Academic literature on the topic 'Seuils nociceptifs'

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Journal articles on the topic "Seuils nociceptifs"

1

Slaoui, T., A. Mas-Gerdelat, F. Ory-Magne, O. Rascol, and C. Brefel-Courbon. "La lévodopa modifie les seuils nociceptifs chez le patient parkinsonien." Revue Neurologique 163, no. 1 (2007): 66–71. http://dx.doi.org/10.1016/s0035-3787(07)90356-2.

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2

Cherpi, M., A. Delage, T. Paul, and M. Renard. "Nociception in the Skin: nociceptors are no longer the only actors." Douleur et Analgésie 32, no. 4 (2019): 217–20. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2020-0081.

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Abstract:
Les nocicepteurs à terminaisons libres ont longtemps été considérés comme les seuls senseurs nociceptifs dans la peau. Abdo et al. réévaluent le rôle des cellules de Schwann (CSs), cellules gliales de soutien du système nerveux périphérique, dans la perception de la douleur chez la souris. Après observation de la morphologie et de la localisation des CSs et des fibres nociceptives dans la peau, les chercheurs s’intéressent à leur relation fonctionnelle. Ils génèrent des souris exprimant des canaux ioniques photosensibles à la surface des CSs. Cela leur permet de les stimuler spécifiquement (par optogénétique) tout en mesurant la réponse électrique du nerf palmaire. En combinant l’excitation ou l’inhibition des CSs avec des tests comportementaux, ils mesurent la capacité des CSs à sensibiliser les souris à la douleur thermique et mécanique. Enfin, des CSs sont isolées pour évaluer leur capacité à répondre à un stimulus mécanique. Les observations par microscopie électronique et à fluorescence révèlent que les nocicepteurs se trouvent entourés par le cytoplasme des CSs dans le derme et accolés à ces dernières dans l’épiderme. Ce complexe glioneural se ramifie au niveau subépidermal. Les chercheurs décident ainsi d’appeler ces cellules gliales « cellules de Schwann nociceptives » (CSn). Leur stimulation par optogénétique révèle une augmentation de l’activité électrique des fibres nociceptives, des comportements « de douleur » chez la souris, et augmente la sensibilité des souris aux stimuli douloureux mécaniques et thermiques. L’inhibition via optogénétique des CSn diminue leur sensibilité aux stimuli mécaniques mais ne modifie pas leur sensibilité aux stimuli thermiques. L’enregistrement unicellulaire des CSn révèle qu’elles sont hautement sensibles aux stimuli mécaniques. Les auteurs de cette étude ont découvert un nouveau type de cellule de Schwann nociceptive jouant un rôle important dans la genèse et modulation de la nociception cutanée.
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3

El Bitar, N., and D. Le Bars. "Douleur et thermorégulation Les effets ambivalents de la morphine." Douleur et Analgésie 31, no. 1 (2018): 35–61. http://dx.doi.org/10.3166/dea-2018-0002.

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Abstract:
La queue et les pattes postérieures des rongeurs sont à la fois des organes cibles très utilisées pour effectuer des tests dans les modèles de douleur aiguë ou chronique et essentiels à leur thermorégulation. C’est ainsi que la queue et les pattes d’un rat placé dans des conditions de neutralité thermique sont l’objet de variations cycliques de vasomotricité. Administrée par voie intraveineuse, la morphine provoque, de façon dose-dépendante et naloxone-réversible, une vasoconstriction dont il résulte une hyperthermie. Les courbes dose-réponse sont abruptes dans la plage 0,5– 1 mg/kg. Le blocage fonctionnel de la région bulbaire rostroventrale par une micro-injection de muscimol bloque les vasoconstrictions, y compris celles évoquées par la morphine. Les neurones on et off enregistrés dans la région bulbaire rostroventrale sont activés et inhibés par des stimulus nociceptifs thermiques, respectivement. Ils sont aussi impliqués dans la régulation des variations de vasomotricité de la queue et des pattes. La morphine inhibe et active brutalement l’activité des neurones on et off, respectivement, tout en augmentant la latence du tail-flick (TFL), le test de nociception le plus communément utilisé en tant que modèle animal de douleur aiguë. En utilisant un modèle qui prend en compte la puissance de la source de chaleur radiante, la température de la peau initiale, la température corporelle et la distance de conduction du nerf périphérique, on peut conclure que l’augmentation du temps de réaction provoqué par la morphine est principalement liée à la vasoconstriction qu’elle déclenche. Cette conclusion a été vérifiée directement : lorsque la température de la queue est maintenue constante, on peut démontrer, avec un paradigme particulier qui permet d’analyser en termes psychophysiques le tailflick en réponse à des variations aléatoires de chaleur radiante nociceptive, que le seuil de la réaction et sa latence psychophysique sont faiblement augmentés (1,5 °C ; 40 ms) par 4 mg/kg de morphine. Lorsque la TFL est mesurée de façon conventionnelle, de tels effets sont marginaux par rapport aux effets indirects générés par la vasoconstriction. Bien que l’augmentation d’un temps de réaction à la chaleur (e.g. tail-flick, withdrawal ou hot-plate tests) soit généralement interprétée en termes d’analgésie, les données présentes mettent en doute la validité d’utiliser ces approches pour construire un index de douleur.
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4

Dupouy, Julia, Ory-Magne Fabienne, Jean Pellaprat, et al. "La duloxétine ne modifie pas le seuil nociceptif chez le Parkinsonien." Revue Neurologique 173 (March 2017): S134—S135. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2017.01.239.

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5

Dalmas, S., and P. Scherpereel. "Réflexe nociceptif de flexion. Principes et applications de la mesure du seuil." Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation 8, no. 3 (1989): 284–86. http://dx.doi.org/10.1016/s0750-7658(89)80121-2.

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6

Souza, Kelvin Borges Rocha de, Luciana Lyra Casais-e-Silva, and Marcio Cajazeira Aguiar. "O modelo de dor inflamatória induzida pela carragenina como estratégia para avaliar a ação de drogas sobre a dor miofascial." Revista de Ciências Médicas e Biológicas 19, no. 3 (2020): 507. http://dx.doi.org/10.9771/cmbio.v19i3.42460.

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Abstract:
<p>A dor miofascial orofacial vem sendo tratada com analgésicos, anti-inflamatórios, relaxantes musculares, fisioterapia, laserterapia e placas oclusais. Contudo, muitas vezes, tais condutas falham em amenizar o quadro doloroso, havendo a necessidade de testar outras estratégias de tratamento. <strong>Metodologia:</strong> Uma opção para avaliação experimental dessas terapias seria o teste de dor induzido pela carragenina, associado ao teste de avaliação do limiar nociceptivo, originalmente desenvolvido para avaliar a ação de drogas nas patas de roedores. Sendo assim, o presente estudo analisou a nocicepção causada pela carragenina em masseteres de ratos, através do teste de Von Frey, correlacionando-a com alterações teciduais produzidas por esta droga. A carragenina foi injetada no músculo masseter de ratos, enquanto o grupo controle recebeu soro fisiológico. O limiar nociceptivo foi mensurado com um analgesímetro digital antes da administração da carragenina e 5 horas, 1, 3 e 7 dias após o seu uso. Decorridos 8 dias da intervenção, os animais foram eutanasiados, sendo seus masseteres encaminhados para processamento histológico e coloração H&amp;E. <strong>Resultados</strong>: Observou-se uma diminuição do limiar da resposta nociceptiva em todos os períodos no grupo com carragenina, quando comparado com o grupo controle, havendo diferença significante nas 5 horas. A análise histológica do grupo experimental mostrou a presença de espaços perimisial e endomisial alargados e preenchidos por uma matriz com alguns linfócitos, muitos macrófagos e raros mastócitos. <strong>Conclusão</strong>: Os resultados indicaram que a associação de uma droga inflamatória com o método Von Frey pode ser uma opção para o estudo do efeito de terapias de dor miofascial.</p>
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7

Amestoy, A. "La douleur chez les personnes avec Trouble du Spectre de l’Autisme. État des lieux et perspectives." European Psychiatry 29, S3 (2014): 602. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2014.09.203.

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Abstract:
Longtemps ignorée, la douleur des personnes souffrant de pathologie mentale et troubles neuro-développementaux tels que les Troubles du Spectre de l’Autisme (TSA) est considérée comme l’une des plus difficiles à prendre en charge. La douleur non exprimée ne joue plus son rôle d’alerte à la menace vitale et contribue à l’augmentation de la mortalité liée à des pathologies somatiques dans ces populations dites vulnérables, notamment chez les adultes avec TSA [1,4], chez qui la prescription de psychotropes compliquent les mesures d’hétéro-évaluations classiques. Certaines études expérimentales ont montrés que ces groupes de patients présentent des particularités nociceptives avec des seuils à la nociception augmentés ou des réactions paradoxales, mais les résultats sont contradictoires [2]. Les causes de ces phénomènes sont mal comprises. Une atteinte des structures cérébrales impliquées dans l’intégration émotionnelle de la douleur (cortex préfrontal), une augmentation de l’activité opiacée, une dissociation paradoxale entre la réponse comportementale et les réactions neurovégétatives, des possibles anomalies des mécanismes excitateurs responsables de la sommation temporelle, ont contrebalancé les hypothèses plus psychopathologiques de troubles de l’expression de la douleur dans cette condition pathologiques développementales [1,3]. En effet, au-delà de l’atteinte des processus cognitifs, les troubles de la communication chez les personnes avec TSA sont à ce jour considérés comme la principale cible des interventions à mener dans les cadres psycho-éducatifs et thérapeutiques afin de mieux prévenir et dépister la douleur chez ces patients hautement vulnérables. Car si communiquer diminue la douleur, la douleur diminue, elle les capacités de communication déjà altérées dans ces troubles, d’où l’enjeu essentiel des stratégies d’aides à la communication ou communication augmentée, qui ne peuvent plus être considérées en 2014 comme un « si besoin… ».
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Pacheco Filho, E. F., F. M. B. Magalhães, A. V. Machado, and R. O. Costa. "Apitoxina e sua Atividade Anti-inflamatória e Anti-nociceptiva." ACTA Apicola Brasilica 2, no. 2 (2014): 11. http://dx.doi.org/10.18378/aab.v2i2.3737.

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Abstract:
<p>A apitoxina é o veneno utilizado pelas abelhas do gênero Apis para sua proteção e defesa contra inúmeros inimigos naturais. Sua composição é complexa e consiste em uma mistura de enzimas (Fosfalipase A2 e Hialorunidase) peptídeos (Melitina, Apamina e Peptídeo MCD), aminas (Histamina, Dopamina e Noradrenalina) carboidratos e lipídios, uma vez inoculada a apitoxina desencadeará uma série de reações biológicas na membrana, que variam de acordo com a diversidade bioquímica de seus constituintes. No cenário atual, a produção de apitoxina constitui uma atividade diferenciada dentro da apicultura, com grande potencial para o mercado farmacêutico, pela capacidade de se produzir inúmeros fármacos. Neste trabalho, daremos atenção especial à produção e coleta da apitoxina,abordando a sua composição química, propriedades farmacológicas e suas atividades terapêuticas, focadas na sua ação anti-inflamatória e anti-nociceptiva.</p><p><strong> </strong><strong>Apitoxin and its Anti-inflammatory activity and anti-nociceptive</strong></p><pre> </pre><p>The bee venom is the poison used by bees of the genus Apis for their protection and defense against numerous natural enemies. Its composition is complex and consists of a mixture of enzymes (Fosfalipase A2 and Hialorunidase) peptides (Melittin, Apamin, and Peptide MCD), amines (histamine, dopamine, and noradrenaline) carbohydrates and lipids once inoculated apitoxin to trigger a series of biological reactions on the membrane, which vary according to the biochemical diversity of its constituents. In the present scenario, the bee venom production is a different activity within the beekeeping, with great potential for the pharmaceutical market, the ability to produce numerous drugs. In this paper, we focus on the production and collection of bee venom by addressing its chemical composition, its pharmacological properties and therapeutic activities, focused on its anti-inflammatory action and anti-nociceptive.</p><p><strong> </strong></p>
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Pellaprat, J., E. Dellapina, D. Adel, et al. "Étude de corrélation entre la fixation du [123I]-FP-CIT et le seuil nociceptif dans la maladie de Parkinson." Revue Neurologique 170 (April 2014): A131. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2014.01.354.

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Pellaprat, Jean, Angelique Gerdelat-Mas, Marion Simonetta-Moreau, et al. "Effet de la stimulation magnétique transcrânienne répétitive (rTMS) haute fréquence, appliquée sur le cortex moteur primaire, sur le seuil de perception nociceptif chez le patient parkinsonien : étude physiopathologique." Revue Neurologique 168 (April 2012): A110—A111. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2012.01.282.

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Dissertations / Theses on the topic "Seuils nociceptifs"

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Dellapina, Estelle. "Étude physiopathologique de la douleur dans la maladie de Parkinson : approches pharmacologique, en neuroimagerie et évaluation des effets de la stimulation cérébrale profonde du noyau sous-thalamique." Toulouse 3, 2012. http://thesesups.ups-tlse.fr/1758/.

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Abstract:
Les douleurs sont un symptôme très fréquent dans la maladie de Parkinson et peuvent être de différents types. Dans ce travail, nous nous sommes intéressés aux douleurs neuropathiques centrales qui pourraient résulter d'une modification centrale du traitement de l'information douloureuse. En effet, des anomalies de perception douloureuse existent chez les patients parkinsoniens avec une hypersensibilité à la douleur et une hyperactivité des aires cérébrales de la nociception. Une des hypothèses avancées est que ces anomalies pourraient être liées au déficit dopaminergique caractéristique de la maladie de Parkinson. Nous avons testé cette hypothèse de l'implication du système dopaminergique dans les douleurs neuropathiques centrales en évaluant l'effet d'un agoniste dopaminergique sur la perception douloureuse d'une part et en testant la corrélation entre le déficit dopaminergique et la douleur d'autre part. Les résultats de ce premier volet montrent que ce système dopaminergique n'est vraisemblablement pas impliqué dans les anomalies de perception douloureuse et la survenue de douleurs neuropathiques centrales chez les patients. L'hypothèse alternative, à tester dans de futures études, est celle de l'implication d'autres systèmes monoaminergiques comme le système noradrénergique. Le second volet de cette thèse a permis de montrer que la stimulation cérébrale profonde du noyau sous-thalamique avait un effet sur l'intensité de la douleur, sur le seuil nociceptif et l'activité cérébrale liée à la douleur chez des patients souffrant de douleurs neuropathiques centrales. Elle pourrait donc se révéler être un traitement efficace pour ces douleurs de la maladie de Parkinson
One of the most disabling and frequent symptom of Parkinson's disease (PD) is pain. PD patients can suffer from different types of painful symptoms. In this work, we were interested in central neuropathic pain. Pathophysiological basis of this type of pain remains to clarify. A central modification of pain processing has been suggested in PD with a hypersensitivity to pain and abnormal activations of areas involved in pain processing in patients with PD. One hypothesis is that these abnormalities in pain perception could be related to central dopamine deficiency, one of the neuropathological hallmarks of Parkinson's disease. Indeed, basal ganglia have been shown to be involved in pain processing. This work evaluated the role of dopaminergic system in pain perception in two different ways: one evaluating the effect of a dopamine agonist on pain perception and the other testing the correlation between dopamine deficiency and clinical parameters of pain. Results showed that dopaminergic system is probably not involved in pain perception abnormalities and in the occurrence of central neuropathic pain in Parkinson's disease. Others monoaminergic systems, such as the noradrenergic system, could thus be involved and it would be interesting to test this hypothesis in future studies. The other part of our work showed that subthalamic deep brain stimulation had a significant effect on pain threshold, pain-induced activity in positron emission tomography and pain intensity in patients suffering from central neuropathic pain. Deep brain stimulation of this target could thus be an interesting treatment of pain in Parkinson's disease
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Robin, Olivier. "Contribution à l'étude de la douleur expérimentale chez l'homme." Lyon 1, 1995. http://www.theses.fr/1995LYO1DE02.

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Abstract:
La 4e de couverture indique : "Les travaux présentés dans cette thèse tentent d'apporter une contribution à certains aspects de la recherche sur la douleur chez l'Homme. Ils peuvent être regroupés en trois séries d'expériences : la première concerne l'étude des mécanismes physiologiques qui génèrent la douleur au niveau du récepteur pulpo-dentinaire. L'application de la technique d'électrophysiologie moléculaire (patch clamp) à des cellules issues de cultures de pulpes dentaires humaines nous a permis de mettre en évidence, sur certaines d'entre elles, des courants sodiques voltage­ dépendants TTX sensibles ; la deuxième s'intéresse à l'influence de l'anxiété sur la perception de la douleur objectivée par la mesure de trois seuils sensoriels (détection, douleur et tolérance) ; la troisième, enfin, évalue l'intérêt de nouveaux indices de quantification de l'activité du système nerveux autonome (SNA) pour mesurer la réponse à une stimulation douloureuse. La mise au point de nouveaux capteurs, associés à un système de traitement des si9naux original (Dr Dittmar), a permis de reconsidérer l'analyse des réponses végétatives grâce à l'enregistrement, en temps réel, de six paramètres SNA dont la quantification des variations s'est avérée pertinente pour refléter l'activation du SNA (Dr Vernet-Maury). Notre contribution personnelle à cette avancée méthodologique s'est manifestée à l'égard· de deux de ces paramètres :la résistance cutanée, par la définition et la validation d'un nouvel indice temporel (indice DPO) et le potentiel cutané avec l'étude des relations entre le signe des réponses, la charge émotionnelle du stimulus, l'anxiété basale du sujet et le niveau tonique du potentiel. En ce qui concerne la douleur, l'indice DPO permet une quantification aisée de la réponse à une stimulation nociceptive, dont il offre une véritable "image végétative". Grâce à lui, quatre modes de réponse à des stimulations d'intensité croissante ont été objectivées, expliquant ainsi l'absence de relation directe entre l'intensité du stimulus et l'activation du SNA. Les réponses en potentiel apportent des informations supplémentaires et différentes en raison de leur plus grande complexité de forme. Nous avons observé que 1eur motif semble être caractéristique du sujet et, qu'à niveau tonique de potentiel égal, une réponse négative reflèterait une charge émotionnelle plus forte qu'une réponse positive. "
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Honoré, Margaux. "L'effet hypoalgésique de la manipulation vertébrale The regional effect of spinal manipulation on the pressure pain threshold in asymptomatic subjects: a systematic literature review How big is the effect of spinal manipulation on the pressure pain threshold and for how long does it last? – secondary analysis of data from a systematic review Wedderkopp Chiropractic & Manual Therapies volume 27, Article number: 22 (2019) What is the effect of spinal manipulation on the pressure pain threshold in young, asymptomatic subjects? A randomized placebo-controlled trial, with a cross-over design." Thesis, université Paris-Saclay, 2020. http://www.theses.fr/2020UPASS131.

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Abstract:
La manipulation vertébrale est connue pour son effet clinique sur les douleurs musculo squelettiques. Or, ses mécanismes d’action sur la douleur sont encore peu connus. C’est pourquoi ce projet doctoral a cherché à déterminer l’existence d’un effet spécifique sur le seuil de la douleur à la pression, chez des sujets asymptomatiques, et s’il existe, d’en préciser sa taille et sa durée. Nos deux revues systématiques et critiques de la littérature ont mis en évidence la présence d’un effet régional spécifique de la manipulation vertébrale sur cette perception douloureuse dans la population asymptomatique, avec une taille de l’effet moyenne et de courte durée. Cependant, ces résultats sont en contradiction avec notre essai expérimental sur l’effet d’une manipulation vertébrale thoracique contrôlé par placébo dans cette population. Cette différence s’explique par la qualité de la manœuvre placébo, avec la vérification de l’aveuglement réussi durant l’expérimentation par un questionnaire. En conclusion, nos travaux n’ont pas réussi à reproduire un effet spécifique de la manipulation vertébrale sur le seuil de la perception douloureuse à la pression, suggérant que les mécanismes d’action de la manipulation sont similaires à ceux impliqués dans une manoeuvre placebo. Par conséquent, l’importance principale de ce travail est d’avoir montré l’importance de l’effet placebo et comment les résultats d’un essai peuvent dépendre de la manière dont l’intervention placébo est réalisée et évaluée
Spinal manipulation is known for its clinical effect on musculoskeletal pain. Or, its mechanisms of action on pain are still little known. This is why this doctoral project sought to determine the existence of a specific effect on the threshold of pressure pain, in asymptomatic subjects, and if it exists, to specify its size and its duration. Our two systematic and critical reviews of the literature have highlighted the presence of a specific regional effect of vertebral manipulation on this painful perception in the asymptomatic population, with a medium effect size and short duration. However, these results contradict our experimental trial on the effect of placebo-controlled thoracic spinal manipulation in this population. This difference can be explained by the quality of the placebo maneuver, with the verification of successful blindness during the experiment by a questionnaire. In conclusion, our work has not succeeded in reproducing a specific effect of vertebral manipulation on the threshold of pain perception at pressure, suggesting that the mechanisms of action of manipulation are similar to those in a placebo maneuver. Therefore, the main importance of the work is to have shown the importance of the placebo effect and commenting on the results of a trial may depend on the way the placebo intervention is performed and indicated
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Pinto, NatÃlia BitÃ. "AvaliaÃÃo da atividade neuroprotetora do extrato padronizado de Camellia sinensis e de seus princÃpios bioativos: envolvimento de aÃÃes anti-inflamatÃrias e antioxidantes." Universidade Federal do CearÃ, 2015. http://www.teses.ufc.br/tde_busca/arquivo.php?codArquivo=15024.

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Abstract:
CoordenaÃÃo de AperfeiÃoamento de Pessoal de NÃvel Superior
A doenÃa de Parkinson (DP) à uma desordem neurodegenerativa caracterizada pela destruiÃÃo dos neurÃnios nigroestriatais dopaminÃrgicos. O tratamento atual à apenas sintomÃtico e, atà o presente momento, nÃo existem drogas capazes de inibir a degeneraÃÃo neuronal. Assim à grande a procura por agentes neuroprotetores que possam impedir ou retardar a progressÃo desta doenÃa. A Camellia sinensis à uma espÃcie da famÃlia Theaceae, popularmente conhecida como chÃ-verde (CV). VÃrios estudos tÃm demonstrado os efeitos benÃficos desta planta e de seus princÃpios bioativos contra doenÃas neurodegenerativas. O objetivo deste trabalho foi avaliar o efeito neuroprotetor do extrato padronizado do chÃ-verde e de suas catequinas, epicatequina (EC) e epigalocatequina 3-galato (EGCG), no modelo de DP induzida por 6-OHDA em ratos, bem como estudar o efeito do CV em modelos de inflamaÃÃo e nocicepÃÃo. Os animais (ratos Wistar machos, 180-250 g) foram tratados por via oral com CV (25 ou 50 mg/kg), catequinas (EC ou EGCG, na dose de 10 mg/kg), a associaÃÃo de CV (25 mg/kg) + L-DOPA (25 mg/kg) e com L-DOPA sozinha (nas doses de 25 ou 50 mg/kg) durante 14 dias consecutivos; os tratamentos foram iniciados 1h antes da lesÃo estriatal unilateral por 6-OHDA (24 Âg/2ÂL). Nos testes comportamentais, os resultados mostraram que houve um aumento significativo do nÃmero de rotaÃÃes induzidas por apomorfina, diminuiÃÃo da atividade locomotora no teste do campo aberto, aumento do tempo de imobilidade no teste no nado forÃado, aumento do tempo de encontro da plataforma no teste do labirinto aquÃtico e aumento do nÃmero de quedas no teste do rota rod nos animais lesionados com 6-OHDA, em comparaÃÃo com os animais falso-operados. Essas modificaÃÃes foram, em parte ou totalmente, revertidas apÃs os tratamentos com CV, CV + L-DOPA, EC, EGCG e L-DOPA sozinha. A 6-OHDA provocou morte neuronal, evidenciada pela reduÃÃo dos nÃveis de dopamina e metabolitos (DOPAC e HVA) no estriado direito lesionado quando comparado com o estriado esquerdo nÃo-lesionado (contralateral). Essa depleÃÃo foi significativamente atenuada nos animais lesionados e tratados com CV, L-DOPA, EC, EGCG e associaÃÃo CV 25 + L-DOPA 25; estas mesmas drogas diminuÃram os nÃveis de TBARS (indicador de peroxidaÃÃo lipÃdica) e nitrito/nitrato (indicador de estresse oxidativo) no estriado de ratos submetidos a lesÃo estriatal por 6-OHDA. Experimentos in vitro demonstraram que o CV (0,1-100 Âg/Âl) apresentou um forte efeito antioxidante, ao reduzir a produÃÃo de substÃncias oxidantes em neutrÃfilos humanos estimulados por PMA. Na coloraÃÃo de Nissl, observou-se que nos animais lesionados e tratados com CV, EGCG e CV + L-DOPA houve uma preservaÃÃo dos neurÃnios hipocampais. Os tratamentos com CV e CV+L-DOPA aumentaram a imunorreatividade para TH e diminuÃram a imunomarcaÃÃo para COX-2 no estriado, bem como o CV e EGCG atenuaram a marcaÃÃo para iNOS no hipocampo dos animais tratados, em relaÃÃo ao grupo controle. Observou-se que o CV potencializou os efeitos da L-DOPA, evidenciando um possÃvel efeito sinÃrgico entre essas drogas. Em outra etapa do estudo, avaliou-se a atividade anti-inflamatÃria/antinociceptiva do CV. Assim, no modelo de edema de pata, induzido por carragenina ou dextrano, verificou-se uma diminuiÃÃo do volume do edema da pata dos ratos, apÃs tratamento com CV, em relaÃÃo aos do grupo controle (tratado apenas com Ãgua destilada). O CV produziu efeito antinociceptivo, nos testes da formalina e das contorÃÃes abdominais, induzidas por Ãcido acÃtico, como tambÃm nos testes da placa quente e de Hargreaves, possivelmente atravÃs da ativaÃÃo de receptores opioides e da reduÃÃo do processo inflamatÃrio. Nestes testes de nocicepÃÃo e inflamaÃÃo, o CV potencializou os efeitos da morfina, indometacina e dexametasona. Portanto, nossos resultados evidenciaram os efeitos neuroprotetores do CV e de seus princÃpios bioativos, EC e EGCG, possivelmente decorrentes de suas propriedades anti-inflamatÃrias e antioxidantes, tornando-as opÃÃes terapÃuticas futuras para a prevenÃÃo ou tratamento de doenÃas neurodegenerativas, como a doenÃa de Parkinson.
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Urien, Louise. "L' ablation des neurones GINIP+ révèle un rôle critique des mécanorécepteurs à bas seuil de type C dans la modulation des douleurs chimiques et mécaniques." Thesis, Aix-Marseille, 2015. http://www.theses.fr/2015AIXM4030/document.

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Abstract:
Chez les vertébrés, la douleur est perçue par des neurones spécialisés, les nocicepteurs, dont le corps cellulaire est localisé dans les ganglions de la racine dorsale (DRG) et qui présentent une grande hétérogénéité. Nous cherchons donc à identifier de nouveaux marqueurs des sous populations de nocicepteurs afin de pouvoir comprendre cette diversité et d’attribuer des fonctions physiologiques précises à ces différentes sous-populations neuronales. Nous avons identifié le gène GINIP, spécifiquement exprimé dans une sous populations de nocicepteurs non peptidergiques et définissant deux classes particulières de neurones : les neurones MRGPRD+ et les C-Low Threshold MecanoReceptors (C-LTMRs). Durant ma thèse, j’ai cherché à savoir quelles modalités sensorielles sont détectées et transmises par la population GINIP+. Pour cela, j’ai tiré avantage d’un modèle murin ginip généré au laboratoire, permettant d’éliminer spécifiquement les neurones GINIP+ au sein des neurones du DRG. J’ai pu démontrer que l’ablation ciblée de ces neurones entraine une diminution de la douleur induite par l’injection de formaline, cela sans affecter la sensibilité thermique ou mécanique. Sachant que les neurones MRGPRD positifs ne sont pas impliqués dans la réponse douloureuse induite par l’injection de formaline, mais jouent un rôle primordial dans la mécano sensibilité en condition normale et pathologique, notre étude montre que la réponse douloureuse induite par l’injection de formaline est due à l’activation des C-LTMRs. En conclusion, notre étude révèle que les C-LTMRs agissent en tant que puissants modulateurs des douleurs chimiques et mécaniques
Primary sensory neurons are heterogeneous by myriad of molecular criteria. However, the functional significance of this remarkable heterogeneity is just emerging. Here we used our recently generated ginip mouse model to selectively ablate the cutaneous free nerve endings MRGPRD+ neurons and the C-Low threshold mechanoreceptors (C-LTMRs). Ablation of GINIP-expressing neurons led to a significant decrease of formalin-evoked first pain and a complete absence of the second phase pain response, without affecting thermal or mechanical sensitivity. Knowing that MRGPRD+ neurons are dispensable for formalin-evoked pain and that these neurons play a critical role in acute and injury-induced mechanical pain, our data demonstrate that formalin-induced pain hypersensitivity is primarily transduced via C-LTMRs, and suggest that C-LTMRs and MRGPRD+ neurons play antagonistic roles in transduction of acute and injury-induced mechanical pain. Therefore, our results suggest that C-LTMRs act as strong modulators of chemical and mechanical pain signals
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