Academic literature on the topic 'Rupture paroi libre'

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Journal articles on the topic "Rupture paroi libre"

1

Laillou Savona, Jeannelle. "Genre littéraire et genre sexué dans Hier de Nicole Brossard." Voix et Images 29, no. 2 (2004): 143–55. http://dx.doi.org/10.7202/008777ar.

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Abstract:
Résumé La présente analyse porte sur les problèmes posés par l’enchâssement d’une pièce de théâtre à l’intérieur d’un roman. Il s’agit de relier les infractions à la notion de genre littéraire à celles qui concernent le genre sexué, le tout dans une perspective féministe. Parmi les phénomènes textuels d’Hier, ont été retenues la continuité apparente des deux types de fiction (narrative et dramatique), les stratégies postmodernes d’hybridité et de rupture qui affectent la lecture et l’identité des voix et la possibilité de lire la pièce enchâssée comme un texte autonome. Enfin, la présence énigmatique de René Descartes, au coeur de la problématique des genres, suscite l’attention.
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2

Ali Ahmed, Azouz. "Le transgressif comme pratique textuelle politique dans l’œuvre de Rachid Mimouni." Convergences francophones 6, no. 1 (2019): 18–32. http://dx.doi.org/10.29173/cf505.

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Abstract:
Signe de rupture considérable dans l’espace littéraire maghrébin, l’œuvre de Rachid Mimouni, en particulier sa trilogie ( Le Fleuve détourné, Tombéza et L’Honneur de la tribu), a dès le début des années quatre–vingts, en introduisant toutes les formes du transgressif dans le tissu textuel, non seulement mis en relief l’ensemble des questions interdites dans l’espace public (sexualité, inceste, religion, politique, etc.), mais également ébranlé les codes culturels en vigueur dans la société algérienne, et les assises idéologiques et politiques du récit national sur lesquelles reposait le système du parti unique. Ainsi le transgressif, qui se déploie derrière les voiles de motifs romanesques exacerbant à la fois les pratiques déviantes (la zoophilie, par exemple, comme substitut aux libres échanges sexuels impossibles dans des milieux conservateurs, est une manière de pointer la situation angoissante que vivent les jeunes sans avenir et sans possibilité de fonder un jour un foyer) et les formes de violences institutionnelle et sociale, prend une place fondamentale dans l’œuvre et en configure ses moments les plus forts. Il s’agira pour nous de montrer comment Mimouni mobilise les ressources du transgressif (à la fois stylistiques et rhétoriques, mais relevant dans une certaine mesure non seulement du discours social, mais aussi de l’anthropologie culturelle) afin de faire ressortir, en la dévoilant tout en la voilant, une forme d’oppositionnalité au discours politique hégémonique.
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3

Kirby, W. J. Torrance. "The Public Sermon: Paul's Cross and the culture of persuasion in England, 1534-1570." Renaissance and Reformation 31, no. 1 (2008): 3–29. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v31i1.9544.

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Abstract:
La tribune en plein air située dans l’enceinte de la cathédrale St-Paul de Londres, et connue sous le nom de la «croix de Paul», compte parmi les plus importants lieux publics de l'Angleterre de la Renaissance. Dans une société où le sermon était le vecteur principal d'éducation des adultes, de direction morale et de contrôle politique, la croix de Paul constituait la tribune ultime, voire la tribune publique de l'Angleterre elle-même. Elle était de longue tradition le lieu des proclamations officielles civiles et religieuses. Les intervenants dûment approuvés y exposaient les politiques gouvernementales et y dénonçaient les hérésies et les rébellions. Pourtant, à l'opposé de l'abbaye royale de Westminster, St-Paul appartenait davantage aux sujets qu'à la monarchie. En dépit du règlement officiel, la croix de Paul offrait un forum populaire favorisant l'exposition de divers points de vue dans le domaine turbulent des idées religieuses et politiques. Dès le XIIIe siècle, l'enceinte cathédrale avait été le lieu préféré des protestations populaires, un endroit où le peuple pouvait donner libre cours à ses doléances, et où les enjeux vitaux de la nation prenaient corps. On a dit que «la Réforme anglaise s'était faite à la croix de Paul». Dans ce cas, quel était le rôle du sermon public dans la formation du public religieux et des identités de l'Angleterre de l'époque? Qui étaient les principaux agents et acteurs? Comment étaient constitués les auditoires? Quelles sont les ruptures et les continuités dans l'utilisation de cette tribune publique au cours des différentes étapes de la Réforme anglaise, du règne d’Henri VIII à celui d'Élizabeth Ière?
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4

Sliwinski, Alicia. "Globalisation." Anthropen, 2018. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.084.

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Abstract:
Le concept de globalisation désigne l’interconnexion et l’interdépendance accrues de toute une gamme de relations sociales à l’échelle planétaire recouvrant d’importantes dimensions politiques, économiques, culturelles, environnementales et subjectives. Depuis les années 1980, la globalisation est devenue un discours dominant pour décrire la mise en place d’une nouvelle condition planétaire. Si nul ne nie que la globalisation soit un processus, la période historique qu’elle est censée marquer a fait l’objet de maints débats, aussi bien en anthropologie que dans les autres sciences sociales. Pour certains, la globalisation prend son essor au 19ème siècle avec les bouleversements liés au colonialisme, les avancées technologiques en matière de transport et de communication et l’expansion sans précédent des échanges commerciaux. Pour d’autres, la globalisation réalise la consolidation d’un système capitalisme mondial ou d’une « économie-monde » qui s’organise au 16ème siècle avec la division internationale du travail. Que des parties éloignées de la planète soient reliées entre elles ne date certes pas d’hier : les empires hellénique, romain et mongol ou encore la route de la soie montrent bien que les relations « transnationales » existent depuis longtemps. Cette discussion largement débattue a opposé le camp des « sceptiques » à celui des « globalisants » quant à la nouveauté du phénomène. Notons qu’en français deux termes existent pour désigner l’intensification et la multiplication des connexions et des réseaux reliant différentes parties du monde jadis nettement plus isolées les unes des autres : mondialisation et globalisation. Parfois ils sont utilisés en tant que synonymes, mais il y a lieu d’apprécier la nuance que leur distinction permet (Abélès 2008). La notion de mondialisation insisterait davantage sur les continuités historiques entre le passé et notre contemporanéité – sur le devenir-monde –, alors que la globalisation signale les discontinuités et les ruptures qui permettent d’affirmer que quelque chose de déterminant est apparu à la fin du 20ème siècle dans notre expérience du monde. Il y a au moins trois facteurs décisifs à cet égard : l’essor d’une économie de marché globale, l’ascension de l’Internet et des technologies de communication dans nos vies quotidiennes et l’apparition de mouvements et de politiques identitaires, plus ou moins violents, et parfois clairement orientés contre la globalisation. La phase actuelle de la globalisation est généralement associée à la doctrine du néolibéralisme, mais il ne faut pas les confondre. Le néolibéralisme caractérise le décloisonnement et la réorganisation des champs politiques et économiques dans le but de réduire les obstacles au commerce mondial. Les mesures macroéconomiques du Consensus de Washington introduites dans les années 1980 – telles que la libéralisation du commerce, la déréglementation de l’économie, la privatisation des entreprises nationales et la réduction des dépenses publiques et des impôts –, ont été mises en place pour favoriser le libre-échange entre les États. Avec la chute du bloc communiste qui annonçait, selon certains, « la fin de l’histoire » (Fukuyama 1992) et la preuve que les démocraties libérales étaient les plus aptes à assurer la croissance d’une économie avancée, la globalisation néolibérale a pris son envol. Au cœur de l’idéologie néolibérale siège la croyance que moins il y a d’entraves à une économie de marché globale, plus les pays seront prospères. De fait, la globalisation va grossir la sphère d’influence d’entités supranationales sur les États modifiant leur rapport au territoire et le contrôle de leurs économies nationales. Le triumvirat de la Banque Mondiale, du Fonds Monétaire International et de l’Organisation mondiale du commerce y a joué un rôle clé, mais ces organisations ont également fait l’objet d’intenses critiques et de mobilisations populaires pour avoir creusé le fossé entre les riches et les pauvres. En matière d’économie politique, la globalisation néolibérale a libéré le capital de ses lieux de production : le capitalisme du nouveau millénaire n’est plus caractérisé par la valeur du travail, mais plutôt par la consommation, la délocalisation et la circulation sans précédent de flux financiers transnationaux, souvent spéculatifs, générant la concentration d’immenses fortunes, mais aussi de nouvelles formes d’exclusion et de dépossession. Parmi les gagnants, soulignons l’essor fulgurant des compagnies technologiques. De fait, le « numérique » exerce une influence considérable dans les nouvelles grammaires culturelles, symboliques et identitaires. Il est couramment entendu que c’est le rapport au temps et à l’espace que la globalisation a profondément altéré. Selon David Harvey (1989), la globalisation exprime la compression de l’espace et du temps, accélérant les processus économiques et sociaux. Elle a créé de nouvelles configurations sociales et technologiques ayant radicalement réduit le temps des échanges et des déplacements. Depuis, l’espace ne cesse de se réduire et le temps de s’accélérer. Pour Anthony Giddens (1990), il s’agit davantage d’un élargissement de l’expérience vécue de ces catégories, et de leur séparation, si bien que la globalisation implique le désenclavement (disembedding) des relations sociales de leurs contextes locaux. Ici, la globalisation prolonge et affermit le processus d’individualisation de la société entamé au 19ème siècle. Un troisième penseur de la globalisation parmi les plus cités est Manuel Castells (1998) qui a avancé l’idée de la société en réseau. Cette nouvelle société réticulaire, informationnelle et globale, est issue de la révolution technologique ayant profondément transformé les modes d’organisation économique, les modalités du travail (et leur contenu), ainsi que les pratiques sociales reliées au temps et à l’espace. À partir de ces thèses notoires, nous pouvons identifier quelques paramètres pour mieux cerner la globalisation : le mouvement accru du capital, des personnes, des marchandises, des images et des idées ; l’intensification des réseaux qui relient différentes parties du globe ; l’élargissement et la déterritorialisation de pratiques sociales, culturelles, politiques et économiques au-delà des frontières ; enfin l’imbrication du local au global, et vice versa, dans nos expériences vécues du monde. Ces dynamiques restent pertinentes, mais nous aurions tort de croire que la globalisation est un phénomène total et achevé. La société en réseau n’est pas uniformément distribuée et la géographie de la globalisation expose combien cette dernière encourage la concentration des activités économiques, politiques et culturelles dans quelques grands centres et mégapoles. Si d’un côté la globalisation tend à homogénéiser les cultures quand les contextes locaux assimilent des produits culturels importés – on a parlé de l’américanisation, de la McDonaldisation et de l’aplatissement du monde –, elle entraine tout autant des formes de fragmentation et de recomposition des identités ethniques et culturelles. De vifs débats ont cherché à déterminer si la globalisation produisait plus de standardisation ou de diversité, d’intégration ou de désintégration, et si ces processus s’avéraient avantageux ou non. Les questions d’échelle sont importantes et les anthropologues ont adopté des approches plurielles pour éviter les interprétations qui ont « tendance à se produire dans l’espace raréfié de la méta-histoire et des généralités abstraites » (Barber et Lem 2004). Jonathan Friedman (2008) envisage la globalisation sous l’angle de la modernité, entendue comme le champ culturel du capitalisme commercial. La globalisation s’articule alors au développement d’un ethos cosmopolitique dont l’essor continue d’infléchir la « forme sociale du monde » (Agier 2013). Les analyses anthropologiques ont mis l’accent sur les flux et les disjonctions que la globalisation entraine (Appadurai 1996), les nouveaux assemblages politiques, technologies et éthiques (Ong et Colier 2005), l’hybridité et la créolisation (Hannerz 1987), la circulation des marchandises et des valeurs dans les contextes non hégémoniques de la « globalisation-par-le-bas » (Ribeiro 2012; Haugerud et al. 2001), la création de « non-lieux » caractéristiques de la surmodernité (Augé 1992), ou les frictions que les nouvelles articulations entre le local et le global entrainent (Tsing 2005). Par ailleurs, la globalisation a eu des répercussions sur les méthodologies de l’anthropologie : on assiste à une plus grande réflexivité dans la pratique de terrain qui devient lui-même multisites (Marcus 1995). Il s’agit également de révéler les liens entre le micro et le macro et ce qui y circule, s’y négocie ou se conteste. Toutefois, au niveau épistémologique la globalisation n’a pas la même valence que la notion de culture. Peut-on parler d’une culture globale et faire une ethnographie du global ? Marilyn Strathern (1995) notait que le global risquait d’être un concept autoréférentiel puisqu’il n’offre pas de point de vue sur le monde : il ne donne pas à voir les relations sociales qui sont rendues manifestes dans des ancrages locaux. Ces questions ne sont pas tranchées et renvoient à la portée herméneutique accordée au global en tant que contexte dans et par lequel la pratique anthropologique opère, en tant qu’objet bon à penser, sur lequel agir, et qui libère de nouveaux imaginaires. Le 21ème siècle maintenant bien entamé, force est de constater que la globalisation a creusé les inégalités entre les nations, les régions et les classes sociales. En 2017, plus de 80 % de la richesse mondiale a été empoché par 1 % de la population (Oxfam 2018). Ces rapports d’inégalité ne s’expriment pas uniquement en termes économiques, mais aussi selon le genre et le degré d’exposition au risque. Ils alimentent également des mouvements de paniques morales face à diverses sortes d’indésirables, qu’il s’agisse de pandémies, de terroristes, de migrants ou de réfugiés. Les politiques identitaires, exacerbées dans l’exutoire des réseaux sociaux, sont un corollaire qui polarise l’espace politique autant par le « haut » (quand les gouvernements promeuvent des nationalismes xénophobes) que par le « bas » (quand les minorités revendiquent la reconnaissance de leurs droits). Ces tensions profondes forcent à repenser le paradigme de l’État-nation dont la souveraineté affaiblie expose la désuétude d’un modèle d’exercice du pouvoir. L’utopie de la globalisation s’est essoufflée et d’autres concepts sont apparus, tels ceux de capitalocène et d’anthropocène pour accuser les maux engendrés par le capitalisme et l’impact délétère des activités humaines sur la planète. Comment infléchir les pathologies de la globalisation pour y remédier est sans doute l’enjeu principal de notre avenir commun.
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Dissertations / Theses on the topic "Rupture paroi libre"

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FRIGAULT, EMMANUEL. "Rupture de la paroi libre du coeur apres infarctus du myocarde : revue de la litterature et presentation de deux observations." Reims, 1988. http://www.theses.fr/1988REIMM013.

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2

Bouygard, Jean Louis. "Les ruptures de la paroi libre du ventricule gauche au cours de l'infarctus du myocarde : à propos de trois observations." Bordeaux 2, 1999. http://www.theses.fr/1999BOR2M119.

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3

Granger, Daniel. "Aspects cliniques et échocardiographiques de deux complications de l'infarctus du myocarde : revue de la littérature à partir de six observations de rupture de la paroi libre ventriculaire et de quatre observations de dissection myocardique." Caen, 1990. http://www.theses.fr/1990CAEN3007.

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