Academic literature on the topic 'Saint (0295?-0373)'

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Dissertations / Theses on the topic "Saint (0295?-0373)"

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Haroutiounian, Gohar. "La christologie des anciennes anaphores arméniennes." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040230.

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Abstract:
Consacrée à l’étude christologique des anciennes anaphores arméniennes, ce travail regroupe cinq documents : l’ancienne anaphore arménienne de Basile, l’anaphore d’Athanase d’Alexandrie, l’anaphore de Grégoire le Théologien, l’anaphore de Sahak et l’anaphore de Cyrille d’Alexandrie. Il est constitué de deux parties principales. La première, consacrée à l’étude des sources, fournit l’édition critique des anaphores de Grégoire, de Sahak et de Cyrille, ainsi que la traduction française de l’intégralité des cinq anaphores. La seconde partie, consacrée à l’étude de leur christologie, met en lumière la spécificité de la pensée christologique arménienne en confrontant leurs terminologies et leurs problématiques christologiques à celles des sources liturgiques, patristiques et dogmatiques d’origines grecque, arménienne et syriaque. De cette étude, il ressort que la christologie des anaphores arméniennes a connu une élaboration progressive entre le Ve et le Xe siècle, évolution qu’il est possible de scinder en trois étapes. Une première période, cappadocienne et cyrillienne, antérieure aux échanges arméno-syriaques du milieu du VIe siècle, transparaît dans la christologie de l’anaphore de Basile. Entre le milieu du VIe et la fin du VIIIe siècle, ce fut une nouvelle étape de franchie, d’inspiration syriaque, comme en témoignent les anaphores de Grégoire, Sahak et Cyrille. Enfin, une dernière période fut inaugurée par la pensée christologique de Yovhannēs Awjnec‘i, opérant une synthèse des christologies cappadocienne, cyrilienne et syriaque, ce dont témoigne l’anaphore d’Athanase. Cette évolution rend nécessaire de ne plus considérer la christologie arménienne comme une réalité statique et homogène, mais dynamique. De tels éclaircissements sur l’héritage christologique de l’Eglise d’Arménie ne peuvent que lui ouvrir de nouvelles perspectives<br>Dedicated to the christological study of ancient Armenian anaphoras, this work comprises five documents : the ancient Armenian anaphora of Basil, the anaphora of Athanasius of Alexandria, the anaphora of Gregory the Theologian, the anaphora of Sahak and the anaphora of Cyril of Alexandria. It is constituted of two main parts. The first one, dedicated to the study of sources, offers a critical edition of the anaphoras of Gregory, Sahak and Cyril, as well as French translation of the entirety of the five anaphoras. The second part, dedicated to the christological study of this texts, highlights the specificity of the Armenian christological thinking by comparing their christological terminologies and issues to those of liturgical, patristical and dogmatic sources of Greek, Armenian and Syriac origins
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2

Morales, Xavier. "La théologie trinitaire d'Athanase d'Alexandrie." Paris, EPHE, 2002. http://www.theses.fr/2002EPHE5045.

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Abstract:
Athanase d'Alexandrie (+373) n'est pas seulement le "défenseur de Nicée". Il est aussi le promoteur d'une description équilibrée et prudente du mystère trinitaire : "Une seule divinité dans une Trinité". En évitant de parler d'une ou de trois hypostases, aussi bien que d'une ou de trois substances, il se tient à distance des extrêmes : la théologie des trois hypostases, professée par la majorité des Orientaux, qui insiste unilatéralement sur la distinction réelle entre les personnes divines, au point de les subordonner les unes aux autres ; et une théologie de l'unique hypostase, qui risque de sombrer dans le sabellianisme en refusant au Verbe une subsistance propre. Cette théologie trinitaire s'élabore dans le sillage du débat sur la réception du symbole de Nicée (325), en particulier autour des années 359-362, lorsque Athanase défend la consubstantialité dans le Traité sur les synodes, et aborde la question pneumatologique dans les Lettres à Sérapion<br>Athanasius of Alexandria (+373) not only stands as the "Champion of Nicea", but also promoted a careful well-balanced description of the trinitarian mystery : "One godhead in a Trinity". As he speaks neither of one or of three hypostases, nor of one or three substances, he avoids both extreme positions : the three-hypostases theology, professed by a majority of Oriental bishops, insisting so much on a real distinction between the divine persons, as to subordinate them each to each ; and a one-hypostasis theology, which, by refusing a self-subsistence to the Word, nearly falls into sabellianism. This trinitarian theology develops itself during the debates on the reception of the Nicean formula (325), singularly around 359-362, when Athanasius defends consubstantiality in his Treatise on the synods, and deals for the first time with the pneumatological question, in the Letters to Serapion
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Martin, Annick. "Athanase d'Alexandrie et l'Église d'Égypte au IVe siècle (328-373)." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040304.

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Abstract:
Les quarante-cinq années d'épiscopat d’Athanase n'ont pas seulement marqué une étape importante dans l'histoire du christianisme dans l'empire romain en faisant d’Alexandrie le pôle de résistance et le centre de l'orthodoxie en orient. Ce long ministère, forge dans le combat pour l'orthodoxie de la foi définie a Nicée, a également contribué à ancrer plus fortement le christianisme en Egypte en intégrant le peuple des fidèles, laïcs et moines, à ce combat. Par ses écrits et ses tournées pastorales, il a réussi à maintenir l'unité d'une église dont il a, pour l'essentiel, hérité les structures ; il a su tirer un remarquable profit de la nouvelle culture fondée sur l'écriture, largement développée par le courant monastique qu'il mit au service de la mission locale. Premier grand évêque de l'Egypte chrétienne, il ne fut pourtant pas, en dépit de son autorité personnelle, le grand leader dont l'église nicéenne d'orient aurait eu besoin pour refaire son unité après les avatars subis sous le règne de l'arien Constance, bien qu'il ait contribue à faire évoluer la définition trinitaire et christologique du nicaenum, ce dont se souviendra la concile de Chalcedoine<br>The forty five years episcopate of Athanasius didn't only constitute an important stage in the christian history of the Roman Empire, making Alexandria the pole of the orthodoxy in the east. This long ministry, forged in the struggle for the orthodoxy of the faith defined at Nicaea, also strongly contributed to link Egyptian people, laity and monks, to christianism and to this struggle too. Thanks to his writings and pastoral travels in the country, he succeeded in maintaining the church's unity, the main structures of which he inherited; he took advantage of the new culture based on the Holy Scripture, highly developed by the monastic movement that he devoted to local mission. Even if he was, thanks to his personal authority, the first great bishop of christian Egypt, he wasn't the great leader whom the Nicene east church would have need in order to reestablish its unity because of the grievances sustained during the arian Constance’s reign; nevertheless, he contributed to the evolution of the trinitary and christologie definition of the nicaenum ; the Chalcedon council will remember
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Maftei, Eugen. "L'incarnation du Verbe de Dieu comme oeuvre du salut chez Athanase d'Alexandrie." Thesis, Paris 4, 2012. http://www.theses.fr/2012PA040279.

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Abstract:
La présente thèse, intitulée «L’incarnation du Verbe de Dieu comme œuvre du salut chez Athanase d’Alexandrie» met en évidence un sujet qui a une connotation très forte pour l’histoire du christianisme et des pensées religieuses en général, à savoir l’action salvatrice du Fils de Dieu en faveur de l’homme, avec toutes les conséquences qui en résultent. Athanase a une conception assez originale sur la nature de l’homme, qu’il conçoit comme un être corruptible, issu du néant, mais destiné pourtant à une vie éternelle par la participation de Dieu, celui qui possède la vraie vie et qui lui communique cette vie si celui-ci reste en communion avec Dieu. Pour qu’il puisse réaliser cette relation très personnelle, Dieu l’a créé selon son image, le Logos-même et l’a doté de l’esprit, l’esprit qui lui permettait d’élever toujours sa pensée vers le monde intelligible et de voir Dieu selon l’image duquel il a été fait. A cause de son insouciance et de la tromperie du démon l’homme n’a pas réussi à garder la pureté de son esprit, pureté qui lui garantissait la contemplation de l’Image, s’est retourné par le péché vers les choses sensibles et a commencé à se contempler lui-même. Ainsi la séparation de Dieu, sa source de vie, renvoie l’homme à sa condition initiale de créature sortie du néant. Mais Dieu, dans son amour infini, n’a pas voulu laisser l’homme dans cet état déplorable et a envoyé dans le monde son propre Verbe pour qu’en sa qualité d’Image de Dieu, il renouvelle l’homme fait selon l’image et qu’en assumant une humanité réelle, il le libère du péché et de la mort par sa mort et sa résurrection. Pourtant l’œuvre salvatrice accomplie par l’incarnation du Verbe ne se limite pas seulement à une restauration de l’homme dans son état initial, mais suppose quelque chose de plus, à savoir une union si étroite de l’humanité et de la divinité dans la personne du Christ, de telle sorte que la nature humaine-même est rendue perméable à la divinité. Cette œuvre réalisée dans la personne du Christ se prolonge dans tous les hommes, grâce à leur parenté et incorporation en Christ. C’est ainsi que l’auteur conclut par sa célèbre phrase: «Dieu s’est fait homme pour que l’homme soit fait dieu», un dieu non par nature, mais par grâce<br>This thesis, entitled “The incarnation of the Word of God as work of salvation in Athanasius of Alexandria” emphasizes a topic that has very strong connotations in the history of Christianity and religious thoughts in general, namely the liberating action of the Son of God for man, with all the consequences that will result. Athanasius’ thinking of human nature is, in some degree, original. For him, the human being is a corruptible one, as originated in nothingness, but destined to an eternal life through the participation of God, who possesses the true life and who communicates it to him, if he remains in communion with God. To achieve this personal relationship, God created him after his image, the Logos himself, and endowed him with spirit, which enabled him to raise always his thought to the intelligible world and to see God in whose image he was made. Because of his recklessness and deceit of the devil, man failed to keep the purity of his spirit, purity that ensured his contemplation of the Image, he turned through sin to sensible things and began to contemplate himself. Thus, the separation from God, the source of his life, makes the man returning to his original condition as creature out of nothing. But God in his infinite love would not leave man in this deplorable state and sent into the world his own Word to renew, as Image of God, the man made after this Image and, by assuming a true humanity, deliver him from sin and death by his death and his resurrection. Yet the saving work accomplished by the incarnation of the Word is not limited only to a restoration of man to his original condition, but requires something more, namely a union so close of humanity and divinity in the person of Christ, so that the human nature itself is made permeable to the deity. This work accomplished in the Christ’ person extends to all men, through their similarity and their incorporation into Christ. Thus the author concludes by his famous phrase: “God became man so that man is made god”, a god, not by nature but by grace
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Zaganas, Dimitrios. "Les "Commentaires sur les Prophètes" (Douze et Isaïe) de Cyrille d'Alexandrie : la formation d'une exégèse alexandrine post-origénienne." Paris, EPHE, 2014. http://www.theses.fr/2014EPHE5009.

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Abstract:
Avec Cyrille d’Alexandrie (v. 378-444), s’ouvre une nouvelle période dans l’histoire de l’exégèse alexandrine. Le commentaire chrétien de la Bible, confié jusque-là à des didascales, passe aux mains du puissant évêque d’Alexandrie, qui s’affranchit nettement de l’allégorisme des grands maîtres (Origène, Piérius, Didyme l’Aveugle) et emprunte au modèle exégétique d’Eusèbe de Césarée et des Antiochiens, tout en conservant une coloration alexandrine. Cette évolution est particulièrement sensible dans les Commentaires suivis sur Isaïe et sur les Douze prophètes, où le neveu de Théophile propose un modèle d’interprétation plus équilibré, en insistant sur l’importance de la dimension historico-littérale de l’Écriture. À travers une analyse approfondie de sa méthode exégétique, cette thèse s’attache à la fois à faire ressortir l’originalité de la démarche cyrillienne et à souligner son rôle déterminant dans le renouvellement de la tradition alexandrine. Après le rappel des affinités les plus caractéristiques avec Origène, grammairien et allégoriste, cette étude a accordé une attention minutieuse à l’émergence d’une exégèse post-origénienne sous la plume de Cyrille : des changements de termes, de procédés, de contenu et de finalité qui témoignent d’une volonté de réforme. En dernier lieu, a été abordée la question épineuse des sources, en distinguant celles qui présentent uniquement des parallèles avec l’évêque d’Alexandrie de celles qui ont exercé une véritable influence sur lui. Dans un bref appendice sont publiés quelques extraits inédits de l’In Isaiam de Cyrille<br>Cyril of Alexandria (c. 378-444) marks a new period in the history of the Alexandrian exegesis. The Christian interpretation of the Bible, previously assigned to teachers, passes now into the hands of the powerful bishop of Alexandria, who clearly overcomes the allegorism of the great masters (Origen, Pierius, Didymus the Blind) whilst borrowing elements from the exegetical model of Eusebius of Caesarea and the Antiochians, maintaining yet the Alexandrian colouring. This evolution is particularly noticeable in the Commentaries on Isaiah and on the Twelve Prophets, where Theophilus’ nephew proposes a more balanced model of interpretation, by emphasizing the importance of the historical-literal dimension of the Scripture. Through a detailed analysis of his exegetical method, this dissertation seeks to highlight the originality of the Cyrilline approach and to underscore Cyril’s role in the renewal of the Alexandrian tradition. After going through the most characteristic affinities with Origen, grammarian and allegorist, particular attention is given to the emergence of a post-Origen exegesis in the writings of Cyril: changes of terms, method, content and purpose which attest to his commitment to reform. The present study addresses, finally, the thorny question of Cyril’s sources, by distinguishing those which show only parallels with him, from those which really influenced him. A few inedited excerpts of Cyril’s In Isaiam are published in the appendix
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Thiesset, Ménager Céline. "Sainte Hélène dans le haut Moyen Âge : culte, mémoire et dossier hagiographique." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040190.

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Abstract:
Notre étude porte sur le développement du culte d’Hélène à l’époque carolingienne. Si la fin de l’antiquité et l’époque des royaumes barbares gardèrent le souvenir de la mère de Constantin, en particulier dans les sphères politiques, l’élaboration de sa légende fut progressive, connut plusieurs versions, parfois contradictoires et l’impératrice ne reçut pas de culte avant la deuxième moitié du IXe siècle. Bien que la ville de Rome se souvienne des bienfaits et des constructions de la sainte, ce n’est pas là que son culte fut fondé mais en Champagne. Il s’agit donc d’étudier comment l’époque carolingienne constitue un moment particulièrement favorable à la redécouverte de cette pieuse femme, proche du pouvoir. L’édition du dossier hagiographique produit à cette époque en Champagne par le moine Almanne d’Hautvillers constitue le point de départ de notre recherche tant ce texte semble central à la diffusion de ce nouveau culte. Il résume également l’ensemble des enjeux qui gravitent autour du personnage. Car les raisons d’évoquer Hélène sont nombreuses : culte de la Croix, modèle de sainteté féminine, définition du pouvoir impérial, pratique du queenship, questionnement sur l’authentification des reliques et leur déplacement, quête de légitimité ou de primauté. Le culte est ainsi réinterprété en fonction des besoins des régions qui se l’approprient, à Trèves, à Cologne ou encore en Angleterre<br>Our study focuses on the development of the cult of Helena in the Carolingian period. If the end of antiquity and the time of the barbarian kingdoms kept the memory of the mother of Constantine, particularly in the political sphere, the development of her legend was progressive, it went through several versions, sometimes contradictory and the Empress received no worship before the second half of the ninth century. Although the city of Rome remembered the benefits and constructions of the saint, her cult wasn’t founded there but in Champagne. The point is to study how the Carolingian period was therefore a particularly favorable time to rediscover this pious woman, and her vicinity with power. Publishing the hagiographical works produced at that time in Champagne by the monk Almannus of Hautvillers is the starting point of our research since that text appears central to the spread of this new cult. It also summarizes all the issues that revolve around the character. For the reasons to mention Helena are numerous: worshipping the Cross, modeling feminine holiness, defining the imperial power, practicing queenship, questioning the authentication of relics and their displacement, seeking legitimacy or primacy. Worshipping Helena is thus reinterpreted according to the needs of the regions that appropriate her, in Trier, in Cologne or in England
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