Academic literature on the topic 'Savants chrétiens'

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Journal articles on the topic "Savants chrétiens"

1

Lecousy, Amélia. "De Pierre Le Vénérable À Eudes De Châteauroux: La Réception Du Talmud, Entre Hostilité Et Incompréhension." Perichoresis 18, no. 4 (August 1, 2020): 3–20. http://dx.doi.org/10.2478/perc-2020-0019.

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Abstract:
AbstractCet article met en lumière la réception du Talmud parmi les érudits parisiens chrétiens entre 1140, avec la rédaction du Adversus judaeorum de Pierre le Vénérable, et 1248, la condamnation officielle par Eudes de Châteauroux. Avec la création des universités au XIIe siècle, la curiosité intellectuelle et la soif de savoir dirigent les théologiens chrétiens vers des textes non plus uniquement bibliques, mais aussi rabbiniques. Simultanément, la présence de l’Église et son orthodoxie doctrinale se renforcent, avec un désir encore plus fort d’encadrer ses fidèles. Le XIIIe siècle est l’époque d’une série de condamnations de thèses chrétiennes par l’Église pour prévenir la propagation d’erreurs dogmatiques. Avec Pierre le Vénérable, nous voyons pour la première fois un théologien chrétien s’attarder sur les textes talmudiques. Ce n’est véritablement qu’un siècle plus tard que le Talmud se fait connaître par les savants chrétiens, après que Nicolas Donin, juif converti au christianisme, informe Grégoire IX des erreurs blasphématoires à l’encontre de Dieu et du christianisme contenues dans ce livre. Une fois examiné, le Talmud est condamné 1240, puis solennellement en 1248 par l’autorité parisienne, soutenue par des enregistrements méticuleux, intitulés Extractiones de Talmut.
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2

Henderson, Judith Rice. "Language, Race, and Church Reform: Erasmus' De recta pronuntiatione and Ciceronianus." Renaissance and Reformation 30, no. 2 (January 1, 2006): 3–42. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v30i2.9573.

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Abstract:
L'examen des volumes des éditions Froben qui contiennent le dialogue caustique du Ciceronianus, suggère qu'Érasme et ses imprimeurs répondaient à des attaques italiennes et espagnoles dirigées contre les contributions rhénanes en recherche biblique et patristique. L'édition de mars 1528 et sa révision d'octobre 1529 / mars 1530 s'ouvrent sur le dialogue De recta Latini Graecique sermonis pronuntiatione dialogus, dans lequel Érasme surpasse les études sur la prononciation des langues anciennes effectuées par les humanistes ayant collaboré avec les Presses Aldine, entre autres Girolamo Aleandro. La révision de mars 1529 a étée publié rapidement, avec ses Colloquia, en mars 1529 par les éditions Froben en réponse à la réaction française. D'autres ouvrages, reconnaissant la contribution d'humanistes germaniques faisant partie du cercle d'Érasme, accompagnent chaque édition du Ciceronianus. L'édition d'octobre 1529 ajoute également une lettre adressée à Karel Uutenhove de Gand, dans laquelle Érasme fait allusion à d'autres humanistes importants qui le soutiennent en Europe, de l'Angleterre à l'Italie. Karel Uutenhove avait aidé Érasme à gagner la faveur du cicéronien Pietro Bembo, à Padoue et Venise. Considérés ensemble, ces deux dialogues et les autres documents annexés, constituent un manifeste du programme réformateur d'Érasme, ainsi qu'un plaidoyer adressé à l'Église afin qu'elle modifie son attitude négative envers la « Germanie », et qu'elle résolve le schisme en cours en réajustant son approche des langues anciennes, ecclésiastiques et internationales que sont le grec et le latin. Il propose de ne pas distinguer les barbares du nord d'un club d'élite de cicéroniens italiens, et propose que les savants chrétiens devraient plutôt modifier la Babel européenne des dialectes latins et grecs et promouvoir l'unité de l'Église à travers la transmission à la génération suivante d'une prononciation ancienne restaurée.
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3

Bylina, Stanislaw. "L'enfer en Pologne médiévale (XIVe-XVe siècles)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, no. 5 (October 1987): 1231–44. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283445.

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Abstract:
Le chrétien, en Pologne, au déclin du Moyen Age ressentait la mort de l'homme comme un phénomène ordinaire et naturel, quoique en même temps elle le remplît de crainte, car elle ouvrait une sphère d'existence inconnue et inquiétante. Participant depuis plusieurs générations au culte chrétien, soumis à l'enseignement de l'Église, l'habitant des territoires polonais, comme ses coreligionnaires de toute la chrétienté occidentale, ne pouvait connaître que les alternatives d'une vie d'outre-tombe dépendant du verdict divin. Il savait aussi que la récompense comme le châtiment des âmes humaines étaient attachés à des lieux de séjour définis.
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4

Painchaud, Louis. "Assemblées de Smyrne et de Philadelphie et congrégation de Satan." Dossier 70, no. 3 (August 31, 2015): 475–92. http://dx.doi.org/10.7202/1032787ar.

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Abstract:
Pendant près de deux millénaires, « faux-Judéens » et « synagogue de Satan » de Smyrne et de Philadelphie (Ap 2,9 ; 3,9) ont été considérés comme des « Juifs », membres des « synagogues » de ces villes, hostiles aux « chrétiens » qu’ils auraient même dénoncés auprès des autorités. Dans la deuxième moitié du xxe siècle, dans un contexte qui a suscité tout un courant de réflexion critique sur l’antisémitisme chrétien, plusieurs ont proposé de voir dans ces « Juifs » des factions hostiles à Jean au sein des assemblées auxquelles il s’adresse. L’hypothèse qui est proposée ici est de voir, dans ces Judéens accusés de blasphème et taxés d’être de faux Judéens ou des Judéens menteurs, des membres de l’ethnos Judéens souillés, aux yeux de Jean, un prophète judéen sectaire, par leur intégration dans le tissu associatif de la cité. Quant à la « congrégation de Satan » qu’ils formeraient, elle ne doit pas être entendue comme la désignation d’une communauté judéenne ayant une existence réelle dans la cité, mais comme une pure construction de Jean, prophète de Jésus le Vivant qui ne se savait pas encore chrétien, visant à démoniser non pas tous les Judéens de ces deux cités, mais certains Judéens infidèles aux commandements et, donc, à leur identité judéenne.
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5

Aubin, Françoise. "La version chinoise de l'islam." European Journal of Sociology 30, no. 2 (November 1989): 192–220. http://dx.doi.org/10.1017/s0003975600005865.

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Abstract:
Le frisson que, fort de ses traditions chrétiennes et utilitaristes, un Français du xxe siècle ne manque pas d'éprouver devant chaque avatar de l'islam mondial n'est pas son seul fait. Ne voit-on pas déjà, vers 1867, un bouddhologue russe (V. P. Vasil'ev, 1818–1900) tenter d'attirer l'attention du monde chrétien sur le péril d'engloutissement dont il voyait menacé celui-ci par une Chine prête à sombrer, croyait-il, dans l'islamisme ? À l'époque où rien ne semblait arrêter l'expansion triomphante de l'empire russe à travers une Asie centrale endormie (Tashkent est conquis en 1865, Bukhara et Khiva en 1873), les grands soulèvements musulmans de l'Ouest chinois — au Kansu, dans l'actuel Ninghsia, au Yünnan — paraissaient, eux, lancés pour propager leur incendie d'une communauté musulmane à l'autre, jusqu'aux extrémités de l'empire chinois et au-delà. Les prédictions du savant russe se sont finalement avérées, dix ans plus tard, fausses de bout en bout. Noyé dans des flots de sang, l'islam cessait, à partir de 1876, d'être un problème pour le trône des Ch'ing [Qing]; et la Chine impériale, ainsi que la Chine républicaine qui allait suivre, était bien incapable de déferler sur le monde chrétien.
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6

Iancu, Michaël. "Juifs et chrétiens à Montpellier au Moyen Âge. Insertion, relations savantes et exclusion." Études théologiques et religieuses 93, no. 1 (2018): 83. http://dx.doi.org/10.3917/etr.0931.0083.

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7

Boureau, Alain. "La censure dans les universités médiévales (note critique)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 55, no. 2 (April 2000): 313–23. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2000.279849.

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Abstract:
L'une des grandes originalités de l'Occident médiéval consiste dans l'existence des universités, c'est-à-dire d'institutions permanentes, centralisées et relativement autonomes, vouées à l'élaboration et à la diffusion du savoir et dotées de ressources directes ou indirectes. On sait que l'Orient chrétien ne connut rien de tel. L'organisalion corporative de l'université médiévale se distingue clairement d'autres types d'institutions du savoir que l'on trouve dans diverses cultures, sous forme de castes de savants ou de sages, de clientèles, ou encore de délégations à l'intérieur des groupes familiaux ou des communautés. Dans cette forme d'organisation, la question de la liberté était essentielle, et d'abord au sens le plus commun du mot « liberté » au Moyen Age, c'est-à-dire au sens de privilèges accordant une certaine immunité judiciaire et fiscale.
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8

Majorana, Bernadette. "Une pastorale spectaculaire Missions et missionnaires jésuites en Italie (XVIe-XVIIIe siècle)." Annales. Histoire, Sciences Sociales 57, no. 2 (April 2002): 297–320. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.2002.280046.

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Abstract:
RésumésL’important phénomène des «missions intérieures» dans les zones rurales, caractéristique de l’âge moderne, est vu ici sous l’angle des jésuites de la Province de Rome. À travers une recherche approfondie dans les sources, notamment les lettres et comptes rendus manuscrits des jésuites en mission, on peut distinguer trois périodes entre 1540 et 1750, au long desquelles s’organise la pratique missionnaire, se constituant en véritable méthode rationalisée, fondée sur l’expérience acquise sur le terrain. Les jésuites, convaincus que la parole ne suffit pas à emporter l’adhésion des ruraux et à les ramener, dans la vie quotidienne, à des comportements chrétiens, privilégient les interventions spectaculaires stricto sensu, c’est-à-dire visuelles et théâtrales, inspirées de pratiques urbaines et jugées plus adaptées à leur faculté de compréhension que la rhétorique savante. Le style de pastorale qui en découle était axé sur la componction et la pénitence partagées entre missionnaires et fidèles.
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9

Landry-Deron, Isabelle. "Le Dictionnaire chinois, français et latin de 1813." T’oung Pao 101, no. 4-5 (December 7, 2015): 407–40. http://dx.doi.org/10.1163/15685322-10145p05.

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Abstract:
The first printed dictionary from Chinese to a Western language, the Dictionnaire chinois, français et latin, published on the orders of Emperor Napoleon I, was prepared under the direction of Chrétien-Louis De Guignes (1759–1845) and came off the press of the Imprimerie impériale de Paris in 1813. It was based on what was regarded as the best manuscript dictionary compiled by the missionaries in China, the Hanzi xiyi by the Italian Franciscan, Basilio Brollo (1648–1704). Chinese characters were printed using the “Buis du Régent”, a unique set of mobile types engraved in wood, completed in Paris in 1740, the history of which is retraced at the beginning of the article. The sources and characteristics of the 1813 Dictionnaire are then examined, as well as the scholarly rivalries that accompanied its production and the criticism to which it was subjected after its appearance. Le Dictionnaire chinois, français et latin, premier dictionnaire imprimé du chinois dans une langue occidentale, préparé sur ordre de l’empereur Napoléon Ier et sous la responsabilité de Chrétien-Louis De Guignes (1759–1845), sortit des presses de l’Imprimerie impériale de Paris en 1813. Il se basait sur ce qui était considéré comme le meilleur dictionnaire manuscrit rédigé par les missionnaires en Chine, le Hanzi xiyi du franciscain italien Basilio Brollo (1648–1704). Les caractères chinois furent imprimés avec les “Buis du Régent”, un ensemble unique en Europe de types mobiles dont la gravure sur bois avait été achevée en 1740 et dont l’histoire est retracée au début de l’article. Les sources et les caractéristiques du Dictionnaire de 1813 sont ensuite examinées, ainsi que les rivalités entre savants qui en accompagnèrent l’émergence et les critiques auxquelles il fut en butte après sa parution.
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De Gianni, Donato. "A Note on the Nachleben of Sedulius carm. pasch. 5.215-16." Vigiliae Christianae 71, no. 2 (March 9, 2017): 168–74. http://dx.doi.org/10.1163/15700720-12341288.

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Abstract:
The article takes a closer look at the simile of the goat and the vine in Sedulius’ Carmen paschale 5.215-16, an allegory representing the robber who harasses Christ on the cross with his insults. The verse is imitated by the Medieval theologian Honorius Augustodunensis (12th c.) in the prologue of his cosmological treatise De imagine mundi, where it is directed, in an allusive way, against the detractors of that work. This imitation, until now not recognised by scholars, offers a new insight into the fortune of Sedulius’ work in the Middle Ages. L’article approfondit la similitude du bouc et de la vigne utilisée par Sedulius aux vv. 215-16 du cinquième livre du Carmen Paschale pour représenter allégoriquement le voleur qui harcèle avec ses offenses le Christ crucifié. Le locus poétique est imité par le théologien médiéval Honorius Augustodunensis (xiie siècle) dans le prologue du traité cosmologique De imagine mundi avec une claire intention allusive aux détracteurs de l’oeuvre. Une telle imitation, jusqu’alors jamais relevé par les savants, offre une nouvelle contribution à la fortune du poète chrétien à l’époque médiévale. This article is in English.
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Dissertations / Theses on the topic "Savants chrétiens"

1

Lecousy, Amélia. "Dialogue, collaboration et transmission du savoir entre intellectuels juifs et chrétiens : la France des XIIIe-XIVe siècles." Thesis, 2019. http://hdl.handle.net/1866/24794.

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Abstract:
Cette thèse s’intéresse aux collaborations et au partage du savoir entre intellectuels juifs et chrétiens, en France, durant les XIIIe et XIVe siècles et propose une analyse comparative des différents échanges, dans trois domaines distincts : théologie, philosophie et astronomie. En prenant en compte les sources latines et hébraïques qui témoignent de cette transmission du savoir, nous proposons une étude approfondie divisée en deux parties. La première s’intéresse à l’évolution de l’enseignement dans les communautés juives et dans la société chrétienne. La seconde analyse le contexte de rédaction des Extractiones de Talmut, la transmission du savoir entre Maïmonide et Thomas d’Aquin, la collaboration étroite entre Jacob ben Makhir et Armengaud Blaise, ainsi que l’échange intellectuel significatif entre Gersonide et ses confrères chrétiens. Notre objectif est de répondre aux questions suivantes : les savants chrétiens et juifs recevaient-ils l’information selon leur propre valeur intellectuelle, ne tenant pas compte de leur provenance ? Et existait-il une influence directe de l’un et de l’autre ? Cette étude tente ainsi de montrer les différents motifs de ces échanges à travers un champ contextuel constitué par un événement intellectuel précis. Nous verrons ainsi que ces relations vacillent entre méfiance et admiration.
This thesis sheds lights on collaborations and transfer of knowledge between Jewish and Christian scholars in France during the 13th and 14th centuries. We propose a comparative analysis of different exchanges, in three distinct areas: theological, philosophical and astronomical. Taking into account the Latin and Hebrew sources that testify this transmission of knowledge, we propose an in-depth study, dividing in two sections. The first part narrates the evolution of education in the Jewish communities and in Christian society. The second part analyses the context of the Extractiones de Talmut, the transmission of knowledge between Maimonides and Thomas Aquinas, the close collaboration between Jacob ben Makhir and Armengaud Blaise, as well as the significant intellectual exchange between Gersonides and his fellow Christians. Our objective is to answer the following questions: did Christian and Jewish scholars receive information according to their own intellectual value, ignoring their source? And was there a direct influence from one scholar towards the other? Thus, this study demonstrates the different motives of these exchanges through a contextual field constituted by a specific intellectual event. We will perceive that these relations vacillate between mistrust and admiration.
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Books on the topic "Savants chrétiens"

1

Poulat, Emile. L'histoire savante devant le fait chrétien. Paris: Parole et silence, 2014.

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2

Walter, Robert. Trois profils de Beatus Rhenanus: L'homme, le savant, le chrétien. Strasbourg: Impr. Animation, 1997.

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3

Christianity and the transformation of the book: Origen, Eusebius, and the library of Caesarea. Cambridge, MA: Belknap Press of Harvard University Press, 2007.

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4

The Barmen Declaration as a paradigm for a theology of the American church. Lewiston: E. Mellen Press, 1991.

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5

Muelder, Walter George. The Ethical Edge of Christian Theology: Forty Years of Communitarian Personalism. Lewiston, New York: Edwin Mellen Press, 1994.

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Book chapters on the topic "Savants chrétiens"

1

Lehmann, Yves. "La conversion de Beatus Rhenanus à un platonisme chrétien – sur la base de ses éditions savantes de l’année 1516." In Beatus Rhenanus (1485-1547) et une réforme de l’Eglise : engagement et changement, 113–21. Turnhout: Brepols Publishers, 2018. http://dx.doi.org/10.1484/m.shr-eb.4.2018006.

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2

"35. Les relations avec les chrétiens dans la prosopographie de quelques savants d’époque almohade." In Pays d’Islam et monde latin, 120–23. Presses universitaires de Lyon, 2000. http://dx.doi.org/10.4000/books.pul.21036.

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3

Colot, Blandine. "Lactance, le « Cicéron chrétien » : transmission des textes et contextes." In Érudition et culture savante, 87–100. Presses universitaires de Rennes, 2015. http://dx.doi.org/10.4000/books.pur.89763.

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