de Paris. De plus, à partir de 1750 et surtout de la réforme de 1756, le Citoyen, devenu le ‘’pourfendeur des rires’’ sur le plan intellectuel et moral, devient lui-même, progressivement, la risée de Paris, de Genève et de Londres (de la part de personnalités aussi différentes que Palissot, Voltaire, Walpole, Grimm ou Diderot) – au point d’imaginer l’existence du « complot » en 1766 à Wootton, et d’y perdre un peu de sa « raison » - mais jamais vraiment de sa gaieté originelle
Contrary to generally accepted ideas, Jean-Jacques Rousseau liked the laughter and the cheerfulness: various writings (his novel Julie ou La Nouvelle Héloïse, his four comedies, his autobiographical works, and even pamphlets), often joyful, prove it. The Complete Correspondence confirms this idea: taste of comic, pleasantry, sentimental laughter, and even humor characterize the Citizen of Geneva who is traditionally opposed to Voltaire for his lack of lightness or wit. Moreover, the notions of cheerfulness and laughter fit his philosophical system, and enrich his conception of society, education, childhood and even women – well beyond the Lettre à d’Alembert sur les spectacles published in 1758. Conversely, and in a more conventional way, the writer used to distrust in an innate way, derision, and the ‘’persiflage’’ he was the victim in the salons of Paris. Especially from 1750 and more specifically after the personal reformation in 1756, Rousseau was the slayer of laughter at an intellectual and moral level, and he became gradually the victim of the laughing stock of Paris, Geneva and London (from personalities as diverse as Palissot, Voltaire, Walpole, Diderot and Grimm) –so much as to imagine the existence of the “complot” at Wootton in 1766
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Rueff, Martin. "Anthropologie et poétique : la notion de modèle chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040209.

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Abstract:
Jean-Jacques Rousseau propose une théorie de l'homme. Pour la mettre à jour dans la rigueur de sa construction, on a essayé de dégager une anthropologie du point de vue narratif. Celle-ci passe par la construction d'un modèle. La poétique du modèle est la réponse au programme de l'anthropologie. On a donc dégagé dans une première partie la nécessité de ce modèle en s'interrogeant sur certaines de ses figurations (Glaucus, Pygmalion, Émile). A cette occasion l'anthropologie du point de vue narratif est apparue comme la critique de l'empirisme. On a ensuite mis en évidence les règles de construction de ce modèle : elles sont tout à la fois des règles d'énonciation, des règles structurelles, des régles logiques et des règles méthodologiques. On pouvait alors tenter de voir fonctionner ces règles à travers les deux grands modèles de l'anthropologie du point de vue narratif : Émile et Julie. La troisième partie est consacrée à la justification du modèle dans les grands textes de l'egologie. Ainsi c'est bien la construction d'un modèle de l'homme qui offre sa cohérence à ce triste et grand système
Jean-Jacques Rousseau's first aim is a theory of man. Like Kant's or Rawls'ones, Rousseau's theory of man is constructivist but his way to build it is quite different. It is an anthropology from a narrative point of view. The essential concept of this anthropology is the model. The poetics of the model is the answer to the program of the anthropology. In the first part, we try to explain the way the model is necessary. We have to study carefully three figures of the model : Glaucus, Pygmalion, Émile. The anthropology appears to be a criticism of empiricism. In the second part we first underline the rules of construction ot the model which are rules of statement, structural rules, logical and methodological rules. Then, we can see the rules at work by studying the two main models of Rousseau's anthropology from a narrative point of view : Émile and Julie. The third part is focused on the justification of the model through the texts of the egology. It is the construction of the model of man which gives its coherence to this big and sad system
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Corbett, Nicole Stephanie-Anne 1983. "Vérité et duplicité dans l'œuvre de Jean-Jacques Rousseau." Thesis, McGill University, 2008. http://digitool.Library.McGill.CA:80/R/?func=dbin-jump-full&object_id=116046.

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Abstract:
Were it necessary to choose two words that could capture the philosophy of Jean-Jacques Rousseau, these two words would have to be truth and nature for, in his works, this philosopher does more than assert that he, and he alone, possesses truth in its entirety. He equally maintains that his sole desire lies in sharing this truth with human kind, that we might rediscover our true nature, one that we have long ago forgotten. In fact, these very words adorn his tomb in the Pantheon where he was finally brought to rest: "Ici repose l'homme de la nature et de la verite." However, upon closer examination of two of his major works, Emile or on Education and The Social Contract, both published in 1762, a surprising contradiction is brought to light. In these treatises, he makes the child and the people believe that they are free when he is merely using rhetoric to manipulate them. For example, in Emile he gives the following advice to tutors: "Take the opposite course with your pupil; let him always think he is master while you are really master. There is no subjection so complete as that which preserves the forms of freedom; it is thus that the will itself is taken captive." While in The Social Contract he recommends using divine intervention to assure that the people "obey freely, and bear with docility the yoke of public happiness." Is Rousseau simply a gifted sophist who, by hiding the rhetoric he uses, can present himself as a man of truth in order to better form the child and the people to do his bidding? Or, is there a justification for his duplicity? Could it be possible that in some instances duplicity must be used if truth is ever to be attained by all human beings? By examining the rhetoric Rousseau uses in Emile and The Social Contract, this thesis attempts to shed some light on this somewhat troubling contradiction.
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Lurson, Isabelle. "La duplicité du littéraire et du philosophique : langage et subjectivité chez Jean-Jacques Rousseau." Lille 3, 2009. http://www.theses.fr/2009LIL30071.

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Abstract:
"Il s'agira de montrer que le partage, établi par Rousseau, entre philosophie et roman éclaire sa réflexion sur la langage. L'expression rousseauiste, "persuader sans convaincre", atteste la recherche de l'articulation entre langage, subjectivité et vérité. La valeur de la persuasion s'enracine dans différents modèles. Rhétorique antique, langue originelle, écriture néotestamentaire légitiment l'idée d'une adéquation entre persuasion et vérité. Au cœur du travail philosophique, La Nouvelle Héloïse, écriture du désir d'abord déliée du souci de vérité, instruit l'étude de la philosophie de Rousseau "se faisant". Expérience de la pensée, le jeu de l'écriture romanesque a permis à Rousseau d'explorer le concept de subjectivité en faisant vivre des âmes pleines de pitié, d'amour, de désir et d'imagination. A ce titre, La Julie est un moment essentiel de la réflexion de Rousseau. L'attitude ambigu¨e de Rousseau face à son roman témoigne de son embarras devant cette écriture du désir à laquelle il finit néanmoins par conférer une valeur morale. Cela conduit alors à un deuxième enjeu théorique. Reconsidérer la notion d'inspiration dans ses liens avec l'imagination et le langage permet de cerner le statut de la fiction romanesque. La Julie n'agit ni par l'opération de la catharsis ni par la transmission d'idées mais comme moyen persuasif efficace, par l'identification du lecteur à des personnages fictifs. Les hommes, désormais orientés par l'amour-propre, source de leurres moraux et politiques, doivent être contraints à bien vivre par les lois et les "bonnes fictions" mises en œuvre par le législateur et l'écrivain. Le roman, comme la loi, doit fabriquer le citoyen"
This is to show that the distinction established by Rousseau between philosophy and the novel sheds a light on his reflexion on language. Rousseau's phrase, "persuading without convincing" attests to a search for an articulation between language, subjectivity and truth. The value of persuasion is rooted in various models - the ancient rhetoric, the musical language, the New Testament - which all legitimize the idea of adequacy between persuasion and truth. At the heart of philosophical work, La Nouvelle Héloïse and its writing fuelled by desire, not bound by a concern for truth, informs us about Rousseau's philosophy "in the making". As an experiment in thinking, the process of writing at play in the novel allowed Rousseau to explore the concept of subjectivity by creating souls filled with compassion, love, desire and imagination. As such, La Julie is a key moment in his reflexion. Rousseau's ambiguous attitude to his novel testifies to the confusion created by this desire-fuelled writing to which he will yet grant a moral value. This then leads to a second theoretical issue. Reconsidering the notion of inspiration in its links with imagination and language helps to define the status of the novel. La Julie works through neither catharsis nor the conveying of ideas but, as an effective means of persuasion, through the identification of the reader with fictionnal characters. Men, now driven by pride, a cause of moral and political delusions, must be compelled to lead a good life by the laws and the "good fictions" implemented by legislators and writers. The novel, like the law, must have a part in the making of the citizen
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Dobashi, Yuriko. "L'histoire textuelle des "Dialogues" de Jean-Jacques Rousseau (de 1772 jusqu'à leur première édition)." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2018. https://theses.md.univ-paris-diderot.fr/DOBASHI_Yuriko_va2_28292019.pdf.

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Abstract:
Jean-Jacques Rousseau, hanté du délire de persécution, entreprend de rédiger une œuvre extraordinaire : Rousseau juge de Jean-Jacques―Dialogues. Dans cet ouvrage, l’auteur, qui s’estime défiguré et diffamé par l’hostilité unanime des ennemis et du public, fait dialoguer « Rousseau » et « le Français » afin de prouver désespérément l’innocence de « Jean-Jacques » et de dévoiler les injustices qui lui sont faites. Cette œuvre, que même les vrais amis ou les défenseurs de Rousseau ont hésité à publier à cause de son étrangeté, a longtemps été considérée comme le document du délire paranoïaque de Rousseau et été tenue à distance par les chercheurs littéraires. Tel était son statut jusqu’aux interventions de Michel Foucault et de Jean-Marie Goulemot. Est-ce pour cette raison que les études non seulement sur leur contenu, mais aussi sur leur rédaction, leurs manuscrits et leurs éditions n’avancent pas au même rythme que ses autres ouvrages, en particulier les Confessions ? Il existe en effet nombre d’études sur les manuscrits et les éditions des Confessions.Il s’agira dans cette thèse de reconstituer l’histoire textuelle des Dialogues en utilisant efficacement non seulement sa correspondance et les quatre manuscrits des Dialogues, mais aussi les Mémoires et les correspondances des contemporains. L’ambition est triple : préciser l’histoire de la rédaction, mettre les manuscrits en ordre et poursuivre l’examen jusqu’à la première édition genevoise du texte par ses amis
Jean-Jacques Rousseau, haunted by the delusion of persecution, undertakes to write an extraordinary work : Rousseau judge of Jean-Jacques-Dialogues. In this book, the author, who considers himself disfigured and defamed by the unanimous hostility of the enemies and the public, makes "Rousseau" and "the Frenchman" dialogue in order to prove desperately the innocence of "Jean-Jacques" and reveal the injustices that are made to him. This work, which even the true friends or supporters of Rousseau have hesitated to publish because of its strangeness, has long been considered the document of Rousseau's paranoid delusion and was held at a distance by literary researchers. This was his status until the interventions of Michel Foucault and Jean-Marie Goulemot.Is it for this reason that the studies not only on their content, but also on their writing, their manuscripts and their editions do not advance at the same rate as his other works, in particular the Confessions? About Confessions, there are many studies on manuscripts and editions. In this thesis, it will be necessary to reconstitute the textual history of the Dialogues by effectively using not only his correspondence and the four manuscripts of the Dialogues, but also the Memoirs and the correspondences of the contemporaries. The ambition is threefold : to clarify the history of writing, to put the manuscripts in order and to continue the examination until the first edition of Geneva by his friends
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Sampieri, Jean-Christophe. "Jean-Jacques Rousseau : Esthétique et révolte (l'auteur, le public, son public : entre solitude et communauté ; entre philosophie et Oeuvre de pensée)." Paris 7, 2002. http://www.theses.fr/2002PA070067.

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Abstract:
La thèse s'articule en trois parties, selon une progression qui tente de retracer la genèse de l'écriture de rousseau, ici déchiffrée comme mouvement de "révolte" cheminant de l'esthétique vers l'éthique : partant des discours, nous nous sommes d'abord efforcé de cerner les apories de l'éloquence rousseauiste, notamment dans la méfiance fascinée qu'elle nourrit tant vis-à-vis de la "rhétorique" que des pouvoirs de l'image; à travers la nouvelle Héloïse et l'essai sur l'origine des langues, nous avons ensuite tenté de montrer que la polyphonie rousseauiste se dépliait comme un espace imaginaire ou Rousseau - face à la crise du sens révélée par les discours - se livrait à une véritable refonte du symbolique et de la subjectivité ; enfin, relisant les deux premiers livres des Confessions à la lumière crue du "Drame" de 1762 et de la "Scène mythique" du lévite d'Ephraïm, nous avons essayé de nous demander quel pouvait être, dans ce contexte, le sens du "passage à l'acte" autobiographique
Our thesis consists in three parts, following a progression that attempts to retrace the singular genesis of Rousseau's writing, here deciphered as a movement of "Rebellion", from aesthetics to ethics : beginning with the "discours", we first tried to understand the difficulties of Rousseauist eloquence, particularly that fascinated suspicion it nourishes towards "rhetoric" as well as the powers of image ; then, with the "Nouvelle Eloi͏̈se" and the "Essai sur l'origine des langues", we attempted to show that Rousseauist polyphony unfolded itself as an imaginary space where Rousseau - confronted to a crisis of the sense that the "Discours" had unveiled - did undertake to a thorough refoundation of the symbolic system and subjectivity ; finally, we reread the first two books of the "Confessions" under the crude light of the 1762 "drama" and the "mythical scene" of the "Lévite d'Ephrai͏̈m", so as to try to understand which could be, in that context, the signification of the autobiographical "acting out"
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Yoshino, Michiko. "Anthropologie de Jean-Jacques Rousseau : l'homme, la morale et la modernité." Paris 1, 1999. http://www.theses.fr/1999PA010611.

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Abstract:
La présente thèse a pour but de tracer les contours de l'anthropologie de Jean-Jacques Rousseau dans sa dimension sociale et morale. Dans son étude de l'homme et de la nature humaine, Rousseau part de la connaissance de soi. Il se donne pour tâche de mettre en lumière le processus d'anthropogenèse ou l'homme de la nature passe du stade de sa nature donnée au stade de l'humanité. L'être humain est appréhendé comme étant dynamique, en devenir. Or, l'homme en tant qu'individu ne peut devenir soi que dans la société qui pourtant le dénature inéluctablement. Dans la mesure où le principe de la nature humaine consiste dans la conservation de soi ou l'amour de soi, la socialisation de l'homme apparait sous cet angle comme processus de transformation de l'amour de soi. La pensée anthropologique de rousseau se trouve ainsi marquée par l'antagonisme de l'amour de soi et de l'amour de l'humanité, de la passion et de la raison, du soi et d'autrui. La doctrine de la conscience, impulsion morale, apparait comme une issue au rapport de conflits qu'entretient le moi moderne avec autrui et la société. L'homme civil qui se livre à la poursuite de son intérêt propre, à l'individualisme egocentrique, ne peut pas être libre et heureux sans se faire vertueux par la volonté d'être maitre de soi, de ses passions. Etant motivée par l'idée d'une bonté naturelle et d'une humanité universelle, la pensée anthropologique de Rousseau se déploie comme un dialogue permanent entre vertu et bonheur, raison morale et nature humaine. La conception rationaliste de la morale, fondée sur la seule raison, est rejetée. Il est question chez lui non pas d'un système moral, cohérent en lui-même, mais d'une morale d'humanité qui se pratique par l'appui de la sensibilité du cœur
The purpose of this thesis is to understand Rousseau's thought of man in its social et moral dimension. In his study of man and human nature, he begins with the knowledge of self. He attempts to shed light on the genesis of human being and humanity by which each man passes from the stage of the given nature to the stage of humanity. Man as individual, however, cannot become himself without his relationship with others in society. Insofar as the principle of human nature lies in the self-preservation or love of oneself, the question is to explain the man's socialization as a process of transformation of the self-love. The human being is described as an existence in a incessant becoming. Rousseau's anthropological thought is moved by a antagonism between love of oneself and love of humanity, passion and reason, self and another. His doctrine of the consciousness as inner voice of moral sentiment presents a solution for the conflicts of individual with others in society where each man abandons himself to a pursuit of his own interest and therefore to individualism. The socialized man cannot be free and happy unless he has virtue. Rousseau's thought appears here as a fundamental criticism of modern society and selfish individualism, and as a perpetual seeking for morality. His ideas about morality are constituted by a dialogue between virtue, ideal of self-mastery, and desire of happiness, on the basis of the concepts of man's natural goodness and universal humanity. The rationalistic conception of morality based on a mere reason is rejected
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Kërtusha-Tartari, Eriona. "Lire et traduire "Émile ou de l'éducation" de Jean-Jacques Rousseau." Montpellier 3, 2008. http://www.theses.fr/2008MON30090.

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Abstract:
Pour réaliser cette traduction de l’Émile ou de l’éducation il a été nécessaire auparavant d’étudier les apports des précédentes traductions et leur acception dans la littérature albanaise, de réfléchir aux problèmes épistémologiques que souligne l’accueil de l’oeuvre selon les sociétés dans leur temps et leur culture. Toute traduction (à condition de répondre à un minimum de contraintes scientifiques et de compétences) a sa valeur. Notre traduction complète de l’ouvrage s’attache à rendre fidèlement non seulement la pensée de Jean Jacques Rousseau mais aussi son style c’est-à-dire les images et le rythme de son écriture, prenant soin d’expliquer au lecteur français les choix méthodiques de ce travail. Enfin un appareil critique de la traduction ici proposée permettra une étude systématique destinée à comprendre l’oeuvre de Jean Jacques Rousseau et les modalités de sa réception dans l’Albanie du XXIe siècle
Preliminary research on preceding flow of translations, reception and their use in Albanian Literature served as a starting phase for accomplishing the translation of ‘Emile, or on Education’. It included reflection on epistemological problems which emphasize the reaction of societies to certain writing works depending on time and culture. Every translation has its own value as long as it fulfills the minimum scientific convention and competence. Our complete translation of the writing work strives not to simply represent the thoughts of Jean Jacques Rousseau but also the writing style which involve images and rhythm, his attention to explain to the French readers the methodological selections of this work. In conclusion, a critic instrument of the proposed translation will allow a systematic approach destined to comprehend the work of Jean Jacques Rousseau and modalities of its reception in 21st Century Albania
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Audi, Paul. "L'autorité de la pensée : essai de phénoménologie matérielle sur Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040108.

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Caudoux, Benoit. "Écriture et éthique chez Jean-Jacques Rousseau : le sentiment de l'extériorité." Amiens, 2012. http://www.theses.fr/2012AMIE0029.

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Abstract:
Rousseau se dit étranger à son temps ; les "les heureux du siècle" sont étrangers à leur savoir et à eux-mêmes. La critique de la modernité s'appuie sur le sentiment de la lettre morte. Elle dénonce les savoirs vains, la réification instrumentale des représentations, le discours qui échoue à saisir les principes - la vérité du vrai, la bonté du bien, et l'ancrage dans l'ordre naturel de toute la sphère humaine, la sensibilité. Le philosophe peut-il alors régénérer les signes, afin que la vie sociale et la communication ne soient plus vues hors de soi sans lien à l'odre naturel ? Le défi est d'inscrire la continuité d'un horizon sensible, et la reconnaissance du semblable qui en fait partie, dans les signes discrets. La lettre vive est toujours celle qui intègre en elle son origine ; elle est dialogique. La réaction de Rousseau prend forme d'écriture, au sens de la construction d'un horizon de signes autour des âmes qui réalise l'idéal philosophique d'un matérialisme du sage
Rousseau claims to be a stranger to his times. But the lucky ones of these times are strangers to their knowledge and to themselves. Rousseau's critique of modernity stems from the feeling of a learned discourse that doesn't ring true. He criticizes the philosophers' dead words, vain knowledge, and the instrumental reification of representations in a discourse that looses track of all principes - the truth of the true, the goodness of the good, and the anchorage of all human sphere in the natural order : sensibility. Can the philosopher, then, regenerate signs, so that social life and communication no longer mean life out of oneself, far from the natural order ? The challenge is to chart the continuity of a sensible horizon, and the accompanying recognition of our fellows, into discrete signs. The living word is the one that carries its origin. It's dialogical. Rousseau's reaction, then, lies in a form of writing which builds a horizon of signs around souls
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Champseix, Alain. "Progrès et humanité dans l'oeuvre de Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 1999. http://www.theses.fr/1999PA040221.

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Abstract:
L'homme tend à se perdre dans son progrès et, pourtant, il est inconcevable sans lui. Il ne peut donc ni y renoncer ni y adhérer pleinement. Quelle est sa situation par rapport à lui et comment l'expliquer ? Pour le savoir il convient de se référer à la nature. Elle indique, en effet, qu'il est destiné au bonheur et à la liberté. Il s'agit, par conséquent, de se demander comment ces derniers peuvent s'accorder avec le progrès. La thèse établit que celui-ci est conforme à la nature, est même demandé par elle, mais qu'il n'est positif pour l'être humain qu'à la condition que les individus et les sociétés se soucient d'elle et sachent la découvrir. Au bout du compte, sans l'humanité, la nature, qui ne peut être dissociée d'une certaine dimension métaphysique, n'a pas de réalité. C'est à l'homme de la prolonger et de la promouvoir.
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Yennah, Robert. "Le moi dans les Confessions et le Contrat social de J. -J. Rousseau." Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1991PA040132.

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Abstract:
Les confessions et le contrat social de rousseau definissent le "moi" comme personne physique ou morale essentiellement individualisee, unique, autonome, et consciente de soi. Homme ou corps politique, le moi manifeste, dans ses relations sociales ou exterieures, une dynamique d'expansion et de resserrement de soi; et dans son moral et sa fortune, un mouvement d'exaltation et de grandeur, d'effacement ou de decadence. La nature du moi chez rousseau se reflete dans la stucture du contrat social qui est celle d'un prologue temoin de l'innocence obsessionnelle de l'auteur, suivi d'une elevation vers un ideal politique dont la suite s'efface avec la conclusion du traite. Enfin, les travaux de rousseau sur la corse et la pologne constituent une evolution, en termes concrets, de l'idee du moi commun, tandis que l'emile et julie comportent la partie du moi rousseauiste refoulee devant les contraintes de la vie reelle
Rousseau7s confessions and social contract define the self as a physical or moral person essentially individualised, unique, autonomous, and self-conscious. As man or political body, the self manifests in its social or external3 relations a dynamic character involving the extension of its being over others or a retreat form them; whileits morale and fortune are maked by exaltation or grandeur, by self-effacement or decline. The nature of rousseau's own self is reflected in the structure of the social contract, with a prologue revealing the obsessional innocence of the author, followed by a rise unto a political ideal whose continuation is discarded by the conclusion. Rousseau's works on corsica and poland constitute an evolution, in concret terms, of the idea of the collective self ; while emile and julie contain the part of rousseau's self repressed in the face of constraints in real life
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Guénard, Florent. "L'idée de convenance dans la pensée de Jean-Jacques Rousseau." Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100002.

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Abstract:
L'idée de convenance désigne une relation immanente entre les parties, qui émerge des termes en rapport et qui n'est pas imposée par un ordre extérieur. Une telle relation peut être qualifiée de naturelle. L'idée de convenance est au coeur de la pensée de Jean-Jacques Rousseau, dont elle ressaisit la systématicité : elle permet d'articuler la politique et la morale, elle permet d'examiner les fondements d'une communauté, elle permet de déterminer les conditions de la législation. Elle qualifie quatre types de support : la convenance des parties du monde,dont témoigne des rapports naturels et qui nourrit la croyance en un Grand Artisan ; la convenance entre l'action et les disposition naturelles, qui suppose que la vertu ait un fondement passionnel ; la convenance des individus liés par leurs seules affinités, sur lesquelles doivent reposer les unions domestiques ; enfin, en politique, la convenance entre les lois et les moeurs, nécessaire à la convenance des citoyens au sein d'une patrie à laquelle ils se sentent appartenir. Un ordre naturel est ainsi donné à perscevoir dans les choses. Mais il faut être en mesure de le percevoir : est requise une intelligence des relations, qui suppose une observation des singularités, une mise en rapport des réalités et un jugement sur leur convenance. Elle ne met pas en application une aptitude au raisonnement déductif, mais fait appel à l'expérience. La pensée de Rousseau révèle ainsi toute sa spécificité. Elle s'oppose à la fois au jusnaturalisme moderne, qui néglige les déterminations locales, et au scepticisme, qui s'en tient à une diversité phénoménale ; au positivisme qui exalte la volonté, considérée comme source unique d'ordre, et au naturalisme qui juge l'ordre naturel comme essentiel. L'erreur menace la philosophie qui confond le fait et le droit, la nature des choses et l'histoire, et qui finit par justifier l'ordre établi et l'inégalité, économique et politique, qu'il recouvre.
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Mineau, Caroline L. "La sincérité dans l'oeuvre de Rousseau : théorie morale et pratique littéraire." Master's thesis, Université Laval, 2006. http://hdl.handle.net/20.500.11794/18271.

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Le, Menthéour Rudy. "L'homme dénaturé : l'anthropologie polémique de Jean-Jacques Rousseau." Grenoble 3, 2007. http://www.theses.fr/2007GRE39054.

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Abstract:
Il s'agit de montrer l'interdépendance entre la théorie de la dénaturation élaborée par Rousseau et sa stratégie polémique. La première partie s'attache à la distinction entre l'amour de soi et l'amour-propre, qui constitue un exemple de la bataille sémantique que Rousseau livre contre ses adversaires philosophiques. La recherche des sources cède la place à l'approche de cette lutte pour l'assignation du sens. La deuxième partie analyse la façon dont Rousseau détourne le discours médical, en s'opposant à la nouvelle anthropologie médicale. Bien qu'il réfute le diagnostic de mélancolie destiné à dévaloriser sa théorie de l'homme, il s'inspire du modèle de l'ennemi pour élaborer sa propre hygiène des passions et concevoir le projet d'une "morale sensitive". La troisième partie aborde un nouvel enjeu de la polémique : l'éthos, dont Rousseau use à merveille et qu'il parachève en faisant "profession de véracité", selon une perspective spirituelle. Cet éthos non classique le conduit à une innovation majeure, qui consiste à confondre posture rhétorique et figuration de soi. Cette étude a pour ambition de replacer la stratégie polémique au cœur de la pensée des Lumières, et notamment du système politique et moral de Rousseau
This thesis will attempt to illustrate the strong link between Rousseau's theory of denatured man and his polemical strategy. The first part deals with the distinction between self-love ("amour de soi") and self-liking ("amour-propre"), which is an example of the semantic battle between Rousseau and the "Philosophes". The research on the sources gives precedence to a close approach to this fight for significance. The second part analyses the way Rousseau paradoxically assimilates the medical discourse in order to oppose the new medical anthropology. Even though he denies the diagnosis of melancholy which undermines his theory of man, he draws upon the enemy's concepts and methods to work on his own hygiene of the passions and plan his new "sensory morals". The third part broaches another object of the controversy, namely the ethos. Rousseau masters this rhetorical device and conveys it an utmost efficiency thanks to his "profession of truth", in tune with his spiritual quest. This unconventional ethos leads him to a major innovation : the deliberate merging of rhetorics and self-representation. This study aims at putting polemical strategy back into the core of the thought of Enlightenment, and notably Rousseau's political and moral system
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Py, Gilbert. "Rousseau et les éducateurs : essai sur la fortune des idées pédagogiques de Jean-Jacques Rousseau en France et en Europe au XVIIIe siècle." Paris 4, 1991. http://www.theses.fr/1991PA040088.

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Abstract:
Les réactions en Europe aux idées pédagogiques de Rousseau furent passionnées comme en témoigne la double polémique qui l'oppose à l'Eglise et aux philosophes. Seul Kant comprend Rousseau comme un philosophe des Lumières au second degré. Cependant les principes de l'éducation naturelle négative s'imposent dans l'éducation familiale, favorisent l'essor des instituts de type philanthropiniste, nourrissent les réformes dans toute l’Europe. Cette fortune correspond à celle de la médecine infantile. On voit naitre la puériculture, une ébauche d'école maternelle. On reforme l'éducation féminine. L'éducation physique prend sa place dans les programmes-scolaires. Nées toutes deux de l'empirisme, la fortune des idées pédagogiques de Rousseau et celle du sensualisme se confortent pour s'opposer à l'enseignement traditionnel et se distinguent par les présupposés psychologiques, les contenus culturels et les méthodes. C'est cependant dans les romans d'éducation que les idées pédagogiques de Rousseau, centrées sur l'enfant, se manifestent le plus.
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Labrusse, Sébastien. "Sentiment de la nature et esthétique du lieu chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 12, 2002. http://www.theses.fr/2002PA120040.

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Abstract:
Cette thèse montre comment Rousseau a transformé le sens du mot de nature. Il a d'abord élaboré l'idée de nature afin de penser les problèmes de philosophie politique. La nature lui est apparue comme le lieu où la violence ne se voit pas, étant hors de l'Histoire. Mais cette nature primitive est perdue d'une manière telle qu'il n'est ni possible, ni souhaitable de désirer y retourner. Pourtant, Rousseau s'est passionnément mis en quête d'un " lieu sauvage" ou " désert ", qui soit intact. Mais il n'est pas parvenu à rencontrer la nature ailleurs que dans son propre coeur. En l'identifiant à la subjectivité, il en propose une définition radicalement nouvelle elle ne peut plus être réductible à l'objectivité, puisqu'elle se confond avec le sentiment intérieur. La nature extérieure, le lieu, le paysage, n'ont donc de statut que par rapport à une subjectivité, Il apparaît ainsi qu'on ne peut penser l'esthétique de Rousseau qu'en se reportant à sa philosophie de la vie intérieure
This thesis shows how Rousseau transformed the meaning of the word Nature. He first developped the idea of Nature to reflect on politics. It occured to him that nature was a place where violence had no dominion, insofar as it was outside of history. But this primitive state of nature has been lost to such an extent that it is no longer neither possible nor desirable to return to it. Nevertheless, Rousseau passionately sought a "wilderness" or "desert " that had survived intact. But he was only able to encounter this within his own heart. By deliberately confusing it with subjective experience he proposed a radical re-definition of nature which cannot be reduced to objective fact. External nature, place and landscape exist only in relation to a subject. We hold, therefore, that Rousseau's aesthetics can only be understood with reference to his philosophy of the inner life
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Maheux, Pierre-Olivier. ""Corses, voilà un beau modèle" : les référents suisse et romain dans le Projet de constitution pour la Corse de Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/27690/27690.pdf.

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Rémy, Catherine. "Critique sociale et éducation dans l'oeuvre de Rousseau." Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010633.

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Abstract:
Cette étude de l'œuvre de Rousseau porte principalement sur les deux questions suivantes : comment concevoir la cohérence des thèses Rousseauistes malgré leur formulation parfois paradoxale ; et en particulier, comment Rousseau peut-il écrire que la liberté est "l'essence et la destination de l'homme" et en même temps adopter des positions très conservatrices dans certains domaines ? Quels liens peut-on établir entre les positions politiques, et plus largement entre la critique de la société prononcée pour Rousseau, et ses théories sur l'éducation ? Les deux premières parties envisagent la critique sociale menée par Rousseau, sa recherche de la liberté politique puis morale, mais aussi les limites de celle-ci. Les deux autres parties traitent de l'éducation et de l'émancipation des individus dans une société donnée, et du rapport entre ces thèmes et les questions politiques precedemment étudiées. Ce travail s'appuie sur les écrits de Rousseau, mais aussi sur les avis de nombreux commentateurs de son œuvre, parfois pour adopter leur point de vue (A. Goldschmidt, Y. Vargas. . . . ), parfois pour s'en démarquer (A. M. Melzer. . . . ). Prenant en compte leurs diverses analyses, notre propos a été de montrer comment la pensée de Rousseau était à la fois guidée par une recherche théorique des conditions favorables au développement de la liberté humaine et par un constant souci de maintenir, dans l'ordre social existant, les formes les plus archaïques de domination.
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Lafouge, Marion. "Du monstre à la chimère : Penser l'opéra comme genre, de Rinuccini à Rousseau." Aix-Marseille 1, 2009. http://www.theses.fr/2009AIX10106.

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Abstract:
L'opéra est-il un genre ? La question ne se pose plus aujourd'hui dans les mêmes termes que lors de la naissance à Florence au tournant du XVIIe siècle, à un moment où, la musique étant assujettie au texte, cette nouvelle espèce dramatique relève officiellement de la poésie. Sa nature hybride et proprement monstrueuse rend difficile son intégration dans le système des genres hérité d'Aristote. Aussi fait-il l'objet, en Italie comme en France où il est naturalisé par Lully et Quinault, de diverses stratégies de légitimation (ou déligitimation) théorique, qui prennent toujours la tragédie comme point de référence. Ces stratégies, qui achoppent sur le problème du plaisir et de la sensualité, échouent pourtant à doter l'opéra d'une identité stable. Mais cette irréductibilité générique est aussi ce qui fait de lui un objet de fantasmes : le monstre se retourne alors en chimère, comme c'est le cas chez Rousseau, qui pense et rêve l'opéra hors de l'esthétique et du système classique des genres - l'atteste La Nouvelle Héloïse, roman-romance qui peut aussi se lire comme un opéra idéal.
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Camus, Hélène. "Timidité de Jean-Jacques Rousseau : écriture et vérité dans les confessions, les dialogues et les rêveries." Paris 7, 2006. http://www.theses.fr/2006PA070011.

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Abstract:
La timidité chez Rousseau est un objet d'étude paradoxal puisque définie (entre autres) comme ce qui ne saurait par essence s' énoncer, mais aussi comme ce qui, se dérobant ouvre dans ce mouvement même, vers le vrai, en tant que travail auto-réfléchissant de celui-ci sur lui-même, tel que délimité et produit par la fiction de l'origine opposée par Rousseau à l'anthropologie dominante de son époque. Cet objet est travaillé à la fois comme tel et dans ses effets heuristiques pour la compréhension de la pensée et de la pratique de la langue chez Rousseau : il y ouvre en effet sur une redéfinition de l'amour de soi dans un rapport avec l'amour d'autrui, sur une position de la problématique du manque comme émergence d'une sémiotique de la valeur,sur une réinterprétation de la mémoire et de l'involontaire comme procès et langage, sur une réévaluation de l'enjeu théorique de la catégorie de " langue des signes " et de ses rapports avec l'écriture (timidité et langue des signes - celle-ci exprimant celle-là - sont conçues comme " reliant l'autobiographie et le système "), ou encore sur une mise en perspective du différé de l'écriture " in absentia " caractéristigue de la position rhétorigue de Rousseau, à travers la figure de la prosopopée. Se trouve ainsi exposé un " dispositif timide ", la logigue singulière du " peu " au travers notamment de l'image du " léger mouvement " travaillant dans toute l'œuvre (principalement comme dialogue) à modifier le fonctionnement du système énonciatif, particulièrement la place du lecteur en instaurant celui-ci comme signe -corrélé à ceux de renonciation timide- d'une subjectivité universelle
Timidity is a paradoxal object since it is defined as something wich essentially cannot express itself, but also as something wich, concealing itself, in that precise mouvement, open towards thruth working itself reflectively as something at last, delimited and produced by the fiction of the origin opposed by Rousseau to the dominant anthropology of his time. This object is questionned at the same time in its heuristic effects for comprehension of the language's thought and practice in Rousseau's work. It opens indeed inside Rousseau's work : on a redefinition of the self-love in a relationship with the love of others, on a position of the problems a the Iack as emergence of the semiotics of the value, on a reinterpretation of the memorv and the involuntary like effect and language, on a reevaluation of the theoretical stake of the category of " language of the signs " and of its relations with writing (timidity and language of the signs - this one expressing that one - are conceived as " joining together the autobiography and the System "), or also at the prospect of delaved-actior of writing " in abstentia " characteristic of Rousseau's rhetoric position through the figure of prosopopeia. Is thus exposed a " timidity's device ". Singular logic of " few " (among others through the image of " light mouvement ") acting in Rousseau's entire work (particulary as dialog) to modify the opération of the enunciative System, specially the place of the reader by founding this one like a sign -joigned to the signs of timid enunciation- of an universel subjectivity
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Inoue, Sakurako. "La valeur philosophique de la rêverie chez Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040251.

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Abstract:
Cette étude se propose de réexaminer la conception de la rêverie chez Jean-Jacques Rousseau, en la replaçant dans l'évolution de la poésie descriptive. La première partie tente de mettre en évidence tant les sources de la rêverie rousseauiste que les caractéristiques de la création littéraire des années 1760-1770, à partir de l'étude génétique des Saisons de Saint-Lambert : une œuvre ne provient pas des méditations solitaires d'un seul auteur, mais des concurrences et des échanges d'idées entre divers philosophes et écrivains ; et le thème du sentiment de l'existence, qui était popluaire parmi les philosophes vers 1750, s'insinue dans le milieu poétique grâce à Saint-Lambert qui avait des relations amicales avec les penseurs sensualistes. S'attachant aux débats philosophiques entre les Encyclopédistes et Rousseau concernant la jouissance et la moralité, la seconde partie examine l'influence de ces débats sur leur création littéraire. Cette démarche nous permet de déterminer le sens philosophique qu'accorde Rousseau à la rêverie. En se penchant sur les passages sur la rêverie dans Les Mois de Roucher la troisième partie essaie de définir l'apport de la rêverie rousseauiste à l'évolution du lyrisme au tournant des Lumières. Cette étude tente ainsi de souligner que l'esprit philosophique qui caractérise le siècle des Lumières n'est pas en opposition avec l'esprit poétique, mais qu'il a apporté une contribution importante à la renaissance du lyrisme à la fin du XVIIIe siècle
This work reexamines Jean-Jacques Rousseau's conception of the reverie, by placing it in the evolution of the descriptive poesy. The first part tries to reveal the sources of Rousseau's reverie and the characteristics of the literary creation in the 1760s and 1770s, by the genetic study of The Seasons of Saint-Lambert : a work doesn't come from the solitary meditations of only one author, but from the rivalries and the exchanges of ideas between diverse philosophers and writers ; and the theme of the sentiment of existence, that was popular among the philosophers around 1750, insinuates into the poetical milieu thanks to Saint-Lambert who had amicable relations with the sensualists. Paying attention to the philosophical quarrels between the Encyclopedists and Rousseau concerning to the delight and the morality, the second part examines the influence of these quarrels on their literary creation. This approach enables us to determine the philosophical sense that Rousseau gives to the reverie. Examining the passages on the reverie in The Months of Roucher, the third part tries to define the contribution of the reverie of Rousseau to the evolution of the lyricism in the end of 18th century. In this way, this work attempts to demonstrate that the philosophical mind, which characterizes the Age of the Enlightenment, isn't opposed to the poetical mind, but it brought an important contribution to the renaissance of the lyricism in the end of the 18th century
@This work reexamines Jean-Jacques Rousseau's conception of the reverie, by placing it in the evolution of the descriptive poesy. The first part tries to reveal the sources of Rousseau's reverie and the characteristics of the literary creation in the 1760s and 1770s, by the genetic study of The Seasons of Saint-Lambert : a work doesn't come from the solitary meditations of only one author, but from the rivalries and the exchanges of ideas between diverse philosophers and writers ; and the theme of the sentiment of existence, that was popular among the philosophers around 1750, insinuates into the poetical milieu thanks to Saint-Lambert who had amicable relations with the sensualists. Paying attention to the philosophical quarrels between the Encyclopedists and Rousseau concerning to the delight and the morality, the second part examines the influence of these quarrels on their literary creation. This approach enables us to determine the philosophical sense that Rousseau gives to the reverie. Examining the passages on the reverie in The Months of Roucher, the third part tries to define the contribution of the reverie of Rousseau to the evolution of the lyricism in the end of 18th century. In this way, this work attempts to demonstrate that the philosophical mind, which characterizes the Age of the Enlightenment, isn't opposed to the poetical mind, but it brought an important contribution to the renaissance of the lyricism in the end of the 18th century
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Schmitz, Norbert. "Leurres et vérité : aspects linguistiques de la recherche du sens dans l'oeuvre de J.-J. Rousseau." Montpellier 3, 1986. http://www.theses.fr/1986MON30024.

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Abstract:
L'ecriture de j. -j. Rousseau se caracterise par la rupture avec les conceptions recues de l'unite du langage, rupture qui est bien percue, mais qui n'est pas concue positivement. L'ecriture developpe cette impossibilite et se presente comme la tentative de lever le conflit de langage par la double critique des discours recus et des discours des lumieres (attitudes du grammairien et du moraliste moderne). Rousseau cherche a retablir l'unite contre la difference et la pluralite reelles des langages, qui fondent son experience langagiere. En outre, cette ecriture developpe, par la recherche de la caution de la science, une pseudo-conception de la nature, qui assure la coherence au niveau de l'analyse et du raisonnement des faits historiques et sociaux. L'"homme", objet de cette pseudo-conception, est considere comme essentiellement non-contradictoire. L'auteur construit son unite en representant un espace social qu'il veut controler et maintenir. Le refus de l'idee de la rupture devient finalement perceptible dans l'attitude perfectionniste: perpetuel retour sur les contradictions de l'ecriture et tentatives reiterees de les contenir et de les evacuer en affinant les descriptions, raisonnements et demostrations. Rousseau, reduit a l'auto-censure (l'idee du "complot"), touche aux limites de son ecriture. Il place la problematique (moderne) du langage dans l'antinomie des leurres et de la verite, et par la, apporte une reponse litteraire grace a un systeme de formules (circulaires) qui constitue la charpente de son ecriture. Il retrouve ainsi le sens
The originality of rouseau's writing consists in a break with the traditional conceptions of the unity of language, which is rightly perceived, but not positively conceived. His writing develops out this impossibility and appears as the attempt to solve the conflict of language of traditional discourses and the enlightment ones as well (attitudes of modern grammarian and moralist). Rousseau's purpose is to re-establish unity against real difference and diversity of languages, on which his linguistic experience is based. Besides, as it searches the caution of science, his writing develops a pseudo-conception of nature, which makes coherent reasoning analysis of historical and social facts. "man", who is the purpose of this pseudo-conception, is considered as essentially non-contradictory, the author builds his unity by representing a social space he wants to control and maintain. To refuse the idea of breaking finally becomes perceptible in perfectionnist attitude: perpetual return to the contradictions of writing and repeated attempts to contain and evacuate them in making the descriptions, reasonings and demonstrations more precise. Rousseau, reduced to self-censorship (when the idea of "conspiration" occurs) reaches the limites ofhis writing. He sets the (modern) problematic of language in the antinomia of lies and truth, and consequently, he gives a litterary answer thanks to a system of (circular) formulas which structures his writing. Then, he finds out the meaning again
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Et-Taousy, Mohammed. "L'Education féminine chez Jean-Jacques Rousseau et Mary Wollstonecraft." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040044.

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Ambririki, Hamidani-Attoumani. "Ordre et justice chez Jean-Jacques Rousseau." Phd thesis, Université Charles de Gaulle - Lille III, 2009. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00982990.

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Abstract:
Il s'agit d'examiner les rapports solidaires mais paradoxaux entre ordre et justice, chez Rousseau, en tenant compte de la variété des contextes dans lesquels les deux concepts entrent en rapport, notamment dans les domaines de la nature et de la société. D'une manière générale, l'ordre semble prééminent dans l'œuvre rousseauiste. Mais sans la justice, la valeur positive de l'ordre se retourne en valeur négative. L'ordre est alors injuste, ou encore, l'ordre apparent masque un désordre réel. Les rapports entre les deux concepts dépendent donc du point de vue adopté : ontologique et métaphysique, ou bien critique et évaluatif. L'interdépendance de ces concepts est encore compliquée par leur polysémie. L'ordre se présente sous forme naturelle, sociale et individuelle, et la justice obéit à un double paradigme : un paradigme naturel et un paradigme rationnel. Cependant, ces deux modèles ont leurs limites. Pour résoudre le problème posé par l'existence d'un ordre injuste, Rousseau combine égalité et inégalité, et propose une théorie de l'éducation de l'individu à la justice.
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Tandia, Mouafou Jean-Jacques Rousseau. "Lecture sémiostylistique de la sensiblité dans les récits de Jean-Jacques Rousseau." Paris 4, 2003. http://www.theses.fr/2002PA040243.

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Abstract:
Ce travail pose la condition verbale de l'œuvre littéraire comme une perspective véritablement rentable à l'étude de la sensibilité dans les récits de Jean-Jacques ROUSSEAU. Pour ce faire, il convoque la méthode sémiostylistique qui se déploie dans deux tendances à la fois différentes et complémentaires : la stylistique sérielle et la stylistique actantielle. D'abord, il est prouvé le statut discursif des récits de ROUSSEAU, leur dimension allocutive, par une description de l'appareil formel de l'énonciation. Il ressort ensuite que ce macro-texte véhicule la notion de sensibilité, non pas perçue comme simple contenu anecdotique, mais forme-sens pleinement incarnée dans un savoir-faire stylistique. Elle se situe ainsi, d'une façon générale, dans la mouvance d'une littérarité générique avant d'aboutir à une individuation dans l'optique d'une littérarité singulière. Elle se révèle enfin comme une praxis discursive dont la réception est clairement balisée à travers différentes strates de la relation actantielle
This work is about the verbal aspect of the literary work as a gainful prospect to the study of sensibility in Jean Jacques ROUSSEAU's narratives. To achieve this target, we made use of the semiostylistic method which is built along the line of two trends both different and complementary: serial stylistics and that which carefully studies the text as an oration, taking into account the outsending and the reception poles. We first of all studied the discursive statute of ROUSSEAU's narratives and their orientation to the receptor by analysing the intratextual statute of different actors of the communication process. This brought about the identification of sensibility within this macro-text, not merely expressed as an anecdotal content but as form and signification fully embodied in the stylisitc tact. In a general way, sensibility is thus comprised in the sphere of influence of generic literarity towards and individuation in the light of peculiar literarity. Finally, it appears to be a discursive praxis whose reception is clearly directed through different levels of the ladder involving the relationship between the outsender and the receptor
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Lebeau, Pascal. "Rousseau et l'appropriation." Thesis, Paris 1, 2017. http://www.theses.fr/2017PA01H204.

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Abstract:
L'appropriation est le processus par lequel l'animal, en réalisant sa nature de manière appropriée avec son environnement, parvient au bien-être par prévention du mal naturel. Pour l'homme, à la perfectibilité ambivalente, l'enjeu est aussi moral. La saisie intuitive de ce qui lui est propre est relativement perdue ou indéfinie, et il est d'autant plus sujet à l'errance associée à sa liberté morale, qu'il est un être d'amour-propre confronté aux autres dans un contexte de finitude environnementale. Rousseau, cherchant à remonter à la source du mal, affronte ces problématiques. Il pense l'homme de la nature pour retrouver l'homme naturel, identifier ses besoins, ses droits, en un mot les conditions de son appropriation à proprement parler. Or celle-ci ne peut être que simultanément physique et morale, requérant l'initiation d'un cercle vertueux entre l'avoir et l'être, impossible sans la politique et notamment, un droit de propriété, c'est-à-dire un droit d'appropriation, très spécifique. Via media entre la communauté des biens et le libéralisme, ce dernier constitue peut-être, sur le plan politique et moral, la clé de son système
Appropriation is the process by which an animal, upon realising its nature in an appropriate way with its environment, reaches well-being by the prevention of natural evil. For man, with ambivalent perfectibility, the stakes are also moral. The intuitive grasping of what is adequate for him is relatively lost or undefined, and is all the more subject to the wandering associated with its moral freedom, that it is a being of self-love confronted with others in a context of environmental finitude. Rousseau, seeking to go back to the source of evil, confronts these problems. He thinks the man of nature to find the natural man, to identify his needs, his rights, in a word the conditions of his appropriation properly speaking. But this can only be simultaneously physical and moral, requiring the initiation of a virtuous circle between having and being, impossible without politics and notably a right of property, that is to say a right of very specific appropriation. Via media between the community of goods and liberalism, the latter is perhaps, politically and morally, the key to its system
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Zhang, Na. "La réflexion de Jean-Jacques Rousseau sur la notation chiffrée et sa réception en Chine." Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2016. http://www.theses.fr/2016SACLE055/document.

Full text
Abstract:
En Chine, à partir du XXe siècle, on utilise largement un genre de notation musicale qui représente les sons musicaux par des chiffres indo-arabes. Cette notation est nommée en chinois jianpu, au sens de « notation simple ». En effet, cette notation n’est pas originaire de la Chine, mais vient de l’Occident, plus précisément, de la méthode de Rousseau. En 1742, Jean-Jacques Rousseau avait présenté son projet sur une nouvelle méthode pour écrire la musique, soit une notation chiffrée. Néanmoins la réaction de la société française fut assez froide à son époque. Cette méthode intelligente a été mise de côté par lui-même et la plupart du public en Europe. Heureusement, après un long terme de développement et des voyages dans le monde, cette notation chiffrée a finalement trouvée son public en Chine. Cette thèse s'efforce de découvrir et d’analyser ce phénomène. Pour cela, dans un premier temps la notation chiffrée de la Chine est comparée de façon détaillée avec celle de Rousseau ; puis les notations traditionnelles chinoises ayant existé antérieurement à l'introduction de cette notation en Chine sont présentées ; en dernier lieu, la façon dont le contexte particulier du début du XXe siècle en Chine joue un rôle important dans l'accueil réservé à cette méthode est examinée
In China, from the twentieth century, one type of musical notation has been largely used for representing musical sounds by Indo-Arabic numerals. This notation is called Jianpu in china which means "simple notation." Indeed, this notation is not born in China, but comes from the West, precisely, called the Rousseau's method. In 1742, Jean-Jacques Rousseau had presented his project on a new approach for writing music, a numeral notation. Nevertheless, the French society was cold enough for his invention. This intelligent method was put aside by himself and also in most of the public in Europe. Fortunately, after a long period of development and travel in the world, this numerical notation has finally found its audience in China. This thesis strives to discover and analyze this phenomenon. For this purpose, firstly, the Chinese numerical notation will be compared in details with that one of Rousseau; then the traditional Chinese notations existing before this introduced notation are presented; finally, the special Chinese environment of the early twentieth century will be examined, because of playing an important role in the reception of this method
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Wu, Yaling. "La métamorphose de la pensée rousseauiste en Chine : à travers les exemples du Contrat social et de l'Emile." Paris 3, 2007. http://www.theses.fr/2007PA030091.

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Abstract:
Le travail présent étudie la réception de la pensée de Rousseau en Chine de la fin du 19e siècle jusqu’à la veille de la fondation de la République populaire de Chine en 1949, à travers les exemples de deux ouvrages rousseauistes, l’un Du contrat social, l’autre Émile, ou de l’éducation. S’appuyant sur les différentes traductions en chinois de ces deux ouvrages rousseauistes (celles du Contrat social réalisées par Nakae Chômin, Yang Tingdong, Ma Junwu, etc ; celles de l’Émile réalisées par Yamaguchi Katarô et Shimazaki Tsunegoro, Xia Mianzun, Tan Juemin, etc. ), ainsi que les articles critiques ou les événements concernant la pensée politique de Rousseau (l’introduction de Liang Qichao, la critique de Yan Fu, etc. ) et sa pensée de l’éducation(la polémique entre Lu Xun et Liang Shiqiu dans les années 1930, la création romancière de Lao She, etc. ), cette thèse est pour l’objectif d’éclairer une sorte de « métamorphose » de la pensée de Jean-Jacques Rousseau en Chine au cours du siècle dernier
Ever since his thought was introduced to China via Japan at the end of the 19th century, Rousseau has for generations been a charming figure for many members from the intelligentsia in China. By citing The Social Contract and Émile as two examples, the author of the dissertation intends to discuss how the thought of Rousseau was accepted in China during a period from the end of the 19th century to 1949. The dissertation starts with an analysis of the textual differences by comparing a number of the Chinese translations of the two works, the translations, for example, of Du Contrat social by Nakae Chômin, Yang Tingdong and Ma Junwu, and of Émile by Yamaguchi Katarô and Shimazaki Tsunegoro, Xia Gaizun and Tan Juemin. Then the dissertation proceeds to look into the writings on the political and educational principles of Rousseau by Chinese men of letters living during various historical peorids so as to explore the way in which the thought of Rousseau spread to China via Japan, participated in and made impacts on the transformation of the traditional thought into the modern one. The dissertation ends up with a discussion of how Yan Fu, Liang Qichao and the other thinkers who had had a great influence on the modern Chinese culture accepted, understood and disseminated the politically democratic ideas of Rousseau, and how in the great debates that went on in the 1930s between Lu Xun and Liang Shiqiu the educational principles of Rousseau were made used of, the purpose of which is to show how the metamorphosis of the thought of Rousseau occurred in China
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Tissoires, Amélie. "L'opéra mental : formes et enjeux de l'écriture du spectacle chez Jean-Jacques Rousseau." Thesis, Grenoble, 2012. http://www.theses.fr/2012GRENL005.

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Abstract:
La réflexion de Rousseau concernant le spectacle (théâtral, musical, pictural) s'élabore au cours de nombreux textes théoriques qui interrogent le statut du spectateur et sa relation à ce qui est vu et entendu. Cette relation est source de nombreuses interrogations pour l'écrivain qui réfléchit à ce que l'on pourrait appeler une « économie de la distance », afin d'ajuster au mieux son regard face à l'objet mis en scène et de régler l'émotion induite par le dispositif « spectaculaire ». Cette réflexion sur le spectacle permet également de s'intéresser à la pensée de l'origine chez Rousseau car il semble que ce soit à partir de sa conception de la nature que la notion de spectacle et les émotions qu'elle suscite, s'élaborent. La qualité de l'émotion est particulièrement travaillée par Rousseau qui distingue le spectacle visuel du spectacle auditif. À la fascination de l'image créée par le dispositif théâtral s'oppose le sentiment musical, source d'une communication idéale entre le musicien et l'auditeur, et créateur d'un spectacle mental. L'importance du spectacle musical est telle que l'écriture de Rousseau ne se conçoit pas sans une constante référence à ses caractéristiques, l'écrivain devenant alors un auditeur de musique subjugué par les sentiments qu'il éprouve. Cette réflexion sur les spectacles trouve une chambre d'écho dans les œuvres narratives de Rousseau qui mettent en application les caractéristiques dégagées par la théorie. Influencé par l'esthétique du tableau théâtral telle qu'elle a été conceptualisée par Diderot à propos du drame bourgeois, Rousseau tempère sa suspicion à l'égard de l'image théâtrale, qui trouve, selon lui, sa meilleure voie d'expression dans La Nouvelle Héloïse. Ce roman, de fait, dépasse à certains endroits la linéarité de l'écriture pour proposer des tableaux, transformant ainsi le lecteur en spectateur d'un drame bourgeois, mais pas seulement : en effet, la mise en image de la narration puise également à des sources picturales (avec notamment la réflexion sur les Sujets d'estampes) et offre une réflexion sur le regard que la plupart des personnages prennent en charge. Mais c'est surtout en s'inspirant de ses propres conceptions musicales que Rousseau est conduit à trouver de nouvelles formes d'écriture qui renouvellent la relation au lecteur. Enfin, les œuvres autobiographiques proposent une mise en scène musicale de soi. Le compositeur devient alors un des modèles de l'écrivain parce qu'il donne à lire le « je » comme une partition instrumentale. En même temps, la structure du spectacle visuel est réinterrogée par Rousseau dont l'écriture épouse le modèle musical. C'est en dernier lieu le copiste qui, dans les œuvres autobiographiques, propose un modèle d'écriture, celui de la « chambre obscure » où le spectacle de soi se transforme en signe musical
Rousseau's reflections on the spectacle (whether theatrical, musical or pictorial) are elaborated through a number of theoretical texts that question the status of the spectator and his relationship with what is seen and heard. This relationship is a source of numerous questions for the writer who reflects on what could be termed an 'economy of distance' , so as to better adjust the way he looks on the object mis en scène and to regulate the emotions provoked by the structure of the spectacle. This approach to the spectacle also allows us to explore Rousseau's approach to origins as it seems that it is from his conception of nature that the notion of the spectacle and the emotions it provokes are developed. Emotional quality is particularly explored by Rousseau who distinguishes the visual spectacle from the auditory one: to the fascination of the image created by the theatrical setting is opposed the musical sentiment, seen both as a source of ideal communication between the musician and the listener, as well as the creator of a mental spectacle. Such is the importance of the musical spectacle that the writing of Rousseau is not conceived without a constant reference to its characteristics. The writer thus becomes a listener of music subjugated by the sentiments he feels. These reflections on spectacles find an echo in the narrative works of Rousseau that apply those characteristics identified by his theory. Influenced by the aesthetics of the theatrical tableau conceptualised by Diderot and reflecting on the bourgeois drama, Rousseau tempers his suspicion concerning different types of theatrical images that according to him find their best expression in the way of looking. The Nouvelle Héloïse goes at times beyond the linearity of writing to propose certain tableaux that borrow from the estampe and the bourgeois drama. The reader is thus transformed into a spectator of a bourgeois drama, but not exclusively so: indeed, the representation in images of the narrative draws equally on pictorial sources (with in particular the considerations on the Sujets d'estampes) and offers a reflection on the looks assumed by the majority of characters. But, above all, it is by seeking inspiration in his own musical concepts that Rousseau is led to finding new forms of writing that renew the relationship to the reader. Indeed, the autobiographical works propose a musical mise en scène of the self. The composer becomes therefore one of the writer's models because he enables the 'I' to be read as a musical partition. At the same time, the structure of the visual spectacle is re-questioned by Rousseau whose writing marries the musical model. In the last instance it is the copyist who, in the autobiographical works, offers a writing model that of the chamber obscure, where the spectacle of the self is transformed into musical signs
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