Dissertations / Theses on the topic 'Schelling, Friedrich Wilhelm Joseph von (1775-1854) – Critique et interprétation – 19e siècle'

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1

Huang, Kuan-Min. "Schelling et la crise de la métaphysique." Paris 4, 2001. http://www.theses.fr/2001PA040002.

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Abstract:
Menacée de déclin, la métaphysique dort se confronter à un questionnement sur sa propre crise. Aux yeux de Schelling, la crise de la métaphysique est déjà survenue ; la question devient donc de déterminer le sens de cette crise. En renvoyant au sens originel de la crise, Schelling emploie ce terme pour designer l'acte de séparation radicale d'où dérivent les sens comme le jugement et le moment crucial, etc. ; ce qui conduit à une considération sur la signification de la crise dans la systématisation schellingienne. Ce travail analyse d'abord dans la première partie, selon la problématique de la synthèse, le contexte de la confrontation rigoureuse chez Schelling avec les moments de séparation au sein du système jusqu'à sa philosophie de l'identité. Après cette partie préparatoire, il examine les différentes significations de la crise dans les textes principaux de la période de la philosophie de la liberté et de l'histoire et esquisse une métaphysique de la crise autour des termes de décision, mort, temporalité, extase, etc… Ces aspects de la crise, vus comme restructuration des éléments systématiques axés sur le décalage entre la liberté et l'existence, envisage la réflexion sur la constitution ontothéologique de la métaphysique. Comme la dernière phase de la philosophie de Schelling se concentre sur la différenciation de la positivité et de la négativité, opération qui exige aussi une réflexion sur la scission intérieure à la philosophie, la troisième partie analyse cette dernière confrontation de la crise et, en saisissant la condition humaine dans l'entreprise métaphysique, considère l'inversion en philosophie comme la réponse à la double fonction de la crise : la séparation et l'identité restauratrice. Le sens de la crise de la métaphysique est dans le dégagement de la propre vitalité de la philosophie au sein et à partir de sa constitution intrinsèque.
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Hinsberger, Gisèle. "La quête de la vérité à l'heure du romantisme allemand : une entreprise romantique de séduction de la raison : Schelling et le groupe de Iéna." Lyon 3, 1995. http://www.theses.fr/1995LYO31010.

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Abstract:
Dans la pensee des romantiques, la quete de la verite est recherche de l'absolu. Entreprise philosophique fondee sur l'intuition intellectuelle, la quete du sens sera determinante pour le statut de la raison (schelling, critique de kant). La question metaphysique de l'etre pose celle du savoir philosophique : comment determiner le lieu metaphysique du reel ? d'ou la pensee tient-elle sa validite ? avec schelling se decouvre l'enjeu veritable de la quete ; l'elucidation des rapports de l'homme au divin. L'articulation de la philosophie et de la theosophie a travers un grandiose proces theogonique va se vivre par les romantiques comme une entreprise de seductioin de la raison, annoncant la version tragique de la quete (avec le theme schellingien de la liberte a la formule provocatrice : le bien est le mal) ou la raison desormais se fait memoire du desir. Alors l'ame romantique s'ouvre a l'imaginaire. La philosophie de jung donne le ton aux grands themes du romantisme rassembles de facon analogique dans le marchen (l. Tieck) et formules dans une symbolique de la temporalite. Jung, comme schelling, cherche a dire la verite de la quete - le sans-fondement, "l'eternelle liberte"
In the romantics'minds, the search for truth is the search for the absolute. Philosophical entreprise is based on intellectual intiution, the search for meaning will determine the statute of reason (schelling, one of kant's critics). The metaphysical question of being asks the question of philosophical knowledge : how to determine the metaphysical place of what is real ? where does thought get its validity from ? with schelling the true aspects of the search for truth can be discovered ; the elucidation of man's relationships with the divine. The articulation of philosophy and of theosophy through a grandiose theogonic process will be lived out by the romantics as an entreprise aimed at the seduction of reason, announcing the tragic version of the search (with the schellingian theme of freedom with the provocative formula : good is evil) where reason henceforth becomes the memory of desire. Hense the romantic soul opens itself to the imaginary. Jung's philosophy sets the tone for romantism's major themes brought together in an analogical manner in the marchen (l. Tieck) and formulated in a symbol of temporality. Jung, like schelling, seeks to state the truth of the search - the lack of foundation, the "eternel liberty"
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Ruta, Marcello. "La deuxième voie du post-kantisme : temporalité et éternité dans la philosophie de Schopenhauer et Schelling." Strasbourg, 2010. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2010/RUTA_Marcello_2010.pdf.

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Abstract:
La thèse est structurée en quatre chapitres : un premier chapitre, dans lequel on essaie de reconstruire une bibliographie sur Schopenhauer et Schelling. Comme on le montrera, ces deux auteurs ont été toujours mis en relation presque instinctivement, à cause d’une certaine affinité terminologique (par exemple l’utilisation de la notion de volonté) et de l’irrationalisme qui, à partir au moins de Windelband, leur a été imputé. Nonobstant tout cela, il n’y a pas une riche bibliographie où la relation entre les deux auteurs est analysée en profondeur. La situation change depuis quelques années seulement, changement qui a trouvé dans le congrès tenu a Fribourg sous la direction de L. Hühn en 2005 son expression accomplie. Un deuxième chapitre où on analyse la relation entre temporalité et éternité dans les pensées de Kant et Hegel : ce chapitre est décisif pour ce qui concerne la thèse historico-philosophique du travail, parce que c’est ici qu’on fonde l’hypothèse d’une deuxième (non hégélienne) voie du post-kantisme. Les deux derniers chapitres analysent la relation entre temporalité et éternité dans les pensées de Schopenhauer et Schelling. Dans ce dernier cas, on a pris en compte la production médiane de Schelling (de 1809 à 1821). Le travail se clôt par une conclusion qui résume le contenu du travail
The thesis is divided into four chapters : a first chapter, which attempts to reconstruct a bibliography on Schopenhauer and Schelling. As it will be shown, these authors have always been linked almost instinctively, because of a common terminology (e. G. . By using the concept of Will) and the irrationalism that labelled their thoughts, at least since Windelband. In spite of all that, there is not a rich bibliography where the relation between the two authors is deeply analysed. The situation changed only in recent years, a change that has found in the congress held in Freiburg under the direction of L. Hühn in 2005 its full expression. A second chapter, which explores the relationship between temporality and eternity in the thoughts of Kant and Hegel : this chapter is decisive in relation to the historical-philosophical thesis of the work, because it is here that the hypothesis of a second (non-hegelian) way of post-kantianism is founded. The last two chapters discuss the relationship between temporality and eternity in the thoughts of Schopenhauer and Schelling. In the latter case, we took into account the median production of Schelling (from 1809-1821). The work ends with a conclusion which summarizes the content of work
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Sulzer, Caroline. "La philosophie de l'art de F. W. J. Schelling." Paris 4, 1997. http://www.theses.fr/1996PA040161.

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Abstract:
Ce travail consiste tout d'abord en une traduction française annotée de l'intégralité du texte allemand "Die Philisophie der Kunst" de Schelling. D'autre part,cette traduction est suivie d'une étude intitulée "Schelling l'art et l'absolu" et de documents annexes (schémas synoptiques,index,bibliographie). La problématique du texte est comment présenter en idéal le réel contenu dans l'art ? La première partie,générale,distingue trois étapes dans le cheminement de la pensée à savoir la position particulière de l'art comme réel mais issu de l'Absolu et la construction de la matière puis de la forme de l'art. La seconde partie,spéciale,traite de l'art effectif rendu ainsi possible et de ses formes(art plastique et art de la parole). Après une étude du "Système de l'idéalisme transcendantal" de 1800,où l'art occupait déjà une fonction clé et surtout de la dernière partie,proprement esthétique,et une introduction à la philosophie de l'identité telle qu'elle est traitée dans la "Philosophie de l'art",la postface du traducteur sur la logique même du texte de Schelling et s'attache à la construction de l'art,puis à sa matière,la mythologie,pour conclure sur la théorie de l'oeuvre d'art et sur la partie proprement spéciale de "La Philosophie et l'art".
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5

Remy-Lacheny, Ingrid. "Etude des « Frères de Saint-Sérapion » d'E.T.A. Hoffmann : discours esthétiques et scientifiques." Thesis, Paris 3, 2009. http://www.theses.fr/2009PA030126/document.

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Abstract:
S’appuyant sur les théories esthétiques des frères Schlegel, de Novalis et de Schelling, ce travail s’attache à analyser les discours esthétiques et scientifiques dans Les Frères de Saint-Sérapion d’E.T.A. Hoffmann et à étudier dans quelle mesure et jusqu’à quel point l’écrivain se réapproprie les réflexions de ces premiers romantiques et s’en distancie. Confronté au philistinisme, aux malveillances d’autrui et à ses démons intérieurs, l’artiste sérapiontique poursuit un idéal tant social que psychique. Rêveurs, fous, enfants ou encore sous influence magnétique, les personnages hoffmanniens sont tous en quête de reconnaissance et d’identité. Polyformes, polymorphes et hétérogènes, centrés sur l’interaction artistique, le travail de création et la réception, Les Frères de Saint-Sérapion créent une sorte d’« œuvre d’art totale » avant la lettre où se mêlent aussi bien les sciences que les arts
Using the aesthetic theories of the Schlegel brothers, Novalis and Schelling, this thesis examines aesthetic and scientific discourse as it appears in E.T.A. Hoffmann’s The Serapion Brethren and considers to what extent Hoffmann appropriates early Romantic thought or distances himself from it. Faced with the philistinism and maliciousness of others and with his own interior demons, the Serapiontic artist pursues both a social and psychic ideal. Dreamers, madmen, children or those who are under the influence of magnetidm, Hoffmann’s characters are all seeking recognition and an identity. Polymorphous and heterogeneous, centered on artistic interaction and on the work of creation and reception, The Serapion Brethren is a type of ‘total work of art’ before its time in which the sciences and the arts come together
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6

Challiol-Gillet, Marie-Christine. "Schelling, une philosophie de l'extase : de l'intuition intellectuelle à l'extase de la raison, une tentative de compréhension de l'Absolu par la philosophie." Paris 10, 1993. http://www.theses.fr/1993PA100139.

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Abstract:
L'extase, puissance de sortie de soi et confrontation au tout-autre, est un terme récurrent de la dernière philosophie de Schelling. Elle apparaît en deux emplois principaux: extase de la raison, elle donne à cette dernière, par le renoncement initial qu'elle suppose, la possibilité de comprendre le Dieu créateur qui ne peut jamais être déduit a priori. Extase en Dieu, elle est la manifestation de la toute-puissance et de la liberté divines: Dieu est assez sûr de soi pour poser ce qui le nie. Ces deux emplois sont étroitement liés, l'extase en Dieu est la condition de l'extase de la raison. L'extase est par ailleurs le résultat de la transformation de l'intuition intellectuelle, mode de saisie de l'absolu qui régnait dans la philosophie de l'identité, et le passage de l'un à l'autre concept résume la transformation de l'absolu lui-même dans la philosophie de Schelling. La thèse soutenue est celle de la continuité de l'ensemble de la dernière philosophie. La transformation de la philosophie négative en science rationnelle, première partie du diptyque dont la philosophie positive constitue le second volet, est compatible avec la prééminence toujours conservée à la philosophie positive. L'hypothèse continuiste doit toutefois avouer ses limites face à la dernière oeuvre de Schelling, l'exposé de la philosophie purement rationnelle, malheureusement inachevée. Le sens général de la dernière philosophie semble cependant être celui d'un maintien de la philosophie positive, alors même que l'idéalisme retrouve ses droits
Ecstasy - The power to transcend oneself and confront absolute difference, is a recurrent phrase in Schelling's latter philosophy. It is used mainly in two different ways: as the ecstasy of reason, it endows the latter, through the initial renunciation it implies, with the possibility of comprehending God the Maker, who can never be deduced a priori. As the ecstasy in God, it demonstrates God's almighty power and his liberty: God is self-assured enough to suppose what denies him. Those two different uses are closely linked, the ecstasy in God being the condition for the ecstasy of reason. Besides, ecstasy is the resulty of the transformation of intellectual intuition, a way of comprehending the absolute that used to prevail in the philosophy of the self, and the transition from one to the other therefore summarizes the evolution of the absolute itself in Schelling's philosophy. The argument here is states the continuity of the latter philosophy as a whole. The transformation of negative philosophy into rational science, the first part of the twofold work of which positive philosophy constitutes the second section. Is compatible with the persisting pre-eminence given to positive philosophy. The hypothesis of continuity must however akcnowledge its difficulties to account for Schelling's last work, which was unfortunately never completed
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Cerutti, Patrick. "Spéculation et expérience : Schelling au miroir de Jacobi." Paris 4, 2006. http://www.theses.fr/2006PA040007.

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Abstract:
" Les meilleurs ennemis du monde " : c'est ainsi que Jacobi, la conscience inquiète et socratique de l'idéalisme allemand, définit le rapport qui l'unit à Schelling. La critique sévère qu'il a adressée à la science de l'Absolu schellingienne et à toute la pensée issue de Kant, agit comme un révélateur d'une des tendances les plus profondes de la philosophie moderne. L'accusation de nihilisme qu'il a portée contre les doctrines de l'Un et du Tout remet en cause l'ambition même du postkantisme : assurer à la philosophie son statut de science. Son oeuvre a pourtant pu passer pour la principale inspiratrice des systèmes qu'il combat et son mot d'ordre, manifester l'existence, est peut-être encore celui qui guide Schelling lorsqu'il édifie sa fameuse philosophie positive. Celui-ci parvient-il finalement à étayer sa critique du rationalisme sur autre chose qu'un recours au non-savoir que lui-même juge seulement négatif et à donner à sa pensée une forme affirmative et dogmatique ?
" Best enemies of the world " : this is how Jacobi – the worried and Socratic consciousness of the German idealism, defines the link that units him to Schelling. The severe criticism he made to the schellingian science of Absolute and to the postkantian philosophy, acts as a developper of one of the deepest trends of modern philosophy. Nihilism accusation he brings against the doctrines of the One and All questions postkantism's ambition, which is to secure philosophy its scientific status. Nevertheless its work could have been the main inspiration of systems he fights against and his motto " to reveal existence " is still maybe the one which leads Schelling when he builds his famous positive philosophy. Did the former finally achieved to support his criticism of rationalism on the ground of something else than a recourse to non-knowledge and give to his thinking an affirmative and dogmatic aspect ?
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Hay, Katia. "Die Notwendigkeit des Scheiterns : eine Analyse des Tragischen als Bestimmung der Darstellung der philosophie bei F. W. J. Schelling." Paris 4, 2008. http://www.theses.fr/2008PA040092.

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Abstract:
Cette thèse propose une lecture de la pensée de Schelling à partir des Lettres sur le dogmatisme et le criticisme de 1795 jusqu’aux Leçons d’Erlangen (1825) d'après la notion du tragique. Cela entraîne non seulement une étude des textes de Schelling, mais aussi une définition philosophique du tragique. L'originalité de ma thèse réside en que cette "métaphysique du tragique" va être rigoureusement dégagée de l'interprétation schellingienne de la tragédie dans sa Philosophie de l’art de 1802-1805. Or, le but principal de mon analyse est de montrer, comment le tragique n’est pas seulement un sujet possible de réflexion de la philosophie de Schelling, mais un processus dont la philosophie elle-même devient le sujet. Ainsi l’accomplissement, le zénith de clarté est aussi pour la philosophie, comme pour Œdipe, la connaissance de soi-même et en ceci la reconnaissance de sa finitude et de son échec insurmontable. Mais l'importance de cet échec, ne se réduit pas au fait que le discours philosophique soit essentiellement inachevé ; ce qui est plus important, c'est que la philosophie n'est rien d’autre que la réalisation interminable de cet échec. Un processus qui commence dans les Recherches philosophiques sur l'essence de la liberté humaine de 1809 et qui culmine avec ses Leçons d’Erlangen. La thèse principale de ma dissertation est donc directement liée à l'incapacité d'exprimer l'infini, et à la réalisation de cette incapacité. Pour cela le tragique s'avère non seulement pertinent, mais essentiel pour comprendre tant la philosophie, que la démarche ou la généalogie de sa pensée jusqu'aux 1825. Et pourtant ceci n'est pas la fin de la philosophie, mais plutôt son commencement
The main aim of my dissertation is to show how Schelling's philosophy can be seen as an ongoing reflection upon the problem of expression, i. E. The problem of putting into words what essentially cannot be defined, namely the absolute. However, the significance of this failure is not merely that philosophical discourse is unfinished or unrealizable; the problem we are confronted with has to do with the fact that philosophy is not anything else than the written texts, and hence is itself necessarily unfinished or incomplete. To put it in other more Schellinguian terms, philosophy is an eternal process of becoming itself; a process which should also be considered as a process of liberation or emancipation (Befreiung). On the other hand, the analysis of Schelling's Philosophy of Art, where he claims Greek Tragedy to be the highest and most sublime form of art, enables me to consider this very process as a tragic one. Indeed the tragic is seen as the thread or the underlying structure which shapes Schelling's whole enterprise. For in the same way Oedipus had to kill his father in order to become aware of his true nature, in the same way the realisation of human freedom entails a necessary (original) sin, philosophy can only be achieved through failure. Philosophy needs to fail, so it may become aware of its own fallibility. In the last chapter I show how this very insight is directly developed in the Erlangen Lectures from 1825, which thus become the final confirmation of my thesis. However, I also prove, that this does not mean the Erlangen Lectures are the end of philosophy: they should rather be regarded as the starting point for any attempt to achieve the unattainable
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Mbele, Charles-Romain. "Mythologie et processus théogonique : examen de la question monothéiste dans la pensée africaine moderne au miroir du dernier Schelling." Paris 1, 2000. http://www.theses.fr/2000PA010704.

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Abstract:
Notre travail se propose d'interroger d'un point de vue philosophique l'idée d'une foi monothéiste originelle introduite par l'ethno-philosophie, un aspect de la théologie missionnaire, dans les débats philosophiques africains modernes. Ce courant de pensée part de cet a priori métaphysique tout en refusant de le problématiser par son adhésion à la vision africaine découverte - du fait de son africanité. Par ses choix méthodologiques et la stérilité de ses catégories (méthode linguistique comme mode d'accès privilégié à la culture et à la pensée africaines, philosophie servante de la théologie, retro-jection dans la tradition de croyances objectivement étrangères, etc. ), l'ethno-philosophie a acculé à de multiples impasses la réflexion philosophique africaine moderne. Aussi, en contrepoint de l'approche de Tempels et de Kagame - coryphees de l'ethno-philosophie - des penseurs africains refusent tout questionnement des mythes et de l'idée de Dieu : c'est le cas de P. Hountondji - par agnosticisme et par scientisme "épistémologiste" - et de F. Eboussi - par apophase. Pour sortir de ces apories, notre approche est archéologique : remonter aux lieux de genese des thèses de l'ethno-philosophie dans la théologie, la métaphysique traditionnelle, la philosophie et l'ethnologie religieuses du siècle dernier et du début de ce siècle, le courant de la négritude que l'ethno-philosophie voulait circonvenir. C'est le dernier schelling qui nous donne cette archéologie. En remontant à la philosophie positive, nous trouvons un axe philosophique pour saisir conceptuellement des questions apparemment disparates, afin de les reformuler. Le philosophe allemand circonscrit dans la théorie de l'émanation de F. Creuzer les difficultés et les incohérences théologiques et philosophiques de la révélation d'une foi monothéiste originelle, essentiellement le caractère négatif de ses concepts (dégénérescence, dégradation, effritement, déchéance, obscurcissement, etc). Il en trouve aussi les fondements dans l'idée du Dieu immuable de la métaphysique traditionnelle, à laquelle il oppose l'idée d'un "Dieu à venir", qui se "révèle". Dès lors l'existence, comme procès progressif, se détache pour se différencier d'un "fond" unilatéral qui est sa réserve et sa ressource permanentes, donnant au sujet individuel ou historique plus de richesse qu'il n'en a explicitement.
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Galland-Szymkowiak, Mildred. "Présence de l'absolu : le problème esthétique du symbole et ses enjeux philosophiques dans les systèmes postkantiens (Schelling, Solger, Hegel)." Paris 4, 2005. http://www.theses.fr/2005PA040041.

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Abstract:
La thèse étudie le paradoxe du symbole dans les métaphysiques de l'art postkantiennes de Schelling, K. W. F. Solger et Hegel. Ce paradoxe consiste dans la nécessité de comprendre, dans l'œuvre d'art, à la fois la manifestation immanente de l'idée et sa transcendance par rapport à la réalité existante. La thèse explore les solutions trouvées par les trois auteurs à ce problème, à partir du fil conducteur constitué par la question du rapport de l'absolu à l'existence temporelle. Elle met en valeur l'originalité de l'idéalisme de Solger, dont le contenu est spéculatif mais le point de départ, existentiel. Après avoir déterminé le rapport entre art et philosophie comme question de l'existence de l'œuvre (I), on s'interroge sur la temporalité propre au symbolisme (II), puis sur la question du rapport de l'absolu au temps dans l'individu artistique (III) et dans l'imagination symbolisante (IV) ; on pose enfin la question d'une forme artistique de la philosophie elle-même, dans le dialogue (V)
This PhD analyses the paradox of symbol in the post-Kantian art metaphysics of Schelling, K. W. F. Solger and Hegel. This paradox lies in the necessity of understanding, in a work of art, both the immanent manifestation of the idea and its transcendence to existing reality. The PhD deals with the answers to such a problem offered by the three philosophers, following the main thread of the link between the absolute and temporal existence. It highlights the originality of Solger's idealism, which has a speculative content, but an existential starting point. After having determined the relationship between art and philosophy as the question of a work of art's existence (I), we will question the temporality of symbolism (II), then the link between absolute and time in artistic individuals (III) and in imagination (IV) ; we will eventually work on the question of an artistic form of philosophy itself, in dialogues (V)
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Laudou, Christophe. "L'esprit des systèmes : les conditions subjectives de développement de l'idéalisme allemand." Dijon, 1995. http://www.theses.fr/1995DIJOL011.

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Abstract:
Comment produit-on un système du savoir absolu? Le présent travail aborde cette question en analysant le rapport du sujet à sa parole, tel qu'il se présente dans l'idéalisme allemand : il s'agit, à partir d'une phénoménologie de la prise de parole, d'éclairer le devenir des systèmes postkantiens. Les quatre premiers chapitres tentent de dégager leurs conditions de production : l'idéalisme allemand trouve dans Spinoza une certaine conception du sujet, celle de la négation de la différence, qui s'oppose à la figure cartésienne du sujet porte-parole, et en fait la clé de voute d'un système entendu comme discours de l'institution, l'espace de parole du savoir absolu supposant de mettre le sujet a la place du mort. Les chapitres cinq à huit tentent de rendre compte du premier état du système de Fichte, Schelling et Hegel, et les chapitres neuf à dix esquissent leur évolution. L'impossibilité d'introduire dans le discours ce qui est soustrait par l'entrée dans la parole semble expliquer l'inachèvement de l'entreprise de Fichte et de Schelling et le hiatus qui subsiste chez Hegel entre le système et sa phénoménologie
How do we build a system of absolute knowledge? The present research tries to answer that question analyzing the subject speech relationship as seen in the systems of German idealism, which means highlighting the evolution of post-Kantian systems thanks to a phenomenology of speaking-up. The first four chapters try to make out the conditions of production of these systems : German idealism find in Spinoza certain conception of subject as negation of the difference, which is opposed to the Cartesian scheme of a word-bearer subject, and become the key-stone of the system seen as the institution-speech, the space of speaking of absolute knowledge impling putting the subject on the dead's place. Chapters five to eight try to give an account of the first state of Fichte, Schelling and Hegel’s system, chapters nine and ten give a hint of their evolution. The impossibility of introducing in the speech what is substracted by the speaking-up seems to explain the incompletion of Fichte and Schelling’s purpose and the discrepancy which still exists between Hegel’s system and its phenomenology
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Steinbrecher, Tal. "L' historicisation de la théodicée." Paris 1, 2009. http://www.theses.fr/2009PA010695.

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Abstract:
Dans ses cours sur la philosophie de l'histoire du monde Hegel affirme que l'objet des cours, la philosophie de l'histoire du monde, n'est autre que la théodicée leibnizienne qu'il convient de rendre concrète. Le point de départ de notre recherche se trouve dans cette récupération étonnante. Nous cherchons a comprendre les liens unissant le projet leibnizien et la philosophie hégélienne, un lien qui excède Ie simple cadre de la philosophie de l'histoire du monde. Notre thèse cherche a montrer que, bien au-dela de la philosophie de l'histoire, l'ensemble du dire hégélien obéit à une logique théodicéenne, c'est à dire une logique qui place en son cœur l'idée d'une réconciliation avec le mal, à travers la justification rationnelle de ce dernier. La théodicée, chez Leibniz comme dans la récupération hégélienne, est alors une logodicée, justification de la raison, malgré le mal présent dans le monde. Nous cherchons, par-delà Hegel, si ce lien entre la pensée de l'histoire et la justifIcation du mal se rencontre dans les grandes philosophies contemporaines de l'histoire. Nous voulons montrer que la pensée marxienne peut également être considérée comme une tentative allant dans un sens théodicéen, puisant ses racines dans le projet leibnizien. En ce qui concerne Schelling, toutefois, notre thèse montre que la radicalisation du projet théodicéen autour d'une philosophie historique menace ce lien, et met ainsi un terme à l'aventure de la théodicée leibnizienne, dans sa rencontre avec la philosophie de I 'histoire.
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Renault, Emmanuel. "Philosophie de la nature et théorie des sciences chez Hegel : principes généraux et application à la chimie." Dijon, 1997. http://www.theses.fr/1997DIJOL001.

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Abstract:
La première partie de cette thèse tente de déterminer le sens et les modalités du rapport de la philosophie hégélienne aux sciences de la nature. La philosophie hégélienne de la nature est le lieu d'une confrontation de la rationalité philosophique et de celle des sciences positives. Elle permet donc de préciser la manière dont Hegel conçoit la "scientificité" de la philosophie (chapitre 1 et 2) et celle des sciences positives (chapitre 3). De la nature de ces deux formes de scientificité, il résulte notamment que le système doit entretenir avec les sciences un rapport de fondation, et que la fondation des sciences de la nature doit prendre la forme spécifique d'une "philosophie de la nature". La seconde partie procède à la fois à une application et à une confirmation des thèses soutenues dans la première partie, à l'occasion de l'analyse de la fondation d'une science particulière: la chimie. Elle montre que le propos hégélien se réfère préférentiellement à une science dynamiste qui trouve ses principes chez Kant plutôt que chez Schelling, qu'il est indissociable d'une intervention dans les débats des différents courants de la chimie de l'époque, et que la forme "philosophie de la nature" est la forme appropriée à une intervention respectueuse de l'autonomie et de l'organisation du savoir des sciences positives (chapitre 4-8)
Philosophy and sciences are connected together in Hegel’s philosophy of nature. This thesis tries to understand the nature of this connection and to stress its outcomes about the interpretation of the Hegelian system. This connection makes possible to clarify what is the "scientificity" of philosophy (chapters 1 and 2) and the scientificity of sciences of nature (chapter 3). By this mean, one can show that, according to Hegel, philosophy and sciences must be interrelated by a fondation-relation, and that this fondation-relation must take the specific form of a philosophy of nature. That is what one is trying to confirl with the example of the chemistry of the time (chapters 4-8). Philosophy of nature appears as a method appropriate both to the intervention in scientific debates and to the respect of the autonomy and organisation of the scientific knowledge. And it seems that this method had led Hegel to a relevant fondation of the dynamist chemistry of his time
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Gomes, Figueiredo Pedro Teresa Alexandra. "Critique et science : étude sur la transformation du criticisme dans les premiers écrits de F. W. J. Schelling." Thesis, Paris 4, 2009. http://www.theses.fr/2009PA040264.

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Abstract:
La présente thèse s'interroge sur le statut de la pensée du jeune Schelling en tant que philosophie postkantienne : s’agit-il d’une philosophie qui revient en-deçà des acquis de la philosophie critique kantienne, comme plusieurs lectures le laissent entendre, ou s'inscrit-elle, comme elle le prétend, dans les possibilités ouvertes par le criticisme? Et si c'est le cas, dans quelle mesure cette philosophie s'inspire-t-elle de la philosophie kantienne? A travers ces questions, ce travail se propose de faire une lecture des premiers écrits de l’auteur (1794-1800) à partir de la réélaboration et de la réappropriation du criticisme qui sous-tend le projet schellingien de philosophie en tant que « science ».Cet axe de lecture nous a permis de montrer, d'une part, que le rapport de la philosophie de Schelling avec la philosophie kantienne a un rôle opératoire dans la maturation du projet philosophique propre à Schelling et, d'autre part, que l'évolution de la pensée schellingienne dans sa première philosophie se comprend à partir d'une réflexion sur sa propre possibilité et que, en ce sens, la philosophie de Schelling est bien une philosophie postkantienne. C'est à partir de la question du rapport entre la philosophie comme « science » et le questionnement critique sur les conditions de possibilité de notre connaissance que nous tentons d’élucider le motif de la révolution philosophique chez le jeune Schelling. Puisqu’il y va de conception que l'on se fait de la tâche philosophique elle-même, le fil directeur de ce travail est la reformulation par Schelling de la question kantienne de la possibilité des jugements synthétiques a priori et la remise en chantier qu'il propose de la conception de l’unité de la raison comme raison théorico-pratique
The thesis examines the status of the young Schelling’s thought as a post-Kantian philosophy: is it a philosophy which falls back behind the gains of Kantian critical philosophy, as some readings suggest, or is it a philosophy which, as Schelling himself claims, takes up possibilities opened by criticism? If the latter, to what extent does this philosophy inspire itself from Kantian thought? Through these questions, this work intends to give a reading of Schelling’s first writings (1794-1800) focusing on the reelaboration and the reappropriation of criticism at the base of his project of philosophy as « science » . It is shown through this line of interpretation, first, that the relation of Schelling’s philosophy to Kant's plays a vital role in the later development of his philosophical project and, second, that the evolution of Schelling's thought in his early philosophy can be understood as a reflection on its own possibility. In this sense, Schelling’s philosophy is indeed a post-Kantian philosophy. The motives for the young Schelling’s philosophical revolution are elucidated by investigating the relation between a philosophy as « science » and the critical inquiry into the conditions of possibility of our knowledge. Since this concerns the task of philosophy itself, the guiding theme of this study is Schelling’s reformulation of the Kantian question about the possibility of synthetic a priori judgments as well as his reworking of the concept of the unity of reason as theoretical and practical reason
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Höfele, Philipp Manuel. "Vouloir et laisser : différenciation, critique et réception du paradigme de la volonté dans la philosophie de Schelling." Thesis, Strasbourg, 2018. http://www.theses.fr/2018STRAC014.

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Abstract:
Cette thèse étudie le développement du concept de volonté dans l’œuvre de F.W.J.Schelling et la place que ce concept occupe dans son "système" philosophique. Elle aborde également la réception de cette question par Martin Heidegger. Dans cette recherche, nous poursuivons de manière systématique un double objectif. D’une part, nous nous attachons à montrer que le paradigme de la volonté occupe un rôle tout à fait central dans la philosophie de Schelling, dans la mesure où il s’inscrit, de manière décisive, contre la tradition kantienne et fichtéenne, tradition qu’il prolonge en la modifiant. Mais d’autre part, il s’agit également de mettre en évidence le fait que, tout comme Heidegger, Schelling donne aussi à voir l’ambivalence du paradigme de la volonté en valorisant les motifs qui à la fois le fondent et le relativisent – tels que l’amour, le ‘non-vouloir’ ou encore la "Gelassenheit". Alors que ce qui le rapproche systématiquement de Heidegger et de sa critique de la modernité fait ressortir l’actualité de Schelling, nous pouvons cependant aller au-delà de ce parallèle et prendre acte d’une "valeur ajoutée" de la réflexion schellingienne sur la volonté
The dissertation examines the development of the concept of will in the work of F.W.J.Schelling and its systematic significance in his philosophical thinking. In addition, it treats the reception of Schelling’s thinking of will by Martin Heidegger. In this investigation, I pursue two objectives: on the one hand, I strive to show that the paradigm of will plays a central role in Schelling’s philosophy in that he further develops and differentiates it in a decisive way with respect to the tradition of Kant and Fichte. On the other hand, I emphasize that Schelling, much like Heidegger, reflects on the critical potential of the paradigm of will and asserts, as its corrective, motifs that found and relativize it – such as love, "unwillingness" and "Gelassenheit". Thus, while Schelling’s systematic proximity to Heidegger and his critique of modernity makes it possible to emphasize Schelling’s on going relevance, one can also recognize, beyond the similarities with Heidegger, the ‘added value’ of Schelling’s thinking of will
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Authier, Raphaël. "Concevoir l’historicité. L’histoire et les différentes formes de temporalité chez Hegel et Schelling." Thesis, Sorbonne université, 2019. http://www.theses.fr/2019SORUL047.

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Abstract:
La « philosophie de l’histoire » de l’idéalisme allemand, si l’on entend par là un ensemble de thèses permettant de découvrir un sens de l’histoire, a fait l’objet de nombreux travaux, en particulier celle de Hegel. Mais la réflexion des penseurs idéalistes sur l’histoire ne s’est pas limitée à l’interprétation des événements historiques passés. Une large part a consisté au contraire à élaborer un concept d’histoire dont l’extension ne se limite pas aux transformations sociales et politiques des groupes humains (mais qui concerne l’ensemble des productions humaines, voire la nature elle-même), et dont la compréhension ne recoupe pas l’usage de cette notion dans la conscience commune. Il nous a semblé que l’originalité de Hegel et de Schelling résidait notamment dans la richesse qu’ils attribuent à ce sens ontologique de l’histoire (conçue comme Geschichte et non comme Historie). Notre travail a consisté à interroger précisément la manière dont Hegel et Schelling ont élaboré un tel concept, qu’il vaudrait mieux qualifier d’événementialité ou d’historicité, pour le distinguer de la connaissance ou du récit de ces événements. Nous avons proposé ainsi de clarifier le sens du concept d’histoire par une comparaison des différentes formes de temporalité (temps naturel, temps de la conscience, histoire, durée, éternité) et de leur rôle respectif dans les systèmes de Hegel et de Schelling, de façon à souligner le caractère central du problème de l’historicité au sein de ce corpus, et à suggérer de quelle façon sa compréhension a déterminé le positionnement ultérieur des philosophes « post-idéalistes » (de Marx et Kierkegaard à l’idéalisme britannique ou à l’École de Francfort)
Many scholars have treated the “philosophy of history” developed by German idealists as a set of arguments designed to find a purpose in history. Yet the idealist thinkers did not limit their investigation to the interpretation of past historical events. On the contrary, a significant part of their work is dedicated to outlining a concept of history that is not limited to social and political transformations affecting human groups, but instead includes the totality of humanity’s creations, and even nature itself. This concept of history differs, sometimes radically, from how the term “history” is, and has been commonly understood. The source of the difference is Hegel and Schelling’s focus on such a rich ontological meaning of the notion of history (taken as Geschichte, as opposed to Historie). This thesis traces how Hegel and Schelling developed this concept, which might be more aptly characterised as historicity, to distinguish it from the knowledge or the chain narration of past events. It thus clarifies the meaning of the concept of history by comparing different forms of time (natural time, psychological time, history, duration, eternity) and their respective roles in Hegel’s and Schelling’s systems. This comparison is intended to underline the centrality of the problem of historicity in German idealism, and to suggest how its understanding has shaped the development of “post-idealist” European philosophy (from Marx and Kierkegaard to British idealism or to the Frankfurt School)
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Gourdain, Sylvaine. "Après le transcendantal : l’ethos de l’im-possible : Être, pouvoir et (im)possibilités chez Heidegger et Schelling." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040164.

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Abstract:
Ce présent travail entend montrer comment Heidegger, à partir de 1927, renonce progressivement à toute pensée transcendantale, afin d’élaborer la conception d’un ethos fondamental. Nous insistons dans cette évolution sur le rôle de sa lecture de Schelling et en particulier des Recherches philosophiques sur l’essence de la liberté humaine en 1936 (mais aussi en 1927/28 et en 1941), lecture elle-même à concevoir dans le prolongement de son interprétation de la Métaphysique Θ 1-3 d’Aristote en 1931. Le premier pan de notre étude décrit et retrace les différentes étapes de l’abandon du transcendantal jusqu’à la fin des années 1930 : du pouvoir-être transcendantal à l’indigence transcendantale (fin des conditions de possibilité), puis de l’être comme possible à l’être comme im-possible (découverte du pouvoir (δύναμις) inhérent à l’être et fin de toute possibilisation). Dans un second pan, nous développons une partie plus systématique qui se conçoit comme un dialogue – et non comme une comparaison – établi entre les pensées médianes et tardives de Heidegger et de Schelling. Nous décelons en cela une convergence entre les deux auteurs dans leur conception d’un ethos, qui désigne une manière de séjourner au monde reposant sur la correspondance (Ent-sprechung) entre l’amour serein de l’homme et l’élément originaire de l’amour (l’être dans un cas, le Seigneur de l’être dans l’autre). Cet ethos est un ethos de l’im-possible, dans la mesure où s’il advient, il ne se laisse ni prévoir, ni programmer et ne répond à aucun horizon d’attente. C’est en cela qu’il permet le laisser-être de tous les étants comme ce qu’ils sont en propre
In this dissertation I would like to show how Heidegger beginning in 1927 gradually distances himself from transcendental thought in order to work out the conception of a fundamental ethos. In this development in Heidegger’s thought I emphasize the role of his Schelling interpretation, specifically his lecture course on the Philosophical Investigations into the Essence of Human Freedom from 1936 (but also from 1927/1928 and 1941). This reading of Schelling can be understood in relation to his 1931 interpretation of Metaphysics Θ 1-3 of Aristotle. The first part of my investigation describes and sketches out the different stages within the abandonment of the transcendental until the end of the 1930s : from the transcendental ability-to-be to the « transcendental neediness » (the end of the conditions of possibility), and from Being as possible to Being as im-possible (the discovery of the capability (δύναμις) that underlies Being ; the end of any enabling). In the second stage of the investigation I develop a more systematic part as a dialogue – as opposed to a comparison – between the middle and late thought of Heidegger and Schelling. Through this dialogue I show a convergence of both philosophers in their conceptions of ethos : ethos is a habitation in the world, which is based on the « correspondence » between the released love of humans and the primordial element of love (which is on the one hand Being and on the other hand the « Lord of Being »). This ethos is an ethos of the Im-possible, because, if it occurs, it cannot be anticipated or planned out and it is not inscribed in any horizon of expectation. It thereby discloses the letting-be of beings as their own
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Lemaitre, Jean-Christophe. "La structure duale de l'identité dans la première philosophie de F.W.J. Schelling : monisme et subjectivité." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040253.

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Abstract:
Ce travail se propose d’analyser la philosophie de Friedrich Wilhelm Joseph Schelling à travers le prisme de la notion d’identité. Il s’agit de mesurer l’originalité de notre auteur, qui consiste, à notre sens, dans la volonté de penser l’identité autrement que comme une simple identité logique ou mathématique, sans pour autant inclure d’emblée la différence dans l’identité, ni dépasser la sphère de l’identité vers un autre domaine de problématicité. Une telle ambition semble commander de prendre en considération les œuvres de Schelling s’échelonnant entre 1801 et 1806 et constituant ce que les commentateurs ont caractérisé comme sa « philosophie de l’Identité ». Or c’est sur la période immédiatement antérieure, celle allant de 1794 à 1800, que nous avons décidé de porter notre attention. En effet, il apparaît que la préoccupation de Schelling pour une pensée de l’unité et de l’identité trouve son origine dans une réflexion portant sur le statut du sujet, tel qu’il se dégage de la pensée critique inaugurée par Kant et poursuivie par Fichte. C’est à la compréhension de cette articulation entre réflexion sur la subjectivité et ambition ontologique de type moniste qu’est consacrée notre thèse. La confrontation précise entre la pensée du jeune Schelling et celle de Kant nous est apparue comme cruciale pour comprendre comment une pensée de l’unité de la totalité pouvait se fonder sur la philosophie critique. En adoptant une méthode génétique, nous avons dégagé deux modèles de l’identité : l’identité-ipséité (première partie) et l’identité-harmonie (deuxième partie). Notre propos s’achève alors sur la possibilité d’une articulation systématique de ces deux modèles, afin de saisir l’originalité du monisme schellingien, et, ce faisant, la possibilité d’une pensée moniste intégrant en son sein la subjectivité
The purpose of this work is to analyse Friedrich Wilhelm Joseph Schelling's philosophy through the prism of the notion of identity. The issue at stake is to gauge the originality of the author. It is our contention that such originality lies in his determination to perceive the notion of identity as something that cannot be reduced merely to logical and mathematical identity, without including the concept of difference right from the start in that of identity, and without going beyond the sphere of identity so as to reach another field of problematicity. With this purpose in mind, it appears clearly that it is compulsory to take into account those of Schelling's works published between 1801 and 1806, which form what commentators have called his « philosophy of Identity ». Now we have deliberately chosen to survey instead the period immediately prior to that one, that is to say the years from 1794 to 1800, for it seems to us that Schelling's focus on how to ponder unity and identity stems from his study of the status of the subject, as this status had already been analysed in Kant's critical theory, first, and afterwards in Fichte's works. Our doctoral dissertation is devoted to the analysis of the connection between subjectivity, on the one hand, and an ontological framework of the monist kind, on the other hand. Confronting young Schelling's thought to Kant's has seemed to us crucial in our quest to understand how a philosophical system based on unity could take Kant's criticist philosophy as its stepping stone. We have adopted a genetic approach so as to uncover two patterns of identity: identity as ipseity (first part of our dissertation) and identity as harmony (second part). As our dissertation comes to its close, it appears possible to see these two patterns as systematically interconnected. This allows us to fully grasp the originality of Schellingian monism and thereby, the possibility of a monist type of thought welcoming the idea of subjectivity
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Dispersyn, Eléonore. "Kant, Fichte, Schelling: essai sur la nature du mal." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2006. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210810.

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Abstract:
Progression d'un concept, le mal radical, dans trois textes :La Religion dans les limites de la simple raison (Kant), Le système de l'Ethique (Fichte), et Le Traité de 1809 (Schelling). Origine ultime du mal :libre arbitre ou détermination ?Responsabilité et liberté du mal. Mal moral et métaphysique du mal/ Advance of a concept: radical evil, in three readings: Religion within the Limits of Mere Reason (Kant), System of Ethics (Fichte), and Treatise of 1809 (Schelling).Ultimate origin of evil: free will or determination? Responsibility and freedom to evil. Moral evil and metaphysics of evil.
Doctorat en Philosophie
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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