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Journal articles on the topic 'Schizophrènes – Évaluation'

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1

Stephanatos, G., T. Lemperiere, F. Rouillon, and S. Lancrenon. "Anhédonie et dépression chez les schizophrènes." Psychiatry and Psychobiology 1, no. 2 (1986): 123–30. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003205.

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Abstract:
RésuméL’anhédonie, incapacité à éprouver du plaisir, a été considérée comme un trouble essentiel et même comme un des fondements possible du processus schizophrénique, mais aucune des nombreuses études cliniques et expérimentales réalisées n’ont pu confirmer une telle hypothèse.Cette étude a évalué les rapports entre l’anhédonie et la sémiologie dépressive ou psychotique. Elle a porté sur 65 schizophrènes, âgés de 29.5 ans en moyenne, récemment hospitalisés. Le diagnostic répondait aux critères de Feighner. L’évaluation, à l’inclusion et après six semaines de traitement neuroleptique exclusif (chlorpromazine ou halopéridol), a été réalisée en aveugle, par un expérimentateur utilisant les échelles suivantes : BPRS, IMPS, MADRS, HDRS, et avec des échelles visuelles analogiques explorant les items : «moral», «plaisir seul» ou «avec autrui», «idées claires» et «forme physique».Les résultats objectivent une amélioration significative de la symptomatologie anhédonique et dépressive, auto ou hétéro-évaluée, et des symptômes positifs de la schizophrénie. Les troubles affectifs des schizophrènes sont plus proches de l’anhédonie que de la dépression lors de l’inclusion et les scores de l’anhédonie semblent plus susceptibles de s’améliorer. A J0 seuls les items «moral», «idées claires» et «forme physique» sont corrélés. S’en distinguent les items explorant l’anhédonie (plaisir seul, plaisir partagé). Entre J0 et J42 seuls les items explorant l’anhédonie s’améliorent aussi bien aux échelles d’hétéro-évaluation qu’aux échelles visuelles analogiques au contraire des items explorant la dépression. Ces résultats semblent confirmer qu’anhédonie et dépression sont des dimensions distinctes de la symptomatologie schizophrénique.
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2

Braha-Zeitoun, S., N. Bouaziz, P. Shenin-King, V. Moulier, and D. Januel. "Évaluation de la mémoire de la source au sein d’une population de sujets schizophrènes souffrant d’hallucinations résistantes et de volontaires sains traités par TMS." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 33. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.081.

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Abstract:
Le source monitoring se caractérise par la capacité à distinguer l’origine d’une information qu’elle soit autogénérée ou provenant d’une source extérieure. Ces capacités semblent être altérées dans la schizophrénie et d’autant plus chez des sujets présentant une symptomatologie positive. Les hypothèses de recherche actuelles suggèrent qu’un déficit de source monitoring pourrait expliquer la présence de symptômes positifs et plus particulièrement d’hallucinations auditives. Dans la schizophrénie, ce lien a été mis en évidence par un certain nombre d’auteurs [1,3]. Brunelin et al. [2] ont montré une amélioration significative des capacités de source monitoring corrélée à une baisse des hallucinations auditives chez des sujets schizophrènes traités par stimulation magnétique transcrânienne (TMS). L’objectif de notre étude est d’évaluer les déficits de source monitoring de sujets schizophrènes présentant des hallucinations auditives résistantes et de volontaires sains traités par TMS. Nous avons inclus 20 sujets schizophrènes présentant des hallucinations résistantes et 20 volontaires sains traités par TMS en double aveugle. La symptomatologie a été évaluée par la PANSS et l’échelle d’hallucinations auditives de Hoffmann concernant le groupe de sujets schizophrènes. Les volontaires ont été évalués avec l’échelle de Hamilton et la MINI 500. Une tâche de mémoire de la source était administrée, avant et après le traitement par TMS, dans les deux groupes. Elle se présente sous la forme de deux tests : « Dire » permettant d’évaluer les capacités de reconnaissance de mots produits par le sujet, et un test « Entendre » permettant de distinguer des informations provenant de soi ou d’une source extérieure. Cette tâche est suivie d’une phase de reconnaissance durant laquelle le sujet doit se rappeler de la source correcte des mots qui lui ont été présentés parmi une liste de mots comprenant des distracteurs. Les résultats mettent en évidence un effet non délétère de la TMS sur les performances à la tâche de source monitoring.
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3

Sarto, D., M. Desseilles, M. Martin, L. Seidel, and A. Albert. "Évaluation d’un an de parcours de patients schizophrènes en service psychiatrique liégeois." L'Encéphale 32, no. 5 (October 2006): 722–28. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(06)76224-8.

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4

Izaute, Marie, Fabien Rondepierre, and Isabelle Jalenques. "Évaluation et utilisation de stratégies en mémoire par des patients schizophrènes âgés." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 174, no. 3 (April 2016): 189–93. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2016.01.005.

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5

Robert, G. "L’apathie dans les maladies développementales : évaluation, physiopathologie et thérapeutique." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S18. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.057.

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Abstract:
Bien que le terme « apathie » soit plus favorablement rencontré dans le domaine des pathologies dégénératives, de plus en plus de travaux sont réalisés dans celui des pathologies développementales, au premier rang desquels la schizophrénie et la dépression. Les analyses factorielles des échelles de symptômes négatifs dans la schizophrénie identifient deux facteurs dont celui de l’apathie associée à un pronostic péjoratif . Les troubles de la motivation sont désormais au cœur des enjeux thérapeutiques et de nouveaux paradigmes d’effort et l’imagerie cérébrale caractérisent les désordres motivationnels dans la schizophrénie . Les traitements médicamenteux souvent suspectés d’être pourvoyeur de troubles motivationnels ne sont pas mis en causes dans une récente méta-analyse . Nous exposerons également les résultats de nos travaux identifiant les troubles émotionnels chez les patients apathiques schizophrènes et dépressifs.
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6

Stip, Emmanuel, Juliette Sablier, Amir Ali Sephery, Stéphane Rivard, Chantal Cloutier, Ginette Aubin, Lucie Godbout, and Fréderic Limoges. "Cuisine et schizophrénie : activité carrefour d’une évaluation écologique, ergothérapique et neuropsychologique." Santé mentale au Québec 32, no. 1 (October 12, 2007): 159–79. http://dx.doi.org/10.7202/016514ar.

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Abstract:
Dans cette étude exploratoire, les auteurs examinent les différentes évaluations ergothérapiques et neuropsychologiques utilisées pour analyser qualitativement et quantitativement les déficits rencontrés par les patients schizophrènes. Les auteurs estiment qu’il est nécessaire d’explorer davantage leurs répercussions dans la réalisation des activités de la vie quotidienne (AVQ) et domestique (AVD) et ainsi, ont voulu vérifier si la distinction entre deux niveaux d’autonomie fonctionnelle pouvait se traduire en différences au plan cognitif et clinique chez (25) 23 patients inclus dans un programme pour jeunes adultes (schizophrenia spectrum DSM-IV criteria) à Montréal. Ces patients avaient l’opportunité, au sein du programme clinique, de se soumettre à des évaluations d’ordre neuropsychologique ainsi qu’à des évaluations offertes par le service d’ergothérapie grâce à un outil très fréquemment utilisé par les ergothérapeutes intitulé Assessment of Motor and Process Skills (AMPS). L’objectif de cet article est de conjuguer deux regards possibles, issus de deux disciplines différentes, sur une activité très courante pour les êtres humains, à savoir « faire la cuisine », chez des personnes souffrant de schizophrénie, dont le fonctionnement dans la vie quotidienne est perturbé.
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7

Salaün, A., M. Le Galudec, P. Saliou, and M. Walter. "Le syndrome métabolique : prévalence et analyse des pratiques, résultats d’une expérience menée au CHRU de Brest." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 568. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.250.

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Abstract:
ContexteLa prévalence du syndrome métabolique est nettement plus élevée chez les patients schizophrènes que dans la population générale, pouvant atteindre 41 % [1]. Par ailleurs, il est responsable d’un risque cardiovasculaire accru [2] ainsi que d’une augmentation du risque de diabète de type 2. Ainsi, la mortalité totale est deux à trois fois plus élevée chez les personnes souffrant de schizophrénie [3].ObjectifObtenir une prévalence du syndrome métabolique dans une population de schizophrènes suivis en ambulatoires et évaluer la qualité de l’identification de ce syndrome ainsi que de sa prise en charge.MéthodeDes patients schizophrènes, sous antipsychotiques depuis au moins 3 mois, ont été inclus lors d’une première consultation par leur psychiatre traitant dans le cadre de leur suivi habituel. Des mesures comprenant un bilan biologique (HDLc, glycémie, triglycérides…), la passation d’un entretien diagnostique structuré (le MINI), des mesures cliniques (tension artérielle, tour de taille, etc) ont été réalisées. Les patients ont été revus lors d’une seconde consultation par leur psychiatre traitant avec les résultats du bilan biologique. Enfin, nous avons effectué une hétéro-évaluation des pratiques professionnelles.RésultatsVingt et un patients ont été inclus dans l’étude, 3 ont été perdus de vue. La prévalence du syndrome métabolique s’élève à 38,9 %. Par ailleurs, 22,2 % des sujets répondent à 2 critères de la définition du syndrome métabolique. Seulement 42,9 % des syndromes métaboliques étaient bien identifiés par les psychiatres. L’action la plus fréquemment mise en place était les règles hygiéno-diététiques (71,4 % chez les patients avec syndrome métabolique). Enfin, aucun patient ne bénéficiait d’un suivi tensionnel et très peu d’un suivi du bilan biologique (28,6 % chez les sujets avec syndrome métabolique et 54,5 % chez les sujets sans syndrome métabolique).
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Gauthé, M., C. Goldberger, J. P. Olié, H. Lôo, C. Gury, and M. F. Poirier. "Évaluation des troubles du métabolisme induits par les antipsychotiques atypiques chez les patients schizophrènes." L'Encéphale 31, no. 1 (February 2005): 18–23. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(05)82368-1.

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9

Aghababian, V., A. M. Gendron, G. Reine, C. Hervieux, C. Lançon, and P. Auquier. "Influence des troubles mnésiques sur l’auto-évaluation de la qualité de vie subjective des patients schizophrènes." L'Encéphale 32, no. 3 (June 2006): 289–95. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(06)76155-3.

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10

Rodiere-Rein, C. "Les troubles dépressifs chez les schizophrènes vus en ambulatoire : Allure sémiologique et problèmes méthodologiques d’évaluation." Psychiatry and Psychobiology 1, no. 2 (1986): 131–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003217.

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Abstract:
RésuméLes symptômes d’un groupe de schizophrènes ambulatoires ont été évalués de manière transversale. 95 patients ont été inclus dans une première étude et 87 d’entre eux réévalués un an après.Les patients étaient considérés comme déprimés quand ils avaient : soit un score égal ou supérieur à 3 à une appréciation clinique globale de la dépression (de score maximum égal à 5), soit un score de 20 ou plus à la M.A.D.R.S.*.La fréquence de la dépression était de 20 % environ selon les deux modes d’évaluation.Les patients déprimés avaient aussi la symptomatologie psychiatrique d’ensemble la plus sévère comme en témoignaient leurs scores à la B.P.R.S.*, à l’échelle de schizophrénie extraite de la C.P.R.S.*, et à la check-list d’auto-évaluation S.C.L. 90*.Les deux modes d’évaluation de la dépression ont paru mesurer deux aspects différents du syndrome : dans la première étude, 20 patients étaient déprimés selon le score clinique global, 20 également selon la M.A.D.R.S., mais 12 seulement selon les deux modes d’évaluation. Comparée au score global, la M.A.D.R.S. paraît retenir des patients dont la pathologie globale et dépressive est plus sévère. Les cliniciens ont hésité à juger cliniquement comme déprimés des malades déficitaires même lorsque leurs profils cliniques avaient par ailleurs une configuration franchement dépressive.
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Kouidrat, Y., G. Loas, A. Amad, J. D. Lalau, and R. Desailloud. "P213 Évaluation des produits de glycation avancée (AGE) par autofluorescence cutanée, dans une population de sujets schizophrènes." Diabetes & Metabolism 38 (March 2012): A81. http://dx.doi.org/10.1016/s1262-3636(12)71315-0.

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Bellon, Thibaut, and Francis Lowenthal. "Évaluation de la représentation du corps chez les personnes schizophrènes par jugement sémantique : vers un nouvel outil diagnostique ?" L'information psychiatrique 89, no. 8 (2013): 675. http://dx.doi.org/10.3917/inpsy.8908.0675.

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Regat, Soraya, Eléonore Étienne, Sonia Braha, Noomane Bouaziz, Virginie Moulier, René Benadhira, and Dominique Januel. "Évaluation de la compréhension et appréciation de l’humour chez les sujets schizophrènes comparés à une population témoin : étude pilote." Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique 173, no. 3 (March 2015): 214–19. http://dx.doi.org/10.1016/j.amp.2013.10.007.

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Renaud, A., S. Blondiaux, C. Wattecamps, and E. Zawadzki. "Évaluation des pratiques professionnelles : pertinence de l’association des antipsychotiques en EPSM." European Psychiatry 29, S3 (November 2014): 647. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.013.

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Abstract:
L’évaluation des pratiques professionnelles est un indicateur. Une étude un jour donné montre un taux de 62 % de polythérapie antipsychotique. Une revue de pertinence est réalisée.Un audit rétrospectif inclu les patients schizophrènes ayant au moins 2 antipsychotiques, hospitalisés au minimum 20 jours et sortis entre le 01/06/2012 et le 01/06/2013. Une grille d’audit évalue la tolérance. L’échelle de PANSS modifiée évalue l’efficacité. Une revue de pertinence est réalisée avec 4 psychiatres : tolérance et efficacité sont cotées sur une échelle de 0 à 3 en entrée et en sortie. 41 dossiers patients de 4 unités de courts séjours sont analysés. L’âge médian est de 34 ans. La durée médiane de séjour est de 42 jours ; 9,8 % des patients ont 1 antipsychotique, 70,7 % en ont 2, 18,3 % en ont 3 et 1,2 % en ont 4. Au cours du séjour, les symptômes positifs régressent (−1,4), les négatifs et généraux s’atténuent (−0,6 et −0,7). La prise de poids moyenne est de 3,6 kg. La prescription de correcteurs anticholinergiques diminue (−0,1 %), celle des substituts salivaires et des laxatifs augmente (0,5 et 0,6 %). La pertinence évolue peu : +0,1 point pour l’efficacité et +0,2 pour la tolérance. L’association à un antipsychotique anxiolytique/sédatif se retrouve 9 fois sur 10, généralement associé aux benzodiazépines. Des associations sont réalisées avec des spécialités ayant un profil d’action complémentaire au niveau des récepteurs.Certaines associations n’ont jamais fait l’objet d’études, mais d’autres sont validées par la littérature. La pertinence entrée-sortie évolue peu : les patients sont souvent stabilisés par la reprise du traitement, l’arrêt des toxiques et/ou la réassurance du cadre hospitalier avec le même traitement. Certaines situations cliniques nécessitent une association d’antipsychotiques. Elles doivent être justifiées par des données issues de la littérature. La réévaluation de la tolérance et de l’efficacité doit être régulière. La monothérapie doit rester un objectif.
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Divanon, F., P. Delamillieure, A. Lehaguez, T. Vasse, R. Morello, R. Gourevitch, S. Langlois, et al. "Évaluation comparative de la qualité de vie de patients schizophrènes traités par neuroleptiques classiques et neuroleptiques atypiques : résultats d’une étude transversale." L'Encéphale 32, no. 4 (August 2006): 459–65. http://dx.doi.org/10.1016/s0013-7006(06)76187-5.

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Saravane, D. "Troubles mentaux et mortalité." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S7. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.029.

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Abstract:
Depuis de nombreuses années, la santé physique des patients atteints d’une pathologie mentale a été négligée. Des études s’accordent pour conclure à une surmortalité et une comorbidité importantes chez ces patients. Le taux de mortalité (toutes causes confondues) est 4,5 fois plus élevé que pour la population générale. Ainsi un patient schizophrène a une espérance de vie diminuée de 20 % par rapport à la population générale. Les principales causes de décès sont les maladies cardiovasculaires. D’autres études ont mis en évidence des anomalies métaboliques telles que le diabète, les troubles lipidiques qui tendent à favoriser les maladies cardiovasculaires. Cette augmentation de la mortalité s’explique par des causes multifactorielles : environnement défavorable, conditions socioéconomiques précaires, conduites addictives, mauvaise hygiène alimentaire sans oublier les effets secondaires de certains traitements psychotropes. Rendre plus accessible la prévention, le dépistage, lutter contre les facteurs de risque, réaliser de façon systématique des évaluations somatiques et biologiques, et permettre à ces patients de bénéficier des mêmes stratégies de soins que celles proposées à l’ensemble de la population, constituent des priorités que nous devons intégrer à nos pratiques. Des recommandations viennent aider à cette évaluation et le suivi et permettent une alliance collaborative entre psychiatres et somaticiens.
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Travers, D., D. Levoyer, and B. Millet. "Évaluation de la conscience du trouble chez le schizophrène dans une cohorte de 31 patients." L'Encéphale 34, no. 1 (January 2008): 66–72. http://dx.doi.org/10.1016/j.encep.2007.01.001.

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Bénichou, A. S., C. Rieu, C. Chenailler, C. Boiteux, and P. Paubel. "Évaluation de la pertinence de la prescription des antiparkinsoniens chez l’adulte schizophrène, quelle évolution depuis 2007 ?" Le Pharmacien Hospitalier et Clinicien 49, no. 4 (December 2014): 286–92. http://dx.doi.org/10.1016/j.phclin.2013.10.075.

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Benabbas, M., and O. Benelmouloud. "Évaluations des traitements de la schizophrénie à travers une enquête auprès des psychiatres de l’Est Algérien…" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 100. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.267.

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Abstract:
Évaluer l’adéquation entre les pratiques de prescription en conditions réelles et les recommandations internationales pour des sujets schizophrènes. Bien qu’il n’existe pas de définition consensuelle du traitement de la schizophrénie. Nous avons mesuré au moyen d’une enquête d’opinion le consensus des psychiatres algériens sur leur pratique quotidienne du traitement de la schizophrénie et leurs habitudes de traitements et enfin les résultats obtenus. Il était demandé aux psychiatres de remplir une fiche sur laquelle sont mentionnés les différents tableaux cliniques de la schizophrénie qu’ils reçoivent ; les traitements prescris en première intention, pourquoi la préférence pour tel produit et non pas l’autre, à partir de quel moment ils jugent de la résistance au traitement, changent-ils de traitements ou orientent-ils vers les hôpitaux psychiatriques, quantifier la compliance et l’observance du malade pour tel ou tel produit (résultats sous forme de pourcentage). L’enquête touche au premier lieu les psychiatres exerçant dans le privé et ceux des centres intermédiaires en santé mentale. Dans un deuxième temps, elle s’élargira à ceux exerçant dans le secteur public, les établissements hospitaliers spécialisés et les services de psychiatrie hospitalo-universitaire.
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Brunet-Gouet, E., A. Oker, M. Urbach, N. Bazin, and C. Passerieux. "Comment évaluer la cognition sociale ? Comme un tout ou par morceaux ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 21. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.051.

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Abstract:
La pratique psychiatrique est amenée à intégrer de plus en plus de moyens spécialisés d’évaluation des capacités cognitives des patients schizophrènes. Évaluer ces facultés revêt un intérêt tout particulier du fait de leurs corrélations significatives, même partielles, avec le pronostic fonctionnel, autrement dit le handicap. De plus, les mesures des capacités cognitives sont directement en lien avec les moyens de remédiation cognitive dont l’intérêt thérapeutique est établi. En tant que domaine particulier du traitement de l’information, un nombre croissant de travaux a mis en lumière les spécificités neurofonctionnelles des processus permettant de comprendre les états mentaux et affectifs d’autrui. Sous les intitulés de reconnaissance émotionnelle, perception sociale, représentations partagées, prise de perspective, théorie de l’esprit, ou empathie sont identifiés des processus et des représentations dont la faillite impacte les capacités relationnelles des patients. Au stade actuel des connaissances, il n’existe pas de consensus sur les moyens de mesure pertinents et leur éventuelle hiérarchisation à des fins cliniques. Des propositions de batterie sont en cours d’évaluation et de déploiement. Pour aller plus avant, à l’encontre du réductionnisme scientifique prédominant, nous développons ici l’idée qu’aux côtés des évaluations fondées sur des mesures de construits cognitifs sociaux distincts et validés par les neurosciences sociales, de nouvelles méthodes sont à concevoir pour tester les capacités d’interaction sociale. Une approche « naturalistique » fondée sur la multi-modalité, la contextualisation et la mise en situation est rendue possible avec le développement des techniques de réalité virtuelle. Celles-ci constituent une voie prometteuse pour concilier deux besoins scientifiques apparemment contradictoires : d’une part, le besoin de complexifier les stimuli sociaux en les rendant réalistes, interactifs, partiellement prévisibles, et immersifs, et d’autre part, le besoin d’assurer la réplicabilité et la standardisation des mesures. Notre propos s’appuiera sur les résultats à mi-parcours du projet ANR COMPARSE.
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