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Journal articles on the topic 'Sociologie théorique'

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1

Roggero, Pascal, and Christophe Sibertin-Blanc. "Quand des sociologues rencontrent des informaticiens : essai de formalisation, méta-modélisation, modélisation et simulation des systèmes d’action concrets." Nouvelles perspectives en sciences sociales 3, no. 2 (April 17, 2009): 41–81. http://dx.doi.org/10.7202/602476ar.

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Abstract:
Résumé Le texte résulte d’une collaboration inédite entre sociologues et informaticiens. Il présente un travail de formalisation de la sociologie de l’action organisée qui a abouti à l’élaboration d’un méta-modèle de cette théorie. Ce méta-modèle permet de modéliser des systèmes d’action concrets et de simuler leur fonctionnement. A travers l’exposition des résultats théoriques et leur application à un cas simple, nous souhaitons montrer que cette démarche présente un intérêt théorique et méthodologique pour la sociologie. Elle permet de préciser des concepts sociologiques initialement exprimés en langage naturel afin de pouvoir les évaluer de manière quantitative. Elle rend possible la simulation de situations organisationnelles et ouvre ainsi la voie à une exploration des états possibles d’un système d’action concret. Ces éléments constituent, à nos yeux, un enrichissement de la pratique sociologique.
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2

DE IPOLA, Émilio. "Vers une science du texte social." Sociologie et sociétés 2, no. 1 (September 30, 2002): 123–44. http://dx.doi.org/10.7202/001360ar.

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Abstract:
Résumé À partir d'une lecture critique de Métier de sociologue par P. Bourdieu, J.-C. Chamboredon et J.-C. Passeron, et de Pouvoir politique et classes sociales par N. Poulantzas, l'auteur analyse les rapports complexes entre la pratique sociologique, l'épistémologie marxiste et le matérialisme historique, ce dernier étant conçu comme science des modes de production et des formations sociales. Il s'agit de montrer la complémentarité nécessaire entre l'épistémologie et la réflexion théorique en vue de l'établissement de concepts de base visant à définir l'objet propre de la sociologie et à lui conférer ainsi son droit à l'existence théorique.
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3

Cristia, Émilien, Pierre-Paul Zalio, and François Guéna. "Quand le BIM met la maquette à l’épreuve du numérique." SHS Web of Conferences 47 (2018): 01007. http://dx.doi.org/10.1051/shsconf/20184701007.

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Abstract:
Cet article cherche à initier une réflexion théorique, empirique et sociologique sur le concept de maquette numérique considéré dans le cadre de projets BIM. Ainsi, nous considérons dans un premier temps la maquette physique qui, par effet miroir, nous sert à identifier certaines caractéristiques théoriques et empiriques inhérentes à la maquette numérique BIM. Puis, portés par l’intérêt de considérer l’hétérogène diversité des acteurs qui lui sont rattachés, nous approfondissons notre description par le prisme de la sociologie. En particulier, ceci nous permet d’envisager un rapprochement entre la maquette numérique BIM et le concept d’objetfrontière.
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4

Gagnon, Gabriel. "Les Îles-de-la-Madeleine : éléments pour une anthropologie de la participation." Articles 11, no. 3 (April 12, 2005): 223–54. http://dx.doi.org/10.7202/055502ar.

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Abstract:
La sociologie et l'anthropologie sociale ont été radicalement remises en question ces dernières années par le développement même de leur objet d'étude, les sociétés industrielles et les pays en voie de développement. Ces deux disciplines ont ainsi amorcé un rapprochement autour des problèmes de changement et de développement socio-économique, dans la voie tracée par Georges Balandier et Max Gluckman en anthropologie, par Georges Gurvitch en sociologie. Par ailleurs, à travers diverses tentatives de planification, aussi bien en milieu développé que dans les nouvelles nations, s'esquissait cette « société planifiée selon les principes du collectivisme pluraliste décentralisateur » qu'affectionnait Gurvitch. De ces transformations naissait une nouvelle perspective, celle d'une sociologie ou d'une anthropologie de la participation. Parmi les expériences déjà nombreuses de planification-participation, allant de la société autogérée yougoslave aux multiples tentatives de développement communautaire, l'expérience poursuivie de 1963 à 1966 par le Bureau d'aménagement de l'Est du Québec a revêtu une importance particulière, tant du point de vue du développement que de celui de la recherche sociologique ou anthropologique. Voici ce qu'en dit un observateur extérieur, le professeur Albert Meister, spécialiste de la sociologie de la participation: «Enfin, mentionnons l'effort théorique basé sur l'expérience du Bureau d'aménagement de l'Est du Québec: tenant son inspiration de travaux français et nord-américains, le dossier québécois est une contribution importante à la définition de l'approche de l'animation rurale et, surtout, la tentative la plus cohérente à ce jour d'utilisation de la recherche sociologique empirique pour un développement basé sur l'animation. » C'est une double critique de cette expérience particulière que nous voudrions amorcer ici: critique théorique d'abord à travers certains textes élaborés par un de ses principaux inspirateurs scientifiques le sociologue Gérald Fortin; critique factuelle ensuite à partir d'une recherche empirique portant sur l'aménagement et les changements socio-culturels aux Iles-de-la-Madeleine, partie du territoire-pilote.
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5

SÉVIGNY, Robert. "Pour une théorie psycho-sociologique de l’aliénation." Sociologie et sociétés 1, no. 2 (September 30, 2002): 193–220. http://dx.doi.org/10.7202/001692ar.

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Abstract:
Résumé L'essai théorique présenté ici tente de systématiser la notion d'aliénation et de l'appliquer au domaine de la psycho-sociologie. Partant d'un certain nombre de travaux antérieurs, l'auteur distingue plusieurs dimensions de ce processus d'aliénation. H rappelle ensuite la notion 19. Ce rappel du contexte culturel de l'homme contemporain nous permet de préciser que ce que nous décrivons comme tendances fondamentales, n'est pas attribué à une définition essentialiste de la nature humaine, mais se fonde au contraire sur une hypothèse générale se rapportant à l'homme situé dans un espace et dans un temps bien défini. d'actualisation de soi de Carl Rogers et montre comment celle-ci peut servir à une définition de l'aliénation qui tienne compte du concept de personnalité et d'une approche psycho-sociologique. n indique alors certaines modifications à apporter à cette théorie (entre autres, l'introduction des notions de pouvoir et d'action) pour qu'elle permette au psycho-sociologue de comprendre l'expérience personnelle en situation sociale.
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6

Leroux, Robert. "Fernand Dumont et la sociologie durkheimienne." Recherche 42, no. 2 (April 12, 2005): 283–97. http://dx.doi.org/10.7202/057448ar.

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Abstract:
La démarche de Fernand Dumont, si on la suit en détail, est compliquée, sinueuse; elle s'inspire d'une telle diversité de courants théoriques qu'à première vue il devient parfois difficile de s'y retrouver, comme si chacun des nombreux problèmes qu'il a traités appelait la nécessité de se référer à un corpus intellectuel particulier. Dumont a beaucoup lu. Alors que sa pensée est en pleine gestation, au moment même où il s'initie au savoir sociologique dans la première partie des années 1950, il fait des découvertes fécondes et décisives. Très tôt, parmi les fondateurs de la pensée sociologique, il est particulièrement fasciné par Émile Durkheim. Il est autant séduit par l'architecture théorique de l'œuvre que par ses larges vues ou par la profondeur de l'analyse. Mais ce n'est pas tout : contrairement à Marx ou à Weber, par exemple, Durkheim a la particularité et le mérite d'avoir fondé une école, groupée autour de L'Année sociologique, qui rassemble quelques-uns des plus brillants jeunes esprits de la Troisième République, comme Marcel Mauss, Célestin Bougie, François Simiand et Maurice Halbwachs. En étudiant les travaux des membres de l'École française de sociologie, Dumont découvre d'innombrables matériaux qui lui permettront de donner une profondeur supplémentaire à sa propre pensée.
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CASTELLS, Manuel. "Théorie et idéologie en sociologie urbaine." Sociologie et sociétés 1, no. 2 (September 30, 2002): 171–92. http://dx.doi.org/10.7202/001125ar.

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Abstract:
Résumé À partir de l'examen des principales lignes de recherche en sociologie urbaine, l'auteur conclut que celle-ci n'a ni objet théorique spécifique ni objet réel précisément délimité. Il reste cependant à réintégrer dans l'analyse, dans une perspective nouvelle, certains problèmes clefs traités dans la tradition de la sociologie urbaine, en particulier ceux qui concernent l'organisation de l'espace et ceux qui touchent les formes sociales de consommation collective. Dans le premier cas, l'auteur analyse les transformations de l'espace comme une spécification des transformations de la structure sociale, en proposant les éléments du système urbain et les principes de leur articulation. Dans le second, il pose les jalons d'une théorie qui place au centre de son propos l'étude structurale de la planification urbaine.
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Fijalkow, Yankel. "Sociologie des villes, sociologie du logement." Sociologie et sociétés 45, no. 2 (February 21, 2014): 177–94. http://dx.doi.org/10.7202/1023178ar.

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Abstract:
L’étude théorique des liens entre la sociologie urbaine et la sociologie du logement ne renvoie pas seulement à des échelles différentes d’investigation scientifique. En sociologie urbaine, la manière dont le logement est pris en compte dans l’étude du changement le réduit trop souvent à un élément de l’économie urbaine ou le dissout dans l’observation des territoires. Ainsi, les deux modèles explicatifs les plus classiques du changement urbain opposent d’une part un paradigme de causalité structurelle et d’autre part un modèle d’analyse territoriale s’appuyant sur des matériaux descriptifs des pratiques des groupes sociaux locaux. Après avoir montré l’importance et les limites des deux modèles, cet article montre comment pour l’étude de la gentrification d’un quartier parisien, la Goutte d’Or, l’histoire du peuplement du parc de logement s’avère un paramètre indispensable pour mieux comprendre les mutations sociales de la ville et leurs conséquences.
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9

DUMAIS, Alfred. "Le sens de la théorie et la théorie du sens." Sociologie et sociétés 14, no. 2 (September 30, 2002): 67–76. http://dx.doi.org/10.7202/001213ar.

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Abstract:
Résumé Quel est le sens de la théorie en sociologie? N'est-il pas à propos d'examiner la teneur de l'activité même du théoricien? Cela implique, il va sans dire, un rappel des origines de l'activité théorique et de la conception restreinte à laquelle est parvenue la science moderne. De là, on voit mieux le rôle stratégique de l'approche comprehensive, qui vient appliquer une sorte de contrepoids à la formalisation et à la déduction scientifique, surtout en introduisant la totalité à titre d'explication. Une vision aussi élargie de la théorie, on l'espère, devrait laisser apparaître la portée tout autant utopique qu'éthique de cette activité. On comprend ainsi pourquoi, en sociologie, on assiste à un va-et-vient de la théorie comme instrument à la théorie comme forme de vie.
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10

SAINT-PIERRE, Céline. "Internationalisation de la sociologie ou résurgence des sociologies nationales?" Sociologie et sociétés 12, no. 2 (September 30, 2002): 7–20. http://dx.doi.org/10.7202/001671ar.

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Abstract:
Résumé La sociologie connaît un double mouvement qui marque à la fois les pôles de son développement et les paliers de sa production. L'internationalisation de ses activités et le renforcement d'organismes internationaux tels l'UNESCO qui a créé une sous-division des sciences sociales constituent un aspect de ce mouvement alors que l'autre se rattache davantage à la consolidation des assises nationales de cette discipline dans plusieurs pays comme ceux d'Afrique notamment. Quelles sont les orientations du premier et la signification du second? Tels sont les sujets dont nous discutons dans cet article. Puis nous terminons par la présentation de deux cas, la sociologie en Espagne et en Italie afin de démontrer que l'histoire de cette discipline ne peut se concevoir en dehors de l'histoire économique et politique des pays où elle s'est principalement développée, même si parallèlement son discours théorique et ses outils méthodologiques tendent à l'unification, ce qui pour nous n'est pas synonyme d'universalisation et est tout à fait souhaitable.
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MORROW, Raymond. "Théorie critique et matérialisme historique : Jürgen Habermas." Sociologie et sociétés 14, no. 2 (September 30, 2002): 97–112. http://dx.doi.org/10.7202/001517ar.

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Abstract:
Résumé Le sociologue ouest-allemand Jürgen Habermas développe un programme théorique orienté à la reconstruction du matérialisme historique et a connu une réception relativement restreinte dans le milieu francophone, malgré ses affinités avec la sociologie critique francophone contemporaine. Cette réception a été rendue difficile par plusieurs facteurs : le développement interne de son projet, sa stratégie de négation concrète qui a entraîné un dialogue avec des traditions hétérogènes, et une coupure avec l'école originale de Francfort. Il faut évaluer ses distinctions épistémologiques entre travail, interaction et critique par rapport à leur contribution au dépassement de ce qu'il estime être les trois faiblesses principales de la théorie critique traditionnelle : ses fondements normatifs ambigus, un concept de vérité philosophique et une sous-estimation des possibilités de l'État démocratique.
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Roberge, Jonathan. "Jeffrey C. Alexander et les dix ans du programme fort en sociologie culturelle." Cahiers de recherche sociologique, no. 47 (June 27, 2011): 47–66. http://dx.doi.org/10.7202/1004979ar.

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Abstract:
L’article retrace l’évolution de l’oeuvre théorique de Jeffrey C. Alexander depuis l’apparition du strong program dans la sociologie culturelle à la fin des années 1990 jusqu’à sa transformation en cultural pragmatics aujourd’hui. L’analyse propose d’abord de voir comment Alexander promeut l’autonomie du sens et de la culture; entre autres à travers le concept de texte et une certaine reprise des traditions sémantique et sémiotique en sociologie. À ce propos, l’influence de Durkheim est plusieurs fois soulignée. On cherche ensuite à montrer comment le tournant performatif renforce le programme fort en venant le redoubler d’une nouvelle théorie de l’action. Les sociétés contemporaines sont ritual-like selon Alexander, elles ne sont plus exactement fusionnelles sans pour autant être insignifiantes ou complètement rationalisées. Dans un tel contexte, les acteurs sociaux n’ont d’autre choix que de chercher à reconnecter les éléments de leurs performances : auditoire, fond culturel, mise en scène, moyen symbolique, etc. Enfin, l’article se tourne vers quelques exemples plus concrets illustrant cette logique; les performances des mouvements sociaux à l’intérieur d’une société civile binaire, d’une part, la question des traumatismes culturels, de l’autre. Ces études tendent à démontrer que le modèle théorique de Jeffrey C. Alexander allie le culturel et le politique sans pour autant être exactement capable de franchir le seuil d’une théorie critique.
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RAFIE, Marcel. "Positivisme chez Émile Durkheim." Sociologie et sociétés 4, no. 2 (September 30, 2002): 275–87. http://dx.doi.org/10.7202/001609ar.

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Abstract:
Résumé Le positivisme de Durkheim, un malentendu ? Le " culte des faits " serait-il plus proclamé que pratiqué ? L'article cherche à établir la part de construction théorique qui, par-delà un langage et des déclarations d'intention résolument positivistes, prévaut dans l'œuvre du fondateur de la sociologie française. Plus précisément, l'auteur a tenté de mettre en évidence, aussi bien dans les notations méthodologiques que dans la constitution des objets sociaux, une ordination des actes épistémologiques marquant un véritable primat du théorique sur l'ordre du constat Par quoi la sociologie durkheimienne se trouverait démarquée d'un empirisme qu'on lui impute - et dont elle se réclame.
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Neumann, Alexander. "Travail en miettes, activité, activation." Sociologie et sociétés 48, no. 1 (June 28, 2016): 59–79. http://dx.doi.org/10.7202/1036883ar.

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Abstract:
La discussion qui se déploie actuellement autour du concept d’activité nous invite à interroger le développement théorique de la sociologie du travail, depuis les travaux fondateurs des années 1950 et 60, à travers plusieurs tournants paradigmatiques successifs, jusqu’aux enjeux présents. La lecture théorique que nous poursuivons est donc celle d’un détachement progressif du travail pratiqué, qui aboutit à une focalisation sur l’organisation, du moins dans les courants les plus visibles de l’espace académique et public. Dans ce cadre, nous comprenons la notion d’activité à la fois comme un effort de recentrer le regard sociologique sur le travail en actes qui est exercé et vécu par les salariés, et comme une conception alternative à la vision d’un travail sans qualité (sous sa forme prétendument interchangeable, cognitive ou numérique).
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Latour, Bruno. "Une sociologie sans objet ? Note théorique sur l'interobjectivité." Sociologie du travail 36, no. 4 (1994): 587–607. http://dx.doi.org/10.3406/sotra.1994.2196.

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LIDZ, Victor. "Influence et solidarité, définir un fondement théorique à la sociologie." Sociologie et sociétés 21, no. 1 (September 30, 2002): 117–42. http://dx.doi.org/10.7202/001436ar.

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Abstract:
Résumé Pendant les vingt dernières années de sa vie, Talcott Parsons a soutenu que l'objet d'étude essentiel de la sociologie devait être l'analyse de l'intégration sociale. S'inspirant pour une bonne part du modèle durkheimien de la solidarité, Parsons a conçu cette intégration sociale en termes dynamiques comme la capacité d'un groupe, d'une association ou d'une communauté à préserver sa cohésion lorsqu'ils se trouvent confrontés à des situations de désordre et de conflit. Les lacunes de la théorie de l'influence, théorie qu'il a placée au centre de son analyse de l'intégration sociale, expliquent en partie que Parsons ne soit pas parvenu à imposer ce programme de recherche à l'ensemble du milieu sociologique. Cet article s'efforce de reformuler la théorie de l'influence et de consolider ses fondements en envisageant les relations d'intégration comme étant de l'ordre de la rationalité. On propose un modèle comparable à celui de l'offre et de la demande. Enfin, on met en évidence les liens de ce modèle avec la théorie du groupe de référence et avec la théorie durkheimienne de la solidarité et des pathologies sociales.
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Fabiani, Jean-Louis. "Des arts à la théorie de l'action: Le travail sociologique de Pierre-Michel Menger." Annales. Histoire, Sciences Sociales 71, no. 04 (December 2016): 951–77. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900049076.

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Abstract:
Résumé Cet article tente de montrer l’originalité du travail sociologique de Pierre-Michel Menger à travers l’étude de sa trajectoire théorique. Le point de départ peut être trouvé dans le croisement fécond entre l’analyse des professions et la justification des politiques publiques ; la musique contemporaine est tributaire du financement public alors que la demande publique n’est pas encore advenue. Les acteurs doivent prendre des décisions dans un monde incertain : ce thème constitue le fil conducteur de l’entreprise de P.-M. Menger, particulièrement dans son ouvrage majeur, Le travail créateur. Comment la sociologie doit-elle traiter l’incertitude qui règle les ajustements interindividuels ? Telle est la tâche assignée à une science sociale innovante. P.-M. Menger n’importe pas le raisonnement économique en sociologie, mais il confronte les approches de manière critique en les maintenant en tension, une position qui le distingue des partisans de la théorie du choix rationnel. Son programme de recherche est ambitieux, mais deux questions demeurent : qu’en est-il de l’histoire dans le modelé en construction ? Comment avoir une vision plus claire du concept de talent, lequel est encore souvent une boîte noire ?
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HAGAN, John, and Bill MCCARTHY. "La théorie du capital et le renouveau du paradigme des tensions et des opportunités en criminologie sociologique." Sociologie et sociétés 30, no. 1 (September 30, 2002): 145–58. http://dx.doi.org/10.7202/001325ar.

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Abstract:
Résumé La théorie du capital social est devenue très populaire en sociologie contemporaine. On a cependant accordé beaucoup plusd’attention aux conséquences positives de l’accumulation de capital social qu’aux obstacles et aux échecs rencontrés par ceuxqui tentent d’accéder à de telles ressources et de les développer. S’inspirant du paradigme des tensions et des opportunités dela criminologie sociologique et voulant à étendre les études sur les jeunes des écoles aux jeunes qui vivent dans la rue, cetarticle veut montrer qu’une théorie du capital social de la criminalité peut élargir l’évantail explicatif de la criminologie contemporaine.Pour démontrer notre point, nous passons en revue notre propre recherche sur la criminalité et l’itinérance dejeunes de deux villes canadiennes. Nous montrons qu’une conception du capital social qui s’appuie sur l’anomie fournit uncadre théorique flexible pour explorer et expliquer les différences entre différents milieux d’un même pays et de pays différents.Les problèmes des jeunes de la rue et de la criminalité posent aux chercheurs une série de questions qui méritent uneattention internationale.
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Noreau, Pierre. "La norme, le commandement et la loi." Articles 19, no. 2-3 (November 19, 2008): 153–77. http://dx.doi.org/10.7202/040229ar.

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Abstract:
Résumé Le saut de la multidisciplinarité à l’interdisciplinarité est un saut périlleux. Le chercheur se demande constamment s’il n’est pas en train de trahir ses références disciplinaires. Les rapports entre les théoriciens du droit, les sociologues et les politologues fournissent des exemples nombreux de ces relations en porte-à-faux. Entre le droit et la sociologie, il y a la normativité. Mais qu’est-ce qu'une norme? Entre la science politique et le droit, il y a l’autorité, mais d’où tire-t-elle ses origines, du pouvoir ou de la légalité? Le rôle que tient le travail théorique en droit est-il le même que celui qu’il joue dans les autres sciences humaines? Quels sont les compromis nécessaires au travail interdisciplinaire? Jusqu’à quel point les épistémologies sont-elles compatibles et faut-il nécessairement les mettre au jour avant de se mettre en action; faut-il apprendre en marchant? Le texte porte notamment sur les points de jonction entre théorie du droit, théorie sociologique et théorie politique et met en évidence certaines conditions de l’interdisciplinarité.
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HADDAD, ROGERIO DELBONE, AGNA MARIA SOUZA COELHO, ENIO GOMES DA SILVA, and MARIA IRENE DELBONE HADDAD. "INTERDISCIPLINARITE: LIMITES ET POSSIBILITES SUR LES LENTILLES DE LA SOCIOLOGIE COMPRÉHENSION." Interfaces Científicas - Educação 8, no. 3 (April 2, 2020): 145–57. http://dx.doi.org/10.17564/2316-3828.2020v8n3p145-157.

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Abstract:
Cet article a cherché à analyser l'interdisciplinarité comme un moyen de comprendre les limites et les possibilités de pratisés éducatifs et sa complexité au sein de l'Institut fédéral de l'éducation, de la science et de la technologie de Rondônia à partir des significations attribuée par les enseignants, dans l'interface de processus interdisciplinarité et enseignement et apprentissage. La pratique interdisciplinaire n'est pas prescrite et oui, construite dans le contexte effectif de l'institution de l'éducation. Il a été utilisé comme méthodologie de l'entrevue et la théorie de la complexité en articulant avec l'analyse de contenu. En tant qu'ingriches méthodologiques, il a été utilisé à l'entrevue semi-structurée développée avec trente enseignants du neuf campus de de l'Institut fédéral de l'éducation, de la science et de la technologie de Rondônia Comme les résultats principaux, il y a des limites à pratiquer à l'interdisciplinarité, située dans le domaine théorique en matière d'incertitude théorique sur le terme et non-accès aux théories qui discutent de la question et du champ de l'organisation du travail pédagogique, qui ne prévoit pas d'espace de travail collectif entre les enseignants des différentes secteurs de la connaissance de la complexité. Les possibilités fournies par la pratique interdisciplinaire sont en leur importance pour élargir la vision du monde de l'enseignant et l'éducation; dans son potentiel de formation continue pour encourager la recherche de nouvelles connaissances, de nouveaux apprentis pour les étudiants et les enseignants agissant par les difficultés d'une plus compétente et critique.
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Fillieule, Renaud. "La sociologie économique des prix contemporaine : quel apport théorique ?" L'Année sociologique 58, no. 2 (2008): 383. http://dx.doi.org/10.3917/anso.082.0383.

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Terrenoire, Jean-Paul. "Sociologie de l'éthique professionnelle. contribution à la réflexion théorique." Sociétés contemporaines 7, no. 1 (1991): 7–33. http://dx.doi.org/10.3406/socco.1991.1007.

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Warren, Jean-Philippe. "Universalisation et traditionalisation de la discipline sociologique." Sociologie et sociétés 37, no. 2 (May 9, 2006): 65–89. http://dx.doi.org/10.7202/012913ar.

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Abstract:
RésuméCet article s’intéresse à la fondation historique d’un champ disciplinaire national, c’est-à-dire au processus de traditionalisation scientifique. Plus spécifiquement, il cherche à mieux comprendre, et ce en la comparant sans cesse au développement de la sociologie du Canada anglophone, comment la sociologie du Québec francophone a progressivement créé un espace référentiel, méthodologique, théorique et politique, et comment celle-ci a cherché, surtout dans les années 1960 et 1970, à promouvoir une connaissance enracinée dans la réalité nationale. C’est ainsi que l’auteur est amené à souligner trois dimensions inhérentes à la constitution d’un champ sociologique national, soit la définition d’une société globale, l’écriture d’une histoire, ainsi que la formulation de méthodes et de théories spécifiques — marginalisant donc les dimensions idéologiques et institutionnelles invoquées par Harry H. Hiller dans ses travaux sur l’établissement des traditions sociologiques canadiennes.
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SCIULLI, David. "Comment lire Parsons aujourd’hui en sociologie politique comparée." Sociologie et sociétés 21, no. 1 (September 30, 2002): 97–116. http://dx.doi.org/10.7202/001691ar.

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Abstract:
Résumé Pourquoi un spécialiste de la sociologie politique comparée devrait-il lire Talcott Parsons aujourd'hui et comment devrait-il le lire? Cet article démontre que les écrits de Parsons à partir de 1937 constituent trois séries distinctes et que les ouvrages de la troisième série demeurent non seulement intéressants en sociologie comparée, mais qu'ils sont aussi indispensables pour traiter des questions et des controverses actuelles que n'importe quelle autre œuvre théorique.
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BRIAN, Elliot. "Le système urbain et la structure de l’inégalité." Sociologie et sociétés 4, no. 1 (September 30, 2002): 121–39. http://dx.doi.org/10.7202/001106ar.

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Abstract:
Résumé Cet article constitue une analyse critique de diverses tentatives de transplantation des concepts théoriques provenant d'autres domaines - notamment celui de la stratification sociale - à la sociologie urbaine. Ces efforts s'expliquent en grande partie par le fait que les transformations socio-économiques fondamentales affectant la ville n'étaient pas (et peut-être ne seraient pas) analysables en fonction des cadres théoriques traditionnels. Les récents travaux de certains auteurs, tels que Pahl et Rex, tout en étant critiquables sous maints aspects, ouvrent de nouvelles voies, et pour l'étude des problèmes urbains nouveaux, et pour la synthèse théorique des concepts plus traditionnels. En effet, en orientant l'attention sur l'étude de la pauvreté, sur le phénomène de privations cumulatives, sur la situation des immigrants récents, sur l'administration de l'habitat et sur le gouvernement des systèmes urbains globaux, ces auteurs ont mis en relief le problème du pouvoir dont la conceptualisation doit être à la base de toute théorie de la stratification. Quant aux études concernant l'histoire urbaine, bien qu'elles aient été en grande partie effectuées par des historiens, elles ont été dominées par la problématique traditionnelle de la stratification.
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LAURIN-FRENETTE, Nicole. "Présentation." Sociologie et sociétés 13, no. 2 (September 30, 2002): 3–18. http://dx.doi.org/10.7202/001417ar.

Full text
Abstract:
Résumé Ce texte de présentation se penche sur la place que les femmes occupent dans la sociologie en tant que profession et en tant que discipline du savoir. L'auteur montre comment la perspective féministe, en pénétrant dans la sociologie, y a ouvert diverses voies de recherche : les études sur les femmes, la critique épistémologique, théorique et méthodologique et, enfin, ce qu'on a appelé la nouvelle sociologie des femmes : point de vue des dominées sur la réalité sociale. En conclusion, l'auteur invite les sociologues à entreprendre, entre autres tâches, l'étude des nouvelles formes d'oppression des femmes que les résistances sociales au processus de la libération ont générées.
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Amossé, Thomas. "La nomenclature socio-professionnelle : une histoire revisitée." Annales. Histoire, Sciences Sociales 68, no. 4 (December 2013): 1039–75. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900015109.

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Abstract:
RésuméFruit d’un processus engagé au XIXe siècle, le code des catégories socio-professionnelles est élaboré en France entre 1951 et 1954 et n’a que peu été modifié depuis. Alors sans habillage théorique fort et d’une tonalité réaliste, il donne corps aux classes sociales dans la description de la société d’après-guerre. Lieu d’effervescence sociologique à l’occasion de sa « refonte » (1978-1981), il figure l’espace social à deux dimensions de la sociologie de Pierre Bourdieu et sert de laboratoire à la sociologie pragmatique de Luc Boltanski et Laurent Thévenot. Lors de sa « rénovation » (1995-2001), la prudence administrative des changements opérés contraste avec l’évolution du droit conventionnel et une ambition de pureté analytique soutenue par l’économétrie. L’histoire de la nomenclature rend compte de la situation d’un outil de représentation du monde censé demeurer inchangé quand rien ne l’est, ni l’institution qui en assure la gestion, ni les catégories ordinaires ou juridiques auxquelles il renvoie, ni les théories et usages sociologiques qui lui sont liés.
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Fortin, Andrée. "Dialogues avec Michel Tremblay et Francine Noël." Critique 31, no. 1 (April 12, 2005): 73–84. http://dx.doi.org/10.7202/056486ar.

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Abstract:
Un article de Ginette Michaud sur l'espace urbain dans l'univers romanesque de Michel Tremblay et de Francine Noël entraîne l'auteur dans une réflexion sur le milieu familial dans l'œuvre des deux écrivains et sur les liens qui s'imposent avec la sociologie de la famille. Suivent des considérations sur la sociologie et la littérature comme modes de connaissance, d'abord à travers une rencontre avec les deux romanciers, puis par une généralisation théorique sur le rapport de différents types d'écriture avec le réel.
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FORTIN, Andrée. "La sociologie, science de/dans la société." Sociologie et sociétés 12, no. 2 (September 30, 2002): 75–96. http://dx.doi.org/10.7202/001248ar.

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Abstract:
Résumé La science occidentale a connu deux crises depuis le début du siècle. La première, à la suite de la découverte de la relativité et de la théorie des quanta, a modifié la conception classique de la causalité, du déterminisme et de l'espace-temps. La deuxième, apparue à la suite des développements de la cybernétique, de l'écologie, de la théorie de l'auto-organisation, met en évidence l'importance des processus dans leur déroulement, de la causalité complexe et des feedback, des processus contre-intuitifs et contre-productifs ; l'accent est désormais déplacé de l'être vers le devenir. Partout apparaît la nécessité de replacer les objets dans leur contexte, et se retrouvent mises en question les coupures sujet/objet, contenant/contenu, ainsi que la neutralité de la science. La sociologie ne doit pas être à la remorque épistémologique des autres sciences, elle ne doit pas non plus rester accrochée à des conceptions qui semblent dépassées partout ailleurs. C'est ainsi que cette nouvelle conception scientifique qui est celle qui se dégage en cette fin de xxe siècle oblige à repenser la sociologie dans son objet et dans ses méthodes. Dans son objet d'abord, en élargissant le domaine des possibles en matière d'organisation sociale : en plus de la société primitive et de l'État moderne, se profile la possibilité d'une société auto-organisatrice, auto-instituante et autogérée; et en ce qui concerne les méthodes de la sociologie, aucune ne peut se dire neutre, il faut toujours les replacer dans leur contexte d'élaboration et d'utilisation. On examine ici - rapidement - tour à tour différentes méthodes quantitatives et qualitatives : statistiques, théories des systèmes, structuralisme, sémiologie, histoires de vie, épistémologie, pour essayer d'en saisir les limites et la portée méthodologique, théorique et pratique.
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ROCHER, Guy. "La sociologie parsonienne : influence et controverses." Sociologie et sociétés 3, no. 2 (September 30, 2002): 135–50. http://dx.doi.org/10.7202/001647ar.

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Abstract:
Résumé Cet article est le chapitre de conclusion d'un livre à paraître prochainement en France sous le titre Taicott Parsons et la sociologie américaine. Dans les chapitres précédents, l'auteur a présenté les grandes lignes de la théorie générale de l'action de Parsons et les applications que celui-ci en a faites non seulement en sociologie, mais aussi en psychologie, en science politique et en économie. Dans ce chapitre-ci, il situe d'abord l'œuvre de Parsons dans le contexte de la sociologie américaine contemporaine, en montrant qu'elle a exercé une influencfs dans différents secteurs particuliers (sociologie de l'éducation, de la religion, du changement social, histoire de la pensée sociale, etc.) en même temps qu'elle a contribué à élever le niveau du discours théorique. C'est aussi largement à partir de l'œuvre de Parsons ou en opposition à celle-ci que s'est formulée la sociologie critique ou radicale. L'auteur discute ensuite plus particulièrement de deux aspects de l'œuvre de Parsons : son fonctionnalisme et sa sociologie des valeurs. Au sujet du fonctionnalisme de Parsons, il souligne qu'il est assez singulier et qu'on peut le caractériser d'une triple manière : fonctionnalisme systémique, fonctionmalisme d'un système en action, fonctionnalisme évolutionniste. Au sujet de la sociologie des valeurs, l'auteur reproche à Parsons d'avoir sociologisé la personnalité, au point de la vider de tout contenu psychique, et en même temps de n'avoir pas complété son analyse du consensus par une discussion des facteurs structurels du concensus, des conflits sociaux et de la dynamique des valeurs. Enfin, l'auteur conclut son appréciation générale de l'œuvre de Parsons en disant que celui-ci n'a pas su parcourir jusqu'au bout les sentiers qu'il a ouverts. Plutôt que de tourner le dos à la sociologie parsonienne, il faut donc poursuivre la démarche entreprise et la pousser dans de nouvelles directions.
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Carrier, Nicolas. "The Autonomy and Permeability of Law: The Case of the Canadian Prohibition of Cannabis." Canadian journal of law and society 22, no. 1 (April 2007): 123–38. http://dx.doi.org/10.1017/s0829320100009157.

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Abstract:
RésuméLa sociologie de Niklas Luhmann suggère de concevoir le droit comme un système social autonome, ne pouvant être déterminé de l'extérieur. Dans un tel cadre théorique, les relations du droit avec son environnement sont saisies à l'aide des concepts d'autopoïèse et de déparadoxification, ainsi que par le biais du paradoxe de l'ouverture par la fermeture. La théorie propose une façon d'analyser les relations intersystémiques qui refuse une domination verticale et linéaire du droit par d'autres formations discursives. Cet article utilise (quelques dimensions) de la re-validation de la constitutionnalité de la prohibition du cannabis par la Cour Suprême du Canada comme prétexte pour clarifier théoriquement et explorer empiriquement un tel cadre. Dans le cas étudié, le juridique choisit notamment d'accorder plus d'importance à des objets biomédicaux qu'à la doctrine libérate. Il pourra faire exactement le contraire dans ses prochaines opérations. La sociologie est condamnée à être surprise par la créativité que déploie le juridique en se maintenant et se transformant de façon autonome.
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Briaud, Stéphanie. "La sociologie et la quantification au service d’Isis." Cahiers d'histoire 31, no. 2 (November 6, 2013): 9–32. http://dx.doi.org/10.7202/1019282ar.

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Abstract:
L’isiacologie est un exemple de discipline étudiant l’Histoire de l’Antiquité, dont la méthodologie a connu de grands changements dans les années 1960-1970 conjointement à son institutionnalisation. Ici, deux grandes influences seront décrites : la sociologie et ses grands noms, comme P. Bourdieu, qui réfléchissent au concept de « science des religions » ; la quantification qui s’interroge sur l’application de cette méthode pour étudier des réalités — hautement — passées et l’histoire culturelle. La démonstration quantitative se fera en deux temps, avec une partie théorique puis pratique, à partir du catalogue SNRIS et privilégiant une étude des monnaies romaines isiaques.
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Brousseau, Guy. "Les représentations : étude en théorie des situations didactiques." Articles 30, no. 2 (April 12, 2006): 241–77. http://dx.doi.org/10.7202/012669ar.

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Abstract:
Résumé Cet article a pour objet de montrer comment la théorie des situations aborde le concept de représentation par ses propres moyens, avec l’ambition de donner un cadre théorique plus approprié aux travaux des didacticiens, trop souvent prisonniers du sens large et vague donné à ce concept en psychologie et en sociologie. Il s’appuie sur les résultats des travaux portant sur la genèse de représentations iconiques des objets, des collections et des relations avec les élèves de 5 ans. Faisant écho aux préoccupations soutenues des chercheurs contemporains, il tend à montrer l’intérêt d’analyser l’apport des didacticiens des mathématiques à l’élaboration de ce nouveau cadre.
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QUÉNIART, Anne, and Roch HURTUBISE. "Nouvelles familles, nouveaux défis pour la sociologie de la famille." Sociologie et sociétés 30, no. 1 (September 30, 2002): 133–43. http://dx.doi.org/10.7202/001602ar.

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Abstract:
Résumé Où en est la recherche sociologique sur la famille et vers quoi tend-elle ? Quelle est la pertinence et la spécificité de l’approchesociologique dans la compréhension du fait familial au tournant du siècle ? Telles sont les principales questions auxquellesrépondent les auteurs dans ce texte. Sur un plan théorique, ils observent un éclatement du champ de la soiologie de la familleen de multiples objets (la maternité, la paternité, le divorce, le mariage, etc.) et un isolement des chercheurs : ceux travaillantsur le divorce, par exemple, échangent peu avec ceux qui s’intéressent au désengagement paternel ou aux mères monoparentales.Cette tendance à la spécialisation vers des « sous-objets familiaux » permet aux sociologues de développer une connaissancefine des processus qui influencent diverses dimensions des réalités familiales. Toutefois, elle rend difficile le travail de« reglobalisation » de l’objet famille. Sur le plan méthodologique, ils constatent la cohabitation d’une pluralité de méthodes etd’approches et de nombreuses ouvertures vers les disciplines périphériques. Finalement, selon les auteurs, l’un des apports lesplus importants de la sociologie de la famille à la sociologie en général est de montrer que la famille constitue l’un des lieuxprivilégiés pour saisir la manière dont s’articulent, selon une foule de modalités, l’individuel et le collectif, pour rendre comptede la complexité des processus de reproduction humaine et sociale, de socialisation et de construction de l’identité. La sociologiede la famille révèle aussi les tensions et les contradictions entre divers acteurs sociaux, elle rend compte du relativismedes structures et des fonctions de la famille, de la multiplicité des formes familiales et témoigne du dynamisme de diversessociétés à transformer, innover et refaire la vie familiale.
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GOLDMANN, Annie. "Quelques problèmes de sociologie du cinéma." Sociologie et sociétés 8, no. 1 (September 30, 2002): 71–80. http://dx.doi.org/10.7202/001304ar.

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Abstract:
Résumé " (...) faire de la sociologie du cinéma ce n'est pas rechercher dans le film un reflet plus ou moins fidèle de la société. (...) Le cinéma est dans la réalité sociale elle-même, il en fait partie à la fois par son organisation économique et par la médiation de l'auteur, sans parler des chocs en retour qui se produisent, avec des décalages temporels, entre le cinéma et la réalité. (...) La sociologie du cinéma a pour but de répondre à la question suivante : pourquoi à tel moment historique y a-t-il tel cinéma ? Pourquoi le néo-réalisme en Italie dans les années d'après guerre et non pas en Allemagne ou en France ? " L'auteur illustre son propros théorique par des analyses des films de Lang et par des exemples puisés à même ses travaux sur le néo-réalisme italien.
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Vautier, Claude. "La faille et la brèche : réflexions sur un dépassement possible des controverses contemporaines en sociologie." Nouvelles perspectives en sciences sociales 9, no. 1 (March 27, 2014): 289–317. http://dx.doi.org/10.7202/1024046ar.

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Abstract:
La sociologie n’en finit pas de confronter des positions selon lesquelles ce serait l’individu qui serait la source du tout social ou, au contraire, ce serait le système qui construirait les individus. Ces confrontations se poursuivent dans un débat autour de la synchronie ou de la diachronie des études. La sociologie des réseaux a marqué une avancée vers une réconciliation entre ces positions. Mais, pourrait-on dire, c’est une réconciliation a minima. Tout comme la théorie des systèmes complexes selon la mouvance du RNSC (Réseau national des systèmes complexes), si elle fait coexister une analyse structurale et une analyse individualiste, les catégories analytiques d’individu et de système restent nettement séparées et l’historicité du social n’est pas vraiment prise en compte. Ce texte explore les possibilités de modélisation de l’inséparabilité des catégories individu, système et événement. Il tente de montrer que la tradition sociologique, jusqu’à nos jours, a manipulé ces catégories, les a appariées de diverses manières et que chaque courant théorique est analysable à travers une grille représentant le mode d’appariement de ces trois catégories. Il essaie de mettre en lumière le fait que ces combinaisons sont à la source de polémiques récurrentes et qui finissent par devenir largement stériles. Il le fait en développant l’idée qu’une approche relationnelle en sciences sociales peut être une voie de sortie de ces disputes en liant de façon intime les trois catégories précédentes. En leur accordant, dans la modélisation un niveau causal et résultant, soit de façon alternative, soit de façon simultanée, il permet leur circulation, comme dans un ruban de Möbius. Cette modélisation qui prend la forme d’un modèle trialectique noue, dans un périmètre élargi, ces grandes catégories de la sociologie sans donner prééminence à l’une sur les autres.
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Duprez, Jean-Marie, and Philippe Bernoux. "La sociologie des organisations. Initiation théorique suivie de douze cas pratiques." Revue Française de Sociologie 27, no. 4 (October 1986): 752. http://dx.doi.org/10.2307/3321715.

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VIDAL, Daniel. "Formation sociale et mouvements sociaux." Sociologie et sociétés 2, no. 2 (September 30, 2002): 167–88. http://dx.doi.org/10.7202/001827ar.

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Abstract:
Résumé Les notes présentées ici partent d'une double hypothèse. D'une part, l'impossibilité de dégager de la succession des analyses sociologiques un principe de continuité qui permettrait de définir la sociologie comme lieu d'une histoire linéaire. Chaque système théorique constitue son objet propre, son langage spécifique, et, à la limite, une méthodologie relativement autonome. À l'intérieur de chacun de ces ensembles théoriques, sans doute se produit-il unecumulativité des découvertes et des résultats, dans la mesure où l'on peut poser l'unicité des ressources et des modes de traitement. D'un système à l'autre, par contre, si des voies de passage demeurent possibles, ce ne sont que pratiques d'emprunt donnant lieu à des objets mixtes, relevant de deux ordres de signification incompatibles. D'autre part, et comme exemple, l'analyse centrée sur le concept et l'objet de société s'oppose à l'analyse mettant en place les concepts de formation sociale et de mouvements sociaux. C'est cette dernière analyse que les réflexions qui suivent essaient de présenter brièvement. Instances, registres, travail, contradictions, lignes de fracture par quoi une formation sociale produit différents modes de transformation comme sa nécessité propre, tels sont les arguments qu'une sociologie des transformations sociales paraît devoir observer.
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Guillemard, Anne-Marie. "Emploi et protection sociale dans la seconde partie des parcours des âges. Éléments pour une analyse comparée internationale." Lien social et Politiques, no. 38 (October 2, 2002): 75–85. http://dx.doi.org/10.7202/005120ar.

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Abstract:
RÉSUMÉCet article vise à élaborer un cadre théorique articulant sociologie de la protection sociale, sociologie de l'emploi et du marché du travail et sociologie des âges de la vie et du parcours des âges, pour interpréter les transformations intervenues au cours des vingt dernières années dans la distribution du travail sur le cycle de vie et les implications de cette distribution sur le remodelage de la protection sociale. Le marché du travail se resserre sur les âges médians, entraînant une déchronologisation et une détemporalisation du cycle de vie ternaire, scandé par la scolarisation, l'emploi à vie et le passage à la retraite marquant l'entrée dans la vieillesse. L'ordonnancement du parcours des âges se fait imprécis et aléatoire. Tant les politiques de main-d'œuvre des entreprises que les mesures de protection sociale contribuent activement à ce parcours.
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Fabiani, Jean-Louis. "Une sociologie transcendentale?" Annales. Histoire, Sciences Sociales 65, no. 6 (December 2010): 1429–39. http://dx.doi.org/10.1017/s0395264900037513.

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Abstract:
Une des caractéristiques les plus remarquables de la sociologie en tant que discipline réside dans le fait qu’elle n’a jamais cessé d’être refondée depuis ses multiples, et souvent incertaines, fondations. On pourrait dire que son style épistémologique dominant est celui d’une science toujours déjà là et encore à venir, partagée entre d’infinies potentialités cognitives et une situation effective dans le monde social marquée par la puissance des obstacles qui ne cessent de surgir sur le périlleux chemin de la scientificité. L’idée qui prévaut est celle d’une science jeune, même si ses premières mises en forme ont maintenant un siècle et demi. Jean-Claude Passeron a parfaitement analysé une telle disposition dans Le raisonnement sociologique et il est inutile d’y revenir en détail. L’anxiété épistémologique constitutive d’un savoir dévolu aux formes de sociation (Vergesellschaftung), dont on s’efforce de repérer les régularités et les automatismes tout en faisant droit aux émergences et aux disruptions, a suscité un espace permanent de discussion autour des principes fondateurs, de la définition de l’objet et des protocoles d’observation et d’analyse jusqu’aux modèles plus ou moins explicites de l’action qui permettent de rendre compte des motifs des agents et des institutions ou bien qui s’affranchissent de tout recours à la motivation au profit d’une mécanique sociale. Très souvent, le débat tend à devenir scholastique, au sens que Pierre Bourdieu donnait à ce terme, particulièrement dans ses Méditations pascaliennes. On peut voir les choses de deux façons: la première consiste à considérer que la surchauffe épistémologique ainsi produite est un impédiment pour la recherche empirique à base monographique et qu’elle n’est qu’un cruel indicateur de la minceur des enjeux de la sociologie universitaire. La seconde consiste à reconnaître dans cette négociation indéfinie le site propre des sciences sociales, comme le montrent les débats récurrents sur les pouvoirs explicatifs réflexifs de la structure et de l’agencéité, particulièrement dans la sociologie de langue anglaise. On doit ainsi constater que la pluralité théorique est inhérente à la sociologie. Il est frappant que la discipline se soit régulièrement trouvée de nouveaux pères fondateurs. On pourrait dire ironiquement qu’elle compte aujourd’hui plus de fils fondateurs que de pères fondateurs, instituant une sorte de démocratie séminale où tout le monde a sa chance. Proposer son paradigme semble être une épreuve dans le cursus honorum du sociologue, pourvu qu’il ait un peu d’ambition et qu’il fasse montre de bonnes dispositions lexicographiques. Un sociologue produit d’abord un vocabulaire destiné à signifier le niveau de sa créativité conceptuelle. Pas de grande carrière sans lexique indexé sur un nom propre: middle range theory et obliteration by incorporation pour Robert Merton, habitus-champ-capital pour P. Bourdieu, justification-cité-grandeur pour Luc Boltanski et Laurent Thévenot, objets chevelus et non chevelus et acteur-réseau – au sein d’un dictionnaire et d’un arsenal métaphorique proprement stupéfiant – pour Bruno Latour. Il est remarquable que ces lexiques coexistent sans produire aucun effet de babélisme: tous les protagonistes continuent de se comprendre parfaitement, même s’ils parlent des langages ostensiblement antagonistes. Il serait sous ce rapport fécond de mener une enquête sur les profondes mutations subies par le lexique weberien de la légitimité dont P. Bourdieu a intensifié et universalisé l’usage: les vocabulaires de la justification et de l’artification en constituent des transpositions assez fidèles dans des cadres de référence épistémologiquement hétérogènes. Le livre de Cyril Lemieux, Le devoir et la grâce, pourrait être lu comme un exemple supplémentaire de cette volonté de produire un lexique nouveau. Il pourrait avoir pour sous-titre: Projet d’une sociologie grammaticale. Ce ne serait pourtant pas rendre justice à un travail extrêmement stimulant qui ne se réduit jamais à la proposition d’un nouveau vocabulaire des sciences sociales, mais qui prend au sérieux la nécessité de construire un espace commun qui transcende les démarcations institutionnelles et les paradigmes locaux.
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Bonny, Yves. "Un objet bien singulier !" Cahiers de recherche sociologique, no. 59-60 (June 15, 2016): 17–30. http://dx.doi.org/10.7202/1036783ar.

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Abstract:
Cet article thématise la singularité en tant que nouvel objet théorique de la sociologie. Établissant une distinction claire entre la singularité et la particularité, il vise à montrer que la sociologie s’est historiquement intéressée de façon privilégiée à la généralité, du fait de ses orientations nomothétiques, et ce faisant à l’articulation entre le général et le particulier. La seule singularité mise en exergue dans cette perspective était celle de la trajectoire historique occidentale, mais celle-ci était elle-même appréhendée de façon globale. Considérer la singularité comme nouvel objet de la sociologie implique de mettre en évidence l’effet conjugué des développements internes de la discipline (critique de la réduction du singulier au particulier ou de la confusion entre singularité et homogénéité) et des transformations sociohistoriques. L’analyse est approfondie à travers trois entrées principales : la singularité de l’individu, la singularité des dynamiques actionnelles et interactionnelles et la singularité historique.
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Dufour, Frédérick Guillaume, and Nancy Turgeon. "Dipesh Chakrabarty et John M. Hobson sur l’eurocentrisme et la critique des relations internationales." Études internationales 44, no. 1 (April 15, 2013): 89–107. http://dx.doi.org/10.7202/1015124ar.

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Abstract:
Résumé Les auteurs présentent et analysent le projet théorique de Dipesh Chakrabarty – un important représentant des études postcoloniales – de « provincialiser » certains développements sociohistoriques de l’Europe. Ils se penchent également sur la critique de l’eurocentrisme de John M. Hobson, un important représentant de la sociologie historique néowébérienne des relations internationales. Après avoir présenté ces contributions aux théories postcoloniales et au virage anti-eurocentriste de certains sociologues néowébériens, les auteurs soulignent que ces théories ont tendance à s’élever contre une version dépassée du marxisme, ce qui les conduirait à négliger l’étude de l’articulation entre la modernité des relations internationales et l’émergence d’un ordre global capitaliste. Les auteurs concluent en défendant l’importance d’un détour par la théorie sociale classique pour l’examen des spécificités des arguments eurocentristes dans les relations internationales passées et contemporaines.
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HOULE, Gilles. "L’idéologie : un mode de connaissance." Sociologie et sociétés 11, no. 1 (December 14, 2010): 123–45. http://dx.doi.org/10.7202/001352ar.

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Abstract:
Abordé du point de vue d’une sociologie de la connaissance, le développementculturel renvoie au problème d’une théorie des idéologies, définie non plus commeune théorie du discours ou des idéologies politiques, mais comme théorie de laconnaissance. Dissociant l’idéologique du politique et posant l’idéologie comme modede connaissance, analogue à la connaissance scientifique, dont les fondements sontceux du travail scientifique, comme de la pensée de sens commun (comme niveauxspécifiques d’abstraction), l’analyse d’une histoire de vie tente de vérifier cettedistinction théorique. Dans la perspective d’une sémantique structurale, l’analysede contenu qui est faite, tente moins de décrire et d’expliquer la « mécanique » dutexte, que de démontrer qu’on peut y trouver un objet construit, la sociétéquébécoise, définissant un modèle concret de connaissance analogue au modèleabstrait que construit le scientifique. Ce modèle concret, expression et outild’explication de cette réalité, est relatif à l’état de développement de cettesociété. Il permet aussi de jeter un regard nouveau sur l’histoire du Québec dupoint de vue de la genèse des rapports sociaux constitutifs de cette société et dela connaissance qu’il est possible d’en avoir : définissant ainsi l’objet même d’unesociologie de la connaissance.
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Friedberg, Erhard. "Thomas C. Schelling et l’École française de sociologie de l’action collective." Emulations - Revue de sciences sociales, no. 31 (November 15, 2019): 65–78. http://dx.doi.org/10.14428/emulations.031.05.

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Abstract:
Cet article est fondé sur une série d’entretiens menés par l’auteur avec Thomas Schelling en 1998, 2004 et 2009. Dans la première partie, l’auteur caractérise ce qu’il considère comme les traits saillants (un mode de raisonnement, un style de théorisation, un mode de recherche empirique…) de ce qu’il propose d’appeler « l’École française de sociologie de l’action collective ». Dans la deuxième partie, il utilise les extraits des entretiens menés avec Schelling pour documenter la proximité du cadre théorique et méthodologique de cette École avec nombre d’éléments qui caractérisent aussi l’approche de Schelling comme spécialiste de la négociation et analyste des dynamiques sociales, approche que Schelling lui-même a appelé « vicarious problem-solving ».
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Bayatrizi, Zohreh, Thomas Kemple, and Jan Maertens. "Un problème de chiffres : l’utilisation des connaissances empiriques en statistique dans la théorie sociale classique." Sociologie et sociétés 44, no. 2 (October 31, 2012): 45–73. http://dx.doi.org/10.7202/1012920ar.

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Abstract:
En se référant à des exemples précis de théoriciens reconnus ou non de la sociologie du xixe au début du xxe siècle, et en prenant en compte les écrits de Georg Simmel quant à la détermination quantitative des groupes sociaux comme cadre théorique et point thématique de départ, cet essai considère la diversité des formes de connaissances qui caractérisent certains des textes fondateurs de la sociologie. Nous nous concentrons en particulier sur l’utilisation de tableaux statistiques, d’enquêtes, ou d’autres moyens de générer et de rendre compte d’une connaissance empirique au sein du travail de théoriciens sociaux classiques tels que Durkheim et Tarde, Marx et Engels, Max et Alfred Weber, ainsi que des données numériques sur lesquelles ils se sont appuyés ou qu’ils ont générées, cela incluant Quetelet, Kay-Shuttleworth et Du Bois. Nous conclurons en regardant en quoi un examen des méthodes empiriques et statistiques en sociologie classique nous aide à voir que le conflit entre les approches qualitatives et quantitatives qui divise la sociologie d’aujourd’hui est en grande partie dû à l’évolution ultérieure de la division disciplinaire du travail et d’une spécialisation professionnelle de la connaissance, un problème que les travaux de Simmel nous aident à exposer et à traiter.
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Thérien, Gilles. "La Lisibilité au cinéma." Cinémas 2, no. 2-3 (March 8, 2011): 107–22. http://dx.doi.org/10.7202/1001080ar.

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Abstract:
L’article se propose de faire la part théorique entre la réception au cinéma et la lisibilité. Dans un premier temps, ce sont les différents sens de réception qui sont évoqués et leur contexte d’application théorique. On retient en gros une esthétique de la réception et une sociologie de la réception. À cela viendra s’opposer la lisibilité au cinéma. Il s’agit de montrer que tout film doit d’abord être lu comme un objet singulier et complexe qui ne peut être réduit à son résumé mais doit tenir compte du fonctionnement particulier de son imagerie, ce qui déjà distingue considérablement le cinéma de la littérature à laquelle ont d’abord été appliquées les théories de la réception. En ce sens, divers processus de lisibilité sont décrits de façon à restituer au film une lisibilité qui lui est propre. Ces processus s’appuient tous sur l’acte de lecture spécifique qu’oblige le cinéma.
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Nault, François. "Un concile prophétique au temps des sorciers." Dossier 67, no. 3 (April 5, 2012): 461–75. http://dx.doi.org/10.7202/1008600ar.

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Abstract:
Ayant rappelé comment le Concile fut rapidement compris comme un événement prophétique, l’auteur propose de prendre un peu de distance par rapport à cette idée, en faisant un détour par la sociologie. Tout en prenant au sérieux les analyses de Pierre Bourdieu, l’auteur montre comment le concile Vatican II résiste au cadre théorique bourdieusien. Après avoir proposé une brève théologie du prophétisme, l’auteur interroge notre époque, demandant quelle place elle peut encore laisser aux prophètes. Ne vivons-nous pas désormais à l’époque des sorciers ?
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Devisme, Laurent. "Ressorts et ressources d’une sociologie de l’expérience urbaine1." Sociologie et sociétés 45, no. 2 (February 21, 2014): 21–43. http://dx.doi.org/10.7202/1023171ar.

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Abstract:
La connaissance de l’expérience urbaine, si elle relève principalement d’une microsociologie, comporte des intérêts qui vont bien au-delà, interrogeant notamment la tonalité des espaces publics, les performances des équipements et des dispositifs urbains. Ce texte vise en quelque sorte son exhumation alors que d’une part le contexte académique a eu tendance à segmenter les savoirs urbains et que d’autre part la métropolisation contemporaine a mis à mal la figure (souvent fantasmée) de la ville centrée, délimitée, dense et diverse, expressive.La première partie du texte revient sur les caractéristiques de la sociologie de l’expérience urbaine ; la deuxième montre l’enjeu de comprendre les équipements qui soutiennent cette expérience à partir des cas du banc public et du belvédère ; la troisième interroge les ressources dont nous pouvons disposer pour comprendre le contexte contemporain de la ville décentrée, sans reprendre les visions homogènes et dépréciatives que les spécialistes tendent souvent à construire à son égard ; enfin, c’est la question du regard sociologique qui est posée et de certaines méthodes que nous pouvons activer pour ne pas délaisser une fonction d’interpellation de la recherche urbaine à l’égard des pratiques de l’aménagement, du design jusqu’au paysage. Si l’enjeu du texte est d’abord théorique, il n’est donc pas sans poser des questions au champ de la production et de la transformation intentionnelles des espaces construits.
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Adloff, Frank. "Les mouvements religieux et les défis de la modernité." Sociologie et sociétés 42, no. 2 (January 20, 2011): 315–39. http://dx.doi.org/10.7202/045366ar.

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Abstract:
L’article se propose d’analyser, à titre d’exemple significatif, le phénomène de l’émergence du fondamentalisme protestant au début du 20e siècle et les formes d’expression de la religiosité aux États-Unis autour de 1960. L’étude de ces deux mouvements religieux adopte l’approche de la sociologie des émotions. Cette contribution se fixe pour objectif de développer un programme de recherche théorique encore inexistant qui mettra en relation les questions et perspectives de la sociologie des religions avec celles de la sociologie des émotions. Ce faisant, nous démontrerons qu’il existe une corrélation entre le défi moderne d’une contingence grandissante et les mouvements religieux. Nous développerons en outre la thèse que le fondamentalisme ne peut être expliqué sans faire référence aux sentiments tels que l’angoisse, la honte et la colère. De même, les courants actuels de la religiosité évangélique ne pourront être compris sans l’analyse de leur ancrage émotionnel positif. Les formes de l’évidence religieuse subjective et émotionnelle que l’on rencontre aux États-Unis constituent des réponses aux problèmes que pose la contingence, et les sentiments, négatifs ou positifs, doivent être inclus dans l’analyse si l’on veut mieux comprendre la constitution des mouvements religieux.
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Brahy, Rachel. "L’engagement en présence : l’atelier de théâtre-action comme support à une participation sociale et politique ?" Partie 1 — Les nouveaux canaux d’expression publique de l’arrière-scène participative, no. 71 (May 2, 2014): 31–49. http://dx.doi.org/10.7202/1024737ar.

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Abstract:
Les ateliers de théâtre-action se présentent comme un espace original d’observation de la mise en commun et de l’engagement dans l’action. Les participants qui pénètrent ces dispositifs sont, en effet, appelés à se coordonner sous un format tout à fait particulier qui en appelle à la confiance, au présentisme, mais aussi aux corps et énergies de chacun. À partir de la sociologie des régimes d’engagement de Laurent Thévenot (Thévenot, 2006) et d’observations empiriques récentes, sera ainsi éclairée une modalité particulière de l’engagement, que nous nommerons « engagement en présence ». Plus exactement, dans cet article, nous tenterons de prendre la mesure : 1) de mutations relatives au contexte sociohistorique et qui impactent sur l’intervention théâtrale contemporaine ; 2) de la manifestation actuelle d’une réalité empirique visant la formation d’un « être avec » ; 3) de la possibilité d’une intégration théorique de l’« engagement en présence » à une sociologie de l’action.
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