Academic literature on the topic 'Souveraineté – Thèmes, motifs'

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Dissertations / Theses on the topic "Souveraineté – Thèmes, motifs"

1

Jobez, Romain. "La question de la souveraineté dans la tragédie baroque silésienne." Paris 10, 2004. http://www.theses.fr/2004PA100130.

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Abstract:
La tragédie baroque silésienne, redécouverte par Walter Benjamin dans son ouvrage sur le Trauerspiel, met en scène la mort violente et le martyre des monarques dans des exemples issus du répertoire européen au XVIIe siècle ou en opposition à l'esthétique classique française. A partir d'un commentaire critique de l'oeuvre benjaminienne, lue comme théorie de la représentation fonctionnant grâce à l'emblème, cette étude montre comment le Trauerspiel traite de la question de la souveraineté, soumise à la réflexion du spectateur placé en position de juge. Cette forme de tragédie originale, née dans un contexte politique particulier, accompagne dans son histoire la transformation du souverain médiéval en monarque absolutiste. Elle inscrit en effet au coeur de sa dramaturgie emblématique la perte d'ordre de la vision du monde qui prévalait au Moyen-Age et permettait l'existence du théologico-politique, à laquelle elle substitue la mise en scène du sujet politique entrant dans la modernité
The Silesian baroque tragedy, rediscovered by Walter Benjamin in his work on the Trauerspiel, enacts the violent death and martyrdom of monarchs through examples drawn from XVIIth century european repertoire or in opposition to classical French aesthetics. From a critical comment of the Bejaminiam work, seen as a theory of representation functional through emblematics, this study reveals how the Trauerspiel treats the question of sovereignty, submited to the reflection of the spectator placed in the position of juge. This original form of tragedy, born in a particular political context, accompanies throughout its history the transformation of the medieval sovereign into an absolutist monarch. It inscribes at the heart of emblematic drama the loss of order regarding the vision of the world which prevailed in the Middle Age and enabled the existance of the theogolical-politics, to wich it sustitutes the political subject entering modernity
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2

Vallières, Gabrielle. "D'une littérature de la souveraineté vers une souveraineté littéraire : l'ironie dans le discours essayistique de Liberté de 1980 à 1986." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/32883.

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Abstract:
Ce mémoire a pour corpus les essais parus dans Liberté entre mars 1980 et février 1986, période pendant laquelle François Ricard assumait la direction de la revue. Il veut mesurer la place de l’ironie dans la revue et circonscrire ses formes diverses en se penchant principalement sur les textes de Ricard lui-même, d’André Belleau et d’Yvon Rivard, mais également la mettre en relation avec l’indépendantisme québécois. En quoi une conception de l’indépendance partagée dans la revue migre-t-elle de la chose au mot ? Nous tenterons de comprendre le rôle d’une culture globalisante de l’ironie dans ce déplacement. Si les travaux critiques englobant la question de l’essai québécois des années 1980 ont souvent noté un repli sur l’intime propre à cette décennie, le Québec demeure, à Liberté, une pierre angulaire du discours essayistique. L’ironie peut-elle émerger comme compromis entre un désir de se défaire d’« une question nationale obsessionnelle et indépassable » et le besoin, toujours existant, de revendiquer une forme d’indépendance, dorénavant plus littéraire que politique ?
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3

Birkan, Berz Carole. "A Fabled England : formes poétiques et valeurs nationales dans l'oeuvre de Goeffrey HILL." Paris 7, 2007. http://www.theses.fr/2007PA070048.

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Abstract:
Dans la poésie de Geoffrey Hill, les valeurs nationales anglaises de tolérance, de liberté et d souveraineté s'incarnent dans des formes poétiques particulières. Une première partie analyse le sonnet hillien comme une figuration de la tolérance. En effet, dans sa prose critique et dans ses sonnets, Hill se livre à une déconstruction des récits traditionnels célébrant l'émergence d'une Église nationale, symbole de modération. À mesure que se développent dans l'œuvre les thèmes parallèles de l'endurance à l'horreur et d l'intolérance à l'Autre, la forme du sonnet permet de refléter et de formuler une critique de la tolérance anglaise. Une deuxième partie examine la valeur de la liberté dans son rapport avec diverses formes lyriques (hymne, ode et églogue). Ainsi Hill négocie-t-il avec les représentations mythiques des libertés angle saxonnes dans le poème Mercian Hymns. En outre, une analyse du rythme contrapontique dans l'œuvre récente de Hill permet de comprendre comment le poète échappe aux différents discours et jargon contemporains imposés par la nation. Enfin, la forme de la suite poétique (séquence) est interprétée comme reflétant la valeur de la souveraineté. La souveraineté anglaise sur l'empire est ainsi mise en parallèle avec Ia souveraineté du poète sur la langue. Dans son traitement poétique de la colonisation de l'Inde, Hill dépeint les dynamiques de projection et de protection de l'identité nationale dans le cadre d'un empire. La suite poétique permet, par la présence de différentes sections qui se répondent au sein d'un même ensemble, de montre qu'une véritable souveraineté ne peut exister que dans l'échange
The aim of this thesis is to show that, in Geoffrey Hill's poetry, the national values of tolerance, liberty and sovereignty are embodied in certain poetic forms. The Hillian sonnet is first analysed as a figuration of the value of tolerance. In his sonnets, as well as in his critical prose, Hill deconstructs the Renaissance narratives of nationhood and of a moderate national religion. As the parallel themes of endurance to horror and intolerance to the Other develop, the sonnet enables the poet to reflect on the value of tolerance. Liberty is then examined in its relation to lyrical forms, such as the hymn, the ode and the eclogue. Thus, in Mercian Hymns for instance, Hill negotiates with mythical representations of Anglo-Saxon liberties. Furthermore, through the use of counterpoint rhythms in his recent work, Hill seeks to escape the various forms of national discourse and cant. Finally, the sequence form enables the poet to critique the value of sovereignty. The theme of English or British sovereignty over the empire runs parallel to the poet's sovereignty over language. In his poetic treatment of colonial India, Hill depicts the dynamics of projection and protection of national identity. The poetic sequence, favouring the interaction of parts in a given whole, shows that authentic sovereignty can only exist when allowing for exchange
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4

Odello, Laura. "Scritture del politico." Paris 3, 2007. http://www.theses.fr/2007PA030024.

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Abstract:
La thèse s’organise en deux volets :1. Le sujet souverain défini comme ipséité se constitue dans l’effacement fantasmatique de l’altérité qui loge en son cœur. Depuis ses premiers ouvrages analysant l’autoaffection vocale comme condition de la conscience de soi, Jacques Derrida n’a cessé d’œuvrer à un décentrement radical de cette autoposition souveraine du « je peux ». Il ne saurait donc être question de « tournant » dans sa pensée, même si ses écrits tardifs se consacrent plus explicitement à des questions juridico-politiques, en déconstruisant toutes les figures de la responsabilité qui sont liées à l’autonomie de l’ipse. Dissocier souveraineté et inconditionnalité, tel est l’enjeu d’une messianicité sans messianisme, pure structure d’attente exposée à la venue de l’événement. 2. De 1999 à 2001, la peine de mort a constitué le thème central du séminaire de Jacques Derrida. Or, la question de la peine de mort, scandée par l’histoire des déclarations internationales qui tentent d’en proclamer l’abolition sans y parvenir de façon inconditionnelle, se confond largement avec celle de la souveraineté en déconstruction, entre ses survivances dans des formes état-nationales et ses transformations en cours. Par ailleurs, la raison philosophique, dans son architectonique, semble être structurellement vouée à soutenir l’« échafaudage de l’échafaud », dont la critique, historiquement, se produit du côté de la littérature. Aussi, au fil des argumentations abolitionnistes d’Albert Camus ou de Victor Hugo, la réflexion se porte-t-elle, d’une part, sur la responsabilité de la littérature une hyper(ir)responsabilité qui lie l’espace littéraire à la démocratie à venir – et, d’autre part, sur la dimension méta-performative comme au-delà de la souveraineté même. L’enjeu de la déconstruction est et a toujours été la désobéissance du texte ou de la trace. Il y va, en somme, des écritures du politique
The thesis is divided into two parts :1. The sovereign subject, defined as ipseity, is constituted in the phantasmal erasure of otherness that inhabits its heart. Jacques Derrida, beginning with his earliest work — the texts that analyze vocal autoaffection as a condition of consciousness of the self — never ceased to elaborate a radical decentering of the sovereign autoposition of the “I can”. Thus there is no “turn” in his thought, even if his late work, devoted more explicitly to juridico-political questions, deconstructs the figures of responsibility that are tied to the autonomy of the ipse. Dissociating sovereignty and unconditionality leads to a messianicity without messianism, defined as a pure structure of expectation open to the occurrence of the event. 2. From 1999 to 2001, the central topic of Jacques Derrida’s seminar was death penalty. The question of capital punishment, as evidenced by the history of the universal declarations that have attempted to proclaim its abolition, though not without conditions, is generally related to the question of state sovereignty now in the process of deconstruction — moving between what is left of the forms of the nation-state and their progressive transformations. Furthermore, philosophical reason, in its architectonics, appears to be structurally devoted to sustaining the “scaffolding of the scaffold”, of which the critique, historically, has been carried out in literary works. So, following the course of the abolitionist arguments of Albert Camus or Victor Hugo, the thesis focuses, on the one hand, on the responsibility of literature — a hyper(ir)responsability that links literary space to the democracy to come – and, on the other, on the meta-performative dimension as beyond sovereignty itself. Deconstruction is, and has always been, concerned with the disobedience of the text, or of the trace. With the writings of the political, in sum
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5

Harrer, Konrad. "Souveraineté et impuissance dans l'oeuvre de Robert Walser." Paris 4, 2004. http://www.theses.fr/2004PA040134.

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Abstract:
Cette thèse s'intéresse aux techniques employées par l'écrivain suisse Robert Walser (1878-1956) et par ses protagonistes pour arriver à ce qu'on peut appeler leur "souveraineté". Il s'agit là d'un mode d'existence qui privilégie rôles et masques pour échapper aux contraintes imposées par la société moderne, contraintes estimées dangereuses, car aliénantes, par des individus qui refusent de s'enfermer dans une identité immuable et, de par cette immuabilité, mortifère. La réflexion entreprise ici se propose de dégager les différentes facettes de cette souveraineté (telles qu'on les trouve dans l'univers du travail, dans les relations intimes et dans le rapport de l'écrivain à l'écriture, envisagée comme utilisation non aliénante de la langue) et de montrer les limites d'une attitude qui, dans son individualisme intransigeant, jaloux de ses libertés, se voit confrontée au danger de la solitude (sur le plan social) et du non-sens (sur le plan linguistique). Elle s'appuie notamment sur la théorie systémiste développée par Niklas Luhmann. Celle-ci, qui conceptualise les rapports entre système psychique et système social et accorde une place privilégiée à l'examen des conditions nécessaires à une communication réussie, se révèle particulièrement apte à servir d'outil dans l'étude d'une œuvre prise entre désir et refus de communiquer
This thesis examines the techniques employed by the Swiss writer Robert Walser (1878-1956) and by his protagonists in order to obtain what can be called their "sovereignty": an attitude which privileges roles and masks allowing to elude the constraints imposed by modern society and considered as alienating by individuals who refuse to imprison themselves in an immovable and, owing to that immovability, stifling identity. The present investigation intends to elucidate the different aspects of this sovereignty (as they can be found in the sphere of work, in intimate relationship and in the writer's efforts to invent a non alienating form of writing) and to indicate the limits of an attitude which, in its inflexible individualism and its eagerness for unrestrained liberty, is confronted with the danger of solitude (social failure) and nonsense (linguistic failure). This analysis is based especially on the systems theory developed by Niklas Luhmann, which, by conceptualizing the relations between psychical system and social system and by conferring a central position to the examination of the conditions necessary to a successful communication, reveals itself particularly fitted as an instrument in the study of a work oscillating between the desire and the reluctance to communicate
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Mayer, Jean-Christophe. "Souveraineté et sacralité : enquête sur les rapports entre le politique et le religieux dans les pièces historiques anglaises de Shakespeare et dans l'Angleterre élisabethaine." Montpellier 3, 1997. http://www.theses.fr/1997MON30058.

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Abstract:
L'univers des pieces historiques anglaises de shakespeare est habite par des figures ambivalentes et souvent contradictoires de la souverainete. D'aucuns, tels henri vi, richard ii, ou encore le roi jean se reclament d'ideaux chretiens qui pourtant les menent directement a leur perte. D'autres, tels richard iii, pousses par un heroisme du mal, acquierent une dimension supra-humaine qui peut les transformer en de grotesques boucs emissaires, ou encore en de paradoxaux fleaux de dieu. Le theatre de shakespeare met egalement en scene des etres "hybrides," des souverains, comme henri iv, henri v, ou meme henri viii, qui ont retenu les lecons du politique, mais qui n'en ont pas pour autant abandonne le religieux. En politique, ainsi que sur la scene shakespearienne, l'image du souverain change: la personne privee du roi devient inaccessible, le monarque perdant peu a peu son corps physique, naturel. La scene depeint la deshumanisation du roi et son emprisonnement dans cette personne fictionnelle inventee par les legistes. La fiction des deux corps du roi ne debouche pas sur la mise en place d'une religion officielle. La monarchie tente de profiter de la secularisation du monde politique pour faire valoir une sacralite qui lui appartiendrait en propre. Cependant, elle ne peut etablir son individualite sans rester tributaire d'un vocabulaire d'origine religieuse. Ceci explique que les phenomenes de sacralisation et de secularisation soient simultanes, et qu'en consequence il n'y ait pas separation complete du politique et du religieux
The world of shakespeare's english history plays is peopled with sovereigns of an ambivalent and often contradictory nature. Some, like henry vi, richard ii, or indeed king john, can be seen to embrace the same christian ideals which lead to their ultimate downfall. Others, like richard iii, are heroic villains who sometimes acquire a superhuman dimension and may be turned into grotesque scapegoats or paradoxical agents of god's vengeance. Shakespeare also stages more complex figures - kings such as henry iv, henry v, or even henry viii, who are politically-aware but do not cast religion aside for all that. On the political scene and on the shakespearean stage, the image of the sovereign gradually changes: the king's private person becomes inaccessible as monarchs lose their physical, natural bodies. The theatre begins to depict the ruler as the prisoner of a fictitious persona invented by theologians and jurists. The image of the king's two bodies does not lay the foundations of a deeply-seated cult of the sovereign during the reigns of elizabeth i and james i. The monarchy merely tries to profit from the secularisation of the political world in order to put forward a sacredness of its own. It cannot do so, however, without borrowing from the religious domain. This explains why sovereignty can be perceived to partake at once of the sacred and of the secular. There is, as yet, no true separation between religion and politics
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Rauer, Selim. "Les frontières de l'exil, ou les figures et territoires de l'étranger." Thesis, Paris 3, 2019. http://www.theses.fr/2019PA030057.

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Abstract:
Cette thèse de doctorat, intitulée « Les frontières de l’exil : figures et territoires de l’étranger», vient questionner les notions de frontière et d’exil dans les périodes postcoloniale et post-Shoah. Ces notions sont ici caractérisées comme des territoires à la fois spirituels, politiques, symboliques, et économiques, dans lesquels une expérience de la domination est vécue, souvent subie, par des individus ou des groupes stigmatisés par leur origine ethnique, leur sexe, leur culture, ou leur condition socio-économique notamment. En me rattachant à superstructuration politique, culturelle, et historique de cette expérience de la domination, Selim Rauer tente de montrer comment, dans les ères postcoloniale et post-Holocauste, une économie mondialisée recrée ou intensifie en fait le concept de « zone (s) » - telle qu’il a été défini par Frantz Fanon dans Les damnés de la terre, 1961 – générant ainsi des centres et des marges permettant d’établir des espaces culturels et géographiques procédant d’une généalogie raciale, sexuelle venant soutenir des dynamiques économiques qui dérivent de la théologie politique, comme c’est le cas du néolibéralisme et de l’ultralibéralisme aujourd’hui. La figure de l'ennemi (ou celle de l'adversaire) est au cœur de ce système de pensée. L’ennemi est une représentation biopolitique et théologique essentielle dans une réflexion productive liée à l’altérité, à la figure multiforme de l'étranger, à travers laquelle une conception spécifique de la frontière peut être établie comme limite ou division, plutôt que comme trait d'union. Cette réflexion procède de la lecture et de l’analyse d’un corpus littéraire français et francophone alliant à la fois le roman, le drame, le récit et l’essai de 1945 à aujourd’hui. Les œuvres de ce corpus littéraire sont issues d’écrivains tels que Jean Genet (1910-1986), Patrick Modiano (1945), Bernard-Marie Koltès (1948-1989), Koffi Kwahulé (1956), Marie NDiaye (1967), Wajdi Mouawad (1968), et Léonora Miano (1973). Chacune de leurs œuvres regroupées ici donne à voir une certaine expérience du pouvoir, de l’aliénation, de la souveraineté et de la biopolitique dans un cadre éthique et morale qui inévitablement met en lumière et sonde le « mal ». Un mal qui, comme l'a exprimé Rüdiger Safranski, dérive d’une certaine pratique de la liberté (Le Mal, ou le théâtre de la liberté, 1997/1999)
This doctoral dissertation, entitled The Borders of Exile: Figures and Territories of Foreignness, reinterprets the notion of the border as an expanding territory of estrangement and seclusion in the aftermath of colonialism and the Shoah, in an era characterized by global market economies. While allegedly situated beyond racial and sexual hegemonic claims, Selim Rauer shows how this globalized economy, in fact, recreates or intensifies a concept of “zone(s)” --as defined by Frantz Fanon in Les damnés de la terre, 1961--that draws centers and margins, and establishes sites of domination structured by a historical and political unconscious. At the core of this unconscious lies the figure of the enemy or the adversary. The latter is an essential biopolitical and theological representation of otherness and foreignness through which a specific border definition can be established as limit rather than hyphen. Thus, in this project, Rauer scrutinizes a multidimensional literary corpus comprised of works by figures such as Jean Genet (1910-1986), Patrick Modiano (1945), Bernard-Marie Koltès (1948-1989), Koffi Kwahulé (1956), Marie NDiaye (1967), Wajdi Mouawad (1968), and Léonora Miano (1973), each of whose works investigate a certain definition and practice of power and sovereignty as part of an ethical and moral reflection on “evil,” or as Rüdiger Safranski defined it, as the moral and ethical burden that accompanies the practice of freedom (Evil, or the Drama of Freedom, 1997)
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