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Bernier, François, and Serge Occhietti. "Nouvelle séquence glaciaire antérieure aux Sédiments de Saint-Pierre, Sainte-Anne-de-la-Perade, Québec." Géographie physique et Quaternaire 45, no. 1 (December 13, 2007): 101–10. http://dx.doi.org/10.7202/032849ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Trois nouvelles unités, d'origine glaciaire et glaciolacustre, antérieures aux Sédiments de Saint-Pierre, sont définies sur la rive nord du Saint-Laurent, entre Sainte-Anne-de-la-Pérade et Grondines. Le Till de Portneuf repose entre le substratum ordovicien et sous des varves de déglaciation ou Varves de Deschambault, qui représentent une sédimentation d'au moins 1000 ans. Le Till de Portneuf est un till de fond dont la matrice est sableuse ou silto-argileuse et contient de 2 % à 30 % de carbonates. Les indices d'écoulement glaciaire indiquent un mouvement NNW-SSE. L'âge du Till de Portneuf est incertain. Il pourrait dater de l'un des stades isotopiques 4, 5b, 5d ou être plus vieux que le 5e. Le diamicton de Sainte-Anne est intercalé entre les Varves de Deschambault (ou des sables qui les tronquent) et une séquence sus-jacente constituée de silts stratifiés-Argile de La Pérade-Sédiments de Saint-Pierre. Ce diamicton contient des concrétions carbonatées discoïdales identiques à celles des varves sous-jacentes; les fabriques mesurées révèlent une distribution aléatoire des cailloux. La séquence sédimentaire Till de Portneuf-Varves de Deschambault-diamicton de Sainte-Anne représente soit deux épisodes glaciaires distincts, soit un épisode majeur avec une réavancée glaciaire tardive. La séquence Till de Portneuf-Varves de Deschambault est analogue à celle du cap Lévrard et de la rivière aux Vaches, sur la rive sud du Saint-Laurent. La corrélation de ces séquences reste cependant à démontrer. Le Till de Portneuf étant lithologiquement distinct du Till de Bécancour, il représente, avec les Varves de Deschambault, une séquence stratigraphique de référence sur la rive nord du Saint-Laurent.
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Occhietti, Serge. "Lithostratigraphie du Quaternaire de la vallée du Saint-Laurent : méthode, cadre conceptuel et séquences sédimentaires." Géographie physique et Quaternaire 44, no. 2 (December 18, 2007): 137–45. http://dx.doi.org/10.7202/032813ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les dépôts du Pléistocène moyen et supérieur de la vallée du Saint-Laurent sont disposés selon une ordonnance caractéristique d'une vallée tectoniquement stable, périodiquement envahie par des glaces allochtones et inondée par des lacs glaciaires et des mers glacio-isostatiques. Chaque cycle climatique majeur est à l'origine d'une séquence sédimentaire composée de dépôts de type fluviatile, lacustre ou glaciolacustre, progression glaciaire, glaciaire, retrait glaciaire, glaciolacustre et marin. La base de chaque séquence est emboîtée par érosion fluviatile dans les séquences antérieures ou leurs témoins. L'érosion résulte du relèvement glacio-isostatique et de variations du niveau eustatique. Cette disposition générale explique: 1) l'homotaxie des unités laminées, des tills et des sédiments fluviatiles; 2) l'affleurement approximativement aux mêmes altitudes des faciès laminés et sableux d'âges différents; et 3) l'existence de buttes témoins d'unités plus anciennes enfouies sous les formations plus récentes. L'inventaire exhaustif des faciès, l'identification des unités par des critères intrinsèques et un inventaire palynologique systématique en cours ont permis: 1) de distinguer plusieurs types de rythmites indépendamment de leur position stratigraphique apparente (Varves de Deschaillons, Rythmites du Saint-Maurice et rythmites de Leclercville); 2) de découvrir une unité marine antérieure aux Sédiments de Saint-Pierre (Argile de La Pérade) et 3) de mettre en évidence des variations de la dynamique glaciaire pendant les phases d'englaciation et de déglaciation. D'après ces données et les données publiées, les dépôts quaternaires de la vallée peuvent être subdivisés en au moins trois séquences sédimentaires majeures avec englaciation, disposées entre l'Illinoien et le Wisconsinien supérieur, et d'au moins quatre unités fluviatiles et fluviolacustres représentatives de l'optimum climatique de l'Interglaciaire sangamonien, de deux épisodes intermédiaires et de l'Holocène.
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Hétu, Bernard, Serge Occhietti, Pierre J. H. Richard, and Alayn C. Larouche. "Dépôts de versant pléistocènes associés aux rythmites du Saint-Maurice, vallée du Saint-Laurent, Québec." Géographie physique et Quaternaire 49, no. 2 (November 30, 2007): 275–89. http://dx.doi.org/10.7202/033042ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Un mince dépôt de versant fossile a été observé sous 45 m de sédiments quaternaires appartenant à la séquence supérieure du Wisconsinien classique de la vallée du Saint-Laurent. Il repose sur des sédiments ayant donné un âge au 14C >39 970 BP (Beta-46412). Le contexte stratigraphique et les données paléoécologiques indiquent qu'il s'agit d'un ensemble de concavités colluviales de pied de versant mises en place au début du dernier cycle glaciaire régional, à la marge d'une rivière, dans un paysage dominé par les conifères, sous un climat de type boréal. La séquence de versant intègre des coulées boueuses dérivées d'un manteau colluvial déstabilisé par érosion latérale à la base, des lits de sable fluviatile, des blocs glaciels isolés et des couches organiques constituées de débris végétaux divers apportés lors des crues. Ces dépôts, qui n'ont pas de signification paléoclimatique, se sont probablement accumulés rapidement, pendant des phases de ré-équilibration du versant. Le colluvionnement a commencé soit à la fin de l'épisode des Sédiments de Saint-Pierre soit au début de l'ennoiement de la vallée du Saint-Laurent par le Lac de La Vérendrye et s'est poursuivi pendant l'inondation lacustre. Les colluvions intercalées dans les Rythmites du Saint-Maurice indiquent la limite minimale du Lac de La Vérendrye, proche de l'altitude du seuil de Glens Falls dans l'État de New York.
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Bordes, Jean-Guillaume. "La séquence aurignacienne de Caminade revisitée : l'apport des raccords d'intérêt stratigraphique. The Aurignacian sequence at Caminade Est revisited : contribution of the refittings to stratigraphie study." Paléo 12, no. 1 (2000): 387–407. http://dx.doi.org/10.3406/pal.2000.1611.

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Turcotte, Pierrette L., Michel A. Bouchard, and Luc Chauvin. "Stratigraphie du Pléistocène de la région de Thetford Mines-Asbestos, Québec." Géographie physique et Quaternaire 43, no. 2 (December 18, 2007): 131–46. http://dx.doi.org/10.7202/032765ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Cet article définit formellement les trois unités stratigraphiques qui constituent la séquence pléistocène dans la région de Thetford Mines-Asbestos. Le Till de Norbestos, la formation la plus ancienne, se subdivise en deux membres distincts par leur composition et leur structure. Les membres inférieur et supérieur représentent des tills sous-glaciaires de provenance différente : le premier en provenance du nord-est et le second, du nord-ouest. La deuxième unité, la Formation du Ruisseau Perry, représente un épisode non glaciaire durant lequel un bassin lacustre a occupé l'ensemble de la région. La sédimentation dans ce bassin lacustre, à proximité du front glaciaire, se traduit par une alternance de lits rythmiques et de diamictons. La troisième unité, le Till de Thetford Mines, correspond au dernier événement glaciaire survenu dans la région. Quoique la composition de ce till ne varie pas, des différences texturales et structurales permettent de reconnaître deux faciès. Les deux faciès sont associés à un écoulement glaciaire en provenance du nord-ouest, mais leur mode de mise en place diffère : le faciès inférieur a été déposé à la base de la glace, mais le faciès supérieur a été mis en place en partie par fusion de glace stagnante et en partie par des mouvements gravitaires. La séquence tripartite pleistocene de la région de Thetford Mines-Asbestos concorde avec la chronologie des écoulements glaciaires proposée par Lortie et Martineau et s'apparente à la partie supérieure des séquences pleistocenes du bassin de la rivière Chaudière qu'ont définie Shilts et Smith et celle des basses terres du Saint-Laurent définie par Lamothe.
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Boëda, Éric, Christophe Griggo, Ya-Mei Hou, Wanpo-B. Huang, and Michel Rasse. "Données stratigraphiques, archéologiques et insertion chronologique de la séquence de Longgupo." L'Anthropologie 115, no. 1 (January 2011): 40–77. http://dx.doi.org/10.1016/j.anthro.2010.12.003.

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Locht, Jean-Luc, Pierre Antoine, Patrick Auguste, Jean-Jacques Bahain, Nick Debenham, Christophe Falguères, Samer Farkh, and Hélène Tissoux. "La séquence loessique pléistocène supérieur de Savy (Aisne, France) : stratigraphie, datations et occupations paléolithiques." Quaternaire, no. 17/3 (September 1, 2006): 269–75. http://dx.doi.org/10.4000/quaternaire.872.

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Fyffe, Leslie R. "The Grand Manan Terrane of New Brunswick: Tectonostratigraphy and Relationship to the Gondwanan Margin of the Iapetus Ocean." Geoscience Canada 41, no. 4 (December 3, 2014): 483. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2014.41.051.

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Abstract:
Recently gathered stratigraphic and U–Pb geochronological data indicate that the pre-Triassic rocks of the Grand Manan Terrane on the eastern side of Grand Manan Island can be divided into: (1) Middle Neoproterozoic (late Cryogenian) quartzose and carbonate sedimentary sequences (The Thoroughfare and Kent Island formations); (2) a Late Neoproterozoic (early Ediacaran) volcanic-arc sequence (Ingalls Head Formation); and (3) Late Neoproterozioc (mid- Ediacaran) to earliest Cambrian (early Terreneuvian) sedimentary and volcanic-arc sequences (Great Duck Island, Flagg Cove, Ross Island, North Head, Priest Cove, and Long Pond Bay formations). A comparison to Precambrian terranes on the New Brunswick mainland (Brookville and New River terranes) and in adjacent Maine (Islesboro Terrane) suggests that the sedimentary and volcanic sequences of the Grand Manan Terrane were deposited on the continental margin of a Precambrian ocean basin that opened during the breakup of Rodinia in the Middle Neoproterozoic (Cryogenian) and closed by the Early Cambrian (Terreneuvian) with the final assembling of Gondwana. Rifting associated with the initial opening of the Paleozoic Iapetus Ocean began in the Late Neoproterozoic (late Ediacaran) and so overlapped in time with the closing of the Precambrian Gondwanan ocean. The southeastern margin of the Iapetus Ocean is defined by thick sequences of quartz-rich Cambrian sediments (within the St. Croix and Miramichi terranes of New Brunswick) that were largely derived from recycling of Precambrian passive-margin sedimentary rocks preserved in the Grand Manan and Brookville terranes of New Brunswick and in the Islesboro Terrane of Maine. These Precambrian terranes are interpreted to represent dextrally displaced basement remnants of the Gondwanan continental margin of Iapetus, consistent with the model of a two-sided Appalachian system proposed by Hank Williams in 1964 based on his work in Newfoundland.SOMMAIREDes données stratigraphiques et géochronologiques U–Pb obtenues récemment indiquent que les roches prétriasiques du terrane de Grand Manan du côté est de l’île Grand Manan peuvent être répartis en: 1) séquences sédimentaires quartzeuses et carbonatées du Néoprotérozoïque moyen (Cryogénien tardif) (formations de Thoroughfare et de Kent Island); 2) séquence d’arc volcanique du Néoprotérozoïque tardif (Édiacarien précoce) (formation d’Ingalls Head); 3) séquences sédimentaires et d’arc volcanique du Néoprotérozoïque tardif (milieu de l’Édiacarien) au tout début du Cambrien (Terreneuvien précoce) (formations de Great Duck Island, Flagg Cove, Ross Island, North Head, Priest Cove et Long Pond Bay). Une comparaison avec des terranes du Précambrien dans la partie continentale du Nouveau-Brunswick (terranes de Brookville et New River) et dans le Maine adjacent (terrane d’Islesboro) semble indiquer que les séquences sédimentaires et volcaniques du terrane de Grand Manan se sont déposées sur la marge continentale d’un bassin océanique précambrien qui s’est ouvert durant la fracturation de la Rodinia au Néoprotérozoïque moyen (Cryogénien) et s’est fermé au Cambrien précoce (Terreneuvien) avec l’assemblage final du Gondwana. La distension continentale associée à l’ouverture initiale de l’océan Iapetus au Paléozoïque a commencé au Néoprotérozoïque tardif (Édiacarien tardif) et a donc partiellement coïncidé avec la fermeture de l’océan précambrien du Gondwana. La marge sud-est de l’océan Iapetus est définie par d’épaisses séquences de sédiments cambriens riches en quartz (dans les terranes de St. Croix et de Miramichi du Nouveau-Brunswick) issus en grande partie du recyclage de roches sédimentaires de la marge continentale passive du Précambrien préservées dans les terranes de Grand Manan et de Brookville au Nouveau-Brunswick et dans le terrane d’Islesboro dans le Maine. Ces terranes précambriens sont interprétés comme la représentation de vestiges, ayant subi un déplacement dextre, du socle de la marge continentale gondwanienne de l’océan Iapetus, ce qui concorde avec le modèle d’un système appalachien à deux côtés proposé par Hank Williams en 1964 sur la base de ses travaux à Terre-Neuve.
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Schoonmaker, Adam, William S. F. Kidd, and Tristan Ashcroft. "Magmatism and Extension in the Foreland and Near-Trench Region of Collisional and Convergent Tectonic Systems." Geoscience Canada 43, no. 3 (September 30, 2016): 159. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2016.43.100.

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Abstract:
Foreland magmatism occurs in the lower plate during arc–continent or continent–continent collision, although it is uncommon. Ancient examples are recognized by a stratigraphic section into which mafic lavas and/or shallow sills are emplaced at a level at the top of a passive margin cover sequence, or within the overlying deeper water deposits that include mudrocks and flysch-type turbidites. Extensional structures associated with the emplacement of the volcanic rocks may develop slightly prior to or contemporaneous with the arrival of the approaching thrust front. We have selected twelve examples of magmatism in collisional forelands, modern and ancient, and have compared the tectonic associations of the magmatism with the magmatic geochemistry. Foreland magmatic settings fall into two strikingly distinct geochemical groups: a more enriched alkaline group (Rhine-type) and a more heterogeneous tholeiitic group (Maine-type) that may show traces of prior subduction processes. In the examples where the contemporaneous extensional structures are known, faults and basins develop parallel to the thrust front for the tholeiitic group and have oblique orientations, in several cases at a high angle to the thrust front, for the alkaline group. The geochemical results are quite sufficiently distinct to permit discrimination of these two foreland magmatic rock suites from each other in ancient examples where the foreland setting is clear from geological evidence. However, magmatic products of the same range of compositions can be generated in other tectonic environments (rifts, back-arc basins), so the geochemical characteristics alone are insufficient to identify a foreland basin setting. The alkaline Rhine-type group formed primarily in response to localized upwelling convective activity from the sub-asthenospheric mantle beneath the lower plate during collision while the tholeiitic Maine-type group formed primarily in response to melting of subcontinental asthenospheric mantle during extension of the lower plate by slab pull, and resulting lithospheric detachment. It is possible that there has been a long-term secular decrease in the occurrence of the Maine-type foreland magmatism since the early Proterozoic.RÉSUMÉBien que peu fréquent, il arrive qu’un magmatisme d’avantpays se produise dans la plaque inférieure durant une collision arc-continent ou continent-continent. Des exemples anciens ont été décrits dans une coupe stratigraphique renfermant des laves mafiques et/ou des filons-couches au haut d’une séquence de couverture de marge passive, ou au sein de dépôts de plus grandes profondeurs comme des boues ou des turbidites de type flysch. Des structures d’étirement associées à la mise en place des roches volcaniques peuvent se développer un peu avant ou en même temps que l’arrivée du front de chevauchement. Nous avons choisi douze exemples de magmatisme au sein d’avant-pays de collision, modernes et anciens, et nous avons comparé les associations tectoniques du magmatisme avec la géochimie magmatique. Les configurations magmatiques d’avant-pays se divisent en deux groupes géochimiques très différents : un groupe alcalin plus enrichi (type-Rhin), et un groupe tholéiitique plus hétérogène (type-Maine) et qui peut montrer des traces de précédentes activités de subduction. Dans les exemples où les structures d’étirement contemporaines sont connues, les failles et les bassins se développent parallèlement au front de chevauchement pour le groupe tholéiitique, alors que leurs orientations sont obliques, voire à angles aigus au front de chevauchement pour le groupe alcalin. Les résultats géochimiques sont suffisamment distincts pour permettre de distinguer ces deux suites de roches magmatiques dans les exemples anciens où la configuration d’avant-pays est évidente de par sa géologie. Cependant, des produits magmatiques de même type compositionnel peuvent advenir dans d’autres environnements tectoniques (fosses, bassins d’arrière-arc), et donc, la caractérisation géochimique seule ne permet pas de distinguer une configuration de bassin d’avant-pays. Le groupe alcalin de type-Rhin s’est principalement formé en réponse à une activité d’éruption de convection issue du manteau sous-asthénosphérique sous la plaque inférieure durant la collision, alors que le groupe tholéiitique de type-Maine s’est formé principalement en réaction à la fusion du manteau sous-continental asthénosphérique durant l’extension de la plaque inférieure par étirement de la plaque, et le détachement lithosphérique qui en découle. Depuis le Protérozoïque, est possible qu’il y ait eu une décroissance progressive à long terme des événements magmatiques de type-Maine.
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Antoine, Pierre, Emilie Goval, Guillaume Jamet, Sylvie Coutard, Olivier Moine, David Hérisson, Patrick Auguste, et al. "Les séquences loessiques pléistocène supérieur d’Havrincourt (Pas-de-Calais, France) : stratigraphie, paléoenvironnements, géochronologie et occupations paléolithiques." Quaternaire, no. 25/4 (December 1, 2014): 321–68. http://dx.doi.org/10.4000/quaternaire.7278.

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Merzeraud, Gilles, El Mabrouk Essid, Wissem Marzougui, Hayet Khayati Ammar, Sylvain Adnet, Laurent Marivaux, Rodolphe Tabuce, and Monique Vianey-Liaud. "Stratigraphie et sédimentologie des dépôts marins et continentaux d’âge éocène moyen à miocène en Tunisie centrale (région du Djebel el Kébar)." Bulletin de la Société Géologique de France 187, no. 1 (January 1, 2016): 11–25. http://dx.doi.org/10.2113/gssgfbull.187.1.11.

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Abstract:
Abstract La région de Kasserine, en Tunisie centrale, est depuis très longtemps considérée par de nombreux auteurs comme une terre émergée formant une île ou un archipel, depuis le Crétacé terminal jusqu’au Miocène moyen. Dans les années 1980, des dépôts continentaux y ont alors été découverts et datés de l’Eocène. Jusqu’à aujourd’hui, aucun dépôt marin plus vieux que le Miocène moyen n’était donc connu en Tunisie centrale et les seuls faciès marins attribués à l’Eocène, étaient ceux des bassins phosphatés formés en périphérie de la zone émergée. C’est dans la région du Djebel el Kébar, située sur la bordure est de la zone de Kasserine, qu’une étude détaillée des dépôts de la période Eocène moyen-Miocène a été menée. Dans la série étudiée, quatre discontinuités majeures se corrèlent sur l’ensemble du site. Entre ces discontinuités, se succèdent trois ensembles sédimentaires : carbonaté glauconieux et argileux (I), carbonate (II), sablo-conglomératique et argilo-sableux (III). Les résultats paléontologiques et biostratigraphiques Un important gisement à faune marine et continentale a été découvert au Djebel el Kébar dans les dépôts glauconitiques marins du premier ensemble sédimentaire (I). La faune, très riche, est alors constituée de nombreuses formes marines (sélaciens, raies, siréniens, etc.) et continentales (rongeurs, hyracoïdes et primate). Les datations inédites indiquent un âge bartonien, pour ces dépôts. Les résultats sédimentologiques Treize faciès ont été identifiés et cartographiés grâce à des conditions d’affleurement exceptionnelles au Djebel el Kébar. Les paléo-environnements ont été reconstitués et leur succession montrent le passage d’un milieu de plate-forme carbonatée très peu profonde dominée par la houle et influencée par les tempêtes et la marée, à un système sablo-conglomératique et argileux, fluviatile et d’embouchure estuarienne. L’évolution tectono-sédimentaire et séquentielle Un découpage séquentiel a été proposé, dans lequel, de part et d’autre de discontinuités essentiellement d’origine tectonique, trois séquences dont les durées (> 3 Ma), compatibles avec le second ordre de Vail et al. [1991], sont très partiellement préservées. Dans ces séquences, l’essentiel de la série étudiée se met en place dans les cortèges transgressifs et les prismes de hauts niveaux marins. Les zones fossilifères semblent alors associées à plusieurs épisodes de condensation, intervenant au sein d’un cortège transgressif d’un cycle de second ordre. Conclusion Le premier résultat inédit de ce travail a été de mettre évidence et de dater des dépôts marins plus anciens que le Miocène moyen au Djebel el Kébar, en Tunisie centrale. La zone étudiée n’est donc pas dans la partie émergée de la zone de Kasserine à l’Eocène. Entre le Bartonien et le Miocène inférieur, les faciès marins évoluent au sein d’un environnement de plate-forme carbonatée très peu profonde. Un événement majeur (flexuration couplée à une chute eustatique au Miocène) provoquerait ensuite un changement de profil de dépôts, l’arrivée de matériel terrigène grossier et l’installation d’un système sédimentaire fluviatile et d’embouchure sableuse. Enfin l’ensemble de la série sédimentaire enregistre des fluctuations tectono-eustatiques, responsables de plusieurs séquences de second ordre, partiellement préservées.
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Saint-Laurent, D., and L. Lavoie. "Les différentes approches méthodologiques de reconstitution des paléo-inondations : une revue de la littérature." Revue des sciences de l'eau 17, no. 1 (April 12, 2005): 91–115. http://dx.doi.org/10.7202/705524ar.

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Abstract:
Les deux dernières décennies en recherche scientifique se caractérisent par la multiplication des travaux concernant le réchauffement planétaire et les conséquences appréhendées de ce phénomène dans les divers milieux du globe. Ces travaux de recherche touchent différents champs disciplinaires dont la géomorphologie, l'hydrologie, l'écologie et bien d'autres. Dans le contexte des changements climatiques, on voit apparaître un intérêt grandissant pour l'étude des inondations anciennes ou des paléo-inondations. On tente de reconstituer la chronologie des inondations du passé notamment en regard des changements climatiques anciens ou subactuels (derniers siècles). Devant l'émergence de nombreux travaux dans ce domaine de la paléohydrologie, il nous est apparu intéressant d'examiner à travers une revue de la littérature scientifique les différentes approches méthodologiques utilisées dans l'étude des paléo-inondations. On s'attarde à décrire les principales méthodes et techniques employées dans la reconstitution des anciennes inondations, en particulier pour les environnements fluviaux (rivières, fleuves). On passe en revue les différents indicateurs biophysiques utilisés, notamment l'analyse des séquences stratigraphiques et sédimentaires, l'analyse des macrorestes, les méthodes de datation radiocarbone (14 C) et les techniques comme la thermoluminescence optique (TLO) et la dendrochronologie. Aussi, on présente les principaux modèles mathématiques utilisés dans la reconstitution des paléo-inondations, lesquels servent notamment à évaluer les variations niveaux/débits et la fréquence des inondations anciennes.
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Keen, David Henry, Brigitte Van Vliet-Lanoë, and Jean Pierre Lautridou. "Two long sedimentary records from Jersey, Channel Islands : Stratigraphie and pedological evidence for environmental change during the last 200 kyr [ Deux longues séquences sédimentaires de Jersey (Iles Anglo-Normandes) : Evidences stratigraphiques et pédologiques de changements environnementaux depuis 200 ka]." Quaternaire 7, no. 1 (1996): 3–13. http://dx.doi.org/10.3406/quate.1996.2053.

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Thurston, Phillips C. "Igneous Rock Associations 19. Greenstone Belts and Granite−Greenstone Terranes: Constraints on the Nature of the Archean World." Geoscience Canada 42, no. 4 (December 7, 2015): 437. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2015.42.081.

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Abstract:
Greenstone belts are long, curvilinear accumulations of mainly volcanic rocks within Archean granite−greenstone terranes, and are subdivided into two geochemical types: komatiite−tholeiite sequences and bimodal sequences. In rare instances where basement is preserved, the basement is unconformably overlain by platform to rift sequences consisting of quartzite, carbonate, komatiite and/or tholeiite. The komatiite−tholeiite sequences consist of km-scale thicknesses of tholeiites, minor intercalated komatiites, and smaller volumes of felsic volcanic rocks. The bimodal sequences consist of basal tholeiitic flows succeeded upward by lesser volumes of felsic volcanic rocks. The two geochemical types are unconformably overlain by successor basin sequences containing alluvial–fluvial clastic metasedimentary rocks and associated calc-alkaline to alkaline volcanic rocks. Stratigraphically controlled geochemical sampling in the bimodal sequences has shown the presence of Fe-enrichment cycles in the tholeiites, as well as monotonous thicknesses of tholeiitic flows having nearly constant MgO, which is explained by fractionation and replenishment of the magma chamber with fresh mantle-derived material. Geochemical studies reveal the presence of boninites associated with the komatiites, in part a result of alteration or contamination of the komatiites. Within the bimodal sequences there are rare occurrences of adakites, Nb-enriched basalts and magnesian andesites. The greenstone belts are engulfed by granitoid batholiths ranging from soda-rich tonalite−trondhjemite−granodiorite to later, more potassic granitoid rocks. Archean greenstone belts exhibit a unique structural style not found in younger orogens, consisting of alternating granitoid-cored domes and volcanic-dominated keels. The synclinal keels are cut by major transcurrent shear zones. Metamorphic patterns indicate that low pressure metamorphism of the greenstones is centred on the granitoid batholiths, suggesting a central role for the granitoid rocks in metamorphosing the greenstones. Metamorphic patterns also show that the proportion of greenstones in granite−greenstone terranes diminishes with deeper levels of exposure. Evidence is presented on both sides of the intense controversy as to whether greenstone belts are the product of modern plate tectonic processes complete with subduction, or else the product of other, lateral tectonic processes driven by the ‘mantle wind.’ Given that numerous indicators of plate tectonic processes – structural style, rock types, and geochemical features − are unique to the Archean, it is concluded that the evidence is marginally in favour of non-actualistic tectonic processes in Archean granite−greenstone terranes.RÉSUMÉLes ceintures de roches vertes sont des accumulations longiformes et curvilinéaires, principalement composées de roches volcaniques au sein de terranes granitique archéennes, et étant subdivisées en deux types géochimiques: des séquences à komatiite–tholéite et des séquences bimodales. En de rares occasions, lorsque le socle est préservé, ce dernier est recouvert en discordance par des séquences de plateforme ou de rift, constituées de quartzite, carbonate, komatiite et/ou de tholéiite. Les séquences de komatiite-tholéiite forment des épaisseurs kilométriques de tholéiite, des horizons mineurs de komatiites, et des volumes de moindre importance de roches volcaniques felsiques. Les séquences bimodales sont constituées à la base, de coulées tholéiitiques surmontées par des volumes mineurs de roches volcaniques felsiques. Ces deux types géochimiques sont recouverts en discordance par des séquences de bassins en succession contenant des roches métasédimentaires clastiques fluvio-alluvionnaires associées à des roches volcaniques calco-alcalines à alcalines. Un échantillonnage à contrôle stratigraphique des séquences bimodales a révélé la présence de cycles d’enrichissement en Fe dans les tholéiites, ainsi que des épaisseurs continues d’épanchements tholéiitiques ayant des valeurs presque constante en MgO, qui s’explique par la cristallisation fractionnée et le réapprovisionnement de la chambre magmatique par du matériel mantélique. Les études géochimiques montrent la présence de boninites associées aux komatiites, résultant en partie de l’altération ou de la contamination des komatiites. Au sein des séquences bimodales, on retrouve en de rares occasions des adakites, des basaltes enrichis en Nb et des andésites magnésiennes. Les ceintures de roches vertes sont englouties dans des batholites granitoïdes de composition passant des tonalites−trondhjémites−granodiorites enrichies en sodium, à des roches granitoïdes tardives plus potassiques. Les ceintures de roches vertes archéennes montrent un style structural unique que l’on ne retrouve pas dans des orogènes plus jeunes, et qui est constitué d’alternances de dômes à cœur granitoïdes et d`affaissements principalement composés de roches volcaniques. Les synclinaux formant les affaissements sont recoupés par de grandes zones de cisaillement. Les profils métamorphiques indiquent que le métamorphisme de basse pression des roches vertes est centré sur les batholites, indiquant un rôle central des roches granitoïdes durant le métamorphisme des roches vertes. Les profils métamorphiques montrent également que la proportion de roches vertes dans les terranes granitiques diminue avec l’exposition des niveaux plus profonds. On présente les arguments des deux côtés de l’intense controverse voulant que les ceintures de roches vertes soient le produit de processus moderne de la tectonique des plaques incluant la subduction, ou alors le produit d’autres processus tectoniques découlant du « flux mantélique ». Étant donné la présence des indicateurs des processus de tectonique des plaques – style structural, les types de roches, et les caractéristiques géochimiques – ne se retrouvent qu’à l’Archéen, nous concluons que les indices favorisent légèrement l’option de processus tectoniques non-actuels dans les terranes granitiques de roches vertes à l’Archéen.
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Pinheiro-Moreira, Jobel Lourenço, Thierry Nalpas, Philippe Joseph, and François Guillocheau. "Stratigraphie sismique de la marge éocène du Nord du bassin de Santos (Brésil) : relations plate-forme/ systèmes turbiditiques ; distorsion des séquences de dépôt." Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series IIA - Earth and Planetary Science 332, no. 8 (April 2001): 491–98. http://dx.doi.org/10.1016/s1251-8050(01)01562-2.

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Lautridou, Jean Pierre, Jean Sommé, Jean Heim, Jean Jacques Puisségur, and Denis Didier Rousseau. "La stratigraphie des loess et formations fluviatiles d'Achenheim (Alsace) : nouvelles données bioclimatiques et corrélations avec les séquences pléistocènes de la France du Nord-Ouest." Bulletin de l'Association française pour l'étude du quaternaire 22, no. 2 (1985): 125–32. http://dx.doi.org/10.3406/quate.1985.1536.

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Antoine, Pierre. "Modifications des systèmes fluviatiles à la transition Pléniglaciaire-Tardiglaciaire et à l’Holocène : l’exemple du bassin de la Somme (Nord de la France)." Géographie physique et Quaternaire 51, no. 1 (October 2, 2002): 93–106. http://dx.doi.org/10.7202/004763ar.

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Abstract:
Résumé Les recherches récentes sur les séquences tardiglaciaires et holocènes du bassin de la Somme sont basées sur des transects de vallée complétés par les données provenant de l'étude de nombreux profils archéologiques. La confrontation des données stratigraphiques et des résultats des études bioclimatiques débouche sur un schéma global d'évolution des vallées du bassin de la Somme entre la fin du Pléniglaciaire weichsélien et le milieu de l'Holocène. Cette évolution se caractérise par d'importants changements de la morphologie et de la sédimentation fluviatile en relation avec les modifications climatiques. La première modification majeure se situe à la limite Pléniglaciaire supérieur - Tardiglaciaire (13 000 BP) où la réponse des cours d'eau à l'amélioration climatique se traduit par une incision importante des dépôts weichséliens et le passage d'un système de chenaux en tresses à un système fluviatile de transition à multiples chenaux stables. Les premiers dépôts organiques qui remplissent ces chenaux sont datés de l'interstade de Bölling. Au cours de l'Allerød, on observe le dépôt de limons organiques en relation avec un système à large chenal unique à méandres. La fin du Tardiglaciaire se manifeste ensuite par la mise en place dans l'ensemble de la vallée d'un remplissage de limons calcaires attribués au Dryas récent. Ces dépôts de décantation sont alimentés par le débordement périodique d'un chenal unique à méandres. Une seconde phase d'incision majeure, dans un chenal unique à méandres, marque le début de l'Holocène vers 10 000 BP. Ensuite, entre le Préboréal et le milieu de l'Atlantique, l'ensemble de la vallée est progressivement colmaté par une tourbière bordée par de petits chenaux latéraux où se déposent des limons organiques. Enfin, une dernière phase d'incision, dont l'origine climatique n'est pas évidente, apparaît au sein de l'Atlantique entre 6000 et 5500 BP environ. Cette dernière modification importante du régime fluviatile est suivie par le dépôt de limons organiques lités dans un large chenal unique à méandres, et le développement massif des tufs.
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Miller, Roy McG. "Comparative Stratigraphic and Geochronological Evolution of the Northern Damara Supergroup in Namibia and the Katanga Supergroup in the Lufilian Arc of Central Africa." Geoscience Canada 40, no. 2 (August 24, 2013): 118. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2013.40.007.

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Abstract:
The Damara Supergroup in Namibia and the Katanga Supergroup in the Central African Copperbelt (some 1000 km apart) are characterized by rock successions indicative of almost coeval orogenic evolution through phases of intracontinental rifting, spreading, continental rupture, subduction, ocean closure and continental collision in what appears to have been a single, elongate orogenic belt. Rifting began at about 880 Ma and lasted until about 800 or 756 Ma. Post-rift thermal sag and marine transgression produced the first correlatable stratigraphic units, the argillaceous Beesvlakte and Ore Shale Formations, in northern, carbonate-dominated platformal successions on the Damaran Northern Platform and the Katangan Lufilian Arc or Fold Belt, respectively. Sturtian (~735 Ma) and Marinoan (635 Ma) glacial units are common to both successions as well as syntectonic molasse sequences (~595–550 Ma). Continental collision occurred at about 542 Ma and the post-tectonic peak of regional metamorphism was at about 535–530 Ma. Mineral ages record cooling to about 460 Ma. The extensive occurrence of stratabound, but not stratiform, copper mineralization, evaporitic minerals, salt and thrust tectonics, syntectonic breccias, and intense alteration in the Lufilian Arc have no significant equivalents in the Northern Platform. However, the Beesvlakte Formation has both concordant and strongly discordant styles of copper mineralization and the mode of occurrence of mineralization in the Copperbelt can be a guide to exploration in Namibia.SOMMAIRELe Supergroupe de Damara en Namibie et le Supergroupe de Katanga de la bande cuprifère d’Afrique centrale (distant de 1 000 km) sont caractérisés par des successions de roches montrant une évolution orogénique presque contemporaines dans leurs phases de distension intracontinentale, d’expansion, de rupture continentale, de subduction, de fermeture océanique et de collision continentale, dans ce qui semble avoir été une seule et même bande orogénique étroite. La distension a débutée il y a environ 880 Ma et s’est prolongé jusqu’à 800 Ma ou 756 Ma. Le fléchissement thermique post-distension et la transgression marine ont donné les premières unités stratigraphiques corrélables, soit la Formation argileuse de Beesvlakte et la Formation de Ore Shale, de la portion nord des successions de plateforme principalement carbonatées sur la Plateforme nord de Damaran et de l’Arc ou de la bande plissée de Katangan Lufilian respectivement. Les unités glaciaires de Sturtian (~735 Ma) et de Marinoan (635 Ma) sont communes aux deux successions, tout comme les séquences de molasses syntectoniques (~595–550 Ma). La collision continentale s’est produite il y a environ 542 Ma et le pic post-tectonique de métamorphisme régional a eu lieu il y a environ 535 à 530 Ma. Selon les datations minérales, le refroidissement s’est produit il y a environ 460 Ma. La prépondérance du contexte stratoïde plutôt que stratiforme des minéralisations de cuivre, des minéraux d’évaporites, de sel et de tectonique de compression, de brèches syntectoniques, et d’altération intense dans l’Arc de Lufilian, n’a pas d’équivalent dans la plateforme du nord. Cependant, la Formation de Beesvlakte présente des minéralisations de cuivre qui sont ou concordantes, ou fortement discordantes, et le mode d’occurrence de la minéralisation dans le bande cuprifère peut servir de guide à l’exploration en Namibie.
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De Wit, Maarten J., Bastien Linol, and Vhuhwavhohau Nengovhela. "Proterozoic–Paleozoic Sedimentary Rocks and Mesozoic–Cenozoic Landscapes of the Cape Mountains Across the Kango Complex Reveal ‘More Gaps Than Record’ from Rodinia and Gondwana to Africa." Geoscience Canada, July 10, 2020, 7–58. http://dx.doi.org/10.12789/geocanj.2020.47.157.

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Abstract:
The Kango (Cango) region flanks the northern margins of the Klein Karoo and the Cape Mountains across the Western Cape Province of South Africa. It preserves a condensed Proterozoic–Paleozoic stratigraphy exposed via a Mesozoic–Cenozoic morphology with a present Alpine-like topography. Its rocks and landscapes have been repeatedly mapped and documented for the past 150 years. Over the last 25 years, we remapped and dated a central-eastern section of this region. The subvertically bedded and cleaved rocks reveal an 8–10 km thick stratigraphy covering more than 700 million years between ca. 1200 and 500 Ma with several unconformities and disconformities. At ca. 252 Ma, during the Cape orogeny, this Kango Complex was deformed along thrusts and sub-isoclinal folds producing steeply dipping phyllites and slates. It was uplifted by 3–5 km during the Kalahari epeirogeny between 140 and 60 Ma while eroding at ca. 100–200 m/m.y. (120–80 Ma). During the Cenozoic, the rate of uplift decreased by an order of magnitude and today is ca. 0.4–0.7 m/m.y. across steep slopes and canyons in contrast to the Himalayas where erosion rates are about hundred times faster. A recent publication about this central-eastern section of the Kango region disputes the existence of regional isoclinal folds and suggests that deposition of the oldest sedimentary successions, including carbonate rocks of the Cango Caves (limestone-marble with enigmatic microfossils) was simple, continuous and restricted to between ca. 700 and 500 Ma, decreasing earlier estimates of the stratigraphic age range by 60–80%. Similarly, recent interpretations of the complex landscapes link the northern contact between the Kango and Table Mountain rock sequences to Quaternary faults. We present a new geological database, mapped between 1:500 and 1:10,000 scales, and twelve stratigraphic sections with younging directions linked to structural and isotopic data that support repetitions along regional isoclinal folds and thrust zones of the Kango sequences during the Permo–Triassic Cape orogeny, and geomorphic data that link the origin of its landscapes to weathering and erosion during the Cretaceous–Cenozoic Kalahari epeirogeny. During its evolution, the Kango Basin directly flanked both Grenvillian and Pan-African Mountain systems. But, at an average sedimentation rate of ca. 1 mm/70 years (0.014 mm/year) and with present low erosion rates (0.005 mm/year), there is likely more time missing than preserved of the tectono-erosion across these different regions of Rodinia and Gondwana before Africa emerged. To further evaluate the geodynamic significance of these time gaps requires more field mapping linked to new transdisciplinary geosciences. RÉSUMÉLa région du Kango (Cango) flanque les marges nord du petit Karoo et des montagnes du Cap dans la province du Western Cape en Afrique du Sud. Elle préserve une stratigraphie condensée protérozoïque–paléozoïque exposée via une morphologie mésozoïque–cénozoïque avec une topographie actuelle de type alpin. Ses roches et ses paysages ont été cartographiés et documentés durant les 150 dernières années. Au cours des 25 dernières années, nous avons re-cartographié et daté une section du centre-est de cette région. Les roches litées de manière subverticale et clivées révèlent une stratigraphie de 8 à 10 km d'épaisseur couvrant plus de 700 millions d'années entre environ 1200 et 500 Ma avec plusieurs non-conformités et disconformités. À 252 Ma, au cours de l'orogenèse du Cap, ce Complexe du Kango s'est déformé le long de chevauchements et de plis isoclinaux produisant des schistes à fort pendage. Il a été soulevé de 3 à 5 km au cours de l'épirogenèse du Kalahari entre 140 et 60 Ma, tout en s'érodant à 100–200 m/m.a. (120–80 Ma). Pendant le Cénozoïque, le taux de soulèvement a diminué d'un ordre de grandeur et il est aujourd'hui d'environ 0,4 à 0,7 m/m.a. à travers des pentes abruptes et des canyons, contrairement à l'Himalaya où les taux d'érosion sont environ cent fois plus rapides. Une publication récente sur cette section du centre-est de la région du Kango conteste l'existence de plis isoclinaux régionaux et suggère que le dépôt des plus anciennes successions sédimentaires, y compris les roches carbonatées des Grottes du Cango (marbre calcaire avec des microfossiles énigmatiques) était simple, continu et limité entre environ 700 et 500 Ma, diminuant les estimations antérieures de la tranche d'âge stratigraphique de 60-80%. De même, des interprétations récentes des paysages complexes relient le contact nord entre les séquences rocheuses du Kango et de Table Mountain à des failles quaternaires. Nous présentons une nouvelle base de données géologiques, cartographiée à des échelles entre 1:500 et 1:10,000, et douze coupes stratigraphiques avec des directions de superposition liées à des données structurales et isotopiques qui concordent avec les répétitions le long des plis isoclinaux régionaux et des zones de chevauchement des séquences du Kango pendant l’orogenèse permo–triassique du Cap, et des données géomorphiques qui relient l'origine de ses paysages à l’altération et à l'érosion au cours de l'épirogenèse du Kalahari au Crétacé–Cénozoïque. Au cours de son évolution, le bassin du Kango flanquait les systèmes montagneux grenvillien et panafricain. Mais, à un taux de sédimentation moyen d’environ 1 mm/70 ans (0,014 mm/an) et avec les faibles taux d'érosion actuels (0,005 mm/an), il manque probablement plus d’enregistrements de la tectonique et érosion de ces différentes régions de Rodinia et Gondwana avant l'émergence de l'Afrique que ce qui est actuellement préservé. Pour évaluer la signification géodynamique de ces intervalles de temps manquant, il faut d’avantage de cartographie de terrain associée à de nouvelles géosciences transdisciplinaires.
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