Academic literature on the topic 'Satisfaction envers les avantages sociaux'

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Journal articles on the topic "Satisfaction envers les avantages sociaux"

1

RAPHAËL, Edna. "Les femmes et le syndicat américain." Sociologie et sociétés 6, no. 1 (September 30, 2002): 55–77. http://dx.doi.org/10.7202/001615ar.

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Abstract:
Résumé L'auteur présente des documents renseignant sur la condition actuelle de la femme dans les syndicats américains. Les statistiques démontrent l'avantage économique que représentent ces membres. Les écrits traitant des avantages sociaux propres aux femmes syndiquées sont aussi considérés. Le mouvement syndical américain longtemps dominé par les hommes a tendance à abandonner ses pratiques discriminatoires envers les femmes. À la suite d'actions intentées par le gouvernement, et plus récemment de réunions et de conférences organisées par les activistes féminines, on s'attend que les syndicats américains défendent avec plus de vigueur, à l'avenir, les intérêts des femmes.
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2

Tandon, Urvashi, and Ravi Kiran. "Comprendre les antécédents de la satisfaction des clients envers l’achat en ligne : une étude empirique de la théorie de l’autodétermination." Revue Organisations & territoires 29, no. 3 (December 1, 2020): 57–71. http://dx.doi.org/10.1522/revueot.v29n3.1197.

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Abstract:
Cet article vise à comprendre les indices de la satisfaction des clients en ce qui concerne l’achat en ligne en Inde en utilisant la théorie de l’autodétermination (TDA). Cette recherche valide le plaisir perçu, l’influence sociale, les interactions sur les réseaux sociaux, la logistique inverse et le paiement à la livraison (pay on delivery ou POD) en tant que nouveaux indices de la satisfaction des clients pour l’achat en ligne. Les données ont été recueillies au moyen d’un questionnaire autoadministré et structuré ciblant les acheteurs en ligne dans les États de l’Inde du Nord. Un échantillon de 424 acheteurs en ligne a été validé à l’aide de la modélisation d’équations structurelles (SEM). Les conclusions de l’article révèlent que l’influence sociale, la logistique inverse et le paiement à la livraison (POD) ont eu un impact positif et significatif sur la satisfaction des clients. Le plaisir perçu apparaît comme étant le meilleur indice de l’achat en ligne. Cependant, les interactions sur les réseaux sociaux apparaissent comme un indice négligeable de la satisfaction des clients. Cette recherche constitue l’un des efforts initiaux qui valident empiriquement le POD, les interactions sur les réseaux sociaux, l’influence sociale, la logistique inverse et le plaisir perçu dans le contexte de l’achat en ligne en utilisant la TDA. Grâce à cette étude, les cybercommerçants qui se préparent à étendre leurs activités en Inde obtiennent des informations importantes sur les moteurs de l’achat en ligne menant à la satisfaction des clients. En retour, cela leur permettra de développer des stratégies de marketing et de les mettre en place pour cibler l’énorme marché inexploité.
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3

Fox, Mary T., and Barbara A. Gooding. "Physical Mobility and Social Integration: Their Relationship to the Well-Being of Older Canadians." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 17, no. 4 (1998): 372–83. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800012654.

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Abstract:
RÉSUMÉCette étude a exploré le rapport entre la mobilité, l'intégrations sociaux et le bien-être utilisant un sous-ensemble de 754 personnes âgés et non-marriés, demeurant dans la communauté, a été choisi d'une base de donnés d'Enquête Sociale Générale 1985 de Statistique Canada. Aussi, cette étude a regardé les relations de la mobilité l'intégration sociale avec leurs enfants, leurs frères et soeurs, autres membres de famille, et amis proches; et la satisfaction sociale des rapports avec la famille et amis au bien-être. Un design correlational «cross-sectional» a été choisi. L'âge, le sexe, l'état civil et le domicile sont inclus dans une analyse de régression. Aucune interaction significative a été identifée entre l'intégration sociale et la mobilité mais les résultats appuient l'importance de la mobilité et la qualité, par opposition à la quantité des rapports sociaux au bien-être de la personne âgée. Mobilité, satisfaction envers l'amitié, être plus âgée et satisfaction avec les relations de famille étaient identifiés comme les meilleurs variables. Les implications de recherches et pour la pratique sont discutées.
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4

Kadowaki, Laura, Andrew V. Wister, and Neena L. Chappell. "Influence of Home Care on Life Satisfaction, Loneliness, and Perceived Life Stress." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 34, no. 1 (December 30, 2014): 75–89. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980814000488.

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Abstract:
RÉSUMÉDes preuves solides ont établi les avantages de l'utilisation par des services médicaux et de santé des soins à domicile pour les personnes âgées. Cependant, seulement recherche clairsemée a été menée sur les avantages psycho-sociaux potentiels. Les adultes plus âgés (65 ans et plus) recevant des soins à domicile sont compares avec des personnes qui ont des besoins non-satisfaits (si ils ont reçu des soins à domicile ou non) sur trois indicateurs clés de la qualité de vie—la satisfaction de vie, la solitude et le stress de vie perçue. Les données sont tirées des répondants à l'Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes 2008–2009 qui répondaient aux critères de l'étude (n = 3,244). Les analyses de régression ont montré que les personnes âgées dont leurs besoins en matière de soins à domicile sont satisfaits ont rapporté des niveaux plus élevés de satisfaction de la vie, et les niveaux inférieurs de la solitude et le stress de la vie perçue, que ceux qui ont des besoins non satisfaits, déduction faite des co-variables aléatoires. Les résultats suggèrent que de combler cette lacune de soins à domicile élèverait de manière significative la qualité de vie en augmentant la résilience sociale et environnementale du vieillissement chez soi.
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5

Lazare, Jodi. "WHEN DISCIPLINES COLLIDE: POLYGAMY AND THE SOCIAL SCIENCES ON TRIAL." Windsor Yearbook of Access to Justice 32, no. 1 (February 1, 2015): 103. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v32i1.4516.

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Abstract:
This article draws on the Supreme Court of British Columbia’s Reference re: Section 293 of the Criminal Code of Canada [the Polygamy Reference] as a concrete example of the benefits and limitations of intense judicial reliance on social science evidence in the adjudication of constitutional rights and freedoms at the trial level. By examining the evidence tendered, I suggest that the current adversarial model of adjudication is illsuited to combining the legal and the social scientific endeavours. The divergent values, methodologies and objectives of the legal and scientific enterprises severely limit the benefits that the former can yield, thus compromising the effectiveness and utility of the courts for social groups whose claims are heavily grounded in non-legal evidence. Further, I argue that the vast amounts of contradictory evidence typically tendered in rights challenges, as well as the complex and controversial nature of Charter questions and the inevitable need for judges to adjudicate values, risk resulting in undue deference to the legislator, hinder the delivery of justice and ultimately undermine the raison-d’être of Charter litigation. Cet article concerne le renvoi porté devant la Cour suprême de la Colombie-Britannique au sujet de l’article 293 du Code criminel [Polygamy Reference – renvoi sur la polygamie], qui constitue un exemple concret des avantages et inconvénients de l’utilisation intensive des éléments de preuve relevant des sciences sociales dans la détermination des droits et libertés constitutionnels en première instance. En examinant les éléments de preuve présentés, j’affirme dans cet article que le modèle actuel de règlement des litiges, qui repose sur l’approche accusatoire, se prête mal à la combinaison des démarches juridiques et de celles qui relèvent des sciences sociales. Les valeurs, méthodologies et objectifs divergents des démarches juridiques et scientifiques restreignent les avantages inhérents aux méthodes juridiques, ce qui compromet l’efficacité et l’utilité des tribunaux pour les groupes sociaux dont les revendications reposent en grande partie sur des éléments de preuve de nature non juridique. Je soutiens également que la multitude d’éléments de preuve contradictoires habituellement présentés dans les litiges mettant en cause des droits, conjuguée à la nature complexe et controversée des questions concernant la Charte et à la nécessité inévitable pour les juges de soupeser des valeurs, risque de se traduire par une trop grande déférence envers le législateur, de nuire à l’administration de la justice et, en bout de ligne, de saper la raison d’être des litiges fondés sur la Charte.
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6

Shirom, Arie. "The Labor Relations System: A Proposed Conceptual Framework." Articles 40, no. 2 (April 12, 2005): 303–23. http://dx.doi.org/10.7202/050135ar.

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Abstract:
Dans le prolongement de l'étude récente des auteurs Larouche et Deom (Relations industrielles, 1984, vol. 39, no 1) sur l'approche systémique en relations industrielles, cet article présente un cadre conceptuel d'un système de relations du travail (SRT). Après avoir approfondi les premiers essais d'application de la théorie des systèmes au niveau de l'entreprise, l'auteur définit et explique les composantes d'un SRT à partir des concepts et de la terminologie de l'approche systémique en fonction de leur application aux relations du travail en milieu de travail. Les entrants d'un SRT sont constitues par les participants, les résultats recherches et les orientations respectives des participants en vue d'atteindre ces resultats. Le processus de ce système comprend toutes les relations de pouvoir reliées aux démarches en vue de solutionner les questions en jeu qui touchent les participants. Ces rapports de force influencent les positions des parties jusqu'à ce que l'on en arrive à des accords verbaux ou écrits. Ces derniers constituent les extrants d'un SRT. Quant à sa structure, elle est constituée de toutes les formes de comportements institutionnalises, c'est-à-dire des interactions relativement stables, typiques et récurrentes. Ainsi, un comité de négociation collective ou un comité paritaire de sécurité sont des exemples d'éléments structurels. Par contre, les organisations respectives des participants, tel un syndicat local, sont considérées comme une partie du contexte environnemental d'un tel système. La satisfaction des besoins et des aspirations de chaque participant constitue les resultats d'un SRT et le niveau d'atteinte de cette satisfaction pour une partie dépend du comportement de l'autre partie. Cette composante comprend autant les besoins individuels qu'organisationnels, économiques que sociaux et psychologiques. Enfin, les autres dimensions d'un SRT, définies et expliquées au moyen d'exemples dans cette étude, sont ses limites, les effets de rétroaction et les contextes environnementaux. L'auteur effectue ensuite une comparaison des éléments d'un SRT avec ceux proposes par Dunlop dans son important ouvrage Industrial Relations Systems (1958) et démontre que plusieurs éléments de ce système n'ont pas de contrepartie dans le modèle de Dunlop. Pour conclure, l'auteur met en relief les avantages d'un SRT pour les chercheurs et les praticiens des relations du travail, il discute ensuite de quelques limites et faiblesses de ce cadre conceptuel.
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Leclerc, Véronique, Alexandre Tremblay, and Chani Bonventre. "Anthropologie médicale." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.125.

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Abstract:
L’anthropologie médicale est un sous-champ de l’anthropologie socioculturelle qui s’intéresse à la pluralité des systèmes médicaux ainsi qu’à l’étude des facteurs économiques, politiques et socioculturels ayant un impact sur la santé des individus et des populations. Plus spécifiquement, elle s’intéresse aux relations sociales, aux expériences vécues, aux pratiques impliquées dans la gestion et le traitement des maladies par rapport aux normes culturelles et aux institutions sociales. Plusieurs généalogies de l’anthropologie médicale peuvent être retracées. Toutefois, les monographies de W.H.R. Rivers et d’Edward Evans-Pritchard (1937), dans lesquelles les représentations, les connaissances et les pratiques en lien avec la santé et la maladie étaient considérées comme faisant intégralement partie des systèmes socioculturels, sont généralement considérées comme des travaux fondateurs de l’anthropologie médicale. Les années 1950 ont marqué la professionnalisation de l’anthropologie médicale. Des financements publics ont été alloués à la discipline pour contribuer aux objectifs de santé publique et d’amélioration de la santé dans les communautés économiquement pauvres (Good 1994). Dans les décennies qui suivent, les bases de l’anthropologie médicale sont posées avec l’apparition de nombreuses revues professionnelles (Social Science & Medicine, Medical Anthropology, Medical Anthropology Quarterly), de manuels spécialisés (e.g. MacElroy et Townsend 1979) et la formation du sous-groupe de la Society for Medical Anthropology au sein de l’American Anthropological Association (AAA) en 1971, qui sont encore des points de références centraux pour le champ. À cette époque, sous l’influence des théories des normes et du pouvoir proposées par Michel Foucault et Pierre Bourdieu, la biomédecine est vue comme un système structurel de rapports de pouvoir et devient ainsi un objet d’étude devant être traité symétriquement aux autres systèmes médicaux (Gaines 1992). L’attention portée aux théories du biopouvoir et de la gouvernementalité a permis à l’anthropologie médicale de formuler une critique de l’hégémonie du regard médical qui réduit la santé à ses dimensions biologiques et physiologiques (Saillant et Genest 2007 : xxii). Ces considérations ont permis d’enrichir, de redonner une visibilité et de l’influence aux études des rationalités des systèmes médicaux entrepris par Evans-Pritchard, et ainsi permettre la prise en compte des possibilités qu’ont les individus de naviguer entre différents systèmes médicaux (Leslie 1980; Lock et Nguyen 2010 : 62). L’aspect réducteur du discours biomédical avait déjà été soulevé dans les modèles explicatifs de la maladie développés par Arthur Kleinman, Leon Eisenberg et Byron Good (1978) qui ont introduit une distinction importante entre « disease » (éléments médicalement observables de la maladie), « illness » (expériences vécues de la maladie) et « sickness » (aspects sociaux holistes entourant la maladie). Cette distinction entre disease, illness et sickness a joué un rôle clé dans le développement rapide des perspectives analytiques de l’anthropologie médicale de l’époque, mais certaines critiques ont également été formulées à son égard. En premier lieu, Allan Young (1981) formule une critique des modèles explicatifs de la maladie en réfutant l'idée que la rationalité soit un model auquel les individus adhèrent spontanément. Selon Young, ce modèle suggère qu’il y aurait un équivalant de structures cognitives qui guiderait le développement des modèles de causalité et des systèmes de classification adoptées par les personnes. Au contraire, il propose que les connaissances soient basées sur des actions, des relations sociales, des ressources matérielles, avec plusieurs sources influençant le raisonnement des individus qui peuvent, de plusieurs manières, diverger de ce qui est généralement entendu comme « rationnel ». Ces critiques, ainsi que les études centrées sur l’expérience des patients et des pluralismes médicaux, ont permis de constater que les stratégies adoptées pour obtenir des soins sont multiples, font appel à plusieurs types de pratiques, et que les raisons de ces choix doivent être compris à la lumière des contextes historiques, locaux et matériaux (Lock et Nguyen 2010 : 63). Deuxièmement, les approches de Kleinman, Eisenberger et Good ont été critiquées pour leur séparation artificielle du corps et de l’esprit qui représentait un postulat fondamental dans les études de la rationalité. Les anthropologues Nancy Scheper-Hughes et Margeret Lock (1987) ont proposé que le corps doit plutôt être abordé selon trois niveaux analytiques distincts, soit le corps politique, social et individuel. Le corps politique est présenté comme étant un lieu où s’exerce la régulation, la surveillance et le contrôle de la différence humaine (Scheper-Hughes et Lock 1987 : 78). Cela a permis aux approches féministes d’aborder le corps comme étant un espace de pouvoir, en examinant comment les discours sur le genre rendent possible l’exercice d’un contrôle sur le corps des femmes (Manderson, Cartwright et Hardon 2016). Les premiers travaux dans cette perspective ont proposé des analyses socioculturelles de différents contextes entourant la reproduction pour contrecarrer le modèle dominant de prise en charge médicale de la santé reproductive des femmes (Martin 1987). Pour sa part, le corps social renvoie à l’idée selon laquelle le corps ne peut pas être abordé simplement comme une entité naturelle, mais qu’il doit être compris en le contextualisant historiquement et socialement (Lupton 2000 : 50). Finalement, considérer le corps individuel a permis de privilégier l’étude de l’expérience subjective de la maladie à travers ses variations autant au niveau individuel que culturel. Les études de l’expérience de la santé et la maladie axées sur l’étude des « phénomènes tels qu’ils apparaissent à la conscience des individus et des groupes d’individus » (Desjarlais et Throop 2011 : 88) se sont avérées pertinentes pour mieux saisir la multitude des expériences vécues des états altérés du corps (Hofmann et Svenaeus 2018). En somme, les propositions de ces auteurs s’inscrivent dans une anthropologie médicale critique qui s’efforce d’étudier les inégalités socio-économiques (Scheper-Hughes 1992), l’accès aux institutions et aux savoirs qu’elles produisent, ainsi qu’à la répartition des ressources matérielles à une échelle mondiale (Manderson, Cartwright et Hardon 2016). Depuis ses débuts, l’anthropologie médicale a abordé la santé globale et épidémiologique dans le but de faciliter les interventions sur les populations désignées comme « à risque ». Certains anthropologues ont développé une perspective appliquée en épidémiologie sociale pour contribuer à l’identification de déterminants sociaux de la santé (Kawachi et Subramanian 2018). Plusieurs de ces travaux ont été critiqués pour la culturalisation des pathologies touchant certaines populations désignées comme étant à risque à partir de critères basés sur la stigmatisation et la marginalisation de ces populations (Trostle et Sommerfeld 1996 : 261). Au-delà des débats dans ce champ de recherche, ces études ont contribué à la compréhension des dynamiques de santé et de maladie autant à l’échelle globale, dans la gestion des pandémies par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qu’aux échelles locales avec la mise en place de campagnes de santé publique pour faciliter l’implantation de mesures sanitaires, telles que la vaccination (Dubé, Vivion et Macdonald 2015). L’anthropologie a contribué à ces discussions en se penchant sur les contextes locaux des zoonoses qui sont des maladies transmissibles des animaux vertébrés aux humains (Porter 2013), sur la résistance aux antibiotiques (Landecker 2016), comme dans le cas de la rage et de l’influenza (Wolf 2012), sur les dispositifs de prévention mis en place à une échelle mondiale pour éviter l’apparition et la prolifération d’épidémies (Lakoff 2010), mais aussi sur les styles de raisonnement qui sous-tendent la gestion des pandémies (Caduff 2014). Par ailleurs, certains auteur.e.s ont utilisé le concept de violence structurelle pour analyser les inégalités socio-économiques dans le contexte des pandémies de maladies infectieuses comme le sida, la tuberculose ou, plus récemment, l’Ébola (Fassin 2015). Au-delà de cet aspect socio-économique, Aditya Bharadwaj (2013) parle d’une inégalité épistémique pour caractériser des rapports inégaux dans la production et la circulation globale des savoirs et des individus dans le domaine de la santé. Il décrit certaines situations comme des « biologies subalternes », c’est à dire des états de santé qui ne sont pas reconnus par le système biomédical hégémonique et qui sont donc invisibles et vulnérables. Ces « biologies subalternes » sont le revers de citoyennetés biologiques, ces dernières étant des citoyennetés qui donnes accès à une forme de sécurité sociale basée sur des critères médicaux, scientifiques et légaux qui reconnaissent les dommages biologiques et cherche à les indemniser (Petryna 2002 : 6). La citoyenneté biologique étant une forme d’organisation qui gravite autour de conditions de santé et d’enjeux liés à des maladies génétiques rares ou orphelines (Heath, Rapp et Taussig 2008), ces revendications mobilisent des acteurs incluant les institutions médicales, l’État, les experts ou encore les pharmaceutiques. Ces études partagent une attention à la circulation globale des savoirs, des pratiques et des soins dans la translation — ou la résistance à la translation — d’un contexte à un autre, dans lesquels les patients sont souvent positionnés entre des facteurs sociaux, économiques et politiques complexes et parfois conflictuels. L’industrie pharmaceutique et le développement des technologies biomédicales se sont présentés comme terrain important et propice pour l’analyse anthropologique des dynamiques sociales et économiques entourant la production des appareils, des méthodes thérapeutiques et des produits biologiques de la biomédecine depuis les années 1980 (Greenhalgh 1987). La perspective biographique des pharmaceutiques (Whyte, Geest et Hardon 2002) a consolidé les intérêts et les approches dans les premières études sur les produits pharmaceutiques. Ces recherches ont proposé de suivre la trajectoire sociale des médicaments pour étudier les contextes d’échanges et les déplacements dans la nature symbolique qu’ont les médicaments pour les consommateurs : « En tant que choses, les médicaments peuvent être échangés entre les acteurs sociaux, ils objectivent les significations, ils se déplacent d’un cadre de signification à un autre. Ce sont des marchandises dotées d’une importance économique et de ressources recelant une valeur politique » (traduit de Whyte, Geest et Hardon 2002). D’autres ont davantage tourné leur regard vers les rapports institutionnels, les impacts et le fonctionnement de « Big Pharma ». Ils se sont intéressés aux processus de recherche et de distribution employés par les grandes pharmaceutiques à travers les études de marché et les pratiques de vente (Oldani 2014), l’accès aux médicaments (Ecks 2008), la consommation des produits pharmaceutiques (Dumit 2012) et la production de sujets d’essais cliniques globalisés (Petryna, Lakoff et Kleinman 2006), ainsi qu’aux enjeux entourant les réglementations des brevets et du respect des droits politiques et sociaux (Ecks 2008). L’accent est mis ici sur le pouvoir des produits pharmaceutiques de modifier et de changer les subjectivités contemporaines, les relations familiales (Collin 2016), de même que la compréhensions du genre et de la notion de bien-être (Sanabria 2014). Les nouvelles technologies biomédicales — entre autres génétiques — ont permis de repenser la notion de normes du corps en santé, d'en redéfinir les frontières et d’intervenir sur le corps de manière « incorporée » (embodied) (Haraway 1991). Les avancées technologiques en génomique qui se sont développées au cours des trois dernières décennies ont soulevé des enjeux tels que la généticisation, la désignation de populations/personnes « à risque », l’identification de biomarqueurs actionnables et de l’identité génétique (TallBear 2013 ; Lloyd et Raikhel 2018). Au départ, le modèle dominant en génétique cherchait à identifier les gènes spécifiques déterminant chacun des traits biologiques des organismes (Lock et Nguyen 2010 : 332). Cependant, face au constat que la plupart des gènes ne codaient par les protéines responsables de l’expression phénotypique, les modèles génétiques se sont depuis complexifiés. L’attention s’est tournée vers l’analyse de la régulation des gènes et de l’interaction entre gènes et maladies en termes de probabilités (Saukko 2017). Cela a permis l’émergence de la médecine personnalisée, dont les interventions se basent sur l’identification de biomarqueurs personnels (génétiques, sanguins, etc.) avec l’objectif de prévenir l’avènement de pathologies ou ralentir la progression de maladies chroniques (Billaud et Guchet 2015). Les anthropologues de la médecine ont investi ces enjeux en soulevant les conséquences de cette forme de médecine, comme la responsabilisation croissante des individus face à leur santé (Saukko 2017), l’utilisation de ces données dans l’accès aux assurances (Hoyweghen 2006), le déterminisme génétique (Landecker 2011) ou encore l’affaiblissement entre les frontières de la bonne santé et de la maladie (Timmermans et Buchbinder 2010). Ces enjeux ont été étudiés sous un angle féministe avec un intérêt particulier pour les effets du dépistage prénatal sur la responsabilité parentale (Rapp 1999), l’expérience de la grossesse (Rezende 2011) et les gestions de l’infertilité (Inhorn et Van Balen 2002). Les changements dans la compréhension du modèle génomique invitent à prendre en considération plusieurs variables en interaction, impliquant l’environnement proche ou lointain, qui interagissent avec l’expression du génome (Keller 2014). Dans ce contexte, l’anthropologie médicale a développé un intérêt envers de nouveaux champs d’études tels que l’épigénétique (Landecker 2011), la neuroscience (Choudhury et Slaby 2016), le microbiome (Benezra, DeStefano et Gordon 2012) et les données massives (Leonelli 2016). Dans le cas du champ de l’épigénétique, qui consiste à comprendre le rôle de l’environnement social, économique et politique comme un facteur pouvant modifier l’expression des gènes et mener au développement de certaines maladies, les anthropologues se sont intéressés aux manières dont les violences structurelles ancrées historiquement se matérialisent dans les corps et ont des impacts sur les disparités de santé entre les populations (Pickersgill, Niewöhner, Müller, Martin et Cunningham-Burley 2013). Ainsi, la notion du traumatisme historique (Kirmayer, Gone et Moses 2014) a permis d’examiner comment des événements historiques, tels que l’expérience des pensionnats autochtones, ont eu des effets psychosociaux collectifs, cumulatifs et intergénérationnels qui se sont maintenus jusqu’à aujourd’hui. L’étude de ces articulations entre conditions biologiques et sociales dans l’ère « post-génomique » prolonge les travaux sur le concept de biosocialité, qui est défini comme « [...] un réseau en circulation de termes d'identié et de points de restriction autour et à travers desquels un véritable nouveau type d'autoproduction va émerger » (Traduit de Rabinow 1996:186). La catégorie du « biologique » se voit alors problématisée à travers l’historicisation de la « nature », une nature non plus conçue comme une entité immuable, mais comme une entité en état de transformation perpétuelle imbriquée dans des processus humains et/ou non-humains (Ingold et Pálsson 2013). Ce raisonnement a également été appliqué à l’examen des catégories médicales, conçues comme étant abstraites, fixes et standardisées. Néanmoins, ces catégories permettent d'identifier différents états de la santé et de la maladie, qui doivent être compris à la lumière des contextes historiques et individuels (Lock et Nguyen 2010). Ainsi, la prise en compte simultanée du biologique et du social mène à une synthèse qui, selon Peter Guarnaccia, implique une « compréhension du corps comme étant à la fois un système biologique et le produit de processus sociaux et culturels, c’est-à-dire, en acceptant que le corps soit en même temps totalement biologique et totalement culturel » (traduit de Guarnaccia 2001 : 424). Le concept de « biologies locales » a d’abord été proposé par Margaret Lock, dans son analyse des variations de la ménopause au Japon (Lock 1993), pour rendre compte de ces articulations entre le matériel et le social dans des contextes particuliers. Plus récemment, Niewöhner et Lock (2018) ont proposé le concept de biologies situées pour davantage contextualiser les conditions d’interaction entre les biologies locales et la production de savoirs et de discours sur celles-ci. Tout au long de l’histoire de la discipline, les anthropologues s’intéressant à la médecine et aux approches de la santé ont profité des avantages de s’inscrire dans l’interdisciplinarité : « En anthropologie médical, nous trouvons qu'écrire pour des audiences interdisciplinaires sert un objectif important : élaborer une analyse minutieuse de la culture et de la santé (Dressler 2012; Singer, Dressler, George et Panel 2016), s'engager sérieusement avec la diversité globale (Manderson, Catwright et Hardon 2016), et mener les combats nécessaires contre le raccourcies des explications culturelles qui sont souvent déployées dans la littérature sur la santé (Viruell-Fuentes, Miranda et Abdulrahim 2012) » (traduit de Panter-Brick et Eggerman 2018 : 236). L’anthropologie médicale s’est constituée à la fois comme un sous champ de l’anthropologie socioculturelle et comme un champ interdisciplinaire dont les thèmes de recherche sont grandement variés, et excèdent les exemples qui ont été exposés dans cette courte présentation.
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8

Couture, Jean-Simon. "Multiculturalisme." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.047.

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Abstract:
Durant plus d’un siècle, la culture a été l’une des notions les plus en vogue en anthropologie. Malgré la diversité épistémologique qui la sous-tend, il est un trait qui rassemble les diverses définitions de la culture, celui de la considérer comme une entité isolée et comme un organisme social cohérent en soi. À partir des années 1980, tous les concepts holistes de la culture ont été la cible d’une critique en partie justifiée. On leur reprochait de considérer les cultures comme des phénomènes propres à une seule société, selon le principe une société, une culture. Cherchant à considérer le caractère pluriel des sociétés contemporaines, on a recouru à plusieurs expressions comme, par exemple, multiculturalisme, communication interculturelle et identités transculturelles. Les préfixes multi-, inter- et trans- ont en commun une certaine affinité mais aussi des connotations diverses. Ces trois préfixes servent à construire des notions utilisées soit dans un contexte descriptif et par conséquent, analytique, soit dans un cadre prescriptif et donc normatif. Toutefois la distinction entre ce qui est et ce qui devrait être n’est pas clairement définie. C’est pourquoi, d’une part, on se trouve face à un mélange d’interprétations scientifiques, et d’autre part, de raisonnements appréciatifs et de jugements de valeur. C’est ainsi que l’analyse scientifique tend à se confondre et à se brouiller avec les programmes politiques, à quoi il convient d’ajouter des vues idéologiques utopiques. L’approfondissement de la notion de multiculturalisme fera foi d’exemple. Qu’est-ce que peut vouloir signifier le terme de multiculturalisme? Ce terme, de même que le préfixe multi tendent en fait à souligner l’importance aussi bien des différences culturelles que des frontières qui s’y rattachent. Ainsi, avec la notion de multiculturalisme on met en évidence la séparation des collectivités entre elles, y compris du point de vue spatial. Le terme de multiculturalisme possède une orientation plus relativiste, communautariste et parfois ségrégationniste ainsi qu’un caractère plutôt additif et moins relationnel comparativement à des notions telles que celles d’interculturalité et de transculturel (Taylor, 1992; Kymlicka, 1995 Modood, 2002). Les préfixes inter ou trans seraient considérés comme plus dynamiques, ouverts et processuels. Et pourtant le concept de multiculturalisme continue à être utilisé par des chercheurs, des politiciens, des intellectuels ou par de véritables producteurs d’identité, dans les pays où la différence culturelle est considérée comme un enrichissement social et surtout comme une donnée de fait, acceptée pragmatiquement comme telle le ou encore, là où elle fait l’objet d’un véritable culte. En raison de la grande hétérogénéité entre les divers types de multiculturalisme, il semble judicieux de se pencher sur ce qu’est le multiculturalisme en analysant des situations que l’on peut observer dans certaines sociétés où il fait partie des discussions quotidiennes et dans lesquelles le terme est opérationnel. Nous avons choisi trois cas exemplaires ne faisant pourtant pas partie des cas considérés comme classiques et par conséquent les mieux connus. Il s’agit de l’Allemagne, de la Suisse et de la Malaisie. En Allemagne, nation qui se considère comme historiquement monoethnique, le terme de Multikulturalismus, conçu lors de l’arrivée d’un nombre important d’immigrés de l’Europe du Sud suite à la Deuxième Guerre, a joui d’une grande popularité entre les années 970 et 1990. Aujourd’hui le terme de Multikulturalismus a mauvaise réputation. La mauvaise connotation actuelle du terme est attribuable au projet socio-culturel nommé MultiKulti. Ce projet dont le centre a été Francfort et Berlin (alors Berlin Ouest), où la concentration d’immigrants était particulièrement haute, s’est fait remarquer par ses bonnes intentions, mais surtout par le dilettantisme qui y a présidé. Ce qui a fini par discréditer toute conception politique future de multiculturalisme au sein d’une nation très fière depuis toujours de son homogénéité culturelle. La société allemande n’a jamais été sensible à la diversité culturelle, mais ce que l’on appelait le MultiKulti était fondé sur une idée plutôt vague de coexistence harmonieuse et spontanée entre des cultures fort diverses au quotidien. Le MultiKulti était donc destiné à échouer en raison de la négligence même avec laquelle il avait été pensé dans ce contexte. C’est pourquoi le multiculturalisme inhérent au projet d’une société MultiKulti finit par évoquer en Allemagne le spectre de sociétés parallèles, à savoir l’existence de communautés ethnoculturelles séparées qui vivent sur le territoire national dans des quartiers urbains ethniquement homogènes. Un scénario de ce genre, considéré comme une calamité, a réveillé les fantasmes du sinistre passé national-socialiste. C’est pour cette raison qu’actuellement, le multiculturalisme est rejeté aussi bien par le monde politique que par une grande partie de la société. Ainsi, c’est le concept d’intégration, comme forme d’assimilation souple, qui domine maintenant. En Suisse, le terme de multiculturalisme jouit d’une réputation bien meilleure. La société nationale, avec sa variété culturelle, la tolérance qui règne entre les communautés linguistiques et confessionnelles, la stabilité fondée sur le consensus et sur l’accord, est conçue et perçue comme une forme particulière de société multiculturelle. La Suisse est donc une communauté imaginée dont la multiculturalité est historiquement fixée et sera, à partir de 1848, constitutionnellement définie, reconnue et partiellement modifiée. Dans le cas de la Suisse on peut parler d’un multiculturalisme constitutionnel fondé sur la représentation que le peuple suisse s’est forgée au sujet de ses communautés culturelles (les Völkerschaften) diverses et séparées par les frontières cantonales. La société suisse est bien consciente et fière de ses différences culturelles, légalement reconnues et définies par le principe dit de territorialité selon lequel la diversité est cultivée et fortement mise en évidence. Will Kymlicka a raison lorsqu’il affirme que les Suisses cultivent un sentiment de loyauté envers leur État confédéré précisément parce que celui-ci garantit d’importants droits à la différence et reconnaît clairement des délimitations culturelles relatives à la langue et à la confession (Kymlicka 1995). Le sentiment d’unité interne à la société suisse est à mettre en rapport avec les politiques de reconnaissance de l’altérité qui se basent paradoxalement sur la conscience que le pays est une coalition de résistances réciproques dues aux différences linguistiques et religieuses au niveau cantonal. Cette conscience différentialiste a eu pour conséquence la pratique du power sharing (partage de pouvoir) qui fait que la Suisse est devenue un exemple de démocratie consociative (Lijphart 1977). Ce système politique ne coïncide pas avec le modèle classique de la démocratie libérale car pour affaiblir les résistances des cantons il est nécessaire de recourir au niveau fédéral à de vastes coalitions qui tiennent compte de l’équilibre entre les communautés cantonales et neutralisent la dialectique entre majorité et opposition. Il convient d’ajouter que les étrangers et les immigrés non citoyens sont exclus des pratiques politiques du multiculturalisme helvétique. La condition première pour participer est l’intégration, à savoir une forme plus légère d’assimilation, puis l’obtention de la nationalité. Le régime colonial britannique et dans une moindre mesure le régime hollandais, ont créé en Afrique, en Amérique, en Océanie mais surtout en Asie des sociétés appelées plural societies (Furnivall 1944) en raison de leur forte diversité ethnoculturelle. Dans ces sociétés, les communautés semblent mener volontairement des existences parallèles, les contacts culturels n’ayant lieu que sporadiquement avec les autres composantes de la société. Le multiculturalisme constitue un instrument politique et social indispensable pour garantir la reconnaissance et le respect réciproque des différences ethno-culturelles à l’intérieur d’un État souverain portant la marque d’une telle complexité. C’est le cas de la Malaisie où vivent ensemble et pacifiquement, mais non sans tensions permanentes, une dizaine de communautés ethnoculturelles parmi lesquelles on trouve, pour les plus nombreuses, les Malais, les Chinois et les Indiens. Dans ce pays on a créé des représentations et des stratégies d’action concrètes visant à mettre au point une forme spécifique de multiculturalisme qui continuerait à garantir la paix sociale et la prospérité économique. Mentionnons parmi celles-là : -La doctrine de l’harmonie de la nation (rukun negara) fondée sur l’idée de l’« unité dans la diversité ». Cette construction idéologique possède une forte valeur symbolique surtout lorsque naissent des tensions entre les communautés. -Au quotidien, la référence à un principe consensuel d’« unité dans la séparation ». Les diverses communautés tendent à vivre volontairement dans des milieux sociaux séparés mais non ségrégés. -La commémoration du grave conflit interethnique entre Malais et Chinois du 13 mai 1969. Ces faits sont devenus le mythe national négatif, à savoir quelque chose qui ne doit plus se reproduire. -Un régime politique fondé sur le consociativisme ethnique. Le gouvernement fédéral et celui des États particuliers sont formés de grandes coalitions auxquelles participent les divers partis ethniques. -La politique de discrimination positive pour les Malais qui sont la communauté ethnique la plus faible économiquement. Ces mesures sont acceptées tacitement de la part des Chinois et des Indiens (quoique non sans résistance). -Enfin, le projet, à travers le programme One Malaysia, de créer dans le futur une société plus unie, même si elle reste fondée sur le multiculturalisme. Du point de vue socioéconomique et politique, la Malaisie peut se considérer aujourd’hui, malgré des limites évidentes, comme une histoire à succès, un succès dû paradoxalement à cette forme particulière de multiculturalisme. Le multiculturalisme n’est pas une stratégie universalisable (voir le cas de l’Allemagne) pas plus qu’il n’est réductible à un modèle unique (voir le cas de la Suisse et de la Malaisie). Nous sommes plutôt face à un ensemble de solutions fort variées dans leur manière de gérer la diversité dans des sociétés ethniquement et culturellement plurielles. Une théorie générale du multiculturalisme est peut-être trop ambitieuse; l’analyse comparative qui en fait voir les défauts et les difficultés, mais aussi certains avantages importants est en revanche enrichissante.
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Dissertations / Theses on the topic "Satisfaction envers les avantages sociaux"

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Ilama, Ilda Ilse. "GRH et service à la personne.Qualité de l'emploi, implication organisationnelle et engagement au travail des aides à domicile : représentations et pratiques." Thesis, Montpellier 2, 2013. http://www.theses.fr/2013MON20039/document.

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Abstract:
Notre travail de recherche porte sur la problématique de la structuration de la gestion des ressources humaines appliquée au champ de l'aide à domicile. La proposition principale de cette recherche est que l'évaluation de la qualité de l'emploi (représentations et pratiques) articulée à l'implication organisationnelle et l'engagement au travail des aides à domicile influence très largement la gestion des ressources humaines dans le secteur de l'aide à domicile, et sa performance. Nous avons d'abord procédé à une revue de la littérature sur le secteur des services à la personne en se focalisant sur l'activité de l'aide à domicile aux personnes âgées. Ensuite, nous avons abordé les différents concepts clés : la qualité de l'emploi, l'implication organisationnelle et l'engagement au travail. Les théories de contrat psychologique et de « care » ont également été mobilisées dans le cadre des relations d'emploi. Puis nous avons réalisé successivement deux études qualitatives à l'aide d'entretiens semi-directifs auprès de salariés et de managers du secteur. Nous avons traité les données à l'aide de deux logiciels (Nvivo et Tropes). Les résultats de cette recherche montrent une hétérogénéité au niveau des représentations de la qualité de l'emploi. Bien que certains éléments positifs aient été relevés, de nombreux points d'ombre demeurent au niveau de ces représentations. Ainsi, les pratiques ne sont pas toujours convergentes, une marge de manœuvre limitée a été constatée, notamment au niveau du financement des formations des salariés. Les deux types d'acteurs qui ont été interrogés n'ont pas la même perception. L'implication organisationnelle des salariés et leur engagement au travail dans ce secteur reposent sur des critères moins classiques par rapport à d'autres domaines. Dans le champ de l'aide à domicile aux personnes âgées, la conscience professionnelle de certains salariés est déterminante et repose sur les qualités relationnelles avec les bénéficiaires. Les liens affectifs qui sont tissés, entrainent plus d'attention, de responsabilité, et le développement d'un sentiment de compétences. Dans cette recherche, tous ces éléments donnent une certaine légitimité à la théorie du care
This research focuses on the problem of human resources management structuring in the field of home care services. The main proposal of this thesis is that, the evaluation of work quality (representations and practices) connected to work commitment and job involvement of home care employees, influence widely human resources management and its performance in this sector. We initially conducted a literature review in the sector of person-toperson services, we focused on the home care service activities. Then, we analysed the various key concepts: employment quality, work commitment and job involvement. Psychological contract and “care” theories were also mobilized within the framework of the employment relations. Then we successively carried out two qualitative studies using semi-directing interviews with the employees and managers of the sector. We analysed the data using two software (Nvivo and Tropes).We noted a heterogeneity of work quality representations. Although some positive elements were raised, a number of areas in people's representations are still unclear. The practices are not always convergent; a limited scope was noted particularly in the financing of employee's trainings. These two types of actors who were questioned do not have the same perception. Work commitment and job involvement of the employees in this sector are not based on classical criteria compared to the other fields. In the area of home care of elderly, the conscientiousness of Home Help aides is crucial and relies on interpersonal skills. The emotional ties developed between Home Help aides and users; involve more sense of responsibility and the development of a kind of competence feeling. In this research, all these elements give certain legitimacy to the “care” theory
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Prince, Josée. "La présence de gestion flexible des avantages sociaux et la satisfaction des syndicats envers les avantages sociaux." Thèse, 2006. http://hdl.handle.net/1866/1557.

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Poirier, Grenier Johanna. "Étude longitudinale de l’impact de la satisfaction envers les avantages sociaux novateurs sur l’intention de rester chez les travailleurs du secteur des technologies de l’information et des communications." Thèse, 2015. http://hdl.handle.net/1866/14014.

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Abstract:
The objective of this thesis is to understand the impact of satisfaction with innovative benefits on the intention to stay of the information and communications technology industry (ICT) workers. In order to investigate this question, a general research hypothesis was presented based on a literature review and on Blau’s social exchange theory (1964) and Maslow’s theory of needs (1943). The general research hypothesis states that satisfaction with innovative benefits increases intention to stay through time. The data used in this thesis were collected as part of a larger research on the relationships between compensation, training and skills development and attracting and retaining key employees. The longitudinal data come from an office located in Montreal of a major international company from the ICT sector. The study population consists of workers newly hired between April 1st, 2009 and September 30th, 2010. The results confirm the research hypothesis showing that satisfaction with innovative benefits increase intention to stay through time. Among the various innovative benefits studied, the results indicate that it is the satisfaction with the gym at work that best predicts intention to stay of workers. Other innovative benefits significantly related to intention to stay are the games library, the lounge, the medical clinic and the library in the workplace. Also, longitudinal analyses reveal that it is mainly the differences between the individual characteristics of the employees who best explain intention to stay than the differences across time of the same worker. This thesis concludes by discussing the best way for industrial relations managers to use the results in order to retain their employees. Then, the limits of the study and some directions for further research are also presented.
L’objectif de ce mémoire est de comprendre l’impact de la satisfaction envers les avantages sociaux novateurs sur l’intention de rester des travailleurs du secteur des technologies de l’information et des communications (TIC). Pour étudier cette question, une hypothèse générale de recherche a été émise basée sur la revue de littérature ainsi que sur les théories de l’échange social de Blau (1964) et de la théorie des besoins de Maslow (1943). L’hypothèse générale de recherche soutient que la satisfaction envers les avantages sociaux novateurs fait augmenter l’intention de rester des travailleurs dans le temps. Les données utilisées dans ce mémoire ont été recueillies dans le cadre d’une enquête portant sur les relations entre la rémunération, la formation et le développement des compétences avec l’attraction et la rétention des employés clés. De nature longitudinale, les données proviennent du bureau situé à Montréal d’une entreprise d’envergure internationale du secteur des TIC. L’échantillon est composé d’employés embauchés entre le 1er avril 2009 et le 30 septembre 2010. Les résultats confirment l’hypothèse générale de recherche voulant que la satisfaction envers les avantages sociaux novateurs fait augmenter l’intention de rester des employés dans le temps. Parmi les différents avantages sociaux novateurs étudiés, les résultats indiquent que c’est la satisfaction envers le gym au travail qui prédit le mieux l’intention de rester des travailleurs. Les autres avantages sociaux novateurs trouvés significatifs en lien avec l’intention de rester sont la ludothèque, le lounge/salle de repos, la clinique médicale et la bibliothèque sur les lieux du travail. De plus, les analyses longitudinales révèlent que ce sont surtout les différences entre les caractéristiques individuelles des employés qui expliquent le mieux l’intention de rester et non les différences à travers le temps chez un même travailleur. Ce mémoire se termine en discutant de la meilleure façon pour les gestionnaires en relations industrielles d’utiliser les résultats dans le but de retenir leurs employés performants. Puis, les limites de l’étude et certaines pistes de recherches futures sont également présentées.
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