Academic literature on the topic 'Satellites artificiels en recherche géographique'

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Journal articles on the topic "Satellites artificiels en recherche géographique"

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Thior, Mamadou. "Géomatique appliquée à la géomorphologie littorale : Contribution à la connaissance théorique des techniques d’analyse spatiale de l’évolution du linéaire côtier." European Scientific Journal, ESJ 17, no. 28 (August 31, 2021): 101. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2021.v17n28p101.

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Abstract:
L’analyse de l’évolution du trait de côte en cinématique du littoral exige tout d’abord le choix d’un indicateur linéaire. En effet, il existe plus d’une douzaine de lignes de référence matérialisant la position du trait de côte. Cette diversité d’indicateurs induit la recherche et la mise au point de nombreuses méthodes pour détecter, extraire et suivre la mobilité du trait de côte. Ces approches méthodologiques reposent sur la compilation et la comparaison de données acquises, soit sur le terrain par des instruments de topométrie (niveau de chantier, théodolite, tachéomètre électronique, lidar, récepteur DGPS, etc.), soit en laboratoire par le traitement numérique d’images satellites ou aériennes. Le but de ce travail est de contribuer à une meilleure connaissance de l’approche cartographique et statistique qui permet de calculer les taux de variation historique du trait de côte à travers les outils la géomatique: Télédétéction et Système d’Information Géographique (SIG). La technique faisant l’objet d’étude dans cette approche est une méthode statistique d’extrapolation et de calcul de tendances basée sur le traitement des images géospatiales. Dans un cadre théorique, le sujet discute la définition de la ligne de référence, du protocole méthodologique de son extraction et de la cartographie de l’évolution du trait de côte du littoral. The analysis of coastline evolution in coastal kinematics requires first of all the choice of a linear indicator. Indeed, there are more than a dozen reference lines materializing the position of the coastline. This diversity of indicators leads to the research and development of numerous methods to detect, extract and monitor coastline mobility. These methodological approaches are based on the compilation and comparison of data acquired either in the field by topometry instruments (site level, theodolite, electronic tacheometer, lidar, DGPS receiver, etc.) or in the laboratory by digital processing of satellite or aerial images. The aim of this work is to contribute to a better knowledge of the cartographic and statistical approach that allows the calculation of historical coastline variation rates through geomatics tools: Remote sensing and GIS. The technique studied in this approach is a statistical method of extrapolation and calculation of trends based on the processing of geospatial images. In a theoretical framework, the subject discusses the definition of the reference line, the methodological protocol of its extraction and the mapping of the coastline evolution.
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Kilani, Mondher. "Culture." Anthropen, 2019. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.121.

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Abstract:
La culture, mot ancien, a une longue histoire et pour les anthropologues, qui n’ont pas envie de l’abandonner, elle garde tout son potentiel heuristique. Du verbe latin colere (cultiver, habiter, coloniser), la culture a immédiatement montré une remarquable versatilité sémantique. Comme Cicéron (106-43 av. J.-C.) l’avait dit, il n’y a pas seulement la culture des champs, il y a aussi la cultura animi : c’est-à-dire la philosophie. Cultura animi est une expression que l’on retrouve également au début de la modernité, chez le philosophe anglais Francis Bacon (1561-1626). Elle devient ensuite « culture de la raison » chez René Descartes (1596-1650) et chez Emmanuel Kant (1724-1804). Mais au XVIIIe siècle, nous assistons à un autre passage, lorsque la culture, en plus des champs, de l’âme et de la raison humaine, commence à s’appliquer également aux coutumes, aux mœurs, aux usages sociaux, comme cela est parfaitement clair chez des auteurs tels que François-Marie Arouet, dit Voltaire (1694-1778), et Johann Gottfried Herder (1744-1803). Nous pourrions nous demander pourquoi ces auteurs ne se sont pas contentés de continuer à utiliser les termes désormais testés de coutumes et de mœurs. Pourquoi ont-ils voulu ajouter la notion de culture? Qu’est-ce que cette notion offrait de plus? Autrement dit, quelle est la différence entre culture et coutume? Dans l’usage de Voltaire et de Herder, la culture est presque toujours singulière, alors que les coutumes sont très souvent plurielles. La culture a donc pour effet d’unifier les coutumes dans un concept unique, en surmontant leur pluralité désordonnée et désorientante : les coutumes sont nombreuses, variables, souvent divergentes et contradictoires (les coutumes d’une population ou d’une période historique s’opposent aux coutumes d’autres sociétés et d’autres périodes), alors que la culture désigne une capacité, une dimension, un niveau unificateur. Dans son Essai sur les mœurs (1756), Voltaire a clairement distingué le plan de la « nature », dont dépend l’unité du genre humain, de celui de la « culture », où les coutumes sont produites avec toute leur variété : « ainsi le fonds est partout le même », tandis que « la culture produit des fruits divers », et les fruits sont précisément les coutumes. Comme on peut le constater, il ne s’agit pas uniquement d’opposer l’uniformité d’une part (la nature) et l’hétérogénéité d’autre part (les coutumes). En regroupant les coutumes, Voltaire suggère également une relation selon laquelle le « fonds » est le terrain biologique, celui de la nature humaine, tandis que la culture indique le traitement de ce terrain et, en même temps, les fruits qui en découlent. Tant qu’on ne parle que de coutumes, on se contente de constater la pluralité et l’hétérogénéité des « fruits ». En introduisant le terme culture, ces fruits sont rassemblés dans une catégorie qui les inclut tous et qui contribue à leur donner un sens, bien au-delà de leur apparente étrangeté et bizarrerie : bien qu’étranges et bizarres, ils sont en réalité le produit d’une activité appliquée au terrain commun à toutes les sociétés humaines. Partout, les êtres humains travaillent et transforment l’environnement dans lequel ils vivent, mais ils travaillent, transforment et cultivent aussi la nature dont ils sont faits. Appliquée aux coutumes, la culture est donc à la fois ce travail continu et les produits qui en découlent. En d’autres termes, nous ne pouvons plus nous contenter d’être frappés par l’étrangeté des coutumes et les attribuer à une condition d’ignorance et aux superstitions : si les coutumes sont une culture, elles doivent être rapportées à un travail effectué partout, mais dont les résultats sont sans aucun doute étranges et hétérogènes. Il s’agit en tout cas d’un travail auquel chaque société est dédiée dans n’importe quel coin du monde. Nous ne voulons pas proposer ici une histoire du concept de culture. Mais après avoir mentionné l’innovation du concept de culture datant du XVIIIe siècle – c’est-à-dire le passage du sens philosophique (cultura animi ou culture de la raison) à un sens anthropologique (coutumes en tant que culture) –, on ne peut oublier que quelques décennies après l’Essai sur les mœurs (1756) de Voltaire, Johann Gottfried Herder, dans son Ideen zur Philosophie der Geschichte der Menschheit (1784-1791), fournit une définition de la culture digne d’être valorisée et soutenue par l’anthropologie deux siècles plus tard. Herder ne se limite pas à étendre la culture (Kultur) bien au-delà de l’Europe des Lumières, au-delà des sociétés de l’écriture (même les habitants de la Terre de Feu « ont des langages et des concepts, des techniques et des arts qu’ils ont appris, comme nous les avons appris nous-mêmes et, par conséquent, eux aussi sont vraiment inculturés »), mais il cherche le sens profond du travail incessant de la Kultur (1991). Pourquoi, partout, aux quatre coins du monde, les humains se consacrent-ils constamment à la formation de leur corps et de leur esprit (Bildung)? La réponse de Herder est dans le concept de l’homme en tant qu’être biologiquement défectueux (Mängelwesen), en tant qu’être qui a besoin de la culture pour se compléter : le but de la culture est précisément de fournir, selon différentes conditions historiques, géographiques et sociales, une quelque forme d’humanité. Selon Herder, la culture est « cette seconde genèse de l’homme qui dure toute sa vie » (1991). La culture est la somme des tentatives, des efforts et des moyens par lesquels les êtres humains « de toutes les conditions et de toutes les sociétés », s’efforcent d’imaginer et de construire leur propre humanité, de quelque manière qu’elle soit comprise (1991). La culture est l’activité anthropo-poïétique continue à laquelle les êtres humains ne peuvent échapper. Tel est, par exemple, le propre du rituel qui réalise la deuxième naissance, la véritable, celle de l’acteur/actrice social/e, comme dans les rites d’initiation ou la construction des rapports sociaux de sexe. La culture correspond aux formes d’humanité que les acteurs sociaux ne cessent de produire. Le but que Herder pensait poursuivre était de rassembler les différentes formes d’humanité en une seule connaissance généralisante, une « chaîne de cultures » qui, du coin du monde qu’est l’Europe des Lumières « s’étend jusqu’au bout de la terre » (1991). On peut soutenir que dans les quelques décennies de la seconde moitié du XVIIIe siècle, on avait déjà posé les bases d’un type de connaissance auquel on allait donner plus tard le nom d’anthropologie culturelle. Parmi ces prémisses, il y avait le nouveau sens du terme culture. Cependant, il faut attendre plus d’un siècle pour que ceux qui allaient être appelés anthropologues reprennent ce concept et en fassent le fondement d’une nouvelle science. La « science de la culture » est en fait le titre du chapitre I de Primitive Culture (1871) d’Edward Burnett Tylor, chapitre qui commence par la définition de la culture connue de tous les anthropologues : « Le mot culture ou civilisation, pris dans son sens ethnographique le plus étendu, désigne ce tout complexe comprenant à la fois les sciences, les croyances, les arts, la morale, les lois, les coutumes et les autres facultés et habitudes acquises par l’homme dans l’état social (Tylor1920). » Dans cette définition, les points suivants peuvent être soulignés : premièrement, la culture est un instrument qui s’applique de manière ethnographique à toute société humaine; deuxièmement, elle intègre une pluralité d’aspects, y compris les coutumes, de manière à former un « ensemble complexe »; troisièmement, les contenus de cet ensemble sont acquis non par des moyens naturels, mais par des relations sociales. Dans cette définition, la distinction – déjà présente chez Voltaire – entre le plan de la nature et le plan de la culture est implicite; mais à présent, le regard se porte avant tout sur la structure interne de la culture, sur les éléments qui la composent et sur la nécessité d’ancrer la culture, détachée de la nature, au niveau de la société. Il initie un processus de formation et de définition d’un savoir qui, grâce au nouveau concept de culture, revendique sa propre autonomie. La première fonction de la culture est en fait de faire voir le territoire réservé à la nouvelle science : un vaste espace qui coïncide avec tous les groupes humains, des communautés les plus restreintes et les plus secrètes aux sociétés qui ont dominé le monde au cours des derniers siècles. Mais jusqu’à quel point ce concept est-il fiable, solide et permanent, de sorte qu’il puisse servir de fondement au nouveau savoir anthropologique? On pourrait dire que les anthropologues se distinguent les uns des autres sur la base des stratégies qu’ils adoptent pour rendre le concept de culture plus fiable, pour le renforcer en le couplant avec d’autres concepts, ou, au contraire, pour s’en éloigner en se réfugiant derrière d’autres notions ou d’autres points de vue considérés plus sûrs. La culture a été un concept novateur et prometteur, mais elle s’est aussi révélée perfide et dérangeante. On doit réfléchir aux deux dimensions de la culture auxquelles nous avons déjà fait allusion: le travail continu et les produits qui en découlent. Les anthropologues ont longtemps privilégié les produits, à commencer par les objets matériels, artistiques ou artisanaux : les vitrines des musées, avec leur signification en matière de description et de classification, ont suggéré un moyen de représenter les cultures, et cela même lorsque les anthropologues se sont détachés des musées pour étudier les groupes humains en « plein air », directement sur le terrain. Quelles étaient, dans ce contexte, les coutumes, sinon les « produits » de la culture sur le plan comportemental et mental? Et lorsque la notion de coutume a commencé à décliner, entraînant avec elle le sens d’un savoir dépassé, la notion de modèle – les modèles de culture – a dominé la scène. Saisir des modèles dans n’importe quel domaine de la vie sociale – de la parenté à la politique, de la religion au droit, de l’économie à l’art, etc. – ne correspondait-il pas à une stratégie visant à construire, dans un but descriptif et analytique, quelque chose de solide, de répétitif et de socialement répandu, bref, un système capable de se reproduire dans le temps? Ce faisant, on continuait à privilégier les produits avec leur continuité et leur lisibilité au détriment du travail continu et obscur de la culture, de son flux presque insaisissable et imprévisible. Nous pensons par exemple à la quantité incroyable et chaotique de gestes, mots, idées, émotions qui se succèdent, se chevauchent, se croisent et se mélangent dans chaque moment de la vie individuelle et collective. Le sentiment que les produits toujours statiques et achevés de la culture priment sur sa partie la plus significative et la plus dynamique (une sorte de matière ou d’énergie obscure), devient un facteur de frustration et de perturbation pour l’entreprise anthropologique. À cet égard, les anthropologues ont adopté plusieurs voies de sortie, notamment : la tendance à réifier la culture, ce qui lui confère une solidité presque ontologique (c’est le cas d’Alfred L. Kroeber 1952); l’intention de réduire sa portée et de l’ancrer ainsi dans une réalité plus cohérente et permanente, telle que pourrait être la structure sociale dans ses diverses articulations (Alfred Radcliffe-Brown 1968 et plus largement l’anthropologie sociale); la tentative de capturer dans les manifestations apparemment plus libres et arbitraires de la culture, que peuvent être les mythes, l’action de structures mentales d’un ordre psycho-biologique (Claude Lévi-Strauss 1958 et 1973 et plus largement le structuralisme). Plus récemment, la méfiance envers la culture a pris la forme même de son refus, souvent motivé par une clef politique. Comment continuer à s’appuyer sur la culture, si elle assume désormais le rôle de discrimination autrefois confié à la race? Plus la culture devient un terme d’usage social et politique, identifié ou mélangé à celui d’identité et se substituant à celui de race, plus des anthropologues ont décrété son caractère fallacieux et ont pensé à libérer la pensée anthropologique de cet instrument devenu trop dangereux et encombrant. Lila Abu-Lughod écrit en 1991 un essai intitulé Against Culture et les critiques du concept de culture refont surface dans le texte d’Adam Kuper, Culture, 1998 et 1999. Mais si l’anthropologie doit se priver de ce concept, par quoi le remplacera-t-elle? Est-il suffisant de se contenter de « pratiques » et de « discours » qu’Abu-Lughod a puisés chez Michel Foucault (1966)? C’est une chose de critiquer certains usages de la notion de culture, tels que ceux qui tendent à la confondre avec l’identité, c’en est une autre d’accepter le défi que ce concept présente à la fois par son caractère fluide et manipulable, et par les expansions fertiles dont il est capable. Par « pratique » et « discours », réussirons-nous, par exemple, à suivre l’expansion de la culture vers l’étude du comportement animal et à réaliser que nous ne pouvons plus restreindre la « science de la culture » dans les limites de l’humanité (Lestel 2003)? Presque dans le sens opposé, la culture jette également les bases de la recherche ethnographique au sein des communautés scientifiques, une enquête absolument décisive pour une anthropologie qui veut se présenter comme une étude du monde contemporain (Latour et Woolgar 1979). Et quel autre concept que celui de culture pourrait indiquer de manière appropriée le « tout complexe » (complex whole) de la culture globale (Hamilton 2016)? Qu’est-ce que l’Anthropocène, sinon une vaste et immense culture qui, au lieu d’être circonscrite aux limites de l’humanité, est devenue une nouvelle ère géologique (Zalasiewicz et al. 2017)? Bref, la « science de la culture », formulée en 1871 par Edward Tylor, se développe énormément aujourd’hui : la culture est l’utilisation de la brindille comme outil de capture des termites par le chimpanzé, de même qu’elle correspond aux robots qui assistent les malades, aux satellites artificiels qui tournent autour de la Terre ou aux sondes envoyées dans le plus profond des espaces cosmiques. Ces expansions de la culture sont sans aucun doute des sources de désorientation. Au lieu de se retirer et de renoncer à la culture, les anthropologues culturels devraient accepter ce grand défi épistémologique, en poursuivant les ramifications de cette notion ancienne, mais encore vitale, dynamique et troublante.
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Dissertations / Theses on the topic "Satellites artificiels en recherche géographique"

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PEREIRA, TENEDORIO JOSE ANTONIO. "Teledetection en milieu periurbain : detection et localisation du changement de l'occupation du sol par integration des donnees-satellite spot hrv dans un systeme d'information geographique." Paris 12, 1998. http://www.theses.fr/1998PA120060.

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Abstract:
Cette these presente une recherche qui aboutit a une methode permettant la detection et la localisation du changement de l'occupation du sol en milieu periurbain, par traitement d'images numeriques spot hrv integrees dans un systeme d'information geographique (sig). Il s'agit d'une procedure qui, au travers de la mise en relation des donnees multisources (images-satellite et cartes d'occupation du sol), permet de determiner de facon systematique des changements d'affectation des zones en milieu periurbain. La technique retenue utilise le traitement par zone en considerant six indices : le canal panchromatique, l'indice de vegetation, l'indice de brillance, l'ecart type local, l'indice de mineralisation recente et l'indice +non-eau;. Pour chaque indice des bornes de stabilite sont definies en fonction des parametres statistiques de chaque poste de la legende consideree. Le resultat final se traduit par une carte de changements d'affectation des zones
This thesis presents a investigation which lead to a methodology proposal to locate and detect land cover changes in the urban fringe through the combination of spot hrv satellite image processing in a geographic information system (gis). Using multi-source data (satellite images and land cover maps) the discussed procedure allows to systematically determinate affectation zone changes in the urban fringe. The chosen technique relies on zone analysis applying six indexes: the panchromatic band, the vegetation index, the brightness index, the standard deviation, the recent mineralization index and the +nonwater; index. For each one of these indexes a stability limit was defined regarding the statistical parameters of the considered classes. The final result is materialised on a zone affectation change map
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Soudarin, Laurent. "Positionnement précis et tectonique des plaques à partir du système spatial DORIS." Toulouse 3, 1995. http://www.theses.fr/1995TOU30169.

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Abstract:
Depuis quelques annees, la geodesie spatiale permet de mesurer le deplacement de stations d'observation a la surface de la terre avec une precision de quelques millimetres par an. Par rapport aux techniques existantes (vlbi, slr), le systeme spatial d'orbitographie et de positionnement precis doris (determination d'orbite et radiopositionnement integres par satellite) offre une meilleure couverture du globe grace a son reseau de poursuite constitue d'une cinquantaine de balises permanentes reparties sur 10 plaques lithospheriques majeures. Les mesures des instruments doris embarques sur les satellites spot2 et topex-poseidon ont ete analysees par une methode semi-dynamique pour determiner la position et le deplacement des stations du reseau. Les performances du positionnement qui etaient de 15-20 cm apres la premiere annee de vie de doris sur spot2 ont pu etre ameliorees grace a la reduction des principaux postes d'erreurs qui affectent l'orbite du satellite et le trajet du signal haute frequence entre les balises emettrices doris et le recepteur embarque. Une precision et une exactitude de 2-4 cm ont ete obtenues apres une meilleure modelisation de la perturbation du frottement atmospherique, de l'allongement du trajet du signal dans la troposphere et la prise en compte d'erreurs d'orbite periodiques. Ce niveau de performance a permis de calculer a partir de trois ans de mesures de doris sur spot2 et un an de mesures de doris sur topex-poseidon, les vitesses de deplacement d'une vingtaine de stations et les poles de rotation decrivant les mouvements relatifs des plaques pacifique, eurasie et afrique. Les resultats obtenus ont ete compares avec les valeurs predites par le modele geologique nuvel-1. Le tres bon accord entre les deux types de determination montre la capacite du systeme doris pour l'etude des phenomenes tectoniques a l'echelle globale
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Silapathong, Chaowalit. "Utilisation combinée d'un système d'information géographique et de la télédétection pour le suivi et l'aménagement des mangroves en Thai͏̈lande." Toulouse 3, 1992. http://www.theses.fr/1992TOU30090.

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Abstract:
La presente etude est un essai d'utilisation combinee d'un systeme d'information geographique et de la teledetection pour l'etude de la mangrove thailandaise en vue de realiser un plan d'amenagement. Deux zones de mangroves: khlung et khungkraben dans la province de chanthaburi, les zones les plus perturbees surtout par l'aquaculture, ont ete choisies comme sites d'etude. Les donnees essentielles: facteurs physiques du milieu, types d'occupation du sol, etc. . . Ont ete acquises et stockees dans la base de donnees du sig utilise (tydac-spans). Les cartes d'occupation du sol ont ete produites a partir de divers documents, a trois dates. Une combinaison des images landsat-tm et spot panchromatique a ete utilisee pour la classification. L'analyse de l'evolution de l'utilisation du sol dans la zone de mangroves, grace au sig, montre un tres grand desequilibre entre les mangroves et les bassins d'aquaculture. L'analyse des correlations entre les mangroves et les facteurs physiques du milieu, par la methode de superposition, donne une classification des potentialites du milieu, et, enfin des propositions pour l'amenagement des zones de mangroves sont faites pour obtenir une utilisation optimale du sol avec equilibre entre mangrove, bassins d'aquaculture et autres utilisations du sol. La methode peut etre appliquee a d'autres zones de mangroves dans le pays et nous pensons qu'elle peut etre egalement appliquee a d'autres pays de la zone intertropicale
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Archambeau, Olivier. "Images au sol, images aériennes et images satellites : regard d'une géographie dynamique." Paris 1, 1997. http://www.theses.fr/1997PA010542.

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Abstract:
Le travail exposé cherche à démontrer l'efficacité d'une méthode d'observation géographique mise en place à partir d'une combinaison de techniques de prises de vue réalisées à différentes échelles. La complémentarité des images satellites, images aériennes et images au sol doit fournir, dans le cadre d'une méthode de travail, des éléments d'analyse suffisamment précis pour répondre à des problématiques géographiques. Tout d’abord nous mesurerons l'évolution du regard et de l'iconographie dans la discipline. L'expérience des archives de la planète, réalisée par Albert Kahn et Jean Brunhes entre 1906 et 1930, nous servira de base. Nous reprendrons trois missions effectuées par des opérateurs photographes, l'une au Canada en 1926 et deux autres en Indes en 1913 et 1927. Puis, après avoir fait un bilan des techniques d'observations visuelles les plus récentes, nous étudierons la possibilité d'intégrer différents types d'images au sein d'un système d'observation géographique multiséculaire. Une méthode est alors proposée et des normes précises sont définies pour l'expérience (notamment sur les types d'action à mener sur le terrain et sur l'identification des prises de vue qui devront intégrer les coordonnées G. P. S. , et à terme les caps et les angles de visées des prises de vue). Pour confronter la méthode au terrain, une phase d'expérimentation est nécessaire. Une expédition de 20 mois est lancée autour de la planète avec un camion et un ULM pour les prises de vue aériennes. Les images satellites seront fournies par spot. 32 sites tests sont choisis en fonction de leurs intérêts géographiques. Les conclusions de ce travail seront élaborées à partir de trois exemples présentes dans la thèse, Vancouver (Canada), Calama (Chili) et Sao Luis (Brésil)
This work shows the efficiency of an observational geographic method created with a combination of pictures of several scales. The combination of satelite images, aerial and ground pictures is able to answer geographical problematics. We have analysed the evolution of the photographic and iconography observations in geography. The "archives de la planete" experimentation, realised by Albert Kahn and Jean Brunhes, between 1906 and 1930, constitutes the base of our research. Three of their expeditions (Canada, 1926 ; India, 1913 and 1927) have been revisited during this study. After that we looked for the different methods of observations by images until today. We propose a new method, to prouve and test the efficiency of this method, we organised an expedition around the world wich lasted 20 months with a truck and an ultra-light aircraft. The satelite images were supplied by spot image, 32 sites were studied. The conclusion of this work are presented in three examples : Vancouver (Canada), Calama (Chili), et Sao Luis (Brasil)
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Omri, Monia. "Les décharges clandestines de la plaine de Venise (Italie) : essai de localisation par télédétection." Paris 1, 2007. http://www.theses.fr/2007PA010632.

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Abstract:
Cette thèse de recherche appliquée repose en partie sur un projet financé par la région Vénétie d'identification des sites potentiellement pollués à travers l'utilisation de la télédétection. La plaine vénitienne est une plaine alluviale qui s'étend des Préalpes à la lagune de Venise dans le Nord Est de l'Italie. Au sein de ce territoire vulnérable en plein essor industriel et urbain depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, les sites de décharges sont un des principaux problèmes à gérer. L'analyse des images satellites, notamment IKONOS, a permis d'apporter des informations concluantes sur les propriétés radiométriques de la végétation stressée utilisée comme indicateur d'éventuelles décharges. Ainsi une banque de données sans précédent intégrant l'utilisation de la télédétection et du SIG a été créée, permettant à la région Vénétie de se doter d'un outil de gestion environnemental sur la répartition spatiale d'éventuelles sites contaminés et d'assurer son suivi dans le temps.
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Jolly, Anne. "Estimation par télédétection satellitaire de la récolte annuelle en bois dans la futaie pure de pin maritime du massif des Landes de Gascogne : apports pour la prévision de la ressource forestière." Toulouse 3, 1993. http://www.theses.fr/1993TOU30144.

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Abstract:
A partir d'une etude methodologique detaillee, une methode d'estimation de la recolte annuelle de bois prelevee en coupes rases a ete developpee pour le massif forestier landais, dans le sud-ouest de la france (environ 1 million d'hectares boises a 90% en pin maritime). Elle utilise une serie chronologique d'images landsat thematic mapper couvrant la periode 1984-1990, des donnees cartographiques et les mesures au sol de l'inventaire forestier national (ifn). La methode repose sur le couplage d'un modele radiometrique empirique avec les donnees statistiques des placettes de mesure au sol de l'ifn. Deux points sont abordes: la localisation et l'estimation des coupes rases annuelles et l'estimation des volumes de bois preleves par ces coupes. L'etude de la mise en evidence des coupes rases par teledetection constitue l'essentiel de ce travail. Une premiere phase methodologique a porte sur un secteur-test de 200000 hectares, pour un couple d'images (1985/1986). Elle a montre que le moyen infrarouge (tm5) est le domaine spectral le plus adapte a la detection des coupes rases. Certaines sources de confusion ont ete anlysees. Cette approche a ete validee sur tous les couples d'annees et generalisee a un domaine de 735000 hectares de futaie de pin du plateau landais. Une methode operationnelle a ete developpee, fondee sur un couplage a deux niveaux entre images satellitaires et donnees geo-referencees, gerees sous un systeme d'information geographique. Les resultats obtenus sont detailles pour la periode 1984-1990. L'estimation des volumes de bois recoltes a ete realisee pour les coupes exploitees entre 1988 et 1989. Ces resultats concordent avec les statistiques regionales. Ils permettent d'envisager une methode operationnelle de suivi de la recolte, qui peut devenir a terme un outil puissant d'analyse de la ressource et de prevision de la recolte a l'echelle regionale
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Bastos, Lage Lorène. "Analyse de la déforestation par télédétection spatiale dans l'Etat de Rondonia (Brésil)." Toulouse 3, 1993. http://www.theses.fr/1993TOU30040.

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Abstract:
Cette etude porte sur le plus grand massif forestier du monde, l'amazonie et plus specialement sur l'etat de rondonia, dans le nord-ouest du bresil. Cette region est soumise a une lourde pression anthropique dont les effets immediats se traduisent par une deforestation mal controlee. Nos objectifs sont: fournir une cartographie suffisamment precise pour servir de document de base aux decideurs, amenageurs et ecologistes pour la rehabilitation des terres appauvries ou des groupements vegetaux secondaires; evaluer les capacites offertes par les capteurs satellitaires pour discriminer les objets dans les nouveaux paysages constitues. Les spatiocartes produites illustrent bien, a la fois, la qualite et les limites des produits satellitaires, tels spot et tm. Elles demontrent que la teledetection a haute resolution est un outil de surveillance et de gestion remarquable pour les grands espaces mais qui necessite encore de nombreuses recherches avant de devenir reellement operationnelle. Nous avons estime la deforestation, sur une partie de la zone d'etude, entre 1988 et 1991
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Hernandez, Fabrice. "Comparaison et combinaison de données altimétriques et lagrangiennes. Application à la campagne SEMAPHORE-93." Toulouse 3, 1995. http://www.theses.fr/1995TOU30295.

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Abstract:
Cette these porte sur l'etude de l'ocean a travers des mesures satellitales et lagrangiennes. Les satellites altimetriques fournissent une mesure de la topographie de la surface des oceans, donc des courants geostrophiques. On suit aussi les courants marins a travers les trajectoires argos des bouees derivantes. On compare puis combine les donnees altimetriques et lagrangiennes, qui decrivent chacune en partie la circulation oceanique. Deux zones sont distinctes sont etudiees. Le pacifique tropical, avec les donnees altimetriques de geosat et les bouees derivantes du programme toga durant la periode 1987-1989, pour comparer leurs composantes oceaniques a grande echelle. Puis l'atlantique nord-est, dans le bassin acores-canaries, pour etudier la circulation mesoechelle associee au courant des acores, a l'aide des mesures de semaphore-93. Une etude de strategie de lacher des flotteurs a ete effectuee lors de la preparation de cette campagne, par une optimisation de la distribution des bouees a l'aide d'un algorithme genetique. On montre que le deploiement des bouees doit etre decale vers l'ouest de la zone, avec une distance optimale de 90-100 km entre chacune des bouees. Les donnees oceaniques de la campagne sont comparees aux mesures altimetriques des missions topex/poseidon et ers-1. Le lacher de plus de 100 bouees derivantes de trois types differents ainsi que les mesures hydrologiques de juillet a novembre 1993 nous permettent de 1) verifier la precision des donnees altimetriques, meilleure que 5 cm ; 2) mettre en evidence l'apport de l'altimetrie pour la cartographie de la circulation oceanique ; 3) quantifier la dynamique de cette zone de l'ocean, en termes de circulation moyenne, de dispersion lagrangienne et de turbulence mesoechelle (tenseur de reynolds). Enfin, on etudie la composante ageostrophique du courant en surface en comparant les trajectoires de differents types de bouees et le vent
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Gonzalez, Sanpedro Maria del Carmen. "Optical and radar remote sensing applied to agricultural areas in Europe." Toulouse 3, 2008. http://www.theses.fr/2008TOU30228.

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Abstract:
L'objectif de la thèse est de développer des méthodes de cartographie et de suivi des cultures basées sur des données de télédétection, radar et optique. Les résultats pourront être combinés avec d'autres techniques, notamment avec des modèles de croissance des cultures, pour améliorer la prévision des récoltes. Quatre instruments différents, 3 sur satellite (LANDSAT-TM, ENVISAT-MERIS, ENVISAT-ASAR) et 1 aéroporté (AIRSAR) sont utilisés dans trois régions d'étude en Europe (Barrax, Toulouse et Flevoland). Les travaux sont présentés en deux parties, optique et radar. Dans la première partie, les données LANDSAT sont utilisées pour l'inversion du LAI à Barrax (Castilla-La Mancha) à l'aide du modèle de transfert radiatif PROSPECT+SAIL. Les résultats sont validés avec des mesures expérimentales acquises au cours de la campagne sur le terrain ESA SPARC-2003, montrant une bonne corrélation. Une méthode est ensuite proposée pour inverser le LAI et la chlorophylle à partir de données MERIS. La méthode implique une inversion du modèle, PROSPECT+SAIL avec une contrainte temporelle (une courbe pour l'ensemble du cycle de culture est inversée). Les résultats montrent que cette méthode fonctionne mieux que les inversions date par date. Toutefois, l'inversion de la chlorophylle nécessite encore une étude plus approfondie. Dans la partie radar, une méthode de classification basée sur les connaissances des mécanismes de rétrodifusion est proposée. Elle utilise des données polarimétriques en bande C de l'instrument AIRSAR. La méthode est appliquée à des images dans le Flevoland (Pays-Bas). Les résultats indiquent que ces méthodes peuvent être plus robustes que les méthodes statistiques usuelles. .
El aumento de la población mundial, así como la importancia social y económica que el sector agrícola tiene en muchas regiones del mundo, hace que sea muy importante desarrollar métodos que permitan hacer un seguimiento del estado de los cultivos, mejorar la gestión de los mismos, así como poder realizar una estimación temprana de la producción. La principal causa de incertidumbre en la producción de las cosechas es debida a las condiciones meteorológicas, por ejemplo, en las regiones áridas y semiáridas del mundo los períodos de sequía generan grandes pérdidas en la producción agrícola, la cuales se traducen en hambrunas. Así, la FAO, durante su cumbre de Junio 2008, insistió en la necesidad de aumentar a producción agrícola como una medida para reforzar la seguridad alimentaria y reducir la desnutrición en el mundo. La preocupación por aumentar la producción de cultivos, ha generado, durante las últimas décadas, importantes cambios en las técnicas agrícolas. Por ejemplo, se ha producido un uso generalizado de productos fitosanirios, de cultivos modificados genéticamente, así como un aumento de la agricultura intensiva. A su vez, la rotación de cultivos está cada vez más influenciada por el mercado, siendo los cambios en la distribución espacial de los cultivos muy frecuentes. Por lo tanto, para poder hacer estimaciones de la producción agrícola, es necesario producir eriódicamente mapas de cultivos, así como cartografiar su estado de desarrollo. La presente tesis doctoral tiene como objetivo desarrollar métodos basados en datos de teledetección, en la región del óptico y en la región del radar, que permitan realizar un seguimiento de los cultivos, así como una cartografía de los mismos. Los resultados de esta tesis pueden combinarse con otras técnicas, especialmente con los modelos de crecimiento de cultivo, para mejorar la predicción de las cosechas. Los métodos de teledetección para la clasificación y la cartografía de cultivos utilizando datos en la región del óptico están bien establecidos y pueden considerarse casi operacionales. La desventaja de estos estudios basados en datos ópticos es que no pueden aplicarse a regiones donde la cobertura nubosa es frecuente. En esos casos, la utilización de datos radar es más recomendable. Sin embargo, los métodos de clasificación utilizando datos radar no están tan bien establecidos y es necesario realizar más estudios científicos en este campo. Es por ello, que esta tesis se centra en la clasificación de cultivos mediante datos radar, concretamente datos aerotransportados AIRSAR y datos ASAR del satélite ENVISAT. El seguimiento de los cultivos mediante teledetección se basa en la estimación de parámetros biofísicos y su evolución en el tiempo. Estos parámetros son, entre otros, LAI (índice de área foliar), clorofila y biomasa. En esta tesis se han utilizado datos del satélite LANSAT-TM para la inversión de LAI, y datos ENVISAT-MERIS para la estimación de LAI y clorofila
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Péret, Laurent Garcia Frédérick. "Recherche en ligne pour les Processus Décisionnels de Markov." Toulouse : INP Toulouse, 2005. http://ethesis.inp-toulouse.fr/archive/00000039.

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