Academic literature on the topic 'Soutenabilité forte'

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Journal articles on the topic "Soutenabilité forte"

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Wete, E., J. L. Betti, J. R. Ngueguim, Siegfried D. Dibong, and N. O. F. Njukouyou. "Analyse comparative de la soutenabilité des méthodes d’exploitation de Prunus africana (Hook. f.) Kalkman en vigueur au Cameroun : incidence biologique et socio-économique." International Journal of Biological and Chemical Sciences 14, no. 4 (August 17, 2020): 1405–15. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v14i4.19.

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Abstract:
Prunus africana (Hook. f.) Kalkman est une plante de haute valeur médicinale qui connait de forte pression d’exploitation au Mont Cameroun. Dans le cadre d’une récolte durable des écorces, deux méthodes d’exploitation (2/4 et 4/8 opposées) ont été recommandées par l’Agence National de Développement des Forêts (ANAFOR) qui est l’autorité scientifique CITES du Cameroun. Cette étude porte sur l’analyse de la soutenabilité biologique et économique de ces méthodes de récolte en vigueur Cameroun. Un inventaire d’exploitation au taux de sondage de 100% dans une parcelle de 100 ha en fin de première rotation (cycle de 5 années), a servi à la collecte des données sur l’état de santé des arbres (mort, vivant, dépérissant), la mesure des diamètres à hauteur de poitrine et le dénombrement de la population d’arbre. Au total 170 arbres ont été dénombrés, ce qui correspond à 1,7 tiges/ha. Dans cet échantillon on compte 84 arbres (54%) exploités à la méthode 4/8. Ce groupe comprend 23 arbres dépérissant (27,40%), 7 arbres morts (8,30%) et 54 arbres vivants (64,30%). Tandis que sur un effectif de 86 arbres (56%) exploités par la méthode 2/4 on a observé 12 arbres dépérissant (14%), aucun arbre mort et 74 arbres vivants (86%). Ces informations montrent que la méthode d’écorçage (4/8) est plus compromettante sur la croissance des populations d’arbre. Elle est également économiquement la moins rentable avec des pertes de 1650 $US comparée à la méthode 2/4 (660 $). La méthode 2/4 a un faible impact sur la santé des arbres, elle peut être améliorée et adoptée comme méthode de récolte durable qui garantit une cicatrisation rapide de l’écorce des arbres et des revenues importants.Mots clés : Plante médicinale, méthode de récolte durable, régénération, aménagement des ressources forestières, Mont Cameroun. English Title: Comparative analysis of the sustainability of prunus africana (Hook. f.) Kalkman harvesting techniques used in Cameroon: biologic and socioeconomic incidence Prunus africana (Hook. f.) Kalkman is a medicinal plant with a high socioeconomic value which is facing serious bark harvesting pressure in Mount Cameroon. To ensure sustainable exploitation, two norms (2/4 and 4/8 opposites) was prescribed by the National Forestry Agency (ANAFOR) which is the CITES scientific authority in Cameroon. This study analyzes the biologic and economic sustainability of these harvesting practices. Data collection consisted of trees inventory, measurement of trees diameter and appreciation of tree vitality within a 100 ha plot at the end of the first rotation (five years later after bark harvesting). The sample comprise 170 trees (corresponding to 1.7 trees/ha) amongst which 84 trees (54%) were harvested using 4/8 technic. In this group, 23 (27.40%) trees were found in bad health, 7 (8.30%) trees dead, 54 trees alive (64.30%) and the annual diameter increment was 0.42±0.37 cm while in a group of 86 trees (56%) harvested with 2/4 technic, observation shown: 12 trees (14%) in bad health, 74 trees alive (86%) and annual diameter increment of 0.44±0.36 cm. This statistic shows that, 4/8 technic has a negative impact on trees population and is less benefit with losses estimated at 1650 $US comparing to 660 $US (2/4 technic). The 2/4 technic can be improved and adopted as a suitable harvesting method; since it ensures a fast diameter recovery, low impact on trees population and generate more income.Keywords: Medicinal plant, sustainable harvesting techniques, regeneration, forest resources management, Mount Cameroon.
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Cahen-Fourot, Louison. "La soutenabilité de l’accumulation du capital et de ses régimes. Une approche macroéconomique en termes de soutenabilité forte." Revue de la régulation, no. 22 (December 24, 2017). http://dx.doi.org/10.4000/regulation.12610.

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Boidin, Bruno. "Enfin la soutenabilité forte ? Économie hétérodoxe et monde post-Covid 19." Développement durable et territoires, Vol. 11, n°2 (July 24, 2020). http://dx.doi.org/10.4000/developpementdurable.17572.

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Devolder, Pierre. "Numéro 150 - septembre 2019." Regards économiques, September 24, 2019. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco/2019.09.24.01.

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Abstract:
La problématique de la réforme de nos pensions légales, dans le contexte bien connu du vieillissement de la population, reste plus que jamais d’actualité en Belgique. Les récentes prévisions budgétaires illustrent la nécessité urgente de revoir les mécanismes de notre système de pension pour en assurer une soutenabilité financière et une adéquation sociale. Si la France affiche une volonté claire de mener à bien, dans les prochains mois, une réforme fondamentale de ces régimes de retraite au travers d’un régime universel à points, force est de constater que le débat semble s’être essoufflé chez nous ces derniers mois dans le contexte de crise politique. Pourtant, la Commission de réforme des pensions 2020-2040 avait, dès 2014, proposé dans son rapport une réforme de l’ensemble de nos régimes de pension légale. Le projet était basé sur un système à points : chacun accumule durant sa carrière des points de retraite en fonction de ses rémunérations; ces points s’additionnent chaque année; à l’âge de la retraite, la somme de ces points est reconvertie en euros au travers de la valeur du point, pour déterminer le montant de la pension. Ce nouveau mécanisme, perçu comme une révolution par rapport à nos systèmes actuels, permet de répondre aux grands défis du vieillissement. Mais il a suscité aussi beaucoup d’incompréhensions et de réactions négatives. Le concept de point a été vu comme une idée peu transparente. L’incertitude, réelle ou fantasmée, mais ressentie par un grand nombre de personnes quant à l’évolution de la valeur du point a focalisé l’attention. Face au rejet du concept de pension à points mais réaliste face à la nécessité de réformer le système, nous proposons l’alternative suivante : le compte individuel pension. Ce système vise à mieux garantir en cours de carrière la formation progressive des droits à la pension légale, tout en permettant la mise en place d’un nouveau cadre répondant aux mêmes objectifs de viabilité à moyen et long terme que la pension à points. Cette nouvelle proposition, qui fonctionne toujours dans une logique de répartition, consiste à créer pour chacun durant sa carrière un compte individuel pension, exprimé en euros et qui fonctionne à l’image d’un compte courant : d’une part ce compte est crédité chaque année par le nouveau droit de pension de l’année en cours (une quotité de la future pension), d’autre part il est revalorisé en liaison avec l’évolution des salaires. Ce mécanisme permet donc de sécuriser progressivement en cours de carrière les droits au fur et à mesure que l’on se rapproche de l’âge de la retraite. L’incertitude fait progressivement place à la sécurité.Par ailleurs, le système contient comme dans le régime à points, un certain nombre de paramètres qui permettront de s’adapter aux réalités démographiques et économiques. Ce système permet également, comme dans la pension à points, une flexibilité en termes de décision individuelle relative à l’âge de la retraite ou de pension partielle, grâce à un mécanisme de responsabilisation.S’agissant d’un système exprimé en euros, le compte individuel pension permettra une communication et une transition plus facile par rapport aux mécanismes existants. Il peut être perçu à ce titre comme une évolution par rapport aux systèmes actuels plutôt qu’une révolution.
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Maes, Marjan. "Numéro 79 - mai 2010." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco.v1i0.15363.

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Abstract:
A la fin du mois de mars 2010, Michel Daerden, Ministre des Pensions au gouvernement fédéral, présentait son livre vert sur les pensions. Selon un communiqué de presse de Belga (25/03/2010), lors de cette présentation, «Michel Daerden a invoqué notamment les bonus pension pour inciter les gens à travailler plus longtemps. Ce système existe déjà et certains disent qu'il a échoué. Le ministre estime quant à lui qu'on manque de données statistiques précises pour juger de son impact». Regards économiques a saisi la balle du Ministre au bond pour publier, dans sa dernière livraison, les résultats d’une étude de Marjan Maes qui démontrent, sur base d’une analyse statistique objective et rigoureuse, que le «bonus de pension» est une réforme inefficace en matière de soutenabilité financière, et relativement peu efficace en termes de relèvement de l’âge de retraite et de réduction des inégalités. La raison principale est qu’un grand nombre de travailleurs vont bénéficier du bonus sans pour autant travailler davantage, et/ou vont même partir plus tôt en retraite. Afin de relever le taux d’emploi des travailleurs âgés, le gouvernement belge a approuvé fin 2005 une loi baptisée «Pacte de Solidarité entre Générations». Parmi les mesures mises en œuvre, le «bonus de pensio » consiste en une augmentation forfaitaire et permanente du montant de la pension légale pour les travailleurs salariés qui décident de reporter leur départ à la retraite. Le bonus a finalement été fixé à 624€ pour toute année d’activité professionnelle au-delà de 62 ans (ou au-delà d’une 44e année de carrière). Lors des négociations précédant le Pacte de Solidarité, il était question de fixer le montant du bonus à 300€ pour toute année de travail au-delà de 60 ans. C’est ce scénario initial que Marjan Maes a analysé dans son étude. Plutôt que de pénaliser la retraite anticipée, le gouvernement a donc choisi de récompenser les années de travail supplémentaires. L’objectif de l’étude de Marjan Maes est d’évaluer les effets du «bonus de pension» sur l’âge de départ à la retraite, sur le budget des pensions et sur les inégalités au sein de la population âgée. Son second objectif est de comparer cette mesure à deux autres politiques non retenues par le gouvernement et visant à pénaliser les départs anticipés en retraite. Un premier scénario alternatif, qualifié de «malus proportionnel», consiste à pénaliser (respectivement, augmenter) la pension légale de 5 % par année de retraite anticipée avant 65 ans (respectivement, reportée après 65 ans) dans l’intervalle 60-70 ans. Les pénalisations ou gratifications sont donc proportionnelles au niveau de la pension légale. En d’autres termes, la pension prise à l’âge de 60 (respectivement 70) ans est 25 % plus basse (respectivement élevée) que si elle avait été prise à l’âge légal de 65 ans. Le second scénario alternatif, qualifié de «malus forfaitaire», consiste à ajuster la pension légale d’un montant forfaitaire pour chaque année d’écart entre l’âge de départ en retraite et 65 ans. Les pénalisations ou gratifications sont indépendantes du revenu. Elles pénalisent donc davantage les individus à bas revenu que les individus à revenu élevé. Afin de rendre ce scénario comparable avec le précédent, les montants forfaitaires ont été choisis de manière à induire le même impact budgétaire pour le gouvernement : on les calcule, pour chaque âge de retraite possible, comme la différence moyenne entre les prestations de pension en l’absence de réforme et sous le malus proportionnel. Les résultats de Marjan Maes sont révélateurs. Le «bonus de pension» n’augmente l’âge de départ à la retraite que de 0,3 année alors que des réformes de type «malus» augmentent l’âge de départ à la retraite de 1,1 années. Par ailleurs, alors que cette mesure a été adoptée pour améliorer la soutenabilité budgétaire du régime des pensions, le «bonus de pension» a pour conséquence de creuser le budget des pensions. Les recettes fiscales supplémentaires générées par un bonus (sous forme de cotisations de sécurité sociale accrues et grâce à des périodes de retraite plus courtes) sont inférieures au montant global de bonus de pension à verser aux pensionnés pendant toute la période de leur retraite. Au contraire, les politiques de malus génèrent les effets budgétaires escomptés. Quelle est l’intuition de ces résultats ? Les trois réformes génèrent des incitants à reporter le départ à la retraite pour un grand nombre de travailleurs âgés. Cependant, un autre effet financier est à l’œuvre qui, dans le cas du bonus, pousse les travailleurs à partir plus tôt. En effet, sans bonus, il était optimal pour certains individus de travailler au-delà de 60 ans. Comme il est impossible de discriminer entre ces individus et ceux choisissant de se retirer anticipativement, ces individus reçoivent un cadeau inespéré. L’introduction du bonus augmente le montant attendu de leur pension légale et crée un «effet de richesse» qui les pousse à consommer à se retirer plus tôt du marché du travail. En résumé, bien qu'un bonus par année de travail additionnelle incite à travailler plus longtemps, cet effet est contrebalancé par un effet-richesse qui, lui, avance l'âge de la retraite. Cet effet de richesse est important et avéré : il explique pourquoi l’introduction d’un bonus dans le régime des fonctionnaires publics en 2001 n’a pas généré la moindre augmentation de l’âge de la retraite, mais a creusé le déficit du gouvernement. A contrario, les réformes visant à pénaliser les retraites anticipées induisent un effet de richesse négatif qui contribue à retarder les départs à la pension. Par conséquent, les effets du bonus de pension sur l’âge de départ à la retraite et sur le budget sont moins favorables que ceux des pénalisations ou malus. Comme le bonus consiste en un montant forfaitaire, le gouvernement a également mis en avant les effets redistributifs potentiels de sa politique. Pourtant, en matière d’inégalités, le bonus de pension contribue à augmenter les écarts de revenus entre les bénéficiaires d’une pension légale et les bénéficiaires de la GRAPA (Garantie de Revenu Aux Personnes Agées), étant donné que la GRAPA, en tant que système d’assistance, n’est pas affectée par les réformes de pension. Les résultats de Marjan Maes démontrent que ce sont les réformes pénalisant la retraite anticipée qui réduisent le plus les inégalités des revenus parmi les pensionnés.
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Maes, Marjan. "Numéro 79 - mai 2010." Regards économiques, October 12, 2018. http://dx.doi.org/10.14428/regardseco2010.05.01.

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Abstract:
A la fin du mois de mars 2010, Michel Daerden, Ministre des Pensions au gouvernement fédéral, présentait son livre vert sur les pensions. Selon un communiqué de presse de Belga (25/03/2010), lors de cette présentation, «Michel Daerden a invoqué notamment les bonus pension pour inciter les gens à travailler plus longtemps. Ce système existe déjà et certains disent qu'il a échoué. Le ministre estime quant à lui qu'on manque de données statistiques précises pour juger de son impact». Regards économiques a saisi la balle du Ministre au bond pour publier, dans sa dernière livraison, les résultats d’une étude de Marjan Maes qui démontrent, sur base d’une analyse statistique objective et rigoureuse, que le «bonus de pension» est une réforme inefficace en matière de soutenabilité financière, et relativement peu efficace en termes de relèvement de l’âge de retraite et de réduction des inégalités. La raison principale est qu’un grand nombre de travailleurs vont bénéficier du bonus sans pour autant travailler davantage, et/ou vont même partir plus tôt en retraite. Afin de relever le taux d’emploi des travailleurs âgés, le gouvernement belge a approuvé fin 2005 une loi baptisée «Pacte de Solidarité entre Générations». Parmi les mesures mises en œuvre, le «bonus de pensio » consiste en une augmentation forfaitaire et permanente du montant de la pension légale pour les travailleurs salariés qui décident de reporter leur départ à la retraite. Le bonus a finalement été fixé à 624€ pour toute année d’activité professionnelle au-delà de 62 ans (ou au-delà d’une 44e année de carrière). Lors des négociations précédant le Pacte de Solidarité, il était question de fixer le montant du bonus à 300€ pour toute année de travail au-delà de 60 ans. C’est ce scénario initial que Marjan Maes a analysé dans son étude. Plutôt que de pénaliser la retraite anticipée, le gouvernement a donc choisi de récompenser les années de travail supplémentaires. L’objectif de l’étude de Marjan Maes est d’évaluer les effets du «bonus de pension» sur l’âge de départ à la retraite, sur le budget des pensions et sur les inégalités au sein de la population âgée. Son second objectif est de comparer cette mesure à deux autres politiques non retenues par le gouvernement et visant à pénaliser les départs anticipés en retraite. Un premier scénario alternatif, qualifié de «malus proportionnel», consiste à pénaliser (respectivement, augmenter) la pension légale de 5 % par année de retraite anticipée avant 65 ans (respectivement, reportée après 65 ans) dans l’intervalle 60-70 ans. Les pénalisations ou gratifications sont donc proportionnelles au niveau de la pension légale. En d’autres termes, la pension prise à l’âge de 60 (respectivement 70) ans est 25 % plus basse (respectivement élevée) que si elle avait été prise à l’âge légal de 65 ans. Le second scénario alternatif, qualifié de «malus forfaitaire», consiste à ajuster la pension légale d’un montant forfaitaire pour chaque année d’écart entre l’âge de départ en retraite et 65 ans. Les pénalisations ou gratifications sont indépendantes du revenu. Elles pénalisent donc davantage les individus à bas revenu que les individus à revenu élevé. Afin de rendre ce scénario comparable avec le précédent, les montants forfaitaires ont été choisis de manière à induire le même impact budgétaire pour le gouvernement : on les calcule, pour chaque âge de retraite possible, comme la différence moyenne entre les prestations de pension en l’absence de réforme et sous le malus proportionnel. Les résultats de Marjan Maes sont révélateurs. Le «bonus de pension» n’augmente l’âge de départ à la retraite que de 0,3 année alors que des réformes de type «malus» augmentent l’âge de départ à la retraite de 1,1 années. Par ailleurs, alors que cette mesure a été adoptée pour améliorer la soutenabilité budgétaire du régime des pensions, le «bonus de pension» a pour conséquence de creuser le budget des pensions. Les recettes fiscales supplémentaires générées par un bonus (sous forme de cotisations de sécurité sociale accrues et grâce à des périodes de retraite plus courtes) sont inférieures au montant global de bonus de pension à verser aux pensionnés pendant toute la période de leur retraite. Au contraire, les politiques de malus génèrent les effets budgétaires escomptés. Quelle est l’intuition de ces résultats ? Les trois réformes génèrent des incitants à reporter le départ à la retraite pour un grand nombre de travailleurs âgés. Cependant, un autre effet financier est à l’œuvre qui, dans le cas du bonus, pousse les travailleurs à partir plus tôt. En effet, sans bonus, il était optimal pour certains individus de travailler au-delà de 60 ans. Comme il est impossible de discriminer entre ces individus et ceux choisissant de se retirer anticipativement, ces individus reçoivent un cadeau inespéré. L’introduction du bonus augmente le montant attendu de leur pension légale et crée un «effet de richesse» qui les pousse à consommer à se retirer plus tôt du marché du travail. En résumé, bien qu'un bonus par année de travail additionnelle incite à travailler plus longtemps, cet effet est contrebalancé par un effet-richesse qui, lui, avance l'âge de la retraite. Cet effet de richesse est important et avéré : il explique pourquoi l’introduction d’un bonus dans le régime des fonctionnaires publics en 2001 n’a pas généré la moindre augmentation de l’âge de la retraite, mais a creusé le déficit du gouvernement. A contrario, les réformes visant à pénaliser les retraites anticipées induisent un effet de richesse négatif qui contribue à retarder les départs à la pension. Par conséquent, les effets du bonus de pension sur l’âge de départ à la retraite et sur le budget sont moins favorables que ceux des pénalisations ou malus. Comme le bonus consiste en un montant forfaitaire, le gouvernement a également mis en avant les effets redistributifs potentiels de sa politique. Pourtant, en matière d’inégalités, le bonus de pension contribue à augmenter les écarts de revenus entre les bénéficiaires d’une pension légale et les bénéficiaires de la GRAPA (Garantie de Revenu Aux Personnes Agées), étant donné que la GRAPA, en tant que système d’assistance, n’est pas affectée par les réformes de pension. Les résultats de Marjan Maes démontrent que ce sont les réformes pénalisant la retraite anticipée qui réduisent le plus les inégalités des revenus parmi les pensionnés.
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Dissertations / Theses on the topic "Soutenabilité forte"

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Cahen-Fourot, Louison. "La soutenabilité de l’accumulation du capital et de ses régimes : Une approche macroéconomique en termes de soutenabilité forte." Thesis, Sorbonne Paris Cité, 2017. http://www.theses.fr/2017USPCD064/document.

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Abstract:
Le sujet de la présente thèse est La soutenabilité de l’accumulation du capital et de ses régimes : une approche macroéconomique en termes de soutenabilité forte. Elle s’articule en deux parties. Deux chapitres composent la première : le chapitre 1 s’inscrit dans le débat sur la possibilité d’un capitalisme stationnaire. Il analyse l’absence des rapports sociaux spécifiques du capitalisme dans les travaux de certains économistes écologiques au moyen d’exemples historiques de crise écologique et des théories éco-marxistes. Le chapitre 2 discute les analyses monétaires de certains économistes écologiques selon lesquelles un état stationnaire est incompatible avec un système dans lequel la monnaie est créée comme une dette portant intérêt en adoptant un point de vue post-keynésien. La deuxième partie est plus empirique et se compose de trois chapitres. Le chapitre 3 examine la relation sociale à l’exergie au sein du régime d’accumulation fordiste et du capitalisme financiarisé et mondialisé. L’approche en termes d’énergie est intégrée à un cadre théorique régulationniste informé par l’approche en termes de démocratie carbone. L’objectif est d’identifier des ruptures dans les modalités d’usage de l’énergie qui accompagnent les transformations observées dans d’autres domaines. Le chapitre 4 prolonge le précédent au moyen d’une analyse économétrique de la relation PIB-CO2 pour la France de 1950 à 2013 en tenant compte de la rupture dans les régularités de l’accumulation du capital entre le régime d’accumulation fordiste et le régime d’accumulation néolibéral ainsi que des possibles asymétries. Le chapitre 5 analyse les ambitions nationales en matière de réduction de gaz à effet de serre, dénommées volontarisme carbone, replacées dans le contexte du capitalisme globalisé et financiarisé contemporain
The subject of my PhD is The sustainability of capital accumulation and its regimes : a strong sustainability macroeconomic approach. It is composed of two parts. The first one is composed of two chapters that review the literature on two aspects : The first chapter tackles the debate on stationary capitalism. It reviews the way capitalism is taken into account by ecological economists and analyzes it in light of historical examples of ecological crises and of insights from eco-marxist theories. Chapter 2 tackles the debate about the so-called monetary growth imperative analysed from a post-Keynesian point of view. The second part is a more empirical one and is composed of three chapters. Chapter 3 attempts at framing the exergy-useful work approach into a régulationnist theoretical framework informed with insights from the Carbon democracy approach. It investigates the social relationship to energy in the Fordist and Neoliberal accumulation regimes. The fourth chapter attempts at furthering the third chapter by investigating the CO2 - GDP relationship through econometric means taking into account structural breaks between accumulation regimes and possible asymmetries. Chapter 5 investigates the commitment of countries to reduce their greenhousegas emissions within the context of globalized finance-led capitalism
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Taïbi, Souad. "Soutenabilité forte : du concept à l'opérationnalisation : cas d'une entreprise stratégiquement militante." Thesis, Nantes, 2019. http://www.theses.fr/2019NANT3007/document.

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Abstract:
L’objet de cette recherche est la construction d’un outil de comptabilité socioenvironnementale, dans un contexte de recherche-intervention au sein d’une entreprise de l’Economie Sociale et Solidaire, par une personne appartenant à cette organisation. La visée transformative de cette intervention est l’inscription de cette organisation dans la soutenabilité forte. Le travail réalisé vise à répondre aux questions suivantes : Quel design d’outil pour répondre à ces attentes ? Existe-t-il ou faut-il le créer ? Quels éléments du contexte de l’organisation influencent son adoption ? L’objectif de transformation visé peut-il être atteint ? Si oui dans quelles conditions ? Afin d’apporter des éléments de réponses à celles-ci, le concept de soutenabilité et ses traductions comptables existantes sont examinés. La manière dont le design de l’outil influence son adoption ainsi que le potentiel transformatif d’un outil de ce type sont ensuite étudiés. N’ayant pas identifié d’outil répondant aux attentes initiales, nous avons développé un système de comptabilité triple capital sans monétarisation. Bien que ce modèle présente des limitations qui nécessitent de poursuivre les recherches, il propose une opérationnalisation du concept de soutenabilité forte des capitaux (social et environnemental) comme systèmes adaptatifs complexes. Ce faisant, il identifie les difficultés opérationnelles inhérentes à ce type de démarche. Il souligne de quelle manière la comptabilité de la soutenabilité forte est en substance une comptabilité de l’insoutenabilité des organisations, et l’impact de cette caractéristique sur la possibilité d’adoption d’un tel outil. Des leviers processuels destinés à améliorer son acceptabilité sont enfin proposés
The purpose of this research is the construction of a socio-environmental accounting tool in a context of researchintervention, within a company of the Social Economy, by a person belonging to this organization. The transformative aim of this intervention is the inscription of this organization within strong sustainability. The aim is to answer the following questions: What tool design in order to meet these expectations? Does it exist, or does it have to be created? What elements of the organization's context influence its adoption? Can the transformation goal be achieved? If so, under what conditions? The concept of sustainability and its existing accounting translations are examined. The way in which the design of the tool influences its adoption and the transformative potential of a tool of this type are then studied. Not having identified a tool that meets the initial expectations, we developed a triple capital accounts system without monetization. Although this model has limitations that require further research, it proposes an operationalization of strong sustainability of capitals (social and environmental) as complex adaptive systems. In doing so, it identifies the operational difficulties to this type of approach. It underlines how strong sustainability accounting is essentially accounting for the unsustainability of organizations, and the impact of this feature on the adoption of such a tool. Processes to improve its acceptability are finally proposed
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Douguet, Jean-Marc. "Systèmes agraires et Soutenabilité, un enjeu pour la préservation d'une eau de qualité en Bretagne, un problème d'évaluation." Phd thesis, Université de Versailles-Saint Quentin en Yvelines, 2001. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00497251.

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Abstract:
La Bretagne, région agricole française est confrontée a un problème de soutenabilité. Du fait d'une croissance forte de l'agriculture à la fin du XXième siècle, de fortes pressions se sont exercée sur le milieu naturel, en particulier sur l'eau. La dégradation de la qualité de l'environnement a engendré de fortes répercussions tant aux niveaux écologique, économique que social. La préservation de la qualité de l'eau est devenue un enjeu majeur pour le développement économique, social et culturel de la Bretagne. La qualité de l'eau y est considérée comme un capital naturel critique au sens où de son maintien dépend le processus de soutenabilité. Notre analyse repose sur une évaluation des modes de production agricole compatibles avec une optique forte de la soutenabilité. Conceptualisée à partir d'une approche en termes de production jointe élargie au domaine écologique et appliquée au cas le la Bretagne à travers le modèle M3ED-AGRI, notre démarche vise en une analyse structurelle des systèmes de production agricole. Le modèle M3ED-AGRI constitue le support à une analyse coût-efficacité permettant de caractériser et de classer diverses alternatives d'évolution de l'agriculture. Insérer dans les contextes local, régional, national et international, les scénarios d'évolution permettent la mise en évidence des implications et les justifications quant au choix des alternatives. Traduite au niveau local, la démarche repose sur l'utilisation d'indicateurs insérés dans un outil informatique interactif afin de favoriser l'insertion des acteurs sociaux dans le processus d'évaluation. De la sorte, il est possible de délimiter les marges de manoeuvre et les motivations de chacun ainsi que de favoriser l'apprentissage social.
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Kestemont, Bruno. "Les indicateurs de développement durable: fondements et applications." Doctoral thesis, Universite Libre de Bruxelles, 2010. http://hdl.handle.net/2013/ULB-DIPOT:oai:dipot.ulb.ac.be:2013/210086.

Full text
Abstract:
Existe-t-il un consensus scientifique sur les conditions de la durabilité ?Est-il possible de construire un indicateur unique de soutenabilité faible ?Quelles sont les composantes objectives et subjectives des indicateurs ?Peut-on envisager des indicateurs objectifs de soutenabilité ?Quelles voies de recherche sont-elles nécessaires pour développer des indicateurs de développement durable ?Telles sont les questions auxquelles cet ouvrage tente de répondre.

La comparaison des courants de la soutenabilité faible et de la soutenabilité forte nous sert de fil conducteur pour évaluer la part normative et la part objective du choix des paramètres et de leur méthode d'agrégation. L'agrégation arithmétique implique des hypothèses de substituabilité entre les facteurs, ce qui relève de la soutenabilité faible. La pondération, toujours normative, peut être explicite ou se traduire par le choix d'une unité ou dimension unique. Nous redéfinissons la soutenabilité faible comme étant la réduction de la complexité à une dimension unique. Il y a dès lors autant d'indicateurs de soutenabilité faible que de choix possibles de cette dimension unique. En particulier, l'empreinte écologique par habitant relève d'une forme "écologique" de soutenabilité faible. Le prix de marché est l'unité fondamentale de mesure de sa forme "économique". Nous montrons que les acteurs ne savent pas bien identifier leur intérêt et qu'ils ne sont pas parfaitement égoïstes, ce qui introduit un biais non systématique remarquable dans toute mesure en unité monétaire. La soutenabilité forte se caractérise par la multiplicité de dimensions ou "capitaux critiques" dont le dépassement d'un seul suffit à déterminer la non soutenabilité. Les différentes formes de soutenabilités faibles peuvent représenter des capitaux critiques parmi d'autres.

Nous présentons une typologie des acteurs et du partage des responsabilités, également susceptible d'introduire des grandes divergences dans les résultats publiés. Quelques études de cas illustrent ces différents éléments dans des contextes contrastés. L'empreinte écologique de consommation se limite en particulier à une responsabilisation du seul consommateur, alors que les comptes nationaux permettent d'envisager la coresponsabilité de l'ensemble des acteurs. L'indicateur de "dématérialisation de l'économie" appliqué à un village indien montre la pertinence de mesurer l'utilisation absolue de matière sans pondération monétaire. Il est par ailleurs possible de minimiser le coût de dépollution sans toucher à la limite absolue d'émissions globales de centrales thermiques. Les deux dimensions, coûts sociaux et bénéfices environnementaux, peuvent donc être traitées séparément.

En conclusion, il est possible d'identifier, dans chaque calcul d'indicateur de développement durable, une composante relativement objective de soutenabilité "forte" et une composante "faible", négociable, de partage des droits et responsabilités.

/ We study how different world views may influence how to develop sustainable development indicators. The comparison of weak sustainability and strong sustainability serves as a guide to estimate the share of objective versus normative choice of parameters and their method of aggregation. We then present a typology of actors and shared responsibilities, which may also introduce large discrepancies in the results published. Some case studies illustrate these different elements in contrasting contexts. It appears that it is possible to identify in each calculation of sustainable development indicator, a relatively objective component of sustainability and a negotiable component of shared rights and responsibilities.


Doctorat en Sciences
info:eu-repo/semantics/nonPublished

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Le, Néchet Florent. "Approche multiscalaire des liens entre mobilité quotidienne, morphologie et soutenabilité des métropoles européennes : cas de Paris et de la région Rhin-Ruhr." Phd thesis, Université Paris-Est, 2010. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00576521.

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Abstract:
Les dynamiques urbaines consécutives à la baisse sur le temps long des coûts de transport conduisent à l'émergence de régions métropolitaines à l'urbanisation étalée, diffuse, polycentrique. Les enjeux actuels du développement soutenable soulèvent des questionnements sur l'aménagement des métropoles européennes, qui mêlent de multiples objectifs environnementaux, économiques et sociaux, à différentes échelles géographiques. Au travers de la construction d'indicateurs quantifiant les formes d'usage du sol, à plusieurs niveaux (communes françaises, bassins d'emplois, aires fonctionnelles, régions métropolitaines), des liens complexes sont mis en évidence entre types d'urbanisation, pratiques de mobilité quotidienne, et attributs de soutenabilité, co-produits sur le temps long par des choix de multiples acteurs urbains. Plusieurs bases de données sont mobilisées à cet effet : UITP, Audit Urbain, données nationales et régionales de France et d'Allemagne, ainsi qu'une base de données de densité de population, à une échelle géographique fine pour l'ensemble du continent européen (Agence Européenne de l'Environnement). En particulier, l'analyse des liens entre polycentrisme et consommation d'énergie due aux transport, en Ile-de-France et dans la région Rhin-Ruhr, conduit à des résultats nuancés, dans lesquels le coût de transport et la mutualisation des ressources énergétiques via des infrastructures de transport collectif performantes jouent un rôle important, au cœur des liens entre échelles spatiales de fonctionnement. L'aménagement de métropoles européennes soutenables passe sans doute par la compréhension des spécificités historiques de chaque territoire, et des multiples équilibres possibles entre villes, transport et environnement
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Book chapters on the topic "Soutenabilité forte"

1

Bauler, Tom. "Commentaires au chapitre 3. Innovation sociotechnique, soutenabilité forte et gouvernance réflexive." In Développement durable et économie environnementale régionale, 69–77. Presses de l'Université Saint-Louis, 2012. http://dx.doi.org/10.4000/books.pusl.25548.

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2

DESHAIES, Michel. "Exploitation minière, peuplement et sociétés." In L’économie des ressources minérales et le défi de la soutenabilité 2, 81–108. ISTE Group, 2021. http://dx.doi.org/10.51926/iste.9025.ch3.

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Abstract:
L’exploitation des ressources minérales a joué un rôle historique dans la diffusion du peuplement et le développement industriel qui s’est fait principalement sur les bassins charbonniers. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, l’accroissement de l’exploitation minière dans le monde s’est fait principalement dans de nouvelles régions, où le gigantisme des formes d’exploitation suscite une forte opposition environnementale, comme démontré dans cette étude.
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3

JULIENNE, Didier. "Géopolitique des métaux : entre stratégies de puissance et d’influence." In L’économie des ressources minérales et le défi de la soutenabilité 1, 73–93. ISTE Group, 2021. http://dx.doi.org/10.51926/iste.9024.ch3.

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Abstract:
Comme étudié dans ce texte, pays et cités ont, depuis l’Antiquité, développé des stratégies de puissance et d’influence en matière de possession et d’utilisation de matières premières. C’est la condition d’une économie et d’un pouvoir forts dans la compétition internationale, comme le démontre l’intérêt porté aux métaux utiles à la transition énergétique.
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