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Journal articles on the topic 'Service social dans l'administration publique'

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Gow, James I. "L'histoire de l'administration publique québécoise." Dossiers 16, no. 3 (April 12, 2005): 385–411. http://dx.doi.org/10.7202/055704ar.

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Abstract:
Depuis quelques années, on constate un regain d'intérêt pour l'histoire administrative dans les pays occidentaux, non seulement à cause de l'intérêt intrinsèque de la matière, mais aussi parce que l'histoire se révèle bon maître en science politique et administrative. Parmi les grandes questions qui se posent, tant aux citoyens du monde contemporain qu'aux chercheurs des sciences sociales, se trouve la question de l'inévitabilité de la grande organisation et de ses suites, à savoir son mode de fonctionnement bureaucratique ainsi que sa technostructure. Les immenses difficultés rencontrées dans le « développement » des pays du tiers monde ont eu comme conséquence, entre autres, de forcer les spécialistes de questions administratives à revoir leur science dans l'espoir de trouver dans le contexte politique, social et économique des facteurs d'explication trop longtemps négligés en Occident. On interroge l'histoire du développement des administrations des pays occidentaux afin de mieux comprendre les problèmes théoriques et pratiques posés par le développement ailleurs aujourd'hui. Si l'histoire administrative est peu développée la raison semble en être: «... la nature même du fait administratif qui est diffus au sein des activités humaines, intermédiaire entre projet et réalisation, entre politique et technique...» Phénomène diffus, mais cependant universel, l'administration se prête aussi à la controverse. Depuis des grands noms tels Max Weber et Karl Marx on propose des modèles contradictoires, les uns s'arrêtant aux aspects fonctionnels ou dysfonctionnels de la bureaucratie, les autres analysant surtout la place des fonctionnaires par rapport aux classes dominantes. Pour nous, l'histoire administrative ne peut être distinguée de l'histoire politique ; qui plus est, en tant que reflet de la vie politique, économique et sociale, l'histoire administrative se révèle même «un élément d'explication capitale» de cette dernière. Quels sont les faits administratifs que l'on peut interroger? En général, on peut s'intéresser aux textes (lois, règlements, rapports, etc.), aux personnes, (fonctionnaires, individus ou groupes), aux missions (tant de l'État que de l'administration) et au fonctionnement de l'administration (prise de décision, science administrative, etc.). D'après une conception étroite, l'administration n'est que la préparation et la mise en application des décisions de l'autorité politique. Par ailleurs, on peut aussi affirmer que «rien n'est étranger à l'histoire de l'Administration... », adoptant ainsi une conception large.'' Le choix des faits à privilégier reflète aussi bien l'approche méthodologique que théorique que l'on adopte. Nous avons adopté une approche «... à méthode régressive, l'historien remontant du présent au passé, l'expérience lui fournissant la grille d'interprétation nécessaire. ». Notre approche cherche à utiliser le langage des budgets-programmes ainsi que celui de l'analyse de système afin de dégager les différents extrants de l'administration, ses ressources, son organisation et son fonctionnement. Ce texte se concentre sur trois grands thèmes, soit le rôle de l'État québécois, l'organisation et le fonctionnement de son administration et la place de ses fonctionnaires au sein du système politique. Ces thèmes sont traités en deux temps: un examen chronologique permet d'abord de voir l'évolution du rôle de l'État et celle des structures de réalisation; ensuite, une analyse d'ensemble aborde les questions d'organisation et de fonctionnement ainsi que de la place des fonctionnaires dans la société politique.
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Julien, Germain, and Denys Trudel. "Bilan de la recherche sur l'administration publique québécoise." Dossiers 16, no. 3 (April 12, 2005): 413–38. http://dx.doi.org/10.7202/055705ar.

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Abstract:
L'objectif général de ce texte est d'esquisser un bilan des principales publications sur l'administration publique québécoise, en vue de faire le partage entre les connaissances acquises et les connaissances à acquérir. Quand on essaie de faire l'inventaire des travaux sur les divers aspects de l'administration publique québécoise, on est pris de vertige, parce que la documentation est absolument considérable. Pour pouvoir donner une idée exacte des contributions apportées à la recherche administrative par les spécialistes des différentes disciplines et institutions, il faudrait lire et analyser une quantité énorme de volumes, de documents gouvernementaux, d'articles de revues et de thèses d'étudiants. Étant donné l'ampleur du sujet, nous avons donc dû définir de façon plutôt restrictive le champ de l'administration publique québécoise. Ce texte porte en fait sur l'ensemble des agents publics qui sont à l'emploi des ministères, des organes centraux du Gouvernement (tels que le Secrétariat général, le Conseil du trésor, la Commission de la fonction publique, le Service des achats, etc.), des organismes publics autonomes (tels que l'Hydro-Québec, la Société des alcools, etc.), et finalement des bureaux régionaux et locaux des ministères et des organismes autonomes. Nous avons renoncé à aborder les études relatives aux administrations municipales et scolaires et aux établissements publics de santé et de services sociaux. Seront aussi exclus de notre inventaire les travaux portant sur des processus administratifs généraux comme la planification, l'administration du budget, l'acquisition et la gestion des matériels, l'information et la consultation des clientèles, etc. Nous ne traiterons pas non plus des études reliées à l'analyse des politiques gouvernementales. Ces différents champs de recherche exigeraient des relevés distincts. Les lecteurs particulièrement intéressés par ces secteurs pourront toujours se reporter à notre bibliographie sur l'administration publique canadienne (78, 79). En somme, ce texte a pour objet les matériaux qui permettent de mieux connaître la fonction publique québécoise au sens étroit du terme, de même que ses institutions administratives. Le bilan présenté ici est également incomplet sur le plan de la documentation retenue. L'inventaire porte uniquement sur les livres, les articles de revues (et dans quelques rares cas de journaux quotidiens), les publications gouvernementales et les thèses d'étudiants mis en dépôt dans les grandes bibliothèques et facilement accessibles aux chercheurs universitaires. Nous avons dû ignorer de nombreux documents gouvernementaux destinés exclusivement à l'administration elle-même: par exemple, des études menées au sein des unités administratives, des rapports de commissions ou comités spéciaux d'étude, des travaux réalisés par des firmes privées de consultation ou des centres universitaires de recherche, etc. Il faut regretter que la tradition de secret de notre administration conduise à réserver le résultat de ces recherches à de trop rares privilégiés. Ces travaux apporteraient une contribution plus importante à la connaissance de l'administration publique québécoise s'ils avaient une diffusion plus grande. Les mêmes remarques s'appliquent aux projets d'intervention réalisés par les étudiants de l'Ecole nationale d'administration publique et commandités par des organismes publics ou para-publics. Nous n'en avons pas tenu compte vu que la majorité de ces rapports sont confidentiels ou doivent être consultés sur place. De même, nous n'avons pu consulter quelques thèses de maîtrise que les bibliothèques universitaires ne peuvent prêter. Nous avons écarté aussi. Les communications présentées lors de congrès ou de colloques, étant donné que ces textes demeurent pour la plupart enfouis dans les archives de leurs auteurs ou de divers groupements. Nous sommes bien conscients que ce faisant plusieurs travaux de grand intérêt ont été négligés. Soulignons enfin qu'il aurait été extrêmement difficile de faire l'inventaire des recherches en cours sur l'administration publique québécoise. Dans le but de permettre une connaissance à la fois globale et multiforme de l'administration publique québécoise, cet inventaire retient des références qui auraient été laissées de côté dans un autre type de bilan. Il ne tient pas compte de cette distinction entre publications scientifiques et autres publications faite seulement à partir du caractère universitaire ou spécialisé d'un ouvrage ou d'une revue. En outre, quelques références relèvent plus de l'information que de l'analyse scientifique d'un problème. L'importance de la documentation retenue est donc très inégale: cela va de l'ouvrage qui renouvelle complètement un sujet ou l'épuisé, à un article sommaire qui ne fait qu'effleurer une question. Nous croyons néanmoins que ce type d'articles peut fournir certains points de départ, voire même certaines avenues pour des recherches plus fouillées. Notons, par ailleurs, que cet inventaire exclut des études théoriques qui n'ont pas un rapport très immédiat avec l'administration publique québécoise, même si elles ont été écrites par des Québécois. Ce bilan n'est pas limité aux seuls travaux des spécialistes de la science administrative, mais il tient compte également des travaux des disciplines connexes (notamment le droit public, la science politique, etc.), bref de toutes les publications permettant de mieux connaître les divers aspects de ce champ d'étude vaste et complexe que constitue l'administration publique. Toutes ces limites étant posées, nous pouvons maintenant aborder les œuvres recensées en les regroupant selon quatre grands secteurs de recherche : la fonction publique, les administrations centrales, les administrations déconcentrées et les organismes autonomes.
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Kübler, Daniel, Émilienne Kobelt, and Stephanie Andrey. "Vers une bureaucratie représentative. La promotion de la représentation et de la diversité linguistiques dans l'administration fédérale en Suisse et au Canada." Canadian Journal of Political Science 44, no. 4 (December 2011): 903–27. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423911000801.

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Abstract:
Résumé. Sous l'angle du concept de bureaucratie représentative, le présent article compare la gestion des enjeux liés à la participation des différentes communautés linguistiques dans l'administration publique de deux États multilingues : le Canada et la Suisse. À la suite de la mobilisation politique autour du clivage linguistique, des stratégies de promotion du plurilinguisme ont été adoptées dans les deux pays. La stratégie canadienne mise sur l'égalité de traitement des fonctionnaires anglophones et francophones. La Suisse poursuit quant à elle l'objectif de la représentation des différentes communautés linguistiques dans la fonction publique. Ces différences de fond s'expliquent, entre autres, par la nature du régime linguistique en place et par le contexte de démocratie consociationnelle en Suisse. La participation proportionnelle des communautés linguistiques au sein de l'administration fédérale est globalement atteinte dans les deux pays. Cependant, au niveau du fonctionnement interne, une logique de rationalité linguistique exerce une pression sur les groupes minoritaires pour qu'ils adoptent la langue majoritaire.Abstract. Drawing on the concept of representative bureaucracy, this article examines how two multi-lingual states—Canada and Switzerland—deal with issues related to the participation of different linguistic communities in the federal public service. Following a political mobilisation of the linguistic cleavage, strategies to promote multilingualism in the public service have been adopted in both countries. The Canadian strategy focuses on equal treatment of Anglophones and Francophones in the public service. In Switzerland, adequate representation of the linguistic communities is the primary goal. These differences are explained by the characteristics of the linguistic regimes in each of the two countries, as well as by the peculiarities of consociational democracy in Switzerland. In both countries, the linguistic origins of public administration staff, overall, mirrors the proportions of the linguistic communities in the wider society. Within administrative units, however, linguistic diversity is hampered by the logics of language rationality, where minorities are under pressure to communicate in the language of the majority.
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Narbona Vizcaíno, Rafael. "Finanzas municipales y patriciado urbano. Valencia a finales del Trescientos." Anuario de Estudios Medievales 22, no. 1 (April 2, 2020): 485. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1992.v22.1079.

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Abstract:
La déconnexion méthodologique entre l’histoire des institutions et l'histoire social et économique devient manifeste dans l'étude des biens, des finances et de la fiscalité, quand il devient indispensable de traiter l’ensemble dans le cadre générique de l'histoire du pouvoir. La conjonction entre l'oligarchie patricieene et les finances du Valencia médiéval, dérive du monopole que certains lignages citadins exercèrent sur le pouvoir municipal et de la projection politico-économique de ses intérêts de groupe sur l'administration publique. L'action politique et la projection financière de deux dynasties patriciennes, comme celle des Marrades ou des Suau, peuvent se suivre à la trace dans le strict contrôle qu'exercèrent les magistratures administrati­ves, dans le financement de l'approvisionnement fromental, dans le recouvrement d'intérêts à charge de la dette censitaire municipale ou dans les mécanismes mêmes du recouvrement fiscal.
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Renaud, Johanne. "L'interprétation du Code civil du Québec : l'occasion d'une réforme de la responsabilité extracontractuelle de l'Administration publique." Les Cahiers de droit 35, no. 3 (April 12, 2005): 467–537. http://dx.doi.org/10.7202/043292ar.

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Abstract:
Le droit de la responsabilité extracontractuelle de l'Administration publique présente de sérieuses lacunes. Une réforme apparaît nécessaire à de nombreux auteurs québécois, canadiens, anglais et américains. Ces auteurs peuvent se regrouper en trois catégories : les défenseurs de l'application accrue du droit privé, les partisans de la création d'un régime mixte et, enfin, les auteurs proposant l'institution d'un régime entièrement autonome de droit public. Deux réformes fondées sur le droit administratif français et proposées par les partisans de la création d'un régime mixte se révèlent particulièrement intéressantes, soit le principe de faute de service et le principe de responsabilité reposant sur le principe d'égalité devant les charges publiques et accordant l'indemnisation du préjudice revêtant un caractère spécial et anormal. À l'occasion de la réforme du Code civil, ces deux réformes pourraient-elles être introduites par les tribunaux ? Une interprétation large et libérale de la notion floue de la faute, telle qu'elle est reformulée dans l'article 1457 du Code civil du Québec, permettrait aux tribunaux de considérer que l’Administration publique a commis une faute lorsqu'elle fait subir à une victime un préjudice spécial et anormal. Cependant, il n'apparaît pas que la réforme du Code civil permette d'accélérer la tendance vers l'assouplissement de la règle de l'individualisation de la faute en matière de responsabilité administrative.
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Nelson, Marie C. "Diphtheria in late-nineteenth-century Sweden: policy and practice." Continuity and Change 9, no. 2 (August 1994): 213–42. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000002277.

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Abstract:
Quoique le taux de mortalité général ne cesse de décliner pour l'ensemble de la Suède, après 1810, certains groupes d'ôge ne présentent pas ce modèle de comportement. La mortalité des enfants augmente en effet – particulièrement de 1 à 10 ans – après 1850. Cet accroissement est en partie attribué à des épidémies de diphtérie. Cet article s'attache à présenter la législation en matière de santé publique en Suède à cette époque, en particulier à l'egard des maladies infectieuses, et étudie deux villes, Sundsvall et Göteborg, qui furent l'objet de sévères épidémies de diphtérie. La législation imposait que soient présentés des rapports réguliers à l'administration centrale. Néanmoins, on voit varier d'une ville à l'autre aussi bien les dispositions prises pour les hôpitaux spécialisés dans les maladies infectieuses que les mesures d'isolation des malades contagieux et les modalités de désinfection des maisons touchées par l'épidémie ou plus tard le recours à des serum traitants. En conclusion nous posons la question de savoir si l'opinion publique s'est émue de cet accroissement de la mortalité enfantine.
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Bertinotti, Dominique. "Carrières féminines et carrières masculines dans l'administration des Postes et Télégraphes à la fin du XIXe siècle." Annales. Histoire, Sciences Sociales 40, no. 3 (June 1985): 625–40. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1985.283188.

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Abstract:
Les années 1880-1900 ont marqué un tournant dans l'histoire de la fonction publique. Les effectifs sont en forte progression, les épurations moins nombreuses n'affectent plus que les postes dirigeants, des femmes sont désormais embauchées dans les bureaux, les syndicats se développent et la vie administrative se modernise grâce à l'utilisation de la machine à écrire ou du téléphone. L'armée des moyens et petits fonctionnaires devient alors une réalité. Les P. et T. ont largement contribué à ce gonflement numérique. Sur les 510 000 fonctionnaires recensés en 1901, 17% sont employés par cette administration. Th. Zeldin cite le chiffre de 50 000 agents des postes recrutés dans la période 1850-1900.La croissance des effectifs postaux et télégraphiques recouvre plusieurs réalités. Elle est le reflet de l'importance grandissante que l'on accorde alors à la communication. Si en effet l'administration des Postes et Télégraphes a un rôle économique et financier important, elle a également un rôle politique et culturel. Politique, car l'État cherche à maîtriser l'information en exerçant un contrôle sur la nature des publications distribuées. Culturel, car le développement du trafic postal est la marque des progrès de l'instruction et de la diffusion de l'écrit sur l'ensemble du territoire. Elle traduit aussi les évolutions sociales qui marquent cette fin de siècle.
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Lusignan, Serge. "Le français et le latin aux XIIIe-XIVe siècles : pratique des langues et pensée linguistique." Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, no. 4 (August 1987): 955–67. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283427.

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Abstract:
Il n'est plus à démontrer que le domaine linguistique fut, dans tous les sens du terme, l'un de ceux où se manifesta magistralement la fécondité de la culture médiévale. Lorsqu'on arrive à cette période où les historiens choisissent habituellement de clore le Moyen Age, les langues vernaculaires occidentales ont atteint un niveau avancé de développement. Outre le fait qu'elles occupent presque tout le champ de la communication orale, la plupart ont déjà accédé à l'écrit et ont fourni à l'histoire leurs premiers grands monuments littéraires. Elles ont aussi envahi les champs scripturaires de l'administration publique et, parfois, se sont essayées à l'expession du savoir. Des langues vernaculaires commencent à étendre leur domination qui les fera occulter lentement certaines autres. En même temps, ces langues servent dans quelques cas de ferment de définition d'États-nations en train de naître, et de façon générale de symbole d'appartenance à une collectivité plus large que la ville ou le pagus. Non moins créatrice fut la performance du latin médiéval. Langue de poésie à certaines époques privilégiées, ce latin se forme comme un instrument remarquable de l'expression savante et religieuse. Bien longtemps encore, il demeurera la langue de l'École et de l'Église. Bref, à la fin du Moyen Age, la civilisation occidentale a déjà acquis bon nombre de traits de sa physionomie linguistique
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Ribeill, Georges. "Gestion et organisation du travail dans les compagnies de chemins de fer, des origines a 1860." Annales. Histoire, Sciences Sociales 42, no. 5 (October 1987): 999–1029. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1987.283434.

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Abstract:
L'importance de l'avènement des chemins de fer dans l'économie française est bien connue : son rôle décisif pour promouvoir ou susciter de multiples innovations depuis les questions de mobilisation financière jusqu'à celles de la politique de l'Etat en matière de service public, depuis ses effets sur les industries amont (du rail au combustible) ou les marchés aval des productions agricoles et industrielles, jusqu'à des effets structurants de géographie humaine, ont été plus ou moins fouillés. En particulier, depuis longtemps, de nombreux travaux ont été consacrés aux débats et tournants successifs de la politique publique des chemins de fer.
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Young, William R. "Academics and Social Scientists versus the Press: the Policies of the Bureau of Public Information and the Wartime Information Board, 1939 to 1945." Historical Papers 13, no. 1 (April 20, 2006): 217–40. http://dx.doi.org/10.7202/030485ar.

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Abstract:
Résumé Pendant la deuxième guerre mondiale, le gouvernement canadien commence à recourir aux techniques des sciences sociales pour élaborer ses politiques d'information. Ceci n'est pas sans susciter de vives oppositions de la part des gens de la presse qui estiment que, dans un gouvernement élu démocratiquement, toute manipulation de l'information brime la liberté du citoyen puisqu'elle l'empêche de se faire une opinion personnelle de l'événement. Au fait, les années de guerre voient alterner à la tête de l'organisme gouvernemental chargé de l'information publique des hommes représentant tantôt les gens de la presse, tantôt les adeptes des sciences sociales. C'est ainsi que se succèdent Gardiner, un partisan de la presse, qui est en poste de juillet 1940 à juin 1941, puis, Thorson, un supporteur des sciences sociales, qui est en fonction jusqu'à mai 1942; vient ensuite Vining, un tenant de la presse, de mai 1942 à février 1943, suivi de Grierson, un fervent des sciences sociales de février 1943 à janvier 1944. Après lui, on opte définitivement pour les instruments qu'offrent ces dernières. En janvier 1944, la direction passe à Dunton, un journaliste qui a travaillé sous Vining et Grierson. Pendant son mandat, on développera des techniques qui se réclament nettement des sciences sociales; elles s'étendront d'ailleurs assez rapidement à d'autres agences du gouvernement, voire même, elles permettront au parti libéral de se faire réélire en 1945. En somme, la guerre a accéléré l'intégration des méthodes des sciences sociales dans le cadre de l'administration gouvernementale; cependant, elle n'a pas apporté de solution au problème que soulevèrent les journalistes tout au long de cette période: celui de la manipulation de l'information dans un état démocratique.
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Li, Anthony, Stéphanie Parent, Azim Kasmani, T. Hugh Guan, and Kieran Moore. "Éclosion de COVID-19 dans un établissement de services personnels à Kingston, Ontario en 2020." Relevé des maladies transmissibles au Canada 47, no. 04 (May 7, 2021): 236–44. http://dx.doi.org/10.14745/ccdr.v47i04a06f.

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Abstract:
Contexte : Pendant la pandémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), l’Ontario a créé un plan de réouverture de l’économie en trois phases. Des éclosions étaient attendues à chaque phase. Une semaine après la phase deux de réouverture dans la région de l’administration provinciale de santé publique de de Kingston, Frontenac, Lennox et Addington, un cas positif a été signalé après trois semaines sans nouveau cas de COVID-19. L’objectif de ce rapport est de décrire cette éclosion de la COVID-19, déclarée dans un établissement de services personnels, et l’intervention de la santé publique pour contenir cette éclosion. Méthodes : L’enquête sur l’éclosion a porté sur tous les cas de COVID-19 survenus dans la région de Kingston, Frontenac, Lennox et Addington entre le 20 juin 2020 et le 3 juillet 2020. Des inspecteurs et des infirmières en Santé publique ont été rapidement déployés pour inspecter l’ESP. Une approche multimodale des dépistages à haut volume a impliqué des centres d’évaluation fixes, des capacités de dépistage au volant et des dépistages ciblés sur le site de l’éclosion. Les tests de dépistage ont été effectués par une amplification en chaîne par polymérase en temps réel au laboratoire local de Santé publique Ontario. Résultats : Trente-sept cas ont été liés à cette éclosion : 38 % par exposition directe à l’ESP; 32 % par contact familial; et 30 % par contact social et professionnel. Un événement de supercontamination a contribué à 38 % du total des cas. La majorité des cas se situaient dans les quintiles inférieurs ou moyens lorsque l’on analysait la difficulté matérielle. Les taux de dépistage ont été multipliés par quatre par rapport aux semaines de référence précédentes en réponse aux messages médiatiques et aux messages de Santé publique, ce qui a entraîné un faible pourcentage de positivité. Conclusion : L’interaction entre les dépistages intensifs et accessibles, la rapidité d’exécution en laboratoire, la recherche des contacts dans les 24 heures suivant l’obtention de résultats de laboratoire positifs conformément aux normes provinciales, une communication publique fréquente, les inspections rapides, l’auto-isolement et le port obligatoire du masque ont permis de stopper l’éclosion. Des inspections ou des autovérifications doivent être exigées dans tous les ESP avant la réouverture et les responsables de la gestion des éclosions doivent travailler avec les ESP pour réduire la possibilité d’événements de supercontamination.
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Ferretti, Lucia. "L’Église, l’État et la formation professionnelle des adolescents sans soutien : le Patronage Saint-Charles de Trois-Rivières, 1937-19701." Revue d'histoire de l'Amérique française 56, no. 3 (February 20, 2004): 303–27. http://dx.doi.org/10.7202/007616ar.

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Abstract:
Résumé Entre 1937 et 1970, le Patronage Saint-Charles de Trois-Rivières a hébergé des centaines d’adolescents sans soutien, qui y ont continué leur scolarité de base et reçu aussi leur première formation professionnelle. Sans remettre en cause la vision globale développée par l’historiographie, selon laquelle l’État québécois, même après la Loi de l’Assistance publique, a eu tendance à financer l’Église tout en lui abandonnant une large part de la responsabilité du système de régulation sociale dans le champ du bien-être social, l’étude de cet orphelinat permet de mieux documenter la complexité des relations entre l’une et l’autre avant les réformes entreprises à l’époque de la Révolution tranquille. Trois conclusions ressortent clairement. L’État s’est très longtemps désintéressé de la formation professionnelle des adolescents de milieu défavorisé. Néanmoins, comme le démontre le sort de l’enseignement professionnel au Patronage, l’Église a été incapable d’élargir la gamme de ses interventions dans les établissements reconnus d’assistance publique au-delà de celles qu’elle avait déjà sous son contrôle au moment de la Loi de 1921. Enfin, dès les années 1950, à la faveur des nouvelles orientations du service social qui ont encouragé le placement familial, les pouvoirs publics ont commencé à moins financer même les fonctions traditionnelles des orphelinats.
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Wallace, Matthew L. "« The Rainmakers » : le Service météorologique du Canada et la recherche sur la modification du temps dans l’après-guerre." Scientia Canadensis 35, no. 1-2 (February 11, 2013): 5–37. http://dx.doi.org/10.7202/1013979ar.

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Abstract:
Le développement de la recherche sur la modification du temps est un élément central de l’évolution des sciences atmosphériques dans l’après-guerre au Canada. Nous mettons en valeur deux projets de recherche de grande envergure en Alberta et au Québec, dans le contexte d’un déplacement des études sur la modification du temps du laboratoire vers le terrain dans les années 1950 et 1960. Par ce biais, nous montrons comment les milieux naturel, économique, social et politique d’une région sont déterminants pour l’évolution du SMC et des sciences atmosphériques au Canada, deux éléments largement absents de l’historiographie des sciences au Canada. Les travaux sur la modification du temps mettent en évidence les liens avec la sphère politique, la fonction publique canadienne, la communauté scientifique et le secteur privé. Nous caractérisons ainsi les rapports de force dominants qui permettent au SMC de développer, à l’interne et à l’externe, une capacité scientifique au pays. En revanche, cette position du SMC, en tant que « service » gouvernemental déterminé par le mandat précis, accorde une marge de manoeuvre limitée au déroulement de cette recherche.
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Gunnlaugsson, Gísli Ágúst. "Living arrangements of the elderly in a changing society: the case of Iceland, 1880–1930." Continuity and Change 8, no. 1 (May 1993): 103–25. http://dx.doi.org/10.1017/s0268416000001934.

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Abstract:
Cet article étudie comment l'urbanisation et l'introduction d'une législation d'assistance publique ont une incidence sur la position des personnes âgées dans le ménage en Islande entre 1880 et 1930. L'utilisation d'une perspective du cours de la vie démontre que l'urbanisation crée un nouveau genre de réseau familial durant cette période. Cela permet aux personnes âgées de compter sur l'aide de leur progéniture, même si les jeunes sont déjà chef de leur propre ménage. A la campagne l'accroissement de l'occupation par le propriétaire ainsi que le déclin du service mènent à quitter la maison à; un âge plus avancé augmentent les possibilités, pour les personnes âgées, de poursuivre la gestion de la ferme à un âge plus avancé, puisque aidés par une progéniture adulte.
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Petitclerc, Martin. "À propos de « ceux qui sont en dehors de la société ». L’indigent et l’assistance publique au Québec dans la première moitié du XXe siècle1." Revue d’histoire de l’Amérique française 65, no. 2-3 (August 29, 2013): 227–56. http://dx.doi.org/10.7202/1018245ar.

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Abstract:
La « Loi établissant le service de l’assistance publique » a suscité un vive polémique après son adoption en 1921. Cette loi prévoyait l’octroi de subventions statutaires de l’État provincial et des municipalités aux institutions privées et confessionnelles d’hébergement des indigents. La polémique, animée notamment par Henri Bourassa, a porté sur le problème de l’intervention de l’État dans un domaine traditionnellement conçu comme relevant de la responsabilité de l’Église. Prenant les thèses de Bourassa à rebours, la plupart des historiens ont analysé cette loi sous l’angle de la modernisation, soit celui de l’affirmation nécessaire des prérogatives de l’État dans le domaine de la protection sociale. Dans cet article, nous défendons plutôt la thèse que cette loi est une tentative (largement réussie) de consolidation de la gouvernementalité libérale qui s’appuyait, depuis le XIXe siècle, sur ce que Karl Polanyi a appelé le « personnage de l’indigent ». Selon cette perspective, la loi de 1921 n’est pas une étape marquante dans la bataille séculaire entre l’État et l’Église, mais bien le moment d’une refondation de la politique libérale à l’égard du « personnage de l’indigent ». Ce dernier, défini légalement comme inapte au travail et sans soutien familial, et donc « en dehors de la société » selon une expression de l’époque, a permis de justifier le développement d’un système privé/public d’assistance charitable aux dépens de politiques sociales fondées sur une conception universelle du droit social. Cette dynamique est démontrée dans cet article par l’analyse de la question très litigieuse du droit de l’indigent à l’assistance publique.
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Gagné, Jean, and Marjolaine Despars. "Participation citoyenne et intervention communautaire : la Commission populaire pour la sauvegarde des maisons de chambres." Nouvelles pratiques sociales 23, no. 2 (October 17, 2011): 65–82. http://dx.doi.org/10.7202/1006129ar.

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Abstract:
La participation civique est présentée aujourd’hui comme une bonne pratique de gestion publique. Plusieurs États en ont adopté la règle entre autres dans les domaines du service social et de la santé. Cet article en décrit une application « citoyenne », soit la Commission populaire pour la sauvegarde des maisons de chambres de Montréal. Les auteurs qui ont participé à cette intervention font état de leur collecte de données, de la problématique de la préservation du parc des maisons de chambres, des enjeux de la participation en tant que pratique démocratique et des résultats obtenus. Ils discutent en conclusion des conditions d’une prise de parole citoyenne par les participants et participantes à un tel exercice.
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Perras, Sylvie, and Nicole Boucher. "L’intervention sociale contre le racisme : sortir du multiculturalisme et de la pensée magique." Service social 42, no. 1 (April 12, 2005): 101–19. http://dx.doi.org/10.7202/706602ar.

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Abstract:
La lutte contre le racisme est devenu petit à petit l'un des objectifs du service social. Or, selon nous, même si les comportements racistes sont souvent présentés comme un exutoire aux problèmes économiques, le racisme contemporain découle principalement de la logique adoptée par l'État pour faire face aux nouvelles immigrations et à leur intégration dans la société. Ainsi, dans un contexte politique modelé par des revendications identitaires multiples, la politique canadienne du multiculturalisme stigmatise encore davantage ceux qu'elle prétend intégrer et de ce fait alimente la résurgence du racisme et complique l'intervention. Pour expliciter cette thèse, nous retraçons d'abord la genèse du racisme et son évolution dans nos sociétés occidentales modernes. Ensuite, en contextualisant les nouvelles formes d'immigration dans l'espace national canadien, nous démontrons que la politique publique du multiculturalisme a contribué à créer une impasse sur le plan conceptuel, entravant ainsi l'action pour lutter efficacement contre le racisme. Finalement, pour sortir des impasses du multiculturalisme et de la pensée magique, nous proposons aux travailleurs sociaux un cadre alternatif d'intervention sociale.
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Haughian, Richard M. "The Role of the Church in Aging: Implications for Policy and Action. Michael C. Hendrickson (Ed.). New York: The Haworth Press, 1985, pp. 178. (Hard: $29.95 U.S., Soft: $19.95 U.S.) (Text soft price; 5 or more copies only: $9.95). - The Role of the Church in Aging, Volume II: Implications for Practice and Service. Michael C. Hendrickson (Ed.). New York: The Haworth Press, 1985, pp. 105. (Hard: $18.95 U.S.) (Text soft price; 5 or more copies only: $19.95)." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 6, no. 4 (1987): 318–24. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800007595.

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Abstract:
RÉSUMÉCes deux recueils d'articles représentent une analyse détaillée du rôle qu'exerce l'église au domaine du vieillissement dans notre société contemporaine. Les divers auteurs identifient également une série de tactiques qui pourraient être utiles dans l'élaboration de nouvelles politiques ou dans des applications futures. Les dirigeants et les experts américains qui oeuvrent au domaine du vieillissement et des soins à long terme invitent l'église à développer son rôle dans le secteur des services directs, des recherches, de l'éducation et de la politique publique. Ils encouragent également l'église à exploiter davantage ses ressources théologiques et spirituelles, au profit despersonnes du troisième age. Ces recueils contiennent plusieurs themes importants et recommandations qui s'appliquent tant au Canada qu'aux états-unis.
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Miranda-Pérez, Fabiola. "Le rôle de l’expert social dans la mise en oeuvre de la politique publique de lutte contre les violences conjugales au Chili." Le dossier : Normativités, marginalités sociales et intervention 27, no. 2 (October 19, 2016): 77–95. http://dx.doi.org/10.7202/1037680ar.

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Abstract:
Partant des travaux existants sur les dispositifs de gouvernement (Foucault, 2001; Ihl et al., 2003) et sur la sociologie de l’expertise (Delmas, 2011), cet article cherche à analyser la mise en oeuvre des deux dispositifs gérés par le Service national de la femme (Servicio Nacional de la Mujer (SERNAM)) à partir d’une étude des pratiques menées par les professionnels du secteur social auprès des femmes vivant des situations de violences au sein de leur couple. Les dispositifs étudiés sont les « Maisons d’accueil pour les femmes victimes de violences graves » et les « Centres de la femme ». S’adressant principalement à un public marginalisé à cause de son appartenance à une classe défavorisée, il s’y met en place des pratiques visant à contribuer à la ‘normalisation’ des femmes, par le biais de processus à but émancipateur. Ainsi, dans cet article nous nous demanderons si les professionnels du social intégrés à ces dispositifs participent à la construction de nouvelles altérités ou bien si leurs interventions continuent à reproduire un système d’inégalités sociales présent au sein de cette société.
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Orain, Arnaud, Jean-Luc Chappey, and Antoine Lilti. "Usages de l’absent: La figure de Lapérouse et la Révolution française." Annales. Histoire, Sciences Sociales 76, no. 1 (March 2021): 47–82. http://dx.doi.org/10.1017/ahss.2021.55.

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Abstract:
Usages de l’absent: La figure de Lapérouse et la Révolution françaiseAlors que l’on est en France sans nouvelles de Monsieur de Lapérouse et de son expédition autour du monde depuis 1788 (le mystère de sa disparition ne sera connu qu’à la fin des années 1820), l’illustre navigateur devient, sous la Révolution, une figure publique instable, ouverte à toutes les appropriations et apte à de multiples usages politiques, scientifiques et philosophiques. En s’appuyant sur l’étude d’un corpus de sources manuscrites et imprimées méconnues (fictions, mémoires, décrets, journaux français et anglais, correspondances), cet article montre que cette présence/absence n’a rien d’anecdotique. La figure de Lapérouse tient noués trois héritages de l’Ancien Régime : l’idéal d’une société ordonnée autour de figures glorieuses ; le projet d’expansion impériale qui nourrit la rivalité avec l’Angleterre ; la science des Lumières et son horizon cosmopolite. Leur rencontre culmine dans le thème du héros civilisateur sous le Directoire, qui unit les mondes et élargit les sphères du savoir au service du rayonnement de la nation, forme idéalisée que prend le rêve impérial français. Cette étude fait du personnage de Lapérouse un outil heuristique pour comprendre comment ces trois héritages ont été investis, subsumés puis redéfinis par la Révolution française. Partout la figure du héros révèle la présence, si difficile à répudier, de l’Ancien Régime au cœur de la modernité politique.
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Guézennec, P., J. L. Roelandt, and R. Chabane. "Les CLSM, outil de décloisonnement au service des usagers et des territoires." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S90. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.387.

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Abstract:
La complexité des troubles psychiques et le passage d’une logique hospitalière à une logique territoriale nécessitent une coordination des actions locales entre les différents acteurs (sanitaire, social, éducatif, logement, insertion professionnelle, judiciaire, culturel, sportif).Aucun acteur ne peut prendre en charge l’ensemble des dimensions de la santé mentale et c’est la coopération de l’ensemble des acteurs d’un territoire local qui pourra améliorer l’environnement des usagers en santé mentale et de leur famille ainsi qu’un repérage précoce.Le conseil local de santé mentale (CLSM) qui est un lieu de concertation et de coordination entre les élus locaux d’un territoire, la psychiatrie publique, les usagers et les aidants constitue une des réponses pour la coordination. Il a pour objectif de définir des politiques locales et des actions permettant l’amélioration de la santé mentale de la population.Le CLSM est une démarche singulière à chaque territoire, tant dans sa constitution que par les priorités qu’il s’octroie, et c’est aussi cette diversité qui fait sa force.D’une quinzaine de CLSM opérationnels en 2005, à une trentaine en 2010 et plus de 120 créés en 2015 et une soixantaine en cours de création, les CLSM se déploient lentement mais surement sur l’ensemble du territoire national.Un des cinq objectifs stratégiques du CLSM définis par le CCOMS est de favoriser l’insertion sociale et l’empowerment des usagers. Pour cela, plusieurs actions concrètes sont développées (formations, mise en place de protocoles, création d’outils communs ou de structures…) autour de l’habitat, de l’insertion professionnelle, de l’accès aux droits, etc.Cette communication présentera les objectifs et les éléments essentiels à l’opérationalité d’un CLSM mais également par les leviers qui permettent à cette démarche d’être un outil de démocratie sanitaire et d’empowerment.
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Mockle, Daniel. "La justice, l’efficacité et l’imputabilité." Les Cahiers de droit 54, no. 4 (December 2, 2013): 613–88. http://dx.doi.org/10.7202/1020649ar.

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Abstract:
Les principes issus de la nouvelle gestion publique (efficacité, efficience, transparence, responsabilité et imputabilité) sont utilisés par le législateur afin de revoir sur une base plus contemporaine le fonctionnement des organisations publiques. Leur intégration par le droit public montre une transformation du contexte social et politique qui dépasse les dimensions propres à la gestion et au management. La justice, à titre de système public propre à l’organisation et au fonctionnement des cours et des tribunaux, subit l’influence, de diverses manières, de cette évolution et de ce type de principe. Ce texte montre la progression de l’efficacité en droit processuel, ainsi que dans le contexte du nouveau management de la justice. Si, au sens strict, l’efficacité n’est pas un principe reconnu par le droit judiciaire, elle apparaît à tout le moins comme un élément structurant des réflexions contemporaines sur la justice, à l’instar de l’accessibilité. L’efficacité concerne directement les cours et les tribunaux en tant qu’organisations responsables du service public de la justice. Son ascension facilite ainsi l’affirmation des autres principes, dont le plus important reste l’imputabilité. Loin d’être en opposition avec les principes traditionnels de l’indépendance de la justice, l’imputabilité ouvre des perspectives nouvelles pour sa légitimité.
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Eyebiyi, Elieth. "Étudier l’État à partir de l’informalité. Répression et résistances autour du commerce informel de carburant1." Lien social et Politiques, no. 76 (July 18, 2016): 77–95. http://dx.doi.org/10.7202/1037066ar.

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Abstract:
Le commerce informel et transfrontalier des produits pétroliers provenant du Nigéria s’est enraciné, au début des années 1990, dans un contexte de crise économique et politique marquant le passage d’un État-providence à un État libéral et de marché. La porosité de la longue bande frontalière et les accointances entre douaniers et contrebandiers ont depuis favorisé l’institutionnalisation sociale et économique d’une activité informelle pourvoyeuse d’emplois et intégratrice de milliers d’exclus, de sans-emplois et de chômeurs au Bénin. Au fil des ans, le commerce informel du carburant de contrebande (le « kpayo ») s’est socialement légitimé, s’est intégré au quotidien des populations béninoises et s’est substitué aux stations-service pratiquant des prix prohibitifs. Les multiples tentatives de l’État central pour l’éradiquer se soldent par des échecs, y compris la dernière campagne démarrée le 17 novembre 2012. Arrestations, saisies, morts et autres drames n’empêchent pas le liquide controversé de couler à flots dans les réservoirs des citoyens et de rester concurrentiel. À rebours des théories en vogue sur l’informel, ce papier adopte une posture socioanthropologique multicentrée et critique. Il associe l’économique au social et au politique pour interroger à partir de données recueillies au Bénin entre 2012 et 2014, l’action publique contre le « kpayo ». J’examine les représentations, les pratiques (non) officielles et les négociations entre un État régalien désireux de contrôler ses frontières pour augmenter les recettes douanières et un État d’usagers et de contrebandiers déterminés à maintenir coûte que coûte une activité informelle, structurant de manière décisive toute une économie formelle.
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Siitonen, Lauri. "Human security and state rebuilding in post-conflict Nepal: Peace at the cost of justice?" Regions and Cohesion 1, no. 1 (March 1, 2011): 54–77. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2011.010105.

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Abstract:
There is a possible conflict between two current policy guidelines in post-conflict countries, human security, and state rebuilding. This article analyzes how weak statehood and low human security are mutually interlinked in complex ways in the case of post-conflict Nepal. The analysis is based on economic, political, and social data, recent reports by international organizations and NGOs, as well as on statements by major politicians and political parties. A dilemma can be identified in post-conflict Nepal: in order to remedy weak statehood and decrease the level of crime, the presence of the state in the rural areas needs to be enhanced. Yet people feel mistrust toward the police and state administration, which keep many people marginalized. Therefore external actors, particularly the EU, should strengthen their support for democratization of the state while at the same time keeping an eye on the peace process.Spanish Existe un posible conflicto entre dos orientaciones de las políticas actuales en los países post-conflicto: la seguridad humana y la reconstrucción del Estado. Este artículo analiza cómo la debilidad estatal y la seguridad humana están mutuamente relacionadas entre sí de manera compleja en el caso del post-conflicto en Nepal. El análisis se basa en los datos económicos, políticos y sociales, en los últimos informes de las organizaciones internacionales y no-gubernamentales, así como en las declaraciones de los más importantes políticos y partidos políticos. Es posible identificar un dilema en el Nepal post-conflicto: con el fin de fortalecer al Estado débil y disminuir el nivel de la criminalidad, es preciso mejorar la presencia del Estado en las zonas rurales. Sin embargo, la gente siente desconfianza hacia la policía y la administración estatal, que mantienen a un gran número de personas en la marginalidad. Por lo tanto los actores externos, especialmente la UE, deben fortalecer su apoyo a la democratización del Estado a la vez que deben estar atentos al proceso de paz.French Il existe une possibilité de conflit entre les deux actuelles lignes directrices en matière de politiques dans les pays en sortie de guerre, à savoir entre la sécurité humaine et la reconstruction de l'État. Cet article analyse comment un état défaillant et une faible sécurité humaine sont reliés mutuellement de façon complexe dans le contexte d'après-guerre au Népal. L'analyse est basée sur des données économiques, politiques et sociales, des rapports récents d'organisations internationales et d'ONG, ainsi que sur les discours des plus importants politiciens et partis politiques. Un dilemme apparaît dans le cas du Népal : afin de renforcer le pouvoir de l'État et de diminuer les taux de criminalité, la présence de l'État doit être accrue dans les milieux ruraux. Or, la population montre une certaine méfiance envers la police et l'administration publique, instances considérées comme responsables de la marginalisation d'une grande partie de la société. C'est pourquoi des acteurs externes, telle l'Union Européenne, devraient renforcer leur aide à la démocratisation de l'État et surveiller en même temps le processus de paix.
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Aparicio-Valdez, Luis. "La gestion empresarial en latinoamérica y su impacto en las relaciones laborales." Articles 44, no. 1 (April 12, 2005): 124–48. http://dx.doi.org/10.7202/050476ar.

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Abstract:
Les relations du travail en Amérique Latine se caractérisent par la présence traditionnelle d'un autoritarisme étatique qui se manifeste par une intervention continuelle, une législation abondante et parfois contradictoire, ainsi que par un conflit permanent. Tout cela dans un cadre social hétérogène dans lequel les relations du travail ont depuis peu cesse d'être atomisé pour se centraliser dans les branches industrielles. Ces caractéristiques normalisent toujours les relations du travail en Amérique Latine, mais leur poids diminue chaque fois que de nouveaux facteurs, tant internes qu'externes, entrent en jeu. Les nouvelles tendances, encore embryonnaires, amplifient le caractère extra juridique de la relation employeur-travailleur, de même que l'autonomie des acteurs immédiats en relations du travail, ainsi que la faible présence d'une optique coopérative et participative. La gestion patronale a joué un rôle principal dans cette évolution, particulièrement dans les domaines nouveaux, là où l'absence de tradition a facilité l'innovation. Les multinationales et le secteur d'exportations non traditionnel constituent les meilleurs exemples. Ce résumé a pour objet de présenter ces nouvelles tendances, d'identifier les facteurs internes et externes qui les ont générés, ainsi que d'offrir une base de comparaison pour faciliter une évolution globale de l'état des relations du travail au niveau international. Facteurs internes : La gestion patronale actuelle en Amérique Latine montre qu'il y a une crise complexe chez les protagonistes des relations du travail, c'est-à-dire les travailleurs, les employeurs et l'État. D'un cote, l'augmentation inusitée des grèves locales et nationales, le caractère « illégal » de la majorité des grèves locales dues à l'échec de la négociation collective, ou encore, leur emploi comme outil de solution des conflits, et enfin, l'importante complexité des demandes constituent les principaux problèmes. La source immédiate de ceux-ci est syndicale, alors que les causes plus profondes se rencontrent, pour la majorité, en dehors du contrôle des acteurs. À cause de cette distanciation, les relations se polarisent chaque fois plus. Les relations du travail doivent ainsi en venir à se rencontrer devant un tiers, l'État, qui lui aussi, devient chaque fois plus décisif. De l'autre cote, le maintien, l'accroissement ou le changement fréquent des lois du travail ainsi que la partialité des gouvernements en place soit avec les employeurs ou les travailleurs, reflètent la continuité ou l'augmentation de l'interventionnisme étatique dans la détérioration des relations entre les parties. Les réajustements périodiques des salaires selon les changements au cout de la vie dus à l'inflation, par exemple, exigent des employeurs qu'ils réajustent subséquemment leurs politiques salariales et leurs couts divers. Les changements dans la législation imposent une adaptation de la part des employeurs. En général, l'important interventionnisme étatique ainsi que le réglementarisme limitent de manière irrationnelle le mouvement autonome des relations du travail. Cependant, autant les employeurs que les travailleurs ont exercé, ces dernières années, une force extraordinaire tendant à changer, en leur faveur, le schéma et les règles qui gouvernent les relations du travail. Tous deux ont influencé le processus politique afin de limiter le déterminisme étatique dans les deux secteurs de la propriété, publique et privée, mais aussi dans le but de forcer la réconciliation avec leur acteur rival et ceci, en accord avec la logique de leurs propres intérêts. Le solde net de ce changement a été une relative ouverture du système traditionnel des relations du travail vers des formes nouvelles de relations, comme le système d'administration des ressources humaines, la concertation sociale, la négociation par branche industrielle et la transformation du régime du travail dans le secteur public, particulièrement dans les entreprises de l'État. Facteurs externes : La crise économique que vivent pratiquement tous les pays de cette région, l'accroissement disproportionne de l'offre de travail et de ses accompagnateurs naturels comme le chômage et le travail au noir, l'intervention excessive de l'État dans l'économie, de même que son centralisme, et le défi de la concurrence internationale basé sur l'internationalisation des facteurs de production sont les changements contextuels qui ont eu un impact majeur dans les relations du travail en Amérique Latine. Ceux-ci ont exercé une influence variable aussi bien sur les facteurs internes mentionnes plus haut que sur les relations du travail elles-mêmes, de façon directe. La gestion patronale a répondu à ces divers facteurs avec une grande variété de critères et d'actions. Une des réponses a été l'adoption de systèmes d'administration du personnel en remplacement du système de relations du travail. Même si cette pratique est naissante, son développement rapide, et ceci dans les secteurs les pins modernes et les plus rentables (les multinationales en constituent l'avant-garde), lui a concédée une importance majeure ces dernières années. Le système d'administration des ressources humaines est un concept radicalement différent de celui du système traditionnel des relations du travail. Alors que le premier est centre sur la relation individuelle employeur-travailleur, le second l'est sur la relation collective employeur-syndicat. L'expérience latino-américaine montre que la tendance actuelle va vers la superposition des systèmes. Les entreprises qui furent organisées sous le système traditionnel de relations du travail continuent dans cette direction, alors que les nouvelles entreprises, particulièrement celles qui participent aux secteurs les plus modernes de l'économie, ont l'option d'essayer un ou l'autre des systèmes, ou encore l'intégration des deux. Dans le cas où le système de l'administration des ressources humaines est adopte, le raisonnement logique est de donner fréquemment des avantages non économiques aux travailleurs, afin qu'ils ne voient pas la nécessité de recourir à la syndicalisation, ou encore, dans le but de diminuer les sources de conflit. Trois types de stratégies ont été pratiques dans divers pays : a) la création d'associations professionnelles dans le champ des ressources humaines et de l'administration du personnel, avec pour objectif d'améliorer le recrutement et la promotion dans l'emploi; b) la création et le développement de mécanismes destines à motiver les travailleurs, comme les cercles de qualité, les comités mixtes travailleurs-direction de l'entreprise et les programmes d'incitation non pécuniaires; c) l'ouverture d'alternatives participatives, aussi bien dans la gestion (cogestion, cogouvernement ou codétermination), que dans les bénéfices et la propriété de l'entreprise. Cette dernière stratégie a généralement été exécutée dans des conditions de faible stabilité du travail et de faible influence de la négociation collective. La motivation du travailleur a été le centre d'attention de divers programmes crées sous l'initiative de l'employeur. Les cercles de qualité sont les plus répandus en Amérique Latine, mais des comités de productivité, des programmes de préretraite et des clubs sociaux à l'intérieur de l'entreprise ont aussi été formes. En quelques mots, l'adoption du système d'administration des ressources humaines, même si elle est récente, est déjà une réalité en Amérique Latine. Le développement et l'établissement général de ces programmes sont ici plus que de simples souhaits des acteurs sociaux. On pourrait dire qu'il leur reste à traverser le même niveau de difficultés que le développement économique des pays latino-américains.
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Leo, Christopher, and Todd Andres. "Deep Federalism through Local Initiative: Unbundling Sovereignty in Winnipeg." Canadian Journal of Political Science 41, no. 1 (March 2008): 93–117. http://dx.doi.org/10.1017/s000842390808013x.

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Abstract:
Abstract.Building on an international literature that stresses the growing importance of cities in both the economy and governance, this paper proceeds from the premise that national government support is essential to the maintenance of a social safety net, but that a great deal of local initiative is also necessary in order to ensure that national government funds are spent in a manner appropriate to the very different conditions in different cities. The paper focuses on a case in which a municipal government initiated a tri-level government program. Winnipeg officials and politicians developed a proposal for federal and provincial participation in a locally created welfare-to-work scheme, a scheme that, unlike conventional workfare, offered union wages and training leading to well-paid work. The municipal government provided on-the-job training for workers selected from the welfare rolls to carry out infrastructure upgrades and financed the project with money the federal and provincial governments saved on welfare payments. The paper argues that the municipal government was uniquely well placed to identify needed work, as well as to choose welfare recipients who would be able to benefit from the job training on offer. In this case, therefore, we argue that local initiative was essential to the success of this federally and provincially financed welfare-to-work program. The findings of the theoretical literature we review suggest that it could eventually become a precedent for further municipal and local activism along similar lines.Résumé.S'inspirant d'une littérature internationale—comprenant les contributions de Canadiens tels que Magnusson, Elkins et Courcherne—qui souligne l'importance croissante des villes dans l'économie et la gouvernance, et s'inspirant également du savoir déjà acquis sur le fédéralisme de fond, cette communication part de la prémisse que l'appui du gouvernement fédéral est indispensable au maintien d'un filet de sécurité sociale, mais que l'initiative locale est très importante pour assurer que les fonds versés par le gouvernement national soient exploités d'une manière qui réponde aux circonstances particulières des villes différentes. La présente communication porte sur un projet lancé par une administration municipale mais destiné aux trois niveaux de gouvernement. En effet, ce sont les employés et l'administration de la Ville de Winnipeg qui ont mis sur pied un projet de retour au travail pour les bénéficiaires d'une aide sociale auquel les gouvernements fédéral et provincial devaient participer. Contrairement aux programmes conventionnels de travaux d'utilité publique, ce projet offrait un salaire conforme aux règles syndicales en même temps qu'une formation sur le lieu de travail. C'est le gouvernement municipal qui assurait cette formation aux individus choisis de la liste des bénéficiaires d'une aide sociale et dont le travail consistait à hausser l'infrastructure. C'est aussi le gouvernement municipal qui finançait le projet avec l'argent que les gouvernements fédéral et provincial avaient économisé sur les fonds de solidarité. La communication prétend que le gouvernement municipal est particulièrement bien placé pour identifier les travaux nécessaires et pour sélectionner les bénéficiaires d'aide sociale les plus capables de profiter de la formation donnée sur le poste de travail. Nous prétendons donc que, dans ce cas, le succès de ce programme de retour au travail pour les bénéficiaires d'une aide sociale, financé aux niveaux fédéral et provincial, dépendait de l'initiative locale. La littérature théorique que nous avons passée en revue suggère que ce projet puisse finir par devenir le modèle pour d'autres activités municipales et locales du même genre.
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Telles, Helcimara De Souza, Arthur Leandro Alves da Silva, and Camila Arruda Vidal Bastos. "PROGRAMA MAIS MÉDICOS DO BRASIL: a centralidade da relação médico-usuário para a satisfação com o programa." Caderno CRH 32, no. 85 (June 7, 2019): 101. http://dx.doi.org/10.9771/ccrh.v32i85.23470.

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Abstract:
<p>O artigo examina os fatores associados à satisfação das comunidades atendidas pelo Programa Mais Médicos do Brasil (PMMB), a partir de pesquisas quantitativas realizadas pelo Ministério da Saúde e pela Universidade Federal de Minas Gerais em 2014, ano em que tal programa se iniciou. A abordagem se deu por meio de entrevistas face a face, realizadas com amostras de usuários e não usuários desse programa e residentes, tanto nos municípios atendidos quanto naqueles inscritos, mas ainda não contemplados. As entrevistas foram realizadas em mais de 700 municípios, segmentados em 7 subgrupos segundo os critérios: 20% de pobreza, capital, G100, baixa renda e alta vulnerabilidade econômica, região metropolitana, quilombolas, distrito sanitário especial indígena (DSEI) e demais localidades, totalizando mais de 18.000 informantes. Para a análise das variáveis relacionadas à avaliação do Mais Médicos, foram elaboradas estatísticas descritivas e inferenciais. Demonstra-se, na fase inicial do programa, a presença majoritária de médicos intercambistas cooperados (cubanos), a alta experiência dos profissionais envolvidos com a atenção básica à saúde, a boa qualidade do atendimento médico e sua forma mais humanizada, tendo como determinante a relação entre médico e usuário para a avaliação positiva do programa. Conclui-se que o Mais Médicos atingiu os objetivos de levar atendimento aos municípios de alta vulnerabilidade social, onde ainda não havia médicos ou seu número era pequeno, e que o programa tem potencial para a reconstrução do conceito da Atenção Básica à saúde.</p><p><strong>PROGRAMA MAIS MÉDICOS DO BRASIL: the centrality of the doctor-patient relationship for satisfaction with the program </strong></p><p>The article examined the factors associated with the satisfaction of the communities served by the Mais Médicos do Brasil Program (PMMB), based on quantitative research carried out by the Ministry of Health and the Federal University of Minas Gerais in 2014, the year in which this program started. The approach occurred through face-to-face interviews, conducted with samples of users and non-users and residents in municipalities registered, but not yet covered. The interviews were carried out in more than 700 cities, segmented into 7 subgroups according to the criteria: 20% of poverty, capital, G100, low income and high economic vulnerability, the metropolitan, quilombolas, special indigenous sanitary district (DSEI) and other locations, totaling more than 18,000 informants. For the analysis of the variables related to evaluation of Mais Médicos, were elaborated descriptive statistics and inferences. Demonstrates, in the initial phase of the program, the majority presence of doctors cooperated (Cubans), the high experience of professionals involved with the basic attention to health, the good quality of medical care and your more Humanized, with the decisive relation between doctor and user to the positive assessment of the program.. It is concluded that the Mais Médicos reached the goals of bringing service to the municipalities of high social vulnerability, where there was still no doctors or your number was small, and that the program has potential for the reconstruction of the concept of the basic attention to health.</p><p>Keywords: Public policy. Mais Médicos Program. Basic care. Communities.</p><p><strong>PROGRAMME MAIS MÉDICOS DO BRASIL: la centralité de relation médecin-patient pour la satisfaction du programme </strong></p><p> L’article examine les facteurs associés à la satisfaction des communautés desservies par le “Programa Mais Médicos do Brasil” (PMMB), sur la base d’une recherche quantitative réalisée par le ministère de la Santé et l’Université Fédérale de Minas Gerais (UFMG) en 2014, année d’initiation de ce programme. L’abordage a été réalisée au moyen des interviews en personne, réalisés avec des échantillons d’utilisateurs et de non-utilisateurs de ce programme et de résidents, dans les villes desservies et dans ces qui sont inscrites, mais ne sont pas encore visées. Les interviews ont été réalisées dans plus de 700 villes et villages, ont été segmentées en 7 sous-groupes par les critères suivants: 20% de pauvreté, la capitale familiale, G100, un faible revenu et une grande vulnérabilité économique, région métropolitaine, quilombolas, District Sanitaire Spécial Autochtone (DSEI), ils totalisant plus de 18 000 informateurs. Pour l’analyse des variables liées à l’évaluation de Mais Médicos ont été élaborées des statistiques descriptives et inférentielles. Dans le début du programme, il y a une présence majoritaire de médecins en échange coopératif (cubains), la grande expérience des professionnels impliqués dans l’attention de base à la santé, la bonne qualité des services médicaux et leur forme plus humanisée, ce qui détermine l’évaluation positive du programme c’est principalement la relation entre le médecin et le patient. Nous concluons que le programme Mais Médicos a atteint l’objectif de prendre en charge les villes de forte vulnérabilité sociale, où ils n’y avait pas de médecins ou le nombre était faible, et que le programme pouvait potentiellement reconstruire le concept de attention à la santé primaires.</p><p>Mots-clés: Politique publique. Programa Mais Médicos. Attention basique. Communautés.</p>
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Fournier, Pascale, and Erica See. "THE “NAKED FACE” OF SECULAR EXCLUSION: BILL 94 AND THE PRIVATIZATION OF BELIEF." Windsor Yearbook of Access to Justice 30, no. 1 (February 1, 2012): 63. http://dx.doi.org/10.22329/wyaj.v30i1.4360.

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Abstract:
This article will consider the case study of Québec’s Bill 94 (An Act to establish guidelines governing accommodation requests within the Administration and certain institutions), introduced in March 2010, one of many recent bans imposed on the wearing of the niqab in the West. Citing the importance of “the right to gender equality and the principle of religious neutrality of the State,” Bill 94 emphasizes the necessity of “un visage découvert” or “naked face” when giving or receiving a broad range of public services in Québec, including all government services, childcare centres, hospitals, and health and social service agencies. According to section 6 of the Act, “If an accommodation involves an adaptation of that practice and reasons of security, communication or identification warrant it, the accommodation must be denied.” While quasi-neutral, this bill clearly has a disproportionate impact on religious women who wear the niqab. In fact, as a direct result of the legislation, Muslim women will likely disappear from the public sphere and be restricted to the private home where they might effectively be dependent on male family members to navigate the “market place” on their behalf. Borrowing from Charles Taylor’s A Secular Age, this paper will consider the distributive consequences of the niqab ban, a critical juncture of “religion-state relations” in which belief is more and more relegated to the private sphere in Quebec. The article will use Bill 94 to explore this peculiar manifestation of “secularism” with the concurrent existence of “governance feminism”— how the privatization of belief goes hand in hand and is perversely reinforced by a colonial discourse on gender equality, leaving some already marginalized women out of the public gaze. Is this legislated demand for a “naked face” truly the logical outcome of a successful feminist movement (as some have asserted) or isthis erasure of religious women in fact the latest veil of patriarchy?Cet article porte sur le projet de loi no 94 du Québec (Loi établissant les balises encadrant les demandes d’accommodement dans l’Administration gouvernementale et dans certains établissements), présenté en mars 2010, l’une des nombreuses interdictions au port du niqab en Occident. Citant l’importance « du droit à l’égalité entre les femmes et les hommes et du principe de la neutralité religieuse de l’État », le projet de loi no 94 souligne la nécessité, au Québec, d’avoir le « visage découvert » lorsqu’on fournit ou reçoit des services publics offerts, notamment, par le gouvernement, des garderies, des hôpitaux et des organismes de services sociaux et de santé. Aux termes de l’article 6 de la Loi, « lorsqu’un accommodement implique un aménagement à cette pratique, il doit être refusé si des motifs liés à la sécurité, à la communication ou à l’identification le justifient. » Bien qu’il soit quasi neutre, ce projet de loi a nettement un effet disproportionné sur les femmes pratiquantes qui portent le niqab. En fait, il aura probablement pour résultat direct de faire disparaître les musulmanes de la sphère publique et de les confiner à leur foyer, où elles devront probablement laisser les hommes faisant partie de leur famille occuper leur place sur le marché. S’inspirant de l’ouvrage A Secular Age, de Charles Taylor, l’article porte sur les conséquences distributives de l’interdiction de porter le niqab, phase critique des relations entre l’État et la religion au cours de laquelle, au Québec, le religieux est de plus en plus relégué au domaine privé. On y traite du projet de loi no 94 afin d’examiner cette manifestation particulière de la laïcité et l’existence parallèle de la gouvernance féministe. En d’autres termes, on y étudie de quelle façon la privatisation du religieux va de pair avec un discours colonial sur l’égalité des sexes et, d’une manière perverse, est renforcée par celui-ci, phénomène qui soustrait au regard public des femmes déjà marginalisées. L’exigence législative du visage découvert est-elle vraiment la suite logique d’un mouvement féministe couronné de succès (comme certains l’affirment) ou cet effacement de femmes pratiquantes constitue-t-il en fait le nouveau voile du patriarcat?
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Dahlgreen, Peter. "Public Service Media, Old and New: Vitalizing a Civic Culture?" Canadian Journal of Communication 24, no. 4 (April 1, 1999). http://dx.doi.org/10.22230/cjc.1999v24n4a1123.

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Abstract:
Abstract: By the mid-1990s, the crisis in public service broadcasting in Sweden had passed and a new stability had emerged. In this situation, the two non-commercial television channels share the airwaves-and the public-chiefly with the new commercial terrestrial channel, TV4. This channel manifests a form of "popular public service." Yet the new stability is being challenged by social and cultural developments in Sweden, especially various forms of social fragmentation. The main argument is that a key role of public service broadcasting must be to enhance the democratic character of society. This can best be achieved by promoting what is called a civic culture, and the text discusses what this entails. The discussion concludes with some reflections on the emergence of digital television and how it could best further the public service project. Résumé: Au milieu des années 90, la crise dans la radiodiffusion de service public en Suède prend fin et une nouvelle stabilité s'instaure. À ce moment-là, les deux chaînes de télévision non-commerciales partagent les ondes-et le public-principalement avec TV4, une nouvelle chaîne terrestre commerciale. Cette dernière offre une forme de «service public populaire». Aujourd'hui, cependant, certains développements sociaux et culturels, surtout sous diverses formes de fragmentation sociale, sont en train de bouleverser cette nouvelle stabilité. L'idée principale est qu'un rôle clé de la radiodiffusion de service publique doit être de mettre en valeur la nature démocratique de la société. La meilleure façon d'accomplir cet objectif est de promouvoir ce qui s'appelle une culture civique, et l'article discute de ce qu'une telle culture comporterait. La discussion prend fin avec certaines observations sur l'émergence de la télévision digitale et la manière dont celle-ci peut faire avancer le projet de service au public.
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Ndam, Salifou. "La laïcité au Cameroun : pratiques religieuses et rapport(s) au travail dans les services publics." La laïcité : problématiques et pratiques dans l’espace francophone. Volume 2, no. 9 (June 3, 2021). http://dx.doi.org/10.35562/rif.1290.

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Abstract:
L’État camerounais prône la laïcité. Pourtant, plus de 50 ans après l’indépendance officielle du pays, la question de la laïcité demeure assez complexe et ambiguë en termes d’appropriation publique et de diverses interprétations. En effet, le religieux se manifeste sans limite, et à des échelles variées et différenciées, dans les multiples sphères de la vie quotidienne. Dans les services publics par exemple, il se matérialise par l’omniprésence d’objets et lieux de culte sur les espaces de travail et dans les interactions professionnelles entre agents et usagers. Bien qu’étant officiellement déviante, cette pratique résulte du besoin réel des agents publics d’emporter leurs religions dans leurs lieux de travail, au nom de la laïcité et de la liberté de culte. Du fait de l’apparente confusion entre laïcité et liberté de culte, la religion se positionne dans les services publics non seulement comme un élément de marquage social, mais aussi comme un outil de revendication identitaire, de mobilisation religieuse et un guide des conduites des agents et usagers. Cette reconfiguration des rapports sociaux des agents publics entre eux et des agents publics avec des usagers remet en question l’une des exigences cardinales du service public, au sens administratif du terme. Par conséquent, le présent article s’appuie sur les données issues des observations directes à Yaoundé, la capitale du pays, et des entretiens semi-directifs avec les usagers et agents publics de cinq ministères, pour analyser les rapports des individus à la laïcité. Il en ressort que la prépondérance des faits religieux dans les services publics participe d’une remise en question de la déontologie administrative et professionnelle des agents publics, et des considérations diverses de la notion de laïcité par la société camerounaise en général. Bien que ces dernières soient contradictoires, leur multiplicité et ses conséquences constituent une preuve de la cohabitation religieuse, de conciliation et de partage des subjectivités au travail, et en même temps une entorse au rendement et à l’efficacité des agents publics au Cameroun.
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Wright, Eden Hamilton, Julia Woodhall-Melnik, Sarah Hamilton-Wright, Sara JT Guilcher, Aklilu Wendaferew, Andrée Schuler, and Flora I. Matheson. "Reflections on Poverty, Homelessness and Problem Gambling: Discoveries from a World Cafe." Journal of Gambling Issues 42 (June 20, 2019). http://dx.doi.org/10.4309/jgi.2019.42.4.

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Abstract:
Problem gambling is a hidden public health concern, especially among people who experience poverty and homelessness, with combined prevalence of lifetime problem and pathological gambling ranging from 29.8 to 58.2% based on studies from North America. Service providers in the non-addiction sectors (e.g., housing and primary health care) have not traditionally screened their clients for problem gambling behaviours or concerns. In an effort to build multi-sector awareness and stimulate discussion about problem gambling, poverty, and homelessness, we invited practitioners from the social, health and human services community and people with lived experience to join a knowledge translation and mobilisation event using the World Café method. The purpose of this paper is to summarize the knowledge generated about problem gambling, poverty, and homelessness, from the perspectives of the World Café participants. We identified themes that align with quality of care espoused by the World Health Organization, Health Quality Ontario, and the Organisation for Economic Co-operation and Development. These include delivering care that is highly accessible to clients experiencing poverty in a one-stop-shop that is timely, and efficient; patient-centred and equitable with respect to gender and sexual orientation; culturally sensitive; trauma-informed; that provides a therapeutic alliance and a safe space to enhance well-being. Participants identified the need for a plain language, accessible definition of problem gambling and the need to create awareness of the harm associated with problem gambling in targeted messages that engage clients, policy makers and the general public.RésuméLe jeu problématique est un problème de santé publique caché, en particulier chez les personnes en situation de pauvreté et d'itinérance, avec une prévalence combinée du jeu problématique et du jeu pathologique au cours de la vie allant de 29,8 à 58,2%, selon des études réalisées en Amérique du Nord. Les fournisseurs de services dans les secteurs non liés à la toxicomanie (p. ex., le logement et les soins de santé primaires) n’ont pas toujours soumis leurs clients à un dépistage de comportements ou de problèmes liés au jeu. Dans le but de sensibiliser les différents secteurs et de stimuler la discussion sur la dépendance au jeu, la pauvreté et l’itinérance, nous avons invité des praticiens de la communauté des services sociaux, de la santé et communautaires et des personnes ayant une vécue cette expérience à se joindre à un événement d’application des connaissances et de mobilisation, en nous fondant sur la méthode « World Café ». Le but de cet article est de résumer les connaissances générées sur le jeu problématique, la pauvreté et l’itinérance, du point de vue des participants au World Café. Nous avons relevé des thèmes correspondant à la qualité des soins préconisés par l’Organisation mondiale de la santé, Qualité des services de santé Ontario et l’Organisation de coopération et de développement économiques. Ces thèmes incluent la fourniture de soins 1) grandement accessibles pour les clients en situation de pauvreté, dans un guichet unique rapide et efficace 2) centrés sur le patient et équitables en ce qui concerne le genre et l’orientation sexuelle; 3) adaptés à la culture; 4) sensibles aux traumatismes; 5) offerts en alliance thérapeutique et 6) prodigués dans un espace sécuritaire pour améliorer le bien-être. Les participants ont relevé la nécessité de formuler une définition de la dépendance au jeu en termes simples et accessibles, ainsi que la nécessité de sensibiliser le public au préjudice associé au jeu problématique dans des messages ciblés qui engagent les clients, les décideurs et le grand public.
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Escámez Sánchez, Juan, Rafaela García López, and Cruz Pérez Pérez. "La educación moral ante el reto de la pobreza." Teoría de la Educación. Revista Interuniversitaria 15 (November 13, 2009). http://dx.doi.org/10.14201/3039.

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Abstract:
RESUMEN: El artículo trata de la pobreza en el mundo, especialmente de la pobreza severa, y el reto que presenta a la educación moral. En la actualidad, el problema de la pobreza es abordado en el contexto del desarrollo humano; así se hace en el artículo, pero manteniendo la pobreza como centro de análisis y propuestas pedagógicas. Se parte de la situación de la pobreza al año 2003, de la Declaración del Milenio de las Naciones Unidas del año 2000, consensuada por 189 jefes de Estado o Gobierno, para erradicar la pobreza severa. Se hace una valoración ética de tales acontecimientos y se exponen los compromisos que ha de asumir la educación moral ante ellos. Se expone el papel central de las prácticas morales en la transformación moral de la vida pública, en los asuntos referentes a la pobreza, y la formación de la personalidad moral de los estudiantes. Por último, atendiendo al Informe del PNUD, 2003, Los Objetivos de Desarrollo del Milenio: un pacto entre naciones para eliminar la pobreza, se hacen cinco propuestas de prácticas morales para que los estudiantes adquieran competencias referidas a la erradicación de la lacra moral y política de la pobreza. Tales propuestas pedagógicas están referidas: al desarrollo sostenible, la cooperación internacional, el consumo justo y responsable, la participación en movimientos de servicio voluntario a la sociedad y la participación política.ABSTRACT: The article is about the world poverty, specially referred to extreme poverty, and the challenge that it represents to moral education. It treats the problem of poverty in the context of human development, but keeping the poverty as centre of analysis and pedagogical proposals. The article starts from the situation of poverty in 2003, the United Nations Millennium Declaration in 2000, resolved by 189 heads of State or government, in order to eradicate the extreme poverty. It makes an ethical valuation of these situations and sets out the commitments that moral education should assume. It shows the importance of moral practices to transform moral public life, in events referred to poverty, and the education of the student's moral personality. Finally, paying attention to the PNUD Report, 2003, Millennium Development Goals: a compact among nations to end human poverty, the article exposes five proposals on moral practice with the aim of developing students aptitudes in relation to the eradication of the moral and political blot of poverty. That pedagogical proposals are referred to the sustainable development, the international cooperation, the responsible and just consume, the participation on voluntary services to the society and the political participation.SOMMAIRE: L'article traite de la pauvreté dans le monde, particulièrement de la pauvreté sévère, et le défi qui presente cette situation a l'éducation morale. Actuellement, le problème de la pauvreté est abordé dans le contexte du développement humaine; c'est le même sens de notre article mais en tenant compte de la pauvreté comme centre d'analyse et des propositions pédagogiques. Le point de départ est la situation de la pauvreté à l'année 2003, de la Déclaration du Milennium des Nations Unies de l'année 2000, auxquelles sont arrivés les 189 chefs d'État ou Gouvernement, pour erradiquer la pauvreté sévère. On fait una estimation éthique de telles événements y on expose les engagements que l'éducation morale devrai assumer devant eux. On expose aussi le roi central des pratiques morales dans le changement morale de la vie publique, dans les affaires qui se rattache a la pauvreté, et la formation de la personalité morale des étudiants. Finallement, en tenant compte du PNUD 2003, Les objetifs du développement humaine du Millenium: un pacte entre les nations pour erradiquer la pauvreté, se font cinq propositions des pratiques morales pour que les étudiants puissent les adquérir referees à l'érradication du fléau social et politique de la pauvreté. Telles sont les propositions pédagogiques: le développement soutenable, la coopération international, la consommation juste et responsable, la participation dans des mouvements de service volontaire à la société et la participation politique.
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Olivier de sardan, Jean-pierre. "Développement." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.006.

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Abstract:
"Ensemble des processus sociaux induits par des opérations volontaristes de transformation d’un milieu social, entreprises par le biais d’institutions ou d’acteurs extérieurs à ce milieu mais cherchant à mobiliser ce milieu, et reposant sur une tentative de greffe de ressources et/ou techniques et/ou savoirs" (Olivier de Sardan 1995). Cette définition non normative a souvent servi de base à l'anthropologie de développement, qui entend mener des recherches de terrain rigoureuses sur les multiples interactions entre les "développeurs" (acteurs appartenant aux différents niveaux de la "configuration développementaliste") et les "développés" (acteurs appartenant aux divers groupes sociaux locaux). L'anthropologie du développement est concernée autant par les institutions et professionnels du développement que par les populations sujettes aux interventions, elle est donc « symétrique », et met en évidence diverses opération de « traduction » ou de négociation informelles entre tous les acteurs et institutions concernées (Mosse 2005), parfois par l’intermédiaire de « courtiers en développement » (Bierschenk, Chauveau et Olivier de Sardan 2000).Cette discipline privilégie une approche non normative, alors que les écrits sur le développement sont saturés de jugements de valeur selon lesquels le développement serait un « bien » ou un « mal ». Elle s’intéresse à la confrontation et à l’imbrication de logiques sociales multiples au sein de groupes hétérogènes alors que l’ethnologie classique, de moins en moins pratiquée il est vrai, se concentre plutôt sur des communautés homogènes et traditionnelles. L’anthropologie du développement est résolument empirique et tend à produire des connaissances de type « fondamental » (elle n’est pas une « anthropologie appliquée » au service des agences de développement, encore moins une forme de consultance), mais elle s’engage dans un dialogue sans complexe avec les parties prenantes et les décideurs quels qu’ils soient qui sont intéressés par ses résultats et par la promotion de réformes visant à améliorer la qualité des biens et services publics ou collectifs délivrés aux populations. Le développement apparaît, dans une telle perspective, comme un ensemble particulier de politiques publiques, conçues et financées de l’extérieur, mais mises en œuvre avec le concours d’acteurs internes. Les écarts entre les projets de développement tels qu’ils figurent sur le papier et tels qu’ils se déroulent sur le terrain (que met en évidence l’anthropologie du développement) rappellent donc les écarts que toute politique publique connait entre sa conception et sa mise en œuvre (implementation gap), du fait de la confrontation des logiques et des stratégies multiples des diverses parties prenantes (ou « groupes stratégiques »). Ces écarts sont particulièrement importants dans le cas des programmes de développement, dans la mesure où ceux-ci exportent le plus souvent à travers le monde des « modèles voyageurs » fondés sur des « mécanismes-miracles », qui sont en décalages avec les contextes locaux. Les normes standardisées imposées par les institutions de développement ne correspondent guère aux normes locales (normes sociales des populations ou normes pratiques des agents publics) (De Herdt et Olivier de Sardan 2015) et sont de ce fait rarement perçues comme légitimes. Elles sont donc largement contournées ou détournées. Les méthodes qualitatives de l’anthropologie du développement, prenant en compte le « point de vue de l’acteur » (Long 2001) et les interactions sociales sont particulièrement adaptées à la description et à l’analyse de ces processus.Le développement peut aussi être considéré comme une forme spécifique de « rente », certes plus décentralisée que la rente pétrolière mais ayant certains effets identiques : stratégies de captation, clientélisme, corruption, déficit d’initiatives locales. Mais les institutions de développement peuvent aussi offrir des fenêtres d’opportunités à des réformateurs locaux. Ces usages locaux, souvent inattendus, des financements de l’aide, que ce soit au profit de stratégies opportunistes ou de projets innovants, est un des domaines investigués par l’anthropologie du développement.Mais il est de plus en plus difficile de distinguer ce qui relève des institutions de développement et ce qui relève des États « sous régime d’aide » (Lavigne Delville 2016). De fait l’anthropologie du développement s’insère désormais dans une anthropologie plus vaste des actions publiques, des gouvernances (Blundo et Le Meur 2009) ou des ingéniéries sociales (Bierschenk 2014) dans les pays du Sud, quelles que soient les institutions qui les effectuent : États, agences de développement, institutions internationales, ONG, associations laïques ou religieuses, collectivités locales.
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Uhl, Magali. "Images." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.126.

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Image matérielle ou image mentale, émanation du geste humain ou production de l’esprit, artefact ou souvenir, l’image recouvre une multiplicité de formes et de significations qui vont des rêves aux dessins d’enfants, des ombres projetées aux peintures célébrées, des traces mnésiques aux images numériques. Tout autant confrontée à cette tension entre matérialité et virtualité, la connaissance anthropologique sur les images, comme les nombreux domaines du savoir qui lui sont associés (sociologie, sémiologie et études médiatiques, principalement) ont proposé des manières distinctes d’aborder les images, abandonnant toutefois aux sciences de l’esprit (psychanalyse et sciences cognitives) la dimension imaginative. Ainsi, deux voies se sont historiquement tracées pour intégrer les apports de la représentation imagée et se partagent, aujourd’hui encore, le domaine de l’anthropologie des images. D’un côté, l’image comme support au discours permet de questionner le potentiel culturel, politique et idéologique de l’image que les chercheurs vont déceler dans des corpus de représentations (publicités, images de la presse, cartes postales, selfies, snapshots et autres illustrations culturelles); de l’autre, l’image comme instrument de recherche dans laquelle la production visuelle des chercheurs (captations photographiques ou filmiques, tableaux, croquis, dessins et plans) est une manière d’accéder à leur terrain d’étude avec parfois pour ambition de proposer une visualisation de leurs résultats de recherche. Pour le dire avec Douglas Harper (1988), l’image peut aussi bien être un objet d’étude sur lequel on porte le regard qu’un instrument de recherche qui conduit ce regard. Si l’anthropologie s’est saisie dès le début du 20e siècle du potentiel expressif et cognitif de l’image avec les travaux photographiques de Margaret Mead et de Gregory Bateson sur les usages sociaux du corps dans la culture Balinaise (1942), et ceux, filmiques, de Robert Flaherty à travers son documentaire sur la population inuite de l’Arctique (1922), c’est l’iconologue et anthropologue Aby Warburg qui, à la même époque, a le plus insisté sur la complémentarité de ces deux formes d’images (matérielles et mentales) comme de ces deux postures de recherche (sur les images et avec les images). En effet, son projet d’un Atlas (2012) – composé de milliers de photographies et baptisé du nom de la déesse grecque de la mémoire, Mnemosyne – avait pour ambition de retracer, par la collecte et l’assemblage d’images, des invariants anthropologiques qui traverseraient les époques et les continents (de la Grèce antique à la Renaissance florentine; des Bacchantes romaines au peuple Hopi d’Arizona), et dont la mise en correspondance permettrait, par-delà les discours, une lecture visuelle de l’histoire culturelle. Dans cette méthode d’interprétation iconologique, les représentations matérielles et l’imagination sont intimement liées dans le processus de connaissance anthropologique : les images sont tout à la fois la source du savoir et son véhicule. Le terme de « formules de pathos » que Warburg propose, exprime, dès lors, le caractère idéal-typique du motif imaginaire qui se répète de représentation en représentation à travers les époques, les espaces et les cultures. La proposition qui, par ailleurs, est faite de mettre le détail au cœur de la démarche de recherche, en insistant sur l’attention aux motifs discrets mais persistants – comme la forme d’un drapé ou le tracé d’un éclair – retrouvera plus tard l’un des impératifs de l’anthropologie interprétative formulée par Geertz et l’effort ténu de description que sa mise en pratique exige (1973). Elle rejoindra également celui de l’anthropologie modale (Laplantine 2013) qui milite pour un mode mineur de la connaissance, à l’image des lucioles qui ne brillent la nuit que pour celles et ceux dont l’acuité sensible est mise au service de cette contemplation. Malgré sa radicalité, le parti pris de considérer les images comme la trame à partir de laquelle l’anthropologie se constitue comme savoir a ceci de fascinant qu’il inspire nombre de recherches actuelles. En effet, dans une société saturée par le visuel et dans laquelle les écrans forgent en partie le rapport au monde, cette voie originale trouve aujourd’hui un écho singulier dans plusieurs travaux d’envergure. Georges Didi-Huberman (2011 : 20) reprend, à son compte, le défi warburgien, autrement dit « le pari que les images, assemblées d’une certaine façon, nous offriraient la possibilité – ou, mieux, la ressource inépuisable – d’une relecture du monde ». De son côté, Hans Belting (2004 : 18) insiste sur le fait que « nous vivons avec des images et nous comprenons le monde en images. Ce rapport vivant à l’image se poursuit en quelque sorte dans la production extérieure et concrète d’images qui s’effectue dans l’espace social et qui agit, à l’égard des représentations mentales, à la fois comme question et réponse ». On le voit, l’héritage de l’iconologie a bel et bien traversé le 20e siècle pour s’ancrer dans le contemporain et ses nouveaux thèmes transversaux de prédilection. Les thèmes de l’expérience et de l’agentivité des images sont de ceux qui redéfinissent les contours de la réflexion sur le sujet en lui permettant de nuancer certains des épistémès qui lui ont préexisté. Désamorçant ainsi le partage épistémologique d’un savoir sur les images, qui témoignerait des représentations véhiculées par les artefacts visuels, et d’un savoir avec les images, qui les concevrait comme partenaires de recherche, on parle désormais de plus en plus d’agir des images aussi bien du côté de l’interprétation culturelle que l’on peut en faire, que du travail des chercheurs qui les captent et les mettent en récit. Par ailleurs, le fait que l’image est « le reflet et l’expression de son expérience et de sa pratique dans une culture donnée [et qu’à] ce titre, discourir sur les images n’est qu’une autre façon de jeter un regard sur les images qu’on a déjà intériorisées (Belting 2004 : 74) », relativise également cet autre partage historique entre image intérieure (mentale) et image extérieure (représentationnelle), image individuelle (idiosyncrasique) et image publique (collective) qui s’enracine dans une généalogie intellectuelle occidentale, non pas universelle, mais construite et située. L’agir des images est alors tout aussi bien l’expression de leur force auratique, autrement dit de leur capacité à présenter une réalité sensible, à faire percevoir une situation sociale, un prisme culturel ou un vécu singulier, mais aussi, celle de leur agentivité comme artefact dans l’espace public. Dans le premier ordre d’idées, l’historienne et artiste Safia Belmenouar, en collectant et en assemblant des centaines de cartes postales coloniales, qui étaient le support médiatique vernaculaire en vogue de 1900 à 1930, montre, à travers un livre (2007) et une exposition (2014), comment les stéréotypes féminins réduisant les femmes des pays colonisés en attributs exotiques de leur culture se construisent socialement, tout en questionnant le regard que l’on porte aujourd’hui sur ces images de femmes anonymes dénudées répondant au statut « d’indigène ». La performance de l’image est ici celle du dessillement que sa seule présentation, en nombre et ordonnée, induit. Dans le deuxième ordre d’idées, l’ethnologue Cécile Boëx (2013) n’hésite pas, dans ses contributions sur la révolte syrienne, à montrer de quelle manière les personnes en lutte contre le pouvoir se servent des représentations visuelles comme support de leur cause en s’appropriant et en utilisant les nouvelles technologies de l’image et l’espace virtuel d’Internet. Les images sont ici entendues comme les actrices des conflits auxquels elles prennent part. L’expérience des images, comme le montre Belting (2004) ou Laplantine (2013), est donc aussi celle dont nous faisons l’épreuve en tant que corps. Cette plongée somatique est, par exemple, au cœur du film expérimental Leviathan (2012), réalisé par les anthropologues Lucien Castaing-Taylor et Véréna Paravel. Partant des images d’une douzaine de caméras GoPro fixées sur le corps de marins de haute mer partis pêcher au large des côtes américaines de Cape Cod, le documentaire immersif fait vivre l’âpre expérience de ce métier ancestral. À l’ère des pratiques photographiques et filmiques amateures (selfies, captations filmiques et montages par téléphones cellulaires) et de l’explosion des environnements numériques de partage (Instagram, Snapchat) et de stockage des données (big data), le potentiel immersif de l’image passe désormais par des pratiques réinventées du quotidien où captation et diffusion sont devenues affaire de tous les corps, indépendamment de leur position dans le champ social et culturel. Critiquées pour leur ambiguïté, leur capacité de falsification et de manipulation, les images ont aussi ce potentiel de remise en cause des normes hégémoniques de genre, de classe et d’ethnicité. Prises, partagées et diffusées de manière de plus en plus massive, elles invitent à l’activité critique afin de concevoir la visualité dans la diversité de ses formes et de ses enjeux contemporains (Mirzoeff 2016). Si aujourd’hui, dans un monde traversé de part en part par les images, l’anthropologie de l’image est un domaine de recherche à part entière dont l’attention plus vive à l’expérience sensible et sensorielle qui la singularise est le prérequis (Uhl 2015), l’iconologie comme méthode anthropologique spécifique répondant aux nouveaux terrains et aux nouvelles altérités a encore du chemin à parcourir et des concepts à inventer afin de ne pas s’enfermer dans le registre instrumental auquel elle est trop souvent réduite. Pour penser l’image dans le contexte actuel de sa prolifération et de la potentielle désorientation qu’elle induit, la tentative d’une iconologie radicale, telle qu’initiée par Warburg, demeure d’une évidente actualité. <
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Vinck, Dominique. "Science(s)." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.025.

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Abstract:
Les sciences désignent à la fois une série d'activités productrices de connaissances, plus ou moins différenciées d'autres activités sociales, et le résultat de ces activités (descriptions et énoncés de découvertes ou de lois décrivant ou prédisant des phénomènes, théories, méthodes de travail, savoir-faire incorporés, normes de comportement des scientifiques). Pour l'anthropologue, elles sont à la fois un objet de recherche et un cadrage (institutionnel, méthodologique et cognitif) de son travail, ce qui l'engage aussi dans une inévitable réflexivité. Du point de vue des sciences sociales, la science a été appréhendée (tradition mertonienne) comme une institution sociale distincte et exemplaire, dont la finalité est la production de connaissances rationnelles certifiées par les pairs. L'institution se caractérise par une structure normative qui régit le comportement des scientifiques telles que : universalisme, communalisme, désintéressement et scepticisme organisé. Les scientifiques qui agissent conformément à ces normes sont rationnels et humbles, capables de soumettre leurs productions à l’évaluation critique de leurs pairs, d’évaluer sans à priori le travail d’autrui et de s’auto-contrôler. Le respect de ces normes dépend de systèmes de communication (publication dans les revues scientifiques en particulier) et de gratification (nomination, distinction, obtention de fonds) dont l'analyse permet d'expliquer certains phénomènes de stratification au sein de la "communauté" scientifique. Cette approche a toutefois suscité de nombreux débats notamment quant à ce que représentent vraiment ces normes. Des contre-normes (p.ex. « garder le secret ») seraient aussi explicatives des comportements des scientifiques que les normes identifiées par Merton. Par ailleurs, dans leurs discussions internes, les scientifiques mobilisent autant les normes que les contre-normes pour défendre leur position ou affaiblir celle d’un collègue. Et surtout, ces normes seraient de nature idéologique et politique, utilisées par les scientifiques pour légitimer l’autonomie des sciences vis-à-vis du reste de la société, en particulier dans un contexte de montée en puissance de régimes autoritaires menaçant les scientifiques dans différentes régions du monde, comme ce fut le cas au cours du XXe siècle. Dans ce contexte, Merton (1973) a traité l'institution scientifique comme un modèle de démocratie des esprits, à l’abri des influences politiques. Toutefois, mobilisées au profit du développement technico-économique et de l’action publique (parfois militaire), les sciences constituent des sources de pouvoir, notamment en faisant autorité. Les questions de l'orientation et de la mobilisation des sciences fait dès lors l'objet de débats politiques récurrents. Elles soulèvent des questions de légitimité dans la société (sciences au service du progrès, de l'industrie, du prestige des Nations, de l'exploitation de la nature vs de projets de libération ou de résolution des problèmes auxquels le monde est confronté) tandis que leur spécificité a fait l’objet de nombreux débats chez les philosophes. Dans les relations Nords-Suds, elle est parfois traitée comme un enjeu des relations entre pays hégémoniques et non-hégémoniques ou en terme de centre-périphérie. Plus généralement, sa légitimité est questionnée vis-à-vis d'autres savoirs, locaux et indigènes notamment. De même, la fragmentation interne des sciences (prolifération de sous-spécialisations) a conduit les Nations Unies (convention de Rio de 1992) à demander qu'un effort d'intégration soit accompli car les problèmes auxquels sont confrontées les sociétés ont besoin d'une approche globale et non émiettée. Les dynamiques internes des sciences ont également été analysées de diverses autres façons : comme système d’échange de dons (Hagstrom 1965), comme système d’échange capitaliste et de lutte compétitive pour l’accumulation d’un capital symbolique (Bourdieu 1976), comme système politique où chacun tend à développer son domaine en gagnant de la crédibilité, convertible en ressources permettant de poursuivre (Latour, Woolgar 1988). Les relations entre scientifiques, voir aussi avec des non-scientifiques (industriels, médias, gouvernements, mouvements citoyens, communautés paysannes, etc.), constituent des réseaux sociaux dont les caractéristiques (taille, homogénéité / hétérogénéité, structure) expliquent les sciences en tant que phénomène social plus ou moins articulé à d'autres activités des sociétés. Depuis les années 1970, des chercheurs en sciences sociales (anthropologie, sociologie, histoire) ont investi l’étude des sciences en s’inspirant notamment des travaux de l’historien Kuhn (1957) (paradigme) et de l'anthropologie avec pour prétention de rendre compte des contenus (Sociology of Scientific Knowledge, SSK) et des pratiques scientifiques. Les sciences apparurent alors sous un nouveau jour. Les sciences sociales ne se cantonnent dès lors plus à l’examen des conditions sociales de possibilité de la science mais tentent d'expliquer aussi les productions scientifiques (données, théories, concepts) à partir de facteurs sociaux ou à partir des pratiques sociotechniques concrètes. Elles mettent en évidence la flexibilité interprétative des énoncés scientifiques (ni la nature, ni la méthode, ni la logique n’impose de vérité unique aux chercheurs) qui conduit à prendre en compte aussi d'autres facteurs explicatifs, notamment les rapports de forces, les mouvements de société, les traditions de pensée, les savoirs tacites, la nature du rapport au monde et à la nature, et les savoir-faire hérités. Du côté de la sociologie et de l'histoire, des auteurs vont rendre compte de l’action scientifique comme d'une rivalité entre scientifiques pour produire des énoncés de connaissances et les imposer aux autres. Ces scientifiques étant liés à des groupes sociaux, les intérêts de ces derniers orienteraient en partie le choix des objets de recherche, des approches et, par conséquent, les productions scientifiques. Les controverses entre chercheurs conduiraient ceux-ci à renforcer la robustesse de leurs affirmations et constitueraient ainsi un moteur des dynamiques scientifiques. Ces approches conduisent aussi à symétriser les analyses portant sur la constitution des savoirs scientifiques et celles portant sur les autres formes de savoirs, de systèmes de pensées ou de croyances. Des chercheurs britanniques (Bloor 1976 ; Collins 1985) prônent alors des principes de causalité, d'impartialité, de symétrie et de réflexivité dans l'étude des sciences. “Connaissances vraies” et “croyances fausses” devraient être expliquées par les mêmes registres de causalité (relations causales entre des variables sociologiques et contenus de connaissance, production négociée de connaissances consensuelles et clôture des controverses, analyse du discours). A la fin des années 1970, des chercheurs commencent à s’intéresser aux pratiques scientifiques concrètes. Ils observent les processus d’ajustement locaux et contingents et décodent les savoirs tacites incorporés dans les individus, instruments et formes d’organisation. Leurs études rendent compte de la production des faits, des données, des énoncés et des accords entre chercheurs, de l’articulation entre éléments hétérogènes, de la construction collective et négociée des publications. Adoptant des postures héritées de l'anthropologie, ils décrivent les processus de fabrication et de stabilisation des énoncés scientifiques en séjournant longuement au sein de laboratoires où se produisent des savoirs scientifiques. Ainsi, Latour, de retour d'une enquête en Afrique, débarque dans un laboratoire de biochimie réputé ; il cherche à y étudier “la pensée scientifique” en train de se faire et rend compte de l'importance des pratiques d'inscription. Il publie Laboratory Life. The Social Construction of Scientific Facts en 1979 (Latour, Woolgar, 1988). Knorr-Cetina (1981), en Allemagne, Lynch (1985), aux États-Unis, mobilisent l’ethnométhodologie et montrent les productions scientifiques comme des accomplissements pratiques situés. D’autres chercheurs héritiers de l’école pragmatique américaine et de l’interactionnisme symbolique de Chicago rendent aussi compte des productions scientifiques en rendant compte des perspectives des acteurs en présence. L’anthropologue Traweek (1988) étudie le monde des physiciens des particules, de même que d'autres le feront d'autres laboratoires (p.ex. Houdart 2013) ou de lieux de fabrication de connaissances technologiques (Downey 1998 ; Vinck 1999). Soucieux de rendre compte de l'intrication des sciences dans la société, notamment via les processus d'innovation, des chercheurs (Callon 1986 ; Latour 1989) conçoivent une approche (théorie de l’acteur-réseau, analyse des processus de traduction et de construction de réseaux sociotechniques) devant permettre de rendre compte des sciences et techniques en évitant les dichotomies héritées (nature/culture, sujet/objet, notamment). Ils ouvrent ainsi la réflexion sur une nouvelle anthropologie des connaissances.
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