To see the other types of publications on this topic, follow the link: Substance blanche cérébrale.

Journal articles on the topic 'Substance blanche cérébrale'

Create a spot-on reference in APA, MLA, Chicago, Harvard, and other styles

Select a source type:

Consult the top 17 journal articles for your research on the topic 'Substance blanche cérébrale.'

Next to every source in the list of references, there is an 'Add to bibliography' button. Press on it, and we will generate automatically the bibliographic reference to the chosen work in the citation style you need: APA, MLA, Harvard, Chicago, Vancouver, etc.

You can also download the full text of the academic publication as pdf and read online its abstract whenever available in the metadata.

Browse journal articles on a wide variety of disciplines and organise your bibliography correctly.

1

Paillère-Martinot, M. L., H. Lemaitre, H. Vulser, E. Artiges, R. Miranda, and J. L. Martinot. "Vulnérabilité aux troubles de l’humeur à l’adolescence." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 60. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.157.

Full text
Abstract:
L’instabilité émotionnelle est fréquente à l’adolescence et peut parfois être considérée comme un trouble de l’humeur subsyndromique. Or, les tableaux subsyndromiques de manie ou de dépression à l’adolescence évoluent souvent vers des troubles de l’humeur. Nous avons recherché, chez des adolescents « subsyndromiques », s’il existait des modifications cérébrales voisines de celles retrouvées dans les troubles de l’humeur avérés. Les participants étaient tous issus de la cohorte IMAGEN qui a rassemblé des données de plus de 2000 adolescents européens scolarisés en classes de 4e et 3e. Ils avaient été examinés en imagerie cérébrale anatomique (IRM T1 et de diffusion) et évalués par un entretien diagnostique informatisé permettant l’évaluation d’éventuels symptômes. Une première étude a comparé la microstructure de la substance blanche et le volume de substance grise chez des participants présentant des symptômes bipolaires maniaques subsyndromiques comparés à des adolescents pris comme témoins. Une deuxième étude a été menée chez des adolescents ayant des symptômes subsyndromiques de dépression. L’analyse des images a mis en évidence chez les adolescents à bipolarité subsyndromique des variations de la microstructure de la substance blanche dans plusieurs faisceaux en cours de maturation, et un moindre volume de substance grise dans des régions du cerveau contribuant à la régulation émotionnelle. Chez les adolescents « subdéprimés », des modifications étaient également présentes dans le réseau fronto-striatal. Pour la première fois, des modifications de la structure cérébrale de régions impliquées dans les troubles de l’humeur ont été mises en évidence chez des adolescents scolarisés ayant des symptômes subsyndromiques. Ces résultats suggèrent des particularités de maturation cérébrale à l’adolescence qui pourraient entraîner une vulnérabilité aux troubles de l’humeur.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
2

Duron, E., A. Alami, R. Pequignot, A. M. Bonnet, A. S. Rigaud, and O. H. Hanon. "Relations entre troubles cognitifs et lésions de la substance blanche cérébrale." La Revue de Médecine Interne 28 (June 2007): 71–72. http://dx.doi.org/10.1016/j.revmed.2007.03.111.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
3

Guillot, Mireille, Vann Chau, and Brigitte Lemyre. "L’imagerie cérébrale systématique du nouveau-né prématuré." Paediatrics & Child Health 25, no. 4 (May 30, 2020): 256–62. http://dx.doi.org/10.1093/pch/pxaa030.

Full text
Abstract:
Résumé L’imagerie cérébrale systématique pour déceler les lésions touchant les nouveau-nés prématurés est utilisée pour prédire le pronostic à long terme et déterminer les complications susceptibles de nécessiter une intervention. Même si l’imagerie par résonance magnétique peut être indiquée dans des situations particulières, l’échographie cérébrale est la technique la plus utilisée et demeure la meilleure modalité d’imagerie systématique en raison de sa portabilité et de sa facilité d’accès. L’échographie cérébrale systématique est recommandée pour tous les nouveau-nés venus au monde à 31+6 semaines d’âge gestationnel ou moins. Chez les nouveau-nés prématurés venus au monde entre 32+0 et 36+6 semaines d’âge gestationnel, elle n’est recommandée qu’en présence de facteurs de risque d’hémorragie intracrânienne ou d’ischémie. Il est conseillé d’obtenir une imagerie cérébrale dans les sept à 14 jours suivant la naissance pour déceler la plupart des hémorragies de la matrice germinale et des hémorragies intraventriculaires. Il est recommandé de reprendre l’imagerie entre quatre et six semaines de vie pour déceler les lésions de la substance blanche.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
4

Marinier, D. Sappey, A. Briguet, and J. Delmau. "Perspectives d'emploi de la RMN pour l'étude biochimique de la substance blanche cérébrale." Archives Internationales de Physiologie et de Biochimie 93, no. 5 (January 1985): 129–40. http://dx.doi.org/10.3109/13813458509080633.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
5

Chatellier, G. "Diagnostic hypertension artérielle, ischeémie cérébrale et maladie de la substance blanche: Aspects cliniques." La Revue de Médecine Interne 9 (February 1988): 19. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(88)80165-6.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
6

Dietemann, J. L. "Imagerie hypertension artérielle, ischémie cérébrale et maladie de la substance blanche: Aspects neuroradiologiques." La Revue de Médecine Interne 9 (February 1988): 20. http://dx.doi.org/10.1016/s0248-8663(88)80166-8.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
7

Husson, B. "Anomalies de signal en IRM de la substance blanche cérébrale chez l'enfant. Interprétation et diagnostic." EMC - Radiologie et imagerie médicale - Musculosquelettique - Neurologique - Maxillofaciale 1, no. 3 (January 2006): 1–11. http://dx.doi.org/10.1016/s1879-8551(06)70780-1.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
8

Cottier, J. P., L. Barantin, C. Destrieux, R. Wang, F. Domengie, D. Herbreteau, and E. Halgren. "Imagerie cérébrale en tenseur de diffusion et tractographie de la substance blanche : principes et limites actuelles." Feuillets de Radiologie 45, no. 3 (June 2005): 191–99. http://dx.doi.org/10.1016/s0181-9801(05)80586-x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
9

Zhong, W. J., D. J. Guo, J. N. Zhao, W. B. Xie, W. J. Chen, and W. Wu. "Modifications de la diffusivité axiale et radiale de la substance blanche cérébrale dues au vieillissement normal." Journal de Radiologie Diagnostique et Interventionnelle 93, no. 1 (January 2012): 49–54. http://dx.doi.org/10.1016/j.jradio.2011.02.027.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
10

Boog, G. "L’atteinte de la substance blanche cérébrale des prématurés est généralement en relation avec une infection et rarement avec une acidose métabolique." Journal de Gynécologie Obstétrique et Biologie de la Reproduction 34, no. 4 (June 2005): 410–11. http://dx.doi.org/10.1016/s0368-2315(05)82844-3.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
11

Gierski, F., J. André, O. Pierrefiche, T. Duka, and M. Naassila. "Impact cérébral du binge drinking et vulnérabilité à l’alcoolodépendance." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S43. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.121.

Full text
Abstract:
Les conséquences à court terme et à long terme du binge drinking sur le cerveau et son fonctionnement commencent à être bien appréhendés. Sa pratique est banalisée et donc courante chez les jeunes. Nous avons initié une série d’études dans le cadre du projet européen AlcoBinge visant à mesurer les conséquences cérébrales morphologiques et fonctionnelles dans une population d’étudiants. Nous avons aussi utilisé la modélisation animale pour rechercher les conséquences à court terme sur les capacités cognitives et les phénomènes de plasticité synaptique après seulement quelques épisodes de binge drinking. La vulnérabilité à long terme à l’alcoolodépendance a été étudiée dans ces mêmes modèles animaux. Nos résultats démontrent que le binge drinking entraîne à la fois des atteintes de la substance blanche et de la substance grise qui peuvent être corrélées à des déficits d’apprentissage et de mémorisation. Chez l’animal nos résultats montrent que deux épisodes de binge drinking suffisent pour induire des perturbations importantes de certaines formes de plasticité synaptique hippocampique associées à des déficits d’apprentissage et de mémorisation. Ces atteintes semblent particulièrement impliquer les récepteurs NMDA du glutamate car les effets de l’alcool sont mimés par la kétamine et bloqués par la D-serine. De manière inquiétante, quelques épisodes de binge drinking à l’adolescence suffisent pour induire une forte motivation pour la consommation d’alcool à l’âge adulte associée à une plus grande anxiété et une moindre réactivité du noyau accumbens à l’alcool. Au total l’ensemble de ces résultats cliniques et précliniques suggèrent que le binge drinking est particulièrement toxique au niveau cérébral et augmente le risque d’alcoolodépendances à l’âge adulte.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
12

Peres, Roxane, Reynhold Schmidt, Stefan Ropele, Marco Duering, Martin Dichgans, Hugues Chabriat, and Eric Jouvent. "Les hypersignaux de la substance blanche sont-ils liés à de l’œdème cérébral dans les maladies des petites artères cérébrales ?" Revue Neurologique 171 (April 2015): A44. http://dx.doi.org/10.1016/j.neurol.2015.01.095.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
13

Boulet-Craig, Aubrée, Philippe Robaey, Maja Krajinovic, Caroline Laverdière, Daniel Sinnett, Serge Sultan, and Sarah Lippé. "DÉVELOPPEMENT NEUROCOGNITIF ET CÉRÉBRAL DES SURVIVANTS À LONG TERME DE LA LEUCÉMIE LYMPHOBLASTIQUE AIGUË." Revue québécoise de psychologie 37, no. 2 (June 7, 2017): 43–63. http://dx.doi.org/10.7202/1040037ar.

Full text
Abstract:
La leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) est le type de cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez l’enfant. Les traitements de radiation crânienne et de chimiothérapie administrés permettent un excellent taux de survie. Cependant, ces traitements causent divers effets à long terme affectant la qualité de vie des survivants. Cette revue de littérature aborde les effets à long terme des traitements contre la LLA sur le fonctionnement cognitif et les structures cérébrales. Les atteintes de la substance blanche et grise ainsi que les déficits cognitifs fréquents, leur relation avec les agents de traitement et les mécanismes expliquant leur apparition graduelle y sont décrits.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
14

Rodrigo, S., C. Oppenheim, F. Brami-Zylberberg, A. Duval, B. Devaux, F. X. Roux, J. F. Meder, and D. Fredy. "P-31 Tractographie des faisceaux de substance blanche et lésions du tronc cérébral." Journal of Neuroradiology 31, no. 2 (March 2004): 102. http://dx.doi.org/10.1016/s0150-9861(04)96960-x.

Full text
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
15

Madigand, J., and P. Lebain. "Complexité diagnostique d’un syndrome catatonique en psychiatrie et neurologie : à propos d’un cas." European Psychiatry 28, S2 (November 2013): 48–49. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2013.09.126.

Full text
Abstract:
IntroductionLa catatonie reste sous-diagnostiquée du fait de la diversité clinique qu’elle revêt [2]. ObservationNous rapportons le cas d’une femme de 55 ans adressée en neurologie par un service psychiatrique pour aide diagnostique sur troubles du comportement de type apragmatisme. Ses antécédents comprennent 4 hospitalisations en psychiatrie sur 3 ans pour le même motif sans diagnostic précis, un syndrome malin des neuroleptiques et un traumatisme crânien sans complication somatique. En septembre 2012, la patiente est réhospitalisée pour récidive de troubles du comportement (apragmatisme, dyspraxies, stéréotypies gestuelles, fuite du regard) apparus sur une dizaine de jours. L’examen neurologique est normal. Les IRM cérébrales sans injection de 2007 à 2012 montrent des lésions de la substance blanche multiples sus-tentorielles aspécifiques, stables. Les scintigraphies cérébrales à 4 mois d’intervalle sont stables et montrent une hypoperfusion diffuse isolée du carrefour fronto-temporo-pariétal gauche. Le reste du bilan étiologique est négatif. L’hypothèse diagnostique de démence frontotemporale est retenue, cependant l’installation rapidement progressive évoque une étiologie psychiatrique. Malgré la mise en place d’un antidépresseur (IRS) depuis un mois son état s’aggrave. Après passation des échelles de Bush et Peralta objectivant des critères de catatonie, un test au lorazepam est réalisé montrant une amélioration clinique rapide et spectaculaire.DiscussionL’intrication des symptômes neurologiques et psychiatriques dans la catatonie conduit souvent à une impasse diagnostique, sachant que sans traitement efficace, sa morbi-mortalité est importante [1]. ConclusionTout syndrome neuropsychiatrique atypique avec bilan somatique non concluant doit conduire à l’utilisation des échelles diagnostiques de catatonie, et le cas échéant à un test au lorazepam, pour ne pas retarder la thérapeutique.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
16

Boukakiou, R., D. P. Lin, A. Bernard, and R. Gourevitch. "Un cas de leucoencéphalopathie multifocale progressive à VIH avec symptômes psychiatriques." European Psychiatry 30, S2 (November 2015): S128. http://dx.doi.org/10.1016/j.eurpsy.2015.09.248.

Full text
Abstract:
IntroductionUne patiente âgée de 60 ans est adressée au CPOA pour troubles de la personnalité et du comportement chez l’adulte (F60–F69) dans un contexte de voyage pathologique.Case reportL’histoire retrouve chez cette patiente un départ impromptu pour la Belgique. Elle présente dans ses antécédents un VIH non traité et un paludisme. Elle n’a pas d’antécédent psychiatrique. Un passage dans deux services d’urgences générales montre un examen clinique général normal et des examens biologiques et tomodensitométrique cérébral sans particularité. Elle se présente en état d’incurie et désorientée dans l’espace, avec une bizarrerie. Elle tient un discours désorganisé. Elle est persécutée et agitée de manière fluctuante, et en alternance rapide avec un état de perplexité sans autre symptôme thymique ou catatonique. Un diagnostic de confusion mentale est porté, une imagerie par résonance magnétique encéphalique est réalisée. Il montre un hypersignal FLAIR de la substance blanche péri-ventriculaire, profonde (supra- et infratentorielle) et du tronc cérébral, en faveur d’une leucoencéphalopathie multifocale progressive (LEMP) à VIH. Un transfert en médecine interne et des examens complémentaires confirment le diagnostic.DiscussionLa LEMP est une affection démyélinisante due au virus JC qui survient généralement avec un taux de CD4+ < 100/mm3 . La littérature montre qu’une infection VIH peut s’exprimer par des troubles psychiatriques au stade SIDA avec une prévalence de 0,23 %–15,2 % . Les troubles psychotiques sont plus rares que les troubles thymiques . L’IRM est l’examen de choix pour confirmer le diagnostic de LEMP. Le traitement étiologique est la restauration immunitaire. Le traitement symptomatique de référence est la risperidone et la clozapine en raison d’une plus grande sensibilité aux effets secondaires extra-pyramidaux de ces patients.ConclusionDes troubles psychiatriques accompagnés de confusion mentale dans un contexte d’infection VIH doivent faire suspecter une atteinte neurologique, le diagnostic psychiatrique étant un diagnostic d’élimination.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
17

Vandevelde, Anaïs, Lucie Métivier, and Sonia Dollfus. "Impact cérébral structurel et fonctionnel de la Clozapine chez les patients souffrant de schizophrénie : revue systématique des études longitudinales en neuroimagerie: Structural and functional impact of clozapine in patients with schizophrenia: systematic review of neuroimaging longitudinal studies." Canadian Journal of Psychiatry, November 2, 2020, 070674372096645. http://dx.doi.org/10.1177/0706743720966459.

Full text
Abstract:
Objectif : L’objectif de cette revue est d’identifier les corrélats anatomo-fonctionnels cérébraux lors d’un traitement par clozapine (CLZ) ainsi que les marqueurs anatomo-fonctionnels prédictifs de la réponse à la CLZ. Méthodes : Nous avons réalisé une revue systématique de la littérature avec les bases de données MEDLINE et Web of Science afin d’identifier et d’examiner toutes les études longitudinales en neuroimagerie investiguant l’impact cérébral de la CLZ. Résultats : 30 études ont été incluses et analysées. La CLZ induit une diminution du volume et de la perfusion dans les noyaux gris centraux chez les patients répondeurs. Un plus grand volume de substance grise et perfusion dans ces structures avant l’instauration de la CLZ étaient associés à une meilleure réponse au traitement. La diminution de volume et de perfusion au niveau du cortex préfrontal (CPF) est observée malgré l’instauration de CLZ mais de façon moins importante chez les patients sous CLZ que chez les patients sous antipsychotiques typiques. Un plus grand volume au niveau du CPF avant l’instauration de la CLZ est associé à une meilleure réponse clinique dans la majorité des études. Enfin, la CLZ semble induire une réduction des altérations au niveau de la substance blanche. Conclusion : Les corrélats anatomo-fonctionnels de la CLZ différent de ceux des autres antipsychotiques avec une action spécifique de la CLZ au niveau des ganglions de la base et du CPF pouvant participer à sa supériorité en termes de réponse clinique. Plusieurs données cliniques et d’imagerie conduisent à l’hypothèse d’un meilleur pronostic associé à une instauration plus rapide de la CLZ.
APA, Harvard, Vancouver, ISO, and other styles
We offer discounts on all premium plans for authors whose works are included in thematic literature selections. Contact us to get a unique promo code!

To the bibliography