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1

Hopman, W. M., M. B. Harrison, H. Coo, E. Friedberg, M. Buchanan, and E. G. VanDenKerkhof. "Liens existant entre les maladies chroniques, l’âge et l’état de santé physique et mental." Maladies chroniques au Canada 29, no. 3 (May 2009): 121–31. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.29.3.03f.

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Abstract:
Le présent article examine les liens existant entre les maladies chroniques, l’âge et la qualité de vie liée à la santé (QVLS) physique et mentale, à l’aide de données recueillies dans le cadre de dix études portant sur cinq maladies chroniques. La QVLS a été mesurée à l’aide du SF-36 ou de sa version sommaire, le SF-12. Les scores du Sommaire de la composante physique (SCP) et du Sommaire de la composante mentale (SCM) ont été représentés sur un graphique selon la maladie chronique, par groupes d’âge de 10 ans, et comparés avec des données normatives ajustées en fonction de l’âge et du sexe. Les modèles de régression linéaire relatifs au SCP et au SCM ont été corrigés en fonction des variables confusionnelles existantes. Sur les 2 418 participants qui composaient l’échantillon, 129 sujets étaient atteints d’insuffisance rénale, 366, d’arthrose, 487, d’insuffisance cardiaque, 1 160 présentaient des plaies chroniques (p. ex., ulcère à la jambe) et 276 étaient atteints de sclérose en plaques (SEP). D’importantes différences ont été notées quant au SCP entre les données normatives et les scores moyens des sujets atteints de maladies chroniques, mais ces différences étaient négligeables pour ce qui était du SCM. Le fait d’être une femme et de présenter des comorbidités était associé à une QVLS moins bonne; l’âge avancé était associé à un SCP plus faible et à un meilleur SCM. Cette étude a permis de confirmer que même si la fonction physique pouvait être gravement affectée à la fois par des maladies chroniques et l’âge avancé, la santé mentale demeure relativement bonne et stable.
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2

Doan, Natalie, Isabella Romano, Alexandra Butler, Rachel E. Laxer, Karen A. Patte, and Scott T. Leatherdale. "Intentions en matière de contrôle du poids et santé mentale chez les adolescents canadiens : analyse comparative entre les sexes chez les élèves participant à l’étude COMPASS." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 41, no. 4 (April 2021): 133–44. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.41.4.01f.

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Abstract:
Introduction Les différences entre les genres en lien avec les intentions de contrôle du poids et la santé mentale des adolescents sont peu connues. Notre objectif était d’examiner ces associations au sein d’un vaste échantillon d’adolescents et d’adolescentes. Méthodologie En utilisant les données de l’année 6 (2017-2018) de l’étude COMPASS (n = 57 324), nous avons procédé à une série de régressions linéaires multivariables pour déterminer si les intentions de contrôle du poids (gain de poids, perte de poids, maintien du poids, aucune intention) étaient associées à la dépression, à l’anxiété et à l’image de soi, tout en tenant compte de covariables pertinentes, dont l’indice de masse corporelle. Les modèles ont été stratifiés en fonction du genre autodéclaré. Résultats Par rapport aux filles sans intention en matière de contrôle du poids, les filles ayant l’intention de perdre du poids ont fait état de symptômes plus importants de dépression (B = 0,52, p $lt; 0,001) et d’anxiété (B = 0,41, p $lt; 0,001) ainsi que d’une moins bonne image d’elles-mêmes (B = 2,06, p $lt; 0,001). Les filles ayant l’intention de prendre du poids ont elles aussi fait état de symptômes plus marqués de dépression (B = 0,54, p $lt; 0,001) et d’anxiété (B = 0,50, p $lt; 0,001) ainsi qu’une moins bonne image d’elles-mêmes (B = 1,25, p $lt; 0,001). De leur côté, les garçons ayant l’intention de perdre du poids ont fait état de symptômes plus importants de dépression (B = 0,26, p $lt; 0,001) et d’anxiété (B = 0,33, p $lt; 0,001) ainsi que d’une mauvaise image d’eux-mêmes (B = 1,10, p $lt; 0,001). Enfin, toujours chez les garçons, les intentions de gain de poids étaient associées à des symptômes d’anxiété plus prononcés (B = 0,17, p $lt; 0,05), mais aucune différence n’a été observée en ce qui concerne les symptômes de dépression et d’image de soi. Conclusion Les intentions de gain ou de perte de poids étaient corrélées à des symptômes de troubles mentaux et à une mauvaise image de soi au sein du vaste échantillon d’adolescents sur lequel porte notre étude, avec des associations différentes chez les garçons et les filles. Ces résultats ont des implications importantes pour les programmes scolaires visant à promouvoir un poids santé et une image du corps saine.
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3

Henry, Melissa, Monique Séguin, and Marc-Simon Drouin. "L’impact du suicide d’un patient chez des professionnels en santé mentale." Recherche 21, no. 1 (September 1, 2009): 53–63. http://dx.doi.org/10.7202/037874ar.

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Abstract:
Résumé Cet article rapporte les résultats d’une recherche réalisée auprès de 141 professionnels en santé mentale pratiquant au Québec et ayant vécu le suicide d’un patient. Les professionnels ont réagi à cet événement différemment en fonction de leur sexe. Les femmes y ont répondu par un niveau de stress élevé au cours du premier mois, alors que les hommes ont dévoilé un niveau de stress faible. Le niveau élevé de stress relevé chez les femmes était accompagné de répercussions initialement plus intenses sur leur pratique professionnelle : tendance accrue à hospitaliser des patients suicidaires ou précautions accrues dans leur traitement, évaluation d’un plus grand nombre de patients comme présentant un risque de suicide, sentiment accru d’impuissance lors de l’évaluation ou du traitement de patients suicidaires, consultation plus fréquente de collègues et de superviseurs, attention accrue aux aspects légaux dans la pratique. L’article tente de mieux comprendre les différences entre les réactions des professionnels observées selon leur sexe, à la lumière des théories de la socialisation et du développement professionnel.
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4

Lamping, Donna L., Lawrence Joseph, Bill Ryan, and Norbert Gilmore. "Détresse psychologique chez les personnes atteintes du VIH à Montréal." Santé mentale au Québec 17, no. 1 (June 12, 2008): 73–95. http://dx.doi.org/10.7202/502046ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Le présent article décrit les préoccupations psychologiques reliées au VIH dans un échantillon montréalais de 128 personnes atteintes du virus, qui ont participé à une enquête nationale plus large sur les besoins et les services en santé mentale en rapport avec cette infection au Canada. Nous avons examiné les problèmes psychologiques causés par le VIH à Montréal, en comparaison d'autres villes du Canada, et dans divers sous-groupes définis selon le sexe, l'âge, le diagnostic et le facteur de risque. Les résultats montrent que même si l'infection au VIH a de fortes et profondes incidences sur la santé mentale, il existe des différences dans les genres de préoccupations et de problèmes qui affligent des groupes particuliers de répondants montréalais. L'incertitude de l'avenir et l'incapacité de réaliser ses buts dans la vie, ainsi que des sentiments d'impuissance et de peur face aux conséquences neurologiques virtuelles du VIH, étaient des sources majeures de détresse psychologique. Les sentiments de dépression, d'anxiété et de colère, de même que les inquiétudes soulevées par une détérioration physique croissante, la douleur, le danger d'infecter autrui, la confidentialité et la situation financière, étaient des sujets d'angoisse prédominants parmi les sous-groupes étudiés. Les différences entre les répondants en termes de sources de revenu, d'âge et de sexe et, dans une moindre mesure, de diagnostic et de facteur de risque, étaient associées à des niveaux variables de détresse psychologique. Bien que les répondants de Montréal (et de Vancouver) étaient moins angoissés que ceux de Toronto et de Halifax, cette divergence semblait tenir principalement à des différences d'âge et de revenu. Les données de l'enquête pourront servir aux décideurs et aux planificateurs du domaine de la santé à mettre au point les services nécessaires pour répondre aux besoins psychologiques des adultes atteints du VIH.
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5

Varin, Mélanie, Elia Palladino, Tanya Lary, and Melissa Baker. "Aperçu - Mise à jour sur la santé mentale positive chez les adultes au Canada." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 40, no. 3 (March 2020): 96–101. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.40.3.04f.

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Abstract:
Cet aperçu présente la dernière mise à jour des estimations du Cadre d’indicateurs de surveillance de la santé mentale positive pour les adultes de 18 ans et plus. À l’aide des données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2015 et de 2017, nous avons calculé la prévalence d’une santé mentale positive et de ses déterminants connexes. Les estimations des résultats en matière de santé mentale positive pour les adultes variaient entre 68,1 % et 87,1 %. Nous avons aussi exploré les associations entre divers facteurs sociodémographiques et une santé mentale positive chez les adultes au Canada. Nos résultats font état de différences sociodémographiques dans les cotes portant sur la santé mentale autoévaluée, le bonheur, la satisfaction à l’égard de la vie, le bien-être psychologique et le bien-être social.
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Karunanayake, C. P., and P. Pahwa. "Modélisation statistique de la détresse psychologique chez les personnes âgées vivant en milieu rural et urbain." Maladies chroniques au Canada 29, no. 3 (May 2009): 132–42. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.29.3.04f.

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Abstract:
L’augmentation rapide du nombre de personnes âgées au Canada entraînera une augmentation de la demande de soins de santé chez les aînés qui souffrent de troubles mentaux. Comme les personnes âgées sont plus nombreuses à vivre en zone rurale que les plus jeunes, il est important de cerner les différences entre les personnes âgées vivant en milieu rural et celles vivant en milieu urbain afin de concevoir et de fournir des soins de santé mentale appropriés. L’objectif principal de cette étude était d’utiliser l’Enquête nationale sur la santé de la population (ENSP) afin d’examiner les différences à l’égard de la détresse psychologique entre les personnes âgées vivant en milieu rural et celles vivant en milieu urbain (il s’agit des personnes de plus de 55 ans). Les autres objectifs consistaient à examiner l’association à long terme entre l’usage du tabac et la santé mentale et l’association à long terme entre les besoins de soins de santé non satisfaits et la santé mentale des personnes âgées vivant en milieu rural et en milieu urbain. La mesure de la détresse psychologique a été examinée comme un résultat binaire. L’analyse a été menée selon le modèle de l’équation d’estimation généralisée qui a pris en compte la complexité d’un plan de sondage à plusieurs degrés. Les personnes âgées vivant en milieu rural étaient proportionnellement plus nombreuses à déclarer une détresse psychologique que les personnes âgées vivant en milieu urbain. Cette incidence était toutefois à la limite de la signification statistique [RC = 1,16; IC à 95 % : 0,98, 1,37]. Cette conclusion s’est fondée sur un modèle final à variables multiples qui avait pour objet de déterminer s’il existe un lien entre la détresse psychologique et le lieu de résidence (rural ou urbain) de même qu’entre l’usage du tabac et l’autodéclaration de besoins de soins de santé non satisfaits. Ce modèle a été ajusté afin de prendre en compte d’autres covariables importantes et le manque de données relatives à la variable étudiée. Une corrélation significative a été notée entre l’usage du tabac et les problèmes de santé mentale chez les personnes âgées après que l’on a effectué des ajustements pour prendre en compte d’autres covariables [RC = 1,26; IC à 95 % : 1,00, 1,60]. Les participants ayant déclaré des besoins de soins de santé non satisfaits étaient proportionnellement plus nombreux à déclarer une détresse psychologique [RC = 1,72; IC à 95 % : 1,38, 2,13] que ceux qui se disaient satisfaits de leurs soins de santé.
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Simpson, Andrea, April Furlong, and Nina Jetha. "Aperçu - Intégrer l’équité : examen d'interventions visant l’amélioration de la santé mentale." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 38, no. 10 (October 2018): 429–33. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.38.10.04f.

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Abstract:
Au Canada, il est difficile de trouver des exemples d’interventions positives en santé mentale auprès de la population qui respectent les normes scientifiques en matière de données probantes. Il est encore plus difficile de cerner des interventions efficaces qui traitent de l’équité en santé. La divergence entre les normes en matière de données probantes en sciences de la santé et les données effectivement tirées des expériences sociales n’est pas nouvelle. Les efforts déployés pour résoudre ces différences conduisent à une tendance en faveur des interventions contrôlées en santé publique. Cependant, il est possible d’extraire des résultats d’interventions quasi-expérimentales qui répondent aux normes scientifiques tout en ayant le potentiel d’avoir un impact positif sur l’équité en santé mentale. Cet article décrit le travail entrepris en 2015 pour commencer à combler cette lacune.
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White, Deena, and Céline Mercier. "Ressources alternatives et structures intermédiaires dans le contexte québécois." Santé mentale au Québec 14, no. 1 (October 19, 2006): 69–80. http://dx.doi.org/10.7202/031489ar.

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Abstract:
Résumé Au Québec, un consensus semble se dégager ces dernières années sur le besoin de développer des ressources communautaires en santé mentale. Cependant, le concept de ressources communautaires est fragmenté : il y a une distinction à établir, sur le plan conceptuel, entre ressources alternatives et structures intermédiaires. Les deux types de ressources agissent hors les murs des institutions, mais leurs objectifs sont différents de même que les moyens qu'elles proposent pour le soutien dans la communauté des personnes souffrant de problèmes de santé mentale. Les tentatives pour rendre ces concepts opérationnels tendent à avoir pour effet de masquer leurs différences conceptuelles. La nouvelle politique de santé mentale du Québec, adoptée en janvier 1989, parle de "ressources communautaires" seulement et leur donne un mandat qui ne reflète pas la divergence conceptuelle entre les organisations patronnées par le réseau, et celles qui contestent la domination du réseau. Cela peut entraîner une limitation des types de services qui seront offerte au sein de la communauté, dans le contexte de la nouvelle politique.
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Tremblay, Marc-Adélard. "L'anthropologie de la clinique dans le domaine de la santé mentale au Québec. Quelques repères historiques et leurs cadres institutionnels, 1950-1990." Anthropologie et Sociétés 14, no. 1 (September 10, 2003): 125–46. http://dx.doi.org/10.7202/015116ar.

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Abstract:
Résumé L'anthropologie de la clinique dans le domaine de la santé mentale au Québec Quelques repères historiques et leurs cadres institutionnels, 1950-1990 L'auteur établit, en premier lieu, les différences qui existent entre une anthropologie clinique (d'application) et une anthropologie de la clinique (fondamentale). Il bâtit ensuite, pour ce dernier type d'anthropologie, un profil des études sur les aspects psychosociaux et culturels de la santé mentale sur une période de 40 ans en ayant soin de les situer dans des contextes historiques et des cadres institutionnels. L'esquisse générale est fondée sur cinq pièces maîtresses, chacune ayant ses caractéristiques propres et contribuant d'une manière spécifique à l'enrichissement des perspectives théoriques et au raffinement des méthodologies et instrumentations.
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Macia, E., P. Duboz, and L. Gueye. "Les déterminants de l'auto-évaluation de la santé à Dakar. Une étude anthropo-biologique exploratoire." Bulletins et Mémoires de la Société d'Anthropologie de Paris 28, no. 1-2 (June 23, 2015): 84–97. http://dx.doi.org/10.1007/s13219-015-0130-9.

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Abstract:
L'auto-évaluation de la santé est une variable largement utilisée dans les recherches en santé, mais elle n'a donné lieu qu'à de rares études en Afrique Sub-saharienne, et aucune au Sénégal sur la population générale. L'objectif de cette étude était donc d'analyser les principaux déterminants de l'auto-évaluation de la santé à Dakar, en tenant compte des facteurs socio-démographiques et économiques, des relations sociales et l'état de santé physique et mentale des individus. Pour cela, un échantillon de 600 individus, représentatif de la population âgée de 20 ans et plus vivant dans le département de Dakar, a été constitué par la méthode des quotas croisés. Les résultats des analyses bivariées et multivariées ont montré que l'auto-évaluation de la santé est à la fois un bon indicateur de l'état de santé physique et mentale des Dakarois, et un outil utile pour évaluer les inégalités sociales face à la santé. Cependant, d'importantes différences entre hommes et femmes ont été observées lors d'analyses différentielles selon le genre. Ces résultats ont été discutés dans un cadre anthropo-biologique insistant sur la dimension culturelle de la santé subjective et dans une perspective comparative entre hommes et femmes.
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Boyer, Thierry. "Développer des services destinés aux personnes nécessitant une aide de longue durée." Santé mentale au Québec 20, no. 1 (September 11, 2007): 31–47. http://dx.doi.org/10.7202/032331ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ L'expérience de planification régionale dans l'Outaouais démontre qu'il est difficile de structurer les serv-ices de santé mentale destinés aux gens socialement démunis et plus vulnérables. On peut y parvenir en développant un partenariat entre institutions et avec des groupes communautaires dans le respect des expertises et des différences locales. Le réseau de la santé et des services sociaux doit cependant apprendre comment développer une dynamique intersectorielle pour changer les conditions socio-économiques qui expliquent les conditions des malades et leur exclusion. En contexte de crise budgétaire, la participation des citoyens pourrait faire la différence.
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Kaur12, Jaskiran, and Isabelle Marcoux. "Attitudes des intervenants en santé mentale envers l’euthanasie et le suicide assisté : une synthèse des connaissances scientifiques." Criminologie 51, no. 2 (September 12, 2018): 213–43. http://dx.doi.org/10.7202/1054241ar.

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Abstract:
L’objectif de cette synthèse des connaissances est de donner un aperçu des études scientifiques publiées sur les attitudes des intervenants en santé mentale envers l’euthanasie et le suicide assisté. Une recherche a été menée dans les bases de données Medline, PsycInfo et Embase ; onze articles répondant aux critères d’inclusion ont été sélectionnés. Les résultats montrent que les intervenants en santé mentale ont généralement des attitudes positives envers l’euthanasie et le suicide assisté, avec des attitudes un peu plus favorables envers ce dernier que pour l’euthanasie. Plusieurs études ont montré une corrélation négative entre l’importance de la religion et leurs attitudes ainsi qu’avec l’expérience professionnelle. Le lien entre les attitudes et d’autres caractéristiques personnelles (par ex. : le genre, l’âge, le niveau d’éducation) n’est toutefois pas constant d’une étude à l’autre. Des enjeux particuliers sur le plan de la méthodologie doivent être considérés dans l’interprétation des résultats, dont des différences dans les définitions et la terminologie utilisée, ainsi que dans la formulation des questions. Le lien entre les expériences personnelles et les attitudes envers l’euthanasie ou le suicide assisté devrait faire l’objet de recherches futures.
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Hemsing, N., and L. Greaves. "Forum pancanadien : Cadre de travail national sur la santé pulmonaire : occasion d'analyse comparative entre les sexes." Maladies chroniques au Canada 29, no. 2 (2009): 99–103. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.29.2.07f.

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Abstract:
Les maladies respiratoires liées au tabagisme représentent un énorme fardeau social et économique pour les femmes comme pour les hommes au Canada. Le présent article porte sur la contribution potentielle du Cadre de travail national sur la santé pulmonaire à la réduction des inégalités en santé respiratoire entre les femmes et les hommes et entre les sous-populations de femmes et d'hommes. Une analyse préliminaire des documents-cadres existants indique que les facteurs, les différences et les influences liés aux sexes n'ont pas encore été clairement ou suffisamment élucidés. Néanmoins, il y a des questions liées aux sexes en matière de prévention du tabagisme et d'abandon du tabac, de santé et de maladies pulmonaires. En particulier, nous traitons des besoins et des expériences des femmes en matière de santé respiratoire pour montrer le besoin d'une analyse comparative entre les sexes à l'intérieur du cadre. Par exemple, bien que les données probantes concernant les taux d'abandon ne soient pas concluantes, les femmes et les hommes n'ont ni les mêmes tendances d'abandon ni les mêmes raisons de fumer. La création d'une approche à la santé pulmonaire propre au Canada est une initiative importante, mais il faut s'occuper expressément des questions liées aux sexes en matière de maladies et de santé respiratoires aux étapes de la planification et de l'élaboration du cadre afin qu'il ait un effet bénéfique et durable sur les femmes et les hommes.
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Lévy, Joseph J., Barry Adam, Martin Blais, Line Chamberland, Jean Dumas, Kim Engler, Alain Léobon, Bill Ryan, Christine Thoër, and Kristopher Wells. "Le vieillissement chez les hommes gais et bisexuels canadiens : un portrait de l’état de santé et des préoccupations relatives à la santé et aux relations interpersonnelles." Recherche 25, no. 1 (August 30, 2013): 82–104. http://dx.doi.org/10.7202/1018232ar.

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Abstract:
Peu de recherches ont porté sur les profils et les préoccupations de santé parmi les hommes homosexuels et bisexuels vieillissants. Dans le cadre d’une enquête en ligne pancanadienne, 411 répondants âgés de 55 ans et plus ont répondu à un questionnaire portant sur l’évaluation de ces deux problématiques. Les résultats montrent que les écarts avec la population hétérosexuelle du même groupe d’âge se situent en particulier dans le champ de la santé mentale, où les problèmes sont plus prononcés, des différences qui se retrouvent aussi entre les 55-64 ans et les 64 ans et plus dans notre échantillon. Ces résultats peuvent contribuer à développer des interventions mieux ciblées visant à favoriser le bien-vieillir parmi ces minorités sexuelles.
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Lebeau, Aimé, Luciano Bozzini, André-Pierre Contandriopoulos, and Raynald Pineault. "Les urgences psychiatriques dans la région du Montréal métropolitain : quelques différences entre les hommes et les femmes." Santé mentale au Québec 4, no. 2 (June 2, 2006): 25–52. http://dx.doi.org/10.7202/030055ar.

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Abstract:
Le thème du présent numéro vise à caractériser la situation des femmes à l'égard de certains aspects de la santé mentale. C'est une occasion de présenter certaines données d'une recherche sur les urgences psychiatriques effectuée dans la région du Montréal métropolitain. Cet article comporte trois parties. Dans une première partie, on décrira d'une manière générale les patients considérés comme « urgences psychiatriques » dans la région de Montréal, selon certaines caractéristiques socio-démograhiques et économiques et ensuite selon les différents types de détresse psychiatrique. Dans une deuxième partie, un portrait plus détaillé de la clientèle de l'urgence psychiatrique sera brossé en mettant en relief les différences entre la clientèle féminine et la clientèle masculine. Enfin, dans une troisième et dernière partie, seront présentées des données relatives à une dimension importante de l'intervention médicale en psychiatrie d'urgence, à savoir les premières décisions prises par les professionnels de la santé de service à l'urgence en réponse à cette demande.
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Leray, E., L. Denis, and V. Kovess. "Des différences d’état de santé mentale entre actifs, scolarisés et demandeurs d’emploi chez les 18–24ans, France." Revue d'Épidémiologie et de Santé Publique 61 (October 2013): S270—S271. http://dx.doi.org/10.1016/j.respe.2013.07.214.

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Caron, J., and A. Liu. "Étude descriptive de la prévalence de la détresse psychologique et des troubles mentaux au sein de la population canadienne : comparaison entre la population à faible revenu et la population à revenu plus élevé." Maladies chroniques et blessures au Canada 30, no. 3 (June 2010): 86–97. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.30.3.03f.

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Abstract:
Objectif Cette étude descriptive compare la prévalence de la détresse psychologique élevée et des troubles mentaux dans la population à faible revenu à celle de la population à revenu plus élevé du Canada. Méthodes Les données ont été recueillies dans le cadre de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes – Santé mentale et bien-être (ESCC cycle 1.2), réalisée auprès de 36 984 Canadiens âgés de 15 ans et plus. La population à faible revenu (définie par la Mesure de faible revenu) a constitué 17,9 % (n = 6 620) de cet échantillon. On a utilisé l’échelle de Kessler K-10 pour mesurer la détresse psychologique, et l’entrevue CIDI pour évaluer les troubles mentaux. Résultats Un Canadien sur 5 a déclaré éprouver une grande détresse psychologique, et 1 sur 10, souffrir d’au moins un des cinq troubles mentaux étudiés ou de dépendance à une substance. Les femmes, les célibataires, les personnes séparées ou divorcées, les non-immigrants et les Autochtones ont été plus nombreux à déclarer souffrir de détresse psychologique, de troubles mentaux ou d’abus de substances. Les taux déclarés de détresse psychologique, de troubles mentaux ou d’abus de substances ont été beaucoup plus élevés chez les populations à faible revenu, et les différences mesurées étaient statistiquement cohérentes dans la plupart des catégories sociodémographiques. Conclusion Cette étude permet de mieux cerner les populations vulnérables en matière de santé mentale, susceptibles de bénéficier des programmes de prévention de la maladie et de promotion de la santé.
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Rey, Séverine, and Mélanie Battistini. "Favoriser les femmes ou le sexe minoritaire dans les formations professionnelles en Suisse ?" Lien social et Politiques, no. 69 (June 17, 2013): 73–88. http://dx.doi.org/10.7202/1016485ar.

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Abstract:
Les plans d’égalité mis en place dans les hautes écoles spécialisées en Suisse visent désormais à promouvoir une « représentation équitable des sexes » parmi les étudiantes et étudiants. Les résultats de notre recherche sur les personnes qui choisissent une formation professionnelle « atypique » (des femmes dans le domaine de l’ingénierie et des hommes dans celui de la santé) mettent en évidence les différences genrées de leur trajectoire. L’attitude des enseignantes et enseignants, l’identification à des modèles et le positionnement des étudiantes et étudiants eux-mêmes recomposent les groupes de sexe. La transformation des plans d’égalité nous semble dès lors marquée par une certaine candeur, laissant croire qu’il suffit de symétriser les mesures pour arriver à l’égalité entre les sexes.
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Lebeau, Aimé, and Christian Viens. "L’exercice du partenariat : une analyse exploratoire à travers le développement d’un service d’intervention de crise dans le territoire du Haut-Richelieu." Santé mentale au Québec 16, no. 2 (September 11, 2007): 121–38. http://dx.doi.org/10.7202/032230ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article analyse la conception, le processus d'implantation et les objectifs d'un service d'intervention en situation de crise dans le territoire du Haut-Richelieu. Il examine les forces et les résistances à l'exercice du partenariat préconisé par la Politique en santé mentale au Québec. Les auteurs décrivent la pratique du partenariat lors des différentes phases d'implantation du programme, en montrant son influence sur le risque ou le potentiel de dérive du projet et ses lacunes. Au terme de cette description de l'évolution du projet, ils soulignent, à travers les contraintes et les conditions de réalisation d'un partenariat, les différences entre l'approche obligée du partenariat et sa logique et l'approche issue d'un désir commun et d'une volonté collective de répondre à des besoins reconnus.
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Rusu, C., ME Gee, C. Lagacé, and M. Parlor. "Le syndrome de fatigue chronique et la fibromyalgie au Canada : prévalence et associations avec six indicateurs de l’état de santé." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 35, no. 1 (March 2015): 3–13. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.35.1.02f.

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Abstract:
Introduction Peu d’études ont traité, à l’aide de données populationnelles, des facteurs associés de façon indépendante au syndrome de fatigue chronique (SFC) et à la fibromyalgie (FM) ou des répercussions de ces affections sur l’état de santé. Méthodologie Nous avons utilisé les données de l’Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes de 2010 (n = 59 101), représentative de la population à l’échelle nationale, pour décrire les cas autodéclarés de SFC et de FM diagnostiqués par un professionnel de la santé et pour déterminer les associations de ces affections avec six indicateurs de l’état de santé. Résultats En 2010, 1,4 % (intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,3 % à 1,6 %) des Canadiens de 12 ans ou plus vivant à domicile ont déclaré avoir reçu un diagnostic de SFC, 1,5 % (IC à 95 %: 1,4 % à 1,7 %) de FM, et 0,3 % (IC à 95 %: 0,3 % à 0,4 %) a déclaré être atteinte à la fois de SFC et de FM. Les cas de SFC comme ceux de FM étaient plus fréquents chez les femmes, les adultes de 40 ans ou plus, les personnes à faible revenu et les personnes présentant certains facteurs de risque de maladie chronique (obésité, sédentarité et tabagisme). Après ajustement en fonction des différences existant entre les groupes, les personnes ayant déclaré être atteintes du SFC ou de FM ou des deux avaient un moins bon état de santé que les personnes atteintes d’aucune de ces affections pour cinq indicateurs de l’état de santé, mais aucune différence n'a été trouvée entre ces groupes par rapport à l’indicateur de santé mentale. Le fait d’être atteint à la fois du SFC et de FM et de présenter de multiples affections comorbides était associé à un moins bon état de santé. Conclusion La présence concomitante du SFC, de la FM et d’autres affections chroniques était étroitement associée au fait d’avoir un moins bon état de santé, et les différences relatives à l’état de santé étaient dues en bonne partie à la présence concomitante de ces affections. La compréhension des facteurs qui contribuent à l’amélioration de la qualité de vie des personnes atteintes du SFC ou de FM, et en particulier des personnes qui présentent ces deux affections ainsi que diverses affections comorbides, serait un champ important à explorer dans le cadre de travaux de recherche ultérieurs.
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Floquet, M., and I. Mouric. "Santé mentale des patients hospitalisés à l’UHSA de Nancy. Étude descriptive et rétrospective de 186 patients." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S140. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.277.

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IntroductionLe dispositif de soins psychiatriques aux détenus s’est vu complété par la création des unités hospitalières spécialement Aménagées (UHSA), qui accueillent des patients souffrant de troubles psychiatriques en hospitalisation à temps plein, avec ou sans consentement. L’UHSA de Nancy a ouvert ses portes en mars 2012 et nous proposons une analyse descriptive des patients accueillis dons ce service, une réflexion sur son fonctionnement ainsi que sur les liens avec nos partenaires.Matériel et méthodesll s’agit d’une étude rétrospective descriptive sur la période d’août 2012 à juillet 2013 inclus. Nous avons analysé plusieurs caractéristiques des patients hospitalisés. Nous nous sommes intéressés aux patients présentant un trouble psychotique afin d’en dégager d’éventuelles spécificités. Nous avons aussi envoyé un questionnaire à nos différents partenaires (UCSA et SMPR) pour savoir si la création de ce dispositif de soins avait eu des conséquences sur leurs pratiques auprès des patients.RésultatsCent quatre-vingt-six patients ont été inclus. Les patients hospitalisés sont majoritairement masculins (89,9 %), célibataires (72 %), sans activité professionnelle avant l’incarcération (78 %). 73 % des patients ont des antécédents de suivi en psychiatrie. Quarante pour cent de ces patients hospitalisés ont un diagnostic de trouble psychotique. Nous retrouvons des différences significatives entre les patients psychotiques versus les autres patients sur plusieurs facteurs. Nos partenaires ont vu leur pratique se modifier mettant en avant une meilleure communication entre les soignants et une meilleure alliance thérapeutique avec le patient.ConclusionL’UHSA offre une nouvelle modalité de soin aux détenus. Néanmoins, une réflexion plus globale doit être menée du fait de l’importance des détenus présentant des troubles mentaux et de la gravité des tableaux cliniques. Cette réflexion doit se faire avec l’ensemble des partenaires sanitaires et judiciaires et notamment avec les services de psychiatrie en milieu ouvert.
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Bourque, Paul, Dolores Pushkar, Lucie Bonneville, and François Béland. "Contextual Effects on Life Satisfaction of Older Men and Women." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 24, no. 1 (2005): 31–44. http://dx.doi.org/10.1353/cja.2005.0001.

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Abstract:
RÉSUMÉDes différences existent entre les sexes dans les variables liées à la démographie, à la santé et aux réseaux sociaux, variables qui sont associés à un vieillissement réussi, mais on n'en trouve généralement pas en ce qui concerne la satisfaction face à la vie. La présente étude avait pour but premier de déterminer s'il y a des différences entre les hommes et les femmes par rapport à leur satisfaction dans des domaines particuliers et en général à l'égard de la vie. Ont également été examinées les différences dans la satisfaction face au parcours de la vie entre les hommes et les femmes. Dans un deuxième temps, nous avons procédé à une analyse de l'ensemble de données recueillies dans l'étudeVieillir dans la communauté(Béland et al., 1989) afin d'évaluer le bien-être des adultes francophones plus âgés (N=958). Des analyses acheminatoires ont révélé une bonne concordance des modèles utilisés pour les échantillons masculins et féminins. Chez les hommes, la satisfaction face à la vie s'explique positivement selon l'âge, le revenu et le contrôle et négativement selon les erreurs de mémoire, la maladie et les limitations fonctionnelles. Chez les femmes, la satisfaction face à la vie s'explique selon l'âge, la scolarité, le revenu, la maladie, les limitations fonctionnelles, le soutien social, le contrô le et le mode de vie. Les résultats ont fait ressortir les aspects positifs et négatifs du soutien social pour les femmes. Tel que nous nous y attendions, les modèles de parcours ont indiqué que, même s'il existe des similitudes dans la satisfaction face au parcours de la vie chez les hommes et chez les femmes plus âgés, on retrouve également des différences importantes.
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Squires, Janet E., Jennifer Baumbusch, Melissa Demery Varin, Ibo MacDonald, Stephanie Chamberlain, Anne-Marie Boström, Genevieve Thompson, Greta Cummings, and Carole A. Estabrooks. "A Profile of Regulated Nurses Employed in Canadian Long-Term Care Facilities." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 38, no. 02 (March 12, 2019): 130–42. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980818000478.

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RÉSUMÉLe personnel infirmier autorisé (PIA) et les infirmiers auxiliaires (Iaux) fournissent le volet spécialisé des soins infirmiers dans les centres de soins de longue durée au Canada. Cependant, peu d’études se sont penchées sur cette main-d’œuvre importante. Une enquête a été réalisée chez 309 PIS et 448 Iaux provenant de 91 centres pour personnes âgées situés dans l’Ouest canadien afin de décrire leur profil démographique et certaines variables associées à leur travail et à leur santé. Les Iaux étaient significativement plus jeunes que les PIA, travaillaient un plus grand nombre d’heures et avaient moins d’expérience en soins infirmiers. Ils étaient aussi davantage confrontés à des comportements réactifs d’aînés atteints de démence, comparativement aux PIA. Les PIA et les Iaux plus jeunes rapportaient un épuisement professionnel (burnout, épuisement émotionnel) plus sévère et davantage de problèmes de santé mentale que les groupes plus âgés. Des différences significatives ont également été observées entre les provinces, les régions et les propriétaires exploitants en ce qui concerne les variables démographiques, ainsi que les variables liées au travail et à la santé des PIA et des Iaux. Ces résultats permettront d’informer les décisions politiques importantes à venir et la planification de la main d’œuvre afin d’améliorer la qualité de vie au travail pour le personnel infirmier œuvrant en centres de soins de longue durée.
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Gilbert, Gabrièle, and Sophie Gilbert. "Exploration de l’expérience de la maternité chez des jeunes femmes haïtiennes issues du milieu rural : enjeux économiques, culturels et affectifs." Alterstice 7, no. 2 (October 10, 2018): 91–104. http://dx.doi.org/10.7202/1052572ar.

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Abstract:
Notre étude constitue un volet, ciblant les nouvelles mères, d’un projet qui vise à implanter un réseau de services communautaires en santé mentale dans la ville de Grand-Gôave en Haïti. Ces services sont dispensés par des aidants naturels sur place, dont le travail est supervisé à distance par des professionnels en santé mentale montréalais. Ce type de partenariat maximise les différences culturelles, ce qui se traduit par des divergences entre les perceptions de la problématique et de l’intervention à offrir, ainsi que par une complexification de l’implantation et de l’évaluation des services. Selon un modèle de recherche-action qualitative et par le biais de deux études de cas, de deux groupes de discussion ainsi que d’observations menées sur place, notre étude visait à mieux comprendre ce qui caractérise la trajectoire, la problématique ainsi que les besoins des utilisatrices et à voir ce que les services peuvent leur apporter, en particulier en matière de prévention de la violence familiale. D’après notre analyse thématique, ces nouvelles mères seraient exposées à de nombreux facteurs de risque socioculturels de grossesses accidentelles, en particulier le patriarcat, des tabous culturels et spirituels, une éducation sexuelle limitée ainsi qu’un accès réduit à l’avortement. De plus, leur expérience de la maternité serait caractérisée par l’absence de soutien ainsi que par des sentiments négatifs et un lien mère-enfant ambivalent, qui constituent des facteurs de risque de violence parentale. Nous proposons d’ajuster les interventions afin de soutenir le vécu maternel de ces jeunes femmes, en agissant tant au niveau individuel que social, et en soutenant les motivations spirituelles et culturelles à la maternité déjà présentes chez celles-ci afin de les utiliser comme levier à la résilience.
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Chan, WW, C. Ng, and TK Young. "Forum pancanadien – Nos méthodes d'identification et de recension des Autochtones influent-elles sur l'évaluation du fardeau de la maladie de ce groupe de population?" Maladies chroniques et blessures au Canada 33, no. 4 (September 2013): 312–15. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.33.4.09f.

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Abstract:
Introduction Nous avons examiné la concordance entre les questions de l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes (ESCC) relatives à l'identité et à l'ascendance utilisées pour évaluer la taille de la population autochtone au Canada et avons cherché à déterminer si les différentes définitions ont une incidence sur la prévalence de certaines maladies chroniques. Méthodologie D'après le fichier de microdonnées combinées sur les réponses aux questions sur l'identité et l'ascendance de l'ESCC de 2009-2010, les participants autochtones se divisent en quatre groupes : 1. identité seulement; 2. ascendance seulement; 3. ascendance ou identité et 4. ascendance et identité. La prévalence du diabète, de l'arthrite et de l'hypertension est évaluée à partir des déclarations des participants concernant le diagnostic reçu d'un professionnel de la santé. Résultats Parmi les participants qui s'identifient comme autochtones, seuls 63 % déclarent avoir un ancêtre autochtone; parmi ceux qui se disent d'ascendance autochtone, seuls 57 % s'identifient comme Autochtones. Le manque de concordance diffère également selon que le sujet est membre des Premières nations, Métis ou Inuit. Cependant, les différences entre méthodes d'estimation de la population autochtone n'ont pas d'incidence significative sur la prévalence des trois maladies chroniques choisies. Conclusion Le manque de concordance doit être étudié de plus près, en combinant plus de cycles de l'ESCC afin de comparer les écarts entre les régions, les sexes et les statuts socioéconomiques. Il serait bon aussi d'en examiner cette incidence sur d'autres problèmes de santé.
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Stip, Emmanuel, Amir Ali Sephery, Adrien Tempier, and Annie Brochu-Blain. "Différences et similitudes dans la perception de la schizophrénie entre les omnipraticiens et la population générale québécoise." Santé mentale au Québec 31, no. 1 (October 31, 2006): 189–200. http://dx.doi.org/10.7202/013692ar.

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Abstract:
Le rôle potentiel des omnipraticiens à l’égard d’une maladie comme la schizophrénie a été redéfinie lors du dernier Plan d’organisation de la santé mentale au Québec en 2006. Dans cet article les auteurs présentent des résultats concernant la perception et les attitudes des omnipraticiens du Québec vis-à-vis des patients souffrant de cette affection. Les résultats obtenus à travers un sondage sont comparés à ceux obtenus grâce à 5 questions communes posées à la population québécoise en général. Un court questionnaire, composé de 5 items choisis à partir d’un questionnaire plus élargi et présenté à la population générale, a été proposé aux omnipraticiens du Québec. Ces items sondaient la perception et l’attitude des médecins à l’égard de la schizophrénie. À partir d’un échantillon aléatoire de 3 500 omnipraticiens, un taux de 29 %, soit un peu plus de mille (1003, 46 % de femmes et 54 % d’hommes), répondants a été observé. Les auteurs ont constaté des différences significatives entre les omnipraticiens et la population québécoise générale dans la tendance à vouloir offrir de l’aide aux personnes souffrant de schizophrénie (omnipraticiens = 58 % versus population générale : 45 %). Également, un plus haut pourcentage d’omnipraticiens (72 %) a dit ressentir de la compassion envers les patients souffrant de schizophrénie versus 27 % dans la population en général. Les omnipraticiens ont dit se sentir moins à l’aise de discuter ouvertement de la maladie à un membre de la famille si ce dernier était affligé de la schizophrénie (26 % versus 48 %). Il n’y avait pas de différence entre les deux populations en ce qui concerne le jugement de la sévérité de la schizophrénie dans le champ des maladies y compris des maladies mentales.
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Carrier, Julie, Dorian Laverdière, Alain Savoie, Frédéric Grondin, and Philip Jackson. "Présence thérapeutique et empathie dans un contexte de relation d'aide." Psycause : revue scientifique étudiante de l'École de psychologie de l'Université Laval 9, no. 2 (October 6, 2019): 21–22. http://dx.doi.org/10.51656/psycause.v9i2.20150.

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Abstract:
Cette étude porte sur la relation d’aide offerte par vidéoconférence et l’impact de cette modalité sur les niveaux de présence thérapeutique et d’empathie en comparaison avec la modalité face à face. L’association entre ces variables est aussi étudiée. Vingt-quatre dyades de participants ayant le rôle de client ou de thérapeute ont pris part à deux séances de relation d’aide, soit une en face à face ainsi qu’une en vidéoconférence. Des niveaux significativement plus élevés de présence thérapeutique ont été perçus par les clients dans la condition en face à face, mais pas pour le groupe des thérapeutes. Les niveaux d’empathie n’étaient pas significativement différents dans les deux groupes. Également, l’association entre la présence thérapeutique et l’empathie était significative dans les deux modalités seulement pour le groupe thérapeute. Il semble possible de conclure que la vidéoconférence peut affecter différemment l’expérience de la présence thérapeutique et de l’empathie selon le rôle du participant. Les résultats obtenus permettent de préciser les différences et les similarités ressenties entre la relation d’aide en face à face et en vidéoconférence, qui représente un enjeu dans l’accès aux services en santé mentale. Les résultats permettront également de comprendre davantage les processus communs que semblent sous-tendre la présence thérapeutique et l’empathie.
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Bradley, Stacy, Rachelle Doucet, Erich Kohler, and Martin Drapeau. "Accessibilité à la psychothérapie subventionnée par l’État : comparaisons entre les perspectives des psychologues et des psychothérapeutes." Santé mentale au Québec 40, no. 4 (April 5, 2016): 175–200. http://dx.doi.org/10.7202/1036099ar.

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Abstract:
L’amélioration de l’accès aux traitements en santé mentale est depuis longtemps une priorité tant au Québec que sur la scène canadienne et internationale. Des initiatives pour accroître l’accès à la psychothérapie subventionnée par l’État ont entre autres été mises de l’avant en Australie et au Royaume-Uni. La présente étude a visé à documenter comment les psychologues et les psychothérapeutes se distinguent dans leurs attitudes quant aux différents aspects qui définissent ces programmes d’accès à la psychothérapie subventionnée par l’État. Les participants (N = 1 275) ont été recrutés par courriel et invités à remplir une série de questionnaires en ligne, lesquels portaient notamment sur : les différents services et modalités de service qui devraient être assurés par l’État ; le rôle et l’autonomie des cliniciens si les services de psychothérapie devaient être assurés par l’État ; les tarifs, les modalités de remboursement et les conditions de travail des cliniciens. Les résultats indiquent que les psychothérapeutes valorisent davantage la thérapie de couple et familiale, l’aide à l’emploi et l’orientation professionnelle que les psychologues. Quant à ces derniers, ils valorisent davantage l’utilisation de pratiques fondées sur des données probantes ainsi que le suivi en continu des résultats du traitement, et la publication du niveau de satisfaction quant aux traitements reçus par la clientèle desservie. Des différences entre les deux groupes ont aussi été observées concernant leurs préférences quant aux modalités de paiement et de remboursement des services. Ces résultats peuvent avoir des implications pour l’implantation d’un programme de psychothérapie subventionnée par l’État au Québec.
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Guillon, P., K. Van Impe, and S. Gupta. "Le fardeau des aidants de patients souffrant de schizophrénie en France." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S114. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.217.

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Abstract:
ObjectifÉtudier la qualité de vie (QdV), les comorbidités liées au stress, l’activité, la productivité et les consommations de soins des aidants de patients schizophrènes par rapport aux non-aidants et aux aidants d’adultes présentant d’autres pathologies (maladie d’Alzheimer, cancers, AVC) en France.MéthodesLes données ont été obtenues à partir des enquêtes en ligne santé et bien-être France (2010–2013) dans la population adulte (> 18 ans). Le recueil portait sur la QdV (SF-36v2 : dimensions mentale et physique (MCS, PCS), SF-6d (utilités liées à la santé)), les comorbidités liées au stress (insomnie, troubles du sommeil, douleur, céphalées, anxiété, dépression) au cours des 12 derniers mois, l’activité et la productivité au travail et l’utilisation des soins de santé (consultations, passage aux urgences et hospitalisations dans les 6 derniers mois). Les aidants de patients schizophrènes (n = 73) ont été comparés avec les non-aidants (n = 40 326) et les autres aidants (n = 3814) sur les caractéristiques socio-démographiques et les indicateurs relatifs à la santé pour rechercher des différences significatives entre les groupes.RésultatsL’âge moyen des aidants de patients schizophrènes était de 51,8 ans (SD = 15,4) ; 64,4 % étaient des femmes ; 45,2 % avaient un emploi ; 53,4 % étaient mariés/en couple ; 76,7 % ont déclaré un revenu < €50 000. Leurs scores de QdV (MCS : 39,7 vs 46,7 ; PCS : 47,2 vs 51,0) et d’utilité (0,63 vs 0,73) étaient significativement plus faibles que chez les non-aidants (p < 0,001) ; ils rapportaient davantage de troubles du sommeil (42,5 % vs 28,0 %), d’insomnie (38,4 % vs 19,4 %), de douleurs (34,2 % vs 22,9 %), de céphalées (45,2 % vs 27,6 %), d’anxiété (46,6 % vs 21,7 %), ou de dépression (20,5 % vs 8,4 %) (p < 0,05) ainsi qu’une moindre activité (34,3 % vs 22,1 %), une augmentation des consultations médicales (9,5 contre 4,9), des passages aux urgences (0,7 vs 0,1) et des hospitalisations (0,8 vs 0,1) (p < 0,001). Des résultats similaires étaient retrouvés par rapport aux autres aidants sur la QdV, l’utilité, les céphalées, l’anxiété et les consommations de soins. Aucune différence significative n’apparaissait sur le score PCS, les autres comorbidités liées au stress, l’activité et la productivité.ConclusionsLes aidants de patients souffrant de schizophrénie rapportaient une moins bonne QdV, plus de comorbidités liées au stress, de consommation de soins de santé que les non-aidants et les aidants d’autres pathologies.
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Zandy, Moe, Li Rita Zhang, Diana Kao, Fahra Rajabali, Kate Turcotte, Alex Zheng, Megan Oakey, Kate Smolina, Ian Pike, and Drona Rasali. "Disparités socioéconomiques et spatiales dans les décès attribuables au suicide chez les jeunes et aux blessures non intentionnelles en Colombie-Britannique (2009-2013)." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 39, no. 2 (February 2019): 37–47. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.39.2.01f.

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Introduction Sachant que l’association entre l'état de santé et le statut socioéconomique (SSE) est largement documentée et que les blessures non intentionnelles continuent de se classer parmi les principales causes de décès chez les Britanno-Colombiens, nous avons voulu quantifier les disparités liées au SSE dans les taux de mortalité associés à trois secteurs prioritaires pour la Colombie-Britannique en matière de prévention des blessures : le suicide chez les jeunes, les blessures liées aux chutes chez les aînés et les blessures liées au transport. Méthodologie Nous avons jumelé les données liées aux décès (2009 à 2013) tirées des statistiques de l’état civil et des données socioéconomiques de CensusPlus de 2011 à l’échelle de l’aire de diffusion ou de la circonscription sanitaire afin d'étudier les taux de mortalité normalisés selon l’âge (TMNA) et les disparités des TMNA concernant les blessures non intentionnelles et leurs sous-types, notamment les blessures liées aux chutes chez les aînés (65 ans et plus) et les blessures liées au transport, ainsi que le suicide chez les jeunes (15 à 24 ans), ce dernier étant considéré comme une forme de blessure intentionnelle. Nous avons étudié les disparités spatiales et les disparités selon le sexe et nous avons mesuré les disparités relatives et absolues entre les zones moins favorisées et les zones plus favorisées en fonction des quintiles de revenu, de scolarité, d’emploi, de défavorisation matérielle et de défavorisation sociale. Résultats Notre étude a mis en évidence d’importantes différences entre les sexes en matière de taux de mortalité attribuable au suicide chez les jeunes, à des blessures liées aux chutes chez les aînés et à des blessures liées au transport, les hommes affichant des taux de mortalité beaucoup plus élevés que les femmes. Nous avons également observé des variations spatiales notables dans les TMNA pour l’ensemble des blessures non intentionnelles à l’échelle de la province. En général, la population vivant dans des zones où les revenus étaient faibles et où la défavorisation matérielle était importante a affiché des taux de mortalité plus élevés que la population vivant dans des zones favorisées. Conclusion Le repérage de différences importantes dans les taux de mortalité liée à des blessures intentionnelles et non intentionnelles entre les sexes et en fonction du SSE ouvre des possibilités quant à l’élaboration de stratégies de prévention ciblées pour réduire ces disparités.
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Igartua, Karine J., and Richard Montoro. "Les minorités sexuelles : concepts, prémisses et structure d’une approche clinique adaptée." Santé mentale au Québec 40, no. 3 (January 29, 2016): 19–35. http://dx.doi.org/10.7202/1034909ar.

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Depuis la dépathologisation de l’homosexualité par les sociétés savantes en santé mentale, la formation des psychothérapeutes sur les minorités sexuelles comporte des lacunes. On préconise souvent de traiter les patients issus de ces minorités comme tous les autres. Or, le développement identitaire de ces personnes comporte des particularités qu’il est nécessaire de connaître pour adapter les évaluations et les interventions psychothérapeutiques comme il se doit. Le présent article propose un cadre théorique, des outils d’évaluation et des pistes thérapeutiques pour accompagner une personne issue d’une minorité sexuelle qui consulte un professionnel en santé mentale.Les concepts de non-binarité de genre, de construction sociale des rôles de genre, les dimensions distinctes de l’orientation sexuelle (attirance émotive, attirance physique, comportement et identité sexuelle), l’indépendance des attirances envers un sexe et envers l’autre, l’impact et les manifestations de l’homophobie ainsi que le processus identitaire sont décrits dans le présent article. Une attitude d’ouverture quant à la diaspora sexuelle est prônée afin d’accueillir le patient et de lui permettre une exploration ouverte dans un cadre thérapeutique sécurisant et sans danger.Les différentes facettes à explorer lors de l’évaluation de la sexualité sont énumérées. Des pistes de traitement psychoéducatif, cognitif et psychodynamique sont proposées, entre autres : déconstruire les mythes pour réduire l’homophobie ou la transphobie, panser les blessures narcissiques et relationnelles dues à l’homophobie, analyser le pour et le contre d’un mode de vie authentique, avec ou sans « sortie du placard » ou coming out.L’apport des interventions familiales et des thérapies de groupe est aussi exposé.
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Salvatori, Penny S. "Claire Lavin and Kenneth J. Doka. Older adults with developmental disabilities. Amityville, NY: Baywood Publishing, 1999." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 18, no. 1 (1999): 113–17. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800009673.

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Abstract:
RÉSUMÉLe livre traite des questions de vieillissement d'une nouvelle population de plus en plus importante de personnes âgées qui éprouvent des troubles développementaux. Il est un des rares ouvrages consacrés à ce sujet. S'inspirant de leurs connaissances en gérontologie et en éducation spécialisée, de leur expérience personnelle dans le domaine des troubles développementaux, d'entrevues avec des personnes âgées et de la recherche qui s'y rapporte, Lavin et Doka décrivent l'expérience de vie particulière de cette population en insistant davantage sur les ressemblances et les différences du processus de vieillissement par rapport à la population en général. Les besoins courants de ce groupe sont étudiés du point de vue philosophique, fonctionnel et juridique et des suggestions pratiques et des ressources en matière d'intervention sont données à l'intention des membres de la famille, des prestataires de services, des organismes et des entreprises de service. Des questions importantes, quoique souvent laissées de côté, comme la sexualité, le mariage, la réaction à un deuil ou une perte et la planification de la permanence, sont abordées ici. Les auteurs ne se contentent pas de décrire les changements de politiques et les modifications des programmes qui ont eu lieu mais traitent également des lacunes et des obstacles actuels qui continuent de nuire à la prestation efficace et à la collaboration entre les différents systèmes (c.-à-d. les services aux aînés, les services de santé mentale et reliés aux troubles développementaux). Ce livre devrait intéresser les prestataires de services et les membres des familles des personnes âgées qui éprouvent des troubles développementaux ainsi que les étudiants en sciences de la santé, en gérontologie et en andragogie. Bien que le contenu présente un point de vue américain, il devrait également intéresser les Canadiens puisqu'on peut en tirer de nombreux parallèles.
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Montoro, Richard, Brett Thombs, and Karine J. Igartua. "L’association des dimensions de l’orientation sexuelle, du harcèlement et du suicide : quelles minorités sexuelles sont les plus à risque ?" Santé mentale au Québec 40, no. 3 (January 29, 2016): 55–75. http://dx.doi.org/10.7202/1034911ar.

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Abstract:
Le but de cette étude était de comparer l’association de l’intimidation avec l’idée suicidaire, la planification et la tentative de suicide, chez les élèves hétérosexuels sans attirance ou comportement envers le même sexe, les élèves hétérosexuels avec attirance ou comportement envers le même sexe et les élèves non hétérosexuels. Un total de 1852 élèves âgés de 14 à 18 ans, de 14 écoles publiques et privées de Montréal ont été interrogés anonymement. Les éléments du sondage ont évalué les dimensions de l’orientation sexuelle, les comportements à risque pour la santé, le harcèlement et les paramètres de suicide. En analyse multivariée, le groupe de référence était les élèves hétérosexuels sans attirance ou comportement envers le même sexe et n’ayant subi aucune intimidation. Lorsque les élèves avaient été victimes d’intimidation, ils étaient plus susceptibles d’avoir des idées suicidaires (rapport des chances [RC] = 2,11, intervalle de confiance [IC] 95 % = 1,52 à 2,92), mais pas plus susceptibles d’avoir eu des tentatives de suicide. Les élèves non hétérosexuels étaient deux fois plus susceptibles d’avoir des idées suicidaires lorsque non victimes d’intimidation (RC = 2,35, IC 95 % = 1,24 à 4,48) et quatre fois plus susceptibles lorsque qu’il y avait eu intimidation (RC = 4,44, IC 95 % = 2,26 à 8,72). De même pour les tentatives de suicide, elles n’étaient pas à risque accru sans intimidation, mais elles étaient presque trois fois plus nombreuses lorsqu’il y avait intimidation (RC = 2,87, IC 95 % = 1,43 à 5,78). La principale conclusion de cette étude est que la différence de risque suicidaire entre les élèves victimes et non victimes d’intimidation était de loin la plus grande chez les élèves ayant une identité non hétérosexuelle.
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Feely, Allison, Lisa M. Lix, and Kim Reimer. "Estimation de la prévalence de la multimorbidité au moyen du Système canadien de surveillance des maladies chroniques." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 37, no. 7 (July 2017): 235–43. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.37.7.02f.

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Introduction Le Système canadien de surveillance des maladies chroniques (SCSMC) de l’Agence de la santé publique du Canada utilise une méthode validée et normalisée pour estimer la prévalence des maladies chroniques, par exemple le diabète. L’élargissement de la portée du SCSMC pour inclure la surveillance de la multimorbidité et de la présence concomitante de deux maladies chroniques ou plus pourrait mieux guider la promotion de la santé et la prévention des maladies. L’objectif de notre étude était de déterminer s’il était possible de recourir au SCSMC pour estimer la prévalence de la multimorbidité. Méthodologie Nous avons utilisé les données administratives sur la santé de sept provinces et de trois territoires portant sur cinq affections chroniques validées (maladies cardiovasculaires, maladies respiratoires, maladies mentales, hypertension et diabète) pour estimer la prévalence de la multimorbidité. Nous avons produit des estimations normalisées selon l'âge et spécifiques selon l’âge (à l’aide des données démographiques canadiennes de 1991) pour deux définitions de la multimorbidité, soit deux affections ou plus ou trois affections ou plus sur les cinq affections validées, selon le sexe, la période et la zone géographique. Résultats Au cours de l’exercice 2011-2012, la prévalence d’au moins deux et d'au moins trois affections chroniques chez les Canadiens de 40 ans ou plus se situait à respectivement 26,5 % et 10,2 %, ce qui est comparable à d’autres estimations faites à partir des données administratives sur la santé. L'augmentation de la prévalence de la multimorbidité avec l’âge était similaire dans toutes les provinces. Les différences de prévalence entre hommes et femmes variaient selon les provinces et territoires. Nous avons également observé une variation importante des estimations au fil des années. Les résultats obtenus étaient comparables pour les deux définitions de la multimorbidité. Conclusion La méthodologie du SCSMC permet de produire des estimations comparatives de la prévalence de la multimorbidité dans l’ensemble des provinces et des territoires, mais son utilisation pour estimer les variations temporelles pose des difficultés. L'augmentation du nombre et de la portée des définitions de cas validées dans le SCSMC permettra d’améliorer l’exactitude de la surveillance de la multimorbidité auprès de la population canadienne.
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Oppetit-Roger, A., J. Bourgin, and M. O. Krebs. "Pathologies émergentes du jeune adulte et de l’adolescent : comment les sujets accèdent-ils aux soins ?" European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S131. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.256.

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Abstract:
ContexteDans la majorité des cas, la schizophrénie est précédée par des symptômes prodromiques à l’adolescence ou au début de l’âge adulte. Le bénéfice des centres de détection et d’intervention précoces destinés aux sujets présentant ces prodromes est aujourd’hui établi. À partir des données recueillies au C’JAAD, le centre pilote français, l’objectif de notre travail est de comprendre comment les sujets parviennent jusqu’à ce type de structures.Matériel et méthodesLa recherche par les méthodes mixtes, courant méthodologique en plein essor, est particulièrement adaptée à notre problématique complexe. Nous avons intégré l’analyse quantitative de données issues de questionnaires remplis par les jeunes se présentant au C’JAAD et l’analyse qualitative d’entretiens.RésultatsAu total, 330 questionnaires et 8 entretiens ont été analysés. Il apparaît que l’accès aux soins est dépendant de nombreux déterminants. Les symptômes eux-mêmes, le modèle explicatif des troubles que le jeune retient, le sexe, la présence d’antécédents psychiatriques familiaux, le parcours scolaire, la dimension culturelle influencent la trajectoire de soins. Par ailleurs, l’entourage des sujets détient un rôle majeur. Parfois porteur de conduites stigmatisantes, l’entourage constitue le plus souvent un soutien important et ouvre la porte d’entrée vers les soins. Enfin, le degré de communication entre les différents professionnels de santé et le niveau de connaissance des intervenants sont déterminants dans le processus d’accès aux soins.DiscussionFavoriser l’accès aux soins des jeunes qui présentent une symptomatologie prodromique est primordial : on se situe à une période où les enjeux pour le futur sont majeurs. À notre connaissance, notre étude est la première à utiliser les méthodes mixtes pour explorer cette problématique. Toutefois, les données sont recueillies de manière rétrospective ce qui peut induire un biais de mémorisation. La lutte contre la stigmatisation, l’information du grand public et des professionnels doivent être une priorité pour favoriser cet accès aux soins.
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Popovic, Nashira, Qiuying Yang, and Chris Archibald. "Tendances d’utilisation de la prophylaxie pré-exposition pour le VIH dans huit provinces canadiennes, 2014 à 2018." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 56 (June 9, 2021): 275–83. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i56a02f.

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Contexte : Le Canada a approuvé les objectifs mondiaux du Programme commun des Nations Unies sur le VIH et le Sida visant à mettre fin à l’épidémie du syndrome d’immunodéficience acquise (sida), notamment en réduisant à zéro les nouvelles infections par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) d’ici à 2030. Compte tenu de l’efficacité de la prophylaxie pré-exposition (PPrE) pour prévenir les nouvelles infections, il est important de mesurer et de rendre compte de l’utilisation de la PPrE afin de contribuer à la planification des programmes et des politiques de prévention du VIH. Méthodes : Les estimations annuelles des personnes utilisant de la PPrE au Canada ont été générées pour la période de 2014 à 2018 à partir de l’ensemble de données géographiques de surveillance des ordonnances d’IQVIA. On a utilisé un algorithme pour distinguer les utilisateurs de fumarate de ténofovir disoproxil/emtricitabine (TDF/FTC) pour la PPrE de ceux qui l’utilisent dans le cadre d’un traitement ou de la prophylaxie post-exposition. Nous fournissons le nombre estimé de personnes qui utilisent la PPrE dans huit provinces canadiennes par sexe, groupe d’âge, spécialité du médecin prescripteur et type de paiement. Résultats : Le nombre estimé d’utilisateurs de PPrE a augmenté de façon spectaculaire au cours de la période d’étude de cinq ans : il est multiplié par 21, passant de 460 en 2014 à 9 657 en 2018. La prévalence estimée de la PPrE était de 416 utilisateurs par million de personnes dans les huit provinces en 2018. Presque tous les utilisateurs de PPrE étaient des hommes. L’utilisation a augmenté chez les deux sexes, mais l’augmentation a été plus importante chez les hommes (par 23 fois) que chez les femmes (par 5 fois). L’utilisation a augmenté dans toutes les provinces, bien qu’il y ait des différences entre les provinces relativement à la prévalence de l’utilisation, à la répartition par âge et aux types de médecins prescripteurs. Conclusion : L’utilisation de la PPrE au Canada a augmenté entre 2014 et 2018, ce qui témoigne d’une meilleure connaissance et d’une plus grande adhésion à son utilisation pour prévenir la transmission du VIH. Elle est toutefois inégale en fonction de l’âge, du sexe et de la géographie. Puisque les nouvelles infections au VIH continuent de se produire au Canada, il sera important d’affiner l’utilisation de la PPrE, car les populations à risque plus élevé d’infection au VIH doivent se voir offrir la PPrE dans le cadre de soins de santé sexuelle complets.
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King, Suzanne, Ronald G. Barr, Alain Brunet, Jean-François Saucier, Michael Meaney, Shannon Woo, and Cheryl Chanson. "La tempête de verglas : une occasion d’étudier les effets du stress prénatal chez l’enfant et la mère." Santé mentale au Québec 25, no. 1 (June 5, 2006): 163–85. http://dx.doi.org/10.7202/013029ar.

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Résumé Depuis plusieurs années, des études ont démontré que les événements stressants pendant la grossesse affectent le niveau de développement neurologique, de même que le fonctionnement cognitif et psychologique ultérieurs de l'enfant. Par exemple, Mednick (1997) a examiné l'impact d'un important séisme survenu en Chine sur le développement intellectuel et psychologique d'enfants à naître. Vingt-trois ans plus tard, des différences significatives dans le fonctionnement intellectuel, la dépression et la taille de certaines régions du cerveau ont été constatées chez ce groupe en comparaison aux enfants du groupe témoin. Des événements de moindre envergure, tels un divorce ou la perte d'emploi durant la grossesse, peuvent également augmenter l'incidence des complications obstétricales et avoir un impact sur le fonctionnement neurologique du bébé, son poids à la naissance et la circonférence de sa tête. Le décès du père ou l'exposition à un désastre naturel durant la grossesse ont été associés à la dépression, à la schizophrénie et à la criminalité à l'âge adulte. Divers effets adverses reliés aux événements stressants ont aussi été notés chez les primates. L'ensemble de ces études suggèrent que le second trimestre de la grossesse constitue une période critique pendant laquelle les événements stressants peuvent affecter le développement du foetus. Des contraintes méthodologiques nuisent actuellement à la recherche sur le stress prénatal maternel. Les études sur des animaux offrent d'excellents contrôles des environnements prénatal et postnatal. Cependant, les résultats de ces études sont difficilement applicables à l'humain à cause de la présence chez ce dernier, de nombreux facteurs de risque ou de protection absents chez les animaux. De plus, on ne peut assigner les stresseurs de façon aléatoire, dans les études sur les effets des événements de vie pendant la grossesse humaine. En effet, les traits de personnalité de la mère peuvent être transmis certes génétiquement mais également au niveau du développement. Par ailleurs, les enfants d'une mère avec de telles difficultés de personnalité sont exposés à plus d'événements de vie prénatale. D'autre part, la majorité des études sur l'humain ont une variance restreinte car il faut un très vaste échantillon de femmes enceintes pour garantir un nombre suffisant de sujets ayant vécu des événements de vie majeurs. Finalement, les études rétrospectives démontrant un lien entre un risque élevé de schizophrénie ou de dépression et des événements prénataux n'incluent pas de mesures prises sur le champ de la gravité objective ou de la manifestation biologique du stress. Nous présentons ici une revue de littérature portant sur le stress prénatal suivie d'une discussion sur comment la tempête de verglas de 1998 pourrait être utilisée pour faire la lumière sur des questions telles que les mécanismes par lesquels le stress prénatal exerce une influence sur la santé mentale du foetus.
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Van der Maas, Mark, Robert E. Mann, Nigel E. Turner, Flora I. Matheson, Hayley A. Hamilton, and John McCready. "The prevalence of problem gambling and gambling-related behaviours among older adults in Ontario." Journal of Gambling Issues, no. 39 (September 27, 2018). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2018.39.3.

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Abstract:
As the proportion of Canadians over the age of 55 continues to rise, it accordingly becomes increasingly important to understand the implications that their leisure activities have for their physical and mental health. Gambling is a form of leisure that presents relatively high risk for its participants and remains a popular leisure pursuit among older adults. The current study uses a representative survey of 2,187 adults over the age of 55 in Ontario to explore problem gambling and gambling-related behaviours among older adults. The findings show that 1.8% of the population over the age 55 were classified as experiencing moderate-to-severe problem gambling. While differences across sex were observed in types of gambling, attitudes towards gambling, and frequency of gambling, no significance difference in problem gambling was observed. Findings are discussed in relation to previous findings on older adults’ gambling patterns and their implications for mental, physical and financial well-being.RésuméAvec la constante augmentation de la proportion de Canadiens âgés de plus de 55 ans, il devient de plus en plus important de comprendre les répercussions qu’ont leurs activités de loisir sur leur santé physique et mentale. Le jeu est une forme de loisir qui présente un risque relativement élevé chez les personnes qui s’y adonnent et demeure un loisir populaire chez les personnes plus âgées. L’étude en question a utilisé un sondage représentatif auprès de 2187 adultes âgés de plus de 55 ans en Ontario pour explorer le jeu problématique et les comportements liés au jeu chez les personnes plus âgées. Les résultats montrent que 1,8 % de la population âgée de plus de 55 ans a été classée comme ayant un problème de jeu, de modéré à grave. Bien que des différences entre les sexes aient été observées dans les types de jeu, les attitudes à l’égard du jeu et la fréquence, aucune différence significative n’a été observée dans le jeu problématique. Les résultats sont examinés en lien avec des conclusions antérieures sur les habitudes de jeu des personnes plus âgées et leurs répercussions sur le bien-être mental, physique et financier.
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Thompson, Kara, Daniel J. Dutton, Kathleen MacNabb, Tong Liu, Sarah Blades, and Mark Asbridge. "Modifications de la consommation d’alcool pendant la pandémie de COVID 19 : exploration des différences selon le genre et du rôle de la détresse émotionnelle." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 41, no. 9 (June 2021). http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.41.9.02f.

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Introduction Les restrictions liées à la pandémie de COVID 19 ont eu des effets pervers importants sur les habitudes de consommation d’alcool des Canadiens, en particulier l’émergence d’une plus grande détresse émotionnelle et ses répercussions potentielles sur la consommation d’alcool. Cette étude examine : 1) les modifications de la consommation d’alcool des adultes pendant la pandémie de COVID 19 au Nouveau Brunswick et en Nouvelle Écosse, 2) si le fait de boire de l’alcool plus fréquemment pendant la pandémie est associé à des ressentis accrus de stress, de solitude et de désespoir et 3) si le genre a un effet modérateur sur cette relation. Méthodes Les participants ont été sélectionnés à partir d’une enquête transversale menée auprès de 2 000 adultes. Des modèles de régression multinomiale ajustés ont été utilisés pour évaluer l’association entre la fréquence de consommation d’alcool et l’augmentation des ressentis de stress, de solitude et de désespoir. Des analyses supplémentaires ont été stratifiées selon le genre. Résultats Environ 12 % des répondants ont déclaré avoir bu de l’alccol plus fréquemment après le début de la pandémie de COVID 19, et 25 à 40 % ont fait état d’une augmentation de leur détresse émotionnelle. L’augmentation des ressentis de stress (rapport de cotes [RC] = 1,99; intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,35 à 2,93), de solitude (RC = 1,79; IC à 95 % : 1,22 à 2,61) et de désespoir (RC = 1,98; IC à 95 % : 1,21 à 3,23) était associée à une consommation d’alcool plus fréquente pendant la pandémie. Quoique les femmes interrogées aient signalé des taux supérieurs de détresse émotionnelle, les associations avec une augmentation de la fréquence de consommation d’alcool n’étaient significatives que chez les hommes dans les analyses stratifiées selon le genre. Conclusion Si les individus ayant fait état de ressentis accrus de stress, de solitude et de désespoir pendant la pandémie de COVID 19 étaient plus nombreux à déclarer une fréquence accrue de consommation d’alcool, ces associations n’étaient significatives que pour les hommes dans les analyses stratifiées. Comprendre comment la pandémie a eu une influence sur la santé mentale et à la consommation d’alcool peut éclairer les politiques de contrôle de l’alcool et les interventions en santé publique visant à limiter les méfaits de l’alcool.
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Baurin, Arno, and Jean Hindriks. "Numéro 151 - octobre 2019." Regards économiques, October 22, 2019. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2019.10.22.01.

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Abstract:
Une opinion publique favorableLes décisions d’augmenter l’âge légal à la pension et de «durcir» les conditions de carrière et d’âge pour accéder à la pension anticipée ont remis au centre de la concertation sociale la question de la pénibilité des métiers. Des sondages révèlent que plus de 80 % de la population est favorable à la prise en compte de la pénibilité dans la détermination des conditions d’accès à la pension. La question se pose alors de savoir comment identifier les métiers pénibles. C’est difficile mais ce n’est pas impossible. Quels critères utiliser ?Si l’on regarde les autres pays européens, on doit admettre que la liste des métiers pénibles est parfois folklorique : les toreros en Espagne, les danseurs (sirtaki) en Grèce ou les musiciens jouant d’instrument à vent en Pologne. En Belgique, le rapport des conciliateurs Soete et de Callataÿ mentionne que les partenaires sociaux s’accordent sur le fait que «les éléments de pénibilité doivent être établis de façon objective, mesurable, contrôlable et facilement enregistrable».Deux approches distinctes peuvent être utilisées : une approche (directe) basée sur les conditions de travail, et une approche (indirecte) basée sur l’impact du métier sur la santé et la mortalité. La pénibilité sur base des conditions travailL’approche directe des conditions de travail est la voie qui avait été suivie par le gouvernement Michel Ier. Quatre critères avaient été définis par les partenaires sociaux : le travail physique lourd, l’organisation du travail pesante (en équipe, travail de nuit), les risques pour la sécurité accrus et la charge mentale et émotionnelle. Il avait été établi que si la profession répondait à un (resp., deux, trois) de ces critères, la durée de carrière requise pour une pension anticipée serait réduite de 5 % (resp. 10 %, 15 %). Cette réforme est aujourd’hui dans une impasse.Cette approche est selon nous inadéquate et mène à des discussions sans fin sur la pondération entre les différents critères.Nous proposons donc l’approche indirecte qui offre un raccourci en se limitant à objectiver l’impact du métier sur la santé. Juger de la pénibilité d’un métier sans regarder son incidence sur la santé c’est comme juger de la qualité d’un plat sans le goûter. La pénibilité sur base de la mortalitéNotre premier indicateur consiste à identifier les emplois avec un risque de mortalité élevé. Concrètement, nous utilisons une base de données américaine qui comporte 1.835.072 individus et renseigne leurs niveaux de salaire, d’études ainsi que leurs professions au moment de l’enquête, rassemblées en 91 «groupes de métiers». Ces personnes sont suivies durant 11 années afin de répertorier leurs (éventuelles) dates de décès. Nous observons 160.750 décès, ce qui signifie que91,24 % des individus sont encore en vie à la fin du suivi. Nos résultats montrent qu’il existe un différentiel substantiel de longévité entre différents métiers à âge équivalent. Par exemple, si l’on considère l’espérance de vie d’un homme à 25 ans, nos résultats révèlent que les serveurs, les infirmiers, les militaires ou les métallurgistes ont une longévité sensiblement plus faible (7 ans de moins) que les enseignants, les ingénieurs ou les architectes. On pourrait penser que ce résultat est lié aux différences de revenus ou de genre. Mais si l’on tient compte de ces différences entre métiers nous obtenons une même hiérarchie avec le métier d’enseignant dont la pénibilité relative n’est pas avérée. La pénibilité sur base de la santéL’espérance de vie n’est pas suffisante pour évaluer la pénibilité; car l’espérance de vie en bonne santé (morbidité) est aussi importante. Cependant, contrairement à la mortalité, celle-ci est plus difficile à appréhender. Nous utilisons dans notre analyse la santé autoévaluée (SAE) qui se base sur la question «Comment évaluez-vous votre santé ?» sur une échelle comportant 5 réponses (très bonne, bonne, moyenne, mauvaise et très mauvaise). Nous utilisons une base de donnée européenne qui contient 43.850 individus, avec leur métier, leur niveau d’études, leur salaire et leur SAE. Nous estimons la probabilité de se déclarer en bonne/très bonne santé pour un métier donné (par rapport à une profession de référence), en tenant compte de l’effet sur la santé d’autres facteurs comme le genre, l’âge, le niveau d’études, le salaire et le statut d’indépendant. Nos résultats révèlent par exemple que par rapport aux enseignants, les agriculteurs ou travailleurs du bâtiment ont 41 % moins de chances de se déclarer en bonne santé, les métallurgistes ou techniciens de surface 35% moins de chances, et les policiers ou services de protection 20 % moins de chances.Il convient de préciser que nos résultats sont partiels car faute de données plus exhaustives et détaillées nous ne pouvons distinguer la pénibilité de certains métiers. Nos résultats sont aussi basés sur des données américaines et européennes car nous n’avons pu, à ce stade, nous procurer les données belges. C’est donc un appel à la poursuite de cette analyse de la pénibilité basée sur des données belges de santé et de mortalité. En Belgique les données nécessaires à cette analyse existent via la Banque Carrefour de la Sécurité Sociale. Il faut aussi préciser que la pénibilité varie dans le temps et l’espace et que les indicateurs de pénibilité doivent être recalculés selon la situation et l’époque dans lesquelles ils sont utilisés. Etre policier en période d’alerte terroriste ne présente pas le même risque qu’être policier en temps normal.
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Biegun, Jeffery, Jason D. Edgerton, and Matthew T. Keough. "Are Some Subtypes of Video Gamer More at Risk for Gambling Issues? A Latent Class Analysis of a Canadian Sample of University Students." Journal of Gambling Issues 46 (February 18, 2021). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2021.46.11.

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Abstract:
Recently there has been growing interest in identifying links between video game playing and problem gambling. As video games continue to take on more gambling-like elements such as loot boxes, there is rising concern that they represent a potential pathway towards problem gambling. In this study, we explored video gamer profiles in a sample of Canadian undergraduate university students (n = 687) to examine whether subgroups of gamers had different risk profiles for problem video gaming and/or problem gambling. Three predominant subgroups emerged: universal, free-to-play, and general gamer classes. Whereas the free-to-play class was associated with higher average amounts of time spent playing video games, the universal class was associated with higher average scores on measures of problem video gaming, problem gambling, and impulsivity. Although motivational differences were evident, there were no significant mental health differences among subgroups in this sample.RésuméOn s’intéresse de plus en plus depuis peu de temps à l’établissement de liens entre la pratique des jeux vidéo et le jeu compulsif. À mesure que les jeux vidéo comportent davantage d’éléments de jeux de hasard comme des coffres à butin, on s’inquiète davantage du fait qu’ils puissent mener au jeu compulsif. Cette étude a examiné le profil de joueurs de jeux vidéo parmi un échantillon d’étudiants canadiens de premier cycle (n = 687) afin de déterminer si les sous-groupes de joueurs présentaient un profil de risque différent pour le jeu vidéo compulsif et/ou le jeu compulsif. Trois sous-groupes prédominants sont ressortis : universel, gratuit et général. Le groupe des jeux gratuits était associé à une plus grande quantité de temps consacrée à jouer à des jeux vidéo, le groupe universel était associé pour sa part à un pointage moyen plus élevé au titre des paramètres de mesure du jeu vidéo compulsif, du jeu compulsif et de l’impulsivité. Les différences de motivation étaient évidentes, mais les sous-groupes de cet échantillon ne présentaient aucune différence importante sur le plan de la santé mentale.
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Poulain, Michel, Luc Dal, and Anne Herm. "Mortality risk by living arrangements for the elderly Belgian population." Revue Quetelet/Quetelet Journal 4, no. 1 (March 13, 2017). http://dx.doi.org/10.14428/rqj2016.04.01.02.

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Abstract:
RésuméObjectifs : Le risque de décéder aux âges élevés est associé avec l’état matrimonial, mais également avec la situation de ménage de la personne considérée (avec qui une personne vit). Cette étude analyse comment l’association entre situation de ménage et risque de décéder varie en fonction de l’âge et du sexe. Données et méthodes : Nous utilisons des données extraites du Registre national belge concernant la situation de ménage de plus de 3 millions de personnes âgées de 60 ans et plus, ob-servées du 1er janvier 1991 au 31 décembre 2010. Tout d’abord nous calculons et comparons les probabilités annuelles de décéder pour les personnes selon les différentes situations de ménage. Ensuite nous construisons des tables de mortalité mul-ti-états en utilisant les probabilités annuelles de transition entre différentes situations de ménage et ce, afin de reconstituer les trajectoires de situation de ménage. Résultats : Nos résultats confirment l’effet protectif associé au fait de vivre en couple marié, mais ils montrent également que vivre seul aux âges plus élevés devient favo-rable à la survie. Un croisement apparaît entre les risques de décéder de ceux vivant seuls et ceux vivant avec d’autres personnes, mais pas avec leur conjoint. Toutefois de fortes différences ressortent selon le sexe. Enfin vivre en ménage collectif est largement défavorable pour la survie par comparaison à tous les types de ménages privés et ce, pour les deux sexes. Discussion : La façon dont le risque de décéder varie selon la situation de ménage est différente selon le sexe et diminue avec l’âge de fa-çon relative. Parmi d’autres explications, le rôle sélectif de l’état de santé est majeur, tout comme le soutien du conjoint qui est, dans la plupart des cas, le premier donneur de soin. Selon cette perspective, la différence d’espérance de vie en santé entre hommes et femmes et la différence d’âges entre conjoints pourraient contribuer à expliquer les différences du risque de décéder selon la situation de ménage entre les hommes et les femmes. Nos résultats sont importants dans le cadre des politiques sociales relatives aux personnes âgées et plus particulièrement pour l’évaluation des besoins futurs de nos populations vieillissantes.AbstractObjectives: Mortality risk in old age is associated with both marital status and living arrangements (with whom a person is living). This study analyses how the association between living arrangements and mortality risk varies by age and gender. Data and methods: We use a dataset extracted from the Belgian national register for the population aged 60 years and over, from 1 January 1991 to 31 December 2010, that includes more than three million persons and describes their living arrangements. First we compute and compare single-year probabilities of death for each living arrangement. Then, in order to recompose the living arrangement trajectories, we construct multistate life tables using annual probabilities of the transitions between successive living arrangements. Results: Our results confirm the protective effect of living with a spouse, and also show that at older ages living alone becomes advantageous. A crossover occurs in the mortality risks of those living alone and those living with others (not with a spouse), but large differences appear between the genders. Institutional living arrangements are largely detrimental for survival compared with private living arrangements for both genders. Discussion: The variation of mortality risk by living arrangements is gender-specific and decreases by age in relative terms. Among possible explanations, the selective role of health is paramount, as well as the presence of a spouse, who is the primary caregiver in most cases. According to this perspective, the gender gap in healthy life expectancy and the age difference between spouses contribute to explaining the gender differences. Our findings are highly relevant to social policies and the social discourse pertaining to the future needs of the elderly within the context of population ageing.
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