Academic literature on the topic 'Schizophrènes – Travail'

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Journal articles on the topic "Schizophrènes – Travail"

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Crestin, J. "Devenir mère : heureux évènement ou facteur de risque évolutif pour la femme souffrant de schizophrénie ?" European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 35–36. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.086.

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Abstract:
De nos jours, plus de la moitié des femmes schizophrènes deviennent mères. La maternité entraîne chez toutes les femmes un processus de crise, possiblement maturative. La fragilité psychique rend les schizophrènes plus vulnérables aux difficultés de cette période. La maternité a le plus souvent un impact sur le cours évolutif de la maladie de la mère, et cet impact est variable. La grossesse est une période fréquemment symptomatique pour ces femmes et les rechutes en post-partum sont très fréquentes. À plus long terme, l’impact de la maternité sur l’évolution de la schizophrénie maternelle est parfois positif, souvent négatif, mais on manque d’études permettant de le quantifier et d’en apprécier les facteurs déterminants. La relation mère schizophrène-bébé est à risque de présenter des troubles importants. La fusion avec le bébé est à la fois recherchée par la mère et source d’angoisses massives. Le bébé s’adapte à sa mère pour la protéger, mais cela risque de se faire au détriment de son développement à lui. Les étapes du processus de séparation/individuation seront souvent à l’origine de réactions d’intolérance et d’angoisse de la mère et de rechutes délirantes. L’enfant est à haut risque de présenter des troubles développementaux, des anomalies de l’attachement, et des troubles psychiatriques divers. La plupart de ces femmes ne pourront pas élever leur enfant. Le facteur pronostic le plus important est la présence d’un conjoint étayant, or celui-ci est le plus souvent absent. La mise en place d’un réseau de soins multidisciplinaire cherche à soutenir cette dyade et à prévenir les mises en danger physique et psychique potentielles. Le travail principal se fait sur l’élaboration de la distance tolérable pour chaque partenaire sans qu’il soit désorganisé. L’anticipation précoce des difficultés est primordiale pour aider à la constitution d’une relation satisfaisante entre la mère schizophrène et son enfant, et à prévenir dans tous les cas des conséquences négatives sur l’évolution de la maladie.
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de Bonis, Monique, Paul de Boeck, and Marie-Odile Lebeaux. "Problèmes méthodologiques posés par la classification des formes de schizophrénie: recherche de corrélations ou de relations d'appartenance?" Psychiatry and Psychobiology 2, no. 3 (January 1, 1987): 174–87. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00004260.

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Abstract:
RésuméLe présent travail comporte une critique de la méthodologie employée pour définir une typologie des schizophrènes et une étude empirique de la distinction entre forme productive et forme déficitaire.Après avoir souligné que les études factorielles visant l’identification de deux types de schizophrènes reposaient sur des choix méthodologiques discutables: recherche de corrélations entre variables, alors qu’il s’agit de découvrir des corrélations entre sujets; préférence pour des relations symétriques, alors que les liaisons sont probablement d’ordre asymétrique, les auteurs présentent deux études empiriques.La première réalisée sur un échantillon de 99 schizophrènes s’appuie sur la factorisation des estimations de la symptomatologie (BPRS* á 42 items) à l’aide de la méthode factorielle en plan Q et d’une analyse des correspondances. La seconde a porté sur un sous-échantillon de 52 schizophrènes à l’aide d’une nouvelle méthode d’analyse hiérarchique (HICLAS). Les résultats de ces analyses aboutissent aux conclusions suivantes. Les résultats des analyses factorielles montrent: • qu’il existe plus de deux formes de schizophrènie et qu’à l’intérieur des classes formées par les individus l’opposition déficitaire -productif est stable quelle que soit la métrique utilisée; • que cette opposition repose principalement, pour ce qui est de la forme déficitaire sur 3 symptômes: l’émoussement affectif, le retrait affectif et le ralentissement, et pour ce qui est de la forme productive sur l’humeur expansive, l’attitude manipulatoire, l’excitation, la dramatisation et la labilit émotionnelle; • que contrairement aux travaux antérieurs ni les hallucinations ni la désorganisation conceptuelle ne permettent d’établir la différence entre les deux groupes de malades sans doute parce qu’elles sont communes à tous les schizophrènes; • qu’il n’y a pas de correspondance entre les diagnostics cliniques et les formes décrites; et, • que les malades les plus déficitaires (situés aux extrêmités du pole factoriel) se différencient des malades productifs essentiellement par des variables liées au sexe (plus d’hommes que de femmes dans le premier cas), un statut marital de célibat plus fréquent, et des antécédents psychiatriques plus importants. Les résultats des analyses factorielles soulignent d’une part que les types mixtes sont plus fréquents que les types purs et, d’autre part qu’il suffit de moins de 10 symptômes pour réaliser une opposition satisfaisante entre forme productive et forme déficitaire (Tableau 3, figure 1).Toutes ces conclusions sont valables aussi pour l’analyse hiérarchique. Mais de plus, cette méthode permet d’individualiser un groupe de malades “purs” dans la forme déficitaire seulement, groupe disjoint des autres individus sur la base d’un très petit nombre de symptômes. A côté de ces types purs figurent des types mixtes, qui possédent à la fois des symptômes déficitaires et des symptômes productifs suivant des combinaisons hiérarchiques précises, c’est-à-dire avec une dominance de l’une ou de l’autre forme. Il existe aussi des formes résiduelles dans lesquelles aucune hiérarchie ne peut être mise au jour (Tableau 4).En conclusion on a insisté, outre les problèmes méthodologiques négligés dans les précédentes recherches, sur l’existence d’une dissymétrie entre la forme déficitaire et la forme productive, dans la mesure où c’est seulement la forme déficitaire qui présente une grande singularité et sur l’importance des symptômes liés à la vie affective et à son appauvrissement qui ont un pouvoir discriminatif plus élevé que les symptômes productifs.*BPRS = Brief Psychiatric Rating Scale
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Mulin, E., N. Bordone, J. N. Herce, B. Kastler, and R. Millard. "Impact d’un protocole de psychoéducation sur l’alliance thérapeutique et les croyances associées aux traitements dans un groupe de patients schizophrènes hospitalisés sous contrainte : travail préliminaire." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S149. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.299.

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Abstract:
La rupture thérapeutique est un des facteurs principaux de décompensations entraînant l’hospitalisation en soins contraints chez les patients souffrant de schizophrénie. Les protocoles de psychoéducation chez les patients schizophrènes stabilisés et impliquant notamment leur famille permettent de diminuer la fréquence et l’intensité des rechutes. Les bénéfices chez les patients hospitalisés en soins contraints restent, à notre connaissance, peu étudiés et pourraient favoriser l’alliance thérapeutique (AT) en modifiant notamment les croyances liées au traitement (CLT).ObjectifNotre étude présente le travail préliminaire de mise en place d’un protocole de psychoéducation chez 12 patients schizophrènes hospitalisés sous contrainte (spdt) et vise à évaluer l’évolution des CLT et l’AT méthode : un protocole psychoéducation de 5 séances concernant la schizophrénie (épidémiologie et mécanismes, signes cliniques, hygiène de vie, traitements, facteurs de rechute et après l’hospitalisation) sur 3 semaines a été proposé à des patients schizophrènes (PANSS et DSM) spdt et traités en monothérapie par antispychotique atypique, dès la 2e semaine d’hospitalisation après avis collégial. Une échelle de CLT (BMQ belief about medicine questionnaire ) et une d’AT (HAQ Helping alliance questionnaire thérapeute et patient Luborsky ) ont été remplies en début et fin de protocole.RésultatsLa participation des 12 patients étudiés a été assidue durant la totalité du protocole. Le score d’AT s’est amélioré pour la totalité des patients. Les CLT semblaient évoluer dans les 4 domaines (nécessité, préoccupation, surprescription, préjudice) et si les croyances de nécessité restent peu améliorées, il semble que les croyances de surprescription et de préjudice diminuent. Les croyances de préjudice étaient inversement corrélées avec l’AT (p = 0,042).DiscussionCes résultats préliminaires montrent la faisabilité d’un protocole de psychoéducation dès les débuts d’hospitalisation en spdt de patients schizophrènes. Le bénéfice de la psychoéducation semble confirmer l’amélioration de l’AT et la modification des CLT. Cependant, ces résultats doivent être évalués à plus grande échelle et l’influence sur les rechutes ultérieures doit être mesurée.
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Leroy, A., P. Thomas, and R. Jardri. "Activation cérébrale et récompense dans la schizophrénie : une méta-analyse des données d’IRM fonctionnelle." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S113. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.215.

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Abstract:
IntroductionLa dopamine a un rôle important dans la physiopathologie de la schizophrénie. L’hypothèse d’une « attribution aberrante de saillance » dans la schizophrénie pourrait expliquer les symptômes positifs et négatifs de la schizophrénie [1]. Les processus de récompense composent la saillance motivationnelle, dans laquelle la dopamine est impliquée [2]. Ce travail a pour objectif de faire une méta-analyse des études d’activation cérébrale en IRM fonctionnelles, comparant les patients schizophrènes aux sujets sains lors des tâches de récompense.MéthodesNous avons réalisé une recherche Pubmed, utilisant les mots clés : “schizophren* OR psychosis,” “fMRI OR PET,” “salienc* OR reward”. Au total, 171 études ont été sélectionnées, dont 12 comparant spécifiquement les patients schizophrènes et témoins durant les tâches de récompense. Elles comprenaient 480 sujets et 82 foci d’activation pour l’anticipation de récompense (30 foci), la réception de la récompense (14 foci) et l’erreur de prédiction (38 foci). La méthode utilisée est une estimation de la probabilité d’activation, réalisée à l’aide d’un algorithme implémenté sur le logiciel GingerALE Version 2.3.3 [3]. Nous avons utilisé un algorithme d’inférence par Cluster (p = 0,05) avec un p non corrigé pour le seuil de formation du cluster de 0,001.RésultatsLes patients schizophrènes montraient par rapport aux patients témoins un défaut d’activation dans l’aire tegmentale ventrale, le striatum ventral bilatéral, l’hippocampe, et le cortex cingulaire antérieur, lors de l’anticipation, la réception de récompense, et lors de l’erreur de prédiction.DiscussionLes patients schizophrènes montrent par rapport aux patients témoins un défaut d’activation dans les régions méso-limbiques impliquées dans les processus de récompense [4]. Cependant, le nombre de patient, notamment pour le contraste « réception de récompense » est encore faible.
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Guillon, P., K. Van Impe, and S. Gupta. "Le fardeau des aidants de patients souffrant de schizophrénie en France." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S114. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.217.

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Abstract:
ObjectifÉtudier la qualité de vie (QdV), les comorbidités liées au stress, l’activité, la productivité et les consommations de soins des aidants de patients schizophrènes par rapport aux non-aidants et aux aidants d’adultes présentant d’autres pathologies (maladie d’Alzheimer, cancers, AVC) en France.MéthodesLes données ont été obtenues à partir des enquêtes en ligne santé et bien-être France (2010–2013) dans la population adulte (> 18 ans). Le recueil portait sur la QdV (SF-36v2 : dimensions mentale et physique (MCS, PCS), SF-6d (utilités liées à la santé)), les comorbidités liées au stress (insomnie, troubles du sommeil, douleur, céphalées, anxiété, dépression) au cours des 12 derniers mois, l’activité et la productivité au travail et l’utilisation des soins de santé (consultations, passage aux urgences et hospitalisations dans les 6 derniers mois). Les aidants de patients schizophrènes (n = 73) ont été comparés avec les non-aidants (n = 40 326) et les autres aidants (n = 3814) sur les caractéristiques socio-démographiques et les indicateurs relatifs à la santé pour rechercher des différences significatives entre les groupes.RésultatsL’âge moyen des aidants de patients schizophrènes était de 51,8 ans (SD = 15,4) ; 64,4 % étaient des femmes ; 45,2 % avaient un emploi ; 53,4 % étaient mariés/en couple ; 76,7 % ont déclaré un revenu < €50 000. Leurs scores de QdV (MCS : 39,7 vs 46,7 ; PCS : 47,2 vs 51,0) et d’utilité (0,63 vs 0,73) étaient significativement plus faibles que chez les non-aidants (p < 0,001) ; ils rapportaient davantage de troubles du sommeil (42,5 % vs 28,0 %), d’insomnie (38,4 % vs 19,4 %), de douleurs (34,2 % vs 22,9 %), de céphalées (45,2 % vs 27,6 %), d’anxiété (46,6 % vs 21,7 %), ou de dépression (20,5 % vs 8,4 %) (p < 0,05) ainsi qu’une moindre activité (34,3 % vs 22,1 %), une augmentation des consultations médicales (9,5 contre 4,9), des passages aux urgences (0,7 vs 0,1) et des hospitalisations (0,8 vs 0,1) (p < 0,001). Des résultats similaires étaient retrouvés par rapport aux autres aidants sur la QdV, l’utilité, les céphalées, l’anxiété et les consommations de soins. Aucune différence significative n’apparaissait sur le score PCS, les autres comorbidités liées au stress, l’activité et la productivité.ConclusionsLes aidants de patients souffrant de schizophrénie rapportaient une moins bonne QdV, plus de comorbidités liées au stress, de consommation de soins de santé que les non-aidants et les aidants d’autres pathologies.
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Bouvet, Cyrille. "La perspective du travail comme média thérapeutique en psychiatrie: étude psychodynamique de trois patientes schizophrènes en soins de réadaptation." L'Évolution Psychiatrique 73, no. 4 (October 2008): 655–66. http://dx.doi.org/10.1016/j.evopsy.2007.06.007.

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Halfon, O., E. Albert, MC Mouren-Siméoni, and M. Dugas. "Troubles thymiques délirants versus troubles schizophréniques délirants. A propos de l'étude d'une cohorte d'adolescents délirants. I. Antécédents et sémiologie." Psychiatry and Psychobiology 5, no. 1 (1990): 13–22. http://dx.doi.org/10.1017/s0767399x00003321.

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Abstract:
RésuméLa présence d'idées délirantes au cours d'un épisode dépressif ou maniaque majeur signe-t-elle une affection différente qui aurait ses caractéristiques cliniques évolutives et thérapeutiques propres, se traduisant en particulier par un handicap fonctionnel plus marqué au fil des années? Qu'en serait-il alors de ses rapports avec la maladie maniaco-dépressive et la schizophrénie? La réponse à ces questions apparaît complexe comme le montre l'étude de la littérature qui n'a cessé d'osciller entre une classification dichotomique et unitaire. Jusque vers les années 80, les adolescents présentant des troubles de l'humeur délirants étaient considérés, la plupart du temps, comme des schizophrènes car les troubles délirants l'emportaient sur les troubles thymiques. A partir de cette date, avec l'introduction du DSM III (1980), ces troubles appartiennent plutôt à la catégorie de la maladie maniaco-dépressive. La catégorie des troubles schizo-affectifs devient résiduelle. La schizophrénie et la maladie maniaco-dépressive font-elles partie d'un même continuum ou sont-elles des entités distinctes? La catégorie schizo-affective est-elle une catégorie d'attente, une catégorie résiduelle? Pour tenter de répondre à ces questions, nous avons constitué une cohorte d'adolescents délirants présentant ou non des troubles de l'humeur, dont l'évolution sera suivie de manière prospective sur 5 années. Le présent article est une description des antécédents familiaux, personnels et de la sémiologie délirante de l'épisode index de notre cohorte. L'évolution et la thérapeutique de ces sujets constitueront un autre travail. Cette étude a permis de constater qu'actuellement les troubles de l'humeur délirants sont mieux repérés chez l'adolescent. L'âge du début des troubles, contrairement à ce qui est couramment énoncé, est à peu près équivalent, quelle que soit la catégorie diagnostique: schizophrénie ou maladie maniaco-dépressive. Dans les antécédents familiaux, une nette prédominance des troubles de l'humeur est retrouvée quelle que soit la catégorie diagnostique. L'analyse de la sémiologie psychotique permet de noter l'importance de la non-congruence et des troubles du cours de la pensée chez les patients bipolaires et schizo-affectifs, alors que jusqu'à présent ces signes étaient considérés comme « pathognomoniques» de la schizophrénie. Au total, il apparaît très difficile de distinguer lors d'un premier épisode délirant un trouble de l'humeur délirant, en particulier maniaque, d'une schizophrénie débutante chez l'adolescent. Il n'y a pas d'éléments réellement prédictifs. La catégorie schizo-affective est peu spécifique avec soit des éléments qui la rapprochent des troubles de l'humeur (antécédents personnels), soit des symptômes qui la rapprochent de la schizophrénie (trouble du cours de la pensée). Le diagnostic différentiel entre trouble de l'humeur délirant et trouble schizophrénique délirant sera précisé en fonction de l'évolution et ceci constituera la deuxième partie de notre travail.
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Sauvêtre, Audrey, Laetitia Petit, and Jean-Jacques Rassial. "La schizophrénie à l’épreuve d’une psychanalyse par le psychodrame: la schize et l’objet." Revista Latinoamericana de Psicopatologia Fundamental 20, no. 2 (April 2017): 231–46. http://dx.doi.org/10.1590/1415-4714.2017v20n2p231.2.

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Abstract:
La psychanalyse par le psychodrame psychanalytique individuel permet de rendre compte des changements subjectifs chez un patient schizophrène. Ceci à partir de deux moments essentiels: d’abord celui d’un travail soutenu autour de la projection de la schize dans l’espace, par le jeu, et en second lieu, celui de la représentation et de la constitution de l’objet. Nous insistons sur la dimension groupale du travail qui, grâce aux co-thérapeutes qui sont supports d’objets partiels, contribue à soutenir et renforcer les identifications existantes.
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Kalla, Outi, Jarl Wahlström, Jukka Aaltonen, Juha Holma, Pentti Tuimala, and Carl-Erik Mattlar. "Rorschach Characteristics and Comparison of First-Episode Psychotic Patients in Finland and Spain." Rorschachiana 26, no. 1 (January 2004): 63–84. http://dx.doi.org/10.1027/1192-5604.26.1.63.

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Abstract:
Identifier avec précision les troubles schizophréniques a toujours été un problème complexe et controversé. Les caractéristiques psychologiques de la schizophrénie ont donné lieu à un volume considérable de travaux et de débats. Ces dernières années sont apparus un nombre croissant d'articles portant sur les différences et similitudes des manifestations de la psychose selon les cultures, partant de l'idée que les caractéristiques de personnalité nationales pourraient contribuer aux tableaux psychopathologiques. Le but premier de cette étude est de mieux comprendre les troubles psychotiques par l'investigation de la structure de personnalité et du fonctionnement de patients faisant un premier épisode psychotique. Le second objectif est de décrire les différences et similitudes observées dans les réponses au Rorschach de patients finlandais et espagnols afin de mettre en évidence des caractéristiques nationales et de contribuer ainsi à la recherche Rorschach interculturelle. Ont été inclus 41 protocoles de patients finlandais hospitalisés de manière consécutive pour premier épisode psychotique, et 32 en Espagne. Le travail a porté sur un certain nombre d'indicateurs de difficultés d'ajustement tirés du résumé formel du Rorschach en Système intégré ( Weiner & Exner, 1991 ). Tous les patients avaient été diagnostiqués comme schizophrènes ou souffrant d'autres troubles fonctionnels psychotiques non affectifs selon le DSM-IV. Les Rorschach ont été administrés en Système intégré aussitôt que possible après leur admission mais après la phase aiguë. La comparaison des groupes finlandais et espagnol, loin de montrer des différences significatives, étaient similaires sur beaucoup de points. Ces résultats confirment des données déjà bien établies sur les structures et mécanismes des patients psychotiques, mais ils en interrogent d'autres. Les patients obtiennent plus de styles ambiéquaux et moins d'introversifs que prévu. Beaucoup d'entre eux manquent de compétences sociales, d'intérêt pour les relations interpersonnelles et semblent avoir une vie sociale insatisfaisante. On observe des signes de difficultés dans le contrôle émotionnel et de modulation des affects, des traits dépressifs, une détresse émotionnelle, et peu de capacités de coping. Les résultats soulignent la notion que les problèmes affectifs et les traits dépressifs devraient être considérés comme un élément important dans un premier épisode psychotique, et ils confirment la présence de déficits cognitifs survenants tôt dans l'histoire d'un trouble psychotique. On a rencontré moins de dysfonctionnements idéationnels que prévu. Les deux groupes de patients se différenciaient sur certaines variables Rorschach, en particulier celles qui concernent la perception de soi. Les patients finlandais sont plus souvent centrés sur eux-mêmes de faç on excessive, plus préoccupés d'eux-mêmes et plus enclins M l'introspection. La majorité des patients espagnols manifestent un sentiment de valeur de soi négatif. Ils disposent de moins de ressources et ont plus souvent des déficits en capacité de coping. En admettant que ces résultats sont dus à des différences dans les caractéristiques de personnalité des patients psychotiques en Finlande et en Espagne, plutôt que des différences nationales dans la manifestation au Rorschach de structures de personnalité en fait identiques, alors ces données pourraient bien nous permettre de repérer des différences interculturelles de personnalité. Toutefois, l'impact des facteurs culturels est difficile M évaluer, surtout s'agissant d'une psychopathologie aussi sévère que la psychose, et la seule faç on d'avancer dans la compréhension de cette question serait de recueillir plus de données Rorschach interculturelles sur des patients psychotiques.
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Robert, G. "L’apathie dans les maladies développementales : évaluation, physiopathologie et thérapeutique." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S18. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.057.

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Abstract:
Bien que le terme « apathie » soit plus favorablement rencontré dans le domaine des pathologies dégénératives, de plus en plus de travaux sont réalisés dans celui des pathologies développementales, au premier rang desquels la schizophrénie et la dépression. Les analyses factorielles des échelles de symptômes négatifs dans la schizophrénie identifient deux facteurs dont celui de l’apathie associée à un pronostic péjoratif . Les troubles de la motivation sont désormais au cœur des enjeux thérapeutiques et de nouveaux paradigmes d’effort et l’imagerie cérébrale caractérisent les désordres motivationnels dans la schizophrénie . Les traitements médicamenteux souvent suspectés d’être pourvoyeur de troubles motivationnels ne sont pas mis en causes dans une récente méta-analyse . Nous exposerons également les résultats de nos travaux identifiant les troubles émotionnels chez les patients apathiques schizophrènes et dépressifs.
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Dissertations / Theses on the topic "Schizophrènes – Travail"

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Haslam, Julie. "Évaluation de la capacité de l' "assessment of motor and process skills" (AMPS) à prédire le niveau d'employabilité d'adultes souffrantsde schizophrénie : une étude pilote." Master's thesis, Université Laval, 2009. http://hdl.handle.net/20.500.11794/20841.

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Abstract:
L'étude présentée dans ce mémoire avait pour but principal d'explorer et de déterminer l'existence de corrélations entre les profils fonctionnels obtenus grâce à l' "Assessment of Motor and Process Skill" (AMPS) et le niveau d' elnployabilité d'adultes souffrant de schizophrénie. Cette étude pilote était une étude non expérimentale, transversale, de type descriptive-corrélationnelle. Un total de 20 sujets ayant un diagnostic principal de schizophrénie et occupant un des quatre niveaux d' employabilité (emploi compétitif, emploi assisté, activités de pré-employabilité ou activités non vocationnelles) depuis plus de six mois ont accepté de participer à cette étude. Les mesures de résultat ont été effectuées à l'aide de l'AMPS, de la ±Positive and Negative Syndrome Scale¿ (P ANSS), de l' ± Addiction Severity Index¿ (ASI) et du ± Worker Role Interview¿ (WRI). Ces outils ont permis de recueillir des données sur la performance occupationnelle, la symptolnatologie, la consommation de drogues et d'alcool, ainsi que les facteurs psychosociaux et environnementaux qui peuvent influencer la performance vocationnelle de la population à l'étude. Les analyses statistiques ont révélé l'existence d'une corrélation lTIodérée entre les différents niveaux d' employabilité et les scores globaux obtenus sur l'échelle des habiletés opératoires de l' AMPS. Ces résultats peuvent être considérés comme des évidences préliminaires du fait qu'au-delà des fonctions cognitives de base, les processus en cours de tâche peuvent être aussi prédicteurs de la performance vocationnelle des adultes souffrant de schizophrénie. Les analyses ont également mis en lumière l'importance de considérer les déterminants personnels et la valeur attribuée au rôle de travailleur de ces individus lors de l'évaluation de leurs capacités de travail. Finalement, les résultats semblaient aussi appuyer le concept des quatre niveaux d' employabilité comme étant un continuum en termes de niveau de fonctionnement, de productivité et de compétitivité attendus de la part des participants.
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Meunier, Jean-Louis. "Analyse d'un travail thérapeutique auprès d'une jeune mère schizophrène en période périnatale." Montpellier 1, 1991. http://www.theses.fr/1991MON11020.

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Cormier, Cécile. "L'espoir d'un mieux-être malgré la schizophrénie : témoignages de personnes utilisatrices de services vivant dans la communauté." Thesis, Université Laval, 2009. http://www.theses.ulaval.ca/2009/26225/26225.pdf.

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Bagramyan, Anaït. "La considération de l'impact des atteintes visuelles sur l'évaluation de la mémoire de travail visuo-spatiale chez des personnes aux prises avec la schizophrénie : une revue systématique." Doctoral thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/29949.

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Abstract:
La présence d’atteintes visuelles (AV) est documentée chez les personnes souffrant de schizophrénie (SZ) et puisque la vision est souvent sollicitée dans les tests cognitifs, il n’est pas exclu que ces atteintes contribuent à la faible performance aux tests neuropsychologiques. Pour ne pas biaiser l’évaluation neuropsychologique, il est important de départager dans quelle mesure la performance à ces tests est expliquée par les AV d’une part et par les déficits cognitifs de l’autre. Le présent mémoire a pour objectif principal, de documenter la position des chercheurs utilisant le test d’empan spatial (ES) pour évaluer la mémoire de travail visuospatiale (MTVS) quant à l’impact possible des AV et pour sous-objectif, de cibler les atteintes ayant une incidence sur la performance des personnes souffrant de SZ à ce test. Une revue systématique des articles utilisant le test ES chez celles-ci a été réalisée et le contenu relatif à la vision et son incidence sur la performance au test a été analysé. Une recherche d’articles a été effectuée dans les bases de données MedLine, PsycNet et ProQuest pour les études publiées entre 1980 et 2015. Les critères d’inclusion sont i) l’usage d’une tâche expérimentale ayant les caractéristiques principales du test ES ii) la comparaison de la performance du groupe souffrant de SZ avec celle d’un groupe contrôle et iii) le diagnostic de schizophrénie posé à l’aide du DSM ou de l’ICD. L’analyse qualitative révèle que 33 % des articles mentionnent le rôle de la vision ou des AV dans l’exécution d’une tâche de MTVS. Parmi ceux-ci, moins de la moitié évaluent l’incidence des AV. Selon les résultats des études l’ayant évaluée, un lien corrélationnel existe entre les AV présentées et la performance au test cognitif. L’incidence des AV sur l’évaluation neuropsychologique n’est actuellement pas considérée, ce qui la rend sujette à un biais non négligeable.
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Burglen, Franck. "Etudes du mécanisme de binding en mémoire de travail et de la boucle phonologique chez le patient schizophrène." Université Louis Pasteur (Strasbourg) (1971-2008), 2005. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2005/BURGLEN_Franck_2005.pdf.

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Abstract:
Ce travail a visé l'étude du fonctionnement de la mémoire de travail selon le modèle de Baddeley chez le patient schizophrène. Il s'est focalisé sur le mécanisme de binding, et sur le fonctionnement de la boucle phonologique. Le binding est important dans l'intégration d'informations physique, temporelle et spatiales sous forme d'épisodes. Une première expérimentation a vérifié l'existence d'un mécanisme de binding en mémoire de travail dans une tâche de binding objet-localisation. Les résultats ont montré qu'un mécanisme de binding existait en mémoire de travail et qu'il était perturbé chez les patients schizophrènes. Les raisons de cette perturbation ont été examinées dans une deuxième étude. L'étude a recouru à l'application de la technique de suppression afin de provoquer des perturbations sélectives des composantes du modèle au cours de la réalisation de la tâche de binding. Les résultats obtenus ont été contrastés. Si des preuves expérimentales probantes de l'existence du buffer épisodique et de son implication spécifique dans le mécanisme de binding n'ont pas pu être fournies, en revanche, les performances des patients schizophrènes, non des sujets sains, ont montré que les opérations de binding objet-localisation impliquaient majoritairement la dimension visuo-spatiale. La troisième étude, enfin, a porté sur la boucle phonologique et a examiné les effets de tâches secondaires de suppressions sélectives sur deux tâches primaires de rappel sériel de mots isolés ou de phrases. Les résultats obtenus dans chacune des deux tâches verbales ont montré que le fonctionnement de cette composante était préservé dans la schizophrénie. Ces résultats montrent que le binding intervient dans la création d'épisodes à destinations temporaires ou plus permanentes. Ils invitent également à l'élaboration de programmes de rééducation cognitive basés sur le fonctionnement préservé de la mémoire de travail verbale des patients schizophrènes
This work has investigated the functioning of working memory in schizophrenia in the framework of Baddeley's model of working memory. The binding process and the functioning of the phonological loop have been studied principally. Binding is important in the integration of physical, temporal and spatial information into an episode. In the first study, the existence of a binding process in a working memory object-location binding task has been evaluated. Results have showed the binding process does exist in working memory and is impaired in schizophrenia. The raisons of this impairment have been examined in a second study witch involves the selective suppression technique in order to evaluate the specific implication of each component of the working memory model in the binding task. No experimental evidence of the involvement of the episodic buffer has been found. Nevertheless, performances of the schizophrenic group but not those of the control group have showed that the visuo-spatial component of working memory was principally involved in binding together objects and locations. Finally, a third study has investigated the functioning of the phonological loop in schizophrenia by measuring the impact of secondary interfering task on two primary verbal tasks. Results of both verbal tasks have revealed a qualitatively intact functioning of the phonological loop. The results first show that a specific binding process is involved in the creation of episodes. Secondly, the results suggest that cognitive rehabilitation techniques based on the preserved functioning of the verbal working memory should be elaborated and proposed to patient with schizophrenia
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Luck, David. "Etudes comportementales et anatomo-fonctionnelles du processus de binding en mémoire de travail chez le sujet sain et le patient schizophrène." Université Louis Pasteur (Strasbourg) (1971-2008), 2006. https://publication-theses.unistra.fr/public/theses_doctorat/2006/LUCK_David_2006.pdf.

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Abstract:
Le binding est un processus essentiel à l’intégration des informations élémentaires en des représentations unifiées et cohérentes du monde. Ainsi, son altération pourrait apparaître comme une reformulation du relâchement des associations dans la schizophrénie. Ce travail vise à étudier le processus de binding en mémoire de travail chez le sujet sain et le patient schizophrène. A cette fin, nous avons mené une double approche : - par une approche en psychologie cognitive, nous avons montré que les patients présentent un bénéfice similaire aux sujets sains pour la rétention d’informations lorsque celles-ci sont liées plutôt que séparées. De plus, les patients n’éprouvent aucune difficulté particulière pour évaluer le lien entre les items plutôt que les items eux-mêmes. - par une approche en neuropsychologie cognitive, nous avons cherché à préciser le substrat neuronal impliqué dans la gestion des représentations intégrées grâce à l’IRMf. Les patients présentent un hypofonctionnement des gyri parahippocampiques lors du maintien des informations liées. Cet hypofonctionnement ne s’accompagne pas d’un déficit comportemental particulièrement marqué, suggérant la possibilité d’un mécanisme neuronal de compensation dont la nature reste à préciser. Dans son ensemble, ce travail contribue à la compréhension des mécanismes cognitifs et neuronaux du processus de binding en mémoire de travail. Il participe également à préciser les bases physiopathologiques de la schizophrénie.
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Faget-Agius, Catherine. "Etude des bases neurales structurales et fonctionnelles des troubles cognitifs et de la qualité de vie dans la schizophrénie par imagerie cérébrale multimodale." Thesis, Aix-Marseille, 2015. http://www.theses.fr/2015AIXM5050/document.

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Abstract:
L’objectif principal de ce travail est de caractériser par une approche multimodale d’imagerie les bases neurales structurales et fonctionnelles qui sous-tendent les troubles cognitifs et la QV dans la schizophrénie. L’objectif secondaire est de tester la valeur prédictive des troubles cognitifs et de la QV pour l’évolution et le fonctionnement dans la schizophrénie.Nous avons d’abord exploré les profils d’activation cérébrale au cours d’une tâche de mémoire de travail entre des patients qui ont une courte durée d’évolution de la maladie et ceux qui ont une longue durée d’évolution de la maladie. Nous avons retrouvé une hyper activation de certaines régions cérébrales chez les patients avec un longue durée d’évolution de la maladie comparativement aux patients avec une courte durée d’évolution. Nous avons ensuite étudié les bases neurales structurales de la QV. Nous avons mis en évidence qu’une QV altérée était associée à des changements plus importants de la microstructure cérébrale dans des régions altérées par le processus pathologique de la schizophrénie. Nous avons enfin étudié les réseaux cérébraux fonctionnels qui sous-tendent la QV. Nous rapportons que des régions cérébrales impliquées dans la prise de décision, dans le traitement des émotions et dans les cognitions sociales sont liées aux dimensions de la QV.D’une part nos travaux suggèrent qu’une réorganisation fonctionnelle dans le réseau cérébral de la mémoire de travail joue un rôle compensateur lors de l’évolution de la schizophrénie. D’autre part, nos résultats laissent supposer que la QV serait l’expression précoce des anomalies cérébrales induites par les processus pathologiques de la schizophrénie
We conducted a multimodal neuroimaging approach combining the study of working memory activation with fMRI, the study of microstructural abnormalities associated with impaired QoL using MTI and the study of the functional brain substrate of QoL using SPECT. We aimed to characterize structural and functional neural basis of cognitive impairment and QoL in schizophrenia. We secondarily aimed to test the predictive value of cognitive impairment and QOL for the evolution and functioning in schizophrenia.First, we explored brain activation during a working memory task between patients with short disease duration and patients with long disease duration. We found a functional reorganization in patients with long schizophrenia duration having brain hyperactivations relative to short schizophrenia duration patients. Secondly, we investigated and compared microstructural abnormalities in patients with preserved Qol and impaired QoL. We showed that patients with impaired QoL had more microstructural changes in brain regions affected by the disease process of schizophrenia.Finally, we studied the neural substrate of QoL in schizophrenia. We reported that brain regions involved in cognitions, emotional information processing and social cognition underlie the different QoL dimensions in schizophrenia. On the one hand, our findings suggest that a functional reorganization in the working memory neural network plays a compensatory role in the schizophrenia course. On the other hand, our results suggest that QoL could be the early expression of brain abnormalities induced by the disease process of schizophrenia
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Goulet, Claudine. "Étude comparative de la perception des jeunes adultes schizophrènes et des intervenants quant à la compétence dans les activités productives." Thèse, 2006. http://hdl.handle.net/1866/15807.

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