Academic literature on the topic 'Schelling, Friedrich Wilhelm Joseph von (1775-1854) – Critique et interprétation – 19e siècle'

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Dissertations / Theses on the topic "Schelling, Friedrich Wilhelm Joseph von (1775-1854) – Critique et interprétation – 19e siècle"

1

Huang, Kuan-Min. "Schelling et la crise de la métaphysique." Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040002.

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Abstract:
Menacée de déclin, la métaphysique dort se confronter à un questionnement sur sa propre crise. Aux yeux de Schelling, la crise de la métaphysique est déjà survenue ; la question devient donc de déterminer le sens de cette crise. En renvoyant au sens originel de la crise, Schelling emploie ce terme pour designer l'acte de séparation radicale d'où dérivent les sens comme le jugement et le moment crucial, etc. ; ce qui conduit à une considération sur la signification de la crise dans la systématisation schellingienne. Ce travail analyse d'abord dans la première partie, selon la problématique de la synthèse, le contexte de la confrontation rigoureuse chez Schelling avec les moments de séparation au sein du système jusqu'à sa philosophie de l'identité. Après cette partie préparatoire, il examine les différentes significations de la crise dans les textes principaux de la période de la philosophie de la liberté et de l'histoire et esquisse une métaphysique de la crise autour des termes de décision, mort, temporalité, extase, etc… Ces aspects de la crise, vus comme restructuration des éléments systématiques axés sur le décalage entre la liberté et l'existence, envisage la réflexion sur la constitution ontothéologique de la métaphysique. Comme la dernière phase de la philosophie de Schelling se concentre sur la différenciation de la positivité et de la négativité, opération qui exige aussi une réflexion sur la scission intérieure à la philosophie, la troisième partie analyse cette dernière confrontation de la crise et, en saisissant la condition humaine dans l'entreprise métaphysique, considère l'inversion en philosophie comme la réponse à la double fonction de la crise : la séparation et l'identité restauratrice. Le sens de la crise de la métaphysique est dans le dégagement de la propre vitalité de la philosophie au sein et à partir de sa constitution intrinsèque.
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2

Hinsberger, Gisèle. "La quête de la vérité à l'heure du romantisme allemand : une entreprise romantique de séduction de la raison : Schelling et le groupe de Iéna." Lyon 3, 1995. http://www.theses.fr/1995LYO31010.

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Abstract:
Dans la pensee des romantiques, la quete de la verite est recherche de l'absolu. Entreprise philosophique fondee sur l'intuition intellectuelle, la quete du sens sera determinante pour le statut de la raison (schelling, critique de kant). La question metaphysique de l'etre pose celle du savoir philosophique : comment determiner le lieu metaphysique du reel ? d'ou la pensee tient-elle sa validite ? avec schelling se decouvre l'enjeu veritable de la quete ; l'elucidation des rapports de l'homme au divin. L'articulation de la philosophie et de la theosophie a travers un grandiose proces theogonique va se vivre par les romantiques comme une entreprise de seductioin de la raison, annoncant la version tragique de la quete (avec le theme schellingien de la liberte a la formule provocatrice : le bien est le mal) ou la raison desormais se fait memoire du desir. Alors l'ame romantique s'ouvre a l'imaginaire. La philosophie de jung donne le ton aux grands themes du romantisme rassembles de facon analogique dans le marchen (l. Tieck) et formules dans une symbolique de la temporalite. Jung, comme schelling, cherche a dire la verite de la quete - le sans-fondement, "l'eternelle liberte"
In the romantics'minds, the search for truth is the search for the absolute. Philosophical entreprise is based on intellectual intiution, the search for meaning will determine the statute of reason (schelling, one of kant's critics). The metaphysical question of being asks the question of philosophical knowledge : how to determine the metaphysical place of what is real ? where does thought get its validity from ? with schelling the true aspects of the search for truth can be discovered ; the elucidation of man's relationships with the divine. The articulation of philosophy and of theosophy through a grandiose theogonic process will be lived out by the romantics as an entreprise aimed at the seduction of reason, announcing the tragic version of the search (with the schellingian theme of freedom with the provocative formula : good is evil) where reason henceforth becomes the memory of desire. Hense the romantic soul opens itself to the imaginary. Jung's philosophy sets the tone for romantism's major themes brought together in an analogical manner in the marchen (l. Tieck) and formulated in a symbol of temporality. Jung, like schelling, seeks to state the truth of the search - the lack of foundation, the "eternel liberty"
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3

Ruta, Marcello. "La deuxième voie du post-kantisme : temporalité et éternité dans la philosophie de Schopenhauer et Schelling." Strasbourg, 2010. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2010/RUTA_Marcello_2010.pdf.

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Abstract:
La thèse est structurée en quatre chapitres : un premier chapitre, dans lequel on essaie de reconstruire une bibliographie sur Schopenhauer et Schelling. Comme on le montrera, ces deux auteurs ont été toujours mis en relation presque instinctivement, à cause d’une certaine affinité terminologique (par exemple l’utilisation de la notion de volonté) et de l’irrationalisme qui, à partir au moins de Windelband, leur a été imputé. Nonobstant tout cela, il n’y a pas une riche bibliographie où la relation entre les deux auteurs est analysée en profondeur. La situation change depuis quelques années seulement, changement qui a trouvé dans le congrès tenu a Fribourg sous la direction de L. Hühn en 2005 son expression accomplie. Un deuxième chapitre où on analyse la relation entre temporalité et éternité dans les pensées de Kant et Hegel : ce chapitre est décisif pour ce qui concerne la thèse historico-philosophique du travail, parce que c’est ici qu’on fonde l’hypothèse d’une deuxième (non hégélienne) voie du post-kantisme. Les deux derniers chapitres analysent la relation entre temporalité et éternité dans les pensées de Schopenhauer et Schelling. Dans ce dernier cas, on a pris en compte la production médiane de Schelling (de 1809 à 1821). Le travail se clôt par une conclusion qui résume le contenu du travail
The thesis is divided into four chapters : a first chapter, which attempts to reconstruct a bibliography on Schopenhauer and Schelling. As it will be shown, these authors have always been linked almost instinctively, because of a common terminology (e. G. . By using the concept of Will) and the irrationalism that labelled their thoughts, at least since Windelband. In spite of all that, there is not a rich bibliography where the relation between the two authors is deeply analysed. The situation changed only in recent years, a change that has found in the congress held in Freiburg under the direction of L. Hühn in 2005 its full expression. A second chapter, which explores the relationship between temporality and eternity in the thoughts of Kant and Hegel : this chapter is decisive in relation to the historical-philosophical thesis of the work, because it is here that the hypothesis of a second (non-hegelian) way of post-kantianism is founded. The last two chapters discuss the relationship between temporality and eternity in the thoughts of Schopenhauer and Schelling. In the latter case, we took into account the median production of Schelling (from 1809-1821). The work ends with a conclusion which summarizes the content of work
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4

Sulzer, Caroline. "La philosophie de l'art de F. W. J. Schelling." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1996PA040161.

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Abstract:
Ce travail consiste tout d'abord en une traduction française annotée de l'intégralité du texte allemand "Die Philisophie der Kunst" de Schelling. D'autre part,cette traduction est suivie d'une étude intitulée "Schelling l'art et l'absolu" et de documents annexes (schémas synoptiques,index,bibliographie). La problématique du texte est comment présenter en idéal le réel contenu dans l'art ? La première partie,générale,distingue trois étapes dans le cheminement de la pensée à savoir la position particulière de l'art comme réel mais issu de l'Absolu et la construction de la matière puis de la forme de l'art. La seconde partie,spéciale,traite de l'art effectif rendu ainsi possible et de ses formes(art plastique et art de la parole). Après une étude du "Système de l'idéalisme transcendantal" de 1800,où l'art occupait déjà une fonction clé et surtout de la dernière partie,proprement esthétique,et une introduction à la philosophie de l'identité telle qu'elle est traitée dans la "Philosophie de l'art",la postface du traducteur sur la logique même du texte de Schelling et s'attache à la construction de l'art,puis à sa matière,la mythologie,pour conclure sur la théorie de l'oeuvre d'art et sur la partie proprement spéciale de "La Philosophie et l'art".
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5

Remy-Lacheny, Ingrid. "Etude des « Frères de Saint-Sérapion » d'E.T.A. Hoffmann : discours esthétiques et scientifiques." Thesis, Paris 3, 2009. http://www.theses.fr/2009PA030126/document.

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Abstract:
S’appuyant sur les théories esthétiques des frères Schlegel, de Novalis et de Schelling, ce travail s’attache à analyser les discours esthétiques et scientifiques dans Les Frères de Saint-Sérapion d’E.T.A. Hoffmann et à étudier dans quelle mesure et jusqu’à quel point l’écrivain se réapproprie les réflexions de ces premiers romantiques et s’en distancie. Confronté au philistinisme, aux malveillances d’autrui et à ses démons intérieurs, l’artiste sérapiontique poursuit un idéal tant social que psychique. Rêveurs, fous, enfants ou encore sous influence magnétique, les personnages hoffmanniens sont tous en quête de reconnaissance et d’identité. Polyformes, polymorphes et hétérogènes, centrés sur l’interaction artistique, le travail de création et la réception, Les Frères de Saint-Sérapion créent une sorte d’« œuvre d’art totale » avant la lettre où se mêlent aussi bien les sciences que les arts
Using the aesthetic theories of the Schlegel brothers, Novalis and Schelling, this thesis examines aesthetic and scientific discourse as it appears in E.T.A. Hoffmann’s The Serapion Brethren and considers to what extent Hoffmann appropriates early Romantic thought or distances himself from it. Faced with the philistinism and maliciousness of others and with his own interior demons, the Serapiontic artist pursues both a social and psychic ideal. Dreamers, madmen, children or those who are under the influence of magnetidm, Hoffmann’s characters are all seeking recognition and an identity. Polymorphous and heterogeneous, centered on artistic interaction and on the work of creation and reception, The Serapion Brethren is a type of ‘total work of art’ before its time in which the sciences and the arts come together
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6

Challiol-Gillet, Marie-Christine. "Schelling, une philosophie de l'extase : de l'intuition intellectuelle à l'extase de la raison, une tentative de compréhension de l'Absolu par la philosophie." Paris 10, 1993. http://www.theses.fr/1993PA100139.

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Abstract:
L'extase, puissance de sortie de soi et confrontation au tout-autre, est un terme récurrent de la dernière philosophie de Schelling. Elle apparaît en deux emplois principaux: extase de la raison, elle donne à cette dernière, par le renoncement initial qu'elle suppose, la possibilité de comprendre le Dieu créateur qui ne peut jamais être déduit a priori. Extase en Dieu, elle est la manifestation de la toute-puissance et de la liberté divines: Dieu est assez sûr de soi pour poser ce qui le nie. Ces deux emplois sont étroitement liés, l'extase en Dieu est la condition de l'extase de la raison. L'extase est par ailleurs le résultat de la transformation de l'intuition intellectuelle, mode de saisie de l'absolu qui régnait dans la philosophie de l'identité, et le passage de l'un à l'autre concept résume la transformation de l'absolu lui-même dans la philosophie de Schelling. La thèse soutenue est celle de la continuité de l'ensemble de la dernière philosophie. La transformation de la philosophie négative en science rationnelle, première partie du diptyque dont la philosophie positive constitue le second volet, est compatible avec la prééminence toujours conservée à la philosophie positive. L'hypothèse continuiste doit toutefois avouer ses limites face à la dernière oeuvre de Schelling, l'exposé de la philosophie purement rationnelle, malheureusement inachevée. Le sens général de la dernière philosophie semble cependant être celui d'un maintien de la philosophie positive, alors même que l'idéalisme retrouve ses droits
Ecstasy - The power to transcend oneself and confront absolute difference, is a recurrent phrase in Schelling's latter philosophy. It is used mainly in two different ways: as the ecstasy of reason, it endows the latter, through the initial renunciation it implies, with the possibility of comprehending God the Maker, who can never be deduced a priori. As the ecstasy in God, it demonstrates God's almighty power and his liberty: God is self-assured enough to suppose what denies him. Those two different uses are closely linked, the ecstasy in God being the condition for the ecstasy of reason. Besides, ecstasy is the resulty of the transformation of intellectual intuition, a way of comprehending the absolute that used to prevail in the philosophy of the self, and the transition from one to the other therefore summarizes the evolution of the absolute itself in Schelling's philosophy. The argument here is states the continuity of the latter philosophy as a whole. The transformation of negative philosophy into rational science, the first part of the twofold work of which positive philosophy constitutes the second section. Is compatible with the persisting pre-eminence given to positive philosophy. The hypothesis of continuity must however akcnowledge its difficulties to account for Schelling's last work, which was unfortunately never completed
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Cerutti, Patrick. "Spéculation et expérience : Schelling au miroir de Jacobi." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040007.

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Abstract:
" Les meilleurs ennemis du monde " : c'est ainsi que Jacobi, la conscience inquiète et socratique de l'idéalisme allemand, définit le rapport qui l'unit à Schelling. La critique sévère qu'il a adressée à la science de l'Absolu schellingienne et à toute la pensée issue de Kant, agit comme un révélateur d'une des tendances les plus profondes de la philosophie moderne. L'accusation de nihilisme qu'il a portée contre les doctrines de l'Un et du Tout remet en cause l'ambition même du postkantisme : assurer à la philosophie son statut de science. Son oeuvre a pourtant pu passer pour la principale inspiratrice des systèmes qu'il combat et son mot d'ordre, manifester l'existence, est peut-être encore celui qui guide Schelling lorsqu'il édifie sa fameuse philosophie positive. Celui-ci parvient-il finalement à étayer sa critique du rationalisme sur autre chose qu'un recours au non-savoir que lui-même juge seulement négatif et à donner à sa pensée une forme affirmative et dogmatique ?
" Best enemies of the world " : this is how Jacobi – the worried and Socratic consciousness of the German idealism, defines the link that units him to Schelling. The severe criticism he made to the schellingian science of Absolute and to the postkantian philosophy, acts as a developper of one of the deepest trends of modern philosophy. Nihilism accusation he brings against the doctrines of the One and All questions postkantism's ambition, which is to secure philosophy its scientific status. Nevertheless its work could have been the main inspiration of systems he fights against and his motto " to reveal existence " is still maybe the one which leads Schelling when he builds his famous positive philosophy. Did the former finally achieved to support his criticism of rationalism on the ground of something else than a recourse to non-knowledge and give to his thinking an affirmative and dogmatic aspect ?
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Hay, Katia. "Die Notwendigkeit des Scheiterns : eine Analyse des Tragischen als Bestimmung der Darstellung der philosophie bei F. W. J. Schelling." Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040092.

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Abstract:
Cette thèse propose une lecture de la pensée de Schelling à partir des Lettres sur le dogmatisme et le criticisme de 1795 jusqu’aux Leçons d’Erlangen (1825) d'après la notion du tragique. Cela entraîne non seulement une étude des textes de Schelling, mais aussi une définition philosophique du tragique. L'originalité de ma thèse réside en que cette "métaphysique du tragique" va être rigoureusement dégagée de l'interprétation schellingienne de la tragédie dans sa Philosophie de l’art de 1802-1805. Or, le but principal de mon analyse est de montrer, comment le tragique n’est pas seulement un sujet possible de réflexion de la philosophie de Schelling, mais un processus dont la philosophie elle-même devient le sujet. Ainsi l’accomplissement, le zénith de clarté est aussi pour la philosophie, comme pour Œdipe, la connaissance de soi-même et en ceci la reconnaissance de sa finitude et de son échec insurmontable. Mais l'importance de cet échec, ne se réduit pas au fait que le discours philosophique soit essentiellement inachevé ; ce qui est plus important, c'est que la philosophie n'est rien d’autre que la réalisation interminable de cet échec. Un processus qui commence dans les Recherches philosophiques sur l'essence de la liberté humaine de 1809 et qui culmine avec ses Leçons d’Erlangen. La thèse principale de ma dissertation est donc directement liée à l'incapacité d'exprimer l'infini, et à la réalisation de cette incapacité. Pour cela le tragique s'avère non seulement pertinent, mais essentiel pour comprendre tant la philosophie, que la démarche ou la généalogie de sa pensée jusqu'aux 1825. Et pourtant ceci n'est pas la fin de la philosophie, mais plutôt son commencement
The main aim of my dissertation is to show how Schelling's philosophy can be seen as an ongoing reflection upon the problem of expression, i. E. The problem of putting into words what essentially cannot be defined, namely the absolute. However, the significance of this failure is not merely that philosophical discourse is unfinished or unrealizable; the problem we are confronted with has to do with the fact that philosophy is not anything else than the written texts, and hence is itself necessarily unfinished or incomplete. To put it in other more Schellinguian terms, philosophy is an eternal process of becoming itself; a process which should also be considered as a process of liberation or emancipation (Befreiung). On the other hand, the analysis of Schelling's Philosophy of Art, where he claims Greek Tragedy to be the highest and most sublime form of art, enables me to consider this very process as a tragic one. Indeed the tragic is seen as the thread or the underlying structure which shapes Schelling's whole enterprise. For in the same way Oedipus had to kill his father in order to become aware of his true nature, in the same way the realisation of human freedom entails a necessary (original) sin, philosophy can only be achieved through failure. Philosophy needs to fail, so it may become aware of its own fallibility. In the last chapter I show how this very insight is directly developed in the Erlangen Lectures from 1825, which thus become the final confirmation of my thesis. However, I also prove, that this does not mean the Erlangen Lectures are the end of philosophy: they should rather be regarded as the starting point for any attempt to achieve the unattainable
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Mbele, Charles-Romain. "Mythologie et processus théogonique : examen de la question monothéiste dans la pensée africaine moderne au miroir du dernier Schelling." Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010704.

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Abstract:
Notre travail se propose d'interroger d'un point de vue philosophique l'idée d'une foi monothéiste originelle introduite par l'ethno-philosophie, un aspect de la théologie missionnaire, dans les débats philosophiques africains modernes. Ce courant de pensée part de cet a priori métaphysique tout en refusant de le problématiser par son adhésion à la vision africaine découverte - du fait de son africanité. Par ses choix méthodologiques et la stérilité de ses catégories (méthode linguistique comme mode d'accès privilégié à la culture et à la pensée africaines, philosophie servante de la théologie, retro-jection dans la tradition de croyances objectivement étrangères, etc. ), l'ethno-philosophie a acculé à de multiples impasses la réflexion philosophique africaine moderne. Aussi, en contrepoint de l'approche de Tempels et de Kagame - coryphees de l'ethno-philosophie - des penseurs africains refusent tout questionnement des mythes et de l'idée de Dieu : c'est le cas de P. Hountondji - par agnosticisme et par scientisme "épistémologiste" - et de F. Eboussi - par apophase. Pour sortir de ces apories, notre approche est archéologique : remonter aux lieux de genese des thèses de l'ethno-philosophie dans la théologie, la métaphysique traditionnelle, la philosophie et l'ethnologie religieuses du siècle dernier et du début de ce siècle, le courant de la négritude que l'ethno-philosophie voulait circonvenir. C'est le dernier schelling qui nous donne cette archéologie. En remontant à la philosophie positive, nous trouvons un axe philosophique pour saisir conceptuellement des questions apparemment disparates, afin de les reformuler. Le philosophe allemand circonscrit dans la théorie de l'émanation de F. Creuzer les difficultés et les incohérences théologiques et philosophiques de la révélation d'une foi monothéiste originelle, essentiellement le caractère négatif de ses concepts (dégénérescence, dégradation, effritement, déchéance, obscurcissement, etc). Il en trouve aussi les fondements dans l'idée du Dieu immuable de la métaphysique traditionnelle, à laquelle il oppose l'idée d'un "Dieu à venir", qui se "révèle". Dès lors l'existence, comme procès progressif, se détache pour se différencier d'un "fond" unilatéral qui est sa réserve et sa ressource permanentes, donnant au sujet individuel ou historique plus de richesse qu'il n'en a explicitement.
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Galland-Szymkowiak, Mildred. "Présence de l'absolu : le problème esthétique du symbole et ses enjeux philosophiques dans les systèmes postkantiens (Schelling, Solger, Hegel)." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040041.

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Abstract:
La thèse étudie le paradoxe du symbole dans les métaphysiques de l'art postkantiennes de Schelling, K. W. F. Solger et Hegel. Ce paradoxe consiste dans la nécessité de comprendre, dans l'œuvre d'art, à la fois la manifestation immanente de l'idée et sa transcendance par rapport à la réalité existante. La thèse explore les solutions trouvées par les trois auteurs à ce problème, à partir du fil conducteur constitué par la question du rapport de l'absolu à l'existence temporelle. Elle met en valeur l'originalité de l'idéalisme de Solger, dont le contenu est spéculatif mais le point de départ, existentiel. Après avoir déterminé le rapport entre art et philosophie comme question de l'existence de l'œuvre (I), on s'interroge sur la temporalité propre au symbolisme (II), puis sur la question du rapport de l'absolu au temps dans l'individu artistique (III) et dans l'imagination symbolisante (IV) ; on pose enfin la question d'une forme artistique de la philosophie elle-même, dans le dialogue (V)
This PhD analyses the paradox of symbol in the post-Kantian art metaphysics of Schelling, K. W. F. Solger and Hegel. This paradox lies in the necessity of understanding, in a work of art, both the immanent manifestation of the idea and its transcendence to existing reality. The PhD deals with the answers to such a problem offered by the three philosophers, following the main thread of the link between the absolute and temporal existence. It highlights the originality of Solger's idealism, which has a speculative content, but an existential starting point. After having determined the relationship between art and philosophy as the question of a work of art's existence (I), we will question the temporality of symbolism (II), then the link between absolute and time in artistic individuals (III) and in imagination (IV) ; we will eventually work on the question of an artistic form of philosophy itself, in dialogues (V)
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