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Journal articles on the topic 'Sciences du sol et production végétale'

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Dalpé, Yolande. "Les mycorhizes : un outil de protection des plantes mais non une panacée." Conférences [Symposium : Santé des racines, santé des plantes. Société de protection des plantes du Québec. 97e Assemblée annuelle (2005) Gatineau (Québec), 9 et 10 juin 2005] 86, no. 1 (November 22, 2005): 53–59. http://dx.doi.org/10.7202/011715ar.

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Abstract:
Les mycorhizes arbusculaires constituent la symbiose végétale la plus répandue à l’échelle planétaire. Les champignons concernés, regroupés dans le phylum Glomeromycota et distribués sur l’ensemble des écosystèmes, colonisent la majorité des plantes terrestres. Aux avantages bien connus des mycorhizes sur la croissance végétale, s’ajoutent plusieurs bénéfices, notamment pour la survie des plantes, leur biodiversité, l’impact sur la microflore du sol et le potentiel d’agent de réduction des stress tant abiotiques que biotiques. Devant une telle panoplie d’avantages pour les plantes et l’environnement, on pourrait croire que les mycorhizes représentent une panacée à plusieurs problèmes liés à la production et à la protection des végétaux. Le complexe « plante-mycorhize-parasite-environnement » constitue la norme à maintenir ou à retrouver pour assurer la durabilité de l’environnement. Le fonctionnement des mycorhizes comme agent de lutte biologique touche globalement cinq mécanismes d’interaction. Certains concernent directement la plante, soit : 1) une stimulation de croissance par le biais d’un apport nutritif accru et une meilleure santé végétale, 2) une transformation morphologique au niveau racinaire, 3) l’induction ou la suppression de mécanismes de défense, notamment ceux impliquant plusieurs enzymes. D’autres agissent sur le parasite : 4) via une compétition directe avec les champignons mycorhiziens liée à la disponibilité de nutriments et de sites d’infection, et sur la structure et la qualité du sol, par le biais d’une 5) modification de la microflore et de l’augmentation du taux de matière organique.
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SYLLA, Diarra, Taibou BA, Mariama Dalanda DIALLO, Tamsir MBAYE, Aly DIALLO, Jean Luc PEIRY, and Aliou GUISSÉ. "Dynamique de l’occupation du sol de la commune de Téssékéré de 1984 à 2015 (Ferlo Nord, Sénégal)." Journal of Animal & Plant Sciences 40, no. 3 (July 28, 2019): 6674–89. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v40-3.2.

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Abstract:
Dynamique de l’occupation du sol de la commune de Téssékéré de 1984 à 2015 (Ferlo Nord, Sénégal) Diarra SYLLA1,2, Taibou BA2, Mariama Dalanda DIALLO3,4, Tamsir MBAYE5, Aly DIALLO6, Jean Luc PEIRY3,7, Aliou GUISSÉ1,3* 1Département de Biologie végétale, Faculté des Sciences et Techniques, Université Cheikh Anta Diop de Dakar, BP. 5005 Fann, Dakar, Sénégal 2Centre de Suivi Écologique pour la gestion des ressources naturelles (CSE), Fann Résidence, Rue Léon Gontran Damas, Dakar, Sénégal 3Observatoire Hommes-Milieux international (OHMi) Tessékéré, Ferlo, Sénégal 4Section Productions Végétales et Agronomie, UFR des Sciences Agronomiques, de l’Aquaculture et des Technologies Alimentaires, Université Gaston Berger, BP. 234, Saint Louis, Sénégal 5Centre National de Recherches Forestières, Institut Sénégalais de recherches Agricoles, Bel Air, Dakar, Sénégal 6Département d'Agroforesterie, Université Assane Seck de Ziguinchor, BP: 523 Néma, Ziguinchor, Sénégal 7CNRS, Unité Mixte Internationale 3189 « Environnement, Santé, Société », Dakar, Sénégal *Auteur correspondant : alguisse@orange.sn; +221 776389669 Mots clés: Occupation du sol, Dynamique, Télédétection, SIG, Téssékéré, Ferlo, Sénégal Keywords: Land-cover, Dynamics, Remote sensing, SIG, Téssékéré, Ferlo, Sénégal Publication date 30/06/2019, http://www.m.elewa.org/JAPS 1 RESUME L’objectif de cette étude a été de déterminer l’évolution de l’occupation du sol de la commune de Tessékéré dans le Ferlo situé au Nord du Sénégal entre 1984 et 2015, en utilisant les techniques de télédétection et les Systèmes d’Information Géographiques (SIG). En 2015, 13 modes d’occupation du sol appelés classes ont été identifiées dans la commune : savane boisée, savane arborée, savane arbustive à arborée, savane arbustive, steppe arborée, steppe arbustive à arborée, steppe arbustive, cultures maraîchères, cultures pluviales-jachère, village, mare, zone nue, plantation. Toutes ces classes étaient présentes dans la commune en 1984 à l’exception de la classe plantation. La dynamique spatio-temporelle de la commune a montré que les classes savane arbustive à arborée, savane arbustive et plantation ont connu une évolution progressive tandis que les classes savane arborée, steppe arborée, steppe arbustive et zone nue ont eu une évolution régressive. L’analyse des changements intervenus entre 1984 et 2015 a montré que 27,46% de la superficie de la commune sont restés à l’état initial ; 65,54% ont subi des modifications et 7% se sont converties. Cette étude élargie sur toute la réserve sylvopastorale (aire protégée) permettra d’évaluer l’efficacité des plans de gestion des zones protégées au Ferlo. The land cover evolution of the Tessekere commune from 1984 to 2015 (North Ferlo, Senegal)
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Grillot, Myriam, Jonathan Vayssières, François Guerrin, and Philippe Lecomte. "Modélisation conceptuelle de la gestion adaptative de la biomasse face à l’aléa climatique en systèmes agro-sylvopastoraux." Cahiers Agricultures 27, no. 5 (September 2018): 55004. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2018034.

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Abstract:
Le recyclage de la biomasse végétale et animale joue un rôle central dans le fonctionnement des systèmes agro-sylvopastoraux. En Afrique de l’Ouest, la variabilité des précipitations impacte les pratiques de gestion de cette biomasse pour nourrir les hommes, le bétail, le sol et les plantes. Cette étude décrit un modèle d’action conceptuel basé sur des règles ≪ si-alors-sinon » qui représentent les décisions de gestion de la biomasse des ménages agricoles. L’étude souligne les conséquences en cascade d’un aléa pluviométrique sur le calendrier des activités agricoles, les quantités et la nature des biomasses mobilisées. Les activités les plus directement impactées sont le semis et la récolte des cultures, l’alimentation animale et, indirectement, la fertilisation des sols et la gestion des stocks alimentaires. Le modèle d’action regroupe les principales règles et modalités de gestion constituant les pratiques des ménages agricoles. Il est défini pour quatre types de ménages agriculture-élevage selon leurs activités dominantes : agricultureversusélevage et vivrierversusvente. Les ménages vivriers et élevage sont plus sensibles aux variations pluviométriques. Ils présentent une gestion plus adaptative car ils sont davantage dépendants de leur propre production. Ce modèle d’action a été conçu en vue de son intégration dans un modèle à base d’agents pour simuler les conséquences de l’aléa pluviométrique sur les flux de biomasses résultant des interactions entre les ménages agricoles d’une communauté villageoise en Afrique de l’Ouest.
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El Hage Hassan, Hussein, Françoise Ardillier-Carras, and Laurence Charbel. "Les changements d’occupation des sols dans la Béqaa Ouest (Liban) : le rôle des actions anthropiques." Cahiers Agricultures 28 (2019): 10. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2019010.

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Abstract:
L’évolution des modes d’occupation du sol porte l’empreinte des activités anthropiques et correspond à un processus dynamique assez complexe, qui agit sur les ressources naturelles. La région agricole de la Béqaa Ouest est caractérisée par des conditions naturelles favorables pour une production agricole diversifiée. La télédétection montre l’ampleur des changements des modes d’occupation du sol entre 1962 et 2019. L’analyse diachronique révèle une régression du couvert végétal au profit des tissus urbains dans la plaine. L’interprétation des résultats doit tenir compte des causes locales de cette mutation en mettant en évidence les pratiques culturales et pastorales, les facteurs économiques, l’extension urbaine, les flux migratoires syriens et le déboisement qui fragilise le milieu en provoquant le décapage des couches superficielles. L’indice de brillance de l’image Ikonos de haute résolution indique la sévérité de cette dégradation. Tout cela interroge l’avenir agricole de cette région dont les productions constituent un apport essentiel aux marchés nationaux.
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Vintila, Ruxandra. "Kalideos Adam : Synthèse et retour d'expérience." Revue Française de Photogrammétrie et de Télédétection, no. 197 (April 22, 2014): 112–18. http://dx.doi.org/10.52638/rfpt.2012.87.

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Abstract:
Le projet de recherche ADAM a été une coopération scientifique entre la France et la Roumanie dédiée à l'Assimilation de Données spatiales par Agro-Modélisation, dont le promoteur et commanditaire a été le Centre National d'Études Spatiales. Le papier présente les principales approches utilisées et les résultats novateurs obtenus dans ADAM: constitution de la première base de données de télédétection de référence, production d'une série temporelle d'images Spot XS de haute qualité, méthode de suivi de l'humidité surfacique du sol au long du cycle cultural à partir d'imagesradar, définition de la fréquence optimale de revisite pour l'agriculture à l'échelle de la parcelle, développement d'une stratégie performante d'assimilation variationnelle de données spatiales dans les modèles de fonctionnement du couvert végétal, calcul du modèle adjoint d'un modèle complexe de fonctionnement par différentiation automatique, améliorationde la modélisation du transfert radiatif par la prise en compte de l'agrégation des feuilles dans le couvert (modèle CLAMP).
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THOMAS, M., L. FORTUN-LAMOTHE, M. JOUVEN, M. TICHIT, E. GONZÁLEZ-GARCÍA, J. Y. DOURMAD, and B. DUMONT. "Agro-écologie et écologie industrielle : deux alternatives complémentaires pour les systèmes d’élevage de demain." INRAE Productions Animales 27, no. 2 (June 1, 2014): 89–100. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2014.27.2.3057.

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Abstract:
L’agro-écologie et l’écologie industrielle, qui mobilisent les concepts de l’écologie, sont deux approches complémentaires pour répondreaux enjeux économiques et environnementaux auxquels sont confrontés les systèmes d’élevage. L’agro-écologie cherche à amplifier les processus naturels pour promouvoir des systèmes productifs moins dépendants des intrants, valorisant la diversité animale et végétale et produisant différents services écosystémiques. L’écologie industrielle explore le bouclage des cycles (matière, énergie) pour économiser les ressources nécessaires à la production, et diminuer les pollutions dans des systèmes très contrôlés et ayant un faible lien au sol. Jusqu’ici, les systèmes d’élevage ont été largement écartés des démarches agro-écologiques. Nous proposons et analysons cinq principes agro-écologiques applicables à l’élevage : i) développer des pratiques de gestion intégrée pour améliorer la santé animale, ii) utiliser des ressources naturelles et des coproduits pour diminuer les intrants nécessaires à la production, iii) optimiser le fonctionnement des systèmes d’élevage pour réduire les pollutions, iv) valoriser la diversité dans les élevages pour renforcer leur résilience, et v) adapter les pratiques d’élevage pour préserver la biodiversité dans les agro-écosystèmes et les services écosystémiques associés. A partir de quatre études de cas, nous décrivons comment ces principes se combinent et permettent d’atteindre de meilleures performances économiques et environnementales. Les opportunités et freins actuels pour le développement de systèmes relevant de l’agroécologie ou de l’écologie industrielle sont ensuite discutés en évoquant la motivation des éleveurs à développer des systèmes autonomes et la réorganisation du travail nécessaire pour que s’opèrent de tels changements.
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Beauchamp, C. J. "Mode d’action des rhizobactéries favorisant la croissance des plantes et potentiel de leur utilisation comme agent de lutte biologique." Phytoprotection 74, no. 1 (April 12, 2005): 19–27. http://dx.doi.org/10.7202/706033ar.

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Abstract:
Les rhizobactéries qui favorisent la croissance des plantes, connues sous le terme RFCP, stimulent directement la croissance de celles-ci en augmentant le prélèvement des éléments nutritifs du sol, en induisant et produisant des régulateurs de croissance végétale et en activant les mécanismes de résistance induite chez les végétaux. Les RFCP stimulent indirectement la croissance des végétaux par leur effet antagoniste sur la microflore qui leur est néfaste, en transformant les métabolites toxiques et en stimulant la nodulation des légumineuses par les rhizobia. Les effets antagonistes des RFCP impliquent la production d'antibiotiques et la compétition nutritionelle avec les pathogènes végétaux. L'établissement de l'association RFCP-plante est primordiale pour l'expression des effets bénéfiques aux plantes. L'utilisation des RFCP marquées avec des gènes de bioluminescence permet de visualiser le processus de colonisation racinaire. Suite à l'apparition des exsudats de la semence, l'inoculum bactérien se multiplie, puis les bactéries sont transportées passivement par la racine en développement, hors de la zone d'influence de la semence. Par la suite, les RFCP continuent de se multiplier grâce aux exsudats racinaires et persistent sur les racines. Plusieurs compagnies développent actuellement des inoculants contenant des RFCP, surtout afin de réduire l'utilisation des pesticides de synthèse en agriculture.
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Conedera, Marco, Nicola Bomio-Pacciorini, Pietro Bomio-Pacciorini, Stéphane Sciacca, Lindo Grandi, Amadou Boureïma, and Anna Maria Vettraino. "Reconstitution des écosystèmes dégradés sahéliens." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 304, no. 304 (June 1, 2010): 61. http://dx.doi.org/10.19182/bft2010.304.a20448.

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Abstract:
La longue période de déficit hydrique dont a souffert la région sahélienne depuis les années 1970 et la sédentarisation progressive des tribus nomades ont localement causé une dégradation et une surexploitation de ces écosystèmes fragiles et notamment de la savane arbustive. Les écosystèmes sont considérés comme dégradés lorsqu'ils perdent leur résilience en subissant des modifications difficilement réversibles ou totalement irréver - sibles. Les caractéristiques des écosystèmes dégradés sont la raréfaction ou la disparition de la flore arborée et herbacée, la réduction de l'activité biologique du sol et l'augmentation des phénomènes de ruissellement superficiel et d'érosion. La réhabilitation de la couverture végétale des surfaces dégradées représente un passage clé dans le contrôle et la lutte contre la désertification. L'article présente les résultats d'un suivi sur six ans de la récupération d'écosystèmes dégradés dans le nord du Burkina Faso (province de l'Oudalan). Les résultats démontrent l'importance de l'approche basée sur la création de demi-lunes pour la récolte des eaux de pluie dans la restauration des paysages sahéliens et cela même dans les zones les plus dégradées. Sur les surfaces traitées sont constatées une production soutenue de biomasse herbacée (en moyenne environ 1 000 à 1 200 kg de matière sèche par hectare et par an) et une couverture forestière significative (de l'ordre de 350 arbres par hectare), avec des arbres en mesure de pousser spontanément, même sous la pression du pâturage extensif traditionnel et des années de stress hydrique. (Résumé d'auteur)
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W. Bruno, KABORE, SOULAMA Soungalo, BAMBARA Dasmané, BEMBAMBA Michel, and HIEN Edmond. "Effet de Albizia lebbeck (L.) Benth. et Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex Walp. sur les paramètres de fertilité du sol." Journal of Applied Biosciences 156 (December 26, 2020): 16078–86. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.156.2.

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Abstract:
Objectif : L’agroforesterie est l’une des techniques permettant d’atténuer les effets néfastes de la dégradation des terres. Cette étude vise à évaluer le potentiel agroforestier de deux espèces de légumineuses Albizia lebbeck (L.) Benth. et Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex Walp., promues dans l’agroforesterie. Méthodologie et résultats : Pour cela les paramètres physico-chimiques et biologiques des sols sous houppier et hors houppier de Albizia lebbeck et Gliricidia sepium ont été caractérisés. Des tests de comparaison de moyennes, une ANOVA à mesures répétées et une analyse en composante principale (ACP) ont permis de comparer les sols sous houppier et hors houppier des deux espèces. Les résultats montrent que Albizia lebbeck et Gliricidia sepium ont eu un effet positif sur la biomasse microbienne, l’activité respiratoire et la densité de spores des sols (P< 0,05). Albizia lebbeck et Gliricidia sepium ont également induit une amélioration des paramètres physico-chimiques des sols sous houppiers. Conclusion et application des résultats : Ces résultats permettent de conclure que l’utilisation des deux espèces de ligneuses en association avec les cultures garantit une exploitation durable des sols. Ces résultats peuvent servir à améliorer la production végétale en agroforesterie. Mots clés : Fertilité des sols, agroforesterie, Albizia lebbeck ; Gliricidia sepium; Burkina Faso ABSTRACT Effect of Albizia lebbeck (L.) Benth. and Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex Walp. on soil fertility parameters Objective: Agroforestry is one of the techniques to mitigate the negative effects of land degradation. This study aims to assess the agroforestry potential of two species of legumes Albizia lebbeck (L.) Benth. and Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex Walp., promoted in agroforestry. Methodology and Results: For this, the physico-chemical and biological parameters of the soils under the crown and outside the crown of Albizia lebbeck and Gliricidia sepium were characterized. Comparison of means tests, repeated measures ANOVA and principal component analysis (PCA) were used to compare the soils under crown and outside the crown of the two species. The results show that Albizia lebbeck and Gliricidia sepium had a positive effect on microbial biomass, respiratory activity and soil spores’ density (P Kabore et al., J. Appl. Biosci. 2020 Effet de Albizia lebbeck (L.) Benth. et Gliricidia sepium (Jacq.) Kunth ex Walp. sur les paramètres de fertilité du sol 16079 <0.05). Albizia lebbeck and Gliricidia sepium also induced an improvement in the physico-chemical parameters of soils under crowns. Conclusion and application of results :These results allow to conclude that the use of the two woody species in association with the cultures guarantees a sustainable use of soils. These results can be used to improve crop production in agroforestry. Keywords: soil fertility, agroforestry, Albizia lebbeck; Gliricidia sepium; Burkina Faso
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Vallat, Jean-Pierre. "Les structures agraires de l'Italie républicaine." Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, no. 1 (February 1987): 181–218. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283375.

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Abstract:
Depuis une dizaine d'années, les recherches de terrain concernant les structures agraires de l'Italie romaine ont profondément modifié la vision que nous nous faisions de l'occupation du sol aux périodes républicaine et impériale. A une tradition qui était avant tout fondée sur les sources littéraires, et qui oubliait parfois les contradictions que révèle leur confrontation, s'est substituée la connaissance d'ensembles régionaux ou micro-régionaux. Les structures agraires de ces régions, leur économie rurale, leurs rapports de production diffèrent grandement. Or, des chercheurs employant des méthodes différentes d'investigation des structures agraires de l'Antiquité tiennent des discours parallèles, soit par méconnaissance de leurs travaux respectifs, soit parce que leur « objet » n'est pas défini de la même façon, soit parce que leurs terrains sont profondément divers.
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Karakis, Snejana, Barry Cameron, and William Kean. "Geology and Wine 14. Terroir of Historic Wollersheim Winery, Lake Wisconsin American Viticultural Area." Geoscience Canada 43, no. 4 (December 15, 2016): 265. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2016.43.107.

Full text
Abstract:
The viticultural history of Wisconsin started in the 1840s, with the very first vine plantings by Hungarian Agoston Haraszthy on the Wollersheim Winery property located in the Lake Wisconsin American Viticultural Area (AVA). This study examines the terroir of historic Wollersheim Winery, the only winery within the confines of the Lake Wisconsin AVA, to understand the interplay of environmental factors influencing the character and quality as well as the variability of Wollersheim wines. Soil texture, chemistry, and mineralogy in conjunction with precision viticulture tools such as electromagnetic induction and electrical resistivity tomography surveys, are utilized in the Wollersheim Winery terroir characterization and observation of spatially variable terroir at the vineyard scale. Establishing and comparing areas of variability at the plot level for two specific vineyard plots (Domaine Reserve and Lot 19) at Wollersheim Winery provides insight into the effects of soil properties and land characteristics on grape and wine production using precision viticulture tools. The viticultural future of Wisconsin looks quite favorable, as the number of wineries keeps rising to meet the demand for Wisconsin wine and local consumption. As climate change continues to affect the grape varieties cultivated across the world’s wine regions, more opportunities arise for Wisconsin to cultivate cool-climate European varieties, in addition to the American and French–American hybrid varieties currently dominating grape production in this glacially influenced wine region.RÉSUMÉL'histoire viticole du Wisconsin a commencé dans les années 1840, avec les premières plantations de vigne par le Hongrois Agoston Haraszthy sur la propriété du vignoble Wollersheim situé dans la région de l’American Viticultural Area (AVA) du lac Wisconsin. Cette étude porte sur le terroir historique du vignoble Wollersheim, le seul à l'intérieur de l’AVA du lac Wisconsin, qui soit soumis à l'interaction des facteurs environnementaux qui influencent le caractère, la qualité et la variabilité des vins Wollersheim. La caractérisation et l’observation des variations spatiales du terroir à l’échelle du vignoble Wollersheim se font par l’étude de la texture du sol, sa chimie et sa minéralogie en conjonction avec des outils de viticulture de précision comme l'induction électromagnétique et la tomographie par résistivité électrique. En définissant des zones de variabilité au niveau de la parcelle et en les comparant pour deux parcelles de vignobles spécifiques (domaine Reserve et lot 19) du vignoble Wollersheim on peut mieux comprendre les effets des propriétés du sol et des caractéristiques du paysage sur la production de raisin et de vin. Le nombre de vignoble augmentant pour répondre à la demande de vin du Wisconsin et à la demande locale, l'avenir viticole du Wisconsin semble assez prometteur. Comme le changement climatique continue d'influer sur la variétés des cépages cultivés dans les régions viticoles du monde, c’est l’occasion pour le Wisconsin de cultiver des variétés européennes de climat frais, en plus des variétés hybrides américaines et franco–américaines qui dominent actuellement la production de raisin dans ce vin glaciaire région.
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Beividas, Waldir. "La nature du sens : Neuroception, perception ou sémioception ?" Semiotica 2020, no. 234 (October 25, 2020): 45–58. http://dx.doi.org/10.1515/sem-2018-0125.

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Abstract:
Résumé La théorie sémiotique s’est développée comme une théorie de la production du sens et de sa manifestation dans les diverses pratiques humaines. Dernièrement, elle est demandée à rendre compte de l’émergence du sens, de sa nature. Pour la philosophie merleaupontienne ce point d’origine est donné dans la perception, comme le premier sol où le sens se fait. La perception détient la primauté de la construction du monde signifiant pour l’homme. Dans les sciences naturelles, les neurosciences pointent vers le cerveau, en particulier l’équipement neuronal que nous avons en tant qu’hommes, comme le siège de la construction du sens. Notre connaissance du monde vient d’une « neuroception », un néologisme inévitable pour lui donner un air de famille avec celui de la « per-ception ». Devant ces deux positions théoriques, nous pouvons en sémiologie et linguistique offrir et défendre l’hypothèse que notre connaissance du monde est péremptoirement générée dans les mailles des langages. Une opération de sémioception, basée sur l’acte sémiologique arbitraire des langages, commande la perception humaine elle-même, avec antécédence. Ce n’est pas le cerveau qui « fait de l’esprit », c’est plutôt le langage qui « fait le cerveau » humain.
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Santos, Erico Albuquerque dos, Luana Moreira Florisbal, Arcângelo Loss, Marcell Leonard Besser, and Denilson Dortzbach. "Geology and Wine 15. Producing Wine at Altitude: The Terroir of São Joaquim, Brazil." Geoscience Canada 45, no. 3-4 (January 28, 2019): 137–49. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2018.45.139.

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Abstract:
The municipality of São Joaquim, located in the Planalto Catarinense viticultural region, is the coldest wine-growing region of Brazil, and contains the highest-altitude vineyards in the country. These vineyards were established within the last 20 years, so this is a young and still-developing viticultural region. Information on the terroir of São Joaquim is needed in order to identify potential vineyard sites and to help improve the viticulture in the region. This work aims to characterize the terroir of São Joaquim, where wines are produced from grapes cultivated above 900 m of altitude, through a description and analysis of meteorological, physiographic, pedological, geological and viticultural factors. With respect to these factors, the São Joaquim region presents the following characteristics:1 It has an annual mean temperature of 13ºC, annual mean precipitation of 1680 mm/year and an annual mean solar radiation of 1832 hours/year.2 It has altitudes between 715–1638 m and generally steep slopes, 43% of the slopes have declivities between 20–45% and show no preferred orientation.3 It has both deep (> 150 cm) and shallow (< 100 cm) soils with clayey texture, an average pH (water) between 4.68–5.52 and an average soil organic matter (SOM) content of 6%.4 It is underlain by two units of volcanic rocks. These are a mafic unit (50.53–55.09 wt.% SiO2) and a felsic unit (66.58–70.12 wt.% SiO2). The mafic unit tends to consist of thicker flows than the felsic unit and is characterized by generally steeper slopes.5 There is a correlation between the geological unit and the soil types, in which thicker inceptsols are preferentially developed on the mafic volcanic rocks and thinner entisols are preferentially developed on the felsic volcanic rocks.6 Currently, the region produces more than 27 grape varieties planted mostly on the Paulsen 1103 rootstock. The existing vineyards are mostly underlain by the mafic volcanic unit in areas of steep north-facing slopes. This preliminary study suggests that there are correlations between the bedrock, the soils that they give rise to and the declivities of the slopes. Knowledge of these relationships should assist in the evaluation and planning of future grape and wine production.RÉSUMÉLa commune de São Joaquim, située dans la région viticole de Planalto Catarinense, est la région viticole la plus froide du Brésil et abrite les vignobles les plus élevés du pays. Ces vignobles ont été établis au cours des 20 dernières années; c’est donc une région viticole jeune et en développement. Des informations sur le terroir de São Joaquim sont requises pour identifier les sites viticoles potentiels et contribuer à l’amélioration de la viticulture dans la région. Ce travail vise à caractériser le terroir de São Joaquim, où les vins sont produits à partir de raisins cultivés à plus de 900 m d’altitude, au moyen d’une description et d’une analyse des facteurs météorologiques, physiographiques, pédologiques, géologiques et viticoles. En ce qui concerne ces facteurs, la région de São Joaquim présente les caractéristiques suivantes:1 Sa température moyenne annuelle est de 13ºC, ses précipitations moyennes annuelles de1680 mm/an et son rayonnement solaire moyen annuel de 1832 heures/an.2 Son altitude est comprise entre 715 et 1638 m et ses pentes généralement abruptes. 43% des pentes ont des déclivités comprises entre 20 et 45% et ne présentent aucune orientation préférentielle.3 Ses sols sont profonds (> 150 cm) et peu profonds (<100 cm) de texture argileuse, avec un pH moyen (eau) compris entre 4,68 et 5,52 et une teneur moyenne en matière organique du sol (MOS) de 6%.4 Elle repose sur deux unités de roches volcaniques. Il s’agit d’une unité mafique (50,53 à 55,09 % en poids de SiO2) et d’une unité felsique (66,58 à 70,12 % en poids de SiO2). L’unité mafique est généralement constituée de coulées plus épaisses que l’unité felsique et se caractérise par des pentes généralement plus raides.5 Il existe une corrélation entre unité géologique et types de sol, dans lesquels des inceptsols plus épais sont préférentiellement développés sur les roches volcaniques mafiques et des entisols plus minces sont préférentiellement développés sur les roches volcaniques felsiques.6 La région produit actuellement plus de 27 cépages principalement plantés sur le porte-greffe Paulsen 1103. Les vignobles existants reposent principalement sur l’unité volcanique mafique dans des zones de pentes abruptes exposées au nord. Cette étude préliminaire suggère qu’il existe des corrélations entre la lithologie, les sols qu’elles engendrent et les déclivités des pentes. La connaissance de ces relations devrait faciliter l’évaluation et la planification de la production future de raisins et de vin.
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DONNARS, C., P. CELLIER, and J. L. PEYRAUD. "Nouvelles de la recherche : expertise sur les flux d’azote liés aux élevages." INRAE Productions Animales 25, no. 4 (October 2, 2012): 389–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.4.3226.

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Une expertise scientifique collective conduite par l’Inra (INRA 2012) pointe l’importance des flux d’azote liés aux activités d’élevage et identifie des leviers pour limiter la pression sur l’environnement. Depuis une vingtaine d’années, les pollutions azotées font l’objet de diverses législations et plans d’action dans le cadre des politiques relatives à la qualité des eaux, de l’air et des écosystèmes. La transposition de la directive «Nitrates» (12 décembre 1991) fait actuellement l’objet d’un contentieux avec la commission européenne. C’est dans ce contexte que les ministères français en charge de l’Agriculture et de l’Ecologie ont sollicité l’Inra pour dresser un bilan de l’état des connaissances scientifiques sur les flux d’azote en élevage et leur devenir. L’objectif était de mettre à disposition des décideurs et des acteurs publics et privés les connaissances scientifiques actualisées et d’identifier des options permettant de réduire les pressions de l’azote sur l’environnement. 1/LA MÉTHODE D’EXPERTISE SCIENTIFIQUE COLLECTIVELe travail d’expertise a été porté par un collectif de 22 experts. Deux tiers d’entre eux appartiennent à l’Inra, un tiers à d’autres organismes de recherche (Irstea, CNRS, universités) dont deux experts des Pays-Bas (WUR) et un du Canada (Agriculture et Agroalimentaire Canada). Les sciences sociales ont fourni un quart de l’effectif d’experts, la zootechnie et l’approche systémique des systèmes d’élevage 40% et le complément regroupe des spécialistes des cycles biogéochimiques et de l’agronomie. La méthode a consisté à dresser un état des lieux critique des connaissances scientifiques publiées. Quelque 1360 références bibliographiques (2900 auteurs) ont été sélectionnées parmi les articles les plus récents (80% des sources sont postérieures à 1998) et relatifs ou transposables au cadre géographique français. L’analyse a privilégié l’échelle de l’exploitation agricole car c’est l’unité de référence des politiques agricoles et environnementales et des actions agronomiques. Cependant les informations scientifiques portent souvent sur un niveau infra : l’animal, l’atelier d’élevage, la parcelle, le bâtiment, la zone de stockage, etc., ou sur un niveau supra : le bassin versant, le paysage, les statistiques et modélisations nationales et internationales. Ces différents niveaux d’information ont permis d’approcher les variations entre productions et celles liées aux pratiques agricoles. 2 / L’EXPERTISE A MIS EN AVANT LE RÔLE MAJEUR DE L’ÉLEVAGE DANS LES FLUX D’AZOTE ET LES IMPACTS POTENTIELS 2.1 / Les flux d’azote en élevage et les fuites vers l’environnement sont élevésL’élevage utilise plus des trois quarts des quantités d’azote entrant dans les systèmes agricoles. Mais l’efficience, c’est-à-dire le rapport entre les sorties valorisées et les entrées d’azote, calculée au niveau de l’animal est globalement faible : souvent beaucoup moins de la moitié de l’azote ingéré se retrouve sous forme de protéines consommables, lait, œufs et viande. A l’échelle de l’exploitation d’élevage, une part de l’azote excrété dans les déjections est recyclée avec les effluents mais l’efficience reste néanmoins généralement inférieure à 50%. Le reste de l’azote se disperse dans l’environnement. L’élevage contribue ainsi pour environ la moitié aux pertes nationales de nitrates vers les eaux, et pour plus des trois quarts aux émissions nationales atmosphériques azotées, notamment sous forme d’ammoniac (et jusqu’à 90% si on tient compte du fait qu’une grande partie des engrais industriels est employée sur les cultures utilisées pour produire des aliments du bétail). L’azote se trouve de ce fait à la croisée de préoccupations croissantes en termes de compétitivité des filières animales et d’impacts sur l’environnement et sur la santé humaine. Ces impacts ont été récemment décrits dans une expertise européenne (European Nitrogen Assessment 2011). Ils interviennent au niveau de l’écosystème environnant (dépôts de NH3), de la région (NH3, NO3 -) et plus globalement dans le changement climatique (émissions de N2O). 2.2 / La question de l’azote ne se réduit pas à celles du nitrate, les émissions de NH3 constituent un enjeu fort Alors qu’en France, la question du nitrate a longtemps focalisé les débats, dans certains pays d’Europe du Nord, l’ammoniacest aussi de longue date au centre des préoccupations. D’abord étudié pour son rôle dans l’acidification et l’eutrophisation des milieux, l’ammoniac est aujourd’hui examiné dans le cadre de la pollution de l’air par les particules. Au niveau national, le premier contributeur d’émissions d’ammoniac est l’élevage bovin. 2.3 / Risques et impacts dépendent aussi de la sensibilité des territoires et de leur capacité d’épurationLes teneurs en nitrate des eaux ne dépendent pas seulement du niveau de surplus des bilans azotés mais aussi du climat, des types de sol, de la topographie et des modes d’occupation des sols : densité animale, part des terres agricoles dans les utilisations totales des surfaces, importance des prairies permanentes, etc. La présence majoritaire de prairies au sein des territoires réduit les risques de fuites de nitrate et d’émissions d’ammoniac. 3/LES FLUX D’AZOTE SONT AUSSI DÉTERMINÉS PAR DES CONSIDÉRATIONS ÉCONOMIQUES ET JURIDIQUES3.1 / La concentration spatiale des élevages a un rôle déterminant dans les impacts des pollutions azotéesLes plus fortes pressions azotées se situent dans les territoires de l’Ouest qui combinent productions de ruminants et de monogastriques. Les quantités d’azote contenues dans les effluents y dépassent parfois largement les capacités d’absorption des surfaces agricoles. Les territoires d’élevage plus extensifs connaissent des pressions azotées faibles. Cette hétérogénéité s’explique par la concentration géographique des filières animales, résultant principalement de facteurs économiques dont les moteurs relèvent des économies d’échelle et des économies d’agglomération qui sont liées à l’intensification et à la spécialisation des élevages ainsi qu’à leur concentration territoriale. La littérature scientifique pointe la difficulté de sortir d’une telle trajectoire, notamment parce que le fonctionnement technique et économique des acteurs des filières (producteurs d’intrants, éleveurs, transformateurs) est étroitement dépendant. 3.2 / L’encadrement juridique n’a pas permis d’atteindre les objectifs environnementaux La réglementation française a abouti à une multiplicité de zonages auxquels sont dédiés des normes, obligations ou programmes d’action volontaire. L’architecture d’ensemble est confuse et ses résultats critiqués de longue date. Parmi les difficultés rencontrées, la littérature pointe i) le caractère diffus des pollutions, qui, à la différence d’autres pays, n’a pas incité en France àune responsabilisation individuelle des éleveurs, ii) l’intégration de préoccupations économiques et sociales dans les politiques environnementales, iii) le suivi des objectifs environnementaux confié aux acteurs du développement agricole et les échelles administratives peu pertinentes vis-à-vis du réseau hydrographique. Enfin, la multiplicité des formes de pollution azotée pose la question de la cohérence d’ensemble des politiques, notamment entre les critères de la directive «Nitrates» et ceux la Convention de Genève sur la pollution atmosphérique (1979). 4/DE NOMBREUSES PISTES DE PROGRÈS EXISTENT QUI ENGAGENT PLUS OU MOINS EXPLOITANTS AGRICO- LES, TERRITOIRES ET FILIÈRES D’ÉLEVAGE4.1 / Améliorer les pratiques à l’échelle de l’exploitationLa littérature fournit de nombreuses pistes d’actions pour limiter les pertes d’azote dans l’exploitation (figure 1). Il est encore possible d’optimiser la nutrition azotée des animaux, cependant les gains escomptés sont modestes en regard des enjeux. La maîtrise de la chaîne de gestion des effluents ouvre plus de marges de manœuvre pour préserver l’azote organique et réduire les achats d’engrais minéraux. En effet, selon les modalités de gestion des effluents, les fuites vers l’environnement varient de 30 à 75% de l’azote rejeté par les animaux. Des innovations sont déjà disponibles pour le stockage et l’épandage, même si les incertitudes sur les facteurs de variation des émissions sont encore grandes. Il est enfin démontré que développer les prairies à base de légumineuses, les cultures intermédiaires pièges à nitrate (Cipan) et ajuster les rotations réduit les risques de lixiviation du nitrate. A l’échelle des systèmes, les modes de production à bas intrants (moins de fertilisants et d’aliments riches en protéines) améliorent l’efficience de l’azote et limitent donc les pertes vers l’environnement. Les indicateurs de type bilan d’azote à l’échelle de l’exploitation et de ses sous-systèmes (troupeau, gestion des effluents, sols et cultures) sont des outils adaptés pour identifier les sources d’inefficacité et rechercher les voies d’amélioration les mieux adaptées localement. De nombreux autres indicateurs approchent les niveaux d’émissions, de pollution ou les impacts, mais ne sont pas toujours d’usage facile. pour le document complet voir le pdf https://www6.inrae.fr/productions-animales/content/download/6365/88149/version/1/file/nouvelles+de+la+recherche.pdf
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Van Wyck, Peter C. "An Emphatic Geography: Notes on the Ethical Itinerary of Landscape." Canadian Journal of Communication 33, no. 2 (June 1, 2008). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.2008v33n2a2007.

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Abstract: The year 2007 marked the beginning of the fourth International Polar Year, another frenzy of big science and circumpolar interest in questions of sovereignty, climate change, resources, and so on. At the same time, in the domain of the humanities, there are a host of re-elaborations of the very discourses of nordicity that seek to bring to light a North that is no longer merely an empty space and passage to elsewhere; rather, it is a North that has become a site and a figure, and a caution and a limit—a problem, in other words. My text proceeds from the unstable ground of this refigured nordicity. In the summer of 2005, I went North to the Mackenzie River basin with the typewritten field journals of Harold Innis. The young Innis had made the same trip in the summer of 1924, and my initial interest was an attempt to retrace his steps and to reflect on the place of North (as margin) in the development of his ideas at that time. Where his abiding concern had been production, innovation, and social relations, my own interest concerned method, writing, and landscape. Nonetheless, as I travelled up the length of the “River of Disappointment,” as Mackenzie called it, a methodological dialogue emerged.Résumé : L’année 2007 a marqué le début de la quatrième Année polaire internationale, événement marquant pour l’élite des sciences, suscitant un intérêt pour la souveraineté circumpolaire, le changement climatique, les ressources, et ainsi de suite. En même temps, dans les lettres, il s’élabore une multitude de discours sur la nordicité où l’on cherche à mettre à jour un Nord qui ne serait qu’espace vide ou lieu de passage; aujourd’hui, le Nord passe au premier plan, devenant avertissement et limite—à certains égards, un problème. Mon texte jette ses fondements sur le sol instable de cette nordicité reconfigurée. Pendant l’été 2005, je suis allé vers le nord, jusqu’au bassin du fleuve Mackenzie, y emmenant le journal dactylographié d’Harold Innis qu’il avait rédigé sur le terrain. En effet, le jeune Innis avait entrepris le même voyage pendant l’été 1924, et ma motivation initiale consistait à suivre ses traces et à réfléchir sur la position (marginale) du Nord dans le développement de ses pensées à l’époque. Là où son souci principal avait été la production, l’innovation et les relations sociales, mes propres intérêts ont plutôt porté sur la méthode, l’écriture et le paysage. Néanmoins, tout comme je remontais le « fleuve de la Déception », tel que Mackenzie l’avait appelé, un dialogue méthodologique a émergé.
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Melliti, Imed, and Abdelhamid Hénia. "Anthropologie indigène." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.003.

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Dès son invention, la catégorie « indigène » est une catégorie beaucoup moins savante que politique. « C’est la colonisation qui fait les indigènes », écrit René Gallissot. Sans être tout à fait des « primitifs », ces indigènes sont supposés être d’une espèce différente qui conserve des traits d’exotisme et de sauvagerie visibles dans la culture et les modes d’organisation sociale. Le propre de la catégorie indigène est d’être issue de la frontière coloniale : les indigènes le sont dans la mesure où ils sont justement, et en même temps, des sujets des empires coloniaux. Comme le montre R. Gallissot, la généalogie du mot indigène est complexe et procède d’une juridicisation d’une catégorie au départ naturaliste, donnant lieu en définitive à une classe juridique elle-même naturalisante et naturalisée. La fabrique juridique de « l’indigénat » comme statut en perpétuel recomposition au fil de l’histoire coloniale, et de ses relais institutionnels, administratifs et politiques, fait que la société coloniale est une société divisée en deux classes de populations et d’institutions : des sujets infériorisés et des citoyens à part entière, et respectivement des modes d’administration, des régimes juridiques et des juridictions spécifiques (Gallissot 2006). Ainsi l’«indigénat » est un statut stigmatisé et stigmatisant. La colonisation et le colonialisme étant perçus de plus en plus comme des objets historiques révolus mais avec des relents persistants, la catégorie « indigène » tend à être dégagée de son stigmate. Aujourd’hui, un courant d’« indigénisation » des savoirs prétend même s’en emparer en le retournant. Cette démarche est présentée comme le moyen de dessiner une posture méthodologique permettant d’opérer un déplacement dans le champ des recherches en sciences sociales en les dégageant de tout hégémonisme ethnocentrique. Quel bilan pouvons-nous dresser des pratiques empiriques propres à ce courant ? Dans quel contexte épistémologique s’inscrit-il ? Qu’en est-il du piège identitaire qui le guette ? L’indigénisation est-elle une pratique réservée exclusivement aux chercheurs indigènes ou autochtones et quel statut accorde-t-elle aux concepts et paradigmes produits par la communauté scientifique internationale ? Les soi-disant chercheurs autochtones ne sont-ils pas en passe d’inventer leurs propres « indigènes », en décrétant le déclassement d’une partie de la communauté scientifique ? L’idée de l’indigénisation vient à la suite de plusieurs tentatives de renouveaux épistémologiques. La « décolonisation des savoirs » introduite par les Postcolonial Studies anglophones a montré que la décolonisation n’est pas seulement une action politique, mais également une action épistémologique. A cela, il faut ajouter la critique de l’orientalisme par Edward Saïd (1980), les différentes écoles qui ont amorcé une tentative de construire le savoir à partir du « bas » (view from below) ou de « l’intérieur », ou de faire de la recherche du côté des acteurs, ou encore au « ras de sol » (Revel 1989). C’est dans la même perspective que s’inscrivent la contribution des Subaltern Studies en Inde (Pouchepadass 2000 ), l’« écriture de l’histoire » par Michel de Certeau (2002) et sa sociologie de l’« invention du quotidien », la reconstitution de la « vision des vaincus » par Nathan Wachtel (1999), la microstoria italienne, l’analyse « du point de vue de l’indigène » (Geertz 1986), et l’analyse des « armes du faible » par James C. Scott (1985). Les Latinos Studies, les Gender Studies, les Black Studies, sont autant de courants qui ont contribué à la poursuite de cet élan novateur. Le dernier en date est le courant représenté par le Manifeste de Lausanne. Pour une anthropologie non hégémonique (Saillant, Kilani, Graezer Bideau 2011). Indigéniser consisterait à répondre à la question de savoir comment penser une société sans être le porte-parole d’interprétations hégémoniques ou surplombantes venant souvent de l’extérieur. Cela suppose aussi le dépassement de la dichotomie «indigène»/«occidental» en se dégageant des rapports de force historiques liés à ces deux catégories, telles qu’elles étaient forgées dans le contexte colonial. La propension à l’indigénisation des savoirs a parfois tourné au discours identitaire, notamment chez les «sociologues arabes» (Melliti 2006 ; 2011). Il existe une tension à l’arrière fond du débat autour de la question d’arabisation des sciences sociales d’une manière générale. L’autre usage de l’indigénisation obéissant à des raisons exclusivement identitaires serait de dire que seuls les indigènes seraient les mieux placés pour rendre compte des réalités locales. Prenant sa source dans le nationalisme postcolonial, ce courant est obnubilé par l’idée de décoloniser les sciences sociales. Pour les défenseurs de ces courants, seul l’indigène serait capable de mieux étudier les sociétés anciennement colonisées. Il va sans dire que, dans ce contexte précis, la validité scientifique des résultats obtenus est incertaine. Une autre manière de comprendre l’indigénisation serait de l’assimiler à une posture méthodologique et à une démarche adoptée par tout chercheur quelle que soit son origine. De ce point de vue, l’altérité du chercheur n’est guère perçue comme un handicape pour une meilleure intelligibilité des réalités sociales plurielles qu’il se donne pour objet (Godelier 2007). Que le chercheur soit indigène (de l’intérieur) ou non, la question n’est pas là. Avec l’indigénisation des savoirs on insiste sur la manière dont les objets relatifs aux sociétés locales sont construits, pensés et traités. Il s’agit de partir de l’intérieur, c'est-à-dire des « concepts proches de l’expérience » pour « voir les choses du point de vue de l’indigène », comme le précise Clifford Geertz (1986 : 73-74). Pour ce faire, il faut voir selon lui les expériences des indigènes « dans le cadre de leur propre idée de ce qu’est la personne » ; autrement dit, comment ils « se voient eux-mêmes » et comment ils « se voient les uns les autres ». Et Geertz d’ajouter : « […] pour Java, Bali et le Maroc, au moins, cette idée diffère sensiblement non seulement de la nôtre, mais de façon non moins dramatique et non moins instructive, de l’une à l’autre » (Geertz : 76). Les effets des postures ethnocentriques empêchent de bien comprendre les sociétés locales, dans la mesure où ils déplacent la manière de penser ces sociétés vers des paradigmes et des catégories inventés sous d’autres cieux. Les approches ethnocentristes adoptées pour analyser les réalités locales peuvent être dues à des chercheurs aussi bien venus du dehors que du local. L’ethnocentrisme n’est pas spécifique à l’Occident. Récusant la dérive identitaire, l’indigénisation des sciences sociales consiste à transcender les langues par lesquelles les chercheurs s’expriment, les antinomies, comme centre et périphérie, local et global, etc. Elle participe également à la construction d’un savoir universel, mais non un «universel occidental » (Detienne 2005). L’indigénisation ne repose pas sur la condamnation, voire la négation de la « pensée occidentale », mais plutôt sur sa « décentralisation », comme l’écrivent les auteurs du Manifeste de Lausanne. La conversion des théories nées dans les centres de production scientifique en théories voyageuses, phénomène non nouveau, devient une véritable stratégie de connaissance. Ainsi, les outils d’analyse, paradigmes et concepts forgés dans le monde occidental ne sont pas rejetés par les tenants de ce courant. L’indigénisation du savoir se présente ainsi comme un projet épistémologique qui se démarque de celui postcolonial qui cherche à « décoloniser », ou encore de celui qui cherche à « désoccidentaliser » les savoirs. Qu’elle soit utilisée par l’ancien colonisateur ou l’ancien colonisé, la « décolonisation » est toujours quelque part entachée d’un substrat idéologique. L’idée de « désoccidentalisation », elle aussi, n’échappe pas à la même dérive. L’usage de ces mots dénote que le dépassement des catégories antinomiques (« colonisateurs » vs « colonisés », « Occident » vs « Orient », « Nord » vs « Sud », « centre » vs « périphérie », etc.) n’est pas encore totalement consumé. Il sous-entend que l’on reste toujours, d’une manière ou d’une autre, prisonnier de la perception ethnocentriste (Goody 2010).
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