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Journal articles on the topic 'Saison de croissance'

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Mandret, Gilles, A. Ourry, and Guy Roberge. "Effet des facteurs température et nutrition azotée sur la croissance des plantes fourragères tropicales. I. Variation saisonnière de la croissance d'une graminée tropicale, Brachiaria mutica, au Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 43, no. 1 (January 1, 1990): 119–24. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8879.

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Abstract:
La croissance en climat sahélien subcanarien d'une graminée tropicale, Brachiaria mutica, a été étudiée pendant la saison sèche froide (novembre-m a rs), la saison sèche chaude (mars-mi-juillet) et la saison des pluies (mi-juillet-octobre). L'essentiel des résultats montre que cette graminée a une faible productivité en saison sèche froide, du fait de températures minimales très basses, contrairement à celles obtenues en saisons des pluies. Par ailleurs, il semble qu'il y ait une déplacement du facteur limitant (températures minimales basses) vers un effet azoté qui témoigne de la faible disponibilité en azote du sol pendant la saison froide et de l'importance d'une fertilisation azotée. Cette étude souligne l'intérêt d'introduire, lors de la saison sèche froide, des plantes fourragères des régions tempérées, moins exigeantes vis-à-vis de la température.
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Dehoux, J. P., A. Buldgen, P. Dachet, and A. Dieng. "Influence de la saison et de la concentration énergétique de l'aliment sur les performances de croissance de pintadeaux (Numida meleagris) en région tropicale." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 4 (April 1, 1997): 303–8. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9561.

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Abstract:
Deux expériences de croissance de pintadeaux de chair ont été réalisées durant 15 semaines au Sénégal. La première expérience a été conduite en saison sèche sur 198 pintadeaux répartis en 2 lots subdivisés chacun en 3 répétitions de 33 animaux. Pendant les périodes de démarrage, de croissance et de finition, les lots ont été nourris avec deux types d'aliments : 2 550 kcal/kg pour les aliments " basse énergie " (BE) et 2 800 kcal/kg pour les aliments " témoins " (T). La seconde expérience a été conduite en saison pluvieuse en respectant un protocole expérimental identique. Au cours de la saison sèche, le poids vif moyen à 15 semaines de 1 805 g pour le lot T a été significativement plus faible pour le lot BE avec un écart de 412 g entre les deux régimes. En saison des pluies, les poids vifs moyens à 15 semaines étaient significativement inférieurs : respectivement - 488 et - 274 g pour les lots T et BE en comparaison des performances enregistrées en saison sèche. La différence de poids vif enregistrée entre les régimes T et BE était significative pendant cette saison, mais elle s'élevait seulement à 198 g. La consommation d'aliments a été significativement plus élevée pour le lot T pendant les deux saisons (différence de 18 g par jour en saison sèche et de 8 g par jour en saison pluvieuse). Aucune différence significative n'a été mise en évidence entre les deux lots pour l'indice de consommation, mais celui-ci était significativement plus élevé pendant la saison pluvieuse (5,3 contre 4,5 pendant la saison sèche). Aucune mortalité n'a été observée pendant les deux expériences.
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Ebangi, A. L., D. A. Mbah, and D. Abba. "Caractérisation de la performance de croissance des Namchi et des Kapsiki, races bovines camerounaises menacées de disparition." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 3 (March 1, 2002): 235. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9828.

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Abstract:
De 1985 à 1990, les performances de croissance de 80 veaux Kapsiki et de 83 veaux Namchi ont été suivies tous les trois mois de la naissance à un an à la station de Recherche agricole pour le développement de Yagoua. Les performances de croissance ont été analysées par la procédure du modèle linéaire général de SAS pour les poids à la naissance (PN) et aux âges de trois mois (PTM), six mois (PSM), neuf mois (PNM) et 12 mois (PDM). Les moyennes ont été de 13,2 et 15,5 kg, 42,9 et 58 kg, 68,3 et 75,2 kg, 85,9 et 97,6 kg, et 104,7 et 115,5 kg respectivement pour les PN, PTM, PSM, PNM et PDM chez les veaux Namchi et Kapsiki. Les gains de poids quotidiens cumulés ont été de 0,32 et 0,48 kg, 0,25 et 0,39 kg, 0,21 et 0,35 kg, et 0,21 et 0,32 kg respectivement entre les PN et PTM, PTM et PSM, PSM et PNM, et PNM et PDM, chez les veaux Namchi et Kapsiki. La performance de croissance a été significativement supérieure (P < 0,001) chez les veaux Kapsiki par rapport aux veaux Namchi pour tous les caractères considérés. La saison n’a pas eu d’effet significatif (P > 0,05) sur la croissance, excepté sur les PSM et PDM (P < 0,05) chez les deux races. Le sexe n’a pas influé (P > 0,05) sur les traits étudiés. Cependant, les veaux mâles des deux races ont eu un poids plus élevé et leur croissance a été plus rapide que ceux des femelles. La saison pluvieuse et la saison sèche froide ont été des périodes favorables pour la production de veaux Namchi plus performants et à croissance plus rapide tandis que la saison sèche chaude a eu les mêmes effets chez les veaux Kapsiki.
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Pacholek, X., Renaud Lancelot, Matthieu Lesnoff, and Samir Messad. "Performances de croissance des chamelons élevés dans la zone pastorale nigérienne." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 2 (February 1, 2000): 189. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9751.

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Abstract:
De 1992 à 1996, un suivi zootechnique individuel a été réalisé sur les chameIons de moins d'un an élevés traditionnellement dans 20 troupeaux de la zone pastorale nigérienne. L'étude visait à établir une formule barymétrique simple d'estimation du poids des chamelons et à modéliser leur croissance pondérale en tenant compte d'éventuels facteurs de variation. Les données allométriques (poids vif, hauteur au garrot, périmètre thoracique) ont été analysées selon la méthodologie des modèles linéaires mixtes. Une formule barymétrique a été établie à partir de la mesure des périmètres thoraciques (PT) compris entre 0,7 et 1,5 m. Le sexe est apparu comme un facteur de variation significatif (p < 0,01) : à périmètre thoracique égal, les femelles sont nées plus lourdes, puis le phénomène s'est inversé à partir de PT = 0,9 m. Les poids vifs prédits ont varié entre 30,56 ± 3,71 et 174,02 ± 3,01 kg pour les mâles et 32,37 ± 3,67 et 168,80 ± 2,90 kg pour les femelles. Un modèle de croissance a été calculé pour les chamelons âgés de 15 à 180 jours. Aucun effet du sexe ou de la vermifugation de la mère dans les 500 jours précédant la mise bas (indicateur de l'état sanitaire et nutritionnel) n'a été mis en évidence. En revanche, les chamelons nés en saison des pluies et en début de saison sèche étaient 10 p. 100 plus lourds et croissaient 10 p. 100 plus vite que les chameIons nés en saison sèche chaude (p < 0,01). Les gains moyens quotidiens ont été faibles, respectivement 318 et 289 g/j en saisons favorable et défavorable, et caractéristiques des systèmes d'élevage extensifs.
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Sib, Ollo, Eliel González-García, Valérie M.C. Bougouma-Yameogo, Mélanie Blanchard, and Eric Vall. "Coconception, installation et évaluation de banques fourragères arbustives pour l’alimentation des vaches laitières dans l’ouest du Burkina Faso." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 73, no. 1 (March 3, 2020): 27–35. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31841.

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Abstract:
Dans les élevages laitiers de l’ouest du Burkina Faso, la production de lait est limitée par un déficit fourrager en saison sèche. Cette étude visait à évaluer la faisabilité et la potentialité des banques fourragères arbustives (BFA) pour complémenter l’alimentation des vaches laitières en saison sèche avec un fourrage de bonne valeur nutritionnelle. Un travail de coconception, d’installation et d’exploitation de BFA, composées de Leucaena leucocephala et de Morus alba, a été réalisé dans trois élevages de bovins laitiers de l’ouest du Burkina Faso. Les trois BFA ont été plantées à haute densité, avec 20 000 plants.ha-1, en juillet 2016. La croissance a été rapide durant les sept premiers mois (saison des pluies et début de saison sèche). Au jour de plantation (jp) plus sept mois, L. leucocephala mesurait 145 ± 11 cm et M. alba 143 ± 72 cm. Puis, durant la saison sèche, la croissance s’est ralentie. Les caractéristiques du sol, le manque de pluies et la faible profondeur des lits de plantation expliquaient les différences de croissance observées selon les sites expérimentaux. Les attaques de termites (BFA3) et le passage du feu (BFA1) ont affecté le développement des BFA concernées sans les anéantir. La production de biomasse sur BFA2 et BFA3, cumulée sur les trois coupes d’exploitation (jp+13, jp+15 et jp+17-18 mois), a été plus élevée avec L. leucocephala (8,2 ± 2,6 t MS.ha-1) qu’avec M. alba (1,8 ± 2,3 t MS.ha-1). Le coût d’installation et d’exploitation de 625 m² de BFA a été de 896 188 FCFA (environ 1350 €). Des solutions sont à trouver pour les rendre financièrement plus accessibles aux éleveurs.
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BENABDELJELIL, K., and P. MÉRAT. "Test de types génétiques pour une production avicole locale au Maroc." INRAE Productions Animales 5, no. 3 (July 29, 1992): 173–78. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.3.4231.

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Abstract:
Un croisement de poulets de chair de type Label "Cou nu" et un croisement de type commercial standard ont été testés tous deux dans des conditions d’élevage courantes au Maroc, d’une part en saison d’hiver (éclosion le 19/01/90), de l’autre en saison chaude (éclosion le 05/06/90). La croissance, l’efficacité alimentaire et la mortalité ont été relevées jusqu’à l’âge de 70 jours dans le premier cas, de 49 jours dans le second. Les performances de croissance des deux croisements, comme prévisible, ont été très différentes. L’effet dépressif de la saison chaude sur le poids corporel et l’efficacité alimentaire a été moins marqué pour le type "Label", qui a présenté par ailleurs une très faible mortalité aux deux saisons. D’autre part, un croisement expérimental de type "pondeuse à oeufs bruns" réunissant les gènes "nanisme lié au sexe" (dw) et "Cou nu" (Na) a été testé pour des performances de production d’oeufs dans des conditions d’élevage courantes au Maroc, en même temps qu’un croisement "ponte" commercial , également de type "oeuf brun" (ISA-Brown). La persistance de ponte et le poids moyen des oeufs du croisement expérimental ont été inférieurs à ceux du croisement commercial. Par contre, le poids corporel et la consommation alimentaire plus faibles du croisement expérimental ont contribué à réduire le désavantage de ce type génétique pour l’efficacité alimentaire. Le taux de ponte a été légèrement favorable au croisement "naines Cou nu" jusqu’à l’âge de 35 semaines, probablement du fait d’une bonne thermotolérance associée aux gènes dw et Na. Les données suggèrent une moindre mortalité pour ce même croisement après l’âge de 40 semaines.
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Fétéké, Fousseni, Adeline Fayolle, Kasso Dainou, Nils Bourland, Agathe Dié, Philippe Lejeune, Jean-Louis Doucet, and Hans Beeckman. "VARIATIONS SAISONNIÈRES DE LA CROISSANCE DIAMÉTRIQUE ET DES PHÉNOLOGIES FOLIAIRE ET REPRODUCTIVE DE TROIS ESPÈCES LIGNEUSES COMMERCIALES D’AFRIQUE CENTRALE." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 330, no. 330 (July 21, 2017): 3. http://dx.doi.org/10.19182/bft2016.330.a31315.

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Abstract:
La rythmicité intra-annuelle de la crois- sance diamétrique des arbres n’est connue que pour très peu d’espèces tropicales africaines. Dans cet article, une combinaison de méthodes expéri- mentant le marquage cambial séquen- tiel, l’analyse anatomique et la mesure des cernes a été utilisée pour détermi- ner la périodicité et les variations de la croissance diamétrique de trois espèces d’Afrique centrale produisant un bois d’œuvre de grande qualité : Baillonella toxisperma (moabi), Entandrophragma cylindricum (sapelli) et Erythrophleum suaveolens (tali). En outre, des interac- tions avec la phénologie foliaire et repro- ductive et le climat ont été recherchées. Pour les trois espèces, les cernes de croissance sont anatomiquement dis- tincts, annuels et se forment au rythme des saisons, avec un accroissement qui est maximal pendant la petite saison pluvieuse (de mars à mai). Les variations saisonnières de la croissance se sont avérées significatives pour le moabi et le sapelli et non significatives pour le tali. Les paramètres climatiques jouant un rôle déterminant dans ces variations sont la température et l’ensoleillement. L’ana- lyse dendrochronologique dresse d’inté- ressantes perspectives en vue d’acquérir des données de croissance sur le long terme, nécessaires à la définition des paramètres de gestion des populations naturelles de ces espèces.
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Yao, Marcelline, Brahima Camara, Mamadou Cherif, Généfol Ouattara, Lezin Edson Bomisso, Fatogoma Sorho, Eugène Yocoli, Daouda Kone, and Emmanuel Acka Dick. "Effets du lit, de la densité de plantation et de la fertilisation sur la croissance végétative de l’ananas (Ananas comosus L., var. MD2) à différentes saisons de planting dans la zone de Bonoua en Côte d’Ivoire." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 7 (December 3, 2020): 2398–414. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i7.3.

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Abstract:
L’objectif de ce travail était de définir un itinéraire de culture favorable à la croissance des plants d’ananas MD2 en fonction des saisons de mise en culture dans la localité de Bonoua, au Sud - Est de la Côte d’Ivoire. Les effets de trois lits de plantation (terrain plat, billon sans un film polyéthylénique et billon recouvert avec un film polyéthylénique) ; de deux densités de plantation (50000 et 70000 plants/ha) ; de quatre types de fumure [F1 (Urée + Potasse) ; F2 (Urée + Potasse + Oligoéléments) ; F3 (Urée + Potasse + Engrais complet) et F4 (Urée + Potasse + Engrais complet + Oligoéléments)] et de deux fréquences d’application de fertilisants (3AP et 7AP) ont été testés. Au terme de la phase végétative du cycle, les comparaisons intersaisons des paramètres mesurés ont montré que quels que soient les traitements appliqués, le nombre de feuilles vivantes et la longueur de la feuille D les plus importants, ont été obtenus lorsque les plantings ont été réalisés à la grande saison pluvieuse. Les masses des feuilles D ont été supérieures au seuil de 70 g pour les plantings effectués pendant la petite et la grande saison pluvieuse, ainsi qu’à la grande saison sèche. La confection de billons a permis aux plants d’ananas MD2 d’avoir une bonne croissance végétative en saison sèche dans la localité de Bonoua.Mots clés : Ananas MD2, croissance, feuille D, saison, Fertilisant, Côte d’Ivoire. English Title: Effects of bedding, planting density and fertilization on the vegetative growth of pineapple (Ananas comosus L., var. MD2) at different planting seasons in the Bonoua zone in Côte d'Ivoire The objective of this work was to define a cultivation itinerary favorable to the growth of MD2 pineapple plants according to the growing seasons in the locality of Bonoua, in the South - East of Côte d'Ivoire. The effects of three planting beds (flat ground, ridge without a polyethylene film and ridge covered with a polyethylene film); two planting densities (50,000 and 70,000 seedlings/ha); four types of manuring [F1 (Urea + Potash)]; F2 (Urea + Potash + Trace elements); F3 (Urea + Potash + Complete fertilizer) and F4 (Urea + Potash + Complete fertilizer + Trace elements)] and two fertilizer application frequencies (3AP and 7AP) were tested. At the end ofthe vegetative phase of the cycle, inter-season comparisons of the measured parameters showed that, regardless of the treatments applied, the most important number of live leaves and leaf length D were obtained when the plantings were carried out during the long rainy season. The D-leaf masses were above the threshold of 70 g for plantings carried out during the short and long rainy seasons, as well as during the long dry season. The making of ridges allowed the MD2 pineapple plants to have a good vegetative growth during the dry season in the locality of Bonoua.Keywords: Pineapple MD2, growth, leaf D, season, Fertiliser, Côte d’Ivoire.
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Rippstein, Georges, G. Allard, and J. Corbin. "Gestion par les feux des pâturages naturels et productivité des bovins sur les prairies des basses plaines orientales de Colombie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 4 (April 1, 2000): 337. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9712.

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Abstract:
La productivité et la valeur alimentaire des différents types de pâturages naturels des basses plaines orientales de Colombie (Llanos), gérées par des feux annuels de saison sèche, ont été généralement faibles: les biomasses aériennes annuelles ont été de l'ordre de 2 à 3,5 tonnes de matière sèche par hectare et les teneurs en matières azotées totales des fourrages ont été comprises entre 5 et 11 p. 100 de la matière sèche suivant les saisons et le stade phénologique. Dans les conditions traditionnelles d'exploitation (pâture continue, pas de feu ou des feux en début de saison sèche, chargement de 8-10 ha par animal), les gains de poids des bovins ont été faibles en saison des pluies (gains quotidiens moyens entre 150 à 300g) et ils ont perdu généralement du poids en saison sèche (de 150 à 250g par jour). Des expérimentations en station ont montré une différence significative de productivité des animaux selon la composition botanique, ou mieux, la valeur pastorale (indice synthétique de valeur du pâturage intégrant productivité, valeur nutritive et appétence des espèces) des pâturages naturels suivant qu'ils étaient sur des sols à texture sablo-argileuse ou argilo-limoneuse. Les feux annuels de saison sèche ont permis la production de repousses vertes mais, répétés d'année en année et associés à la libre pâture en continu, ils ont dégradé la flore. Les auteurs ont testé, sur un ensemble de parcelles en rotation, deux systèmes séquentiels de feux permettant de les espacer de 16 mois et de mettre à la disposition du bétail des repousses protégées de la pâture toutes les quatre semaines. Malgré un doublement de la charge moyenne annuelle (4 ha par tête), les gains de poids individuels de bovins en croissance ont été significativement améliorés et ce résultat a été obtenu sans dégradation de la végétation.
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Yo, T., Michel Picard, Hubert Guérin, and P. Dauvilliers. "Alimentation séparée (céréales graines entières + aliment complémentaire granulé) chez les poulets de chair en climat chaud." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 47, no. 3 (March 1, 1994): 319–27. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9096.

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Abstract:
La consommation alimentaire et la croissance des poulets de chair sont limitées par les fortes températures. Une alimentation séparée (AS), composée de céréales "graines entières" et d'un aliment complémentaire, a été comparée avec un aliment complet en farine (ACF) ou en granulés (ACG) pour étudier l'aptitude des poulets à adapter leur ingestion d'énergie et de protéines à leurs besoins. Deux essais ont porté, en saison sèche (SS) et en saison des pluies (SP), plus fraîche, sur 1 012 poulets de souche JV15 divisés en 24 lots et sur 6 régimes comprenant un ACF, un ACG et 4 combinaisons d'AS associant du maïs ou du mil à deux formules d'aliments complémentaires. Les poids à 56 jours ont été plus élevés en SP qu'en SS (25 %). Quelle que soit la saison, les croissances en AS ont été de 4 à 7 % supérieures à celles obtenues en ACF. En revanche, en SS les performances des lots en AS et en ACG étaient globalement identiques (ACG non testé en SP). L'AS a nécessité une semaine d'adaptation après laquelle l'équilibre énergie/protéines fut proche de celui des aliments complets. Elle permet l'utilisation des céréales locales sans frais de transport, de broyage, de mélange ni de granulation. Le prix d'intérêt de l'aliment complémentaire peut être déterminé par ceux des céréales et de l'ACG.
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Alexandre, G. "Croissance pré-sevrage des chevreaux en Guadeloupe." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 44, special (May 1, 1991): 57–62. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9232.

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Abstract:
La croissance des chevreaux dépend étroitement de la production laitière de leur mère, en particulier pendant les 40 premiers jours, où les coefficients de corrélation sont les plus élevés (0.7 à 0.9). En effet les chevreaux élevés par des mères recevant un haut niveau alimentaire (fourrage et complément) ont un GMQ (0-40 jours) supérieur (83 g/j + 18 vs 53 + 17, P < 0.001) à celui de ceux dont les mères ne recoivent que le fourrage vert. Pour un niveau d'alimentation lactée comparable, quelque que soit la saison d'élevage, les jeunes qui reçoivent en plus du lait et du fourrage, un aliment concentré (0.86 UFL et 115g PDIN/kg, distribué ad libitum à partir de la 3e semaine) ont une croissance (GMQ 40-85j) supérieure de l'ordre de 40 %, améliorent leur poids au sevrage de 16 à 20 % et réduisent leur taux de mortalité de 28 à 0 %. Les facteurs de variation liés au stade d'allaitement et à l'effet indirect de la saison sont présentés et discutés. Dans un troupeau expérimental en élevage semi-intensif sur prairie, deux conduites principales sont mises en parallèle. Les résultats montrent que le chevreau Créole présente un bon potentiel de production : son poids de naissance (1,5 kg) est multiplié par 4,6 à 5,7 au moment du sevrage à 85 jours.
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Abassa, K. P., J. Pessinaba, and A. Adeshola Ishola. "Croissance pré-sevrage des agneaux Djallonké au centre de Kolokopé (Togo)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 45, no. 1 (January 1, 1992): 49–54. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8958.

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Abstract:
Des données pondérales prélevées de 1983 à 1985 sur 398 agneaux Djallonké du Centre de Kolokopé (Togo) ont été analysées. Les poids moyens obtenus par la méthode des moindres carrés étaient de 1,69 + ou - 0,08 kg à la naissance, 4,01 + ou - 0,13 kg à 30 jours et 9,64 + ou - 0,27 kg à 120 jours (au sevrage). Les gains moyens quotidiens (GMQ) obtenus par la même méthode étaient estimés à 78,32 + ou - 3,18 g et 57,11 + ou - 1,81 g, respectivement de 0 à 30 jours et de 30 à 120 jours. Les agneaux nés en mars (fin saison sèche - début saison des pluies) et novembre-décembre (début saison sèche) ont été généralement les plus performants. Le type d'agnelage est la cause la plus importante (P < 0,001) de la variabilité phénotypique observée. A l'exception du poids à la naissance, tous les paramètres considérés ont été très influencés (P < 0,001 ou P < 0,01) par l'âge de la mère. Les performances maximales ont été observées chez les agneaux issus des mères de 4 ans. Les agneaux élevés sur parcours naturels ont été moins performants que ceux entretenus sur pâturages améliorés, les écarts étant de 0,45 kg (P < 0,01), 1,04 kg (P < 0,001), 10,46 g (P <0,01) et 5,41 g (P < 0,01), respectivement à 30 jours, 120 jours, de la naissance à 30 jours et de 30 à 120 jours.
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Ayantunde, A. A., M. Blummel, E. Grings, and A. J. Duncan. "Price and quality of livestock feeds in suburban markets of West Africa’s Sahel: Case study from Bamako, Mali." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 67, no. 1 (July 1, 2014): 13. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10155.

Full text
Abstract:
Dans les villes du Sahel Ouest africain, les activités liées à l’élevage, comme la production laitière des petits exploitants et l’engraissement du bétail (bovins, ovins et caprins), sont devenues très répandues pour satisfaire aux besoins en alimentation du ménage et pour générer des revenus. L’importance accrue de l’agriculture urbaine et périurbaine, en particulier des activités d’élevage dans la région, a contribué à une croissance rapide du cheptel dans la plupart des grandes villes. En réponse à cette croissance et, ainsi, à la demande accrue en aliments, des marchés des aliments du bétail se sont développés dans plusieurs grandes villes du Sahel Ouest africain. Une enquête sur les marchés des aliments du bétail a été conduite au Mali dans cinq marchés de Bamako. Le prix des aliments a été suivi mensuellement de janvier à décembre 2010. En outre, des échantillons d’aliments ont été collectés pour analyser leur qualité nutritionnelle. Les résultats ont montré que les prix de la fane de niébé et de la fane d’arachide étaient plus élevés que ceux des autres aliments tout au long de l’année. Le prix de la fane de niébé a varié entre 367 FCFA/kg de matière sèche (1 USD ≈ 500 FCFA) en octobre, soit juste après la récolte, et 667 FCFA/kg en août, pendant la saison humide. Les résultats ont également montré qu’il n’y avait pas de relation entre le prix et la qualité pour tous les types d’aliments. Cependant, leur prix et leur qualité ont considérablement varié en fonction des saisons, indiquant que la saison était un déterminant majeur du prix des aliments de bétail dans les zones périurbaines du Sahel Ouest africain.
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Dhollander, S., S. Kora, M. Sanneh, Matar Gaye, S. G. A. Leak, D. Berkvens, and S. Geerts. "Parasitoses des chèvres Naines de l’Afrique de l’Ouest et de ses croisements avec la race Saanen dans un système d’agriculture zéro-pâturage en Gambie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 58, no. 1-2 (January 1, 2005): 45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9939.

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Abstract:
L’étude a concerné l’élevage de 20 chèvres Naines de l’Afrique de l’Ouest (NAO) et 15 croisements Saanen x NAO au sein d’un système d’agriculture zéro-pâturage intensif dans une zone peu à moyennement infestée de mouches tsé-tsé en Gambie. Pendant une période d’une année, des échantillons ont été prélevés mensuellement pour déterminer le nombre d’oeufs d’helminthes, le nombre d’oocystes de coccidies par gramme de matières fécales, les valeurs de l’hématocrite et les trypanosomoses des chèvres. Des nombres élevés d’oocystes ont été trouvés pendant la période de septembre à décembre, entraînant une mortalité présevrage de 20 p. 100 chez les deux races. Les animaux ont été modérément infestés par les helminthes du milieu de la saison des pluies jusqu’au début de la saison sèche. Des trypanosomoses n’ont été détectées ni chez les NAO ni chez les chèvres croisées lors de l’utilisation de la technique du buffy coat. Les poids moyens à la naissance des chevreaux et des NAO ont été respectivement de 2,4 et 2,0 kg. Le taux de croissance des chevreaux croisés a été significativement plus élevé que celui des chevreaux de race locale. Les taux de croissance présevrage des chevreaux croisés et des NAO ont été respectivement de 114,75 et 65,57 g/jour, tandis que les taux de croissance postsevrage ont été de 58,82 et 36,41 g/jour. Le taux de croissance rapide des chèvres croisées comparé à celui des NAO indique que l’élevage de croisements Saanen x NAO dans un système zéropâturage peut accroître la productivité. Une hygiène stricte dans les abris des chèvres est cependant indispensable pour éviter l’apparition de foyers de coccidiose.
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Zeleke, M., and T. Bekele. "Santé et productivité d'un troupeau de dromadaires élevés dans des conditions semi-nomadiques en Ethiopie de l'Est." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 2 (February 1, 2000): 213. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9755.

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Abstract:
Cette étude a été réalisée sur des dromadaires élevés en conditions pastorales d'octobre 1997 à septembre 1998. La trypanosomose a été une des maladies les plus importantes identifiée avec une prévalence maximale de 20,6 p. 100 et minimale de 5,4 p. 100 sur la période d'échantillonnage. Le taux de prévalence de la gale sarcoptique a varié de 21,7 p. 100 pendant la saison pluvieuse à 4,7 p. 100 pendant la saison sèche. Le taux de prévalence d'oeufs de strongles le plus élevé a été de 85,7 p. 100 pendant la saison pluvieuse et le plus faible de 61,5 p. 100 en saison sèche. Le plus grand nombre d'oeufs par gramme enregistré a été 1 036,1 ± 0,6 et le plus faible 358,8 ± 0,6. La production de lait a été significativement (p < 0,01) plus élevée pendant la saison des pluies (3,1 l) que pendant la saison sèche (1,5 l). La production de lait a également été significativement (p < 0,01) plus élevée chez les chamelles ayant mis bas 1-4 fois (3 l) que chez les femelles ayant mis bas 5 fois ou plus (1,6 l). Les femelles immatures (1 -4 ans) ont eu un gain de poids quotidien significativement (p < 0,01) plus élevé (59,4 g) que les mâles au même âge (33,2 g). Par ailleurs, le gain de poids quotidien des dromadaires de 1-2 ans (63,1 g) a été significativement (p < 0,01) plus élevé que celui des 3-4 ans (29,5 g). De même le gain de poids quotidien a été significativement (p < 0,05) plus élevé pendant la saison des pluies (50,7 g) que pendant la saison sèche (41,9 g). La plupart des montes et des mises bas ont eu lieu pendant la saison des pluies. Le taux annuel de mises bas du troupeau a été de 42,7 p. 100. Les taux de commercialisation annuels et de croissance ont été respectivement de 4,74 et 8,9 p. 100. Le taux de mortalité des chamelons de moins d'un an a été plus élevé que celui des animaux immatures et adultes.
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Agabriel, J., J. Bony, and M. Petit. "Quantités ingérées et croissance de jeunes bisonnes d'élevage : effet de la saison." Annales de Zootechnie 45, no. 4 (1996): 319–25. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19960404.

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Ezanno, Pauline, Alexandre Ickowicz, and Bernard Faye. "Paramètres démographiques des bovins N’Dama en milieu pastoral extensif dans le sud du Sénégal." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 3 (March 1, 2002): 211. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9825.

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Abstract:
L’objectif de cette étude a été de décrire les paramètres démographiques des bovins N’Dama en élevage extensif dans le sud du Sénégal. Le suivi zootechnique a eu lieu de 1993 à 1998. Les mises bas, les cas de mortalité, les entrées et les sorties du troupeau ont été relevés individuellement. L’état corporel a été noté mensuellement pour chaque vache de plus de trois ans. Des régressions logistiques ont été ajustées sur un pas de temps mensuel pour estimer les probabilités de gravidité, de mortalité, et d’entrée et de sortie du troupeau. Le taux de gravidité dépendait de la taille du troupeau, de la saison et de l’état corporel des vaches. Excepté en saison sèche chaude, il a été deux fois plus élevé chez les vaches ayant eu une note supérieure à 2,5 points pendant deux mois consécutifs que chez les autres vaches. Il a été plus élevé en saison des pluies dans les grands troupeaux et en saison sèche fraîche dans les petits troupeaux. La mortalité a diminué avec l’âge, avec une mortalité mensuelle adulte inférieure à 0,3 p. 100. La survie des veaux dépendait du lait disponible, représenté ici par des variables reliées aux pratiques des éleveurs (taille du troupeau), à l’environnement et à la mère (parité, état corporel à la mise bas). Entre la naissance et trois ans, la mortalité mensuelle a varié de 0,002 à 0,06. Les taux d’entrée et de sortie des grands troupeaux ont été supérieurs à ceux des petits troupeaux, dans lesquels l’objectif principal a été la croissance démographique du troupeau. Les flux d’animaux ont eu lieu principalement pendant la saison sèche fraîche.
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Boly, Hamidou, L. Magagi, T. Konaté, M. C. Viguier Martinez, and A. Yenikoye. "Cycle oestral et croissance folliculaire de la brebis Djallonké variété "Mossi"." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 45, no. 3-4 (March 1, 1992): 335–40. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.8928.

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Abstract:
Le but de cette étude est de déterminer les caractéristiques du cycle oestral et de la croissance folliculaire de la brebis Djallonké variété "Mossi". La révélation des chaleurs à l'aide d'un bélier vasectomisé ainsi que le dosage de la progestérone plasmatique permettent de déterminer une durée moyenne du cycle oestral de 18 + ou - 4 jours avec une manifestation des chaleurs pendant 30 + ou - 7 h. Durant la saison sèche et chaude (de janvier à avril), il y a une augmentation significative (P < 0,05) de la durée moyenne du cycle oestral (20 + ou - 6 jours) mais une diminution de la manifestation des chaleurs (25,7 + ou - 4,7 h). Le nombre total de follicules de diamètre supérieur à 50 microns est de 243,1 + ou - 43,2 par ovaire avec des variations significatives entre ovaires ovulatoire et non ovulatoire (P < 0,05). Le nombre de follicules regroupés selon leur taille, en croissance avec antrum, normaux atrétiques, en croissance terminale est donné. Le taux moyen d'ovulation est de 1,4 + ou - 0,2 avec 82,6 % des ovulations réparties sur l'ovaire droit.
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Youssao, A. K. I., A. Ahissou, C. Michaux, F. Farnir, Z. Touré, N. D. Idrissou, and P. L. Leroy. "Facteurs non-génétiques influençant le poids et la croissance de veaux de race Borgou à la ferme d'élevage de l'Okpara au Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 3 (March 1, 2000): 285. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9726.

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Abstract:
L'étude de quelques facteurs non-génétiques influençant le poids à la naissance, à trois et à douze mois, ainsi que les gains quotidiens moyens de la naissance à trois mois, de la naissance à douze mois et de trois à douze mois de veaux Borgou a été réalisée à partir des données issues de 453 veaux élevés à la Ferme d'élevage de l'Okpara de 1994 à 1998. Un modèle linéaire incluant les effets fixes de la saison de naissance, de l'année de naissance, de l'âge de la mère au vêlage et du sexe a été utilisé dans le cadre de l'analyse de variance par les moindres carrés. La saison de naissance a eu un effet significatif (p < 0,001) sur les poids et les gains quotidiens moyens. Les meilleures performances pondérales ont été obtenues sur des animaux nés pendant la saison pluvieuse. L'année de naissance a influencé significativement (p < 0,001) le poids à la naissance, à douze mois et le gain quotidien moyen de la naissance à douze mois. L'effet de l'âge de la mère au vêlage a été observé chez les veaux âgés de douze mois (p < 0,05) et sur le gain quotidien moyen enregistré de la naissance à douze mois (p < 0,05). Les mâles avaient un poids significativement supérieur à celui des femelles à la naissance (p < 0,05).
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Anigbogu, N. M., P. Bienstman, B. Van Damme, and C. D. Ezeokoli. "Incorporation d’amandes de Mangifera indica séchées dans les rations concentrées d’agneaux en croissance." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 59, no. 1-4 (January 1, 2006): 39. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9952.

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Abstract:
Vingt agneaux Nains du sud-est du Nigeria ont été groupés selon leur poids vif (20,9 ± 1,7 kg) et ont reçu une des cinq rations concentrées en complément d’un fourrage de saison sèche de qualité médiocre à base d’un mélange d’herbes et de légumineuses (principalement trois quarts de Pennisetum purpureum et un quart de Centrosema pubescens) pendant une période de croissance de 56 jours. Ensuite, cinq des agneaux ont été transférés dans des cages à métabolisme pour l’étude de la digestibilité et du bilan azoté. Des amandes de Mangifera indica ont remplacé, à raison de 0, 15, 30, 45 et 60 p. 100, les issues de maïs, respectivement dans les rations A, B, C, D et E. Les ingestions de concentrés et les taux de croissance ont été respectivement de 951, 961, 1 017, 1 225 et 1 001, et 116, 125, 146, 162 et 116 g/jour.
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Bourgeois, G., C. Brodeur, and A. C. Kushalappa. "Effet de la brûlure cercosporéenne, causée par le Cercospora carotae, sur le développement, la croissance et le rendement de la carotte." Phytoprotection 79, no. 1 (April 12, 2005): 9–19. http://dx.doi.org/10.7202/706131ar.

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Abstract:
L'objectif de cette étude était de quantifier l'effet de la sévérité de la brûlure cercosporéenne (Cercospora carotae) sur le développement (stades végétatifs), la croissance (poids secs du feuillage et des racines, indice de surface foliaire) et le rendement de la carotte (Daucus carota var. sativa). Au cours d'expériences effectuées en sol organique durant les saisons 1990, 1991 et 1992, trois niveaux de sévérité ont été obtenus par des nombres différents d'applications de fongicides, à savoir aucune application, deux ou trois applications et une application à chaque semaine. Au cours des trois années, des différences entre les traitements ont été observées 60 jours après le semis pour la sévérité de la maladie, 80 jours après le semis pour le poids sec du feuillage et l'indice de surface foliaire, et 100 jours après le semis pour le poids sec des racines. Une augmentation du nombre d'applications a permis une augmentation du rendement total en carottes. Cependant, les applications hebdomadaires n'ont pas augmenté le rendement en carottes de classe régulière par rapport à deux ou trois applications pour l'ensemble de la saison. Il est donc possible de réduire le nombre d'applications de fongicides, tout en conservant un rendement économiquement acceptable.
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Aubin, Valérie, and Sylvie Bibeau. "Comprendre la prolifération de la renouée du Japon sur les rives du Saint-Laurent." Écosystème/Biodiversité 140, no. 2 (June 2, 2016): 19–25. http://dx.doi.org/10.7202/1036499ar.

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Abstract:
Les rives et le fleuve Saint-Laurent sont de plus en plus colonisés par des espèces exotiques envahissantes, dont la renouée du Japon (Fallopia japonica) qui bloque peu à peu les accès à l’eau et bouleverse l’équilibre naturel. Afin de prévenir sa prolifération, le Comité ZIP (Zone d’intervention prioritaire) Jacques-Cartier a étudié sa stratégie de croissance sur le territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal. La superficie et la densité des massifs de renouée du Japon ont eu tendance à prendre de l’ampleur entre 2012 et 2013. La croissance de la plante fut plus hâtive sur les rives du fleuve que dans les friches et les boisés voisins. La richesse spécifique d’herbacées a diminué dans les massifs de renouée pendant la saison estivale jusqu’à devenir monospécifique. Une diminution de la richesse d’arthropodes récoltés dans les massifs illustre la modification du réseau trophique que cause cette plante envahissante. Ces impacts menacent l’intégrité écologique des milieux humides des rives du Saint-Laurent.
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Kane, Yaghouba, and B. C. Diallo. "Données sur les pathologies du chamelon en Mauritanie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 2 (February 1, 2000): 161. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9744.

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Abstract:
Les principales maladies du chamelon diagnostiquées en Mauritanie étaient d'origine virale, bactérienne et parasitaire. La variole (camel pox) est une maladie virale fréquente qui se manifeste par une forme locale et une forme généralisée. Elle affectait des chamelons d'âge compris entre 0 à 2 ans avec une morbidité pouvant atteindre 50 p. 100 et une mortalité allant jusqu'à 10 p. 100. La périodicité d'apparition de la maladie était souvent annuelle (selon 33 p. 100 des éleveurs) ou bisannuelle (selon 57 p. 100 des éleveurs). Elle s'est souvent observée à la fin de la saison pluvieuse jusqu'au début de la saison sèche fraîche. Les maladies bactériennes étaient dominées par la lymphadénite suppurée, la pyodermatite (dermatite staphylococcique), les diarrhées et les bronchopneumonies. Plusieurs espèces bactériennes ont été isolées selon l'affection. Les principales maladies parasitaires étaient la gale, les mycoses et l'infestation par les tiques. Ces différentes pathologies ont entraîné un mauvais état général du chamelon malade, une mauvaise croissance et parfois des mortalités. Les perspectives pour réduire ces conséquences sont évoquées.
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Ebangi, A. L., G. J. Erasmus, D. A. Mbah, C. L. Tawah, and O. Messiné. "Facteurs affectant les performances de croissance chez les bovins à viande de pure race Goudali et croisés Wakwa dans un environnement tropical." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 2 (February 1, 2002): 149. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9835.

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Abstract:
Des données relatives aux performances présevrage et postsevrage de veaux de race pure Goudali et demi-sang Wakwa ont été collectées au Centre de recherche agricole pour le développement de Wakwa, Ngaoundéré, Cameroun. Ces données ont été analysées à l’aide de procédures de modèle mixte pour déterminer les facteurs affectant les performances. Les résultats ont montré que les effets maternel, du sexe, du troupeau, de la saison et de l’année de naissance, de l’âge au sevrage (WAGE), de l’âge exact (jours) aux pesées à un an (YAGE) et à 18 mois (EAGE) ont été significatifs (P < 0,01 ou P < 0,001) sur les performances présevrage et/ou postsevrage. Les veaux mâles ont eu des performances supérieures à celles des femelles chez les Goudali et les Wakwa, respectivement de 0,8 et 0,6 kg pour le poids à la naissance (BWT), de 11,3 et 12,8 kg pour le poids au sevrage (WWT), de 14,5 et 15,1 kg pour le poids à un an (YWT), de 13,4 et 11,9 kg pour le poids à 18 mois (EWT), et une croissance présevrage plus rapide de 0,04 et 0,06 kg/jour. Les veaux nés en saison sèche ont été plus lourds que les veaux nés en saison pluvieuse chez les Goudali et les Wakwa, respectivement de 19,0 et 21,7 kg (WWT), de 6,0 et 8,8 kg (YWT), et de 18,2 et 26,5 kg (EWT). Les meilleures performances ont été enregistrées chez les veaux nés de femelles âgées de 3 à 7 ans (CAG1) chez les Goudali et chez les veaux nés de femelles âgées de 8 à 10 ans (CAG2) chez les Wakwa. Pour une meilleure évaluation des performances des veaux, il est nécessaire de prendre en considération ces effets significatifs.
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Hoang, Kim Huong, Monique Bernier, Sophie Duchesne, and Minh Y Tran. "Renforcement de la qualité d’information de l’occupation du sol par l’intégration de données satellitaires optiques et radar en support à la modélisation hydrologique." Revue des sciences de l’eau 31, no. 3 (December 10, 2018): 177–99. http://dx.doi.org/10.7202/1054302ar.

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Abstract:
Afin de suivre l’évolution de l’occupation du sol du bassin versant de la rivière Cau (nord du Vietnam), des images HRVIR 2 du satellite SPOT-4 ont été acquises fin novembre 2007 et début janvier 2008. Dans un premier temps, l’approche de classification hiérarchique avec le mode de classification « avec caractéristiques liées aux classes (class-related features) » a été développée et appliquée afin d’extraire sept classes d’occupation du sol pertinentes à la modélisation hydrologique, sans distinguer les rizières des autres types de culture. Cette approche a montré son efficacité, la précision globale de la classification étant de 91 %. Une diminution significative de la confusion entre les milieux urbains, les terres agricoles et les plantations a été remarquée par rapport à une classification antérieure d’une image LANDSAT-7 de 2003, dont la précision globale était de 78 %. Par la suite, afin de distinguer les rizières des autres types de culture, deux séries d’images du satellite RADARSAT-2 en bande-C (double polarisation et polarimétriques) ont été utilisées. Ces images ont été acquises de mai 2009 à mai 2010 et couvrent deux périodes de croissance du riz, soit la période de la principale récolte (saison traditionnelle du riz) et celle du printemps. Pour les images double polarisation, en mode standard (S5), une méthode de seuillage a été appliquée sur la variation temporelle du signal entre les images acquises en début de saison et celles à la mi-saison. Cette méthode a permis de détecter 74 % des rizières de la saison traditionnelle du riz et 63 % des rizières de la saison de riz du printemps, selon une comparaison avec des données statistiques de la province de Thai Nguyen. La précision globale de la classification obtenue, pour toutes les classes d’occupation du sol, est de 71 % pour la saison traditionnelle de riz et de 67 % pour la saison de riz du printemps. Pour les images polarimétriques, en mode fin (FQ21), la matrice de cohérence a été choisie pour identifier les rizières d’une zone hétérogène. La classification a été réalisée à l’aide de l’algorithme SVM (Support Vector Machine). Ces dernières informations ont ensuite été intégrées à la carte thématique dérivée d’images SPOT-4 pour obtenir la carte finale. Cette carte sert directement à la modélisation hydrologique. Les calculs des besoins en eau pour la culture du riz ont montré que les rizières prennent une grande proportion du débit total dans les deux sous-bassins versants utilisés en exemple. Ces calculs montrent l’importance de détecter les rizières si l’on souhaite réaliser des simulations hydrologiques réalistes sur le bassin versant de la rivière Cau et confirment une des hypothèses de nos travaux, qui est que l’identification des rizières sur la carte d’occupation du sol améliore les évaluations et prédictions liées au cycle hydrologique.
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PEYRAUD, J. L., and L. DELABY. "Combiner la gestion optimale du pâturage et les performances des vaches laitières : enjeux et outils." INRAE Productions Animales 18, no. 4 (October 18, 2005): 231–40. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2005.18.4.3529.

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Abstract:
Les prairies et le pâturage devraient constituer à l’avenir la base des systèmes laitiers durables. L’herbe pâturée est le fourrage le moins coûteux pour alimenter les vaches laitières et constitue un mode d’alimentation qui réduit l’impact environnemental des systèmes très intensifs tout en conférant une image plus «naturelle» aux systèmes laitiers. L’utilisation efficace de l’herbe au pâturage nécessite la mise au point de méthodes qui permettent de maximiser l’ingestion journalière d’herbe tout en assurant la production d’une quantité importante d’une herbe de qualité durant toute la saison de pâturage. Les opportunités d’accroître la part de l’herbe pâturée dans l’alimentation des vaches laitières existent en allongeant la saison de pâturage au printemps et/ou en automne et en pratiquant le report d’herbe sur pied en été. A ce titre, l’introduction de légumineuses, trèfle blanc notamment, dans les prairies doit être favorisée. Les possibilités de moduler la saisonnalité de la croissance de l’herbe existent au travers de la sélection fourragère, de la stratégie de fertilisation azotée ou des pratiques de pâturage. L’intérêt d’une réduction du chargement visant à maximiser les performances individuelles reste limité compte tenu des effets cumulatifs défavorables sur la qualité de l’herbe et sa valorisation. Par contre, l’accroissement de la proportion de feuilles grâce à des pratiques de pâturage appropriées au printemps permet d’accroître l’ingestion et de maintenir une hauteur résiduelle faible qui facilite la gestion du pâturage. Il reste à en évaluer les conséquences durant toute la saison de pâturage et son influence sur les performances annuelles par hectare. Dans un futur proche, le développement de méthodes et d’outils d’aide à la gestion du pâturage à la fois pour le rationnement des vaches laitières et pour la gestion des parcelles devrait donner confiance aux éleveurs et favoriser le retour du pâturage dans l’alimentation des vaches laitières.
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Pamo Tendonkeng, E., D. Ko Awono, F. Tendonkeng, Anne Clarisse Ngo Tama, and B. Boukila. "Performances de croissance des caprins supplémentés avec du Mucuna pruriens au Nord Cameroun." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 63, no. 1-2 (January 1, 2010): 47. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10109.

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Abstract:
L’influence du niveau de supplémentation avec Mucuna pruriens sur les performances de croissance des boucs et la digestibilité des rations pendant la saison sèche au Nord Cameroun a été étudiée à la station polyvalente de l’Institut de recherche agricole pour le développement de Garoua entre novembre 2004 et juillet 2005. Au total, 24 boucs Nains de Guinée ont été divisés en trois groupes de huit boucs chacun, nourris à base d’Andropogon gayanus, de Ficus sycomorus, et supplémentés avec 0, 100 et 150 g de Mucuna pruriens. L’évaluation du poids vif, du gain moyen quotidien et de la note d’état corporel a été effectuée tous les 14 jours pendant 90 jours. Au terme de cette phase, l’évaluation du poids carcasse et le rendement carcasse ont été effectués sur deux boucs abattus par lot. Ensuite, neuf boucs ont été répartis en trois groupes de trois animaux chacun et chaque groupe a été soumis à l’un des trois traitements précédents, afin d’étudier l’influence du niveau de supplémentation de M. pruriens sur la digestibilité de la ration de base. Les résultats ont indiqué qu’en l’absence de M. pruriens dans la ration, le poids vif, le gain moyen quotidien et la note d’état corporel ont été respectivement de 10,44 kg, - 10 g et 1,87. En présence de 100 g de M. pruriens dans la ration, le poids vif, le gain moyen quotidien et la note d’état corporel ont été respectivement de 12,16 kg, 9 g et 2,94, contre 12,98 kg, 18 g et 3,56 avec une ration contenant 150 g de M. pruriens. Le poids carcasse, le rendement carcasse et le poids avant abattage ont augmenté significativement (P < 0,05) avec l’accroissement du niveau de M. pruriens dans la ration. La digestibilité apparente de la matière organique a été de 45,25, 62,34 et 70,97 p. 100 respectivement avec les rations contenant 0, 100 et 150 g de M. pruriens. La digestibilité de l’azote a été de 38,46, 55,29 et 60,95 p. 100 respectivement avec les mêmes rations. Il apparaît ainsi que la supplémentation des rations avec M. pruriens pendant la saison sèche permet d’améliorer la digestibilité de la ration et les performances de croissance des boucs.
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Boly, Hamidou, A. Koubaye, M. C. Viguier Martinez, and A. Yenikoye. "Gestation et reprise de l'activité sexuelle après le part chez la brebis Djallonké, variété "Mossi"." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 4 (April 1, 1993): 631–36. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9419.

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Abstract:
Cette étude vise à déterminer les caractéristiques physiologiques de la gestation et de la reprise de la cyclicité après le part chez la brebis Djallonké variété "Mossi" (n=52). L'observation des gestations sur 20 brebis saillies naturellement en octobre et en novembre (saison sèche et fraîche), permet d'évaluer à 149 plus ou moins 2,4 jours la durée de gestation, à 92 % le taux de fertilité, à 118 % le taux de prolificité, à 108 % le taux de fécondité et à 7,1 % le taux de resorption embryonnaire. La croissance du foetus et de ses annexes est lente durant les 2 premiers mois (< 10 g/j). A partir du troisième mois, elle s'accélère avec 27 g/j. La progestèronémie plasmatique maternelle augmente durant cette deuxième période. Sur 14 autres brebis le suivi de l'activité sexuelle après la parturition, par l'observation de la de la reprise des chaleurs pour des mises bas survenues entre décembre et janvier (saison sèche et froide), indique un intervalle d'agnelage-premier oestrus de 56,6 plus ou moins dix jours. Le suivi d'un groupe expérimental de 18 brebis placées en boxes individuels avec un niveau alimentaire variable (80, 100 et 120 % des besoins) soumises à l'allaitement pendant 4, 5 et 6 semaines montre que le délai d'apparition des chaleurs dépend à la fois de ce niveau alimentaire et de la durée de l'allaitement (P < 0,05).
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Diawara, Mamadou Oumar, Pierre Hiernaux, Sory Sissoko, Eric Mougin, Alassane Ba, Nogmana Soumaguel, and Hawa Salif Diakité. "Sensibilité de la production herbacée aux aléas de la distribution des pluies au Sahel (Agoufou, Mali): une approche par modélisation." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1341–53. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.14.

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Abstract:
La forte variation du régime des pluies au Sahel est reconnue par tous. La phénologie de la strate herbacée dominée par des plantes annuelles suit ce cycle annuel en faisant alterner une courte saison de croissance et une longue saison morte. Le Gourma situé dans la bande sahélienne au Mali est une zone pastorale soumise à cette variabilité temporelle des ressources pastorales (eau et fourrage) liée au régime de la mousson Ouest africaine, et aux fortes variations interannuelles de la pluviosité. Cette étude a pour objectif d’évaluer la sensibilité de la production de la strate herbacée aux variations de la distribution intra-saisonnière des pluies au Sahel à travers le cas du site pastoral d’Agoufou. Les simulations ont été effectuées avec le modèle STEP (Sahelian Transpiration Evaporation and Production model). Les analyses reposent sur de simples permutations des pluies journalières enregistrées sur le site en 2010, réalisées de façon aléatoire sans modifier le total saisonnier ni les cumuls journaliers. Les résultats montrent que la relation entre le cumul des pluies saisonnières et les phytomasses herbacées mesurées en fin de saison masque des chutes de production intra-saisonnière liées aux stress hydriques, notamment au cours de la période de croissance rapide qui affectent la production saisonnière. Le modèle pourrait servir dans un système intégré d’alertes précoces pour anticiper les pénuries de fourrage fréquentes dans cette région.Mots clés : Production primaire, strate herbacée, variation pluviométrique, stress hydrique, modèle STEP. English Title: Sensitivity of herbaceous vegetation production to the variability of rainfall distribution in the Sahel (Agoufou, Mali): a modeling approachThe strong spatial and temporal variability of rainfall patterns in the Sahel is accepted by everybody. The phenology of the herbaceous layer dominated by annual plants follows this rhythm by alternating a short growing period with a long dormancy period. The Gourma region located in the Sahelian belt in Mali is a pastoral area subject to this temporal variability of resources (water and forage) linked to the rains regime. This study aims to assess the sensitivity of the herbaceous vegetation production to the variation of the intra-seasonal rainfall distribution in the Sahel through the case of the Agoufou rangeland site. The simulations were performed with the STEP model (Sahelian Transpiration Evaporation and Production model). The analyses were based on simple changes of rainfall height recorded on the site in 2010, carried out randomly without changing the seasonal total or the daily totals. The results show that the relationship between rainfall totals and the fall of the herbaceous mass conceal intra-seasonal production related to water stress especially during the period of so-called main growth can affect the seasonal production. The model could be used in an integrated early warning system to anticipate frequent forage shortages in this region.Keywords: Primary production, herbaceous layer, rainfall variation, water deficit, STEP model.
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Boukari, Abdou R., Mahamadou Chaibou, Hamani Marichatou, and Gilles F. Vias. "Caractérisation des systèmes de production laitière et analyse des stratégies de valorisation du lait en milieu rural et périurbain au Niger : cas de la communauté urbaine de Niamey et de la commune rurale de Filingué." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 60, no. 1-4 (January 1, 2007): 113. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9963.

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Abstract:
L’élevage et particulièrement la production du lait occupent une place prépondérante comme facteur de réduction de la pauvreté et de croissance économique. La présente étude a eu pour objectif de caractériser les systèmes de production et les processus de diversification vers le lait en milieu (péri) urbain [communauté urbaine de Niamey (CUN)] et en milieu rural [commune rurale de Filingué (CRF)] au Niger. Dans la CUN, des enquêtes ont été réalisées dans 35 sites laitiers choisis de manière aléatoire parmi les 150 déjà répertoriés sur un rayon de 50 km autour de la capitale. Un choix raisonné de 12 sites a permis d’administrer le questionnaire à 169 chefs de ménage. Dans la CRF, 49 chefs de ménage, répartis dans cinq villages, situés dans un rayon de 75 km autour de Filingué, ont été enquêtés. Les résultats ont montré que dans la CUN les éleveurs possédaient un petit nombre de vaches laitières (en moyenne cinq vaches, soit 28 p. 100 du cheptel bovin) ; la production s’étalait sur toutes les saisons et était de 7 à 10 l/ménage/jour ; le lait frais était plus souvent commercialisé qu’en CRF en raison de la présence d’unités de transformation laitière. En revanche, dans la CRF, les effectifs étaient plus importants (en moyenne 10 vaches laitières, soit 52 p. 100 du cheptel bovin) ; les femelles ne produisaient qu’en saison des pluies et en saison sèche froide (de 0 à 10 l/ ménage/jour pour 66 p. 100 des enquêtés, et entre 10 et 20 l pour 20 p. 100 des enquêtés) ; les produits laitiers étaient plus souvent transformés avant d’être vendus (beurre fondu, lait caillé, fromage). Les innovations observées chez les éleveurs enquêtés ont porté sur les transformations et les modifications de la conduite du troupeau. Les contraintes au développement de la production laitière relevaient, en milieu urbain, du problème de production et de conservation du lait frais de bonne qualité jusqu’au transformateur ou au consommateur et, en milieu rural, du problème de débouchés. Il est nécessaire, en milieu urbain, d’organiser l’approvisionnement en intrants alimentaires, la collecte du lait du soir et de procéder à une vulgarisation rapprochée de thèmes techniques et de pratiques innovantes.
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Lauri, P. E., and E. Térouanne. "Analyse de la croissance primaire de rameaux de pommier (Malus ×domestica Borkh.) au cours d'une saison de végétation." Canadian Journal of Botany 73, no. 9 (September 1, 1995): 1471–89. http://dx.doi.org/10.1139/b95-160.

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Abstract:
Primary growth resulting from the activity of the apical meristem of apple branches (Malus ×domestica Borkh., cv. Braeburn) was followed over one period of vegetation. For each metamere successively developed, foliar surface expansion as well as growth in length and in diameter of the lower internode were measured at regular intervals. These elementary parameters are resumed using two synthetic variables expressing for each metamere its overall dimension (T) and the relative significances of the foliar component (foliarization) or the axial component (axialization) (D). It appears that the evolution of the last two parameters are morphometric markers for the different ontogenetic phases covered by the branch over 1 year of growth. Two phases were especially studied: the transition preformation–neoformation (corresponding to the setting up of the first 9–11 metameres), characterized by strong axialization dynamics, and the intra-annual end of growth, preceded by an important foliarization of the underlying metameres. This analysis of primary growth using the metamere dimension and foliarization or axialization concepts is discussed on the basis of recent hypotheses related to the evolution of the physiologic function of branches during their setting in place. Key words: primary growth, preformation, neoformation, rhythmic growth, Malus ×domestica.
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AGABRIEL, J., D. MICOL, and J. BONY. "Elevage du bison d’Amérique (Bison Bison)." INRAE Productions Animales 9, no. 5 (October 20, 1996): 379–88. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.5.4077.

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Abstract:
L’élevage du bison suscite un intérêt grandissant en Europe, essentiellement pour la production de viande et pour son image touristique. La production mondiale de viande de bison est pour le moment encore très marginale et s’est développée en France essentiellement sur la base d’animaux importés. Le bison s’adapte bien à nos conditions d’élevage de dimensions “modestes”, et ne devient agressif que lorsqu’il se sent contenu. Son régime alimentaire est très proche de celui des bovins placés dans des conditions de milieu identiques. Les femelles ont la capacité de mettre bas toute l’année, mais le bison est plutôt saisonné. Les vêlages se déroulent en majorité en mai et correspondent à des saillies relativement groupées au mois d’août. Les jeunes femelles peuvent se reproduire à partir de 2 ans et, au cours de sa carrière, la bisonne peut mettre bas une fois par an. La durée de gestation est de 270 jours. Le poids à la naissance des femelles est de 25 kg et celui des mâles de 30 kg. La production laitière permet d’assurer une croissance journalière de 600 g environ jusqu’au sevrage qui intervient vers l’âge de 7 mois. Le poids adulte (450-500 kg pour les femelles, 700-800 kg pour les mâles) est atteint tardivement. Le niveau d’ingestion moyen rapporté au poids serait, sur une longue période, comparable à celui de nos races bovines rustiques. Croissance et niveau d’ingestion des jeunes d’élevage varient avec la saison, sans doute avec la durée d’éclairement. Dans nos régions, le principal atout du bison réside dans sa capacité à produire une viande rouge avec des rendements à l’abattage satisfaisants (environ 57 %). Avant l’abattage, les mâles sont engraissés avec des régimes concentrés et leur croissance atteint alors 800 g/j. Pour produire les carcasses de 250 à 300 kg demandées par le marché, il faut les abattre à 2,5-3,0 ans.
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Baars, R. M. T., D. M. Kalokoni, and M. A. I. De Koning. "La gestion du feu dans les pâturages collectifs de la Province de l’Ouest de la Zambie." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 50, no. 1 (January 1, 1997): 41–45. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9600.

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Abstract:
Une enquête a été réalisée auprès d'éleveurs de bovins afin de comprendre leurs motivations et leur comportement dans la gestion du feu. Quatre-vingt pour cent des personnes interrogées considèrent le brûlage comme bénéfique car il favorise la repousse d'herbe verte. En revanche, 15 % des fermiers se plaignent qu'il en résulte un appauvrissement des pâturages. Une étude a permis d'évaluer la repousse de l'herbe durant la première moitié de la saison sèche. La production de matière sèche, de 1,3 t/ha avant brûlage, n'atteignait que 0,12 t/ha trois semaines après brûlage, sauf s'il y avait des coupes ultérieures des repousses. La teneur en matières azotées totales était plus élevée dans les repousses après brûlage (8,2 %) que dans le pâturage initial (2,8 %). Les taux de phosphore dépendaient davantage de la situation du pâturage que de l'effet du feu. La stratégie qui consiste à brûler les zones à fort potentiel de croissance (limons) est nécessaire afin d'obtenir un fourrage de qualité satisfaisante.
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Payette, Serge, and Ann Delwaide. "Variations séculaires du niveau d’eau dans le bassin de la rivière Boniface (Québec nordique) : une analyse dendroécologique." Géographie physique et Quaternaire 45, no. 1 (December 13, 2007): 59–67. http://dx.doi.org/10.7202/032845ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ A l'aide des dates d'établissement et de mortalité et de la similitude des patrons de croissance radiale d'épinettes noires trouvées dans les platières lacustres et fluviales du bassin de la rivière Boniface (Québec nordique), on a dégagé les principales tendances dans révolution des niveaux d'eau depuis le XVIe siècle. La période la plus ancienne correspond à un bas niveau d'eau pendant les XVIe et XVIIe siècles, suivie d'une hausse à partir de la première moitié du XVIIIe siècle (entre 1720-1740). Un haut niveau d'eau s'est établi vers la fin du XIXe siècle et a culminé au XXe siècle, au cours des années 1930-1940. Une deuxième période de bas niveau d'eau a été enregistrée entre la fin des années 1950 et le début des années 1970. L'établissement massif de l'épinette noire au cours de cette période permet de confirmer l'importance de l'enneigement comme principal facteur de la variation du niveau d'eau pendant la saison de croissance. Ces données permettent de subdiviser le Petit Âge glaciaire en deux périodes distinctes sur la base du régime des précipitations: une première période relativement sèche et de bas niveaux d'eau s'étendant de la fin du XVIe siècle jusque vers 1720-1740 et une deuxième période, plus humide, qui fait la transition vers la période plus clémente du XXe siècle. La présence de cryosols dans les platières colonisées par les épinettes au cours de la première moitié du Petit Âge glaciaire indique que leur formation est associée à de bas niveaux d'eau.
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FAYE, B., J. P. CHACORNAC, M. RATOVONANAHARY, and J. P. JOUANY. "L’élevage des grands camélidés. Analyse des initiatives réalisées en France." INRAE Productions Animales 8, no. 1 (February 21, 1995): 3–17. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1995.8.1.4100.

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Abstract:
L’élevage des grands camélidés représente une activité d’élevage marginale, développée par quelques individus dans le cadre de la diversification. Ces animaux (dromadaires et chameaux) sont adaptés aux régions désertiques, au stress climatique, à la sécheresse et à la sous-nutrition. Ils présentent à ce titre tout un ensemble de mécanismes physiologiques témoignant de cette adaptation. Leurs performances de reproduction sont faibles (taux de fécondité, viabilité des jeunes), mais leurs performances de production (croissance, production de viande, production laitière) non négligeables compte tenu des contraintes de leur milieu d’origine. Dans le contexte des pays tempérés comme la France, ils sont confrontés à des conditions climatiques et alimentaires fort différentes de leur aire d’origine. Un suivi pendant une année de 65 chamelles appartenant à 9 éleveurs a permis de constater que les paramètres sanguins tels que l’albumine (36,4 ± 4,7g/l), globuline totale (32,7 ± 5,1 g/l), protéines totales (69,2 ± 6,1 g/l), urée (30,0 ± 14,8 mg/100 ml), glucose (111,0 ± 12,2 mg/100 ml), AGL (0,15 ± 0,15 mmole/l), GLDH (5,8 ± 10,8 UI/l), GGT (10,1 ± 5,8 UI/l), GOT (48,1 ± 14,3 UI/l), calcium (10,2 ± 6,5 mg/100 ml), magnésium (2,6 ± 0,3 mg/100 ml), cuivre (65,4 ± 20,2 μg/100 ml), zinc (34,6 ± 7,8 μg/100 ml) et céruloplasmine (41,4 ± 2,6 UO) présentent des valeurs comparables à celles observées en zones désertiques, mais avec des écart-types généralement plus importants du fait de la grande variété des systèmes alimentaires proposés. La saison, la complémentation alimentaire (en particulier minérale) et le statut sanitaire ont un effet significatif sur le profil métabolique des chamelles. La saison hivernale et l’excès de complémentation azotée représentent des facteurs de risque à ne pas négliger en particulier pour la mortalité des jeunes qui dépasse 40 % dans notre échantillon d’étude.
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Behling, Maurel, Marie-Gabrielle Piketty, Thiago Fonseca Morello, Jean-Pierre Bouillet, Francisco Mesquita Neto, and Jean-Paul Laclau. "Plantations d'eucalyptus et sidérurgie en Amazonie : apports du modèle 3-PG." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 309, no. 309 (September 1, 2011): 37. http://dx.doi.org/10.19182/bft2011.309.a20464.

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Abstract:
Le secteur sidérurgique de Carajás, en Amazonie Brésilienne, fait l'objet de contestations environnementales du fait de sa forte consommation en charbon de bois. Ce charbon est essentiellement produit à partir de biomasse de forêts naturelles, avec des impacts directs et indirects sur la déforestation et la dégradation de ces écosystèmes. Les plantations d'eucalyptus à vocation énergétique installées sur des pâturages dégradés constituent une alternative intéressante. Peu de ces plantations ont été mises en place jusqu'à présent et faute d'évaluations valables de leur potentiel de production, une étude a été menée pour présenter une estimation consolidée de la croissance et de la productivité des plantations d'eucalyptus du pôle de Carajás. Celles-ci ont été obtenues à partir du modèle 3-PG (Physiological Principles in Predicting Growth). Son paramétrage a été réalisé à partir de données de croissance du massif d'eucalyptus d'une entreprise de la municipalité de Breu Branco dans l'État du Pará au Brésil. La calibration locale du modèle s'est avérée beaucoup plus performante que l'utilisation de paramètres établis pour des plantations d'eucalyptus dans d'autres régions du Brésil, d'Afrique du sud ou d'Australie. Les simulations réalisées indiquent que l'accroissement moyen annuel actuel de l'ordre de 20 m³ à l'hectare, obtenu pour une période de six ans, pourrait augmenter jusqu'à 30 m³ avec des fertilisations adaptées et un contrôle efficace du sous bois. Elles suggèrent aussi que des productions supérieures seraient obtenues sans déficit hydrique. Cela montre la nécessité de sélectionner les zones de plantation où la saison sèche est la moins marquée autour du pôle de Carajás. La calibration du modèle 3-PG a permis d'améliorer cet outil de gestion des plantations industrielles dans les conditions amazoniennes. (Résumé d'auteur)
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Guidimê, Léopold Sènouwa, Byll Orou Kpérou Gado, André Jonas Djènontin, Habirou Imourou Sidi, and Sévérin Babatoundé. "Performances zooéconomiques de taurillons de race Borgou complémentés avec du Vitanimal au Bénin." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 74, no. 1 (March 31, 2021): 49–54. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.36323.

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Abstract:
Afin de permettre aux animaux d’améliorer leur potentiel de production notamment en saison sèche où le fourrage devient rare et de qualité médiocre, des compléments alimentaires sont de plus en plus mis à leur disposition. L’effet du Vitanimal, aliment fabriqué industriellement, mélange de coques et de tourteau de coton, a été testé chez 15 taurillons de race Borgou à la Ferme d’élevage de l’Okpara afin de mesurer son impact sur la croissance des bovins. Ces derniers ont été répartis en trois lots de cinq taurillons chacun avec un poids moyen de 103 ± 22 kg. Ils ont reçu la ration de l’aliment testé avant et après le pâturage en parts égales. Le lot 1 sans complément était le lot témoin, les lots 2 et 3 ont bénéficié respectivement de 1 et 2 kg par jour du complément alimentaire Vitanimal. Les refus ont été quantifiés. Les animaux ont bénéficié également d’eau et de pierres à lécher ad libitum. Des pesées ont été effectuées tous les quinze jours pendant 90 jours. Les analyses ont souligné une différence significative (p < 0,05) entre les lots 2 et 3 dans l’ingestion de l’aliment testé. Les résultats ont montré un effet significatif du Vitanimal sur la croissance des taurillons. Les gains moyens quotidiens dans le lot témoin, dans le lot 2 et dans le lot 3 ont été respectivement de 386 ± 147 g, 652 ± 115 g et 927 ± 160 g. L’impact du Vitanimal a ainsi été fonction de la quantité distribuée et la ration du lot 3 s’est révélée économiquement plus rentable, soit 238 % de taux de rentabilité économique contre 232 % pour le lot 2.
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Loez, C. R., A. Saliban, and M. L. Topalian. "Associations phytoplanctoniques indicatrices de la pollution par le zinc." Revue des sciences de l'eau 11, no. 3 (April 12, 2005): 315–32. http://dx.doi.org/10.7202/705309ar.

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Abstract:
Quatre bioessais in vitro ont été réalisés pour évaluer la réponse des communautés phytoplanctoniques naturelles à différentes concentrations de zinc (2,5; 10; 20 - 25 et 40 - 50 mg.l-1). Les essais réalisés au cours des quatre saisons , ont été menés en conditions contrôlées pendant un mois avec des échantillonnages tous les 2-3 jours. La réponse algale fut variable selon la saison et dépendante des concentrations en Zinc, des espèces algales, de la densité de l' inoculum et de la température. 2,5 et 10 mg Zinc.l-1 dans le milieu de culture ont stimulé la croissance de certaines diatomées; à une concentration de Zinc de 20-25 mg.l-1Chlorella vulgaris (Chlorophyceae) s'est particulièrement développée, et, dans des systèmes contenant 40-50 mg Zinc.l-1 une mortalité importante a été généralement trouvée, à l'exception de Chlorella vulgaris et de quelques espèces de diatomées qui se sont montrées tolérantes au zinc: Cyclotella meneghiniana, Gomphonema parvulum, Navicula sp., Nitzschia palea, Nitzschia sp., Pinnularia biceps, Synedra acus et Synedra ulna var. amphirrhynchus. Les Cyanophyceae, les Euglenophyceae, les Tribophyceae, les Chrysophyceae, les Zygophyceae et les Dinophyceae ont été particulièrement sensibles. En présence d' inoculums abondants, la sensibilité au Zinc a été observée à partir de 25 mg.l-1 (automne-20°C, printemps-20°C et été-25°C); par contre, en présence d'inoculums peu denses, elle est apparue dès 10 mg.l-1 (hiver-15°C). De manière générale, à mesure que la concentration de Zinc augmentait, Chlorella vulgaris Biej. est devenue graduellement, le taxon dominant; ce qui a eu pour conséquence une diminution de la diversité du système algal testé. Des communautés plus simples se sont alors développées, dominées presque toutes par des espèces tolérantes au Zinc.
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RICORDEAU, G., L. TCHAMITCHIAN, J. C. BRUNEL, T. C. NGUYEN, and D. FRANÇOIS. "La gestion des populations : La race ovine INRA 401 : un exemple de souche synthétique." INRAE Productions Animales 5, HS (July 30, 2020): 255–62. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.hs.4300.

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Abstract:
Pour augmenter la productivité du troupeau ovin français, l’INRA a créé la souche synthétique INRA 401 en croisant la race Berrichon du Cher (bonnes aptitudes bouchères mais peu prolifique, peu maternelle, toison blanche) avec la race Romanov (très prolifique, maternelle, mais faibles aptitudes bouchères et toison colorée). La procréation de 4 générations successives (1970 - 1980) a mis en évidence l’absence d’hétérosis et de régression de la taille de portée de la F1 à la F4. La lignée obtenue présente une taille moyenne de portée de 2 agneaux par mise bas (sur brebis de 3 ans), une excellente fertilité à contre-saison, une bonne viabilité des agneaux à la naissance. A partir de 1980, le troupeau a été soumis à la sélection, d’abord sur la prolificité seule puis sur la prolificité et la valeur laitière et, depuis 1989, sur prolificité, valeur laitière, caractères de croissance et caractères bouchers. La souche a été diffusée en fermes par la vente de béliers utilisés en croisement d’absorption sur brebis croisées Romanov x race locale, et ce sur 4 générations. Ce programme concernait en 1990, 152 élevages (28 000 brebis) réunis au sein d’une association des éleveurs utilisateurs : l’AUSI 401.
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CHEMINEAU, P., B. MALPAUX, J. PELLETIER, B. LEBOEUF, J. A. DELGADILLO, F. DELETANG, T. POBEL, and G. BRICE. "Emploi des implants de mélatonine et des traitements photopériodiques pour maîtriser la reproduction saisonnière chez les ovins et les caprins." INRAE Productions Animales 9, no. 1 (February 17, 1996): 45–60. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1996.9.1.4034.

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Abstract:
La mélatonine est une substance naturellement sécrétée par la glande pinéale pendant la période obscure du nycthémère, qui transmet l’information photopériodique chez les mammifères. L’administration continue par un implant sous-cutané, comme dans les expérimentations décrites ici, permet de mimer les jours courts alors que les yeux des animaux perçoivent les jours longs naturels du printemps et de l’été. Il est nécessaire de faire subir une alternance de jours longs et de jours courts pour pouvoir maîtriser la période d’activité sexuelle. Chez la brebis conduite en lutte naturelle, un implant sous-cutané de mélatonine (Mélovine®) est inséré de 30 à 40 jours avant l’introduction des béliers. Les différents essais réalisés depuis plusieurs années chez 5 races françaises, et qui mettaient en comparaison, dans les mêmes élevages, des femelles traitées et des femelles témoins, montrent que la fécondité des brebis traitées est très supérieure à celle des brebis témoins (16 agneaux nés en plus pour 100 brebis mises en lutte). Les dates moyennes de mise bas sont plus précoces et moins étalées chez les traitées que chez les témoins. Chez la brebis également, cette fois-ci en association avec un traitement hormonal de synchronisation de l’oestrus et une insémination artificielle, la fécondité des brebis traitées, pour l’ensemble oestrus induit plus retours, est aussi très significativement supérieure à celle des brebis témoins (30 agneaux nés en plus pour 100 brebis mises à la reproduction). Chez la chèvre, du fait de la forte demande existante pour une lutte en pleine contre-saison (avril à juillet), il est recommandé de faire subir un traitement lumineux (éclairement supplémentaire avec aube fixe et "flash" nocturne) pendant une période d’au moins 2 mois avant la pose de l’implant de mélatonine. Les boucs recoivent le même traitement&nbsp;; les femelles sont séparées de tout contact avec les mâles à partir de la pose de l’implant. La lutte naturelle se fait en introduisant les boucs traités parmi les femelles, de 35 à 70 jours après la pose de l’implant, de façon à bénéficier de "l’effet bouc". Dans ces conditions, la fertilité est voisine de celle observée en lutte naturelle pendant la saison sexuelle (supérieure à 80 %) et les fécondations ont lieu environ 10 jours après l’introduction des mâles. La prolificité est équivalente à celle observée en saison sexuelle. L’association de ce traitement avec un traitement progestatif classique de synchronisation hormonale des oestrus et avec l’insémination artificielle est en cours d’essai. Chez le bélier, l’insertion d’implants permet une avance de la croissance testiculaire et une amélioration de la production spermatique. Si l’on souhaite obtenir une activité spermatogénétique intense en pleine contre-saison, comme chez les mâles des centres d’IA, il est nécessaire de faire précéder la pose de l’implant d’une période de jours longs réels ou mimés par une heure d’éclairement nocturne. Un tel traitement stimule la croissance testiculaire, améliore le comportement sexuel, la production spermatique et augmente la fertilité après IA, par rapport aux béliers non traités. Il est également possible de faire subir aux béliers reproducteurs une alternance d’un mois de jours longs et d’un mois de jours courts, ce qui induit le maintien d’une activité spermatogénétique élevée et constante pendant plusieurs années. En bâtiment ouvert, sur des mâles laissés en photopériode naturelle, l’alternance d’un mois d’éclairement nocturne avec un mois d’implant de mélatonine permet d’aboutir aux mêmes résultats, la dépose de l’implant en fin de traitement devenant toutefois délicate. Chez le bouc, le même type d’alternance rapide entre jours longs et jours courts permet de maintenir une production spermatique élevée de bonne qualité pendant au moins trois années consécutives. Dans ces conditions, le nombre de doses de semence congelée produites est très supérieur chez les animaux traités par rapport aux animaux témoins (+41 à +69 %). La fertilité des chèvres inséminées artificiellement avec de telles doses n’est pas différente de celle des chèvres inséminées avec la semence des boucs témoins. Les implants de mélatonine Mélovine®, ont obtenu en 1995 l’autorisation de mise sur le marché.
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Harmand, Jean-Michel, Mama Ntoupka, Bertrand Mathieu, Clément Forkong Njiti, Jean-Marie Tapsou, Jean-Christophe Bois, Philippe Thaler, and Régis Peltier. "Production de gomme arabique en plantations d'acacia senegal en zone soudanienne du Cameroun : Effet du climat, du sol, de la date d'incision et de la provenance des arbres." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 311, no. 311 (March 1, 2012): 21. http://dx.doi.org/10.19182/bft2012.311.a20507.

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Abstract:
La présente étude a été menée sur des plantations d'Acacia senegal (L.) Willd. installées en zone soudanienne du Cameroun entre les isohyètes 650 mm et 1 250 mm. L'étude concerne la croissance de l'espèce, le choix de la date d'incision et l'influence des facteurs climatiques et édaphiques sur la production de gomme arabique. Les plantations ont été réalisées de 1985 à 1989 et les essais de saignée de 1993 à 1998. L'espèce a présenté généralement une bonne adaptation et une bonne croissance dans les différentes conditions de site de la zone d'étude. Les observations montrent une meilleure production de gomme quand la saignée a été réalisée en début de saison sèche, lorsque l'humidité relative diminuait. Selon l'isohyète, la date optimale de saignée s'est étalée du 10 octobre (650 mm) au 25 novembre (1 250 mm). Entre 650 mm et 800 mm de pluviosité annuelle, la production moyenne annuelle de gomme dans chaque site a été de 100 g à 500 g par arbre saigné, correspondant à un rendement à la parcelle de 50 à 250 kg/ha/an pour une densité de 500 arbres/ha. Au-dessus de l'isohyète 1 000 mm, la production s'est montrée plus aléatoire. Bien qu'à l'échelle pluriannuelle la production de gomme ait été similaire dans les différents types de sols, le niveau de production annuelle a été plus variable sur sol sableux que sur sol argileux. La provenance soudanienne locale a été en général plus productive que toutes les provenances introduites d'origine sahélienne (Sénégal, Soudan) ou d'Inde. En plus de leur clarté remarquable, les quelques échantillons de gomme analysés de la provenance locale ont montré des propriétés classiques typiques des exsudats d'A. senegal de la ceinture sahélienne.
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LEBAS, F., and J. OUHAYOUN. "Incidence du niveau protéique de l'aliment, du milieu d'élevage et de la saison sur la croissance et les qualités bouchères du lapin." Annales de Zootechnie 36, no. 4 (1987): 421–32. http://dx.doi.org/10.1051/animres:19870406.

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Jarlan, Lionel, Jaouad Abaoui, Benoît Duchemin, Yves Tourre, Abdelaziz Ouldbba, Sylvain Mangiarotti, Hakim Kharrou, et al. "Déterminants climatiques de la variabilité interannuelle des rendements en céréales et prévision précoce. Application a la province de Settat (Maroc)." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 204 (April 8, 2014): 5–12. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2013.17.

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Abstract:
Compte-tenu de l'importance de la production de blé pour l'économie marocaine, les décideurs doivent disposer d'informations précises sur la production de blé tôt dans la saison afin d'anticiper les besoins en importation. Dans cette étude, nous avons analysé (1) les rendements en blé tendre (1983-2008) de la province de Settat (2) les précipitations et les températures mesurées sur la station de Settat ; (3) les indices de végétation NDVI à 10 jours du capteur AVHRR ; (4) plusieurs indices témoignant de la dynamique atmosphérique et les champs spatio-temporels de géopotentiels à 500$\:$hPa et (5) plusieurs indices témoignant de la dynamique des températures de surface des océans (TSO) ainsi que les champs spatio-temporel de TSO. Il a été démontré que les relations entre les précipitations et les températures à plusieurs stades critiques du développement du blé, d'une part, et les rendements en grain, d'autre part, sont également significatives au niveau de la province agricole. L'Oscillation Nord Atlantique au tout début de la saison de croissance en novembre est également liée aux rendements. Un motif spatial de corrélation intéressant a également été mis en évidence entre les champs de TSO dans l'Atlantique Equatorial et Tropical plus tôt dans l'année, et les rendements. Les potentialités de prévisions saisonnières des rendements en grains basée sur le climat à grande échelle sont analysées en comparant deux approches de régression (MLR, MVS). La prévisibilité est étudiée pour des modèles construits de décembre à mars avec des critères statistiques draconiens pour limiter la complexité des modèles. Le meilleur modèle est naturellement obtenu pour une prévision en mars avec un coefficient ajusté r² et une erreur quadratique moyenne de, respectivement, 0,92 et 2,0quintaux/hectare. En outre, l'approche MVS surpasse MLR pour tous les cas étudiés. Notre conclusion est que l'utilisation d'indices et de variables témoignant de la dynamique atmosphérique et océanique à l'échelle régionale peut permettre une prévision plus précoce qu'avec les prédicteurs classiquement utilisés pour le développement de ce type de modèles.
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Bégin, Yves, and Serge Payette. "La végétation riveraine du lac à l’Eau Claire, Québec subarctique." Géographie physique et Quaternaire 43, no. 1 (December 18, 2007): 39–50. http://dx.doi.org/10.7202/032752ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les platières sont des tabliers organo-minéraux occupant la rive de plusieurs grands lacs de la toundra forestière du Québec. La végétation qu'elles portent est périodiquement affectée par l'activité des vagues et les poussées glacielles. Le maintien de ces végétaux dans des habitats hautement dynamiques soulève plusieurs questions d'intérêt écologique et géomorphologique qui ont été étudiées au lac à l'Eau Claire, en Hudsonie. Les platières comportent une mosaïque de parcelles végétales en voie de régression ou de croissance, selon l'exposition aux perturbations allogènes. Bien qu'il existe un étagement des espèces en fonction du gradient d'immersion et d'exposition, la zonation en bandes subparallèles à la rive habituellement observée en périphérie des lacs tempérés, est ici peu prononcée. On trouve la diversité floristique optimale dans des sites présentant des conditions intermédiaires d'exposition où le bilan sédimentaire est très variable. Le développement des platières en région subarctique est stimulé par des fluctuations très irrégulières du niveau lacustre d'une année à l'autre, probablement en réponse aux variations interannuelles des précipitations de neige. La dénivellation du plan d'eau au cours de la saison de végétation influence l'intensité de l'activité géomorphologique des glaces et des vagues sur les rives et détermine ainsi les modalités de la succession écologique.
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Veit, H. P., F. McCarthy, J. Friedericks, M. Cashin, and R. Angert. "Une prospection des maladies caprines et bovines dans la Vallée d’Artibonite, Haïti." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 46, no. 1-2 (January 1, 1993): 27–38. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9377.

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Abstract:
Une étude de 40 semaines effectuée chez 43 fermiers et portant sur 60 chèvres et 60 bovins a été effectuée afin d'identifier des conditions anormales ou des maladies, et les facteurs prédisposants saisonniers, liés à la gestion ou à la nutrition. Les exploitations ont été visitées 4 fois, approximativement toutes les 10 semaines, les fermiers ont été questionnés, les animaux examinés et leur sang prélevé pour l'hématocrite, le nombre total de leucocytes et le taux de certains vitamines et minéraux dans le sérum. Des poils, de la terre et du fourrage ont été prélevés pour analyse. La condition du bétail était généralement passable, la croissance et la reproduction étaient mauvaises. Une déficience calorique inattendue pendant la saison des pluies, et des déficiences graves en phosphore et moindres en vitamine A et E, ont été constatées. Une anémie due au parasitisme était fréquente chez les deux espèces, surtout chez les chèvres. Les bovins avaient des tiques, les chèvres des poux. Une diarrhée et de la mortalité néonatales étaient signalées chez les chèvres, et on a observé une dermatite exfoliative, des verrues, une dermatophytose et peut-être de l'ecthyma contagieux. Le charbon bactéridien et la babésiose étaient signalés chez les bovins, et une vaginite vésiculaire, de l'orchite et des verrues des trayons ont été observées.
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Ngoucheme, A., Y. Manjeli, A. Etchu Kingsley, P. M. Youchaou, P. M. D. Ko Awono, H. P. Bayemi, S. P. Mbiadjeu-Lawou, et al. "Facteurs influençant les performances de croissance de quelques types génétiques de veaux dans les hautes terres de l’Ouest-Cameroun." International Journal of Biological and Chemical Sciences 13, no. 7 (February 13, 2020): 3364–77. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v13i7.31.

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Abstract:
Dans le cadre de l’amélioration de la productivité des bovins, une étude sur les facteurs influençant les performances de croissance de quelques types génétiques de veaux a été réalisée à Bambui sur 374 animaux de 1998 à 2008. L’objectif étant d’évaluer les effets des principaux facteurs influençant les performances de croissance et d’en déduire les contraintes et les moyens de contrôle. Les données ont été analysées à l’aide de la procédure ANOVA du logiciel SAS et les moyennes significatives ont été séparées par le test de Student-Newman-Keul. Au terme de ce travail, il a été déterminé que tous les facteurs ont une influence significative sur tous les traits pré sevrage, tandis que le troupeau n’a pas été significatif sur le poids à la naissance au seuil 5%. Quant à l’évolution du poids et gain moyen quotidien (GMQ) après sevrage, ils ne sont influencés significativement que par la race et le sexe du veau, la race et l’âge de ses parents, l’année, le mois et la saison de naissance et le troupeau. Par ailleurs, certains facteurs environnementaux peuvent masquer les différences génétiques entre les animaux lors de la sélection et le gain génétique ne peut pas être déterminé avec précisionMots clés: Facteurs, croissance, veaux, croisements, races locales. English Title: actors affecting growth performance of terminal crossbred calves in the western highlands of CameroonAs part of the improvement of cattle productivity, a study on the factors influencing the growth performance of some genetic types of calves was conducted at Bambui on 374 animals from 1998 to 2008. The objective being to evaluate the effects of the main factors influencing growth performance and to deduce the constraints and means of control. Data was analyzed using the SAS software ANOVA procedure were separed by the Student-Newman-Keul test. At the end of this work, it has been determined that all factors have a significant influence on all pre-weaning traits,while the flock was not significant on birth weight at the 5% threshold. Mean weight gain and mean daily gain ( ADG) after weaning were significantly influenced only by breed and sex of calf, race and age of parents, year, month and year birth season and the flock. In addition, some environmental factors may mask genetic differences between animals during breeding and genetic gaincan not be determineb accurately.Keywords: Factors, growth, calves, crosses, indigenous breeds.
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Madani, T., Bernard Hubert, Bertrand Vissac, and F. Casabianca. "Analyse de l’activité d’élevage bovin et transformation des systèmes de production en situation sylvopastorale algérienne." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 55, no. 3 (March 1, 2002): 197. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9824.

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Abstract:
Dans cette étude a été analysé le rôle joué par l’élevage bovin dans les systèmes d’élevage et les exploitations d’un massif forestier du Nord-Est algérien ; le massif est représentatif des 500 000 ha de la suberaie algérienne qui constitue la partie la plus arrosée et héberge la majeure partie du cheptel bovin allaitant du pays. Après avoir présenté le cadre de l’étude, les sources d’informations et les types d’élevage, les auteurs ont traité l’élaboration des performances de reproduction et de croissance des bovins. Cette démarche méthodologique de l’analyse des systèmes d’élevage a insisté sur les interactions entre les profils de reproduction des femelles, le type de matériel animal utilisé et la dynamique de l’état corporel qui s’est avéré un indicateur fiable pouvant constituer un outil de diagnostic dans la maîtrise de la reproduction. La confrontation des pratiques avec l’évolution des besoins des animaux et des ressources pastorales a permis de repérer des périodes dites saison-pratique, afin d’analyser les ajustements mis en oeuvre et leur incidence sur les performances. Aussi, l’étude des pratiques et de l’évolution des systèmes d’élevage a permis de produire des catégories de systèmes de production plus pertinentes et plus opératoires pour rendre compte des trajectoires en cours. Le présent travail a contribué ainsi à la production de cadres de références adaptés à la situation, pouvant servir sans avoir à recourir aux seuls paradigmes de l’intensification.
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Morin, Gwenaël, Renan Le Roux, Andrew Sturman, and Herve Quénol. "Évaluation de la relation entre températures de l’air et températures de surface issues du satellite modis : application aux vignobles de la vallée de Waipara (Nouvelle-Zélande)." Climatologie 15 (2018): 62–83. http://dx.doi.org/10.4267/climatologie.1345.

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Abstract:
L’impact du changement climatique sur la viticulture nécessite d’élaborer des stratégies d’adaptation à l’échelle du vignoble. La variabilité climatique locale, notamment les effets sur la température, influence la croissance de la vigne et détermine les caractéristiques des vins. L’objectif, à travers l’analyse et la modélisation spatiale des températures, est de prendre en compte l’influence des facteurs environnementaux et topographiques sur les événements climatiques locaux. Cependant, cette méthode nécessite l’installation de réseau dense de data loggers enregistrant la température de l’air pour construire et valider les modèles statistiques climatiques locaux. L’imagerie thermique, issue de la télédétection, apparaît comme une donnée alternative afin de s’affranchir des réseaux de mesure. La température de l’air (Ta) peut être estimée à partir de données satellitaires dérivant la température de surface (LST) mesurée par MOderate-Resolution Imaging Spectroradiometer (MODIS) avec une résolution temporelle journalière et à 1 km de résolution spatiale. Une analyse comparée dans la vallée viticole de Waipara (Nouvelle-Zélande) durant la saison végétative 2017-2018 a mis en évidence de bonnes relations statistiques entre Ta et LST. Les analyses statistiques ont montré, pour les températures moyennes journalières, des résultats avec un RMSE moyen de 2,46°C et un coefficient R² > 0,7. A l’échelle diurne et nocturne, les températures minimales ont obtenu de meilleurs résultats, notamment avec le satellite Terra (RMSE ≈ 2,50°C et R2 ≈ 0,80), que les températures maximales (RMSE ≈ 4,90°C et R² ≈ 0,70).
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THÉRIEZ, M. "Elevage et alimentation du cerf (Cervus Elaphus). 1. Caractéristiques physiologiques, besoins alimentaires et élevage des adultes." INRAE Productions Animales 1, no. 5 (December 12, 1988): 319–30. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1988.1.5.4467.

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Abstract:
L’élevage du cerf pour la production de viande se développe actuellement en France, après l’Ecosse et la Nouvelle-Zélande où les premiers élevages ont été créés il y a une vingtaine d’années. Cette espèce se différencie des ruminants domestiques traditionnels par un certain nombre de points dont en particulier une variation très importante de la capacité d’ingestion avec la saison (elle varie du simple au double entre l’hiver et l’été sous l’effet des variations de la photopériode) et une moindre digestibilité des fourrages grossiers (5 à 7 % de moins que le mouton). Les besoins d’entretien des cerfs sont voisins de ceux des bovins ; s’y ajoutent, chez le mâle, des besoins spécifiques pour la croissance annuelle des bois (énergie et surtout minéraux dont une partie provient d’une déminéralisation du squelette). Les naissances gémellaires sont très rares chez la biche dont la fertilité dépend essentiellement du poids au moment du rut (les biches doivent peser 60 kg ou plus). Le poids des faons à la naissance est voisin de 8-9 kg, il varie avec leur sexe et selon le niveau alimentaire moyen du troupeau. La production laitière des biches varie entre 120 et 200 litres en 100 jours selon la qualité du pâturage. Leur lait est très riche en lipides et en protéines (respectivement 10,3 et 7,6 % au cours du second mois de lactation) soit deux fois plus que le lait de vache.
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Khalafalla, Abdelmelik Ibrahim. "Ecthyma contagieux du dromadaire : risques chez le chamelon." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 53, no. 2 (February 1, 2000): 173. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.9747.

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Abstract:
Les dromadaires sont des animaux de grande importance, exceptionnellement adaptés aux zones sèches et arides. Le taux de mortalité élevé des chamelons apparaît comme l'une des principales contraintes à la productivité optimale du dromadaire. L'ecthyma contagieux du dromadaire (Ecd) est une maladie peu étudiée due à un virus du genre Parapox de la famille des Poxviridae. Au Soudan, 98 p. 100 des cas d'Ecd se produisent chez des chamelons de moins d'un an avec des taux de morbidité de 60 à 100 p. 100 et de mortalité de 9 à 38 p. 100. La maladie est endémique dans la plupart des régions du Soudan où il y a des élevages de dromadaires, avec toutefois des différences au niveau des taux de mortalité et de la gravité de l'infection. La maladie réapparaît régulièrement chaque année au début de la saison des pluies (juillet / août), affectant les chamelons à l'automne lors de leur première mise au pâturage. Les lésions d'Ecd ne sont pas généralisées mais restreintes à la tête, notamment sur les lèvres, les naseaux et les yeux. Ces lésions sont caractérisées par la présence de croûtes fissurées qui permettent de distinguer cliniquement cette maladie de la variole cameline ou de la papillomatose. Elle affecte la croissance du chamelon en diminuant sa capacité à téter ou à brouter. L'impact économique de cette maladie peu étudiée est discuté. Il apparaît que l'Ecd doit être sérieusement étudié compte tenu de sa répercution sur la productivité du cheptel camelin au Soudan.
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