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Journal articles on the topic 'Style du traducteur'

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Trabelsi, Chédia. "La problématique de la traduction du Coran : étude comparative de quatre traductions françaises de la sourate « La lumière »." Meta 45, no. 3 (October 2, 2002): 400–411. http://dx.doi.org/10.7202/004504ar.

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Abstract:
Résumé Quel que fût l'objectif des traductions françaises du Coran, celui-ci a toujours suscité l'intérêt des traducteurs. C'est que ce texte arabe se caractérise par une densité sémantique - une multitude, toujours ouverte, de lectures ou d'interprétations dont certaines sont accréditées par les grands exégètes musulmans - dont le traducteur doit prendre connaissance s'il ne veut pas risquer de donner une traduction qui réduirait ou occulterait les messages coraniques, d'où les différentes méthodes utilisées par les traducteurs pour combler au maximum les lacunes sémantiques. De plus, ce texte sacré se distingue par une richesse stylistique telle qu'il est considéré par les Arabes comme inimitable, ainsi se sont développées deux tendances parmi les traducteurs: certains optent pour une langue châtiée afin de s'approcher autant que possible de la richesse du style arabe. D'autres préfèrent imiter ce style afin d'essayer d'en refléter la beauté. Mais dans quelle mesure ces traductions françaises littérales peuvent-elles être fiables?
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Schulte Nordholt, Annelies. "« Les traductions d’œuvres de style complexe sont de plus en plus du domaine des éditeurs indépendants »." RELIEF - Revue électronique de littérature française 15, no. 1 (July 7, 2021): 166–75. http://dx.doi.org/10.51777/relief10889.

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Abstract:
Kiki Coumans est actuellement un des traducteurs de littérature française les plus en vue aux Pays-Bas. Par ses multiples traductions et ses essais, elle s’est constituée en médiatrice du roman et de la poésie moderne et contemporaine, avec une préférence pour les textes stylistiquement exigeants et parfois expérimentaux. Parallèlement à son travail de traductrice, elle a déployé une intense activité d’essayiste, où elle éclaire les œuvres traduites et justifie ses choix de traducteur en les comparant à ceux d’autres traducteurs. Comment son œuvre de traductrice s’est-elle construite au fil des années ? Quel a été son itinéraire de traductrice ? De quelle manière a-t-elle pu se positionner dans le champ de la traduction littéraire aux Pays-Bas ? Dans cet entretien exclusif, Kiki Coumans nous parle également de ses aventures dans les archives et de la valeur ajoutée des manuscrits d’écrivains, pour la traduction littéraire.
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Shuttleworth, Mark. "Manuscripts don't Translate? Some Issues Arising from the Translating of Bulgakov's The Master and Margarita." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 40, no. 4 (January 1, 1994): 193–202. http://dx.doi.org/10.1075/babel.40.4.02shu.

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Abstract:
Pour plusieurs raisons, l'ouvrage de Bulgakov, The Master and Margarita, est intéressant pour les étudiants en traduction et c'est la raison pour laquelle le présent article aborde toute une série de questions. Cependant, l'auteur tente avant tout de cerner deux aspects fondamentaux. En premier lieu, il analyse le caractère étonnamment "étrange" de l'univers textuel du roman et les difficultés qu'il représente par conséquent pour le traducteur. Au nombre de ces difficultés figure entre autres la nécessité pour le traducteur d'être familiarisé avec toute une gamme d'antécédents littéraires présents dans le roman. C'est à ce niveau-là que surgit une seconde difficulté, à savoir d'effectuer un "transfert culturel" qui tienne compte du fait que Bulgakov élabore un univers textuel unique en son genre en y intégrant des éléments culturels d'origines diverses. L'auteur en conclut que dans de telles conditions, la traduction devient un ré-encodage secondaire du code culturel d'origine. En second lieu, l'auteur tente de justifier la liberté d'approche dont fait preuve Michael Glenny, l'un des deux traducteurs anglais de l'ouvrage de Bulgakov. Cette traduction libre se manifeste par l'adjonction d'éléments et de nuances qui ne se trouvent pas dans le texte original mais que l'auteur justifie eu égard à la nécessité, pour une traduction, d'être fidèle à sa propre logique interne. A titre d'exemple, il cite et analyse l'adjonction de l'expression yiddish Mazel tov. L'auteur tente également de découvrir dans quelle mesure il est admissible voire souhaitable que le traducteur crée sa traduction en y reflétant ses propres convictions ou sa personnalité. Enfin, Particle aborde une série de questions d'importance secondaire, telles que les noms utilisés par Bulgakov, le style et les problèmes que suscite l'existence de plusieurs versions différentes, manuscrites, du roman.
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4

Knowles, Murray, and Kirsten Malmkjaer. "Key terms in H.C. Andersen's fairytales and their translations into English." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 37, no. 4 (January 1, 1991): 203–12. http://dx.doi.org/10.1075/babel.37.4.03kno.

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Abstract:
En Grande-Bretagne, Hans Christian Andersen est célèbre avant tout en tant qu'écrivain de contes de fées, et bien qu'il soit souvent cité comme un maître de ce genre littéraire, cet éloge lui est essentiellement décerné en raison de son aptitude à créer une 'bonne histoire'. Mais rares sont les lecteurs anglais qui réalisent à quel point Andersen manie la langue avec une extraordinaire subtilité. Les auteurs suggèrent que ceci est dû en grande partie au fait que ses écrits parviennent au lecteur anglais en traduction, et que, quel que soit le mérite de la traduction, cette dernière ne rend pas l'uniformité de certains termes clés utilisés dans le texte original. Les auteurs démontrent en particulier que certains termes clés auxquels Andersen accorde une signification bien précise dans toutes ses histoires et non seulement dans une seule, se perdent généralement lors de la traduction, même lorsqu'il s'agit d'une collection de traductions réalisée par le même traducteur. Parmi les choix linguistiques d'Andersen, les auteurs ont sélectionné ceux qui, dans l'optique sociocritique de son oeuvre, constituent des termes clés. Ils suggèrent et démontrent qu'en procédant à une analyse approfondie du style de plusieurs récits, le traducteur sera mieux en mesure de reproduire fidèlement l'uniformité terminologique d'Andersen. En respectant l'uniformité d'une oeuvre, le traducteur serait mieux à même de reproduire non seulement le style et les compétences linguistiques de l'auteur, mais également son talent de conteur.
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Smeets, Marc, and Mingus Niesten. "« Il faut traduire le style, pas les mots »." RELIEF - Revue électronique de littérature française 15, no. 1 (July 7, 2021): 156–65. http://dx.doi.org/10.51777/relief10887.

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Abstract:
Critique littéraire, écrivain, essayiste, photographe, Martin de Haan est aussi, et avant tout, ambas­sa­­deur de la traduction littéraire. Tout au long de sa carrière, il n’a cessé de souligner le rôle essentiel du traducteur qui, selon lui, a longtemps été négligé par la politique culturelle et éditoriale. Il a traduit une quarantaine d’ouvrages de littérature française en néerlandais. Figurent dans sa bibliographie, outre la traduction quasiment intégrale de l’œuvre de Michel Houellebecq et de Milan Kundera, les noms d’entre autres Pierre Choderlos de Laclos, Benjamin Constant, Vivant Denon, Denis Diderot, Jean Échenoz, Marcel Proust et Joris-Karl Huysmans. C’est dire que les classiques français sont dans le collimateur de ce lauréat du prix Elly Jaffé 2018 (prix triennal de la meilleure traduction en néerlandais d’une œuvre franco­phone).
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Waldinger, Albert. "Decoding self." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 41, no. 3 (January 1, 1995): 149–60. http://dx.doi.org/10.1075/babel.41.3.04wal.

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Abstract:
Cet article, "Déchiffrage de soi: 'Feuille de l'herbe' en hébreu", s'occupe de la contribution de Shimon Halkin à la littérature hébraïque en tant que traducteur de la poésie de Walt Whitman, lui en dehors de cette tradition pendant que Halkin traduit de ses profondeurs kabbalistiques. Donc, sa traduction apporte un renouvellement linguistique, stylistique et culturel au système littéraire cible, un apport "hors série" censé à enrichir le style "régnant." Il a accompli cette translation par l'utilisation de la kabbala, au sein de sa propre culture, et par un sens aigu de la souffrance juive moderne. On peut donc voir la lecture de Whitman en hébreu, aussi bien que celle d'autres oeuvres de littérature moderne que Halkin a traduit, comme un essai de porter remède à cette douleur et son traducteur comme un apporteur d'espoir et de soulagement.
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Raimondo, Riccardo. "Clément Marot, traducteur évangélique des Rerum vulgarium fragmenta de Pétrarque." Renaissance and Reformation 43, no. 2 (September 28, 2020): 119–45. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v43i2.34794.

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Abstract:
Clément Marot est le premier traducteur français des Rerum vulgarium fragmenta de Pétrarque. Sa traduction intitulée Six sonnetz de Petrarque sur la mort de sa dame Laure procède d’un geste traductif qui célèbre la langue françoyse, en harmonie avec les idéaux de la cour de François Ier et avec l’édification d’un « italianisme royal » considéré comme élément fondateur de la translatio studii et imperii. La préciosité de l’édition et le style qui se greffe en partie sur la tradition des rhétoriqueurs renvoient d’abord à une traduction courtisane qui vise l’ornementation poétique. Un regard plus attentif révèle aussi ses profondes inspirations évangéliques et un geste traductif novateur à une époque où la distinction entre traduction et imitation n’était pas encore nette.
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8

Akakuru, Iheanacho A., and Nwanne Mkpa. "Traduction et stylistique : Une analyse de la traduction d'Arrow of God de Chinua Achebe." Meta 42, no. 4 (September 30, 2002): 641–48. http://dx.doi.org/10.7202/001865ar.

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Abstract:
Résumé Les auteurs analysent la traduction a Arrow of God afin de déterminer dans quelle mesure le processus de traduction a influencé le style, voire l'orientation de l'œuvre originale. Us relèvent des cas de modifications de la langue source qui concernent le plus souvent des mots I expressions qui sont contexte-dépendants et concluent que même si, dans l'ensemble, la traduction respecte l'esthétique de l'original, on remarque néanmoins un décentrement. Or, les éléments que l'on violente sont ceux qui participent du style de l'auteur, de ses stratégies particulières, etc. Et c'est en les modifiant, en cherchant à leur imposer une nouvelle individualité, que le traducteur porte atteinte à l'intégrité de l'original.
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Constantinescu, Muguraş. "Deux écrivains roumains à l’épreuve de la traduction du conte français." TTR 25, no. 2 (October 8, 2013): 193–213. http://dx.doi.org/10.7202/1018808ar.

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Abstract:
La présente contribution propose une analyse critique et comparative portant sur la façon de traduire de deux écrivains-traducteurs roumains, Caragiale et Sadoveanu, qui ont traduit en roumain des contes français et les ont publiés autour de 1910, mais depuis des positions traductives différentes et avec des conséquences variées sur la conversation écriture-traduction. Nous partons dans cette étude des points communs qui rapprochent les deux auteurs : le premier concerne le choix d’un genre bref, le conte, en l’occurrence, le conte merveilleux de Perrault pour Caragiale et le conte de chasse et le conte fantastique de Maupassant pour Sadoveanu. Un autre point commun est un intérêt marqué pour la traduction très libre, sorte d’adaptation « à sa façon », de quelques contes de Perrault, Poe, Twain, dans le cas de Caragiale, renommé dramaturge roumain, mais également conteur vers la fin de sa carrière; pour la traduction littéraire de grands auteurs et de grandes oeuvres, – Maupassant, Tourgueniev, les Psaumes – dans le cas de Sadoveanu, remarquable prosateur et inégalable conteur. L’analyse comparative du texte traduit et de l’original montre que l’écrivain Caragiale, déjà célèbre à l’époque où il traduit Perrault, élabore une poétique de l’imitation qui lui permet un jeu très libre avec le conte-source auquel il imprime son style, allant jusqu’à l’acclimatation, tandis que Sadoveanu, traduisant en début de carrière, est plus proche de l’original, sans réprimer pour autant quelques marques de son écriture en cours de cristallisation. Dans le cas des deux écrivains, il s’agit de degrés différents de conversation entre l’écriture et la traduction : entre l’écrivain et le traducteur, où l’écrivain domine, si l’on pense à Caragiale; où l’écrivain se trouve toujours en compétition avec le traducteur, si l’on pense à Sadoveanu.
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Ljepavic, Danijela. "La problématique de la traduction des figures de style dans les expressions figées." Káñina 42, no. 3 (February 5, 2019): 257–85. http://dx.doi.org/10.15517/rk.v42i3.36111.

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Abstract:
L’enjeu de cet article est d’aborder les expressions figées en français et en BCMS du point de vue de la traduction. On attire l’attention sur les figures de style et la difficulté de les rendre et de les conserver en traduisant. C’est le moment de prendre conscience des ressemblances et des dissemblances qui existent dans les deux langues, de deviner de quelle façon les langues appréhendent la réalité et l’expriment, de réaliser par conséquent que le passage d’un code linguistique à un autre est un phénomène complexe, puisqu’il implique plusieurs paramètres, non seulement linguistiques mais aussi bien pragmatiques que culturels. Le traducteur s’efforcera non seulement de trouver un équivalent mais de trouver un équivalent de même style tout en gardant les figures qui font les expressions plus vivantes et plus parlantes. Mots clés : expression figée, figement, figure de style, traduction, transposition.
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Côté, Nicole. "« Hôtel Verbano », une genèse à rebours, ou la stylistique comparée revisitée." TTR : traduction, terminologie, rédaction 9, no. 2 (March 16, 2007): 123–46. http://dx.doi.org/10.7202/037261ar.

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Abstract:
Résumé " Hôtel Verbano ", une genèse à rebours, ou la stylistique comparée revisitée — L'auteure traite de l'utilité de la distinction entre styles collectif et individuel pour rendre compte de la traduction littéraire, où le sens est intégré à la forme. La saisie du sens se faisant à partir de l'étude de la structuration du style d'un auteur — lui même construit en fonction d'un style collectif qui possède ses propres normes —, la traduction doit respecter le contrat qui lie un écrivain à sa langue, jusque dans sa subversion. Toutefois, les ressources de la langue cible étant autres, une restructuration ne peut être évitée, ce qui oblige le traducteur à repenser la délimitation des frontières entre styles collectifs et individuels dans sa langue et les choix qu'elle implique. Bien que l'approche de la traduction proposée ici semble accorder un grand rôle au signifiant, elle sous-tend en fait une approche interprétative, qui se concentre sur le signifié tel qu'il est dévoilé par le jeu des signifiants. Suit une analyse de la nouvelle Hotel Verbano, de Jane Urquhart, qui montre que la progressive dépersonnalisation du récit se reflète dans sa syntaxe même, en particulier dans l'usage des modes et des temps; d'où la nécessité de retracer les frontières entre lesquelles Urquhart navigue dans sa langue, afin d'inscrire ce parcours dans le texte français.
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Saint-André Utudjian, Éliane. "Processus d’acculturation et problèmes de traduction : le théâtre de Wole Soyinka." TTR : traduction, terminologie, rédaction 6, no. 2 (March 16, 2007): 79–101. http://dx.doi.org/10.7202/037152ar.

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Abstract:
Résumé Processus d'acculturation et problèmes de traduction : le théâtre de WoIe Soyinka — Cette étude traite des déterminations linguistiques et culturelles que fait peser une culture-source peu familière sur la traduction en français du théâtre de langue anglaise de l'auteur nigérian WoIe Soyinka, prix Nobel de littérature (1986). L'ethnie yoruba fournit à ces pièces une langue polytonale, une civilisation enracinée dans le sacré et un théâtre ambulant opératique. Les influences occidentales se reconnaissent à l'utilisation de l'anglais standard par les personnages membres de l'élite cultivée, de mots-clés révélateurs d'idéologies par les personnages représentatifs et de modèles littéraires occidentaux. La composante anglo-nigériane, synthèse plus ou moins cohérente, mais toujours très riche, de toutes les influences, se distingue par l'emploi de l'anglais pidgin, d'un anglais nigérianisé et d'un style heurté, parfois hermétique, exprimant la souffrance et la rébellion. Les trois composantes de ce théâtre (indissociables dans la réalité) exigent du traducteur des techniques variées, une culture étendue et une grande sensibilité poétique. Il revient au traducteur francophone de trouver des équivalents français susceptibles de rendre des faits de civilisation africains, issus de processus d'acculturation complexes.
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Hickey, Leo D., Rosa Lorés, Hilaria Loya-Gómez, and Antonio Gil de Carrasco. "A Pragmastylistic Aspect of Literary Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 39, no. 2 (January 1, 1993): 77–88. http://dx.doi.org/10.1075/babel.39.2.03hic.

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Abstract:
Entre la décision d'un traducteur de traiter des informations "données" dans une culture comme si elles l'étaient nécessairement aussi dans une autre, ce qui peut créer un problème pour un lecteur de la traduction qui ne possède pas ces informations, et la décision de les expliciter au moyen de phrases complètes, ce qui peut créer un problème stylistique en changeant radicalement le style du texte d'origine, nous suggérons que, dans certains cas du moins, il sera possible d'encoder ce qui est déjà connu dans la culture d'origine, mais inconnu dans la culture de la traduction, en ayant recours à la présupposition. Cette technique consiste à ajouter des détails, mais d'une manière qui suppose qu'ils sont vrais et sans les expliciter. La présupposition, donc, peut se comporter comme quelque chose qui se situe entre le silence de l'information donnée et l'explication complète de l'information nouvelle qui risque de détruire le style équilibré du texte d'origine.
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Adegboye Gbadegesin, Olusegun. "L’équivalence dynamique dans la traduction française des romans de Fagunwa." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 65, no. 5 (December 18, 2019): 662–77. http://dx.doi.org/10.1075/babel.00119.ade.

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Abstract:
Résumé La traduction de la littérature fait l’objet de nombreux débats depuis plusieurs décennies et, sur la base de ces débats, des approches ont été formulées en fonction des points de vue des précurseurs en ce qui concerne les défis de leur tâche. L’auteur d’une œuvre littéraire est influencé par son expérience de la vie, sa culture, son imagination, sa société, l’idéologie de son peuple, etc. Une œuvre littéraire, fortement imprégnée de nuances culturelles, est toujours en opposition avec la langue du récepteur. Les romans yorubas de Daniel Olorunfemi Fagunwa en sont un bon exemple. Pour amener le lecteur de la version française à réagir au message du texte original de manière identique ou pratiquement identique, Olaoye Abioye, le traducteur de ces romans, confère une valeur secondaire au style de Fagunwa. Par cette approche, l’équivalence dynamique, une idée avancée par le traducteur de la bible, Eugene Nida, est inconsciemment mise en jeu. La compréhension du lecteur récepteur lui est imposée dans le cadre de son contexte culturel pour éviter toute trahison ou contre-sens dans les versions françaises. Dans cet article, nous abordons la dichotomie entre l’imposition et la trahison en traduction, l’imposition et la trahison dans l’optique de l’équivalence dynamique et l’imposition ou la trahison dans la traduction française de deux romans de Fagunwa. Il conclut que l’imposition est une exigence en traduction littéraire.
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Cunillera Domènech, Montserrat. "Étude comparative et traduction en espagnol de certains termes du droit successoral français." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 66, no. 1 (February 18, 2020): 96–117. http://dx.doi.org/10.1075/babel.00140.dom.

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Abstract:
Abstraite Afin de s’assurer une bonne compréhension du texte source, le traducteur juridique se doit de maîtriser la macrostructure des genres textuels du droit, le style du langage juridique et la terminologie du champ thématique en question. C’est sur ce dernier aspect, la terminologie, que portera la présente étude. Plus concrètement, nous nous intéressons à certains termes du droit des successions qui ont une forme linguistique similaire en français et en espagnol. La proximité des langues et des systèmes juridiques concernés mène le traducteur à considérer que certains de ces termes désignent le même concept alors que ce n’est pas toujours le cas. Nous nous demandons si, entre les termes choisis, il existe véritablement une relation d’équivalence sémantique pleine ou si, au contraire, cette relation conceptuelle est asymétrique et imparfaite. La confirmation de cette dernière hypothèse signifierait l’identification de faux-amis dont il faudrait tenir compte pour éviter des erreurs de sens au moment d’opter pour une solution de traduction. Pour répondre à ces questions nous proposons une analyse comparative fondée sur la méthodologie du droit comparé et sur le concept d’équivalence fonctionnelle. L’intérêt d’une telle approche méthodologique pour le traitement de l’équivalence a été mis en relief dans plusieurs travaux portant sur la traduction juridique. En même temps elle permet de réfléchir sur l’acceptabilité de certaines techniques de traduction lorsque nous avons affaire à ce type de mots.
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Aubin, Marie-Christine. "D’une langue à l’autre : les transformations du texte de deux nouvelles d’Honoré de Balzac dans des versions anglaises, espagnoles et chinoises." TTR 29, no. 1 (July 24, 2018): 85–114. http://dx.doi.org/10.7202/1050709ar.

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Abstract:
Balzac le suggère dans sa Physiologie du mariage, « [l]ire, c’est créer peut-être à deux » (1976, t. XI, p. 1019). Ce qui est vrai de l’amateur de livres l’est encore plus du traducteur, lecteur primordial chargé de réécrire le texte en langue étrangère. Dans le présent article, nous observons deux nouvelles de Balzac, Le Réquisitionnaire (1831) et L’Élixir de longue vie (1830), traduites en anglais, espagnol et chinois. Cette observation s’inscrit dans le prolongement des théories de la réception, notamment des plus récentes qui intègrent la dimension culturelle à l’activité de traduction, mais nous nous fondons surtout sur le modèle macro- et transtextuel que propose O’Neill (2005). Il s’agit d’un système multilingue complexe, composé de l’ensemble des textes, en langues étrangères et originale, qui englobe l’auteur du texte original, ses traducteurs et tous les prolongements et toutes les transformations – heureuses ou malheureuses – réalisées à partir du texte initial. Cette approche macrotextuelle nous permettra non seulement d’observer l’impact de Balzac dans le monde, mais aussi d’élucider quelques-unes des stratégies employées par les traducteurs pour mener à bien leur entreprise : stratégies de nature stylistique pour rendre les aspects perçus du style de Balzac, mais aussi stratégies d’acculturation ou de dépaysement comme elles ont pu être discutées par Schleiermacher, Venuti ou Berman. Quelles que soient ces stratégies, il apparaît très nettement qu’une fois publiée, l’oeuvre n’appartient plus à son auteur (Chan, 2010, p. 3). Celle-ci a donc une vie et des prolongements que l’auteur ne saurait soupçonner et dont les résultats lui échappent complètement. Pour illustrer ces prolongements, nous suivrons ces deux nouvelles dans quelques pays et dans quelques systèmes linguistiques et tâcherons de mesurer les transformations du texte, tant pour la forme que pour le fond.
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Cho, Jae-Ryong. "La création et la ré-création de la Langue étrangère-native-traduite : Notes de Traducteur en coréen d’Exercices de Style de Raymond Queneau." Comparative Literature 80 (February 28, 2020): 151–64. http://dx.doi.org/10.21720/complit80.05.

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Papas, Christian. "La traduction des métaphores au regard de la psychologie cognitive." Meta 52, no. 1 (March 12, 2007): 123–28. http://dx.doi.org/10.7202/014727ar.

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Abstract:
Résumé La psychologie cognitive, telle qu’elle a évolué depuis ses origines dans les années 1960 considère aujourd’hui les « figures de style » non pas comme une forme de maniérisme mais comme un mode de pensée. Chargé d’enseigner la traduction technique du grec moderne vers le français au Département de langues étrangères, de traduction et d’interprétation de l’Université ionienne de Corfou (Grèce) à des étudiants de langue maternelle grecque, je me suis souvent heurté à des problèmes de traduction de métaphores. J’aimerais essayer de démontrer à partir d’exemples iconographiques que la métaphore n’est pas une affaire de style mais une forme de pensée destinée à accrocher le lecteur et à ajouter un peu de piquant dans le discours. Malheureusement, en traduction les métaphores posent de sérieux problèmes car elles n’ont pas la même acuité d’une culture à une autre et d’une langue à une autre et la consultation d’un dictionnaire bilingue n’est pas de grande utilité quand les métaphores vives dans la langue source deviennent obtuses une fois traduites au point que le traducteur doit avoir recours à des clichés. Quel travail ingrat !
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Cruz, Anne J. "Los Trionfi en España: la poética petrarquista, la teoría de la traducción y la lengua vernácula en el siglo XVI." Anuario de Estudios Medievales 25, no. 1 (April 2, 2020): 267. http://dx.doi.org/10.3989/aem.1995.v25.i1.931.

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Abstract:
Les traductions des Trionfi de Pétrarque au castillan faites au XVIe siècle offrent un moyen d’évaluer l’évolution des attitudes envers la poétique pétrarquiste, la traduction et la langue vernaculaire. Malgré leur style chansonnière, les prémieres traductions des Trionfi par Antonio de Obregón en 1512 et du Trionfo d'amore par Alvar Gómez confirment la receptivité de la culture espagnòle au développement de la poétique espagnole de la Renais­sance et cependant démontrent les difficultés de la traduction ad sensum dans une forme poétique differente. Basée sur le double propos, apparemment contradictoire, du traducteur humaniste comme fidus et interpres faite en 1554 par Hernando de Hozes en schéma italianizant de la terza rima s’approprie avec succès les rimes de Pétrarque en trasmettant le sense de l'original tout en affirmant l'autonomie et primauté du vernaculaire castillan.
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Ayati, Akram, and Mojgan Mahdavi Zadeh. "La réception de l'imagination poétique aragonienne chez Ahmad Shâmlou, poète contemporain iranien." ALTERNATIVE FRANCOPHONE 2, no. 2 (April 24, 2018): 78–92. http://dx.doi.org/10.29173/af29350.

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Abstract:
La réception des œuvres d’Aragon en Iran, renvoie aux années 1945-1955 où les poètes et écrivains iraniens, venaient de découvrir le surréalisme français à travers l’immense masse de traductions réalisées à l’époque. Ahmad Shâmlou, poète et traducteur des poètes surréalistes, a subi une influence non négligeable de l’œuvre d’Aragon. Lecteur passionné de celui-ci, Shâmlou a imité dans son écriture poétique, le style aragonien pour s’éloigner de la poésie traditionnelle persane. Une fois les vapeurs de jeunesse passées, Shâmlou se veut un poète engagé. Dans cette carrière littéraire, une source d’inspiration nourrissait l’imagination poétique de Shâmlou; Aydâ Serkisiyan, une femme qui représente et l’image de la bien-aimée et le symbole de la patrie et de l’humanité tout entière. Notre objectif sera donc d’étudier, les affinités qui, rattachent l’œuvre poétique de Shâmlou à Aragon, pour montrer comment un dialogue constant continue à s’établir entre les littératures française et persane.
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Jin, Di. "What is a perfect translation?" Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 43, no. 3 (January 1, 1997): 267–72. http://dx.doi.org/10.1075/babel.43.3.06jin.

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Abstract:
Abstract Perfection in translation was simply out of the question in the old days. The old saying on the dichotomy between the faithful and the beautiful, facetious as it might sound, actually hit the nail on the head. With the concept of loyalty hitched to a word-for-word equivalence, there was a tyranny of words. No translation could possibly be both stylisticly desirable and "faithful." The principle of equivalent effect has broken that tyranny and made it possible to pursue perfection in translation. The ultimate criterion of loyalty proper, as it is understood now, does not rely on the equivalence of words, but on the equivalence of effect. The TL text has to be stylisticly as desirable to the TL reader as the SL text to its reader, while carrying the spirit and contents as closely as possible. That which was impossible when the words were immutable has become a meaningful objective, though still very hard to achieve. The establishment of a hard-to-achieve objective may sound exacting and "prescriptive," but in fact the essence of the new approach is an emancipation of the shackled talents of the translator. One is now free to utilize all the rich potential of one's own language (the TL, usually). It is indeed a challenge to one's talent and command of linguistic resources. In order to come to a relatively satisfactory result, a fine personal taste is essential. But in all cases it takes an intensive exertion of one's capabilities, with a rigorous demand on oneself, before one can produce a work which appears effortless enough to be appreciated by one's readers, usually with an element of lenient "openmindedness." Résumé Autrefois, on ne parlait tout simplement pas de traduction parfaite. Aussi facétieux soit-il, l'ancien dicton qui évoque la dichotomie entre la fidélité et la beauté tape bel et bien en plein dans le mille. Le concept de loyauté au texte d'origine — qui implique l'équivalence du mot-à-mot — imposait sa tyrannie. Il était tout simplement hors de question qu'une traduction soit à la fois désirable du point de vue stylistique et fidèle quant à sa teneur. Heureusement que le principe d'effet d'équivalence a mis fin à cette tyrannie et qu'il a permis de se mettre en quête de la perfection. Le critère ultime de la fidélité — tel que nous le concevons à l'heure actuelle — ne table pas sur l'équivalence des mots mais sur celle de l'effet obtenu. Du point de vue du style, le texte-cible doit être aussi désirable aux yeux du lecteur que le texte-source, tout en rendant autant que possible l'esprit et la lettre. Ce qui s'avérait infaisable à l'époque où les mots étaient immuables est devenu un objectif significatif quoiqu'extrêmement difficile à réaliser. La définition d'un objectif difficile à réaliser peut sembler exigeante et "ordonnatrice", mais en définitive, il y a, à la base de la nouvelle approche, un phénomène d'émancipation par rapport aux talents entravés du traducteur. Aujourd'hui, le traducteur a le loisir de puiser dans l'immense potentiel de sa propre langue (la langue-source d'ordinaire). Et n'est-ce pas là un merveilleux défi que pourra relever le traducteur qui doit à présent maîtriser toutes ses ressources linguistiques. Car pour obtenir un résultat relativement satisfaisant, il doit en effet posséder un très bon goût personnel. Quoi qu'il en soit , s'il veut produire un texte qui "coule de source" et soit apprécié par le lecteur, le traducteur devra avant tout exploiter au maximum ses propres capacités linguistiques, s'imposer une discipline rigoureuse, faire preuve d'une grande flexibilité et surtout d'ouverture d'esprit.
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Gagné Tremblay, Tanka. "Du pastiche imaginaire de traduction chez Raymond Queneau : le cas de On est toujours trop bon avec les femmes." TTR 26, no. 1 (June 22, 2016): 177–93. http://dx.doi.org/10.7202/1036954ar.

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Abstract:
À la frontière des études littéraires et de la traductologie, cet article étudie la dimension pastichielle de traduction dans On est toujours trop bon avec les femmes de Raymond Queneau, prétendument traduit de l’irlandais vers le français. La présente étude cherche à déterminer comment le pseudo-traducteur s’y prend afin d’aveugler et de persuader son lecteur que le texte qu’il tient entre les mains est une véritable traduction. Le postulat repose sur la base du principe qu’il existe une corrélation entre le pastiche littéraire, qui consiste, grosso modo, à imiter à saturation le style d’un auteur singulier, et la pseudo-traduction, qui désigne un texte présenté comme s’il avait été traduit. En effet, il appert que On est toujours trop bon avec les femmes, en tant que « pastiche imaginaire », répond par essence au critère de saturation du pastiche littéraire tel que l’entend Gérard Genette. Considérant cela, il y a tout lieu de croire que la dimension « pastichielle » de cette pseudo-traduction, laissant présager qu’il y a foncièrement une véritable traduction sous-jacente, se manifeste par la mise en place d’empreintes de traduction, ou d’étrangetés, saturant le texte. La visée de cette étude est donc de révéler ces empreintes dans l’architectonique du roman, en y observant attentivement les divers éléments potentiellement saturés et conditionnels à la crédibilité du canular.
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Cao, Deborah. "Strategies in Translating Oral History Between Chinese and English." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 40, no. 3 (January 1, 1994): 137–45. http://dx.doi.org/10.1075/babel.40.3.03cao.

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Abstract:
L'article se penche sur les traductions en anglais et en chinois de la tradition orale en se référant plus particulièrement aux traductions en anglais de la tradition orale Chinoise, Beijingren, de Zhang Xinxin et Sang Ye, et à la traduction en chinois de la tradition orale anglaise, American Dreams, par Studs Turkel. Par ailleurs, l'article propose des stratégies permettant de traduire ce genre littéraire dans deux langues aussi éloignées l'une de l'autre que sont l'anglais et le chinois. Il défend la thèse que ce sont les aspects linguistiques et non linguistiques de la tradition orale qui doivent l'emporter sur toute autre considération pour déterminer la méthode de transfert et les stratégies de traduction à utiliser. Dans son étude, l'auteur identifie trois problématiques principales d'ordre linguistique et sociolinguistique, dignes de susciter l'intérêt du traducteur amené à traduire la tradition orale. Il s'agit de la syntaxe, de la lexicologie et de l'emploi des varietés linguistiques dans la traduction. L'article aborde le problème des différences entre la langue écrite et parlée, entre les dialectes et les registres en traduction. Il fait remarquer que ces problèmes son liés à l'énorme différence qu'il y a entre l'anglais et le chinois, aussi bien du point de vue linguistique que sociolinguistique, et aux aspects spécifiques de la tradition orale. L'auteur suggère des moyens pour rendre plus efficace la traduction de ce genre de textes. Il propose d'activer différentes astuces linguistiques aussi bien au niveau linguistique que sociolinguistique, en vue de ratteindre le style particulier de la tradition orale.
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Li, Dian. "Translating Bei Dao." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 44, no. 4 (January 1, 1998): 289–303. http://dx.doi.org/10.1075/babel.44.4.02li.

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Abstract:
Abstract There is a bold suggestion that Bei Dao's translatability is symptomatic of the fact that his poetry is a "World Poetry" and thus lacks grounding in China's history. Now that Bei Dao's reputation in the West has been on the rise and his works continue to be translated in many Western languages, it is time to treat the lingering questions regarding Bei Dao's translatability seriously and to conceptualize it in the context of modern Chinese poetry, which is , in a large sense, a history of rejuvenation through the translation of Western poetry. The immediate origin of the poet's translatability resides, the paper suggests, in a literary language called the "translation style" in the late 1960s, which served as a protest against the language of authority in Mao's China. Against this historical background, the paper problematizes the use of translatability as a way of reading and critiquing Bei Dao's poetry. The translation of poetry, after all, is a form of idealized interpretation, much limited by information available to the translator. When one says Bei Dao's poetry translates well into English, it is precisely because it has been translated with all its gaps, errors, and ambiguities, all of which are abundant in Bei Dao's English texts. Résumé Certains ont suggéré que la traductibilité de Bei Dao s'explique par le fait que sa poésie est une "poésie universelle" qui ne puise pas ses racines dans l'histoire de la Chine. Aujourd'hui, la réputation de Bei Dao se confirme dans le monde occidental et ses ouvrages y sont traduits dans plusieurs langues occidentales. Il est donc grand temps d'aborder avec sérieux les questions restées en suspens quant à sa traductibilité et de conceptualiser celle-ci dans le contexte de la poésie chinoise contemporaine, qui, à plusieurs égards, est l'histoire d'un rajeunissement opéré par le biais de la poésie occidentale traduite. Dans son article, l'auteur suggère que la traductibilité du poète réside en premier lieu dans le langage littéraire que l'on appellait vers la fin des années soixante "le style traduction", un style utilisé en guise de protestation contre le langage de l'autorité propre à la Chine de Mao. C'est sur cette toile de fond que l'auteur analyse l'utilisation de la traductibilité comme moyen d'aborder et de critiquer la poésie de Bei Dao. En somme, la traduction de la poésie est une forme d'interprétation idéalisée, très limitée par les informations accessibles au traducteur. Si la poésie de Bei Dao se traduit aisément en anglais, c'est précisément parce qu'elle a été traduite avec toutes les lacunes, erreurs et ambiguïtés qui abondent dans les textes du poète chinois.
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Ping, Ke. "A Socio-semiotic Approach To Meaning In Translation." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 42, no. 2 (January 1, 1996): 74–83. http://dx.doi.org/10.1075/babel.42.2.03pin.

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Abstract:
Abstract This paper deals with meaning in the context of a socio-semiotic approach to translation. In the light of Charles Morris' categorization of the semantic, syntactic, and pragmatic dimensions of the sign, three groups of socio-semiotic meanings (referential, intralingual, and pragmatic) are distinguished and explained. These three headings cover all significant meanings the translator may need to transfer, including those which are usually referred to as style or formal features but which can ultimately be reduced to intralingual and pragmatic meanings. Each of these sociosemiotic meanings may figure prominently in a specific discourse or communication event. As comparable source and target expressions rarely form a one-to-one correspondence in the distribution of the various sorts of meanings they may carry, the translator is therefore obliged to give precedence to the most salient or important meaning(s) in a given context, while endeavouring to transfer the maximum number of meanings of the source message. The notion of equivalence in translation should therefore be a socio-semiotic one. Résumé Le présent article à pour objet d'étudier le traitement sémantique dans la traduction par une approche socio-sémiologique. Selon la théorie de Charles Morris qui établit trois niveaux de signes (niveau sémantique, niveau de relations de signes et niveau pragmatique), l'auteur cherche à distinguer trois groupes de significations: signification référentielle, signification interlangagière et signification pragmatique. Ces trois groupes de significations englobent toutes les significations importantes à transmettre dans la traduction, y compris les valeurs de style ou les caractéristiques pertinentes de forme (l'auteur soutient que ces valeurs peuvent être classées comme significations interlangagière et pragmatique). Dans le discours et l'acte concret de la communication, chaque signification socio-sémiologique peut être pertinente. Par manque de correspondance d'unités de langue dans la distribution sémantique entre la langue de départ et la langue d'arrivée, le traducteur droit donner la priorité à la reproduction de la signification la plus importante ou la plus pertinente dans le contexte, tout en s'efforçant de transmettre les diverses significations du texte d'origine. L'équivalence dans la traduction doit être une notion sur le plan socio-sémiologique.
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Graham, Anne G. "Toning Down Abraham: Arthur Golding’s 1577 Translation, A Tragedie of Abraham’s Sacrifice." Renaissance and Reformation 40, no. 3 (November 24, 2017): 47–76. http://dx.doi.org/10.33137/rr.v40i3.28736.

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Abstract:
Arthur Golding was a prolific Elizabethan translator, most famous for his rendering of Ovid’s Metamorphoses. In 1577, he translated Théodore de Bèze’s 1550 tragedy, Abraham sacrifiant. While the Huguenot’s play has been widely studied, Golding’s translation has received almost no scholarly attention. This article aims to correct this oversight through a comparison of Golding’s version with the original. The analysis shows that Golding in large part employs a deferential approach to the translation of Bèze’s play, one that is in keeping with the religious nature of the text. However, this article also demonstrates that Golding switches translation styles in key moments of the Huguenot tragedy, in particular where Bèze emphasizes the scandalous nature of God’s command and Abraham’s dilemma. In these moments, Golding uses a variety of strategies to lessen the scandalous nature of the text, thereby “pre-digesting” the material for the reader. This editorial tactic will be viewed in relation both to the interpretive approach espoused by Golding in his preface to the Metamorphoses, and to John Calvin’s treatise on offense (scandal), which Golding was translating at the same time as Ovid’s poem. Traducteur élisabéthain prolifique, Arthur Golding est surtout connu aujourd’hui pour sa traduction anglaise des Métamorphoses d’Ovide. En 1577, il a également traduit la tragédie de Théodore de Bèze intitulée Abraham sacrifiant (1550). Alors que la pièce de Bèze a été largement étudiée, la recherche a presqu’entièrement négligé sa traduction par Golding. Le présent article propose de remédier à cette lacune en comparant la traduction de Golding avec le texte original français. Notre analyse montre que Golding adopte une approche fidèle et déférente à sa traduction de la pièce de Bèze, conforme à la nature religieuse du texte. Toutefois, on montre également que Golding change de style de traduction à des moments cruciaux de la tragédie huguenote, en particulier lorsque Bèze fait ressortir l’aspect scandaleux du commandement de Dieu et le dilemme d’Abraham. Dans ces moments, Golding adopte une série de stratégies visant à réduire la nature scandaleuse du texte, offrant de cette façon au lecteur une version « pré-digérée » du récit. La tactique éditoriale de Golding est examinée en relation avec deux autres textes : l’approche interprétative qu’il présente dans la préface à ses Métamorphoses, et le traité de Jean Calvin, Des Scandales, que Golding traduisait précisément en même temps que le poème d’Ovide.
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Léchauguette, Sophie. "L’apport du concept d’énonciation éditoriale dans la formation des traducteurs." FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 15, no. 2 (December 1, 2017): 228–49. http://dx.doi.org/10.1075/forum.15.2.04lec.

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Abstract:
Résumé La traduction d’ouvrages pratiques pour l’édition s’apparente plus à l’activité des traducteurs pragmatiques exerçant dans divers domaines économiques qu’à celle des traducteurs littéraires. Une partie de la réflexion traductive commence avant l’analyse du texte de départ puisque les exigences des donneurs d’ordre, elles-mêmes fonction du lectorat visé par l’ouvrage, introduisent de multiples contraintes extra-textuelles dans la traduction. Scripteurs sous contrat, traducteurs et rédacteurs, à la différence des auteurs écrivains, ne choisissent ni les contenus, ni le style. Des consignes strictes encadrent l’effort rédactionnel, préemptant les choix lexicaux et grammaticaux pour créer un style homogène définissant l’identité d’une collection. Ces réalités professionnelles sont au cœur de notre démarche. Une formation à la rédaction, articulée sur la socialisation des futurs professionnels et adossée à une solide connaissance de l’objet livre, support des textes, renforce l’adéquation entre la formation universitaire et les attentes des donneurs d’ordre. En l’absence de spécialisation en traduction pragmatique pour l’édition, cet article propose des pistes pour améliorer la formation des traducteurs d’édition. Il se termine par des activités intégrant la dimension sociale et intersémiotique propres à développer les compétences rédactionnelles pour débuter dans le métier.
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Abu-Ssaydeh, Abdul-Fattah. "A dictionary for professional translators." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 37, no. 2 (January 1, 1991): 65–74. http://dx.doi.org/10.1075/babel.37.2.02abu.

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Abstract:
En dépit du fait que ce sont les traducteurs qui, plus que toute autre catégorie professionnelle, utilisent les dictionnaires, personne ne s'est jamais vraiment soucié de leurs besoins réels. Car si les compilateurs et les éditeurs pourvoient aux besoins de différents groupes, ils négligent largement les traducteurs. Cet article soutient qu'il y a lieu de considérer les traducteurs avant tout comme des spécialistes dans une langue étrangère et qu'à ce titre ils méritent des dictionnaires comprenant des aspects qu'aucun dictionnaire actuel ne couvre exhaustivement. Parmi ces aspects figurent la collocation, le style, les synonymes et une certaine information grammaticale. Cet article fait état de la recherche menée dans chacun de ces domaines et s'efforce d'établir leur importance par rapport à la traduction.
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Buzzetti, Carlo. "La Bibbia Come Testo Letterario da Tradurre." Meta 32, no. 1 (September 30, 2002): 55–63. http://dx.doi.org/10.7202/002181ar.

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Abstract:
Résumé L'auteur se propose de mettre en évidence certains traits caractéristiques des textes littéraires et de montrer dans quelle mesure de tels textes sont traduisibles. Il envisage en particulier le cas de la traduction biblique. - Dans les deux premiers paragraphes, il analyse, d'une part, les principales fonctions du langage (fonctions descriptive, expressive et suggestive) et, d'autre part, la connotation par rapport à la dénotation. Or, ce qui confère à un texte sa valeur typiquement littéraire, c'est le rôle prédominant qu'y jouent les fonctions expressive et suggestive, alliées à la présence essentielle des connotations. Mais, affirmer cela, n'est-ce pas amener de l'eau au moulin de ceux qui prétendent que la traduction littéraire serait impossible ? En effet, comment rendre dans une traduction les caractéristiques esthétiques d'un texte, qui sont loin d'être saisies même par ceux qui le lisent dans sa version originale ? L'auteur répond à cette objection en affirmant que s'il est exact que la communication absolue est un objectif inatteignable, il n'en reste pas moins qu'une réflexion linguistique sérieuse nous garde de tout scepticisme radical à cet égard. Si l'on prend le cas des connotations, il est vrai qu'on ne peut pas les rendre mot pour mot, ou même phrase par phrase. Toutefois, il convient de considérer les valeurs connotatives par rapport à un contexte plus général, ou à des unités de texte dépassant celles du mot ou de la phrase : à cet égard, le bon traducteur prouve sa compétence en étant capable de rendre le ton général du texte. De plus, il convient d'évaluer les divers aspects d'un texte littéraire cas pour cas, car les caractéristiques formelles n'ont pas toutes la même importance quant à l'impact général du message. C'est ce que l'auteur montre par quelques exemples bibliques (poèmes alphabétiques de l'Ancien Testament, épîtrespauliniennes, style johan-nique...). L'essentiel consiste à ne pas se lancer dans la traduction sans une réflexion théorique préalable, aussi bien linguistique qu'herméneutique. -En conclusion, l'auteur affirme : 1°) que la Bible appartient véritablement au domaine littéraire ; par conséquent, il serait illégitime de la traduire en négligeant sans cesse tous ses traits typiquement littéraires pour ne se préoccuper que des dénotations ; 2°) que la Bible n'est pas avant tout littérature ; par conséquent, il serait illégitime de la traduire en ne portant son attention que sur ses aspects esthétiques, sans se soucier de leur valeur par rapport à la foi, point central des récits bibliques.
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Kurt, Sibylle. "Les traducteurs face au style indirect libre (français-russe, russe-français)." Revue des études slaves 74, no. 2 (2002): 493–504. http://dx.doi.org/10.3406/slave.2002.6818.

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Waldinger, Albert. "Frontiers of cohesion." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 39, no. 2 (January 1, 1993): 98–110. http://dx.doi.org/10.1075/babel.39.2.05wal.

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Abstract:
Cet article (Frontières de Cohésion: Shakespeare en Hébreu Moderne") triate de la carrière de Avraham Shlonsky (1900-1973), poète israélien et un des traducteurs les plus illustres et plus expressifs de Shakespeare en hébreu. Il s'agit ici de donner un sens à cette carrière par l'analyse de son temps comme une période de crise et transition et son style comme un "langage de seuil." Il en résulte que son grand apport a été dans l'adaptation de ce style à la nécessité psychologique et sociologique de son peuple israélien-juif, un peuple pénétré par la tradition, et l'auteur s'appuie sur ses efforts de renouvellement linguistique et ses initiatives dans l'introduction de Shakespeare à un peuple prêt a comprendre ses thèmes.
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Stratford, Madeleine. "Saint-Denys Garneau dans le prisme de ses traducteurs hispano-américains." TTR 28, no. 1-2 (October 23, 2017): 153–79. http://dx.doi.org/10.7202/1041655ar.

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Abstract:
Des quatre « grands aînés » de sa génération (les autres étant Alain Grandbois, Anne Hébert, et Rina Lasnier), le poète québécois Hector de Saint-Denys Garneau est de loin le plus traduit en espagnol. Les premières versions circulent en Amérique latine dès les années 1990. Au cours des années 2000, deux recueils bilingues consacrés à son oeuvre paraissent, traduits par Luis Vicente de Aguinaga. De tous les poèmes traduits, deux l’ont été à quatre reprises : « Accompagnement » et « Cage d’oiseau ». Nous nous intéressons ici à la façon dont le vers libre du poète a été reproduit. Nous déterminerons sous quel angle les traducteurs ont abordé la forme des poèmes pour évaluer, s’il y a lieu, la fréquence des combinaisons traductives. Notre analyse permettra de constater comment le vers libre de Saint-Denys Garneau est donné à lire au public hispano-américain et à quel point son style correspond aux originaux.
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Rengdong, Xiang. "First Translation and Retranslation in the Historical, Social and Cultural Context: A case study of two Chinese versions of Tess of the D'Urbervilles." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 58, no. 4 (December 31, 2012): 457–70. http://dx.doi.org/10.1075/babel.58.4.06xia.

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Abstract:
The case study examined in depth is a comparison analysis of the classical English novel Tess of the D’Urbervilles by Thomas Hardy, which has been translated into Chinese seven times, with seven versions preserving the novel form of the original. The present study will elaborate on the differences between two Chinese versions of Tess of the D’Urbervilles, one is Zhang Guruo’s version translated in 1934, and the other is Sun Zhili’s version translated in 1999, with regard to language style, literature, concept, acceptance of context, as well as the different translation strategies translators adopted in different historical, social and cultural contexts. The study also examines the special role played in the process by the two translations. The present paper thus contributes both to translation studies and to literary theory. The comparison is carried out by answering the following questions: – What are the social cultural impacts on the first translation and the retranslation? – What kind of selection tendencies do the two translators have? – What are the specific translation strategies adopted by the translators in the field of social customs, history and religion, literature and art, Bible and other allusions, literature and historical figures? Why? Résumé L’etude de cas examinee en detail est une analyse comparative du roman anglais classique Tess of the D’Ubervilles de Thomas Hardy, qui a ete traduit sept fois en chinois, avec sept versions preservant la forme originale du roman. Cette etude exposera dans le detail les differences entre deux versions chinoises de Tess of the D’ Ubervilles, l’une etant la version de Zhang Guro traduite en 1934 et l’autre celle de Sun Zhili traduite en 1999, en ce qui concerne le style de la langue, la litterature, le concept, l’acceptation du contexte, ainsi que les differentes strategies de traduction que les traducteurs ont adoptees dans differents contextes historiques, sociaux et culturels. L’etude examine egalement le role special joue dans le processus par les deux traductions. Par consequent, cet article contribue tant a la traductologie qu’ a la theorie litteraire. La comparaison est effectuee en repondant aux questions suivantes : – Quels sont les impacts socio-culturels sur la premiere traduction et la retraduction ? – Quel type de tendances de selection les deux traducteurs ont-ils ? – Quelles sont les strategies de traduction specifiques, adoptees par les traducteurs dans le domaine des coutumes sociales, de l’histoire et de la religion, de la litterature et de l’art, de la bible et d’autres allusions, des personnages litteraires et historiques ? Pourquoi ?
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Nord, Christiane. "“If you please, sir...”." FORUM / Revue internationale d’interprétation et de traduction / International Journal of Interpretation and Translation 5, no. 1 (April 1, 2007): 163–91. http://dx.doi.org/10.1075/forum.5.1.08nor.

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Abstract:
Les formes d’adresse sont les marqueurs de la fonction phatique comme on peut le voir dans le cadre des salutations ou des bavardages. Il convient ainsi de supposer que les orateurs utilisent des styles conventionnels particuliers afin de rendre leur discours plus naturel ou acceptable auprès de leur public. Si ces styles sont spécifiques à une culture particulière, les traducteurs devront décider s’ils vont les « apprivoiser » pour les rendre conformes aux normes de la culture d’arrivée ou s’ils vont les reproduire tels qu’ils sont dans le texte de départ avec les traits de « l’exotisme ». Après avoir défini et classé les fomes et les fonctions d’adresse en général, cet article tend à explorer les différences concernant la forme, la fréquence et la distribution des comportements d’adresse dans les oeuvres de fiction contemporaines espagnoles, anglaises et allemandes ainsi que dans ses traductions.
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Gendron-Pontbriand, Eve-Marie. "Le traitement de la modalité épistémique dans les traductions françaises de On the Origin of Species de Charles Darwin." Meta 61 (January 18, 2017): 87–112. http://dx.doi.org/10.7202/1038687ar.

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Abstract:
Éminent naturaliste du XIXesiècle, Charles Darwin publie en 1859 ce qui s’avérera être un des textes les plus fondamentaux des sciences de la vie :On the origin of species by means of natural selection, or the preservation of favoured races in the struggle for life(ouOS). Cet ouvrage pose les assises conceptuelles de sa théorie de l’évolution (TE). Or, malgré la grande portée de l’oeuvre, ses traductions en français restent largement inexplorées, en traductologie comme en histoire des sciences. Les quelques travaux antérieurs sur le sujet se sont concentrés sur les traductions de Clémence Royer, à qui l’on reproche d’avoir radicalisé la TE darwinienne en transformant la prudence de Darwin en certitude. Présentement, c’est pourtant la traduction d’Edmond Barbier (1876), et non celles de Royer, qui fait autorité ; trois autres traducteurs, deux contemporains de Darwin et un moderne, se sont également attaqués à l’OS. Nous nous proposons donc de comparer ces différentes traductions, avec leur texte original, mais également entre elles, sur la base de marqueurs de modalité épistémique précis qui atténuent le degré de certitude d’un énoncé et qui sont très caractéristiques du style particulièrement précautionneux de Darwin. Nous voulons ainsi déterminer comment ces autres traducteurs ont rendu la modalité du texte anglais et montrons que la version la plus moderne est la plus proche de l’original. Enfin, de manière inattendue, la traduction de Royer, depuis longtemps décriée par la critique, se rapproche plus des traductions de Moulinié et de Barbier qu’on ne l’anticipait.
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Gómez Pato, Rosa Marta. "Apuntes para una didáctica de la traducción de poesía / Notes on poetry translation and teaching." Education in the Knowledge Society (EKS) 13, no. 1 (March 9, 2012): 236–65. http://dx.doi.org/10.14201/eks.8795.

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Abstract:
Resulta imprescindible para un traductor profesional adquirir a través del estudio y la práctica de la traducción aquellas técnicas y estrategias necesarias para enfrentarse al texto literario y su traducción. En literatura existe una serie de parámetros tales como los géneros, las formas poéticas, los estilos literarios, etc., que presentan especificidades que son didactizables. En este artículo proponemos la necesidad de elaborar una metodología adecuada y eficaz que conduzca a la formación del traductor literario, en concreto del traductor de poesía. Defendemos la realización de una serie de ejercicios que aborden aquellos aspectos específicos del texto poético, cuya traducción suele plantear dificultades y que con frecuencia han sido obviados. En el presente trabajo tratamos de reflexionar acerca de las especificidades, dificultades e implicaciones que deben tenerse en cuenta a la hora de abordar la traducción de un texto poético. During their training, professional translators need to acquire the necessary techniques and strategies for approaching and translating literary texts by studying them closely and practicing translation. Literary texts have specific parameters, such as genres, poetic forms, and literary styles, which are teachable. In this article, we argue that an appropriate and efficient methodology for training literary translators, specifically the poetic translators, needs to be elaborated. We outline a series of exercises that deal with aspects specific to poetic texts, whose translation often poses difficulties that frequently go unaddressed. In this paper we try to reflect on the specificities, difficulties, and implications that must be taken into account when dealing with the translation of a poetic text.
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Waldinger, Albert. "Moods Of Panurge." Babel. Revue internationale de la traduction / International Journal of Translation 45, no. 3 (November 15, 1999): 244–67. http://dx.doi.org/10.1075/babel.45.3.06wal.

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Abstract The foregoing article is about the modeling of translation style for the English translation of Rabelais on the work of Tom Robbins and Philip Roth, two modern American writers who approximate Rabelais in attitude and technique. Their tradition and linguistic habits, especially their syntactical and lexical preferences, are discussed. Especially important are the lessons to be learned from an examination of the leading modern English translators of Rabelais, Samuel Putnam and Burton Raffel, and the particular problems posed by the French sixteenth century, its humanism and rebelliousness. These are chiefly expressed by the character of Panurge, whose psychological and rhetorical moods form the basis of this essay. Résumé L'article traite du modelage du style de traduction pour la traduction anglaise de Rabelais à l'aide des ouvrages de Tom Robbins et Philip Roth, deux écrivains américains modernes qui se rapprochent de Rabelais par leur attitude et leur technique. Il s'agit d'une discussion de leurs traductions et habitudes linguistiques, notamment de leurs préférences syntaxiques et lexicales. Il est spécialement important de tirer des leçons de l'examen des traducteurs anglais modernes et renommés de Rabelais, à savoir, Samuel Putnam et Burton Raffel, et de souligner les problèmes spécifiques et particuliers posés par le français du 16ème siècle, son humanisme et son caractère rebelle. Ceux-ci sont principalement exprimés par le personnage de Panurge, dont les variations psychologiques et rhétoriques sont à la base de cet article.
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Beaupré, Michael. "Introduction." La traduction juridique 28, no. 4 (April 12, 2005): 735–45. http://dx.doi.org/10.7202/042840ar.

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Abstract:
Les cinq textes qui suivent ont été présentés au 12e congrès de l'Académie internationale de droit comparé, tenu en août 1986 aux universités de Sydney et Monash en Australie. Essayant de définir ce qu'est la traduction, ces textes font état de la variété de méthodes et de styles de la traduction, ainsi que de l'importance du contenu culturel de la langue juridique. Les embûches créées par la spécificité culturelle d'une langue juridique par rapport à une autre et par l'affinité relative des langues dans lesquelles un texte juridique doit s'exprimer sont analysées par rapport à un autre problème : celui de la réception de nouvelles institutions juridiques au sein du système juridique en place. Enfin, on propose un plus grand rôle pour les juristes et le droit comparé dans le processus d'élaboration des textes juridiques plurilingues, processus confié trop souvent aux seuls traducteurs.
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Zambrano Carballo, Pablo. "La polyphonie textuelle balzacienne en espagnol et en anglais." Meta 57, no. 3 (July 8, 2013): 626–46. http://dx.doi.org/10.7202/1017084ar.

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Abstract:
Définie par Balzac lui-même comme « l’oeuvre capitale dans l’oeuvre », Illusions perdues révèle la plupart les stratégies, thématiques, narratives et stylistiques mises en oeuvre dans La comédie humaine. L’une de ces stratégies est la reproduction fidèle d’une grande variété de discours oraux et écrits. Le présent article fait état, en premier lieu, d’une analyse de la relation entre le concept aristotélicien de la mimesis et la technique réaliste de la vraisemblance, que Balzac fait reposer en grande partie sur des bases linguistiques et métalinguistiques. Par ailleurs, grâce à une comparaison de diverses traductions espagnoles et anglaises d’Illusions perdues, l’article examine une sélection représentative des discours contenus dans le roman et souligne l’importance capitale, pour les traducteurs, d’être conscients de la variété des styles dans l’oeuvre balzacienne, afin de restituer dans les langues d’arrivée un effet de vraisemblance comparable à celui de l’original.
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Madyjewska, Katarzyna. "Las alusiones a la Literatura española en Internet como palabras aladas : reto para el traductor extranjero." Epos : Revista de filología, no. 27 (January 1, 2011): 355. http://dx.doi.org/10.5944/epos.27.2011.10685.

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Abstract:
este trabajo trata de las alusiones literarias en la traducción de textos españoles, sobre todo de los artículos de opinión accesibles en Internet. Con la creciente divulgación de la lengua española, y en consecuencia de los estereotipos de la cultura hispana, es más patente que el contacto entre lenguas no coincide con el de las literaturas locales. Además, las nuevas formas de comunicación en Internet, donde accedemos a ediciones digitales de prensa, foros, etc., plantean nuevos retos a la traducción, porque incorporan tanto los registros y contenidos de la cultura de masas como los de la alta cultura. Ésta se manifiesta en frecuentes alusiones a la literatura española, que independizadas de su contexto original se han convertido en las denominadas palabras aladas. Por tanto, un traductor debe elegir entre varias técnicas de traducción para reflejar en la lengua meta un impacto, un juego de palabras, una pretendida mezcla de registros o un idiolecto, que en la lengua original se producen a través del uso de alusiones literarias.Tthe article tackles with the subject of literary allusions in translation of spanish texts available on the internet. Along with the spread of spanish language, among which the spanish stereotypes have their important impact, we realize that the reciprocity between languages does not convey the subtle liaisons found in the local literary content. Contemporary means and manners of virtual interaction, within which we find newspages, blogs and forums, constitute further challenge in rhetorical model of translation. It is due to the fact that a blended styles and contents of discourse, which mix the mass culture with a high one, can be observed in texts addressed to all different audiences. In case of the participation of the high culture we may encounter certain allusions which became independent from its origin: so called winged words. Hence, a translator shall adopt a technique of translation which would convey in the target language the literary modes such as pun, witty remarks, styles of utterances or idiolect, which are, in the original texts, attained by the mentioned literary allusions.
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Subotic, Gojko. "Natpis u Molivoklisiji." Zbornik radova Vizantoloskog instituta, no. 41 (2004): 507–23. http://dx.doi.org/10.2298/zrvi0441507s.

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Abstract:
(francuski) Parmi les nombreuses cellules du monast?re de Chilandar ? Kary?s et dans ses environs ? il en restait pr?s de trente au d?but du XX?me si?cle ? la cellule de la Dormition de la Vierge a conserv? la plus ancienne ?glise datant de l'?poque de la domination turque dont le toit en plomb est ? l'origine de l'appellation de cet ?tablissement. Ce petit ?difice trinconque a ?t? d?cor? de peintures murales de style cr?tois qui sont l'oeuvre de peintres appartenant au cercle du ma?tre Th?ophane. Nous sommes renseign?s sur l'?rection et la d?coration de cette ?glise par une inscription peinte appos?e au-dessus de l'entr?e sud, aujourd'hui mur?e, dont le texte, mutil? aux extr?mit?s, a ?galement perdu sa partie finale, qui comptait une, voir deux derni?res lignes. On peut n?anmoins y lire l'ann?e, 7045 (1536/7), une date, 22 octobre, et plusieurs indications chronologiques (indiction, cercle du Soleil, cercle de la Lune, epakt et autres). Ces ?l?ments chronologiques ne correspondent pas, toutefois, ? l'ann?e 7045, mais plut?t 7050. Ceci avait d?j? ?t? remarqu? par Lj. Stojanovic qui est le premier ? avoir publi? cette inscription, en proposant les deux ann?es; malgr? tout, c'est l'ann?e 1536 ou 1537 qui appara?t le plus souvent dans les textes sp?cialis?s pour la datation de l'?rection et de la d?coration de cette ?glise, et ce n'est que ces derniers temps que l'ann?e 1541 a de nouveau ?t? prise en ligne de compte. L'observation du contenu de cette inscription s'est en fait toujours limit?e ? la partie conserv?e du texte. L'incertitude concernant l'ann?e ne peut toutefois ?tre r?solue que si l'on prend ?galement en compte ses parties perdues. En ce sens, la reconstitution de l'inscription dans son int?gralit?, qui est ici propos?e sous forme de dessin, montre qu'?tait tout d'abord mentionn?e l'ann?e 7045 (1536/7), et ensuite la date de la fin des travaux de d?coration murale, le 22 octobre 1541. La partie conserv?e de l'inscription fait ?tat des deux personnages ayant veill? ? l'?rection et la d?coration de l'?glise ? le moine Makarije dont il ne subsiste du nom la?c que la premi?re lettre M..., et Dmitar Janje..., dont la fin du nom est d?truite. Dmitar, comme il appara?t, n'?tait pas un moine mais un la?c, dont Eponyme a ?t? avec raison compris comme un origo ? Janjevac. On a suppos? que Makarije pourrait ne faire qu'un avec l'imprimeur bien connu du m?me nom, qui a ?dit? sa premi?re oeuvre ? Cetinje en 1493, et a plus tard travaill? en Valachie et m?me, le suppose-t-on, ?t? dans les ann?es trente du XVI?me si?cle higoum?ne de Chilandar. L'identification de ce Makarije avec le moine du m?me nom de la Molybokkl?sia impliquerait que l'on peut suivre son activit? au cours de pr?s de six d?cennies. A rencontre de cette supposition on note toutefois l'absence dans l'inscription, comme cela ?t? l'usage, de toute mention de Makarije en tant qu'ancien higoum?ne (pro higoum?ne). D'autre part, on n'a pas relev? jusqu'? pr?sent la possibilit? de reconna?tre devant le nom de Makarije la fin du mot pisac, ce qui signifie qu'il ?tait scribe, copiste. De feit, si nous y ajoutons une note appos?e dans un livre recopi? par Dmitar Janjevac (Dmitar de Janjevo) (Giljferding n' 9) mentionnant ce dernier comme un ?bon scribe?, il est d?j? permis d'en conclure que la cellule de Molybokkl?sia dans laquelle vivaient Makarije et Dmitar ?tait un scriptorium. L'activit? de ces deux scribes ressort ?galement de l'aspect m?me de l'inscription. On y rel?ve en effet des formes pal?ographiques caract?ristiques des manuscrits ? en l'occurrence n'apparaissant pas sur les fresques et les ic?nes. De m?me, les ?l?ments chronologiques mentionn?s (cercle du Soleil, cercle de la Lune, etc.) figurent ? cette ?poque dans les inscriptions indiquant la fin d'un travail sur des manuscrits, mais non sur des fresques. Il va de soi que c'est l'un des deux kelli?tes, Makarije ou Dmitar, et peut-?tre tous les deux, qui ont r?dig? ce texte et d'autres accompagnant sur les fresques, compte tenu que celles-ci ont ?t? ex?cut?es par des ma?tres grecs, cr?tois, qui ignoraient le slave. S'agissant de Dmitar, il a acquis sa formation de scribe ? Janjevo, c?l?bre centre d'exploitation mini?re et march? o? ?tait perp?tu?e l'activit? de copiste. Les inscriptions en slave n'?taient une chose rare dans les cellules du monast?re de Chilandar sises ? Kary?s. Non loin du Pr?taton, dans la cellule Flaska sont conserv?s des restes de la peinture contenant une liste de donateurs, inscrite (cca 1526) dans une r?daction serbo-slave, o? ? c?t? des noms des moines, figurent d'autres noms, et ce non seulement d'hommes mais aussi de femmes, et ce tant monacaux que la?cs. On suppose que ces personnes, ? qui revenait le m?rite de la d?coration de l'ancien ?difice, ?taient originaires de Kratovo, alors le plus important centre d'exploitation mini?re dans les Balkans. A l'?poque o? ?tait ?rig?e et d?cor?e la Molybokkl?sia, nous savons que quelques personnages dot?s d'une remarquable ?rudition vivaient ? Kary?s. Parmi ceux-ci se distinguait tout particuli?rement l'hi?romoine Gavrilo de la cellule de Kaproul?, homme faisant montre d'un vaste champ d'int?r?t et entretenant de nombreux liens tant avec les milieux spirituels du monde orthodoxe qu'avec les cours des pays voisins. Nous sommes assez pr?cis?ment inform?s sur ses origines par une fresque ornant la chapelle de Saint-Jean le Pr?curseur am?nag?e au-dessus du narthex du Pr?taton, ? savoir la repr?sentation de quatre archev?ques li?s ? l'?glise d'Ochrid dans l'espace exigu du sanctuaire. Connu comme un excellent traducteur de textes grecs ?en lanque serbe?, Gavrilo ?tait donc assur?ment originaire du milieu slave. Parall?lement, durant quasiment toute la premi?re moiti? du XVI?me si?cle, l'administration du Pr?taton eut ?galement ? sa t?te l'hi?romoine Serafim. Lui-aussi r?sidait dans une des anciennes cellules, tou K?phou ? Kary?s, o? lui-m?me s'adonnait ? un travail d'?criture. Il a ?crit et recopi? les vies des personnalit?s de son milieu, qu'il connaissait personnellement, instaur? leur culte et fait don au Pr?taton d'ouvrages dans lesquels il a parfois appos? des notes parall?lement en grec et en slave. Quelque peu plus r?cente, la cellule des Trois-Saints, ?galement rattach?e ? Chilandar, vient confirmer l'existence d'un besoin non n?gligeable en traductions et copies r?dig?es en slave ? Kary?s. De son katastichon, conserv? dans un legs de 1575/6, nous apprenons que cet ?tablissement poss?dait quarante deux ouvrages en slave. Il va de soi qu'un r?le particulier en ce sens revenait ? l'ermitage de Saint-Sabbas o?, d?j? au XIII?me si?cle, avait ?t? r?alis?e une importante activit? d'?criture, et o? l'activit? de recopie de manuscrit se poursuivit encore par la suite durant des si?cles. Dans un tel milieu, il va de soi que la Molybokkl?sia se voyait tout naturellement conf?rer un prestige particulier en tant que scriptorium, avec le moine Makarije et Dmitar Janjevac. .
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Gentile, Ana María. "Les traductions de Baudelaire en Amérique Latine : rhétoriques et moules d’écriture." AmeriQuests 12, no. 1 (September 20, 2015). http://dx.doi.org/10.15695/amqst.v12i1.4002.

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Abstract:
L’étude des influences et des dialogues littéraires, qui fait l’objet de la littérature comparée, acquiert une nouvelle dimension si nous ajoutons à l’analyse la perspective traductologique, discipline de plus en plus autonome dont les approches enrichissent les points de vue sur les traductions et leur rôle dans un système littéraire et culturel d’accueil. Loin d’une conception de la traduction comme une simple opération de passage opéré entre deux langues, les dernières réflexions, dont une source incontournable est la célèbre préface de Walter Benjamin intitulée « La tâche du traducteur » aux Tableaux Parisiens baudelairiens, remarquent l’aspect créatif et non ancillaire de cette sorte de réécriture productive. C’est dans ce cadre théorique que le présent travail se propose de retracer les traductions de l’oeuvre de Charles Baudelaire en Amérique Latine et de réfléchir sur les rhétoriques et les moules d’écriture qui opèrent dans les versions en espagnol. Plus particulièrement, nous nous demandons sur quelle rhétorique poétique le traducteur crée son poème en espagnol et en même temps quel est le moule d’écriture suggéré par la traduction dans l’invention d’une langue dont l’esthétique oscille entre la sublimation et la cruauté propres au style baudelairien. Pour ce faire, nous prenons le cas de quelques poèmes des Fleurs du Mal et des Tableaux Parisiens.
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Blanchard, Charlotte. "Lire et (re)traduire : l’exemple de la poésie d’Adrienne Rich." Articles 9, no. 1 (February 1, 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1043117ar.

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Abstract:
Cet article se propose de décrire le travail de retraduction à la lumière des premières traductions du poème le plus connu d’Adrienne Rich, « Diving into the Wreck ». Ce texte emblématique de l’engagement féministe de la poétesse a fait l’objet de deux traductions en français. Afin d’illustrer le processus de retraduction, nous analyserons le poème, les habitus des traducteurs, et leurs traductions. Nous verrons ainsi que ces dernières, en tant que traductions-introductions, contiennent ce qu’Antoine Berman nomme des « tendances déformantes », inclinant la traduction à s’éloigner de la dynamique de l’original. Nous esquisserons ensuite une nouvelle traduction afin de déterminer des stratégies qui peuvent être mises en place en retraduction, au sujet notamment des enjeux principaux du poème : le niveau de langue, la concrétude du style et le traitement du genre grammatical.
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