Academic literature on the topic 'Rumba congolaise'

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Journal articles on the topic "Rumba congolaise"

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Dugrand, Camille. "Politique de la Rumba congolaise." Revue du Crieur N�5, no. 3 (2016): 52. http://dx.doi.org/10.3917/crieu.005.0052.

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White, Bob W. "Notes sur l’esthétique de la rumba congolaise." Circuit 21, no. 2 (July 21, 2011): 101–10. http://dx.doi.org/10.7202/1005275ar.

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Abstract:
La rumba congolaise de la musique populaire de la République démocratique du Congo est devenue en quelque sorte une musica franca pour une bonne partie de l’Afrique sub-saharienne. Les Congolais d’aujourd’hui aiment dire que leur musique a colonisé le continent, mais cette musique, fortement influencée par ses racines afro-cubaines, a subi un nombre important de transformations esthétiques depuis son émergence sous le régime de la colonie belge. Bien que ce genre musical ait une longue histoire, il y a relativement peu de recherche à son sujet, surtout en ce qui concerne ses aspects esthétiques. En mettant l’accent sur certaines caractéristiques de ces chansons, cet article tente d’expliquer comment la musique populaire à Kinshasa vise à transcender la crise économique et politique que le pays vit depuis plusieurs générations : la conjoncture. En s’inspirant de la philosophie herméneutique de Gadamer, la métaphore de l’écoute est proposée pour nous faire prendre conscience que l’impossibilité d’entendre la musique de l’Autre de son point de vue à lui ne devrait pas nous empêcher d’essayer d’écouter.
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Grabli, Charlotte. "La ville des auditeurs : radio, rumba congolaise et droit à la ville dans la cité indigène de Léopoldville (1949-1960)." Cahiers d'études africaines, no. 233 (March 14, 2019): 9–45. http://dx.doi.org/10.4000/etudesafricaines.25229.

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Yoka, Lye M. "LA LITTÉRATURE MUSICALE CONGOLAISE: LA FÊTE DES MOTS." Afrika Focus 31, no. 2 (January 28, 2019). http://dx.doi.org/10.21825/af.v31i2.9934.

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Abstract:
Much has been written on modern Congolese music, particularly in terms of its history and sociology. However, there are no studies dedicated to the literary qualities of the song texts in stylistic, paremiological and thematic terms. In addition, when considering this body of music, the tenacious survival of oral traditions should be taken into account. Such traditions take in the vivid culture of the “eristic”, the art of dispute and energetic discussion, accompanied by satirical turns and more or less subversive circumlocutions. Finally, assert that what “purist” critics consider as “para-literature” (a rather deprecating term) is literature both in terms of its thematic and formal concerns. KEYWORDS: MUSICAL LITERATURE, ODYSSEY AND EPIC OF THE CONGOLESE RUMBA, TRANSPHRASTIC AND SYNTAGMATIC CHARACTERS, DISGUISE OF THEMATIC PROFFERED, PAREMIOLOGICAL REINVENTIONS
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Dissertations / Theses on the topic "Rumba congolaise"

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Chaves, Vanessa. "L’influence des musiques populaires urbaines sur l’écriture des romanciers s’exprimant dans une langue d’origine coloniale : le cas du tango dans le roman argentin et de la rumba congolaise dans le roman du Congo-Brazzaville." Paris 4, 2007. http://www.theses.paris-sorbonne.fr/chaves/paris4/2007/chaves/html/index-frames.html.

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Abstract:
Cette étude comparative sur l’Argentine et le Congo–Brazzaville traite de l’impact des cultures populaires urbaines, telles que le tango et la rumba congolaise, sur l’écriture romanesque. Il s’agit de cerner le dilemme auquel sont confrontés les écrivains s’exprimant dans une langue d’origine coloniale. L’objectif est de saisir comment ces musiques populaires et les langages hybrides qu’elles ont développés – le lunfardo et le lingala - contribuent à émanciper la production littéraire de ces jeunes nations. Ce rapprochement nous a paru pertinent en raison du décalage historique entre l’Argentine et le Congo, l’une accédant à l’indépendance en 1816 et l’autre, en 1960. Tout d’abord, nous analysons les tensions auxquelles ces littératures nationales sont soumises, du fait de leur passé colonial. Nous étudions ensuite comment le tango et la rumba congolaise, nés dans les faubourgs de capitales tentaculaires, s’imposent comme phénomènes culturels majeurs, au point d’asseoir leur influence sur la littérature. Enfin, nous examinons dans quelle mesure musique et écriture constituent une alliance salutaire pour une création littéraire singulière et universelle
This comparative study on the Argentina and the Congo-Brazzaville deals with the impact of popular urban cultures - such as the tango and the Congolese rumba - on the novel style. The aim is to define the novelists’ dilemma expressing in a language of a colonial origin. These popular musics have expanded two hybrid languages : the lunfardo and the lingala. The objective is to explain how these forms of expression contribute to emancipate the literary production of these young nations. This comparison seems judicious because of the historic gap between the Argentina and the Congo, the first one coming to the independence in 1816 and the other one, in 1960. At first, we analyse the tensions which influence these national literatures, because of their colonial past. Then, we study how the tango and the Congolese rumba, born in the suburbs of these octopus capital cities, reveal themselves as major cultural phenomena, so that they established their influence on the literature. Finally, we examine how music and writing constitute a salutary alliance for a singular and universal literary creation
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Grabli, Charlotte. "L’urbanité sonore : auditeurs, circulations musicales et imaginaires afro-atlantiques entre la cité de Léopoldville et Sophiatown de 1930 à 1960." Thesis, Paris, EHESS, 2019. http://www.theses.fr/2019EHES0138.

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Abstract:
Cette thèse examine les rapports entre musique et politique dans l’espace de circulations musicales s’étendant entre Sophiatown, à Johannesburg, en Afrique du Sud, et la « cité indigène » de Léopoldville (aujourd’hui Kinshasa), au Congo belge, de 1930 à 1960. L’étude envisage à la fois la fabrique musicale de ces quartiers ségrégués – l’usage des nouvelles technologies d’écoute, l’appropriation des styles afro-atlantiques, la profusion des fêtes et la vie des bars – et la formation de l’espace transcolonial de la musique congolaise moderne, mieux connue sous le nom de « rumba congolaise », à l’ère de la radio. Bien que souvent occulté, le développement précoce de l’industrie musicale sud-africaine joua un rôle important dans l’émergence et la mobilité des premières célébrités médiatiques congolaises qui parcouraient les routes transimpériales entre Léopoldville, Elisabethville (Lubumbashi), Nairobi et Johannesburg. Étudiés conjointement, l’ancrage et le déploiement de ce que nous appelons l’« urbanité sonore » permettent d’éclairer la place des célébrités et chansons transcoloniales dans l’imaginaire politique des auditeurs africains. Ces phénomènes témoignent également des nouvelles possibilités d'émancipation que l'économie des plaisirs offraient aux catégories les plus marginalisées de la ville coloniale, telles que les « femmes libres » et/ou membres des sociétés d'élégance.A la cité de Léopoldville, comme à Sophiatown, auditeurs, danseurs et musiciens contestaient la définition coloniale de l’urbanité alors que le gouvernement monopolisait la définition de « la ville », en même temps qu’il en conditionnait l’accès, symbolique et concret. Jusqu’au lendemain de l’Indépendance du Congo en 1960, la scène musicale de la cité s’établit comme le principal espace d’expression politique et d’affirmation de la place du Congo moderne dans l’Atlantique noir.L’étude considère ainsi la musique dans la continuité de l’écologie sonore de la ville afin d’« écrire le monde depuis une métropole africaine ». Il ne s’agit pas seulement de penser la musique en contexte, mais aussi comme contexte, en tant que paysage, en l’étendant au-delà de la performance pour inclure les différents jeux d’échelle qui façonnaient les mondes musicaux. Pour comprendre la dimension politique des échanges afro-atlantiques impliqués dans la création de la rumba congolaise – un style africain né de l’écoute des musiques afro-cubaines –, il importe de prendre en compte le contexte de globalisation des modes d’écoute et de l’ethnicité. A une époque où le nationalisme racialisé des États-Unis façonnait la compréhension du jazz, comment repenser l’opposition d’une « Afrique latine » à une « Afrique du jazz », dont les pôles respectifs se situeraient à Johannesburg et Léopoldville ? Cette thèse cherche à déconstruire ces représentations tout en observant la puissance d’agir de la musique noire – « sa réalité et son inexistence » – en fonction des contextes, des acteurs et des lieux
This thesis studies connections between music and politics within the space of music circulation stretching from Sophiatown, in Johannesburg, South Africa, to the cité (the “native quarters”) of Léopoldville (today Kinshasa), in the Belgian Congo, from 1930 to 1960. This study considers the music making of these segregated areas – the uses of new sound technologies, the appropriation of Afro-Atlantic styles, the profusion of festivities and nightlife – as well as the formation of the trans-colonial space of modern Congolese music—better known as “Congolese rumba”—in the age of radio. Although often overlooked, the early development of the South African record industry played an important role in the making and mobility of the first Congolese media celebrities who circulated across the trans-imperial roads between Léopoldville, Elisabethville (Lubumbashi), Nairobi and Johannesburg. Studied together, the grounding and the deployment of what I call “sonic urbanity” highlight the place of trans-colonial celebrities and songs in the political imaginary of African listeners. These phenomena also show how the economy of pleasure offered new possibilities of emancipation to the most marginalized categories such as the "free women" and members of women’s fashion associations.Both in the cité of Léopoldville and in Sophiatown, listeners, dancers and musicians challenged ideas of black exclusion to urbanity enforced by the government that conditioned symbolic and material access to “the city”. Until the day after independence in 1960, the musical scene represented the main space for political expression in the modern Congo, allowing it to claim its place in the Black Atlantic.This thesis thus conceptualizes music as part of the city’s ecology of sound in an attempt to “write the world from the African metropolis”. It does not merely think of music in context but also regards it as context and soundscape, extending it beyond performance by including the different “scale games” that shaped musical worlds. Understanding the political dimension of the AfroAtlantic exchanges involved in the creation of Congolese rumba – an African style born out of listening to Afro-Cuban music – requires a consideration of the globalisation of ways of listening and ethnicity. How can we rethink the opposition of a “Latin Africa” to an “Africa of jazz”, whose poles would be located respectively in Léopoldville and Johannesburg, at the moment when U.S. racialized nationalism shaped understandings of jazz? This thesis seeks to both deconstruct these representations and examine the power of black music to act—its “reality and non-existence”— depending on contexts, actors and places
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Books on the topic "Rumba congolaise"

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La rumba Congolaise: Sa splendeur, ses effluves, ses profondeurs. Abidjan, Côte d'Ivoire: L'Encre Bleue, 2013.

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La chanson congolaise moderne: De la rumba fondamentale au ndombolo. Paris: L'Harmattan, 2005.

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U-Lemba, Justin Lambert Ginzanza. La chanson congolaise moderne: De la rumba "fondamentale" au "ndombolo". Paris: L'Harmattan, 2005.

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