Academic literature on the topic 'Schizophrènes – Évaluation'

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Journal articles on the topic "Schizophrènes – Évaluation"

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Stephanatos, G., T. Lemperiere, F. Rouillon, and S. Lancrenon. "Anhédonie et dépression chez les schizophrènes." Psychiatry and Psychobiology 1, no. 2 (1986): 123–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003205.

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Abstract:
RésuméL’anhédonie, incapacité à éprouver du plaisir, a été considérée comme un trouble essentiel et même comme un des fondements possible du processus schizophrénique, mais aucune des nombreuses études cliniques et expérimentales réalisées n’ont pu confirmer une telle hypothèse.Cette étude a évalué les rapports entre l’anhédonie et la sémiologie dépressive ou psychotique. Elle a porté sur 65 schizophrènes, âgés de 29.5 ans en moyenne, récemment hospitalisés. Le diagnostic répondait aux critères de Feighner. L’évaluation, à l’inclusion et après six semaines de traitement neuroleptique exclusif (chlorpromazine ou halopéridol), a été réalisée en aveugle, par un expérimentateur utilisant les échelles suivantes : BPRS, IMPS, MADRS, HDRS, et avec des échelles visuelles analogiques explorant les items : «moral», «plaisir seul» ou «avec autrui», «idées claires» et «forme physique».Les résultats objectivent une amélioration significative de la symptomatologie anhédonique et dépressive, auto ou hétéro-évaluée, et des symptômes positifs de la schizophrénie. Les troubles affectifs des schizophrènes sont plus proches de l’anhédonie que de la dépression lors de l’inclusion et les scores de l’anhédonie semblent plus susceptibles de s’améliorer. A J0 seuls les items «moral», «idées claires» et «forme physique» sont corrélés. S’en distinguent les items explorant l’anhédonie (plaisir seul, plaisir partagé). Entre J0 et J42 seuls les items explorant l’anhédonie s’améliorent aussi bien aux échelles d’hétéro-évaluation qu’aux échelles visuelles analogiques au contraire des items explorant la dépression. Ces résultats semblent confirmer qu’anhédonie et dépression sont des dimensions distinctes de la symptomatologie schizophrénique.
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Braha-Zeitoun, S., N. Bouaziz, P. Shenin-King, V. Moulier, and D. Januel. "Évaluation de la mémoire de la source au sein d’une population de sujets schizophrènes souffrant d’hallucinations résistantes et de volontaires sains traités par TMS." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 33. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.081.

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Abstract:
Le source monitoring se caractérise par la capacité à distinguer l’origine d’une information qu’elle soit autogénérée ou provenant d’une source extérieure. Ces capacités semblent être altérées dans la schizophrénie et d’autant plus chez des sujets présentant une symptomatologie positive. Les hypothèses de recherche actuelles suggèrent qu’un déficit de source monitoring pourrait expliquer la présence de symptômes positifs et plus particulièrement d’hallucinations auditives. Dans la schizophrénie, ce lien a été mis en évidence par un certain nombre d’auteurs [1,3]. Brunelin et al. [2] ont montré une amélioration significative des capacités de source monitoring corrélée à une baisse des hallucinations auditives chez des sujets schizophrènes traités par stimulation magnétique transcrânienne (TMS). L’objectif de notre étude est d’évaluer les déficits de source monitoring de sujets schizophrènes présentant des hallucinations auditives résistantes et de volontaires sains traités par TMS. Nous avons inclus 20 sujets schizophrènes présentant des hallucinations résistantes et 20 volontaires sains traités par TMS en double aveugle. La symptomatologie a été évaluée par la PANSS et l’échelle d’hallucinations auditives de Hoffmann concernant le groupe de sujets schizophrènes. Les volontaires ont été évalués avec l’échelle de Hamilton et la MINI 500. Une tâche de mémoire de la source était administrée, avant et après le traitement par TMS, dans les deux groupes. Elle se présente sous la forme de deux tests : « Dire » permettant d’évaluer les capacités de reconnaissance de mots produits par le sujet, et un test « Entendre » permettant de distinguer des informations provenant de soi ou d’une source extérieure. Cette tâche est suivie d’une phase de reconnaissance durant laquelle le sujet doit se rappeler de la source correcte des mots qui lui ont été présentés parmi une liste de mots comprenant des distracteurs. Les résultats mettent en évidence un effet non délétère de la TMS sur les performances à la tâche de source monitoring.
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Sarto, D., M. Desseilles, M. Martin, L. Seidel, and A. Albert. "Évaluation d’un an de parcours de patients schizophrènes en service psychiatrique liégeois." L'Encéphale 32, no. 5 (October 2006): 722–28. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(06)76224-8.

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Izaute, Marie, Fabien Rondepierre, and Isabelle Jalenques. "Évaluation et utilisation de stratégies en mémoire par des patients schizophrènes âgés." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 174, no. 3 (April 2016): 189–93. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2016.01.005.

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Robert, G. "L’apathie dans les maladies développementales : évaluation, physiopathologie et thérapeutique." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S18. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.057.

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Abstract:
Bien que le terme « apathie » soit plus favorablement rencontré dans le domaine des pathologies dégénératives, de plus en plus de travaux sont réalisés dans celui des pathologies développementales, au premier rang desquels la schizophrénie et la dépression. Les analyses factorielles des échelles de symptômes négatifs dans la schizophrénie identifient deux facteurs dont celui de l’apathie associée à un pronostic péjoratif . Les troubles de la motivation sont désormais au cœur des enjeux thérapeutiques et de nouveaux paradigmes d’effort et l’imagerie cérébrale caractérisent les désordres motivationnels dans la schizophrénie . Les traitements médicamenteux souvent suspectés d’être pourvoyeur de troubles motivationnels ne sont pas mis en causes dans une récente méta-analyse . Nous exposerons également les résultats de nos travaux identifiant les troubles émotionnels chez les patients apathiques schizophrènes et dépressifs.
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Stip, Emmanuel, Juliette Sablier, Amir Ali Sephery, Stéphane Rivard, Chantal Cloutier, Ginette Aubin, Lucie Godbout, and Fréderic Limoges. "Cuisine et schizophrénie : activité carrefour d’une évaluation écologique, ergothérapique et neuropsychologique." Santé mentale au Québec 32, no. 1 (October 12, 2007): 159–79. http://dx.doi.org/10.7202/016514ar.

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Abstract:
Dans cette étude exploratoire, les auteurs examinent les différentes évaluations ergothérapiques et neuropsychologiques utilisées pour analyser qualitativement et quantitativement les déficits rencontrés par les patients schizophrènes. Les auteurs estiment qu’il est nécessaire d’explorer davantage leurs répercussions dans la réalisation des activités de la vie quotidienne (AVQ) et domestique (AVD) et ainsi, ont voulu vérifier si la distinction entre deux niveaux d’autonomie fonctionnelle pouvait se traduire en différences au plan cognitif et clinique chez (25) 23 patients inclus dans un programme pour jeunes adultes (schizophrenia spectrum DSM-IV criteria) à Montréal. Ces patients avaient l’opportunité, au sein du programme clinique, de se soumettre à des évaluations d’ordre neuropsychologique ainsi qu’à des évaluations offertes par le service d’ergothérapie grâce à un outil très fréquemment utilisé par les ergothérapeutes intitulé Assessment of Motor and Process Skills (AMPS). L’objectif de cet article est de conjuguer deux regards possibles, issus de deux disciplines différentes, sur une activité très courante pour les êtres humains, à savoir « faire la cuisine », chez des personnes souffrant de schizophrénie, dont le fonctionnement dans la vie quotidienne est perturbé.
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Salaün, A., M. Le Galudec, P. Saliou, and M. Walter. "Le syndrome métabolique : prévalence et analyse des pratiques, résultats d’une expérience menée au CHRU de Brest." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 568. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.250.

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Abstract:
ContexteLa prévalence du syndrome métabolique est nettement plus élevée chez les patients schizophrènes que dans la population générale, pouvant atteindre 41 % [1]. Par ailleurs, il est responsable d’un risque cardiovasculaire accru [2] ainsi que d’une augmentation du risque de diabète de type 2. Ainsi, la mortalité totale est deux à trois fois plus élevée chez les personnes souffrant de schizophrénie [3].ObjectifObtenir une prévalence du syndrome métabolique dans une population de schizophrènes suivis en ambulatoires et évaluer la qualité de l’identification de ce syndrome ainsi que de sa prise en charge.MéthodeDes patients schizophrènes, sous antipsychotiques depuis au moins 3 mois, ont été inclus lors d’une première consultation par leur psychiatre traitant dans le cadre de leur suivi habituel. Des mesures comprenant un bilan biologique (HDLc, glycémie, triglycérides…), la passation d’un entretien diagnostique structuré (le MINI), des mesures cliniques (tension artérielle, tour de taille, etc) ont été réalisées. Les patients ont été revus lors d’une seconde consultation par leur psychiatre traitant avec les résultats du bilan biologique. Enfin, nous avons effectué une hétéro-évaluation des pratiques professionnelles.RésultatsVingt et un patients ont été inclus dans l’étude, 3 ont été perdus de vue. La prévalence du syndrome métabolique s’élève à 38,9 %. Par ailleurs, 22,2 % des sujets répondent à 2 critères de la définition du syndrome métabolique. Seulement 42,9 % des syndromes métaboliques étaient bien identifiés par les psychiatres. L’action la plus fréquemment mise en place était les règles hygiéno-diététiques (71,4 % chez les patients avec syndrome métabolique). Enfin, aucun patient ne bénéficiait d’un suivi tensionnel et très peu d’un suivi du bilan biologique (28,6 % chez les sujets avec syndrome métabolique et 54,5 % chez les sujets sans syndrome métabolique).
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Gauthé, M., C. Goldberger, J. P. Olié, H. Lôo, C. Gury, and M. F. Poirier. "Évaluation des troubles du métabolisme induits par les antipsychotiques atypiques chez les patients schizophrènes." L'Encéphale 31, no. 1 (February 2005): 18–23. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(05)82368-1.

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Aghababian, V., A. M. Gendron, G. Reine, C. Hervieux, C. Lançon, and P. Auquier. "Influence des troubles mnésiques sur l’auto-évaluation de la qualité de vie subjective des patients schizophrènes." L'Encéphale 32, no. 3 (June 2006): 289–95. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(06)76155-3.

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Rodiere-Rein, C. "Les troubles dépressifs chez les schizophrènes vus en ambulatoire : Allure sémiologique et problèmes méthodologiques d’évaluation." Psychiatry and Psychobiology 1, no. 2 (1986): 131–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003217.

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Abstract:
RésuméLes symptômes d’un groupe de schizophrènes ambulatoires ont été évalués de manière transversale. 95 patients ont été inclus dans une première étude et 87 d’entre eux réévalués un an après.Les patients étaient considérés comme déprimés quand ils avaient : soit un score égal ou supérieur à 3 à une appréciation clinique globale de la dépression (de score maximum égal à 5), soit un score de 20 ou plus à la M.A.D.R.S.*.La fréquence de la dépression était de 20 % environ selon les deux modes d’évaluation.Les patients déprimés avaient aussi la symptomatologie psychiatrique d’ensemble la plus sévère comme en témoignaient leurs scores à la B.P.R.S.*, à l’échelle de schizophrénie extraite de la C.P.R.S.*, et à la check-list d’auto-évaluation S.C.L. 90*.Les deux modes d’évaluation de la dépression ont paru mesurer deux aspects différents du syndrome : dans la première étude, 20 patients étaient déprimés selon le score clinique global, 20 également selon la M.A.D.R.S., mais 12 seulement selon les deux modes d’évaluation. Comparée au score global, la M.A.D.R.S. paraît retenir des patients dont la pathologie globale et dépressive est plus sévère. Les cliniciens ont hésité à juger cliniquement comme déprimés des malades déficitaires même lorsque leurs profils cliniques avaient par ailleurs une configuration franchement dépressive.
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Dissertations / Theses on the topic "Schizophrènes – Évaluation"

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Haslam, Julie. "Évaluation de la capacité de l' "assessment of motor and process skills" (AMPS) à prédire le niveau d'employabilité d'adultes souffrantsde schizophrénie : une étude pilote." Master's thesis, Université Laval, 2009. http://hdl.handle.net/20.500.11794/20841.

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Abstract:
L'étude présentée dans ce mémoire avait pour but principal d'explorer et de déterminer l'existence de corrélations entre les profils fonctionnels obtenus grâce à l' "Assessment of Motor and Process Skill" (AMPS) et le niveau d' elnployabilité d'adultes souffrant de schizophrénie. Cette étude pilote était une étude non expérimentale, transversale, de type descriptive-corrélationnelle. Un total de 20 sujets ayant un diagnostic principal de schizophrénie et occupant un des quatre niveaux d' employabilité (emploi compétitif, emploi assisté, activités de pré-employabilité ou activités non vocationnelles) depuis plus de six mois ont accepté de participer à cette étude. Les mesures de résultat ont été effectuées à l'aide de l'AMPS, de la ±Positive and Negative Syndrome Scale¿ (P ANSS), de l' ± Addiction Severity Index¿ (ASI) et du ± Worker Role Interview¿ (WRI). Ces outils ont permis de recueillir des données sur la performance occupationnelle, la symptolnatologie, la consommation de drogues et d'alcool, ainsi que les facteurs psychosociaux et environnementaux qui peuvent influencer la performance vocationnelle de la population à l'étude. Les analyses statistiques ont révélé l'existence d'une corrélation lTIodérée entre les différents niveaux d' employabilité et les scores globaux obtenus sur l'échelle des habiletés opératoires de l' AMPS. Ces résultats peuvent être considérés comme des évidences préliminaires du fait qu'au-delà des fonctions cognitives de base, les processus en cours de tâche peuvent être aussi prédicteurs de la performance vocationnelle des adultes souffrant de schizophrénie. Les analyses ont également mis en lumière l'importance de considérer les déterminants personnels et la valeur attribuée au rôle de travailleur de ces individus lors de l'évaluation de leurs capacités de travail. Finalement, les résultats semblaient aussi appuyer le concept des quatre niveaux d' employabilité comme étant un continuum en termes de niveau de fonctionnement, de productivité et de compétitivité attendus de la part des participants.
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Ouellet, Rosalie. "Caractérisation de l’alexithymie chez les personnes atteintes de schizophrénie en début d'évolution." Thesis, Université Laval, 2011. http://www.theses.ulaval.ca/2011/28069/28069.pdf.

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Abstract:
Cette thèse propose la caractérisation de l’alexithymie chez les personnes atteintes de schizophrénie (SZ) en début d’évolution, comparativement à un groupe témoin, en trois étapes. La première étape est une revue critique des écrits sur l’alexithymie en SZ, où sont notées une grande variabilité conceptuelle et d’importantes lacunes méthodologiques. Malgré cela, l’alexithymie se révèle sévère et prévalente, peu associée aux symptômes de la SZ, associée aux symptômes anxio-dépressifs et adéquatement mesurée à l’aide de la TAS-20. La deuxième étape, effectuée auprès de 33 personnes atteintes de SZ et de 31 personnes témoins, consiste en deux volets. Le premier volet compare les caractéristiques de l’alexithymie chez les deux groupes, qui s’avère plus sévère et prévalente chez le groupe clinique, au sein duquel elle se démarque par une difficulté significative à identifier les émotions. Le deuxième volet est l’examen des relations entre l’alexithymie, la mentalisation et la cognition sociale chez les deux groupes, ainsi qu’avec la symptomatologie et le fonctionnement social chez le groupe clinique. Le résultat principal indique que malgré une sévérité supérieure de l’alexithymie et la présence d’un déficit de mentalisation, ces deux concepts ne sont pas associés chez les personnes atteintes de SZ; ils le sont cependant significativement chez les témoins. La troisième étape est l’étude de certaines propriétés psychométriques d’une mesure de l’alexithymie, l’Observer Alexithymia Scale (OAS), lorsqu’elle est cotée par des professionnels de la santé chez des personnes atteintes de SZ (n = 33). L’objectif est de déterminer si l’OAS est une alternative adéquate au questionnaire TAS-20 chez cette population dont la capacité d’introspection et de conscience émotionnelle est souvent diminuée. L’OAS présente des propriétés psychométriques satisfaisantes en général, mais elle est significativement associée aux symptômes négatifs, constituant une limite majeure à son emploi lorsqu’elle est cotée par un professionnel de la santé. En conclusion, la présente thèse révèle d’importantes difficultés émotionnelles chez les personnes atteintes de SZ, qui ne sont reliées ni à la mentalisation ni aux symptômes, mais qui sont associées à un fonctionnement social appauvri. Il appert important de poursuivre les recherches sur l’alexithymie et sa mesure, et sur la mentalisation.
This thesis proposes an effort to better characterize alexithymia in people with recent-onset schizophrenia (SZ) compared to non clinical controls through three major steps. The first step is to critically review the previous studies on alexithymia in SZ (n = 10) which, despite important conceptual variability and methodological caveats, highlight high severity of alexithymic features that are relatively independent from major SZ symptoms and associated to symptoms of general psychopathology, and that can be reliably measured with the TAS-20. The second step involves the comparison of two groups (SZ n = 33, Controls n = 31) regarding alexithymic features and the relationships between alexithymia, mentalizing and social cognition. It reveals that despite a higher severity of alexithymia and a mentalizing impairment in people with SZ, there is no association between both constructs in this group, thus infirming our hypothesis. However there is a significant negative association between them in the control group. The third step, as an attempt to find an alternative measure to the TAS-20 questionnaire in people who are known to show poor insight and emotional awareness, involves the study of psychometric properties of the Observer Alexithymia Scale (OAS) when it is rated by mental health professionals among people with SZ (n = 33). It shows that the OAS displays good psychometric properties in general, though it is moderately to strongly correlated to negative symptoms of SZ. This is an important limit to its use in this clinical population, at least when it is rated by a mental health professional. Results could be more accurate if the OAS was rated by a close relative, as suggested for future research. Overall, the results from the current thesis support the existence of important difficulties in emotion processing in people with SZ, principally characterized by the alexithymic feature “difficulty identifying emotions”, that are not related to mentalizing nor to symptoms but associated to a diminished social functioning. Some explanations, such as the specificity of alexithymia measures and the possible presence of a particular type of alexithymia in people with SZ, are proposed.
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Taieb, Aïda. "Analyse chromatographique et évaluation pharmacocinétique de la clozapine et ses métabolites chez les patients schizophrènes." Amiens, 2010. http://www.theses.fr/2010AMIED010.

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Abstract:
La clozapine est le seul agent de deuxième génération à être efficace dans le traitement des cas schizophréniques rebelles aux neuroleptiques classiques et le seul qui réduise le risque de suicide. Son emploi est cependant limité, en raison de la surveillance qu’il impose. De ce fait, le monitorage thérapeutique associé à la clozapine devient un outil clinique essentiel. Ce monitorage permet : d’optimiser l’efficacité thérapeutique, de prévenir une toxicité excessive de la clozapine et de réduire le risque de rechute. Néanmoins, des variations interindividuelles ont été largement rapportées, ceci pourrait être attribué à des facteurs environnementaux, tels que le tabagisme, ou physiologiques, tels que le sexe ou l’âge, ou encore génétiques, tels que des polymorphismes portant sur le gène codant pour la CYP1A2, principale enzyme catabolisant la clozapine. Notre étude a eu pour objectifs : de proposer un outil clinique efficace et standard grâce à un suivi précis des données pharmacocinétiques de la clozapine, de mieux comprendre les variations interindividuelles par rapport à l’effet du tabagisme sur les effets thérapeutiques de la clozapine, d’interpréter certains polymorphismes génétiques au niveaux du gène codant pour la CYP1A2 et des glutathion S-transférases (GST), enzymes de la phase II du métabolisme, susceptibles de favoriser le développement de la schizophrénie. Ainsi, les seuils de toxicité et d’efficacité thérapeutique de la clozapine doivent être considérés individuellement. En outre, la clozapinémie constitue un paramètre important dans le suivi médical périodique. Le rapport « index métabolique CYP1A2 » sur « clairance plasmatique de la clozapine » pourrait être considéré comme un marqueur plasmatique adaptable à une échelle collective. La SNP - 3860G>A, forme désactivée de la CYP1A2, pourrait constituer un facteur génétique de risque. Par ailleurs, notre étude confirme le rôle de GSTT1 en tant que facteur de prédisposition à la schizophrénie
Only clozapine, a second generation agent, presents an interest for the effective treatment of schizophrenia cases that are rebel to be treated with conventional neuroleptics, and also the only one that reduces the risk of suicide. Its use is limited because of the monitoring it requires. Thus, a monitoring associated with a clozapine therapy becomes a clinical essential tool. This monitoring helps to optimize the efficiency of the therapeutics, prevents an excessive toxicity of clozapine and reduces the risk of relapse. Nevertheless, numerous interindividual variations have been widely reported, this could be attributed to environmental factors, such as smoking, or physiological, such as gender or age, or still genetic, such as polymorphisms on the gene encoding for CYP1A2, the main enzyme that catabolise the clozapine. The aims for this study were: to provide a efficient and standard clinical tool with a precise tracking of pharmacokinetics of clozapine, to acquire a better understanding of interindividual variations in relation to the fact of smoking on the therapeutic effects of clozapine, explain some genetic polymorphisms at the level of the gene encoding the CYP1A2 and at the level of the glutathione S-transferases (GST), enzymes of the metabolism of the phase II, which may promote the development of schizophrenia. Thus, the thresholds of toxicity and therapeutic efficacy of clozapine must be considered individually. In addition, the clozapine serum level is an important parameter in the periodical medical monitoring. The ratio "CYP1A2 metabolic index" to "plasma clearance of clozapine" could be considered as a plasmatic marker adaptable to a collective level. The SNP -3860G>A, the deactivated form of CYP1A2, could be a genetic risk factor. Furthermore, our study confirms the role of GSTT1 as a factor predisposing to schizophrenia
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Reine, Gilles. "Qualité de la vie et schizophrénie." Aix-Marseille 2, 2005. http://www.theses.fr/2005AIX20671.

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Abstract:
Ce travail est consacré au développement d'un questionnaire de qualité de vie subjective auto-administré destiné aux patients souffrant de schizophrénie, le S-QoL. Il comprend 41 items et 8 dimensions (bien-être psychologique, estime de soi, bien-être physique, relations familiales, relations amicales, vie sentimentale, autonomie, résilience), ainsi qu'un index global. Plusieurs études ont confirmé que l'instrument est valide, fiable et sensible au changement. Le S-QoL a été comparé à deux instruments de référence : le QoLi et le SF-36. Les facteurs explicatifs de l'Index-S-QoL comprennent les symptômes paranoïdes, l'hostilité, la dépression, l'âge, les comorbidités alcoolique et dépressive, la fréquence des contacts amicaux et familiaux, les activités quotidiennes. Des résultats préliminaires montrent que la cotation ne serait pas influencée par les troubles des fonctions mnésiques et exécutives mais pourraient avoir un lien avec les capacités d'insight des patients. L'intérêt de l'auto-évaluation a été vérifié par une comparaison des cotations faites par des patients et des soignants référents. Une étude préliminaire est consacrée à la qualité de vie du point de vue des aidants naturels
We developed a self-rated instrument for evaluating subjective quality of life in patients suffering from schizophrenia : the S-QoL. The S-QoL includes 41 questions and 8 dimensions (psychological well-being, self esteem, physical well-being, relations with family, relations with frieds, sentimental life, autonomy, resilience), with a global index. We present the results of validation studies showing that the S-QoL is valid, reliable and has good responsiveness. The S-QoL has been compared with two standard instruments : the QoLI and the SF-36. In regression analysis studies, explanatory factors of the S-QoL are : paranoid symptoms, hostility, depression, age, previous comorbidity with alcohol abuse and depression, daily activities, and the number of weekly contacts with family and friends. Preliminary results show that self-evaluation with the S-QoL is not influenced by memory and executive function deficits but has statistical relationships with insight. The interest of self-rating has been verified by comparing evaluations of patients and referent health professionals. A preliminary study describes quality of life from the caregiver's point of view
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Mittoux, Aurélia. "Évaluation de la mortalité chez les patients schizophrènes traités par des antipsychotiques dans des conditions normales de prescription en Europe et en Asie." Thesis, Lyon 1, 2011. http://www.theses.fr/2011LYO10268.

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Ouellet, Rosalie. "Étude de la fonction de l'alexithymie sur la convergence de mesures de la personnalité chez de jeunes adultes souffrant d'une psychose débutante." Master's thesis, Université Laval, 2005. http://hdl.handle.net/20.500.11794/43536.

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Abstract:
L'évaluation de la personnalité des individus souffrant de schizophrénie (SZ) ou de psychose apparentée à la schizophrénie (PASZ) renseigne sur l'étiologie de la maladie, le pronostic et le traitement à privilégier. Il n'y a pas de consensus actuellement quant à l'emploi d'une méthode particulière pour l'évaluation de la personnalité chez la population à l'étude. La validité convergente de 2 méthodes fréquemment utilisées, soit l'Inventaire Clinique Multiaxial de Millon-III (MCMI-III), et l'entrevue semi-structurée de l'Axe II («Structured Clinical Interview for DSM-IV Axis II Personality Disorders»; SCID-II) a été évaluée auprès d'un échantillon de 20 participants atteints de SZ et de PASZ. Tel qu'attendu, l'accord est faible pour la majorité des 12 échelles cliniques. L'hypothèse voulant qu'il existe une relation linéaire négative entre le degré d'accord du MCMI-III et du SCID-II et la présence d'alexithymie est confirmée dans le présent échantillon. L'alexithymie, évaluée à l'aide de l'Échelle d'Alexithymie de Toronto («Toronto Alexithymia Scale»; TAS), expliquerait une proportion substantielle de la variance du désaccord diagnostique entre les instruments (27%). Ces résultats supportent la pertinence de raffiner les méthodes d'évaluation de la personnalité et l'importance d'évaluer la présence d'alexithymie chez les personnes souffrant de schizophrénie et de psychose apparentée.
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Canceil, Olivier. "Évaluation de la symptomatologie, de l'adaptation psychosociale et de la qualité de vie d'une cohorte de 145 sujets schizophrènes et de leur évolution à deux ans." Paris 6, 2002. http://www.theses.fr/2002PA066064.

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Yvon, Florence. "Stéréotype de la schizophrénie dans les évaluations en neuropsychologie clinique : étude approfondie des enjeux méthodologiques et pratiques." Thesis, Bordeaux, 2019. http://www.theses.fr/2019BORD0070/document.

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Abstract:
Ce projet doctoral s’inscrit dans le contexte de la réhabilitation psychosociale promouvant la lutte contre la stigmatisation des maladies psychiatriques sévères. Il vise à une meilleure compréhension de la stigmatisation de la schizophrénie au travers de l’étude des composantes du stéréotype et de ses effets sur les performances neuropsychologiques. La revue de la littérature sur la thématique nous amène au constat d’une grande hétérogénéité dans les méthodes d’exploration du stéréotype de la schizophrénie, en partie expliquée par un cloisonnement des recherches entre la Psychiatrie et la Psychologie sociale.Les deux études réalisées visaient à : i) explorer le contenu du stéréotype de la schizophrénie chez les familles et dans la population générale en France ; ii) étudier expérimentalement l’impact de la menace du stéréotype sur les performances cognitives des personnes souffrant de schizophrénie.La première étude montre que le stéréotype de la schizophrénie est plus massivement rejeté par les familles, et notamment dans sa dimension « Dangerosité ». Les résultats suggèrent en outre que la dimension « Incompétence » du stéréotype de la schizophrénie occupe une place centrale, autant chez les familles que dans la population générale. L’intégration de nos résultats dans les modèles développés par la Psychologie sociale nous amène à proposer un modèle du contenu du stéréotype de la schizophrénie, dans lequel les dimensions de dangerosité et d’incompétence du stéréotype prédiraient des patterns spécifiques d’émotions et de comportements discriminatoires.La seconde étude, expérimentale, ne permet pas de mettre en évidence un effet négatif de la menace du stéréotype de la schizophrénie sur les performances exécutives. Cette absence de résultat significatif nous amène à discuter des enjeux méthodologiques dans les designs expérimentaux, en particulier quant à leur application dans la schizophrénie. Ainsi, certains facteurs comme le domaine d’identification, le choix des mesures cognitives et la prise en compte des différentes menaces potentielles apparaissent primordiaux pour les recherches futures
This doctoral research interests the field of psychosocial rehabilitation, promoting the fight of stigma in severe mental disorders. The objective is to better understand the schizophrenia stigma through the study of stereotype components and its effect on current clinical neuropsychological practice. The review of stigma scientific publishing underlines a great methodological heterogeneity regarding schizophrenia stereotype exploration, that can be explain by the scientific partitioning of Social psychology and Psychiatry research. Consequently our doctoral research was aimed at integrating these two bodies of research to enhance the operationalization of schizophrenia stereotype content and its potential effects on cognitive performances.We conducted two studies aimed at: i) exploring schizophrenia content stereotype in families and the general population in France; ii) investigating the impact of stereotype threat on cognitive performances in schizophrenia.The first study shows that schizophrenia stereotype is more strongly rejected by families, especially in its “Dangerousness” dimension. Results also suggest that “Incompetency” is a core dimension of schizophrenia stereotype, both in families and the general population. The integration of our results with the models of Social psychology leads us to propose a model of schizophrenia stereotype content in which the Dangerousness and Incompetency dimensions would both predict specific patterns of emotions and discriminatory behaviors.The second experimental study failed to show any negative effect of schizophrenia stereotype threat on executive performances. Finally, this failure leads us to discuss the methodological issues of experimental designs, especially regarding their application in schizophrenia. Thus, several factors of interest, like the identification domain, the choice of cognitive measures and the consideration for various potential threats appear to be relevant for future research
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Goulet, Claudine. "Étude comparative de la perception des jeunes adultes schizophrènes et des intervenants quant à la compétence dans les activités productives." Thèse, 2006. http://hdl.handle.net/1866/15807.

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10

Ponton, Lucie. "Recherche indicative en regard de l'évaluation de la vidéo du programme "Porter secours"." Mémoire, 2009. http://www.archipel.uqam.ca/2655/1/M11158.pdf.

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Abstract:
Selon l'Organisation mondiale de la santé une personne sur cent est atteinte de schizophrénie et les premiers symptômes se manifestent généralement à l'adolescence ou au début de l'âge adulte et bouleversent complètement l'existence de cette personne et de ses proches. En plus de faire face à des modifications profondes et majeures en regard de sa personnalité et de sa façon d'être, la personne touchée par la schizophrénie doit affronter les mythes et les préjugés généralement véhiculés dans la société qui entraînent son discrédit et son exclusion. Elle porte alors le sceau de la stigmatisation. Depuis quelques années une croisade est engagée pour combattre ce fléau. L'auteure du mémoire s'inscrit dans ce mouvement, et la recherche actuelle a pour but d'apporter un regard évaluatif sur la vidéo d'un programme d'information visant à combattre la stigmatisation entourant la schizophrénie. Ce programme créé par la Société de schizophrénie de Colombie Britannique a été approuvé par Santé Canada pour une diffusion à travers le pays, d'un océan à l'autre. Il a fait l'objet d'une évaluation dans certaines provinces anglophones, mais aucune appréciation n'a été produite pour la version francophone intitulée: 'Porter secours'. Avec une méthodologie mixte et une analyse transversale des résultats, la chercheure du présent travail, a interviewé cent onze personnes de la région de Montréal et des Basses Laurentides au moyen d'un questionnaire structuré et de discussions semi structurées sur les thèmes abordés. Nous distinguons deux groupes de répondants soit des personnes avec un diagnostic psychiatrique et un autre groupe d'individus sans un tel diagnostic. Nous nous questionnons à savoir: « En quoi la vidéo du programme d'éducation populaire 'Porter secours' permet-elle de combattre la stigmatisation envers les personnes atteintes de schizophrénie? » Notre analyse s'opère dans un cadre théorique d'interactionnisme symbolique. Les conclusions de cette recherche nous permettent de penser qu'une spécificité existe quant aux représentations sociales et aux besoins d'informations en regard de la problématique de la schizophrénie chez nos répondants en comparaison avec les résultats de l'évaluation produite dans les provinces anglophones. Nous présentons ces résultats en parallèle aux nôtres. Aussi, terminons-nous ce travail par des recommandations issues des données de cette recherche afin, éventuellement de créer un outil de sensibilisation qui comblerait ces attentes et ferait avancer la lutte contre la stigmatisation entourant la schizophrénie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Psychiatrie, Maladie mentale, Schizophrénie, Stigmatisation, Intégration sociale.
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