Academic literature on the topic 'Steiner, Rudolf (1861-1925) – Et l'Inde'

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Dissertations / Theses on the topic "Steiner, Rudolf (1861-1925) – Et l'Inde"

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Mottais, Alain. "L’ésotérisme, la gnose, Rudolf Steiner et l’Inde." Thesis, Université de Lorraine, 2018. http://www.theses.fr/2018LORR0209.

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Abstract:
L’originalité de la pensée de Rudolf Steiner, née dans la mouvance de la société théosophique est d’aller vers l'universalité, en dépit de critiques pas toujours fondées. En effet, la pensée de Steiner est au confluent de l’Europe, de l’Egypte, de la Perse et de l’Inde. A la fois pensée ésotérique, occulte et mystique, elle est intrinsèquement gnostique. Enseignement de sagesse, la gnose désigne un concept tout à la fois philosophique et religieux qui permet le salut de l’âme par une connaissance directe de la divinité. Dans son effort de connaissance à vocation universelle, le gnostique inclut les particularités historiques inclues tant dans le brahmanisme, que dans la chrétienté, l’islam et le judaïsme. A l’instar des Hindous, Steiner concevait l'Histoire comme le résultat des expériences de l’évolution individuelle, qui se déroulent au travers de nombreuses existences ou incarnations successives. Le monde spirituel lui apparaissait relié au monde physique par l'intermédiaire de la pensée humaine et il a décrit le système anthroposophique, la « sagesse de l’homme », tel un chemin de connaissance, allant de l'être humain, vers l’aspect spirituel de l'univers. Le cheminement de la gnose hindoue jusqu’aux idées de Steiner est développé dans cette thèse. Les rapports entre gnose, ésotérisme, mystique, religion, et occultisme, L’expérience mystique relatant un rapport avec le divin, de par sa nature difficilement communicable, par lequel l'âme humaine accèderait à une rencontre directe avec la source primordiale fut également un des thèmes étudiés par l’anthroposophe
The originality of Rudolf Steiner's thought, influenced by Theosophical Society, is to go to the universality of mankind, in spite of open criticisms that do not always correspond to reality. In fact, Steiner's Gnostic thought has been deeply influenced by European and Eastern Philosophical currents of Esotericism, Occultism and Mysticism. Gnosis is a reference to Philosophical and Religious concepts that allow soul salvation through a direct link to God. Ithas a universal vocation, and Gnosticism includes historical aspects included in Brahmanism, Christianity, Islam and Judaism. As Hindus believed so, Steiner conceived Human History as the result of the experiences of individual evolution, which took place after many human incarnations. The spiritual world was according to Rudolf Steiner connected to the physical world with human thought and the history of the anthroposophic systems, that he called "Human Wisdom", as a path of knowledge, going from human beings, towards universal spiritual aspects. The path of Hindu gnosis to the ideas of Steiner and the relationship between Gnosis, Esotericism, Mysticism, Religion and Occultism are developed in this study. The theme of the encounter with a primordial source was dear to the philosopher
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Bideau, Paul-Henri. "Rudolf Steiner et les fondements goethéens de l'anthroposophie." Paris 4, 1990. http://www.theses.fr/1989PA040134.

Full text
Abstract:
"Jusqu'en 1897, l'œuvre de Rudolf Steiner (1861-1925), fondateur, après 1900, de l'anthroposophie, se déploie dans deux directions: a) étude de la pensée scientifique de Goethe dans la perspective, alors très intempestive, de l'unité organique de son génie. Steiner cherche l'origine de cette unité dans l'attitude fondamentale de Goethe face au monde et l'explicite en une weltanschauung (1886-1897) qui place celui-ci de plain-pied avec les controverses scientifiques (réception du darwinisme, p. Ex) et philosophiques (autour du néokantisme p. Ex. ) De l'époque: b) élaboration d'une "philosophie de la liberté" (1881-1893): l'expérience intérieure de l'activité pensante fonde un "idéalisme objectif" qui affranchit la connaissance du dogmatisme de la chose en soi sous toutes ses formes et libère l'action de tout impératif catégorique émanant d'une transcendance. Indissociables, anthropocentrisme goethéen et "individualisme éthique" répondent a l'interrogation constante de Steiner qui, à vienne comme à Weimar, vit intensément le problème de la modernité: comment "justifier l'expérience spirituelle devant la conscience moderne"? Ne à la fois dans la continuité et par une métamorphose de la pensée goethéenne, le "goethéanisme" dont Steiner esquisse les possibles prolongements esthétiques (1888), voire sociaux (1884) participe du caractère ésotérique de l'anthroposophie. "
Up until 1897 the work of Rudolf Steiner, who after 1900 founded anthroposophy, follows a twofold purpose: a) a study of Goethe’s scientific thought, carried on much against the grain at the time in terms of the organic unity of the latter's genius. Steiner investigates Goethe’s basic world view as the origin of the said unity which he makes clear in a weltanschauung that puts Goethe on a level with current controversial issues, both scientific (the attitude towards Darwinism) and philosophical (over neo-Kantianism) - b) the building up of a "philosophy of freedom", i. E. The inner experience of spiritual activity as basis for an "objective idealism" which releases cognition from the dogmatic dictates of a thing per se in any shape and sets the human deed free from any categorical imperative originating in some transcendence. - Goethe’s anthropocentric conception cannot be separated from "ethical individualism" and both provide an answer to Steiner’s never ceasing question as he keenly experiences the problem of modernity, viz. How is spiritual experience to be justified in the eye of modern consciousness? As a consequence and a metamorphosis of Goethe’s thought, "goetheanism", whose potential developments in the aesthetic and possibly in the social field Steiner outlines, partakes of the esoteric nature of anthroposophy
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3

Morzadec-François, Irène. "Connaissance et liberté dans la philosophie de l'éducation de Rudolf Steiner." Doctoral thesis, Université Laval, 2014. http://hdl.handle.net/20.500.11794/25038.

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Abstract:
Le propos de la thèse est de montrer qu’au cœur des problèmes que pose l’éducation aujourd’hui se trouve la question du connaître et de la mort du penser dans des structures mentales intellectuelles abstraites. Le triomphe du nominalisme a entraîné l’oubli de l’expérience de la vérité; la vérité est devenue dépourvue d’intérêt. Évacuée des préoccupations de la science, celle-ci lui préfère l’idée d’efficacité, de système fécond et saturé. Mais tout cela, dira Steiner, n’est qu’un rêve plaqué sur le réel car « l’intellect est pensée automatique et routinière » (La Rencontre des Générations, p. 40) et l’on ne saurait éduquer l’enfant avec cette « pensée automatique et routinière ». Avec les forces mortifères de l’intellect on tue la vie, la passion pour la vie. Alors comment donner place dans l’éducation à l’intellect, à la science, sans en nier les grandes conquêtes; comment concilier cette intelligence abstraite avec la joie qui naît de la liberté créatrice, la joie de l’enfant qui joue et fait de l’être humain pleinement un être humain selon Schiller? Voilà le défi éducatif d’aujourd’hui, un défi que nous n’avons pas su encore relever à l’échelle de nos sociétés modernes et celles-ci se meurent dans l’ennui, le vide, la misère de l’âme avec son cortège de pathologies physiques et psychiques, d’asservissement et de dépendances. Il y a urgence à changer de perspective, à ancrer le “ travail ” de l’école – l’école de la famille, l’école de l’école, l’école de la vie – dans une expérience cognitive holistique de l’être humain et du monde et c’est ce qui sera à montrer. Notre hypothèse de départ, c’est que Steiner a une contribution décisive à faire sur la question de l’éducation, de ses fondements épistémologique et éthique. Du constat des pathologies actuelles de l’éducation devenue elle-même pathogène (Chap. I Mozart assassiné), découle l’idée qu’un secret a été perdu pour la conscience moderne : le chemin qui va de l’apparaître à l’être; et la vie s’est éteinte dans l’abstraction des constructions mentales (Chap. II Le secret perdu). Héritiers de la philosophie kantienne, nous sommes restés paralysés sur l’échelle de la célèbre métaphore de Wittgenstein (Tractatus logico-philosophicus, Proposition 6.54) sans le courage de la rejeter au loin après y être monté – die Leiter wegwerfen –; on est resté avec cette fracture du réel entre l’être et l’apparaître. Pour une éducation holistique de l’être humain il faut une nouvelle gnoséologie, une nouvelle éthique; Steiner propose l’épistémologie goethéenne fondée sur le développement de l’appréhension intuitive de l’archétype et, de son côté, ce qu’il appellera “l’individualisme éthique”, fondé sur le développement de l’intuition morale, un véritable dépassement du kantisme dont les conditions de possibilité seront montrées. (Chap. III Fondements gnoséologiques pour de nouvelles perspectives en éducation). Sur ces fondements l’éducation devient processus de guérison selon les trois grandes étapes de l’enfance et de la jeunesse que sont le développement d’une “volonté connaissante” chez le petit enfant puis du “sentiment connaissant” chez l’enfant de la deuxième enfance et du pouvoir de l’imagination créatrice, (Chap. IV Le pouvoir de l’imagination); enfin du “connaître voulant” de la jeunesse mise en mouvement par la transformation des idées en idéaux (Chap. V Le courage de la vérité). Sciences et techniques de l’éducation sont devenues art de l’éducation, un art qui intègre rigueur de la science et efficacité de la technique, qui repose sur un sens aigu de la responsabilité morale de l’éducateur et de l’enseignant, une responsabilité morale qui exige liberté et collégialité au sein d’une école indépendante de l’état et de la politique, pour être au seul service des enfants et de leur développement. (Chap.VI Sens et responsabilité morale). L’école redevient skolê, lieu d’ “oisiveté” où le devoir de savoir se transforme en joie de connaître et d’agir pour le monde. Là est la raison essentielle pour laquelle les écoles dites Steiner-Waldorf progressent en nombre partout dans le monde de façon exponentielle. La méthode suivie sera davantage “monstrative” que démonstrative car c’est regarder qui fait voir et écouter qui fait entendre. Pour cela il faut abandonner le plus possible le schéma linéaire de la pensée discursive, amener couche par couche, des perspectives qui peu à peu se creusent et s’approfondissent pour conduire à un moment d’attention extrême et d’intuition de l’idée, c’est-à-dire d’un “être-avec-l’idée”. On a alors quitté l’échelle de Wittgenstein. En conclusion, nous sommes partis du constat d’échec de l’éducation aujourd’hui; nous y mettons en évidence la part de l’héritage kantien d’un côté, behavioriste de l’autre et proposons un dépassement gnoséologique et éthique à partir de l’approche goethéenne et steinerienne de la réalité humaine dans son rapport au monde, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour une véritable éducation holistique qui confère à nouveau sens et propos à la vie, grandeur et dignité à l’être humain et fait de l’école un véritable lieu d’épanouissement et de croissance.
Le propos de la thèse est de montrer qu'au coeur des problèmes que pose l'éducation aujourd'hui se trouve la question du connaître et de la mort du penser dans des structures mentales intellectuelles abstraites. Le triomphe du nominalisme a entraîné l'oubli de l'expérience de la vérité; la vérité est devenue dépourvue d'intérêt. Évacuée des préoccupations de la science, celle-ci lui préfère l'idée d'efficacité, de système fécond et saturé. Mais tout cela, dira Steiner, n'est qu'un rêve plaqué sur le réel car "l'intellect est pensée automatique et routinière" (La Rencontre des Générations, p. 40) et l'on ne saurait éduquer l'enfant avec cette "pensée automatique et routinière". Avec les forces mortifères de l'intellect on tue la vie, la passion pour la vie. Alors comment donner place dans l'éducation à l'intellect, à la science, sans en nier les grandes conquêtes; comment concilier cette intelligence abstraite avec la joie qui naît de la liberté créatrice, la joie de l'enfant qui joue et fait de l'être humain pleinement un être humain selon Schiller? Voilà le défi éducatif d'aujourdřhui, un défi que nous n'avons pas su encore relever à l'échelle de nos sociétés modernes et celles-ci se meurent dans l'ennui, le vide, la misère de l'âme avec son cortège de pathologies physiques et psychiques, d'asservissement et de dépendances. Il y a urgence à changer de perspective, à ancrer le "travail" de l'école - l'école de la famille, l'école de l'école, l'école de la vie - dans une expérience cognitive holistique de l'être humain et du monde et c'est ce qui sera à montrer. Notre hypothèse de départ, c'est que Steiner a une contribution décisive à faire sur la question de l'éducation, de ses fondements épistémologique et éthique. Du constat des pathologies actuelles de l'éducation devenue elle-même pathogène (Chap. I Mozart assassiné), découle l'idée qu'un secret a été perdu pour la conscience moderne : le chemin qui va de l'apparaître à l'être; et la vie s'est éteinte dans l'abstraction des constructions mentales (Chap. II Le secret perdu). Héritiers de la philosophie kantienne, nous sommes restés paralysés sur l'échelle de la célèbre métaphore de Wittgenstein (Tractatus logico-philosophicus, Proposition 6.54) sans le courage de la rejeter au loin après y être monté - die Leiter wegwerfen-; on est resté avec cette fracture du réel entre l'être et l'apparaître. Pour une éducation holistique de l'être humain il faut une nouvelle gnoséologie, une nouvelle éthique; Steiner propose l'épistémologie goethéenne fondée sur le développement de l'appréhension intuitive de l'archétype et, de son côté, ce qu'il appellera "l'individualisme éthique", fondé sur le développement de l'intuition morale, un véritable dépassement du kantisme dont les conditions de possibilité seront montrées. (Chap. III Fondements gnoséologiques pour de nouvelles perspectives en éducation). Sur ces fondements l'éducation devient processus de guérison selon les trois grandes étapes de l'enfance et de la jeunesse que sont le développement d'une "volonté connaissante" chez le petit enfant puis du "sentiment connaissant" chez l'enfant de la deuxième enfance et du pouvoir de l'imagination créatrice, (Chap. IV Le pouvoir de l'imagination); enfin du "connaître voulant" de la jeunesse mise en mouvement par la transformation des idées en idéaux (Chap. V Le courage de la vérité). Sciences et techniques de l'éducation sont devenues art de l'éducation, un art qui intègre rigueur de la science et efficacité de la technique, qui repose sur un sens aigu de la responsabilité morale de l'éducateur et de l'enseignant, une responsabilité morale qui exige liberté et collégialité au sein d'une école indépendante de l'état et de la politique, pour être au seul service des enfants et de leur développement. (Chap.VI Sens et responsabilité morale). L'école redevient skolê, lieu d'"oisiveté" où le devoir de savoir se transforme en joie de connaître et d'agir pour le monde. Là est la raison essentielle pour laquelle les écoles dites Steiner-Waldorf progressent en nombre partout dans le monde de façon exponentielle. La méthode suivie sera davantage "monstrative" que démonstrative car c'est regarder qui fait voir et écouter qui fait entendre. Pour cela il faut abandonner le plus possible le schéma linéaire de la pensée discursive, amener couche par couche, des perspectives qui peu à peu se creusent et s'approfondissent pour conduire à un moment d'attention extrême et d'intuition de l'idée, c'est-à-dire d'un "être-avec-l'idée". On a alors quitté l'échelle de Wittgenstein. En conclusion, nous sommes partis du constat d'échec de l'éducation aujourd'hui; nous y mettons en évidence la part de l'héritage kantien d'un côté, behavioriste de l'autre et proposons un dépassement gnoséologique et éthique à partir de l'approche goethéenne et steinerienne de la réalité humaine dans son rapport au monde, ouvrant ainsi de nouvelles possibilités pour une véritable éducation holistique qui confère à nouveau sens et propos à la vie, grandeur et dignité à l'être humain et fait de l'école un véritable lieu d'épanouissement et de croissance.
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Sanchez, Jose. "Unité, séparation et réintégration : la quête de la liberté dans les Drames-Mystères de Rudolf Steiner." Paris 8, 2002. http://www.theses.fr/2002PA082151.

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Abstract:
Le sujet de cette thèse sur les Drames-Mystères de Rudolf Steiner concerne l'élargissement des limites de la connaissance et la Weltanschauung - fondée sur la liberté individuelle - qui en est la conséquence. Le propre de notre époque serait le principe de l'initiation ce qui implique l'harmonie entre le sujet (la psyché humaine, le temps) et l'objet (la science, l'espace). D'après Steiner, l'évolution humaine se situe à moitié chemin entre les pôles de l'union avec Dieu (l'image unitaire) et de la séparation (la langue qui fragmente la réalité). Sa vision cosmosophique est fondée sur le jeu entre l'homme et les éléments macrocosmiques (consonnes, constellations, Zodiaque) et microcosmiques (voyelles, planètes) du langage. Essentiellement un drame de la Parole (langue: karma) les Drames-Mystères établissent le modèle de la 'Tragédie du karma'. Il n'y a pas un contenu intellectuel derrière ces drames: ils ne doivent pas être compris mais entendus. Rudolf Steiner a cherché le geste et l'impulsion originelle de la langue pour les réduire au son, c'est ainsi qu'il a ramené au son les qualités rythmiques, musicales et plastiques de la pensée (mantram)
The subject of this thesis on Rudolf Steiner's Mystery-Dramas concerns the widening of the limits of knowledge and the Weltanschauung - based on individual freedom - which is its direct consequence. The sign of our times would be the principle of initiation which implies the harmony between the subject (the human psyche, the time) and the object ( material science, the space). According to Steiner, human evolution is placed halfway between the poles of the union with God (the unitarian or holistic image) and the separation (the language that fragments or shatters reality). His cosmosophic vision is based on the interplay between man and the macrocosmic (consonants, constellations, Zodiac) and microcosmic elements of language (vowels, planets). Essentially a drama of the Word (language: karma), the Mystery-Dramas set the model of the 'Tragedy of Karma'. There is no intellectual meaning behind the dramas: they have to be heard rather than understood. Rudolf Steiner has strived to find the gesture and the original impulse of language and bring it back to sound. That is why he condenses into sound the plastic, musical and rhythmical qualities of thought (mantram)
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Joseph, Michel. "La philosophie et la pédagogie sociale de Rudolf Steiner : de la philosophie steinerienne comme expérience de l'esprit à sa réalisation dans l'anthroposophie et l'art social." Paris 8, 2000. http://www.theses.fr/2000PA083742.

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Abstract:
Les difficultés d'une telle recherche tenaient à l'ampleur de l’œuvre ainsi qu'à l'intégration des nombreuses applications. Cette œuvre plutôt rationnelle et scientifique jusqu'au début du XXe siècle comporte-t-elle ensuite une coupure, une fuite vers un domaine irrationnel, "imaginatif" ? Y a-t-il ainsi "plusieurs" Steiner ? Pour tenter de répondre à ces questions, la recherche s'articule en deux parties : la première, davantage descriptive et historique, coïncide à peu près avec la première partie de l’œuvre de Steiner. Elle s'efforce de décrire d'une part l'expérience du spirituel dont parle Steiner au niveau de la connaissance et d'autre part les méthodes qu'il utilise pour que chacun puisse à son tour y accéder. Pour ce faire, la méthode appliquée est phénoménologique, au sens de Goethe et de Steiner (partir des phénomènes pour arriver aux concepts). Dans cette première partie, trois aspects semblent très significatifs : le problème des limites de la connaissance et de la frontière entre la pensée et la vie (notion steinerienne de seuil), l'élargissement de la pensée (le goethéanisme comme pensée globale) et enfin les conséquences philosophiques pour l'action, l'individualisme éthique (réalisation de l'homme en tant qu'être spirituel dans le cadre social le plus universel). La seconde partie, davantage thématique, tente de montrer comment, à partir de sa méthode de connaissance, Steiner parvient à une mise en pratique systématique de son expérience de l'esprit autour de son anthropologie spirituelle avec ses applications en pédagogie, dans le social et en art. Au sein de ses réalisations, l'art social appelé aussi "plastique" ou "architecture sociale" semble être un domaine original qui synthétise en lui les trois secteurs d'activité précédents. Ces nouvelles démarches ainsi induites sont-elles fécondes ? Répondent-elles aux problèmes de cette fin et début de siècle ?
The difficulties of the present research are due to the immensity of Steiner's work as well as to the integration of numerous applications. Is there an interruption in this work, being rather rational and scientific till the beginning of the 20th century, towards an irrational, "imaginative" domain? Is there so "several" Steiners? This research articulates in two parts: the first one, more descriptive and historical, approximatively coincides with the first part of Steiner's work. It deals with the spiritual experience on the level of knowledge Steiner writes about and with the methods he uses so that everyone can access this experience themselves. In this first part, three aspects seem to be especially significant: the limits of knowledge and the frontier between thought and life (the Steinerian notion of "threshold"), the extension of thought (Goetheanism as a total thought), and the philosophical consequences for action and ethic individualism (the realization of man as a spiritual being in the most universal social frame). The second more thematic part tries to show how Steiner succeeds in setting up a systematic application of his spirit experience theory thanks to his knowledge method: spiritual anthropology and its applications to pedagogy, social activity and art. Among those realizations, social art, also called "plastic art" or "social architecture", seems to be an original domain synthetizing the other three preceding activity domains (pedagogy, social activity and art). Are these new steps fertile? Do they resolve the problems of this end and beginning of century?
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Choné, Aurélie. "L'Occident à la rencontre de l'Orient pendant la première moitié du 20ème siècle : intégration et transformation du savoir sur l'Orient dans l'espace germanophone à travers l'oeuvre de Rudolf Steiner, Carl Gustav Jung et Hermann Hesse." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2002. http://www.theses.fr/2002STR20007.

Full text
Abstract:
Grâce à l'essor de l'orientalisme universitaire, en particulier de l'indianisme allemand, au 19ème siècle, la connaissance des cultures et des religions orientales (hindouisme, bouddhisme, taoi͏̈sme) a considérablement progressé dans l'espace germanophone au début du 20ème siècle. Nous montrons comment et à quelles fins ce savoir est assimilé par l'Occident dans la première moitié du 20ème siècle, à travers l'œuvre de trois auteurs issus de champs complètements différents, même s'ils s'entrecroisent : l'ésotérisme pour Rudolf Steiner (1861-1925), la psychologie pour Carl Gustav Jung (1875-1961) et la littérature pour Hermann Hesse (1877-1962). . .
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Mitev, Kamen. "Expériences spirituelles laïques et modes de vie mystiques aux dix-neuf et vingtièmes siècles : étude descriptive et comparative, se référant à l'exemple de la Fraternité Blanche Universelle en Bulgarie et en France." Paris, EHESS, 2005. http://www.theses.fr/2005EHES0046.

Full text
Abstract:
Le texte représente une enquête qualitative visant à créer une image compréhensive de la qualité mystique, dans les cadres chronologiques des dix-neuf et vingtième siècles. L'enquête est organisée autour d'une perspective socio-historique sur la Fraternité Blanche Universelle, groupe d'origine bulgare, créé en 1990. La Fraternité Blanche Universelle se situe dans un enchaînement de mouvements, à savoir le Magnétisme animal, le spiritisme, la Téosophie de Madame Blabatsky, l'Anthroposophie de Rudolf Steiner, le mouvement de Georges Ivanovitch Gurdjieff. L'optique théorique qui correspond à l'exploration de ce contexte introduit les concepts d'une mystique moderne et d'une expérience spirituelle laïque moderne. Il s'agit d'une tentative de construction d'un système interprétatif du mysticisme, impliquant le sens général des mouvements cités, aussi bien qu'un modèle synthétique de la dynamique psychique
The present enquiry aims to create a comprehensive image of the mystical quality in the chronological frames in the XIX and XX century. The enquiry is organised around a social and historical perspective about the Universal White Brotherhood, a community created in 1990, in Bulgaria. The group takes his place among complex of movements, namely The Mesmerism, the spiritism, the modern theosophy of Blavatsky, Rudolf Steiner's anthroposophy, the movement of G. Gurdjieff. The theoretical view corresponding to the exploration of this context introduces the concept of a modern mystic and a laical spiritual experience, attempting to build a general interpretative system of mysticism, leading to a synthetic model of dynamic of the psyché
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