Academic literature on the topic 'Station touristique de montagne dans les Alpes Françaises'

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Journal articles on the topic "Station touristique de montagne dans les Alpes Françaises"

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SUCHET, André. "Acteurs et dynamiques de projet dans l’histoire d’une impossible reconversion de territoire. Abondance, petite station de sports d’hiver dans les Alpes du Nord." Cahiers de géographie du Québec 60, no. 171 (October 2, 2017): 493–514. http://dx.doi.org/10.7202/1041219ar.

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Abstract:
Le village-station d’Abondance, dans les Alpes françaises du Nord, décide au printemps 2007 la fermeture définitive du domaine skiable en difficulté économique pour se reconvertir en destination de tourisme culturel autour de son patrimoine gothique. Mais cette « nouvelle donne » suscite localement un vif rejet et, à la suite de multiples retournements de situation, les remontées mécaniques sont remises en état, tandis que les projets de tourisme culturel sont abandonnés. Presque 10 ans après cette affaire médiatisée, notre étude analyse socialement, historiquement et politiquement (à partir d’une méthode qualitative de terrain) le système d’acteurs et les enjeux de cette non-reconversion ou, plutôt, de cette continuité des activités de sports d’hiver en moyenne montagne à l’échelle locale. Les résultats mettent en évidence les ressorts de la construction d’un attachement territorial à une économie particulière, en l’occurrence les sports d’hiver. Un attachement motivé notamment par un rapport de classe entre le monde agricole (peu favorable aux sports d’hiver et en perte de vitesse) et le secteur du tourisme, dont l’histoire de vie des acteurs montre la revanche sociale que constitue pour eux cette économie du loisir.
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Carcaillet, Christopher, and Brigitte Talon. "Aspects taphonomiques de la stratigraphie et de la datation de charbons de bois dans les sols : exemple de quelques sols des Alpes." Géographie physique et Quaternaire 50, no. 2 (November 30, 2007): 233–44. http://dx.doi.org/10.7202/033091ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Les phénomènes d'enfouissement et de fragmentation des charbons de bois des sols de montagne sont mis en évidence par l'analyse anthracologique et par des datations absolues au14C de quatre profils pédologiques provenant des Alpes françaises. Ces dernières s'avèrent indispensables mais insuffisantes pour comprendre le mode de stratification. Les datations doivent être précédées d'une analyse des assemblages anthracologiques à la fois qualitative (composition taxonomique) et quantitative lorsque les sols sont suffisamment riche en charbons. Le processus de stratification dans les sols n'est pas comparable à celui que l'on observe dans un lac ou une tourbière; les racines, la pédofaune et les processus d'érosion contribuent à créer une vitesse différentielle d'enfouissement des charbon dans les sols. Cela conduit à une stratification dite « en écailles » des charbons appartenant à un même taxon. Les assemblages et les datations permettent d'identifier des phases d'incendies subies par la végétation sur la station MAUR 6 située en moyenne altitude (1770 m). Quant à QUEYRAS 2, en haute altitude (2670 m), il ne semble pas approprié pour révéler, de par sa composition en charbon, différentes phases d'incendies et surtout les plus anciennes; le réseau racinaire mais surtout les alternances de gel-dégel participent à la réduction de taille des fragments dans les sols.
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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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Dissertations / Theses on the topic "Station touristique de montagne dans les Alpes Françaises"

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Chardonnel, Sonia. "Emplois du temps et de l'espace, pratiques des populations d'une station touristique de montagne." Phd thesis, Grenoble 1, 1999. http://www.theses.fr/1999GRE10005.

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Abstract:
Cette these s'inscrit dans le cadre de reflexions sur la rehabilitation des structures urbaines des stations touristiques francaises de montagne, visant a une meilleure adequation entre les pratiques actuelles des individus et l'organisation de l'espace environnant existant. Au sein de cette thematique apparait le besoin d'elaborer un outil d'aide a la reflexion capable d'evaluer les fonctionnements des espaces des stations touristiques de montagne. A partir de ce constat, ce travail cherche a articuler une reflexion sur les pratiques de populations de stations touristiques de montagne avec une analyse de l'utilisation du temps et de l'espace par les individus (emplois du temps et de l'espace). L'approche methodologique et theorique est fondee sur les principes et concepts de la + time-geography ; developpee par torsten hagerstrand (universite de lund). Les fondements de la + time-geography ; sont developpes et commentes a travers les travaux de l'ecole de geographie de lund. Sont ensuite definis les objectifs d'une methodologie cherchant a rendre compte de l'image globale des actions individuelles et collectives et de comprendre les mecanismes qui regulent, au quotidien, les processus mis en oeuvre dans l'elaboration de la chaine des activites que les individus realisent dans l'espace et dans le temps. A titre d'exemple, une enquete est realisee aupres de touristes, d'habitants permanents et de travailleurs saisonniers dans la station de valloire (savoie). Les emplois du temps et de l'espace de chaque individu interroge sont analyses de facon exploratoire grace a deux approches : un traitement statistique resume l'information en cherchant des homogeneites dans les emplois du temps et de l'espace ; l'utilisation d'une base de donnees temporelles gerant des historiques enrichit les conclusions du traitement statistique en mettant en evidence des formes et structures d'organisation des emplois du temps et de l'espace
This thesis is on the re-use and re-dedication of buildings and urbanistic structures at tourist resorts in the french alps. It aims to optimise the use of the existing building organisation with the practices of individuals who frequent the resorts today. For this purpose, we have developed a method to evaluate the way these tourist resorts are organised. The method deals with the practices of individuals in a mountain resort with a focus on both their use of time and space. From a methodological and theoretical point of view, this approach is based on principles and concepts developped by torsten hagerstrand (lund university) for "timegeography". The fundamental ideas of time-geography are presented and further analysed from different works issued from the geography group at lund university. We then define goals of such an approach, that takes into account a global picture of the actions of individuals and groups. This helps to better understand the mechanisms and process that regulate, on a daily basis, these actions in space and time. As an example, we present a survey that was taken using tourists, permanent inhabitants and seasonal workers as subjects, at the station of valloire (savoie). The individuals were asked to record their activities during the course of the day in a diary, indicating the time and their location. Attempts to analyse this information are presented in a twofold approach. A statistical treatment summarises many pieces of information by extracting similarities in the diaries. Further insight is made possible by explorating a temporal data base that considers the sequence and the routine of the individual activities
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Chardonnel, Sonia. "Emplois du temps et de l'espace. Pratiques des populations d'une station touristique de montagne." Phd thesis, Université Joseph Fourier (Grenoble), 1999. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00188966.

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Abstract:
Cette thèse s'inscrit dans le cadre de réflexions sur la réhabilitation des structures urbaines des stations touristiques françaises de montagne, visant à une meilleure adéquation entre les pratiques actuelles des individus et l'organisation de l'espace environnant existant. Au sein de cette thématique apparaît le besoin d'élaborer un outil d'aide à la réflexion capable d'évaluer les fonctionnements des espaces des stations touristiques de montagne. A partir de ce constat, ce travail cherche à articuler une réflexion sur les pratiques de populations de stations touristiques de montagne avec une analyse de l'utilisation du temps et de l'espace par les individus (emplois du temps et de l'espace). L'approche méthodologique et théorique est fondée sur les principes et concepts de la « Time-Geography » développé par Torsten Hägerstrand (université de Lund). Les fondements de la « Time-Geography » sont développés et commentés à travers les travaux de l'école de géographie de Lund. Sont ensuite définis les objectifs d'une méthodologie cherchant à rendre compte de l'image globale des actions individuelles et collectives et de comprendre les mécanismes qui régulent, au quotidien, les processus mis en œuvre dans l'élaboration de la chaîne des activités que les individus réalisent dans l'espace et dans le temps. A titre d'exemple, une enquête est réalisée auprès des touristes, d'habitants permanents et de travailleurs saisonniers dans la station de Valloire (Savoie). Les emplois du temps et de l'espace de chaque individu interrogé sont analysés de façon exploratoire grâce à deux approches : un traitement statistique résume l'information en cherchant des homogénéités dans les emplois du temps et de l'espace ; l'utilisation d'une base de données temporelles gérant des historiques enrichit les conclusions du traitement statistique en mettant en évidence des formes de structures d'organisation des emplois du temps et de l'espace.
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Boudières, Vincent. "De la gestion des risques aux risques de leur gestion dans les territoires touristiques de montagne, Modalités de gestion du risque d'avalanches dans les Alpes françaises et facteurs de vulnérabilité associés." Phd thesis, 2008. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00370162.

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Abstract:
Ce travail consacré aux risques dans les territoires touristiques de montagne propose une analyse de l'action de gestion dans la complexité de sa mise en œuvre. Pour ce faire cette recherche s'inscrit dans une approche endogène du risque, en questionnant l'offre de gestion, c'est-à-dire la réponse au problème collectif qu'il constitue. En prenant plus particulièrement appui sur la question du risque d'avalanches dans différentes communes supports de station de sports d'hiver de l'arc alpin français, deux axes d'analyse complémentaires sont proposés. Le premier vise la description des modalités pratiques de l'action publique relative au risque dans les territoires touristiques. Le second propose de se pencher sur certains facteurs actifs de vulnérabilité liés aux modalités de gestion observées.
En matière de risque d'avalanches, la vulnérabilité désigne classiquement les éléments passifs exposés aux phénomènes : espaces urbanisés, infrastructures routières, domaines skiables. Toutefois dans une acception active, la vulnérabilité peut aussi couvrir un champ d'analyse plus large, lorsqu'elle permet de questionner les logiques et dynamiques de gestion dans leurs contextes territoriaux de mise en œuvre. Cette gestion se structure autour de dispositifs multiples à l'échelle locale qui impliquent différentes sphères d'acteurs : locales / nationales, publiques / privées, politiques, techniques, civiles, économiques,...

L'analyse des scènes de risques propose une description comparée des modalités d'engagement des acteurs dans l'action structurée autour des grands cadres d'action que sont le PPR ou le PIDA. Pour ce faire une analyse empirique est menée sur 7 communes supports de station de sports d'hiver, situées dans l'arc alpin français. Sur chacun des sites, les conditions particulières de mise en œuvre de ces dispositifs sont caractérisées et mises en parallèle. L'attention est portée sur la réalité des pratiques et diversité des situations de gestion auxquelles les protagonistes de l'action sont confrontés pour un même dispositif de gestion. Par ailleurs, en complément des cadres d'action classiques, existent d'autres formes de réponse collective au risque. Il s'agit d'initiatives, de politiques, de dispositifs préventifs portés par les acteurs territoriaux qui expriment parfois une autre vision du risque et de la réponse à lui apporter.

Parallèlement à ces analyses centrées sur les modalités de gestion, un questionnement sur la vulnérabilité même de certaines modalités de gestion dans ces territoires est proposé. La fragilité, mais aussi les limites relatives au pilotage de certains dispositifs sont ainsi considérées. Il s'agit ici de replacer la question du risque au centre du débat politique et collectif de ces territoires. Nous pointons ainsi le poids de la dimension technique dans les pratiques de gestion, occultant parfois la question du sens de l'action. Nous pointons également à cette occasion l'accentuation de certains décalages et décrochements au sein de l'action de gestion, entre les acteurs en responsabilité ou bénéficiaires des dispositifs et ceux en charge de les mettre en œuvre.
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