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Journal articles on the topic 'Suppléments alimentaires'

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1

Roy, A., S. E. Evers, and M. K. Campbell. "Utilisation de suppléments alimentaires et apport en fer, en zinc et en folate chez les femmes enceintes de London, Ontario." Maladies chroniques et blessures au Canada 32, no. 2 (March 2012): 86–94. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.32.2.03f.

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Abstract:
Introduction Nous avons examiné l’apport alimentaire en fer, en zinc et en folate, estimé à partir d’aliments et de suppléments, chez 2 019 femmes enceintes ayant participé au Prenatal Health Project (PHP). Le PHP a recruté des femmes enceintes dans des cliniques d’échographie de London (Ontario) entre 2002 et 2005. Méthodologie Les participantes ont répondu à une enquête téléphonique qui comprenait un questionnaire sur la fréquence de consommation des aliments, ainsi que des questions sur l’utilisation de suppléments alimentaires, ce qui nous a permis d’établir les fréquences d’utilisation de suppléments alimentaires. Nous avons estimé les valeurs d’apport nutritionnel à partir des aliments et des suppléments puis nous les avons additionnées pour calculer l’apport quotidien total. Résultats La plupart des femmes prenaient un supplément de multivitamines, et elles étaient nombreuses à prendre des suppléments d’acide folique et de fer; toutefois, un cinquième de l’échantillon n’utilisait aucun supplément contenant l’un de ces trois micronutriments. Malgré le fait que, dans l’ensemble, ces femmes bénéficiaient d’un statut socio-économique élevé, une proportion importante de la cohorte affichait des valeurs inférieures aux valeurs de l’apport nutritionnel recommandé pour le fer, le zinc et le folate. Ces résultats laissent croire que d’autres obstacles auraient une incidence sur les habitudes alimentaires. Conclusion Il faut pousser plus loin la recherche quant à la façon de mieux promouvoir l’utilisation de suppléments et une saine alimentation durant la grossesse.
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2

Desgrandchamps, F., and L. Bastien. "Nutrition, suppléments alimentaires et cancer de la prostate." Progrès en Urologie 20, no. 8 (September 2010): 560–65. http://dx.doi.org/10.1016/j.purol.2010.03.010.

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3

Birot, Yves. "Les forêts, sources de compléments alimentaires, suppléments nutritionnels et alicaments." Santé Publique S1, HS (2019): 33. http://dx.doi.org/10.3917/spub.190.0033.

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4

Birot, Yves. "Les forêts, sources de compléments alimentaires, suppléments nutritionnels et alicaments." Revue Forestière Française, no. 2-3-4 (2018): 135. http://dx.doi.org/10.4267/2042/69991.

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5

DOREAU, M., and Y. CHILLIARD. "Influence d’une supplémentation de la ration en lipides sur la qualité du lait chez la vache." INRAE Productions Animales 5, no. 2 (February 28, 1992): 103–11. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.2.4224.

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Abstract:
L’enrichissement en matières grasses des rations est couramment pratiqué pour les vaches laitières fortes productrices. L’une des conséquences les plus fréquentes est la diminution de la teneur en protéines, et plus particulièrement en caséines du lait. Les causes en sont encore mal connues. Une partie de cet effet est liée à la dilution des protéines dans un volume accru de lait, car la sécrétion totale de protéines n’est que peu affectée. La diminution du taux protéique est beaucoup plus modérée au début de la lactation, où l’effet positif sur la production laitière est moins net, qu’après le pic de production. L’incorporation de matières grasses dans les rations a un effet très variable sur le taux butyreux, qui dépend du bilan entre l’augmentation des acides gras longs d’origine alimentaire et la réduction de la synthèse mammaire des acides gras à chaîne courte ou moyenne. La teneur en acides gras polyinsaturés dans le lait n’est presque jamais fortement modifiée, en raison de l’hydrogénation des lipides alimentaires dans le rumen. Seule la technique d’encapsulation des lipides dans une coque de protéines tannées protège les lipides alimentaires de l’hydrogénation ruminale. Certains types de suppléments lipidiques entraînent une détérioration de la valeur organoleptique des produits laitiers, en particulier par oxydation et rancissement.
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Savard, N., P. Levallois, LP Rivest, and S. Gingras. "Lien entre les soins prénataux et le faible poids pour l’âge gestationnel à la naissance : une étude écologique au Québec (Canada)." Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada 36, no. 7 (July 2016): 137–46. http://dx.doi.org/10.24095/hpcdp.36.7.01f.

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Abstract:
Introduction Au Québec, les femmes vivant avec un faible revenu reçoivent un certain nombre de visites de soins prénataux supplémentaires, en fonction de leur lieu de résidence, dans le cadre d’un programme à multiples composantes et d’un programme d’intervention comprenant des suppléments alimentaires. Nous avons examiné si l’augmentation du nombre de visites réduisait le risque de faible poids pour l’âge gestationnel à la naissance (poids inférieur au 10e percentile sur l’échelle canadienne). Méthodologie Pour cette étude écologique, nous avons sélectionné les naissances dans le registre des événements démographiques du Québec entre 2006 et 2008 (n = 156 404; 134 secteurs). Les caractéristiques individuelles ont été extraites du registre des naissances alors que les portraits de la population générale ont été déduits de données sur l’intervention à multiples composantes et du programme d’intervention comprenant des suppléments alimentaires, ainsi que des recensements canadiens et des Enquêtes sur la santé dans les collectivités canadiennes. Ont été considérées comme admissibles aux programmes les mères sans diplôme d’études secondaires. Les modèles de régression logistique multiniveaux ont été ajustés à l’aide d’équations d’estimation généralisées pour tenir compte de la corrélation entre les individus vivant sur un même territoire. Les principaux facteurs confusionnels potentiels étaient la sédentarité et le tabagisme. Les rapports de cotes (RC) ont été ajustés en fonction de l’âge, de l’état matrimonial et de la parité de la mère ainsi que de la couverture du programme et du revenu moyen dans le secteur. Résultats Les mères admissibles aux programmes se sont révélées plus à risque de donner naissance à un bébé de faible poids pour l’âge gestationnel à la naissance que les autres mères (RC = 1,40; intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,30 à 1,51). De plus, les secteurs offrant un plus grand nombre de visites aux mères admissibles (4 à 6 visites dans le cadre du programme d’intervention comprenant des suppléments alimentaires) semblent mieux réussir à réduire la fréquence du faible poids pour l’âge gestationnel à la naissance que ceux offrant soit 1 ou 2 visites, soit 3 visites (RC = 0,86; IC à 95 % : 0,75 à 0,99). Conclusion Il est nécessaire de conduire des études supplémentaires pour valider qu’une augmentation du nombre d’interventions en soins prénataux réduit le risque de faible poids pour l’âge gestationnel à la naissance au sein de différentes populations et pour en évaluer d’autres avantages potentiels pour les enfants.
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Okri Fréjus Hans, OHOUKO, KOUDOUVO Koffi, DOUGNON Tossou Jacques, AGBONON Amegnona, and GBEASSOR Messanvi. "Pratiques d’élevage de porcs au Sud-Bénin : utilisation des plantes dans la gestion alimentaire et sanitaire." Journal of Animal & Plant Sciences 44, no. 3 (June 30, 2020): 7677–94. http://dx.doi.org/10.35759/janmplsci.v44-3.1.

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Abstract:
L’élevage de porcs au Bénin continue de faire face aux contraintes d’ordres alimentaires et sanitaires, caractéristiques fondamentales de la régression du taux de production porcine. L’objectif de cette étude est de répertorier les pratiques relatives à l’utilisation des plantes pour des fins alimentaires et de santé animales en vue de les améliorer. Ainsi, 70 éleveurs de porcs ont été interviewés sur la base d’un questionnaire prenant en compte les techniques d’élevages, la gestion sanitaire, alimentaire et des infrastructures, mais aussi l’utilisation des plantes dans l’élevage. Il en ressort que la majorité des éleveurs sont de sexe masculin (91,43%) et essentiellement caractérisés par les niveaux d’études primaire (34,29%) et secondaire (40%). Les porcs de races améliorées (94,29%) sont priorisés au Sud-Bénin et ces porcs sont élevés en claustration permanente pour la plupart avec une dominance d’habitats en dur (85,71%). La majorité des éleveurs formulent eux même leurs rations alimentaires avec des suppléments de fourrages. La gale (68,57%) et la peste porcine africaine (38,57%) ont été les pathologies les plus citées par les éleveurs. Au total, 42 espèces végétales appartenant à 23 familles botaniques ont été identifiées au cours de cette étude. Ces plantes sont utilisées aussi bien pour l’alimentation (60%) que pour le traitement de maladies (19%) ou les deux modes (29%). Moringa oleifera (15,14%), Carica papaya (13,3%), Manihot esculenta (12,39%), Ipomea aquatica (9,17%) et Talinum triangulare (8,72%) ont été les plantes les plus citées. Les feuilles (78%) constituent la partie la plus utilisée au niveau des plantes. Au total, 22 recettes ont été recensées, constituées d’une seule plante chacune et administrées le plus par voie orale et sous la forme de crudité. La recette impliquant Carica papaya (17,44%) dans le traitement de la parasitose digestive a été plus citée. De plus, une indication a été enregistrée auprès des éleveurs de porcs du Sud-Bénin pour le traitement de la peste porcine africaine impliquant Cochlospermum planchonii (6,98%). Les résultats obtenus sont la preuve que la flore béninoise dispose de plantes utilisées en alimentation et dans les soins de santé porcine qui peuvent faire objet de la production de provende et de phytomédicament utilisables en médecine vétérinaire.
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Gaddafi, S., M. G. Garba, M. Abdulrashid, D. Zahradden, O. M. Daudou, and G. T. Iyeghe-Erakpotobor. "Effect of antioxidant supplements on testicular histo-morphology in adult male guinea pigs (Cavia porcellus)." Nigerian Journal of Animal Production 47, no. 5 (December 31, 2020): 29–40. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v47i5.1272.

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Abstract:
The study was carried out to evaluate the biopotency of antioxidant supplements on physiological, testicular and oxidative biomarkers in adult male guinea pigs (Cavia porcellus). A total of 60 adult male guinea pigs of three months of age with an average body weight of 500±20g were randomly allocated into three dietary treatment groups of vitamin C, vitamin E and selenium and each comprised four varying levels with five animals per group in a completely randomized design (CRD). Feed and water were provided ad-libitum. The testicular morphology showed a significant (P<0.05) difference in weight of right testis, weight of left testis, paired testis weight, right testis width, testis volume, testis density, right testis length and left testis length of guinea pig supplemented varying dosage of vitamin C, E and Selenium. microphotograph indicated considerable changes in seminiferous tubules density, size, and other morphological characteristics, also intertubular space, basement membrane, leydigs cells and spermatogonia of the guinea pigs supplemented varying dosage of vitamin C, E and Selenium revealed considerable changes. The supplementation of adult male guinea pigs diets with 200 mg vitamin C had the highest values of testicular morphometric followed by 15 mg vitamin E group and 0.3 mg of selenium. Similarly, considerable histo-architectural changes in seminiferous tubules and interstitial cells size and shape occurred in guinea pigs supplemented 200, 15 and 0.3 mg per kg diet vitamin C, E and selenium respectively. Therefore, supplementation of vitamin C, E and Selenium has a profound effect on testicular histo-morphology of adult male guinea pigs. L'étude a été réalisée pour évaluer la biopotence des suppléments antioxydants sur les biomarqueurs physiologiques, testiculaires et oxydatifs chez les cobayes mâles adultes (Caviaporcellus). Un total de 60 cobayes mâles adultes de trois mois avec un poids corporel moyen de 500 ± 20 g ont été répartis au hasard dans trois groupes de traitement diététique de vitamine C, vitamine E et sélénium et chacun comprenait quatre niveaux variables avec cinq animaux par groupe en une conception complètement aléatoire. L'alimentation et l'eau étaient fournies ad libitum. La morphologie testiculaire a montré une différence significative (P <0.05) du poids du testicule droit, du poids du testicule gauche, du poids du testicule apparié, de la largeur du testicule droit, du volume du testicule, de la densité du testicule, de la longueur du testicule droit et de la longueur du testicule gauche du cobaye supplémenté en doses variables de vitamine C, E et sélénium. La microphotographie a indiqué des changements considérables dans la densité, la taille et d'autres caractéristiques morphologiques des tubules séminifères, ainsi que l'espace intertubulaire, la membrane basale, les cellules de 'leydigs' et la spermatogonie des cobayes complétés par des doses variables de vitamine C, E et de sélénium ont révélé des changements considérables. La supplémentation des régimes alimentaires de cobayes mâles adultes avec 200 mg de vitamine C avait les valeurs les plus élevées de morphométrie testiculaire suivie par 15 mg de groupe de vitamine E et 0.3 mg de sélénium. De même, des changements histoarchitecturaux considérables de la taille et de la forme des tubules séminifères et des cellules interstitielles se sont produits chez les cobayes ayant reçu respectivement 200, 15 et 0.3 mg par kg de vitamine C, E et de sélénium. Par conséquent, la supplémentation en vitamine C, E et en sélénium a un effet profond sur l'histomorphologie testiculaire des cobayes males adultes.
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Bellisle, France. "Qualités organoleptiques des suppléments nutritifs et prise alimentaire." Nutrition Clinique et Métabolisme 11, no. 1 (January 1997): 39–42. http://dx.doi.org/10.1016/s0985-0562(97)80092-1.

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McCulloch, Robert G., and Donald A. Bailey. "Calcium Intake and Bone Density: A Review." Canadian Journal on Aging / La Revue canadienne du vieillissement 9, no. 2 (1990): 167–76. http://dx.doi.org/10.1017/s0714980800013143.

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Abstract:
RÉSUMÉLe rapport soupçonné d'exister entre la densité des tissus osseux chez les femmes et la quantité de calcium qu'elles consomment continue de soulever une controverse. Selon certaines études épidémiologiques, un régime alimentaire comportant une forte dose de calcium durant les années post-ménopausiques ne change sensiblement pas l'importance des pertes de tissus osseux ou la vitesse à laquelle celles-ci s'effectuent. Les doses de calcium ingérées durant les années de croissance sembleraient être un des facteurs déterminant la densité maximum des tissus osseux chez les adultes. Selon quelques études préliminaires, un supplément de calcium ne pourrait restaurer la perte de tissus osseux chez les femmes post-ménopausiques en santé ou chez celles qui souffrent d'ostéoporose. Cependant, une dose croissante de calcium atteignant le niveau individuel optimal pourrait ralentir le processus de perte en marche chez les femmes post-ménopausiques. Les études transversales et controlées concernant le rapport entre les doses de calcium ingérées et la densité des tissus osseux font l'objet de cette revue.
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CHOUBERT, G. "La pigmentation des Salmonidés : dynamique et facteurs de variation." INRAE Productions Animales 5, no. 4 (October 29, 1992): 235–46. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.1992.5.4.4237.

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Abstract:
Les caroténoïdes sont largement répandus chez les poissons. Ces pigments liposolubles colorent en rouge, orangé ou jaune les téguments et différents tissus ou organes, essentiellement le muscle et les gonades. Ces pigments se trouvent sous diverses formes, libres ou estérifiées. La fixation des pigments caroténoïdes par les poissons est sous la dépendance de nombreux facteurs : intrinsèques, propres au poisson et externes, dus à l’aliment. Les poissons ne sont pas capables de synthétiser les caroténoïdes de novo et doivent donc les trouver dans leur alimentation. Dans la nature, la couleur rouge des truites et saumons provient d’une alimentation riche en invertébrés dont le pigment dominant est l’astaxanthine. En pisciculture intensive, il est nécessaire de complémenter ou de supplémenter les aliments en caroténoïdes. Compte tenu de leur structure chimique, le problème de la stabilité des caroténoïdes dans les aliments composés se pose. De plus, la durée et les conditions de stockage peuvent apporter des modifications difficilement prévisibles en raison de la diversité des formules alimentaires et des conditions de fabrication et de transport.
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Alaba, O., B. Ogunwumiju, O. Odu, and T. T. Lawal. "Physiological response of weaned pigs fed Spondias mombin supplemented diets in humid tropics." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 4 (March 8, 2021): 129–35. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i4.2999.

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Abstract:
Heat stress is a situation in which the animal body has problems dissipating excess heat due to breakdown in maintaining homeostatic body core temperature which resulting to inadequate heat dissipation and discomfort. In this study, Spondias mombin leaf meal (SMLM) rich in ascorbic acid was supplemented in feed aimed at determining effect on selected physiological responses of growing pigs. Sixteen growing female pigs weighing 10.5 to14.0kg were randomly allotted to four treatment supplemented maize feed ingredient with 0, 2.5, 5 and 7.5% SMLM w/w in a completely randomized design with four animals and two replicates per treatment as shown in table1. Results confirmed diurnal variation in temperature-humidity index THI (morning and evening). This variation affects respiratory rate, animal thermal stability and heartbeat rate. There was positive and strong relationship in ameliorating temperature changes in housing environment as animals cope better in diet supplemented with SMLM than control. Respiratory rates were similar across all treatments both morning and evening measurements. However, from table 2, there was significant difference (p<0.05) between control and other treatments with T2 and T3 been similar. Highest values of heart rates were observed in T3 indicating some contribution to involuntary physiological actives in pigs which may be effect of some biocomponents of Spondias sp to cerebella actions in animal brain controlling such involuntary muscle activities. Supplementation of SMLM up to 5% maize in growing female pigs diet have potential to confer thermal stability on animals during high temperature periods notable in humid tropics. Le stress thermique est une condition dans laquelle le corps de l'animal a des problèmes pour dissiper l'excès de chaleur en raison de la dégradation du maintien de la température interne du corps homéostatique, ce qui entraîne une dissipation thermique et une gêne insuffisantes. Dans cette étude, la farine de feuilles de Spondias mombin (SMLM) riche en acide ascorbique a été complétée dans des aliments destinés à déterminer l'effet sur certaines réponses physiologiques des porcs en croissance. Seize porcs femelles en croissance pesant de 10.5 à 14.0 kg ont été attribués au hasard à quatre ingrédients alimentaires de maïs supplémentés par traitement avec 0, 2.5, 5 et 7.5% de SMLM p / p dans une conception complètement randomisée avec quatre animaux et deux répétitions par traitement, comme indiqué dans le tableau 1. Les résultats ont confirmé la variation diurne de l'indice température-humidité THI (matin et soir). Cette variation affecte la fréquence respiratoire, la stabilité thermique de l'animal et la fréquence cardiaque. Il y avait une relation positive et forte dans l'amélioration des changements de température dans l'environnement de logement, car les animaux réagissent mieux avec un régime alimentaire complété avec du SMLM que le témoin. Les fréquences respiratoires étaient similaires pour tous les traitements, les mesures du matin et du soir. Cependant, à partir du tableau 2, il y avait une différence significative (p <0.05) entre le contrôle et les autres traitements avec T2 et T3 étaient similaires. Les valeurs les plus élevées de fréquence cardiaque ont été observées dans T3 indiquant une certaine contribution aux actifs physiologiques involontaires chez les porcs qui peuvent être l'effet de certains biocomposants de Spondias sp sur les actions cérébrales dans le cerveau animal contrôlant ces activités musculaires involontaires. La supplémentation en SMLM jusqu'à 5% de maïs dans le régime alimentaire des porcs femelles en croissance peut conférer une stabilité thermique aux animaux pendant les périodes de températures élevées notables dans les régions tropicales humides.
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CHILLIARD, Y., A. FERLAY, and M. DOREAU. "Contrôle de la qualité nutritionnelle des matières grasses du lait par l’alimentation des vaches laitières : acides gras trans, polyinsaturés, acide linoléique conjugué." INRAE Productions Animales 14, no. 5 (December 17, 2001): 323–35. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2001.14.5.3758.

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Abstract:
Après un rappel des voies métaboliques et des flux de nutriments qui concourent à la lipogenèse mammaire, cet article est consacré aux principaux effets de l’alimentation sur la composition en acides gras (AG) du lait de ruminant, en particulier les AG polyinsaturés, les AG monoinsaturés trans et l’acide linoléique conjugué (CLA). Les principaux facteurs alimentaires étudiés sont la nature des fourrages (dont l’herbe pâturée), le suif, protégé ou non, et la supplémentation des rations avec des huiles végétales ou marines (poisson ou algues), protégées ou non. La supplémentation en suif augmente la sécrétion d’acide oléique. La teneur du lait en C18:2 est comprise entre 2 et 3 % avec les rations non supplémentées en lipides, elle n’est augmentée que de 1,5 point lors d’un apport de graines ou d’huiles riches en C18:2, en raison d’une hydrogénation ruminale poussée. Les rations à base d’herbe (riches en C18:3) augmentent légèrement (0,5 à 1 point) la proportion de C18:3 dans le lait par rapport aux rations à base d’ensilage de maïs. La graine de lin permet un accroissement d’environ 0,3 point. La teneur en C20:5 (EPA) et en C22:6 (DHA) est accrue jusqu’à 0,5 % des AG totaux par l’addition d’huiles marines à la ration. Le taux butyreux du lait peut être fortement diminué par les régimes pauvres en fibres et riches en céréales et/ou par l’administration d’huiles marines ou végétales riches en AG insaturés. Les C18:1 trans, notamment les C18:1 trans 11 et trans 10, mais aussi le trans 10, cis 12 CLA, pourraient jouer un rôle dans cette diminution en inhibant la lipogenèse mammaire. Les régimes alimentaires augmentant les proportions des CLA et des C18:1 trans dans le lait sont ceux qui apportent des précurseurs lipidiques pour la formation de ces AG, ou qui modifient l’activité microbienne associée à l’hydrogénation ruminale des AG polyinsaturés ou l’activité de la désaturase mammaire. L’influence de l’alimentation sur les différents isomères du C18:1 et du CLA du lait a été peu étudiée.
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Kouakou, N’Goran David Vincent, Seydou Ba Mohamed Coulibaly, Cho Euphrasie Monique Angbo-Kouakou, Yélèhi Diane Ahongo, Nogbou Emmanuel Assidjo, and Maryline Kouba. "Viande de lapin (Oryctolagus cuniculus L.) enrichie en oméga 3 avec un aliment contenant de l’euphorbe (Euphorbia heterophylla L.)." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 72, no. 3 (October 7, 2019): 107. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.31779.

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Abstract:
Euphorbia heterophylla est une adventice dont les feuilles et les tiges peuvent constituer 70 % de l’alimentation des lapins (Oryctolagus cuniculus L.). Par ailleurs, sa teneur en acide-linolénique (ALA, C18:3 n-3) (56 % des acides gras totaux) est proche de celle du lin (Linum usitatissimum). Afin de contribuer à un meilleur équilibre nutritionnel des populations, l’effet de la durée de la supplémentation d’un régime alimentaire à base de granulé (MOD0) par les feuilles et les tiges de cette adventice sur les teneurs en acide linoléique (LA, C18:2 n-6) et en ALA des muscles semimembranosus, longissimus dorsi et du tissu adipeux périrénal des lapins en croissance a été étudié. Le régime témoin (MOD0) a été supplémenté par 50 % de matière sèche d’euphorbe de la naissance a trois mois d’âge (MOD90) ou par 50 % de matière sèche d’euphorbe seulement durant un mois entre 61 et 91 jours d’âge (MOD30). Les ratios LA/ALA étaient de 9,8, 2,1 et 1,5 dans le muscle semimembranosus, de 11,8, 4,6 et 2,1 dans le longissimus dorsi, et de 8,6, 2,0 et 1,0 dans le tissu adipeux perirenal, respectivement pour MOD0, MOD30 et MOD90 (p < 0,001). La durée de la supplémentation d’au moins 30 jours par l’euphorbe a eu un impact positif sur les ratios LA/ALA qui ont été conformes à la recommandation internationale (≤ 5) pour la nutrition humaine. En conclusion, la supplémentation appropriée des régimes de lapins par l’euphorbe, dans les régions ou elle abonde, sera bénéfique pour la santé humaine.
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Mocanu, V., E. Zbranca, A. R. Costan, O. Voroniuc, T. Oboroceanu, V. Luca, P. A. Stitt, and R. Vieth. "P1-070 - Les modifications des marqueurs osseux chez les femmes en postménopause ayant un régime alimentaire supplémenté en vitamine D et calcium." Annales d'Endocrinologie 67, no. 5 (October 2006): 427. http://dx.doi.org/10.1016/s0003-4266(06)72724-x.

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Akinola, A. O., O. O. Leramo, and O. O. Akinlade. "Performance characteristics of goats fed supplemental cocoa seed testa-based diet." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 162–66. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2927.

Full text
Abstract:
An increase in goat production in the tropics have led to continuous competition with humans for food as most protein given conventional feedstuff (Groundnut cake, Palm kernel cake, Soybean) among others are becoming scarce and expensive, thus, there is need to find non conventional feeding material which can considerably substitute the conventional feed stuff without negative consequences on the animal. This research work therefore, was aimed at the performance characteristics of West African Dwarf (WAD) goats fed cocoa seed testa(CST) as a replacement for palm kernel cake concentrate supplement to a basal grass diet. Twelve West Africa dwarf goat of 15-16 months with an average weight of 16.5 kg were used for the experiment. They were randomly allocated to three concentrates diets such that 0%, 50%, 100% were for group A, B and C, respectively of palm kernel cake (PKC) were replaced with cocoa seed testa (CST). Each of the three groups was reared on any of the concentrate supplements fed to a basal diet of the grass (Cynodon nlemfuensis). The experiment lasted for six weeks, in which two weeks were used to acclimatize the animals to the cages. Result of the experiment showed a significant difference (P<0.05) in mean overall feed intake, weight gained and feed conversion ratio among the treatments. The average daily weight gain and overall weight gain among the treatment groups were significantly difference (P<0.05). Goats fed diet B utilized the feed better with weight gain of 2539.96 g followed by those of diet C with weight gain of 1969.94 g. Inclusion of cocoa seed testa from 50 % to 100 % replacement for palm kernel cake enhance the growth of West African dwarf goat. Une augmentation de la production des chevres dans les zones tropicales a conduit à une concurrence continue avec les humains pour la nourriture car la plupart des protéines étant donné les aliments conventionnels (gâteau à l'arachide, gâteau palmiste, soja) entre autres sont de plus en plus rares et coûteux, il est donc nécessaire de trouver du matériel d'alimentation non conventionnel qui peut remplacer considérablement les aliments conventionnels sans conséquences négatives sur l'animal. Ce travail de recherche visait donc les caractéristiques de performance des chèvres naines d'Afrique de l'Ouest (le 'WAD') nourries de grainesde testaà base de cacao (le 'CST') en remplacement du supplément de concentré de gâteau au palmiste à un régime basal d'herbe. Douze chèvres naines d'Afrique de l'Ouest de 15 à 16 mois avec un poids moyen de 16.5 kg ont été utilisées pour l'expérience. Ils ont été attribués au hasard à trois régimes concentrés de telle sorte que 0%, 50%, 100% étaient pour le groupe A, B et C, respectivement du gâteau de palmiste (le 'PKC') ont été remplacés par des testicules de graines de cacao (le 'CST'). Chacun des trois groupes a été élevé sur l'un des suppléments de concentré alimentés à un régime basal de l'herbe (Cynodonnlemfuensis). L'expérience a duré six semaines, au cours de laquelle deux semaines ont été utilisées pour acclimatiser les animaux aux cages. Le résultat de l'expérience a montré une différence significative (P<0.05) dans l'apport alimentaire global moyen, le poids gagné et le ratio de conversion des aliments pour animaux parmi les traitements. Le gain de poids quotidien moyen et le gain de poids global parmi les groupes de traitement étaient significativement différence (P<0.05). Les chèvres nourries de régime B utilisé l'alimentation mieux avec un gain de poids de 2539.96 g suivie par ceux de l'alimentation C avec gain de poids de 1969.94 g. L'inclusion de graines de testa à base de cacao de 50 % à 100 % de remplacement pour le gâteau au palmiste améliore la croissance de la chèvre naine d'Afrique de l'Ouest.
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Akinola, L. A. F., and C. F. Nwanochi. "Evaluation of calcium and vitamin D3 in cassava-based diets on internal and external qualities of chicken eggs." Nigerian Journal of Animal Production 48, no. 2 (March 2, 2021): 90–100. http://dx.doi.org/10.51791/njap.v48i2.2926.

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Abstract:
The aim of this study was to evaluate the effect of calcium and vitamin D3 in cassava-based layers' diet on the external and internal qualities of egg. One hundred and thirty-five, ISA brown layers aged 54 weeks were assigned randomly to 9 treatment (T) combinations with three replicates in a 3×3 factorial arrangement in a completely randomized design. Each replicate had five hens while the diets were: T1 = 3.5% Ca and 1000 IU vitamin D3 , T2 = 3.5% Ca and 2000 IU vitamin D3 , T3 = 3.5% Ca and 3000 IU vitamin D3 , T4 = 4.5% Ca and 1000 IU vitamin D3 , T5 = 4.5% Ca and 2000 IU vitamin D3 , T6 = 4.5% Ca and 3000 IU vitamin D3 , T7 = 5.5% Ca and 1000 IU vitamin D3 , T8 = 5.5% Ca and 2000 IU vitamin D3 , and T9 = 5.5% Ca and 3000 IU vitamin D3 . After 12 weeks, two eggs were collected per replicate to assess the 3 external and internal egg qualities. The increasing levels of calcium and vitamin D3 had no effect on the external and internal qualities of the eggs. From the result, hens that were fed 4.5% and 5.5% Ca recorded highest shell thickness. The interaction of calcium and vitamin D3 affected the shell thickness with hens fed diet T5 (4.5% Ca with 2000 IU) recording the thickest egg shell while T2 (3.5% Ca with 2000 IU) recorded the lowest. It was therefore concluded that 4.5% and 5.5% dietary calcium, 1000 IU and 3000 IU vitamin D3 were best when used individually in the diet for hens while T5 (4.5% calcium with 2000 IU) favoured eggs shell thickness for hens aged 54 -66 weeks. Une augmentation de la production des chevres dans les zones tropicales a conduit à une concurrence continue avec les humains pour la nourriture car la plupart des protéines étant donné les aliments conventionnels (gâteau à l'arachide, gâteau palmiste, soja) entre autres sont de plus en plus rares et coûteux, il est donc nécessaire de trouver du matériel d'alimentation non conventionnel qui peut remplacer considérablement les aliments conventionnels sans conséquences négatives sur l'animal. Ce travail de recherche visait donc les caractéristiques de performance des chèvres naines d'Afrique de l'Ouest (le 'WAD') nourries de grainesde testaà base de cacao (le 'CST') en remplacement du supplément de concentré de gâteau au palmiste à un régime basal d'herbe. Douze chèvres naines d'Afrique de l'Ouest de 15 à 16 mois avec un poids moyen de 16.5 kg ont été utilisées pour l'expérience. Ils ont été attribués au hasard à trois régimes concentrés de telle sorte que 0%, 50%, 100% étaient pour le groupe A, B et C, respectivement du gâteau de palmiste (le 'PKC') ont été remplacés par des testicules de graines de cacao (le 'CST'). Chacun des trois groupes a été élevé sur l'un des suppléments de concentré alimentés à un régime basal de l'herbe (Cynodonnlemfuensis). L'expérience a duré six semaines, au cours de laquelle deux semaines ont été utilisées pour acclimatiser les animaux aux cages. Le résultat de l'expérience a montré une différence significative (P<0.05) dans l'apport alimentaire global moyen, le poids gagné et le ratio de conversion des aliments pour animaux parmi les traitements. Le gain de poids quotidien moyen et le gain de poids global parmi les groupes de traitement étaient significativement différence (P<0.05). Les chèvres nourries de régime B utilisé l'alimentation mieux avec un gain de poids de 2539.96 g suivie par ceux de l'alimentation C avec gain de poids de 1969.94 g. L'inclusion de graines de testa à base de cacao de 50 % à 100 % de remplacement pour le gâteau au palmiste améliore la croissance de la chèvre naine d'Afrique de l'Ouest.
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Bertin, P., M. Barmaki, P. Fardellone, J. Nizard, P. Giniès, T. Conrozier, and C. Maindet-Dominici. "Étude multicentrique, prospective, contrôlée comparant un traitement de phytothérapie (CAF-19.01) à un complément alimentaire et un bras non supplémenté chez des patientes souffrant de fibromyalgie." Revue du Rhumatisme 83 (November 2016): A166. http://dx.doi.org/10.1016/s1169-8330(16)30707-4.

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Kouatcho, François Djitie, Victor M. Kuate Silatchom, and Ferdinand Ngoula. "Effets de la supplémentation de l’aliment en poudre des feuilles de goyavier (Psidium guajava) sur les performances de croissance des porcelets." International Journal of Biological and Chemical Sciences 15, no. 2 (June 22, 2021): 635–51. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v15i2.20.

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Abstract:
Dans le but de contribuer à une meilleure connaissance des effets des feuilles de goyavier sur la croissance en élevage porcin, une étude a été menée sur les effets de la supplémentation de l’aliment en poudre des feuilles de goyavier (Psiduim guajava) sur la croissance des porcelets hybrides (Large White x Landrace). A cet effet, 24 porcelets de 65 jours d’âge et de poids moyen de 10,83±0,26 kg ont été répartis en quatre lots de 6 porcelets (03 mâles et 03 femelles) chacun. A chaque lot choisi au hasard a été attribué par jour et pendant 30 jours consécutifs une ration supplémentée avec 0 ; 0,5 ; 1 et 1,5% de poudre des feuilles de goyavier. Les performances de croissance ont été étudiées. La consommation alimentaire et le poids vif ont été comparables entre tous les traitements. Le gain de poids, le gain moyen quotidien et l’efficacité alimentaire ont été significativement (P<0,05) plus élevés avec la ration contenant 1,5% de poudre de feuilles de goyavier comparé à la ration contenant seulement 1% de cette poudre. L’indice de consommation et le coût de production ont été relativement plus faibles chez les porcelets ayant reçu 1,5% de poudre des feuilles de goyavier comparés à ceux des autres traitements. Il a été conclu que la supplémentation de l’aliment au taux de 1,5% de la poudre des feuilles de goyavier améliore les performances de croissance des porcelets.Mots clés : Psidium guajava, enrichissement, porcelet, croissance, coût de production. English Title: Effect of feed supplementation with dry powder of guava leaves (Psidium guajava) on growth performances of cross breed pigletsIn order to contribute to a better understanding of the effects of guava leaves on growth in pig farming, a study has been conducted on the effects of supplementation of guava leaves powder feed (Psiduim guajava) on the growth of hybrid piglets (Large White x Landrace). For this purpose, 24 piglets of 65 days of age and an average weight of 10.83±0.26 kg were distributed in four batches of 6 piglets each. To each group choosing randomly, diets supplemented with 0; 0,5; 1 and 1,5% of guava leaves powder was assigned daily for thirty consecutive days. Growth performances characteristics were studied. Feed intake and live weight were comparable between all treatments. The weight gain, daily average gain and feed efficiency were significantly higher with the diet containing 1,5% guava leaves powder as compared to the one with 1% of that powder. Feed efficiency and the cost of production were non-significantly lower in piglet haven received diet containing 1,5% of guava leaves powder compared to other treatments. It can there be concluded that food supplementation by 1,5% with guava leave powder improve growth performances of piglets.Keywords: Psidium guajava, supplementation, piglet, growth performances, production’s cost.
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Kouakou, N’Goran David Vincent, and Yao Brice Savier Brou. "Réduction des charges alimentaires des cobayes (Cavia porcellus L.) par un régime fourrager supplémenté par la farine de poisson et/ou du maïs-grain durant le cycle de reproduction." International Journal of Biological and Chemical Sciences 10, no. 3 (December 6, 2016): 1199. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v10i3.25.

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AGABRIEL, J., and R. BAUMONT. "Avant-propos." INRA Productions Animales 30, no. 2 (June 19, 2018): 91–92. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.2.2235.

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Abstract:
Il faut remonter loin dans les archives de l’INRA, et plus précisément au numéro spécial du « Bulletin du CRZV de Theix » datant de l’année 1974 pour trouver un ouvrage entièrement dédié aux « vaches allaitantes »1. Quarante-trois ans plus tard, c’est avec plaisir que nous présentons ce nouveau dossier dans la revue INRA Productions Animales qui leur est entièrement consacré. Un tel regroupement d’articles sur cet animal et ce système d’élevage est donc assez rare et nous remercions chaleureusement les animateurs de la revue de l’avoir initié. Le numéro de 1974 constatait le développement soutenu des troupeaux allaitants en France qui accompagnait la tendance à la spécialisation des systèmes de production tant vers le lait que vers la viande. Les travaux de recherches engagés mettaient en avant les spécificités de ce système peu étudié jusque-là : la productivité de la femelle, biologiquement limitée à un veau par an, impose une stratégie générale de réduction des charges et des coûts de production et par là une maximisation de l’utilisation de l’herbe dans le système fourrager. Ils se démarquaient alors des travaux réalisés sur les vaches laitières. Et pour produire efficacement de la viande, disposer d’animaux tardifs de grands formats est un atout important par la capacité qu’ils ont à déposer efficacement de la masse musculaire. Les objectifs de sélection proposés alors ont ciblé le potentiel de croissance des veaux tout en améliorant les facilités de vêlage des vaches et le format des carcasses des vaches de réforme. Ces connaissances, développées par des chercheurs de renommée2, ont porté leurs fruits et accompagné la transformation constante du cheptel Français : le nombre de vaches allaitantes a presque été multiplié par deux (4,2 millions actuellement en France). Il est supérieur à celui des vaches laitières depuis l’année 2005 et la production de viande qui en est issue avoisine désormais 65% de la production nationale. Les vaches ont grandi et grossi (+ 5kg /an en moyenne), mais les troupeaux également. La productivité par travailleur a plus que doublé (Veysset et al 20153) sans que la productivité numérique des vaches n’en pâtisse trop. Mais cette réussite quantitative flagrante marque le pas, et ne suffit plus pour aborder sereinement l’avenir de la production. Au niveau des exploitations de nombreux signaux défavorables se sont allumés. Les revenus des éleveurs stagnent et restent parmi les plus bas des professions agricoles. L’image de l’élevage se dégrade dans notre société urbanisée. Les bovins en général sont aussi interrogés sur leur bilan environnemental qui est sujet à controverses, et désormais c’est la finalité première de production de viande de ces troupeaux allaitants qui est en débat. Ces constats sont maintenant bien connus, et rappelés brièvement dans les introductions des articles de M. Lherm et al, et d’A. Cerles et al. Ils provoquent des inquiétudes grandissantes à tous les niveaux de la filière. Que peuvent apporter aux débats en cours les recherches récentes ciblées vers les vaches allaitantes ? C’estce qui a motivé la réalisation de ce dossier qui vise à rassembler et synthétiser les connaissances récentes acquises, d’une part, à l’échelle de l’animal, et, d’autre part à celle du système de production.Pour introduire ce dossier, l’article de M. Lherm et al met en perspective les évolutions des « élevages allaitants » dans les quatre principaux pays européens producteurs : France, Royaume-Uni, Irlande et Espagne. L’analyse des trajectoires technico-économiques des élevages allaitants au cours des dernières décennies dans ces quatre pays montre que les choix d’investissements, de mécanisation, et d’agrandissement des structures n’ont pas été partout semblables. Ensuite, ce dossier fait le point des avancées dans les disciplines et dans les onnaissances zootechniques de base pour la conduite des élevages bovins allaitants : l’amélioration génétique, la physiologie de lareproduction, les facteurs de variation de la production de lait des mères, la quantification de leurs besoins nutritionnels et de leur efficience alimentaire. L’article de L. Griffon et al discute de ce que l’on peut attendre des nouveaux outils génétique comme la génomique, et comment ils vont s’intégrer dans les nouveaux schémas d’amélioration. Les nouvelles connaissances physiologiques pour la maîtrise de la reproduction, pour la prévision de la courbe de lactation et pour la maîtrise de l’alimentation des vaches allaitantes sont détaillées successivement dans les articles de B. Grimard et al, de B. Sepchat et al et d’A. De La Torre et J. Agabriel. Ils fournissent de nouveaux indicateurs sur les aptitudes des animaux dont l’élevage du futur a besoin : robustesse, autonomie, efficience. Autant de propositions pour de nouvelles mesures de routine qui participeront à la détermination des nouveaux phénotypes. L’article de M. Doreau et al éclaire le débat sur l’empreinte environnementale de l’élevage allaitant en synthétisant les connaissances actuelles permettant d’établir le bilan de ses impacts positifs et négatifs. Les controverses sur le besoin en eau, les rejets de gaz à effet de serre ou d’azote pour produire un kg de boeuf par exemple, sont encore très fortes et nécessitent des apports scientifiques de fond pour les apaiser. Même s’il est acquis qu’élevage allaitant et prairie sont liés, et que ce lien conforterait une image favorable auprès des citoyens comme auprès des consommateurs, les interrogations sociétales demandent des réponses. Les travaux en cours permettent de les affiner. Enfin, l’article d’A. Cerles et al qui clôt ce dossier pose les fondements des futurs possibles pour l’élevage bovin allaitant à partir d’un travail de prospective pour les filières viandes réalisé sur le territoire du Massif central qui analyse les conséquences de cinq scénarios contrastés prenant en compte de puissants déterminants comme le changement climatique, l’évolution de la consommation de viande, les politiques agricoles et environnementales4. La bonne utilisation des surfaces herbagères, la maîtrise complète de la qualité des viandes sont de points incontournables à travailler dans les années à venir, et les acteurs devront faire émerger ensemble les opportunités de projets qui les aideront à avancer. Nous sommes persuadés que ces divers sujets par la manière exhaustive et synthétique dont ils ont été traités dans ce dossier, aideront les lecteurs dans leurs recherches personnelles et à se forger leur propre expertise. Nous remercions encore tous les auteurs, les relecteurs et le secrétariat de la revue pour leurs investissements qui ont permis de mener ce travail à son terme. J. Agabriel, R. BaumontInra, UMR Herbivores------------1 L’exploitation des troupeaux de vaches allaitantes. 6ème journées du Grenier de Theix. Supplément du Bulletin Technique du CRZV Theix. Numéro spécial 1974 : 398pp.2 On peut ainsi citer Claude Béranger, Michel Petit, Gilbert Liénard, François Ménissier et toutes leurs équipes d’alors.3 Veysset P., Lherm M., Roulenc M., Troquier C., Bebin D., 2015. Productivity and technical efficiency of suckler beef production systems: trends for the period 1990 to 2012. Animal 9, 2050-2059.4 Cerles A., Poux X., Lherm M., Agabriel J., 2016. Étude prospective des filières viandes de ruminants du Massif central, horizon 2050. INRA Centre Auvergne-Rhône-Alpes. http://www.ara.inra.fr/Le-centre-Les-recherches/projets-et-actualites/ProspectiveViande
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FAVERDIN, P., and C. LEROUX. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 2 (April 16, 2013): 71–76. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.2.3137.

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Abstract:
Le lait n’est pas tout à fait un aliment comme les autres puisqu’il est aussi produit par l’Homme. Cet aliment est indispensable à l’alimentation de l’enfant, car sa richesse nutritionnelle combinée à sa forme liquide en font une ration « tout en un » du jeune pendant ses premières semaines de vie. L’homme a très tôt domestiqué d’autres mammifères pour produire cet aliment nécessaire pour le jeune et l’a aussi intégré dans l’alimentation de l’adulte sous forme native ou après transformation. De fait, le lait est un des rares produits animaux avec l’oeuf qui est produit régulièrement et qu’il est possible d’obtenir sans tuer l’animal. Sa production fait pleinement partie de la fonction de reproduction et son prélèvement doit être géré pour ne pas handicaper le développement du jeune animal qui est également un élément d’avenir dans l’élevage. Les vaches laitières ont longtemps bénéficié de noms très personnalisés, voire de prénoms, jusqu’à ce que la traçabilité ne vienne proposer des identifiants plus proches du matricule de la sécurité sociale que des petits noms affectueux utilisés jusqu’alors. La traite est un moment particulier où l’éleveur se substitue au jeune pour prélever le lait plusieurs fois par jour. Tout ceci fait traditionnellement de l’élevage laitier un élevage qui associe étroitement l’homme et l’animal. Au commencement de la domestication et pendant longtemps, le principal défaut du lait a résidé dans sa faible aptitude à la conservation, nécessitant une consommation plutôt locale, le temps entre production et consommation devant rester le plus court possible. De fait, le développement de sa consommation dans les villes est récent et ne s’est pas fait sans quelques soucis (Fanica 2008). Bien entendu, les évolutions de l’industrie laitière et des transports ont permis de franchir ce double cap de la conservation et des distances, faisant en quelques décennies d’un produit local du peuple d’un terroir, riche d’identité, d’histoire et de culture (Faye et al 2010), un produit générique du commerce mondial qui s’échange entre continents suivant les règles de l’organisation mondiale du commerce et dont la demande augmente régulièrement. Ce passage du local au mondial ne s’effectue pas sans des changements radicaux des modes de production et de l’organisation des filières, avec des conséquences parfois importantes sur les territoires. La production de lait en France, pays traditionnel d’élevage bovin laitier, illustre parfaitement cette évolution et se trouve aujourd’hui à une période charnière. Riche d’une grande diversité de terroirs et de produits, la production française présente un profil original dont on ne sait pas aujourd’hui si c’est une force ou une faiblesse dans cette évolution. Depuis 1984, le système des quotas laitiers liés à la terre et non commercialisables en France a ralenti, comparativement aux pays voisins, l’évolution vers une spécialisation et une intensification des systèmes de production laitiers, mais il disparaîtra en 2015. Le contexte économique des prix des matières premières et du prix du lait devient beaucoup plus instable que par le passé. Le métier d’éleveur laitier, avec sa complexité, sa charge de travail importante, ses astreintes et la diminution de sa rémunération, devient moins attractif. La nécessaire prise en compte de l’impact de l’élevage sur l’environnement et plus globalement de la durabilité, constitue un nouveau défi qui est souvent vécu comme une contrainte supplémentaire. Cependant, les connaissances scientifiques et technologiques ont beaucoup progressé et offrent de nouveaux outils à l’élevage laitier pour construire une trajectoire originale dans cette évolution. Ce numéro spécial d’INRA Productions Animales se propose donc en quelques articles de faire un état des lieux des connaissances concernant la production laitière, ainsi que des nouveaux défis et des nouveaux outils qui s’offrent à la filière pour construire son avenir. Ce panorama n’est volontairement pas exhaustif et traitera prioritairement des vaches laitières avec cependant, lorsqu’il est apparu nécessaire, quelques exemples tirés de travaux réalisés chez les caprins. De même, il ne s’agit pas ici d’aborder la transformation du lait et les évolutions des nombreux produits transformés. Mais nous avons cherché à présenter un point sur un certain nombre de sujets en mettant en avant les avancées récentes et les défis scientifiques, techniques, économiques et organisationnels qui concernent la production laitière, en quatre grandes parties. La première plantera tout d’abord le décor du secteur laitier français. La deuxième présentera les nouvelles avancées des travaux sur la femelle laitière, la lactation et le lait. La troisième analysera les différents leviers que constituent la sélection génétique, la gestion de la santé, l’alimentation et la traite, pour mieux maîtriser la production de lait en élevage. Enfin, la dernière partie abordera des questions plus spécifiques concernant les systèmes d’élevage et leur futur. Le premier article de V. Chatellier et al fournit une analyse à la fois du bilan et des perspectives du secteur laitier français. Après une analyse du marché des produits laitiers au travers de la demande et de l’offre et des grandes stratégies des acteurs de la filière, cet article présente les spécificités françaises des exploitations laitières liées en particulier à la diversité des systèmes de production et des territoires. Cette double diversité se traduit également dans les écarts de productivité et des résultats économiques des exploitations dont la main-d’oeuvre reste majoritairement familiale, avec la question de son renouvellement qui se pose différemment selon les territoires. Enfin, à l’aune des changements importants de contexte qui se préparent avec la fin des quotas et les nouvelles relations qui se mettent en place entre producteurs et transformateurs, les auteurs étudient les différents scénarios qui en découlent et qui conduiront à l’écriture du futur du secteur laitier français dans les territoires et le marché mondial. La série d’articles sur l’animal et le lait débute par une approche systémique de l’animal laitier. La vache laitière est d’abord perçue au travers de sa fonction de production, et les modèles de prévision de la lactation se sont longtemps focalisés sur cette seule fonction. La notion d’animaux plus robustes et d’élevages plus durables (cf. Dossier « Robustesse... », Sauvant et Perez 2010) amène à revisiter cet angle d’approche pour l’élargir à ensemble des fonctions physiologiques en prenant mieux en compte les interactions entre les génotypes animaux et leurs environnements. La modélisation aborde cette complexité de deux façons contrastées, l’une plutôt ascendante en partant des mécanismes élémentaires et en les agrégeant, l’autre plutôt descendante, en partant de grandes propriétés émergeantes des principales fonctions et de leurs interactions, voire de leur compétition dans l’accès aux ressources nutritionnelles. La revue de Friggens et al aborde ainsi la question de la dynamique de partition des nutriments entre fonction physiologiques chez les vaches laitières en fonction du génotype en présentant plusieurs approches de modélisation. Cette revue s’attache à montrer l’intérêt de partir des propriétés émergeantes pour arriver à modéliser les réponses complexes (production, reproduction, composition du lait, état corporel…) d’une vache soumise à différentes conduites d’élevage au cours de sa carrière. Les outils de demain qui permettront d’optimiser la conduited’élevage face aux aléas économiques et climatiques dépendront de l’avancée de ces modèles et des connaissances scientifiques qui les sous-tendent. La fonction de lactation est la conséquence de nombreux mécanismes à l’échelle de l’animal, tout particulièrement au niveau de la glande mammaire. Le développement et le fonctionnement de cet organe caractérisé par sa cyclicité ont fait l’objet de nombreux travaux à l’Inra et dans de nombreuses équipes de recherches internationales. Il ne s’agissait pas ici de relater l’ensemble de ces travaux mais de consacrer un article aux dernières connaissances acquises sur les mécanismes de biosynthèse et de sécrétion des constituants du lait. L’article de Leroux et al présente les travaux sur la régulation de l’expression génique dans la glande mammaire avec un intérêt particulier pour les données acquises avec les nouveaux outils d’études globales de génomique expressionnelle. Ceux-ci apportent de nouvelles connaissances sur les effets des facteurs génétiques sur la biosynthèse et la sécrétion du lait, sur leur régulation nutritionnelle et sur l’interaction de ces facteurs. Ce dernier point constitue un champ d’investigation supplémentaire pour décrypter les secrets du fonctionnement mammaire avec notamment l’intervention de nouveaux acteurs que sont les petits ARN non codants (ou microARN) qui vient encore accroître la complexité du fonctionnement mammaire dans son rôle prépondérant lors de la lactation. Après avoir fait cet état des lieux des connaissances sur la biosynthèse et la sécrétion des constituants du lait au niveau de la glande mammaire, l’article de Léonil et al présente la complexité des fractions protéique et lipidique du lait et de leur assemblage en structures supramoléculaires. Ces structures finales sont sous la dépendance de la nature et de la variabilité des constituants, ellesmêmes dues aux polymorphismes des gènes responsables de leur synthèse. Ainsi, les auteurs font un état des lieux des connaissances sur la structure et le polymorphisme des gènes spécifiant les protéines coagulables du lait que sont les caséines pour arriver à l’organisation de ces dernières en micelles. Le rôle nutritionnel de ces protéines majeures du lait et leur fonction biologique sont revisitées à la lumière des connaissances croissantes sur les peptides bioactifs qu’elles contiennent. La fraction lipidique n’est pas en reste avec la présentation de sa complexité et de son organisation sous forme de globule gras ainsi que de son impact nutritionnel sur le consommateur. Enfin, la découverte récente, dans le lait, de petites particules (ou exosomes) véhiculant des protéines et des ARN ouvre de nouvelle voies d’investigation de l’impact du lait sur la santé du consommateur. La série d’articles consacrée aux leviers d’action dont disposent les éleveurs pour moduler la production laitière ainsi que la composition du lait débute par l’article de Brochard et al, qui retrace l’impact de la sélection génétique pour arriver aux apports de la sélection génomique des races bovines laitières. Un bref historique de la sélection génétique présente les progrès réalisés sur les caractères de production laitière mais aussi sur des caractères de robustesse (fertilité, mammites…) et permet ainsi de dresser le décor génétique des élevages français. L’avènement des outils de génomique grâce au séquençage du génome bovin a conduit à renouveler les perspectives de sélection des bovins laitiers (cf. Numéro spécial, «amélioration génétique" Mulsant et al 2011). La présentation brève de ces outils permet de mieux appréhender les retombées attendues. Les opportunités offertes par la sélection génomique sur les caractères laitiers sensu stricto se complètent et permettent également de proposer une sélection sur de nouveaux caractères. En effet, la prise en compte progressive d’autres caractères oriente la sélection vers une complexité accrue notamment grâce à l’établissement de nouvelles mesures phénotypiques. L’évolution vers une meilleure robustesse, une efficacité alimentaire optimisée mais aussi une empreinte environnementale réduite, sera d’autant plus envisageable que la sélection pourra s’appuyer sur des capacités de phénotypage de plus en plus fin et à grande échelle. Un autre facteur prépondérant dans l’élevage laitier concerne la gestion de la santé animale qui affecte, notamment, la durabilité des élevages sous l’angle socio-économique. Cette gestion complexe doit prendre en compte de nombreux paramètres tel que le nombre des traitements nécessaires, le temps passé, les pertes économiques directes à court et long terme, etc. Les infections ne touchent pas toutes directement la glande mammaire, mais en affectant l’animal, elles impactent la lactation, l’efficacité de production du troupeau et donc l’élevage. L’article de Seegers et al passe en revue sept maladies majeures classées en trois groupes affectant les bovins laitiers. Il présente les connaissances récentes acquises sur ces maladies et les perspectives qu’elles ouvrent pour mieux les maîtriser. Ces maladies ont bien souvent un impact économique fort sur les élevages et/ou sont transmissibles à l’Homme constituant ainsi des questionnements de recherche forts et pour lesquels les moyens d’actions sont aussi multiples que variés. De plus, les attentes sociétales visent à diminuer, autant que faire se peut, les intrants médicamenteux. L’alimentation est un levier de maîtrise de la production et de la composition du lait qui présente l’avantage d’avoir des effets rapides et réversibles. Bien que ce levier puisse également moduler la composition protéique du lait, l’impact prépondérant de l’alimentation sur la composition en acides gras du lait, dans le but de fournir aux consommateurs une qualité nutritionnelle du lait la plus favorable possible, a été mis en exergue par de nombreuses études. La détermination de la composition en acides gras des laits est de plus en plus précise, notamment du fait des nouvelles techniques qui permettent une meilleure caractérisation de ces profils. Outre l’impact de l’alimentation, les effets des apports nutritionnels chez le ruminant sur les teneurs en composés vitaminiques du lait sont également à prendre en compte dans la perspective de l’utilisation du lait comme source complémentaire naturelle de vitamines chez les sujets présentant une efficacité d’absorption réduite (tel que les jeunes ou à l’inverse les personnes âgées). L’article de Ferlay et al recense les principaux facteurs alimentaires (nature de la ration de base, supplémentation oléagineuse, différents types de suppléments lipidiques et leurs interactions) influençant la composition en acides gras et en vitamines du lait de vache. Enfin, la traite constitue un outil supplémentaire de pilotage des troupeaux en termes de production laitière mais aussi de qualité sanitaire, technologique et nutritionnelle du lait. De plus, une meilleure connaissance des effets des différentes pratiques de traite est cruciale dans le contexte actuel de gestion du travail dans les exploitations laitières (cf. Numéro spécial, « Travail en élevage », Hostiou et al 2012). Les moyens mis en oeuvre se situent à différents niveaux allant de la fréquence de traite aux systèmes de stockage des laits en passant par les réglages possibles ou les types de machines à traire. L’article de Guinard-Flament et al fait le point des connaissances actuelles sur les effets et les conséquences de modifications de la conduite des animaux à la traite. Il présente les effets de la fréquence de traite sur le niveau de production laitière et sur la composition du lait. Le contexte de la traite, avec les effets mécaniques de la machine à traire et celui du système de stockage, est également présenté dans ses multiples facettes pour souligner leur rôle prépondérant sur la qualité microbienne des laits. La conduite des vaches à la traite est également un moyen de gestion de la carrière d’une vache laitière à travers le pilotage de certaines phases du cycle de production (effets sur la reproduction et sur la durée de la lactation et leurs conséquences sur la santé de l’animal...). La dimension des systèmes d’élevage est dominée ces dernières années par la question environnementale, notamment depuis la parution du rapport de la FAO « Livestock’s long shadow » (Steinfeld et al 2006). L’élevage laitier, très consommateur de ressources de qualité, est concerné au premier rang par ce défi environnemental. Mais ces enjeux, peu perceptibles à l’échelle de l’élevage pourtant à l’origine de ces risques, sont difficiles à intégrer dans les objectifs des systèmes de production. L’article de Dollé et al sur les impacts environnementaux des systèmes bovins laitiers français apporte de nombreux éléments quantifiés sur les émissions des éléments à risque pour l’environnement par les élevages laitiers. Ces risques concernent bien entendu la qualité de l’eau, notamment via les excrétions d’azote et de phosphore, ce qui est connu depuis longtemps avec leurs impacts sur l’eutrophisation des cours d’eau et des côtes. Les risques liés à la qualité de l’air ont été pris en compte beaucoup plus récemment et concernent principalement les émissions d’ammoniac pouvant affecter la santé humaine et des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique (cf. Dossier, « Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane », Doreau et al 2011). Ensuite, l’article aborde la question de la biodiversité, auxiliaire de l’agriculture et des paysages, où l’élevage joue un rôle central au sein des territoires agricoles. L’article aborde pour finir la question de la quantification de ces impacts afin d’améliorer objectivement les performances environnementales des élevages et montre que performances environnementales et économiques en élevage laitier ne sont pas antinomiques. En guise de conclusion de ce numéro, J.L. Peyraud et K. Duhem se sont prêtés à un exercice d’analyse prospective des élevages laitiers et du lait de demain en reprenant certains des constats de l’article introductif, notamment sur la diversité des systèmes et des territoires, la restructuration rapide de la filière et la reconstruction du métier d’éleveur. La filière devra demain affronter la tension entre l’amélioration de la compétitivité et celle de la durabilité de l’élevage en tirant profit des innovations. La meilleure prise en compte des qualités nutritionnelles des produits et de l’évolution des demandes tout en améliorant l’intégration de l’élevage au sein des territoires constitue un double défi pour résoudre cette tension. L’analyse des auteurs prône cependant un maintien de la diversité et la complémentarité des systèmes dans une diversité de territoires pour mieux répondre aux enjeux de la société et des éleveurs. Ce numéro spécial montre combien la filière laitière est aujourd’hui plus que jamais à la croisée des chemins avec des défis économiques et sociétaux difficiles à relever dans un climat de plus en plus incertain. Entre diversité d'une part, et spécialisation et standardisation d'autre part, le chemin de la filière française reste complexe à définir. Les nombreuses évolutions des connaissances scientifiques permettent de disposer à court ou moyen terme de nouveaux outils pour relever ces défis. La sélection génomique pour disposer des animaux les plus adaptés à leur système, les modèles de prévision pour anticiper les aléas et leurs conséquences, les outils d’évaluation environnementale pour maîtriser les risques, les outils de monitoring et d’information des troupeaux d’élevage pour améliorer les conditions de travail et l’efficience des troupeaux, les possibilités de piloter la qualité des produits par les conduites d’élevage et en particulier l’alimentation, une meilleure connaissance des mécanismes de régulation de la lactation, la découverte de la richesse des constituants du lait et de leurs propriétés nutritionnelles et fonctionnelles sont autant d’atouts pour la filière pour affronter ces défis. A travers les articles de ce numéro, nous avons voulu illustrer quelques un de ces défis et des perspectives offertes par la recherche. L’enjeu sera de les mobiliser à bon escient dans le cadre de stratégies cohérentes. Cela nécessitera la collaboration de tous les acteurs de la recherche, de la formation, du développement et de la filière. A leur niveau, les articles de ce numéro, par les nombreuses signatures communes entre chercheurs, enseignants-chercheurs et ingénieurs de recherche-développement, témoignent de la vitalité des unités mixtes de recherche et des unités mixtes thématiques impliquées dans l’élevage laitier. De même, bon nombre de travaux relatés dans les articles de ce numéro sont le fruit de programmes de recherche co-financés et menés en collaboration étroite entre la recherche, les instituts technique et la filière. Nous y voyons un fort signe positif pour l'avenir de l'élevage laitier en France Cet avant-propos ne saurait s’achever sans remercier René Baumont et le comité de rédaction d’Inra Productions Animales pour l’initiative judicieuse de ce numéro spécial, mais aussi pour nous avoir aidés à mener à bien ce projet comprenant de nombreux auteurs, qui ont bien voulu se prêter à l’exercice difficile de la rédaction d’un article de synthèse qui conjugue la rigueur de l’information scientifique avec l’exigence de la rendre accessible à un large public. Ce numéro doit beaucoup aussi aux relectures constructives de nombreux collègues que nous remercions ici anonymement. Enfin, cet ouvrage doit aussi sa qualité à un travail remarquable d’édition technique assuré par Pascale Béraudque nous associons à ces remerciements. Nous avons eu la primeur de ces articles et nous espérons que vous partagerez l’intérêt que nous avons eu à leur lecture à la fois instructive, enrichissante et propice à nourrir notre réflexion pour le futur de la recherche-développement dans le domaine de l’élevage bovin laitier.Philippe FAVERDIN, Christine LEROUX RéférencesDoreau M., Baumont R., Perez J.M., (Eds) 2011. Dossier, Gaz à effet de serre en élevage bovin : le méthane. INRA Prod. Anim., 24, 411-474. Fanica P.O., 2008. Le lait, la vache et le citadin. Du XVIIe au XXe siècle. Editions Quae, Paris, France,520p. Faye B., Bonnet P., Corniaux C., Duteurtre G., 2010. Peuples du lait. Editions Quae, Paris France, 160p. Hostiou N., Dedieu B., Baumont R., (Eds) 2012. Numéro spécial, Travail en élevage. INRA Prod. Anim., 25, 83-220. Mulsant P., Bodin L., Coudurier B., Deretz S., Le Roy P., Quillet E., Perez J.M., (Eds) 2011. Numéro spécial, Amélioration génétique. INRA Prod. Anim., 24, 283-404. Sauvant D., Perez J.M., (Eds) 2010. Dossier, Robustesse, rusticité, flexibilité, plasticité, résilience… les nouveaux critères de qualité des animaux et des systèmes d'élevage. INRA Prod. Anim., 23, 1-102. Steinfeld H., Gerber P., Wassenaar T., Castel V., Rosales M., de Haan C., 2006. Livestock's long shadow: environmental issues and options. Food and Agriculture Organization of the United Nations,414p.
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