Academic literature on the topic 'Societas et fraternitas'

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Journal articles on the topic "Societas et fraternitas"

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Martin, Catherine Gimelli. "All That Glitters: Devaluing the Gold Standard in the Utopias of Thomas More, Francis Bacon, and Margaret Cavendish." Renaissance and Reformation 41, no. 3 (2018). http://dx.doi.org/10.33137/rr.v41i3.31557.

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Abstract:
Francis Bacon’s and Margaret Cavendish’s ideal societies unexpectedly follow Thomas More’s Utopia in eliminating the exchange value of gold and replacing it with a knowledge economy. Bacon’s New Atlantis (1627) and Cavendish’s Blazing World (1666) similarly pursue new “light” and shun selfish profit, private trade, capital accumulation, and conspicuous consumption. Unlike More, they allow gold to retain its traditional decorative and symbolic functions, but its “use value” completely trumps its exchange value. Cavendish uses gold to construct and glorify her Blazing World and to forge astonishing defensive weapons, but it cannot be bought, sold, or even earned since it remains exclusively imperial. Bacon restricts gold to buying new “light” or knowledge and honouring thriving families with symbolic golden grape clusters, but like the Fathers of Salomon’s House, all three societies value only beneficial knowledge and the collaborative virtues taught by their new or improved religions to further universal peace and brotherhood.
 Les sociétés idéales imaginées par Francis Bacon et Margaret Cavendish emboîtent étonnamment le pas à l’Utopie de Thomas More lorsqu’elles éliminent la valeur monétaire de l’or pour la remplacer par une économie du savoir. La New Atlantis de Bacon (1627) et le Blazing World de Cavendish (1666) proposent de façon comparable la quête d’une nouvelle lumière et le refus du profit égoïste, du commerce privé, de l’accumulation du capital et de la consommation ostentatoire. Toutefois, à la différence de More, ils permettent que soit maintenue la valeur esthétique et symbolique de l’or, qui éclipse ainsi complètement sa valeur de monnaie d’échange. Cavendish utilise l’or pour construire et glorifier son univers flamboyant et pour créer d’étonnantes armes défensives, mais il ne peut être ni acheté, ni vendu, ni même gagné, puisqu’il est exclusivement impérial. Bacon limite l’usage de l’or à l’achat d’une nouvelle lumière, c’est-à-dire de la connaissance, et à l’hommage des familles florissantes en leur offrant de symboliques grappes de raisins en or, mais tout comme les Pères de la Maison de Salomon, cettes trois sociétés valorisent uniquement la connaissance bénéfique et les vertus de collaboration qu’enseignent leur religion nouvelle et améliorée afin de favoriser la paix universelle et la fraternité.
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Dissertations / Theses on the topic "Societas et fraternitas"

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Sohn, Andreas. "Der Abbatiat Ademars von Saint-Martial de Limoges (1063-1114) : ein Beitrag zur Geschichte des cluniacensischen Klösterverbandes : Bestandteil des Quellenwerkes "Societas et fraternitas /." Münster : Aschendorff, 1989. http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb355314466.

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Parent, Yvette. "Des mots et des maux dans "Les Misérables" de Victor Hugo, fragments d'un discours au peuple à travers les noms abstraits de la politique et le vocabulaire social." Phd thesis, Université de Bretagne occidentale - Brest, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00964763.

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Abstract:
La reprise par Victor Hugo en 1861, sous le titre "Les Misérables", du projet des "Misères" amorcé en 1845 marquait deux étapes de l'énonciation. Nous avons néanmoins choisi de considérer cette oeuvre comme un discours homogène - au sens linguistique du terme - c'est-à-dire comme une suite d'énoncés, pour en analyser le vocabulaire politique et social, considérant que la publication avalisait l'expression. L'énonciation en fait un discours dans le cadre de la communication, discours adressé à un destinataire concerné plus que quiconque, le peuple. Le projet de l'oeuvre lui confère le rôle de testament, bilan d'une expérience et d'une vie. Le facteur politique est primordial pour l'auteur et le rappel des principes républicains l'amène à en étudier les racines dans la Révolution française, particulièrement dans les années 1792-1793, quand Robespierre et le Comité de Salut Public ont dirigé la France. Les héritiers de la République de l'An I sont, dans l'oeuvre, les insurgés de la barricade de la rue de la Chanvrerie en juin 1832, inspirée à Victor Hugo par la barricade historique de Saint-Merry. L'importance donnée à l'Histoire comme élément structurant du récit nous a fait étendre le corpus lexical aux lieux et aux acteurs du récit et de la réalité historique. Le recensement du vocabulaire politique des systèmes, des événements, des formes de gouvernement, des institutions, des catégories et phénomènes sociaux et des valeurs philosophiques et idéologiques fait l'objet de la deuxième partie. Les méthodes des linguistiques distributionnelle et transformationnelle, la notion de " fonction linguistique ", empruntée à Roman Jakobson, et de " discours plurivoque ", héritée de Julien Greimas, permettent l'analyse des mots dans leur contexte restreint. C'est l'objet de la troisième partie intitulée " Ce que valent les mots ".
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3

Delsart, Didier. "La notion de "société ouverte" chez Bergson et Popper." Thesis, Lyon, 2018. http://www.theses.fr/2018LYSE3024.

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Abstract:
On a l’habitude, concernant Bergson et Popper, de souligner que le second emprunte au premier la notion de « société ouverte » en la détournant de son sens. C’est une erreur : au moment où il met cette notion au centre de La société ouverte et ses ennemis, Popper est persuadé d’être l’inventeur de la notion. Lorsqu’il apprend que Bergson en a fait usage avant lui, il marque la différence entre les deux sociétés ouvertes tout en reconnaissant une similitude entre les deux sociétés closes. Mais comment, si la société close s’oppose, par définition, à la société ouverte, et si les deux notions de « société close » sont similaires, les deux notions de « société ouverte » pourraient-elles être fondamentalement dissemblables ? Nous nous demandons, dans une première partie, jusqu’où les deux sociétés closes peuvent être considérées comme similaires et s’il est possible d’en construire une conception unifiée. Nous cherchons d’abord à montrer comment Bergson et Popper, en partant de problèmes différents, finissent par se rejoindre sur la notion d’une morale naturelle close. Nous montrons ensuite que ces deux modalités du clos — exclusivisme guerrier et holisme conservateur — se trouvent chez les deux auteurs, sans qu’ils ne leur accordent la même importance : un certain nombre de différences souterraines annoncent les oppositions à venir sur la société ouverte. Ces différences n’empêchent toutefois pas l’élaboration d’une conception unifiée de la société close. Nous suivons Bergson pour articuler les deux modalités du clos en considérant que la cohésion sociale trouve en partie sa source dans l’hostilité à l’égard des ennemis. Notre deuxième partie se demande si ce qui apparaît au premier abord comme contradictoire entre les deux sociétés ouvertes ne pourrait pas plutôt être considéré comme des tensions au sein d’une même société ouverte. Nous insistons d’abord sur ce qui peut apparaître comme contradictoire en montrant que l’ouverture n’a pas le même sens chez Bergson et chez Popper : passage de la cité à une société comprenant l’humanité pour le premier, passage à une cité où sont libérés les pouvoirs critiques de l’homme pour le second. La société ouverte de Popper est close pour Bergson, la société ouverte de Bergson relève pour Popper d’une nostalgie pour la société close. Mais la contradiction vient du fait qu’on compare la modalité de l’ouvert que chacun privilégie et qui n’est pas la même. Il faut, pour avoir une vision plus juste, comparer la modalité rationaliste de l’ouverture chez les deux auteurs, et la modalité mystique de l’ouverture chez l’un et chez l’autre. En procédant à cette comparaison, on peut montrer que ces deux modalités sont l’une et l’autre une façon, pour une société, de transcender la nature, d’être créatrice. En ce qui concerne la modalité rationaliste de l’ouverture, c’est Popper qui parvient à en montrer le caractère créateur, sur le plan théorique comme sur le plan pratique — Bergson en étant empêché par sa conception de l’intelligence ; pour ce qui est de la modalité mystique, c’est Bergson qui montre comment elle permet à une société de transcender, au moins partiellement, la nature — Popper en étant empêché par sa conception de l’amour. A partir de là, il ne semble pas impossible d’élaborer une conception unifiée de la société ouverte articulant ces deux modalités : la modalité rationaliste de l’ouverture repose sur la foi en la fraternité humaine, laquelle ne peut trouver son plein élan que dans la modalité mystique. Il est vrai qu’il y a tension entre ces deux modalités de l’ouvert, mais leur équilibre est nécessaire à la société qui s’ouvre : la présence de la modalité mystique évite à la modalité rationaliste, qui permet le conflit, une dégénérescence guerrière ; la présence de la modalité rationaliste évite à la modalité mystique, qui transcende les conflits dans l’enthousiasme, de dégénérer en « nationalisme mystique »<br>It is usually said, when talking about Bergson and Popper, that the former borrows the notion of “open society” to the latter and diverts its meaning. It is a mistake: when he puts this notion in the center of The open society and its enemies, Popper is convinced that he is the one who came up with the notion. When he learns that Bergson used it before him, he underlines the differences between both open societies, while admitting a similarity between both closed societies. But how, if the closed society opposes, by definition, the open society, and if both notions of “closed society” are similar, could both notions of “open society” be fundamentally dissimilar?We are wondering, in our first part, to what degree the two closed societies can be considered similar, and if it is possible to build a unified conception of both of them. We are first seeking to show how Bergson and Popper, while starting from different issues, end up reuniting on the notion of a closed natural morality. We are then showing that these two modalities of the closed – warrior exclusivism and conservative holism – are found in both authors, although they don’t give it the same degree of importance: a number of underlying differences are announcing the upcoming oppositions on the open society. These differences, however, do not prevent the elaboration of a unified conception for the closed society. We are following Bergson to articulate both modalities of the closed while considering that social cohesion comes partly from hostility towards enemies. Our second part questions if what first shows up as a contradiction between both open societies could not be considered rather as tensions among one same open society. We first insist on what can appear as contradictory by showing that openness doesn’t have the same meaning for Bergson it does for Popper: for the former, it’s stepping from the city to a society containing humanity. For the latter, it’s stepping to a city where man’s critical powers are liberated. Popper’s open society is closed to Bergson, and Bergson’s open society is, to Popper, an expression of the longing for the unity of the closed society. But the contradiction comes from comparing each author’s preferred modality for openness, which differs. It is necessary, to have a better vision, to compare the rationalist modality of openness for both authors, as well as the mystical modality of openness for one and the other.By proceeding to this comparison, we can show that these two modalities are both a way for a society to transcend nature, for it to be inventive or creative. When it comes to the rationalist modality of openness, Popper is the one who manages to show its creative aspect, in both theory and practice – Bergson being restrained to do so by his conception of intelligence; when it comes to the mystical modality, it is Bergson who shows how it allows a society to transcend, at least partially, nature – Popper being restrained to do so by his conception of love.From this point, it doesn’t seem impossible to elaborate a unified conception for the open society articulating both of these modalities: the rationalist modality of openness is based on faith in human fraternity, which can only reach its fullest with the mystical modality. It is true that there is tension between these two modalities of openness, but their balance is necessary for a society that opens up: the mystical modality’s presence prevents the rationalist modality, that allows conflict, to fall into warrior degeneracy; the rationalist modality’s presence prevents the mystical modality, that transcends conflicts in enthusiasm, to degenerate into “mystical nationalism”
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Books on the topic "Societas et fraternitas"

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Wischermann, Else Maria. Marcigny-sur-Loire: Gründungs- und Frühgeschichte des ersten Cluniacenserinnenpriorates, 1055-1150 : Bestandteil des Quellenwerkes, Societas et fraternitas. W. Fink, 1986.

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2

Nefontaine, Luc. Judaïsme et franc-maçonnerie: Histoire d'une fraternité. Albin Michel, 2000.

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Guide de la fraternité: Le guide de la France inter-religieuse, associations, événements, lieux de rencontres et de débats. Témoignage chrétien, 2005.

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