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Journal articles on the topic 'Symbolisme (Mouvement littéraire)'

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Gorceix, P. "La théorie belge du Symbolisme: origines et actualité." Revue d'histoire littéraire de la France o 93, no. 2 (February 1, 1993): 207–24. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.g1993.93n2.0207.

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Abstract:
Résumé S'il semble désormais que la spécificité des oeuvres du Symbolisme belge soit largement admise, en revanche l'apport de la Belgique à la théorie littéraire du mouvement symboliste est méconnu. Notre essai a pour objectif de mettre en évidence la contribution des Belges, héritiers directs des thèses de l' Athenäum , à l'émergence d'une poétique résolument moderne, fondée non plus sur l'imitation du réel, mais sur la suggestion de l'ineffable par le biais de l'analogie.
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Viselli, Antonio G. "« L’écho de ceux qui ont crié » : le legs symboliste et moderniste dans la poésie d’Alexandre Amprimoz." Voix Plurielles 12, no. 2 (December 12, 2015): 22–39. http://dx.doi.org/10.26522/vp.v12i2.1268.

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Abstract:
Cibler la poétique d’Amprimoz est aussi problématique que situer une unique tendance littéraire, esthétique et philosophique chez le critique qu’était le professeur de littérature et de linguistique françaises : ses vastes intérêts et ses publications multiples dans des domaines aussi amples que la littérature canadienne française, la littérature pour la jeunesse, le symbolisme – de Germain Nouveau à Rimbaud, la sémiotique, entre autres –, sans oublier le crepuscolarismo italien et le modernisme anglophone, en font foi. Pour lui rendre hommage, je souhaite surtout explorer, dans la présente analyse, la relation ambigüe entre la poétique symboliste et l’écriture moderniste : la poésie d’Amprimoz semblerait réconcilier, par le biais d’un multilinguisme sans effort, la représentation artistique qui unit les pensées contradictoires d’un Stéphane Mallarmé et d’un Ezra Pound. Certes, la poétique d’Amprimoz reste essentiellement inclassable. Cependant, en l’inscrivant dans les courants littéraires qui le fascinaient tant, on est capable de déchiffrer un travail à la fois critique et poétique, qui rassemble des mouvements littéraires distincts et que l’on regroupe, souvent à tort, sous l’unique nomenclature anglophone de « modernisme ».
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3

Asholt, Wolfgang. "Entre esthétique anarchiste et esthétique d'avant-garde: Félix Fénélon et les formes brèves." Revue d'histoire littéraire de la France o 99, no. 3 (March 1, 1999): 499–514. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.g1999-99n3.0499.

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Abstract:
Résumé Félix Fénéon n'est pas seulement un agent de liaison entre le mouvement artistique et littéraire symboliste ou fin de siècle et le mouvement anarchiste, et une de leurs figures centrales, son oeuvre préfigure aussi les expériences des avant-gardes de notre siècle, jusqu' à leur échec. De par ses convictions anarchistes, il a essayé, pendant vingt-cinq ans, avec plus de conséquence que la plupart de ses contemporains, de reconduire en tant qu'écrivain, critique d'art et de littérature, journaliste et directeur de revue, l'art dans la vie (quotidienne) et de dépasser les limites du champ littéraire et artistique. Avec les Nouvelles en trois ligne , il entreprend une dernière tentative de « pratiquer la poésie » pour combler le fossé entre la littérature et les arts et les buts de l'anarchisme. Son silence littéraire définitif correspond à l'échec de la tentative des avant-gardes historiques d'agir en dehors des limites de l'institution artistique et littéraire.
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Gobille, Boris. "Politiques de l’écriture et régimes du collectif dans les avant-gardes littéraires en mai-juin 1968." Études françaises 54, no. 1 (January 16, 2018): 13–36. http://dx.doi.org/10.7202/1042864ar.

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Abstract:
Cet article explore l’impact de Mai-Juin 68 sur les avant-gardes littéraires françaises. La contestation paraît conforter les écrivains d’avant-garde dans leurs aspirations révolutionnaires. Mais elle les défie tout autant. Ils se doivent de descendre dans l’arène et de former des collectifs. Les politiques de la littérature avant-gardistes, du moins celles qui font reposer la révolution sociale sur une révolution dans le langage armée par le savoir théorique le plus avancé, sont contestées par la prise de parole généralisée, égalitaire, anonyme et profane. Comment les avant-gardes affrontent-elles ce défi ? Trois positions sont examinées. Tel Quel, hostile au mouvement étudiant, intervient comme groupe déjà constitué et réaffirme la coupure entre théoriciens spécialisés et profanes spontanéistes. À l’inverse, le Comité d’action étudiants-écrivains, formé le 18 mai 1968 dans la Sorbonne occupée, s’aligne sur la matrice symbolique de Mai, prône la fusion dans le mouvement révolutionnaire et la rupture avec les privilèges de l’écrivain, et bâtit un « communisme d’écriture » fondé sur l’anonymat et l’impersonnalité. Enfin, l’Union des écrivains, née elle aussi durant les événements, conteste « l’ordre littéraire établi » et interroge les rapports entre l’écriture littéraire et « l’écriture généralisée » de Mai. Elle construit en outre une action collective de type syndical qui, parce qu’elle pose que l’écrivain est un « travailleur » dont il faut empêcher la « mort sociale », rompt avec les mythologies littéraires présentant l’auteur comme un créateur éthéré et solitaire. Le régime de communauté politique propre à Mai-Juin 68 télescope donc le régime de singularité littéraire et contraint les avant-gardes à repenser à la fois leurs politiques de l’écriture et leurs conceptions du collectif. Cet article, qui souhaite contribuer à l’étude des rapports entre champ littéraire et événement critique, interroge enfin ce qu’il advient de ces remaniements dans l’immédiat après-Mai.
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Glinoer, Anthony, and Vincent Laisney. "Le cénacle à l’épreuve du roman." Tangence, no. 80 (September 13, 2006): 19–40. http://dx.doi.org/10.7202/013544ar.

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Abstract:
Les auteurs proposent de confronter deux oeuvres et deux modes de textualisation du cénacle, considéré comme la forme typique de sociabilité littéraire au xixe siècle. Il s’agit d’abord du « Cénacle de la rue des Quatre-Vents » d’Un grand homme de province à Paris (1839), seconde partie d’Illusions perdues de Balzac. On y étudiera le rôle archétypal que Balzac accorde à ce cénacle porté par les valeurs du Travail et de la Patience, tant face à la littérature facile et au journalisme prostitué, représentés par le dîner orgiaque, que face aux cénacles romantiques fustigés sans cesse depuis 1829 par les journalistes, dont Balzac lui-même. On comparera cette première représentation cénaculaire avec celle que Camille Mauclair donne dans Le soleil des morts (1898), pour montrer qu’à l’inverse de ce qui se produit dans Illusions perdues, le cénacle est entraîné dans le mouvement d’altération générale du monde littéraire : le mythe du « cénacle idéal » vole en éclats, les valeurs cénaculaires font faillite, remplacées par celles que revendiquent les anarchistes (Énergie, Vitesse, Destruction). Entre ces deux romans-repères, publiés à soixante ans d’intervalle, le mythe platonicien de la Littérature, inaltérable et inviolable, réfugiée dans le « ciel des Idées » et symbolisée par le Cénacle, s’est effondré. Dans cette confrontation peuvent se lire l’évolution des imaginaires d’écrivains et la reconfiguration du champ littéraire.
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Messu, Michel. "Le cinéma de Denys Arcand comme analyseur de la marche tranquille du Québec vers l’érotique sociale des nations." Sociologie et sociétés 46, no. 1 (April 28, 2014): 81–99. http://dx.doi.org/10.7202/1024679ar.

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Abstract:
La Révolution tranquille au Québec a bien marqué une rupture, symbolique et réelle, avec le cours de son histoire. C’est en rompant avec le poids des tabous religieux en matière de représentations et de comportements sexuels, aussi bien dans le domaine des oeuvres symboliques et esthétiques (littérature, théâtre, cinéma, peinture, productions de la mode …) que dans celui des manières d’être des populations, des générations, des classes d’âge, que la société québécoise s’est trouvée participer à l’émergence de ce que Michel Maffesoli appelle aujourd’hui un Homo eroticus. De ce point de vue, le cinéma de Denys Arcand peut être tenu pour une expression symbolique de ce mouvement des sociétés. Ancré dans la société québécoise, il aura néanmoins fourni, à l’échelle globale, le miroir dans lequel nous sommes amenés à saisir la force de l’érotisme dans le mouvement de nos sociétés. C’est pourquoi nous parlons d’érotique sociale des nations et engageons la sociologie à introduire la dimension érotique dans ses analyses.
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Assayag, Jackie. "Modernisation de la caste et indianisation de la démocratie: le cas des Lingayat." European Journal of Sociology 27, no. 2 (November 1986): 319–52. http://dx.doi.org/10.1017/s0003975600004641.

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Abstract:
À travers les âges, l'unité de l'lnde — « India is one » disait Dumont — a été symbolisée par une continuité culturelle enchâssée dans une structure sociale fondamentalement religieuse, comme l'exprimait Srinivas: « The concept of the unity of India is essentially a religious one », mais l'on peut ajouter que la structure de cette tradition a contribué à la projection d'une image unifiée de la civilisation qui a atteint le point de son plus haut développement à la fin de la période Gupta. Non qu'il n'y ait pas eu de changements, mais, vers la fin de cette période, la plupart des traités systématiques dans les champs de la réligion, de la littérature, de l'art, de la science et de philosophie ou de l'éthique s'étaient cristallisés dans ce qu'on a pu recemment appeler la « Grande Tradition ». Les périodes qui suivirent revinrent à une particularisation graduelle des institutions et des valeurs à l'intérieur de la tradition culturelle hindoue et aboutirent, dans certains cas, à des phénoménes de segmentarisation de cette « Grande Tradition ». Le centre de l'effervescence culturelle émigra du nord au sud de l'lnde et se régionalisa, donnant lieu a des mouvements hétérodoxes de reformulation et de reinterpretation des croyances socio-religieuses et des structures rituelles fondamentales de l'hindouisme. Sous la poussée des divers mouvements de bhakti, des saints-philosophes comme Śankara, Rāmānuja, Madhya rapprochérent la « Grande Tradition » du peuple, tout en modifiant son enseignement et en orientant leurs efforts vers un mouvement plus libéral vis-à-vis des Śūdra ou des basses castes; comme l'exprimait Stein: « In the eleventh century […] doctrinal issues come to be related quite directly to the place of Sūdrain the sect » (Stein 1968, p. 83).
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Coquio, Catherine. "Le soir et l'aube: décadence et anarchisme." Revue d'histoire littéraire de la France o 99, no. 3 (March 1, 1999): 453–66. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.g1999-99n3.0453.

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Abstract:
Résumé Ce texte dresse d'abord un bref bilan critique de la question des rapports entre mouvement anarchiste et littérature symboliste à la fin du XIX e siècle, montrant la part des malentendus à l'oeuvre dans leur mariage presque mythique. On propose ensuite de mettre à l'étude la paire, plus légitime, que forment le décadentisme et l'anarchisme, deux rejetons du nihilisme qui développent chacun leur politique du pire, dans les ceux cas créatrice d'une poétique. On esquisse une telle étude contrapuntique à partir des imagés du Soir et de l'Aube, puis en montrant que la tradition anarchiste a sa propre « théorie de la décadence», que son précis de décomposition, plus ou moins organiciste, mène à la « révolution » ou à un « divisionnisme » singulier. On montre enfin que la compréhension de la spécificité de l' anarchisme passe par celle de la pensée messianique. Présentée à l'aide d'un texte de G. Scholem sur le « messianisme juif », celle-ci est montrée à l'oeuvre dans un des/premiers grands poèmes anarchistes, Hurrah !!! ou là révolution par les cosaques , publié en exil eu 1853 par Ernest Coeurderoy, texte qui réplique à la violence politique de juin 1848 par une violence littéraire prophétique et apocalyptique, où les mythes centraux de la décadence, en particulier l'image du cadavre, semblent par avancé reformulés sur un mode messianique.
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Liégey, Edith. "Ecomorphisme, vers une culture du vivant. Vu(e) des arbres au musée, « perchoirs » symboliques." Ecozon@: European Journal of Literature, Culture and Environment 10, no. 2 (October 9, 2019): 89–110. http://dx.doi.org/10.37536/ecozona.2019.10.2.2886.

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Abstract:
Vu(e) des arbres — poste d’observation symbolique — des artistes ouvrent des brèches entres les mondes végétal, animal et humain aux enjeux d’acculturation. Comment se fabrique cette relation singulière de symbiose avec le vivant qui perdure dans le temps ? L’écomorphisme — oikos/habitat et morphé/forme — est le résultat d’une adaptation d’une espèce vivante suivant son environnement. Nous considérons l'écomorphisme tel un mouvement artistique de formes de la nature sauvage capables de nous transformer. Avatar du monde urbain, le musée offre des « perchoirs » en forêt symbolique pour nous dés-orienter et composer des liens entre les mondes. Par-delà une nature en crise et son panorama d’envahissement, une double écopoétique(s) manifeste par des objets et la littérature des musées. Quels liens se jouent entre une chouette perchée sur un arbre observant le cœur de Paris, une femme en lévitation au milieu d’une forêt et la tentative de filmer un épicéa dans son entièreté ? Vu(e) des arbres, nous analysons les relations complexes entre création artistique, effets esthétiques expérimentés in situ, scénographies d’installation, récits d’exposition et prise de conscience écologique.
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Buffet, Alexis. "Douze cent mille de Luc Durtain : un roman populiste avant la lettre ?" Études littéraires 44, no. 2 (March 14, 2014): 53–70. http://dx.doi.org/10.7202/1023760ar.

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Abstract:
En 1922, Luc Durtain publie son premier roman commencé dans les tranchées :Douze cent mille. Connu jusque-là comme poète, familier de l’Abbaye de Créteil et unanimiste, il appartient à cette « génération nouvelle » groupée autour de Jules Romains qui cherche à contrer les divagations du symbolisme en renouant avec la description du réel et du peuple. Parenté thématique qui justifie son annexion au mouvement populiste en compagnie de ses amis Romains et Duhamel (ils siégeront tous les trois comme membres du jury du Prix du roman populiste). Fable sociale particulièrement dense,Douze cent millese donne pour mission de représenter cette « nécessité d’après-guerre » : « gagner sa vie ». Se posant contre les excès d’analyse du roman bourgeois, le roman de Durtain s’avère moins une description minutieuse du quotidien des classes laborieuses qu’une violente satire de la bourgeoisie oisive et du snobisme à travers les tribulations de Bongrand, picaro moderne et héros positif. Se refusant à une littérature de parti, sans pour autant dissimuler sa sympathie pour la cause socialiste, faisant le lien entre société d’argent et société guerrière,Douze cent milleillustre par anticipation la doctrine populiste et en souligne d’ores et déjà et comme malgré lui toutes les apories.
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Perreault, Isabelle. "La critique au temps de l’amour : Jacques Rivière et la musique debussyste." Analyses 46, no. 2 (October 24, 2016): 125–46. http://dx.doi.org/10.7202/1037706ar.

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Abstract:
En replaçant dans l’histoire de la critique – et, plus largement, dans celle des conceptions musicales – les premiers textes que Jacques Rivière consacre à l’œuvre de Claude Debussy, je me propose de (re)lire ces derniers comme les traces discursives des processus de mutations qui ont lieu dans la presse musicale à l’orée du XXe siècle. Je postule d’abord que Rivière, héritier des conventions rhétoriques mises en place au XIXe siècle, use de sa connaissance de la littérature symboliste comme d’un tremplin d’accès vers la musique de Debussy. Par la façon dont le mouvement de son écriture vient épouser la forme et la ligne mélodique de l’esthétique du compositeur, Rivière parvient, d’une part, à adapter son discours à l’objet qu’il décrit – ce que j’ai appelé le « dévouement à l’objet » –, et d’autre part, à outrepasser la dialectique d’une critique impressionniste ou techniciste tout en transformant le texte en un « donné-à-entendre ». La critique musicale acquiert dès lors une nouvelle fonction, intermédiaire entre l’expérience du concert et les lecteurs de La NRF, de sorte que les modalités du discours se modifient elles aussi. Cependant, comme partout chez Rivière, celles-ci ne peuvent se passer du filtre nécessaire à tout accueil esthétique : l’amour.
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Pagé, Geneviève. "La lente intégration du queer au féminisme québécois francophone: douze ans de résistance et le rôle de passeur des Panthères roses." Canadian Journal of Political Science 50, no. 2 (June 2017): 535–58. http://dx.doi.org/10.1017/s0008423917000506.

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Abstract:
RésuméLe voyage et l'appropriation des théories queer dans les milieux féministes francophones du Québec ont été particulièrement longs et ardus, appelant un questionnement non seulement sur les raisons de ce retard, mais aussi sur les dimensions qui ont permis, ultimement, l'intégration des théories queer chez les féministes francophones. Combinant des outils analytiques en provenance de la littérature sur la diffusion des mouvements sociaux (passeurs ou brokers, cadres interprétatifs, répertoires d'action collective, etc.) et une approche en idées politiques, nous analysons l'insertion des théories queer chez les féministes en deux temps. Dans un premier temps, les intellectuelles féministes critiquent de manière assez généralisée les théories queer, critiques regroupées en 3 axes : 1) la déconstruction des femmes et des lesbiennes en tant que sujet politique ; 2) l'investissement dans l'univers symbolique du politique comme espace de subversion, au détriment des relations matérielles et des structures de pouvoir ; et 3) la disparition de la spécificité lesbienne et l'absence de remise en question des privilèges masculins dans les mouvements queer. Dans un deuxième temps, le travail de passeur des Panthères roses–groupes queer radical–permet la traduction des cadres (frame bridging) et leur inscription dans un répertoire d'action reconnaissable des féministes, répondant ainsi à deux des trois axes de critiques. Nous avançons donc que ce rôle de passeur permettra d'ouvrir une brèche qui, rapidement, permettra l'inscription et l'intégration, même si conflictuelles, du queer dans les milieux féministes francophones.
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Porta, Giuseppe. "La Symbolique des animaux dans les lettres de Cola di Rienzo." Reinardus / Yearbook of the International Reynard Society 11 (November 15, 1998): 175–84. http://dx.doi.org/10.1075/rein.11.13por.

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Abstract:
Résumé Les lettres de Cola di Rienzo constituent un des témoignages les plus intéressants sur les milieux culturels de la Rome du XIVe siècle. A ce sujet on peut confronter d'une part l'édition critique et le commentaire de Konrad Burdach et de Paul Piur, qui ont été les premiers à donner de cette correspondance une version complète et fiable, en 1912-1929, d'autre part l'oeuvre de Bartolomeo di Iacovo da Valmontone, contemporain de Cola, chroniqueur attentif et fidèle témoin de la parabole politique du tribun. Dans ces lettres, l'interprétation symbolique du monde animal trouve l'expression la plus accomplie. Cette interprétation se fonde sur l'exégèse, commune à cette époque, de la Bible et en particulier du Nouveau Testament. Mais en outre elle tient compte de la littérature apocalyptique et visionnaire, bien connue, à ce moment, et favorablement accueillie par les mouvements franciscains qui s'inspirent du paupérisme et du spiritualisme. C'est dans cette perspective d'une interprétation allégorique de l'histoire, qu'il faut envisager la faveur dont sont entourés les classiques Tite-Live, Salluste et Sénèque, mais aussi et surtout Boèce. C'est à ce philosophe que se compare le tribun Cola di Rienzo, qui, dans le titre qu'il s'attribue, tient à rappeler le nom de Severus, et impose à son propre fils le prénom Boèce. Dans cette perspective, qui trouve un fidèle écho dans le monde des animaux, s'insère la polémique contre les tyrans qui oppriment Rome, l'Italie et l'Eglise. Parallèlement se fait jour l'exaltation de la paix, de la justice et de la liberté, dont le tribun trouve la source dans la lecture de l'Evangile.
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LAROCHELLE, MARIE-HÉLÈNE. "RAS-LE-BOL DU CARE." Dossier 43, no. 3 (September 4, 2018): 29–40. http://dx.doi.org/10.7202/1051084ar.

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Abstract:
La littérature contemporaine des femmes est truffée de personnages féminins qui se placent en porte à faux avec les attentes écrites pour elles dans les contes traditionnels et cessent de « prendre soin » d’elles-mêmes comme des autres (pères, maris, enfants, ami.es et étrangers). Leurs identités se fondent sur une tension, sorte de dialectique constante entre le care et la violence (symbolique ou physique ; métaphorique ou réelle), qui trouve ses racines dans les archétypes des contes de fées. Les écrits contemporains des femmes, à travers l’exploration des thèmes comme les relations amoureuses, les relations familiales, la maternité, la sexualité et les usages de la drogue, présentent une violence qui, parfois tournée vers l’autre, parfois tournée vers soi, se comprend mieux une fois observée sous le prisme d’une éthique de la responsabilité puis du « prendre soin » que le discours sous-tend. Cet article démontre comment le care devient violence. Il s’agira de comprendre une certaine limite du care : le cas qui implique de briser la dynamique, de rompre avec le « prendre soin », violemment, et de rejeter une moralité cristallisée par les contes traditionnels. Sont ainsi analysés Les sangs d’Audrée Wilhelmy et Demoiselles-cactus de Clara B.-Turcotte, qui s’inspirent des codes du conte pour mieux marquer le moment où ils sont fracassés, afin de comprendre les racines de ce mouvement de révolte à l’égard de certains motifs du conte.
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Escal, Françoise. "Le debussysme de Jacques Rivière." Revue d'histoire littéraire de la France o 87, no. 5 (May 1, 1987): 837–57. http://dx.doi.org/10.3917/rhlf.g1987.87n5.0837.

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Abstract:
Résumé Dès 1906, Jacques Rivière se déclare debussyste, le debussysme répondant, pour l'époque, à ce que fut pour la poésie le symbolisme, et l'impressionnisme pour la peinture. Dans ses chroniques musicales, Rivière analyse le langage de Debussy, sa nouveauté quant à l'harmonie, la mélodie, la forme. La liberté, chez Debussy, par rapport aux règles reçues, répond à la volonté d'exprimer au plus près, « fidèlement », les émotions. Rien d'arbitraire ni de conventionnel dans cette musique : elle atteint directement le « naturel », et elle sait ce qu'est le « naturel »... Comment parler de cette musique ? Rivière récuse le discours technique, myope. Il tente, par sa phrase, d'imiter, de simuler le mouvement même de l'oeuvre, ses infléchissements et ses reprises. Il recourt - jusqu'à saturation - à la métaphore. Il est ce « critique-poète » dont Boris de Schloezer saluait l'apparition, pour qui la littérature est ici « un art qui en traduit un autre ». Mais ses images disent et objectivent : elles ont une fonction référentielle, une vertu didactique. Rivière s'adresse à des lecteurs qu'il veut préparer à mieux comprendre et recevoir l'oeuvre d'art. Écrivant, plus, qu'écrivain, il a la préoccupation de la lisibilité, même s'il ne peut, avec des mots, que connoter la forme musicale, tandis que le discours du poète est plus centré sur lui-même pour son propre compte. Cela dit, Rivière ne prévoit pas l'extraordinaire descendance musicale - à terme, il est vrai - de Debussy. En 1913, l'oeuvre de Debussy lui paraît compter au nombre de ces entreprises « qu'il importe de ne pas recommencer ». Pour les compositeurs aujourd'hui, pour Boulez par exemple, cette oeuvre marque une « date capitale dans l'histoire de l'esthétique contemporaine ».
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Maria, Charlotte. "Claude Cahun et le surréalisme." Texte et image, no. 1 (April 14, 2011). http://dx.doi.org/10.58335/textetimage140.

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Abstract:
Quels sont précisément les liens entre Claude Cahun et le surréalisme ? Il s’agit ici de mettre au jour les relations à la fois littéraires, personnelles et politiques entre la nièce de Marcel Schwob et le mouvement d’André Breton. À partir des écrits et de la correspondance inédite de l’auteur, l’étude fait apparaître un tissu de rapports complexes. Car si Claude Cahun s’est toujours intéressée au Surréalisme, ses liens avec le mouvement ne s’établirent que tardivement, à travers son engagement politique. Sur le plan esthétique, son œuvre plastique est plus proche de la sensibilité surréaliste que son œuvre écrite, très marquée par le symbolisme.
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Louichon, Brigitte, and Eleonora Acerra. "REMÉDIATISATIONS DU LIVRE DANS LES APPLICATIONS HYPERMÉDIATIQUES DE LITTÉRATURE POUR LA JEUNESSE." La littérature de jeunesse, à l’ère numérique 8 (August 20, 2018). http://dx.doi.org/10.7202/1050934ar.

Full text
Abstract:
Cette contribution interroge les liens entre le livre et l’hypermédia véhiculés par les applications de littérature pour la jeunesse. Analysés au prisme de la remédiatisation et de l’hybridation médiatique, on peut dégager quatre formes d’interaction : l’adaptation, menant du texte imprimé à l’oeuvre hypermédiatique (le livre avant) ; le mouvement inverse, (re)conduisant de l’oeuvre hypermédiatique à l’objet imprimé (le livre après) ; la co-construction, impliquant le concours d’un livre imprimé et d’une application pour l’élaboration d’une oeuvre commune (le livre avec) ; la figuration interne, intégrant des représentations de livres et de lecteurs dans la diégèse (le livre dedans). Deux hypothèses sont notamment interrogées : le lien des hybridations livresques de l’oeuvre hypermédiatique à la double destination de toute oeuvre pour la jeunesse ; le façonnement d’un imaginaire stéréotypé et rassurant de la lecture, visant à introduire le jeune destinataire, via le numérique, dans l’univers symbolique du livre.
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