Academic literature on the topic 'Ruminants domestiques'

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Journal articles on the topic "Ruminants domestiques"

1

Danthu, Pascal, Alexandre Ickowicz, Dominique Friot, D. Manga, and Amadou Sarr. "Effet du passage par le tractus digestif des ruminants domestiques sur la germination des graines de légumineuses ligneuses des zones tropicales sèches." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 49, no. 3 (1996): 235–41. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9520.

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Abstract:
La survie et la germination des graines de sept espèces de légumineuses ligneuses (A. nilotica adansonii, A. raddiana, A. senegal, A. seyal, B. rufescens, F. albida et P. juliflora) ont été étudiées après ingestion et excrétion par des bovins, des ovins et des caprins. Cette étude montre que :
 - les graines dures restent intactes et conservent leur viabilité après excrétion par les ruminants domestiques alors que les graines aux téguments perméables sont détruites;
 - les bovins excrètent significativement plus de graines intactes que les petits ruminants. Cette différence semble liée essentiellement à l'activité masticatoire plus importante chez les ovins et les caprins;
 - la germination des graines dures n'est pas améliorée après passage dans le tractus digestif des ruminants.
 Au total, l'ingestion par les ruminants domestiques ne peut être considérée comme un facteur favorisant la levée de dormance des graines dures, mais seulement comme un moyen de dissémination de graines intactes.
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2

ALZIEU, J. P., J. BRUGÈRE-PICOUX, and C. BRARD. "Particularités pathologiques des ruminants domestiques en estive dans les montagnes françaises." INRAE Productions Animales 27, no. 1 (2014): 31–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.1.3052.

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Abstract:
Mis à part certaines pathologies spécifiques telle la myiase à Wohlfartia magnifica, la plupart des maladies infectieuses et parasitaires d’importance sont véhiculées sur l’estive avec leurs hôtes, bovins et ovins. La problématique des cheptels collectifs constitués de troupeaux de statuts sanitaires différents et les fortes variations climatiques et thermiques favorisent l’expression des maladies infectieuses. La montée en estive d’animaux infectés constitue le facteur majeur de risque, induisant à terme un accroissement de la morbidité, de la mortalité et des pertes économiques. La meilleure prévention réside dans la meilleure maîtrise sanitaire des troupeauxavant leur transhumance.
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3

Vallet, JC, G. Baril, B. Lebœuf, and J. Perrin. "Insémination artificielle intra-utérine sous contrôle laparoscopique chez les petits ruminants domestiques." Annales de Zootechnie 41, no. 3-4 (1992): 305–9. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19920309.

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4

FAVREAU-PEIGNÉ, A., R. BAUMONT, and C. GINANE. "Les rôles des caractéristiques sensorielles des aliments dans le comportement alimentaire des ruminants domestiques." INRAE Productions Animales 26, no. 1 (2013): 25–34. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.1.3132.

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Abstract:

 
 
 
 Pour évaluer les aliments et orienter leurs choix alimentaires, les ruminants utilisent les informations pré-ingestives (c'est-à-dire les caractéristiques sensorielles des aliments perçues avant leur déglutition) et les informations post-ingestives (c'est-à-dire les conséquences digestives et métaboliques expérimentées par les animaux après la déglutition). Des associations entre informations pré- et post-ingestives peuvent être apprises par les animaux, leur permettant ainsi d’éviter les aliments qui induisent des conséquences négatives et de sélectionner ceux qui induisent des conséquences positives. Les informations post-ingestives sont considérées comme étant le principal facteur influençant le comportement alimentaire des ruminants, alors que les caractéristiques sensorielles des aliments seraient utilisées uniquement pour discriminer les aliments et pour les associer aux conséquences post-ingestives lors de processus d’apprentissage. Cependant, les caractéristiques sensorielles jouent également d’autres rôles. Premièrement, certaines caractéristiques sensorielles possèdent une valeur hédonique qui influence l’ingestion, les préférences et l’apprentissage de la valeur des aliments indépendamment des conséquences post-ingestives immédiates. Deuxièmement, certaines caractéristiques sensorielles deviennent des indicateurs des conséquences post-ingestives après que leur valeur hédonique initiale a acquis une valeur positive ou négative via un apprentissage ou le processus évolutif. Ces caractéristiques jouent alors le rôle de signal permettant d’aider les ruminants à anticiper les conséquences post-ingestives et à améliorer leur capacité d’apprentissage des conséquences des aliments, en particulier dans des environnements alimentaires complexes. Les caractéristiques sensorielles des aliments pourraient être utilisées pour procurer un plaisir alimentaire aux animaux, augmenter la palatabilité des aliments et accroître la capacité d’apprentissage des animaux dans des situations alimentaires complexes, autant d’éléments de nature à améliorer leur bien-être et leur productivité.
 
 
 
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5

Lesnoff, Matthieu. "Méthodes d'enquête pour l'estimation des taux démographiques des cheptels de ruminants domestiques tropicaux. Synthèse, limites et perspectives." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 66, no. 2 (2013): 57. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10142.

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Abstract:
La démographie est un déterminant essentiel de la production des cheptels de ruminants domestiques élevés en conditions extensives tropicales. L’esti- mation des taux démographiques (taux de reproduction, de mortalité et d’ex- ploitation des animaux) est nécessaire pour évaluer l’effet d’interventions zootechniques sur la production des cheptels. Cette estimation est cependant particulièrement difficile et contraignante. Les systèmes d’élevage traditionnels posent des problèmes spécifiques et importants pour la collecte des données dans les troupeaux. La présente synthèse fait le point sur les méthodes d’enquête utilisées en milieu villageois pour estimer les taux démographiques des ruminants : les suivis individuels d’animaux, les suivis de troupeaux sans identification individuelle des animaux et les enquêtes rétrospectives transversales. Des perspectives de recherche sont proposées pour améliorer les méthodes, notamment dans le cadre des suivis nécessaires pour prendre en compte la variabilité interannuelle des taux démographiques.
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6

LOCATELLI, Y., and P. MERMILLOD. "Caractéristiques et maîtrise de la fonction de reproduction chez les cervidés." INRAE Productions Animales 18, no. 1 (2005): 3–25. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.1.3505.

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Abstract:
Ces dernières années, l’élevage de cervidés s’est considérablement développé en Nouvelle-Zélande pour devenir une industrie profitable. Alors que quelques cervidés (daim d’Europe et cerf élaphe) font l’objet de domestication et d’élevage dans un but commercial, d’autres espèces et sous-espèces de cervidés sont menacées d’extinction dans le milieu naturel. Les travaux de recherches effectués afin de mieux caractériser et maîtriser la fonction de reproduction de ces ruminants sont présentés dans cette étude bibliographique.
 Il apparaît qu’à l’instar de nos ruminants domestiques (ovins, caprins), les cervidés originaires des zones tempérées sont généralement caractérisés par un saisonnement marqué de leur fonction de reproduction. Ces variations saisonnières d’activité sexuelle sont dictées par les variations photopériodiques et permettent la naissance des jeunes en fin de printemps. Chez les cervidés, les différences entre les périodes d’activité et de repos sexuels semblent beaucoup plus marquées en comparaison de nos ruminants domestiques. La période d’activi-té sexuelle est variable d’une espèce à l’autre (été, automne ou début de l’hiver) mais très fixe pour une espèce donnée. La période de repos sexuel traduit des modifications importantes dans les sécrétions de gonadotrophines et se caractérise notamment par une aspermie complète chez le mâle. Chez la femelle, l’état d’anoestrus est profond et associé à une absence d’ovulation. La durée de gestation est également variable d’une espèce à l’autre mais est remarquablement fixe pour une espèce donnée.
 Chez les cervidés originaires des zones subtropicales et selon les espèces, les variations d’activité sexuelle sont plus discrètes permettant une répartition des mises bas plus ou moins homogène au cours de l’année, y compris lorsque les animaux sont transportés sous des latitudes élevées.
 Dans le cas des espèces de cervidés menacés d’extinction, l’utilisation des biotechnologies de la reproduction et des méthodes de procréation assistée pourrait, à terme, faciliter la réalisation des programmes conservatoires. Les techniques classiques de production in vivo d’embryons basées sur l’ovulation multiple, l’insémination artificielle et le transfert embryonnaire se sont avérées difficilement applicables aux cervidés. Aussi, les recherches portent actuellement sur le développement de techniques de production in vitro d’embryons.
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7

Hama, Marietou Adamou, Abdoulkarim Issa Ibrahim, Abdou Alassane, Haladou Gagara, and Rianatou Bada Alambedji. "Séroprévalence de la fièvre de la vallée du Rift chez les ruminants domestiques dans la région de Tahoua/Niger." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (2020): 3023–31. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.4.

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Abstract:
L’épizoo-épidémie de la Fièvre de la Vallée du Rift (FVR), survenue suite à une pluviométrie marquée par de fortes précipitations dans la région de Tahoua frontalière au département d’Ingal qui accueille l’événement de la cure salée chaque année, a engendré de nombreuses pertes en vies humaines. Au niveau du secteur animal, l’impact économique et sanitaire est également considérable, compte-tenu des lourdes pertes engendrées dans le cheptel. Ces pertes sont une forte mortalité chez les jeunes, des taux d’avortements élevés chez les femelles gravides et une baisse de la productivité des élevages touchés. Afin d’évaluer la séroprévalence de la FVR chez les ruminants de la région, des échantillons de sérums prélevés lors du seromonitoring des campagnes de vaccination contre la peste des petits ruminants et la péripneumonie contagieuse des bovidés financé par le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) en février 2017, ont été analysés pour la détection d’anticorps du virus de la FVR au moyen du test ELISA de compétition. Les séroprévalences obtenues chez les espèces étudiées sont assez élevées chez les bovins (30,62%) et les caprins (18,40%), suivies de celle des ovins qui est de 14,90%.Les résultats sérologiques répartis dans les communes montrent que les bovins de Ibohaman et Tassara sont significativement les plus affectés avec une prévalence de 50,00% chacune (P=0,00224). Par contre, chez les petits ruminants, les communes de Tchintabaraden et Abalak ont significativement les prévalences les plus élevées tant chez les ovins (22,07% et 40,90%) que chez les caprins (8,69% et 37,21%).Toutefois, il n’y a pas de différence significative entre les prévalences d’infection des ovins et caprins pour chaque commune. Les résultats révèlent que la prévalence est plus élevée chez les mâles que chez les femelles (32,35±11,11 contre 18,49±3,43), mais la différence n’est pas significative. En somme, la mise en place d’une stratégie privilégiant l’approche « One Health » est nécessaire pour une lutte efficace contre la FVR, mais aussi la nécessité d’études entomologiques complémentairesMots clés: Sérologie, c-ELISA, Fièvre de la vallée de Rift, Bovins, Ovins, Caprins. English Title: Rift valley fever seroprevalence in domestic ruminants in Tahoua region/NigerThe epizoo-epidemic outbreak of Rift Valley Fever (RVF) that occurred following a heavy rainfall in the region of Tahoua, along the border of Ingal’s department that hosts every year, the salt cure event has caused considerable human deaths. Considerable economic and health losses were reported in livestock sector. These losses include high mortality in young animals, high abortion rates in pregnant females and decrease productivity in affected farms. To assess the seroprevalence of RVF of ruminants from that region, sera samples collected in February 2017, for the Seromonitoring of vaccination campaigns against Peste des Petits Ruminants (PPR) and Contagious Bovine Peri Pneumonia (CBPP), Supported by the Regional Project for Pastoralism in the Sahel (PRAPS), were tested for antibodies against RVF virus using the competitive ELISA test. The seroprevalence of RVF in the studied species, reveal a high prevalence in cattle (30.62%) and goats (18.40%) followed by sheep (14.90%).Cattle, from Ibohaman and Tassara are significantly affected with a prevalence of 50.00% each (P=0.00224) compared to other districts. Small ruminants from the districts of Tchintabaraden and Abalak have significantly the highest prevalence both in sheep (22.07% and 40.90%) and goats (8.69% and 37.21%). However, there is no significant difference between the prevalence of infection of sheep and goats in each district. Seroprevalence is higher in males than females (32.35±11.11) versus (18.49±3.43), with no significant difference between the two species. Based on the above results, for effective control of RVF it, is necessary to implement a one heath approach in the country couple with additional entomological investigations.Keywords: Serology, c-ELISA, Rift Valley Fever, Cattle, Sheep, Goats.
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Martinez, Dominique, S. Coisne, Christian Sheikboudou, and Frans Jongejan. "Détection d’anticorps contre Cowdria ruminantium dans le sérum de ruminants domestiques par ELISA indirect." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 1-2 (1993): 115–20. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9346.

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Abstract:
Un test ELISA a été mis au point pour la détection d'anticorps contre Cowdria ruminantium dans le sérum de ruminants domestiques. Les micro-organismes cultivés dans des cellules bovines endothéliales ombilicales ont été utilisés comme antigène. Lorsque la culture a montré une lyse à 90 %, le surnageant a été centrifugé, soniqué et appliqué sur des plaques microtitres en polystyrène. Des anticorps ont été détectés à partir de 9 jours après immunisation expérimentale de chèvres. La sensibilité de l'ELISA, calculée sur 73 sérums de ruminants, se trouvait entre 97,3 et 98,6 %. La spécificité globale du test était de 97 % (N = 2925). Néanmoins, la spécificité était beaucoup plus basse pour les ovins (94,4 %, N = 881) que pour les caprins (98,6 %, N = 651) et les bovins (97,8 %, N = 1393). Des réactions croisées, qui peuvent expliquer certaines des réactions faussement positives, ont été trouvées entre l'antigène de Cowdria et des sérums contre Ehrlichia bovis (1 bovin positif sur 2 infectés expérimentalement) et E. ovina (2 moutons positifs sur 2 infectés), mais non pas contre E. phagocytophila. Les variabilités intra- et inter-test étaient respectivement de 7,5 et de 7,8 %, ce qui montre une bonne reproductibilité de l'ELISA.
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Lauvergne, J. J., D. P. Sponenberg, and P. Millar. "Le polymorphisme visible de populations animales domestiques, son rôle dans la création des races : une synthèse." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 66, no. 2 (2013): 69. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10143.

Full text
Abstract:
De nombreuses populations d’espèces animales domestiques présentent un polymorphisme visible très marqué pour la couleur, le type de pelage, le cornage et autres caractères. ces populations polymorphes ont été appelées non uniformes, traditionnelles ou primaires. Le polymorphisme est dû à la présence, à certains locus, de plusieurs allèles en ségrégation dont les fréquences ont atteint une valeur d’équilibre entre 0 et 1 selon les lois de la génétique des populations. L’hypothèse la plus couramment admise est que ces populations appartiennent à des populations de taille infinie qui se reproduisent en panmixie, deux conditions qui ont en général été vérifiées par des études de terrain. on pense que ces populations polymorphes apparaissent chez certaines espèces animales après leur domestication et servent de réservoir de variabilité dans lesquels puisent les éleveurs pour créer les races standardisées ou fixées (avec une société d’élevage ou reconnues par un organisme). des populations polymorphes existent aussi chez les espèces sauvages mais elles sont plutôt rares alors qu’elles sont couramment observées à l’état domestique, au moins chez les espèces qui sont conduites en troupeaux et où le contrôle des accouplements n’est pas très strict, en particulier chez certaines espèces de ruminants conduites en élevage extensif. certains locus de coloration du pelage constituent l’essentiel des locus à effet visible en ségrégation dans les populations polymorphes. ces locus présentent des séries alléliques homologues entre espèces dont l’identification qui remonte aux premières décennies de la génétique mendélienne a depuis été confirmée par la génétique moléculaire.
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BARRÉ, N. "Les tiques des ruminants dans les Petites Antilles : biologie, importance économique, principes de lutte." INRAE Productions Animales 10, no. 1 (1997): 111–19. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1997.10.1.3982.

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Abstract:
Deux espèces de tiques tropicales, Boophilus microplus, d’origine asiatique, et Amblyomma variegatum, d’origine africaine, parasitent les ruminants des Antilles, en particulier des Antilles françaises (Guadeloupe et Martinique). Elles sont vectrices de diverses maladies : babésioses et anaplasmose pour Boophilus, theilérioses bénignes et cowdriose pour Amblyomma. De plus Amblyomma est associé aux formes cliniques sévères, fréquemment mortelles, de la dermatophilose. En Guadeloupe, où la majorité des bovins sont de type créole, hautement résistants à ces maladies, mais où les caprins paient un lourd tribut à la cowdriose, le préjudice annuel généré par les tiques est estimé à 13,8 MF. Alors que Boophilus a couvert dans les Antilles et sur le continent l’ensemble de son aire de distribution potentielle, Amblyomma, l’espèce la plus pathogène, n’est encore présente que dans les Petites Antilles et à Porto Rico. Encore confinée à 4 îles au milieu de ce siècle, elle a infesté 14 îles nouvelles au cours des 25 dernières années. De fortes présomptions permettent de penser que le Héron garde-boeufs, arrivé dans les Petites Antilles à la fin des années 50 depuis l’Afrique, largement répandu dans la Caraïbe, pourrait être à l’origine de l’accélération récente de la propagation de la tique dans la région. Celle-ci menace le continent américain et les Grandes Antilles. Malgré de grandes capacités de diffusion régionale sur ses hôtes, cette tique a une productivité numérique, donc un pouvoir d’installation et de colonisation, bien moindre que Boophilus. Dès l’apparition d’un foyer, la mise en place de mesures adaptées peut donc efficacement entraver son développement. Là où elle est établie, des mesures rigoureuses doivent permettre de rompre son cycle de développement et de détruire définitivement ses populations. De plus, elle ne semble pas manifester actuellement de phénomène de résistance aux acaricides, et elle est, au stade adulte, assez spécifique des animaux domestiques de grande taille. Ceci est en faveur de la mise en oeuvre d’une stratégie de lutte ayant pour objectif un programme d’éradication spécifique basé sur l’application régulière d’acaricides sur ses hôtes domestiques.
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