Academic literature on the topic 'Sorgho – Rendement – Québec (Province)'

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Dissertations / Theses on the topic "Sorgho – Rendement – Québec (Province)"

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Thivierge, Marie-Noëlle. "Le millet perlé sucré et le sorgho sucré comme cultures énergétiques en conditions québécoises : potentiel de production, utilisation de l'azote, morphologie des racines et apport de carbone au sol." Doctoral thesis, Université Laval, 2014. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26494.

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Abstract:
Le millet perlé sucré [Pennisetum glaucum (L.) R.BR.] et le sorgho sucré [Sorghum bicolor (L.) Moench] sont des cultures annuelles dont la sève sucrée peut être transformée en éthanol. Ces cultures semblent avoir des besoins limités en azote, mais leur efficacité d’utilisation de l’azote n’a pas été démontrée dans les conditions de l’est du Canada. De plus, la morphologie des systèmes racinaires de ces espèces a peu été étudiée, alors qu’elle pourrait fournir des explications concernant l’efficacité d’utilisation de l’azote. Les objectifs de cette étude étaient de (i) comparer le millet perlé sucré et le sorgho sucré quant à leur rendement et leur utilisation de l’azote (N), (ii) déterminer la réponse des deux espèces à des doses croissantes d’azote minéral, (iii) comparer leur réponse à l’azote minéral et l’azote de source organique (lisiers de porc et de bovin), (iv) comparer leurs traits racinaires et ceux du maïs-grain (Zea Mays L.), l’espèce actuellement utilisée pour produire de l’éthanol dans l’est du Canada, et (v) comparer l’apport en carbone au sol de ces trois espèces. Les espèces ont été cultivées à deux sites expérimentaux situés au Québec. Les doses d’azote favorisant les plus hauts rendements en sucres chez le millet et le sorgho ont été de 86 et 91 kg N ha-1, selon le site. La fertilisation minérale a généré des rendements plus élevés que l’utilisation de lisiers, lesquels ont montré une efficacité fertilisante variant de 15 à 52 % de celle de l’engrais minéral. Le sorgho a donné des rendements en sucres 68 % plus élevés que ceux du millet. Le millet et le sorgho ont récupéré dans leurs parties aériennes 54 à 82 % de l’azote minéral appliqué. Alors que la biomasse racinaire et l’apport annuel en carbone ont été supérieurs pour le maïs, la longueur des racines et la proportion de racines très fines étaient plus élevées pour le millet perlé sucré et le sorgho sucré. Les résultats démontrent la haute efficacité avec laquelle le millet et le sorgho utilisent l’azote ainsi que les faibles risques environnementaux associés, et suggèrent que la morphologie racinaire contribue à cette efficacité.<br>Sweet pearl millet [Pennisetum glaucum (L.) R.BR.] and sweet sorghum [Sorghum bicolor (L.) Moench] are annual crops from which the sweet sap can be fermented to ethanol. They appear to have a high nitrogen (N) use efficiency, but this remains to be demonstrated in eastern Canada. Studying the morphological traits of their rooting system could help understanding their N use efficiency. The main objectives of this study were to (i) compare both species for yield and N use efficiency, (ii) determine their response to increasing mineral N rate, (iii) compare their response to mineral vs. organic N sources (liquid swine and liquid dairy manures), (iv) compare their root morphological traits with those of grain corn (Zea Mays L.), the sole feedstock used for ethanol production in eastern Canada, and (v) compare annual carbon input to soil from these three species. Species were grown at two experimental sites in Quebec. The N rates that led to maximum sugar yield for sweet pearl millet and sweet sorghum were 86 and 91 kg N ha-1, depending on site. Mineral N fertilization resulted in greater yields than the liquid manures, which showed fertilizer N equivalences varying from 15 to 52%. Fifty-four to 82% of applied mineral N fertilizer was recovered in the aboveground biomass of sweet pearl millet and sweet sorghum. While root biomass and annual carbon input were greater with corn, the length of the rooting system and the proportion of very fine roots were greater with sweet pearl millet and sweet sorghum. Our results show a high N use efficiency of sweet pearl millet and sweet sorghum, and therefore indicate low environmental risk associated with their fertilization. Moreover, our results suggest that the peculiar root morphology of these crops contribute to their high N use efficiency.
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Kone, Marihouma. "Évaluation du potentiel agronomique de fourrages riches en tanins condensés ou en lactones sesquiterpènes dans quatre régions du Québec." Master's thesis, Université Laval, 2019. http://hdl.handle.net/20.500.11794/36620.

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Abstract:
L’objectif était d’évaluer le potentiel agronomique, soit l’établissement, la survie hivernale, la production de biomasse et la valeur nutritive de nouvelles espèces fourragères riches en tanins condensés ou en lactones sesquiterpènes cultivées en semis pur et en association avec deux graminées fourragères, la fléole des prés (Phleum pratense L.) et la fétuque des prés (Festuca pratense Huds.), et ce, en gestion de pâturage dans quatre régions climatiques du Québec. L’expérience au champ s’est déroulée aux stations de recherche de Sainte-Anne-de-Bellevue (Montréal), Saint-Augustin-de-Desmaures (Capitale-Nationale), La Pocatière (Bas-Saint-Laurent) et Normandin (Saguenay-Lac-Saint-Jean), pendant deux années (2016 et 2017). Sur l’ensemble des stations en 2017, la chicorée (Cichorium intybus L.) et le lotier corniculé (Lotus corniculatus L.) ont eu des rendements satisfaisants comparés à celui de la luzerne, et ce, à tous les sites, alors que le sainfoin (Onobrychis viciifolia Scop.) a moins bien performé. Le sainfoin avait des teneurs en tanins condensés (moyenne de 10,7 g kg-1 MS) et en protéines moyennement et lentement dégradables dans le rumen les plus élevées.<br>The objective was to evaluate the agronomic potential, namely establishment, winter survival, biomass production, and nutritive value of novel forage species with a high content of condensed tanins or sesquiterpene lactones grown in pure stand or in mixture with two forage grasses, timothy (Phleum pratense L.) and meadow fescue (Festuca pratense Huds.), under pasture management in four climatic regions of Quebec. The field experiment took place in Sainte-Anne-de-Bellevue (Montreal region), Saint-Augustin-de- Desmaures (Capitale-Nationale region), La Pocatière (Bas-Saint-Laurent region), and Normandin (Saguenay-Lac-Saint-Jean region), over two years (2016 and 2017). At all study sites in 2017, chicory (Cichorium intybus L.) and birdsfoot trefoil (Lotus corniculatus L.) had satisfactory yields compared to alfalfa at all sites, while sainfoin (Onobrychis vicifolia Scop.) did not perform well. Sainfoin had the highest content of condensed tanins (average of 10.7 g kg-1 dry matter) and moderately and slowly degradable proteins.
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Crépeau, Marianne. "Optimisation de la récolte, de l'entreposage et du pressage du millet perlé sucré et du sorgho sucré cultivés au Québec pour la production de bioéthanol." Doctoral thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/27585.

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Abstract:
Le millet perlé sucré et le sorgho sucré sont deux plantes ayant une riche concentration en sucres fermentescibles dans leur tige sous forme de jus. Celui-ci peut être extrait par pressage mécanique et ensuite fermenté pour une éventuelle production de bioéthanol. Contrairement à d’autres cultures présentement utilisées pour la production de bioéthanol de première génération, le millet perlé et le sorgho sucrés peuvent être cultivés sur des sols légers moins fertiles puisqu’ils demandent peu d’apport nutritif et d’eau. Ces deux espèces sont donc attrayantes afin de diversifier les sources de production d’énergie durable. Plusieurs études sur le sorgho sucré ont été effectuées à travers le monde, mais l’utilisation du millet perlé sucré reste relativement nouvelle. Des avancées agronomiques ont été effectuées au courant des dernières années avec ces deux cultures selon les réalités régionales du Québec. Par contre, le processus de récolte, d’entreposage et de pressage du millet perlé sucré et du sorgho sucré n’a pas encore été étudié selon ces réalités. Au cours des années 2012, 2013 et 2014, des expériences de récolte, d’entreposage de la biomasse, d’extraction et d’entreposage du jus de ces deux cultures ont été réalisées au Québec pour déterminer les paramètres permettant d’améliorer ces opérations. Quatre volets ont été étudiés séparément (récolte, entreposage de la biomasse, extraction et entreposage du jus) pour ensuite analyser le tout et déterminer le scénario le plus adéquat de récolte, de pressage de la biomasse et d’entreposage du jus pour une éventuelle fermentation. Des essais d’une machinerie de récolte ont d’abord été réalisés afin de déterminer, entre autres, les vitesses d’avancement adéquates pour la récolte de ces deux cultures. Des essais d’entreposage de la biomasse sous forme de tiges entières ou hachées ont ensuite été effectués selon différents délais entre la récolte et le pressage afin d’examiner l’impact du hachage et des délais sur le volume de jus extrait de la biomasse et sa concentration en sucres. Deux presses ont aussi été fabriquées, testées et comparées afin de déterminer la presse la plus adéquate en termes de quantité et qualité (sous forme de sucres extraits) du jus. Finalement, des essais d’entreposage du jus ont été réalisés pour déterminer l’impact de divers délais et températures d’entreposage sur la concentration en sucres. Les résultats obtenus ont indiqué que la biomasse peut être récoltée à l’aide d’une fourragère conventionnelle, préférablement avant un épisode de verse de la biomasse, qui peut être fréquent sous nos climats. L’entreposage de la biomasse sous forme de tiges entières est possible sur une période de plus de 12 jours pour le sorgho sucré et de 4 jours pour le millet perlé sucré. Si la biomasse est hachée, elle devra par contre être pressée dans les premières 24 h afin d’éviter la dégradation des sucres par fermentation sous l’action d’enzymes comme l’invertase. Le jus extrait peut être conservé à température ambiante pendant 12 h sans aucune perte significative de sucres. Le pressage de la biomasse devrait être effectué sans les feuilles à l’aide d’une presse à rouleaux ou hydraulique pour le sorgho sucré et ce pour une extraction optimale du jus. Pour le millet perlé sucré, l’extraction du jus à l’aide d’une presse à rouleaux est déconseillée dû au faible diamètre des tiges. Les résultats indiquent qu’il est possible d’utiliser ces deux cultures pour une éventuelle production de bioéthanol au Québec, bien que cette production reste une source de revenu secondaire pour les producteurs, compte tenu d’une courte période de récolte et des rendements en sucres relativement faibles.<br>Sweet sorghum and sweet pearl millet are two plants with stems rich in fermentable sugars. The sugary juice can be extracted by mechanical pressing and fermented for bioethanol production. Unlike other crops currently used for first generation bioethanol production, sweet pearl millet and sweet sorghum can grow on light and less fertile soils since they require little water and nutrient supplies. These two species are therefore very attractive to diversify the sources of sustainable biofuels production. Several studies on sweet sorghum have already been carried out worldwide, but the use of sweet pearl millet is relatively new. Agronomic breakthroughs have been achieved these recent years with both crops in the Province of Quebec. However, the process of harvesting, storage, and extracting the juice from the biomass of sweet pearl millet and sweet sorghum has not yet been optimized under the regional realities of Quebec. Experiments have therefore been carried out in 2012, 2013, and 2014 in the Province of Quebec to optimize the harvesting, storage, and juice extraction process of both crops. Four components have been studied separately (harvesting, storage of biomass, juice extraction, and storage of the juice) and then an optimal scenario, from harvest to juice storage prior fermentation, was determined. Tests of harvesting were first performed to determine, among others, the adequate harvesting speeds for both crops. Storage trials with whole stalks and chopped biomass were also carried out to investigate the impact of various time delays on the volume of juice extracted and its sugars concentration. Two experimental presses were tested and compared to determine the most adequate one in terms of juice quantity and quality (as extracted sugars). Finally, experiments on juice storage were carried out to explore the impact of various time delays and storage temperatures on the juice’s sugar concentration. Our results indicated that the sweet sorghum and sweet pearl millet can be harvested with a conventional forage harvester, ideally before lodging, which might occur frequently under Quebec climate. Whole stalks storage is possible over a period of 12 days for sweet sorghum and 4 days for sweet pearl millet biomass. If the biomass is chopped, storage should however not be longer than 24 hours to avoid sugar losses by fermentation or by the action of enzymes such as invertase. The extracted juice can be stored for 12 h without any sugar loss if stored at ambient temperature. Juice extraction of sweet sorghum biomass should be carried out without the leaves, using a hydraulic or a roller presses, for optimal extraction of the juice. For sweet pearl millet, extraction of the juice using a roller press is not recommended due to the small diameter of the stems. The results indicate that it is possible to use these two crops for bioethanol production in Quebec, although this production would remain a secondary source of income for producers, given a short period of harvest and relatively low sugar yields.
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Tossou, Dandé Bienvenu. "Estimation du rendement de la maîtrise en économique à l'Université Laval." Master's thesis, Université Laval, 2015. http://hdl.handle.net/20.500.11794/26132.

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Abstract:
Le but de ce mémoire est d’établir le profil de rémunération des diplômés de maîtrise en économique de l’université Laval et de calculer les rendements associés à l’obtention de ce diplôme. La méthodologie utilisée est identique à celle adoptée par Vaillancourt et Ebrahimi (2010) et Stark (2007). Elle combine l’analyse coût-bénéfice de Becker (1960) et l’analyse par l’estimation du modèle économétrique de Mincer (1974). Nous avons ainsi calculé le rendement de la maîtrise par rapport au baccalauréat en économique d’abord pour l’individu et ensuite pour la société. Le calcul a été fait d’abord de façon générale puis suivant le sexe et le secteur d’activité des diplômés. La base de données que nous utilisons provient de l’enquête réalisée en 2014 par le service de placement de l’université Laval(SPLA) en collaboration avec le département d’économique auprès des diplômés. Nos résultats montrent que le principal employeur des diplômés du département est le secteur public incluant la fonction publique fédérale, la fonction publique provinciale, la fonction publique municipale et l’enseignement. La majorité des diplômés sont de sexe masculin. Le revenu des hommes reste plus élevé que celui des femmes et le revenu des travailleurs du secteur privé plus élevé que celui des travailleurs du public. Par ailleurs, les résultats suggèrent que l’investissement permettant le passage du baccalauréat à la maîtrise est rentable à la fois pour l’individu et pour la société. En effet, le rendement privé moyen est de 5:3% et le rendement social moyen est de 3:7%. Le rendement privé des hommes est de 5:3% et celui des femmes est de 5:4%. Le rendement privé des travailleurs du secteur privé est de 5:3% et celui des travailleurs du secteur public est de 5:4%. Les résultats correspondants, au niveau du rendement social, sont de 3:8%, 3:5%, 3:8% et 3:6% respectivement pour les hommes, les femmes, les travailleurs du privé et les travailleurs du public. On remarque ainsi que le rendement social est généralement inférieur au rendement privé, le rendement privé des femmes supérieur à celui des hommes et le rendement privé dans le secteur public est plus grand qu’au privé. Mais les différences observées à la fois entre les sexes et entre le type d’employeur sont de faible magnitude. Les conclusions qualitatives que nous tirons vont dans le même sens que celles de Vaillancourt et Ebrahimi (2010) et Stark (2007) même si les chiffres sont sensiblement différents.<br>The purpose of this paper is to establish the Laval University Master graduates in economic’s earnings profile and calculate the returns associated with this diploma. The methodology used is identical to that used by Vaillancourt et Ebrahimi (2010) and Stark (2007). It combines the cost-benefit analysis of Becker (1960) and analysis by estimating the Mincer (1974) econometric model . We have calculated the return of master over the Bachelor in Economic firstly for the individual and then for the society. The calculation was first made generally and then by gender and type of employer of graduates. The database we use comes from the survey conducted in 2014 among graduates of the Economics Department by the Laval University placement service(SPLA) in collaboration with the department of economics. Our results show that the major employer of graduates of the department is the public sector including the federal public service, the provincial public service, the municipal public service, teaching. The majority of the graduates is male. The income of men is still higher than that of women and income of private sector workers are higher than those in public workers. Furthermore, the results suggest that the investment for the passage from bachelor to master is profitable both for the individual and for society. Indeed, the average private return is 5:3% and the average social return is 3:7%. The private return for males is 5:3% and women is 5:4%. The private return of private sector workers is 5:3% and that of public sector workers is 5:4%. The results corresponding to social performance are 3:7%, 3:5%, 3:8% and 3:6%, respectively, for men, women, workers in the private and public workers. We note as well as the social return is usually less than the private return, the private return of women exceeds that of men and the private performance in the public sector is larger than private. But the differences both between the sexes and the type of employer are of low magnitude. The qualitative conclusions we draw are going in the same direction as those of Vaillancourt et Ebrahimi (2010) and Stark (2007).
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Cortade, Sébastien. "Effet de variables géographiques, bioclimatiques, écologiques et dendrométriques, sur les prédictions du rendement optimal en sciage et de la valeur marchande, pour les pessières noires de la forêt boréale québécoise." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/28304.

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Abstract:
L'épinette noire est considérée comme l'une des essences commerciales résineuses les plus importantes de la forêt boréale du Québec (Gagnon et Morin 2001). Selon Larson 1963 (Lejeune 2004), le rendement en sciage dépend principalement des caractéristiques morphologiques de l'épinette comme la hauteur des arbres et le défilement. Le projet a consisté à reconstituer la forme 3D des tiges d'épinette noire et du sapin baumier avec les modèles de défilement développés par Schneider et al. (2014), à partir de leurs diamètres et hauteurs respectifs issus des données de l'inventaire écoforestier du Ministère des Forêts de la Faune et des Parcs (MFFP), (1360 placettes réparties dans le Québec forestier méridional). Le logiciel Optitek (développé chez FPInnovations) a ensuite été utilisé pour simuler le rendement théorique optimal en sciage de chaque placette. Une analyse de ce rendement a permis d'évaluer l'effet de variables géographiques, bioclimatiques, stationnelles et dendrométriques sur le rendement en sciage chez ces deux essences. L'effet de ces différentes variables a également été étudié en fonction du contexte du marché moyen du bois. Les résultats indiquent que le rendement en sciage augmente avec la hauteur des placettes mais différemment selon les configurations d'usines. Les modèles basés sur un diamètre minimum d'utilisation à 7.5 cm fournissent des estimations plus précises et des gains importants en termes de rendement en sciage et de produits forestiers que ceux basés sur un diamètre marchand à 9 cm fin bout. Les modèles d'analyses paramétrés en fonction des variables géographiques, dendrométriques et du bioclimat expliquent de façon significative la variation du rendement théorique en sciage (PMP/m³, types de produits p. ex. 10, 12, 16 pieds) à l'échelle de la placette. Ceux-ci révèlent une augmentation du rendement en sciage et qu'un fort indice de défilement des tiges dans les faibles densités influence à la baisse ce rendement suivant le type de configuration de l'usine 16'.
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Ayari, Mohamed Amine. "Développement d'une régie de culture du safran (Crocus sativus) adaptée aux conditions climatiques québécoises." Master's thesis, Université Laval, 2021. http://hdl.handle.net/20.500.11794/69062.

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Abstract:
Le safran est un crocus d'automne qui produit une épice de grande valeur. Plusieurs safranières ont été implantées au cours des dernières années au Québec. Cependant, le type de sol et les conditions climatiques diffèrent passablement par rapport aux pays d'où origine la culture, ce qui nous a mené à tester plusieurs aspects susceptibles d'influencer le rendement en safran, notamment la profondeur et la période de plantation ainsi que l'application d'une combinaison de fertilisants, champignons mycorhiziens et biostimulants à la plantation. Puisque la température influence fortement la floraison chez le safran, un suivi en continu des températures du sol a été effectué durant toute l'année, et un suivi hebdomadaire de l'initiation florale de mai à août. L'émergence des feuilles et des fleurs est retardée et diminue avec la profondeur de plantation. Une plantation à 10 ou 15 cm semble préférable, mais stimule la production de cormes trop petits pour fleurir. La meilleure période de plantation est de la fin juillet jusqu'à la troisième semaine d'août. La fertilisation a accéléré l'émergence des feuilles à l'automne, et a augmenté le nombre de cormes produits ainsi que leur teneur en nutriments. L'ajout de spores de champignons mycorhiziens ainsi que de biostimulants n'a eu aucun effet sur la floraison ou le rendement en safran. Tout traitement confondu, la production de fleurs n'a été bonne qu'une seule année sur les trois années de l'étude. Il semble que le sol ne soit pas assez chaud en juillet lors de l'induction florale. De plus, dans le secteur à l'étude, les températures diminuent trop rapidement à l'automne ce qui retarde la floraison et réduit les rendements. Il est proposé de cultiver le safran dans des secteurs plus méridionaux et de recourir à des techniques visant à réchauffer le sol afin d'augmenter les rendements en safran au Québec.<br>Saffron is an autumn crocus that produces a highly valuable spice. Several saffron farms have been established over recent years in the province of Quebec. However, the edaphic and climatic conditions differ considerably compared to the countries of origin of the crop, which led us to test several aspects that could influence the saffron yield, including planting depth and planting period as well as the application of a combination of fertilizers, mycorrhizal fungi and biostimulants at planting. Since temperature strongly influences saffron flowering, continuous monitoring of soil temperatures was carried out throughout the year, along with a weekly monitoring of flower initiation from May to August. Both leaf and flower emergence were delayed, and final emergence reduced as planting depth increased. Planting at 10 or 15 cm seems preferable but stimulates the production of corms too small to flower. The best planting period is from the end of July until the third week of August. Fertilization hastened leaf emergence in the autumn and improved corm production and their nutrient content. The addition of mycorrhizal fungal spores as well as biostimulants had no effect on flowering or saffron yield. All treatments combined; flower production was good in only one of the three study years. It seems that the soil does not warm enough in July during flower induction. Moreover, in the study area, temperatures drop too rapidly during autumn, which delays flowering and reduces yields. It is proposed to cultivate saffron in more southern areas and to use techniques aimed at soil warming in order to increase saffron yields in Quebec.
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Fraser, Anne-Marie. "Impact des hybrides transgéniques de maïs sur l'entomofaune d'agroécosystèmes du Québec." Thesis, Université Laval, 2006. http://www.theses.ulaval.ca/2006/23905/23905.pdf.

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Gassama, Ibrahima. "Du rendement soutenu à l'aménagement forestier durable : Quelle gouvernance pour le Québec ?" Thesis, Université Paris-Saclay (ComUE), 2016. http://www.theses.fr/2016SACLV063/document.

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Abstract:
Cette thèse est une exploration pour rendre opérationnel le concept d'aménagement forestier durable, en dépassant les perspectives proposées par le rendement soutenu. Dans ce cadre, la démarche n'est pas de calculer l'évolution de la production des volumes de bois pour en garantir un flux constant, mais bien la définition, par la diversité des acteurs, de la cohérence dans le développement d'une diversité d'activités forestières. Cette démarche nécessite non seulement un éclairage associé à la connaissance experte, mais aussi à la connaissance provenant des acteurs des activités forestières et des acteurs de la gouvernance pour comprendre les effets de tels développements sur le territoire. La réalité, sur le terrain montre que la préoccupation des acteurs du milieu forestier va au-delà de la préservation des volumes de bois.Ainsi, la durabilité forestière englobe d’autres valeurs et usages non ligneuses et non monétaires. Une évaluation de ces autres valeurs ne saurait se faire sans la création d’une démarche participative dont la finalité est de construire les préférences par les acteurs eux-mêmes. Ainsi, l’aménagement forestier durable devient un problème de choix social afin d’identifier les formes d’aménagement acceptables par les acteurs du territoire. Cette recherche s’attèlera à ressortir ces préférences sociétales sur le territoire pilote du Saguenay-Lac-Saint-Jean par une démarche délibérative et des outils multimédias de la médiation des connaissances<br>This thesis is an exploration to operationalize the concept of Sustainable Forest Management, overcoming the prospects offered by the concept of Sustained Yield. In this context, the approach is not to calculate the evolution of production volumes of wood to ensure a constant flow, but to define by the diversity of stakeholders, the consistency in the development of multiple forest activities. This approach requires an associated lighting expert knowledge but also knowledge from actors in forestry and governance stakeholders to understand the effects of such developments in the area. The reality on the ground shows that the concern of forest stakeholders goes beyond the preservation of wood volumes.Thus, forest sustainability encompasses other non-timber and non-monetary values and uses. An evaluation of these other values cannot be achieved without the creation of a participatory process whose aim is to build preferences by the actors themselves. Thus, Sustainable Forest Management becomes a social choice problem to identify acceptable forms of development by local actors. This research will strive to highlight the societal preferences on the pilot territory of Saguenay-Lac-Saint-Jean by a deliberative approach and multimedia tools of mediation of knowledge
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Préfontaine-Dastous, Gabrielle. "Bilan des cortèges végétaux, de la croissance individuelle de l’épinette noire et du rendement forestier : En tourbières forestières boréales récoltées après 20 ans de drainage forestier." Thesis, Université Laval, 2014. http://www.theses.ulaval.ca/2014/30727/30727.pdf.

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Abstract:
Le drainage forestier en milieu boréal permet de rétablir des conditions hydrologiques propices à la croissance de l’épinette noire sur les pessières noires récoltées. Le but de cette étude était d’effectuer le suivi des plus vieux sites drainés de façon opérationnelle en Jamésie (Jutras et coll. 2002) plus de 20 ans après les travaux. L’efficacité du drainage a été mesurée par type écologique selon trois variables : la modification des communautés végétales, l’accroissement individuel de l’épinette noire ainsi que par le rendement forestier. Les comparaisons entre sites témoins et traités ont permis de cibler deux types écologiques où l’épinette noire réagit significativement au drainage dans le temps, soit RE37 et les RE39 riches. Pour les autres types écologiques étudiés, les conditions édaphiques étaient soit trop riches (RE26) ou trop pauvres (RE39 pauvre et très pauvre) pour que le drainage augmente significativement la croissance de l’épinette noire et le rendement forestier.
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Allard, Francis. "Détermination des dates et densités de semis optimales du blé d'automne en vue d'augmenter la survie à l'hiver et le rendement en contexte québécois." Master's thesis, Université Laval, 2017. http://hdl.handle.net/20.500.11794/32763.

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Abstract:
La demande de blé d’automne est en hausse mais la production au Québec ne peut combler cette demande à cause des faibles survies à l’hiver. L’objectif du projet était de déterminer les dates et densités de semis optimales du blé d'automne en vue d'augmenter la survie à l'hiver et le rendement en contexte québécois. Les essais ont été entrepris entre 2014 et 2016 sur quatre stations dans trois zones de production céréalière du Québec, soit à St-Mathieu-de- Beloeil (BE) en zone 1, à Princeville (PR) et St-Augustin-de-Desmaures (SA) en zone 2 et à Normandin (NO) en zone 3. Trois cultivars ont été implantés à quatre dates de semis (mi-août à fin septembre (NO); début septembre à mi-octobre (BE, PR, SA)) et à quatre densités de semis (250, 350, 450 et 550 grains m-2). La première année, le blé a survécu à deux stations sur quatre (82 à 100 % de survie) tandis que la deuxième année, toutes les stations ont eu une bonne survie (69 à 99 %). En zone 2, la survie était meilleure aux dates hâtives que tardives et l’augmentation de la densité de semis aux dates tardives a amélioré la survie. Il n’y a pas eu d’effet de dates de semis sur la survie en zones 1 et 3. Les rendements maximaux ont été atteints, entre la mi-septembre et la fin septembre en zone 1, du début-septembre à la mi-septembre en zone 2, et de la mi-août à la mi-septembre en zone 3. L’augmentation de la densité de semis de 250 à 550 grains m-2 a permis un gain de rendement moyen de 9 % en zones 2 et 3 mais aucun gain en zone 1. Le cultivar Warthog a obtenu une moins bonne survie à l’hiver tandis que le blé Carnaval a atteint de meilleurs rendements.
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