Academic literature on the topic 'Symbolisme – Nouvelle-France'

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Journal articles on the topic "Symbolisme – Nouvelle-France"

1

Sapiro, Gisèle. "Un héritage symbolique détourné ? La nouvelle revue française des années noires1." Études littéraires 40, no. 1 (September 1, 2009): 97–117. http://dx.doi.org/10.7202/037901ar.

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Abstract:
Résumé La reparution de La nouvelle revue française sous l’Occupation allemande en France pose la question à la fois théorique et pratique de la continuité des institutions. La NRF de Drieu La Rochelle est-elle La NRF ? Ou s’agit-il d’une usurpation, comme le donne à penser le départ de son ancien directeur, Jean Paulhan, et des membres fondateurs ? Ce problème divise d’emblée l’équipe des anciens collaborateurs. Leurs hésitations, leurs choix, révèlent le processus de réajustement des stratégies dans les nouvelles conditions de production, caractérisées par la perte d’autonomie du champ littéraire. La ligne adoptée par la revue pose aussi la question de savoir si l’art pur est possible sous l’oppression. Le déclin de La NRF et son discrédit vont durablement contribuer à la délégitimation de l’option de l’art pour l’art dans le champ littéraire français.
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2

Chaffray, Stéphanie. "Corps, territoire et paysage à travers les images et les textes viatiques en Nouvelle-France (1701-1756)1." Revue d'histoire de l'Amérique française 59, no. 1-2 (April 27, 2006): 7–52. http://dx.doi.org/10.7202/012718ar.

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Abstract:
Résumé À la fin de la période de la Nouvelle-France, les auteurs de relations de voyage semblent peu s’intéresser au paysage américain comparativement aux peuples autochtones sur lesquels ils concentrent leur attention. Cependant, si l’on analyse les récits et les gravures qui les illustrent en s’interrogeant sur la place consacrée au corps amérindien et au paysage, il est possible de voir que l’un et l’autre sont manipulés pour servir l’idéologie coloniale. Les Français prennent possession du territoire de manière symbolique, redéfinissent la relation entre les Amérindiens et l’environnement afin d’affirmer leur présence. Cet article explore la représentation du corps et du paysage dans les récits de voyage par le biais des problématiques d’appropriation et de pouvoir.
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3

Bryant, Lawrence M. "La cérémonie de l'entrée a Paris au Moyen Age." Annales. Histoire, Sciences Sociales 41, no. 3 (June 1986): 513–42. http://dx.doi.org/10.3406/ahess.1986.283294.

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Abstract:
A l'époque médiévale, l'accueil réservé par les villes aux souverains apparaît comme un usage dont les modalités et les symboles varient au gré des régions, des coutumes et des influences. Depuis Vadventus impérial de la fin de l'Antiquité, tous les rituels d'accueil des souverains cherchent à mettre en valeur cet événement, en sortant de la routine quotidienne, et à exprimer symboliquement les idéaux de la communauté. Au cours de la renaissance urbaine du XIIesiècle, on a fréquemment relaté ces réceptions de monarques ou de seigneurs. A partir du XIVesiècle, en Europe, les cérémonies publiques destinées à accueillir les princes prennent une place importante dans les rituels et ne cessent de se développer. En France, à cette époque, le mot « entrée » commence à désigner un rituel aussi bien qu'une action, et des cérémonies de ce type se déroulent fréquemment jusqu'au XVIIesiècle ; elles perdent alors leur éclat et oublient l'héritage symbolique et rhétorique du Moyen Age. A l'époque médiévale, elles servent de support à la créativité et à l'expression de la communauté urbaine ; des innovations surgissent à chaque nouvelle cérémonie.
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4

Andrès, Bernard. "Québec : chroniques d’une ville assiégée (IIe partie : 1759)." Les Cahiers des dix, no. 62 (September 24, 2009): 61–91. http://dx.doi.org/10.7202/038121ar.

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Abstract:
En raison de sa position stratégique, mais aussi de sa valeur symbolique (Québec métaphore du Québec), la Vieille Capitale figure comme LA ville en état de siège, de l’époque de Champlain à nos jours. C’est ce curieux destin de cible et de victime, mais aussi de forteresse inexpugnable ou d’héroïne nationale que l’on évoque ici. Après avoir abordé dans le no 61 des Cahiers les attaques anglaises de 1628-1629, de 1690 et de 1711, la réflexion se porte ici sur le siège de Québec en 1759, qui marqua la fin de la Nouvelle-France. Sont convoquées une dizaine de chroniques, pour l’intérêt qu’elles offrent au plan de la représentation de Québec et pour les témoignages qu’elles recèlent sur le comportement des Canadiens « ordinaires », aussi bien que des officiers canadiens de la milice, des bourgeois et des autorités de la colonie. On y voit comment ces relations de 1759 tissent un argumentaire autour de la perte, du sacrifice et du châtiment subi par la colonie, mais aussi comment ces discours autoriseront par la suite une double lecture de la conquête : à la fois défaite et (re)départ.
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5

Lorcerie, Françoise. "Education interculturelle et éducation à la citoyenneté: Un détour par la sociologie de la nation." Swiss Journal of Educational Research 24, no. 3 (December 1, 2002): 435–50. http://dx.doi.org/10.24452/sjer.24.3.4638.

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Abstract:
La question du rapport entre éducation interculturelle et éducation à la citoyenneté gagne à être replacée dans le contexte socio-politique où elle se pose aujourd’hui dans les pays occidentaux. Ce contexte se caractérise par une crise, voire plus rarement une récusation de l’Etat-nation «classique», qui reposait sur une opposition ethnique naturalisée entre established et outsiders combinée avec un principe démocratique. On observe une saillance sociale nouvelle de la pluralité culturelle comme problème appelant un traitement public et du pluralisme comme valeur. L’éducation publique est un des sites de cette crise, en même temps qu’un des espaces où son traitement est envisageable. Ainsi, au Québec, l’emblème de l’interculturel fut expérimenté dans la cadre de la réélaboration symbolique de la nation québécoise (depuis la fin des années 1970), avant d’être quelque peu mis en retrait par les pouvoirs publics au bénéfice d’autres emblèmes plus explicitement inclusionnaires. En France, la revitalisation récente de l’éducation à la citoyenneté et la reconnaissance (timide) des différences culturelles s’expliquent également dans le contexte de ce qu’on peut appeler la crise de l’intégration assimilationniste et l’inflexion qui se fait jour du «régime de tolérance» des différences.
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6

Lachance, Isabelle. "Guerre, lettres et devenir historique de la Nouvelle-France dans La défaite des Sauvages armouchiquois de Marc Lescarbot." Tangence, no. 111 (December 23, 2016): 131–42. http://dx.doi.org/10.7202/1038510ar.

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Abstract:
Dans son poème épique La défaite des Sauvages armouchiquois par le sagamos Membertou et ses alliez sauvages de 1607, Marc Lescarbot érige Pierre Dugua de Mons, vice-roi d’Henri iv en Acadie, et Jean de Biencourt de Poutrincourt, vice-lieutenant de Dugua de Mons, en pacificateurs de tribus amérindiennes irrépressiblement guerrières. Dès lors, bien que les genres de l’histoire universelle et de l’épopée semblent agir en tant que dispositifs de reconnaissance pour signifier le partage d’une commune humanité entre Souriquois, alliés locaux, et Français, porteurs de l’entreprise coloniale, une lecture parallèle de La défaite et de certains chapitres de l’Histoire de la Nouvelle France de 1609, soit « Des Lettres » et « De la Guerre », montre plutôt une mise à l’écart symbolique de l’Amérindien. Non seulement parce que cette geste quasi médiévale relègue son expérience du territoire à un temps révolu, voire à la fable — laissant ainsi le champ libre à une expérience européenne appartenant d’emblée au temps présent —, mais aussi parce qu’elle déclare l’incapacité du Sauvage à faire face au temps présent. Ainsi se voit-il non seulement doublement dominé par la différence de l’écriture en tant qu’objet du récit et par la maîtrise de l’écriture qui donne à l’Européen un ascendant conférant à sa prise de pouvoir un caractère naturel, mais encore La défaite représente les Souriquois remportant la bataille spécifiquement parce qu’ils auraient déployé à l’encontre de leurs ennemis non seulement leurs propres ressources — stratégiques et matérielles —, mais bien le tonnerre des armes à feu françaises.
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7

Paschoud, Adrien. "Aborder les Relations jésuites de la Nouvelle France (1632-1672)." III Mémoires du voyage, no. 2 (May 31, 2012). http://dx.doi.org/10.7202/1009268ar.

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Abstract:
Publiée chez l’éditeur catholique Sébastien Cramoisy entre 1632 et 1672, la collection des Relations forme une masse documentaire et scripturaire de premier plan pour qui s’intéresse à la colonisation des territoires nord-américains, mais également aux pratiques institutionnelles, doctrinales et savantes de la Compagnie de Jésus. Objet d’un intérêt renouvelé depuis les années 1980, cette publication, véritable vitrine de l’entreprise missionnaire des jésuites auprès d’un lectorat dévot et lettré, se prête à des approches croisées. Elle intéresse aussi bien les historiens et les ethnohistoriens que les spécialistes du littéraire et de l’esthétique de la réception ; elle touche également aux problématiques post-coloniales dans la mesure où elle interroge de plain-pied les rhétoriques de l’altérité (otherness) et les phénomènes de violence symbolique qui les accompagnent (une approche qu’un pan important de la critique, notamment dans le domaine de l’histoire culturelle, remet aujourd’hui en question pour privilégier une « anthropologie des zones de contact »). Cet article se propose donc de dresser un état des lieux bibliographique qui reflète plus largement la richesse d’un corpus qu’on ne saurait limiter à sa seule composante apologétique.
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8

Servais, Olivier, and Frédéric Laugrand. "Missionnaire." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.018.

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Abstract:
Le terme « missionnaire » renvoie au terme chrétien : « missio », envoyé. Le missionnaire désigne dans la tradition chrétienne celui qui est envoyé par l’Esprit Saint annoncer l’Évangile en dehors des terres de chrétienté. Par extension, ce concept traduit la figure d’un prosélyte institué par une religion. En anthropologie, le mot renvoie à une pluralité de contextes et de sens. C’est avec la Renaissance et la « découverte du Nouveau Monde » que plusieurs récits missionnaires acquièrent le statut de véritables textes ethnologiques. À cette époque, alors qu’un nombre croissant de récits sont publiés ou traduits en Europe ayant pour thèmes les coutumes des peuples non évangélisés, la découverte des Amériques et de populations qui ne figurent pas dans les textes bibliques obligent les théologiens, les écrivains, les chroniqueurs et autres voyageurs, à repenser l’altérité et à formuler de nouvelles interprétations à partir des catégories existantes. Les récits d’André Thevet, de Jean de Léry, par exemple, attestent de cette révolution conceptuelle en ce sens que ces auteurs, pour la première fois, vacillent. Ils en appellent à la transformation de soi et à la conversion du regard. Cette ouverture restera toutefois de courte durée et assez marginale. Avec les conquêtes coloniales, en effet, les récits missionnaires se multiplient et s’ils se diffusent jusque dans le grand public où ils concurrencent les récits de voyage, leur contenu montre la ténacité de l’ethnocentrisme et surtout celle du complexe de supériorité des peuples européens. Il faut attendre le milieu du XXe siècle, sous les effets combinés de la décolonisation et du concile Vatican II pour que les esprits évoluent lentement vers une plus grande tolérance. Entre temps, un nouveau genre est apparu et s’est développé: celui des récits ethnologiques en bonne et due forme. Un peu partout sur la planète, les ethnologues sont rapidement partis en croisade contre les entreprises missionnaires, criant à la déculturation, à la contamination chrétienne et rappelant au monde la diversité des cultures et des traditions, mais sans interroger assez leur propre entreprise et le sens de leurs actions ou de leurs enquêtes. Sur ce point, de nombreuses chroniques missionnaires s’avèrent anthropologiquement très riches pour saisir la diversité des cultures et leurs caractéristiques. Pour se limiter aux Amériques et à une période plus ancienne, citons ces textes encyclopédiques que nous livrent Fray Bernardino de Sahagun (1981 [1730]; voir aussi León-Portilla 2002; José de Acosta (1979 [1590]); Fray Alonso de Benavides (1954 [1630]); ou encore, les monographies de Jean de Léry (1980 [1578]); d’André Thevet (1983 [1557]); de Martin Dobrizhoffer (1967 [1784]). La richesse de ces ouvrages dépasse le plan strictement ethnographique. Claude Lévi-Strauss (1955 : 84) ne s’y est pas trompé lorsqu’il considère L’histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, publiée par le pasteur genevois Jean de Léry, en 1578, comme « le bréviaire de l’ethnologue ». Comme l’illustre encore le cas du jésuite José de Acosta, c’est par l’expérience du voyage, par celle de la distance de soi et de l’altérité que des missionnaires ont découvert, bien avant Jean-Jacques Rousseau et les philosophes du XVIIIe siècle, l’universalité de la barbarie, de la guerre et de l’ethnocentrisme ou encore les limites de la pensée cartésienne. Fermin del Pino-Diaz (1992 : 323) cite avec raison une déclaration du père d’Acosta qui évoque celle de Montaigne dans Des Cannibales et dont, selon lui, tout anthropologue actuel pourrait s’enorgueillir: « La rudesse des barbares n’est pas produite par la nature mais par l’éducation et les coutumes ». En somme, c’est donc bien avant que l’ethnologie émerge comme discipline scientifique, que des missionnaires ont su conjuguer universalisme et relativisme. Rétrospectivement, chaque époque et chaque congrégation a son lot de missionnaires ethnologues. Leurs chroniques s’avèrent ethnographiquement beaucoup plus riches que les récits des voyageurs et des explorateurs. Alfred Métraux (1963) affirme que pour leurs observations méticuleuses sur les peuples du Brésil, les pères capucins Claude d’Abbeville (1614 [1963]) et Yves d’Évreux appartiennent à ceux qu’il nomme les « grands précurseurs de l’ethnographie française » qu’a connu le tournant des XVIe et XVIIe siècles. Les siècles suivants, de nombreux missionnaires ethnologues se retrouvent du côté des jésuites : Brébeuf en Nouvelle-France (Laflèche 1999; Reichler 2004), plusieurs jésuites au Paraguay (Saignes 1985), d’autres dans les Pays d’en Haut et au Canada (Servais 2005). Avec l’entreprise coloniale et l’époque du « réveil missionnaire », le XIXe siècle semble ouvrir une période de régression. Un examen plus attentif laisse pourtant apparaitre là encore des cas de missionnaires ethnologues et ce, dans la plupart des régions du monde : salésiens en Amazonie, missionnaires anglicans dans le Nord canadien, etc. Il n’en demeure pas moins vrai que la plupart des missionnaires de l’époque se détournent de l’ethnographie pour produire des récits de propagande où l’autre est réduit à un faire-valoir. Les récits de mission deviennent ainsi les pièces maitresses d’un travail d’édification et d’un système de propagande, d’un prosélytisme qui ne s’essoufflera vraiment qu’au milieu du XXe siècle, avec la promotion d’une pensée œcuménique et d’un respect des cultures. Plusieurs revues d’anthropologie du XXe siècle émanent encore d’œuvres missionnaires : il en va ainsi d’Anthropos, une revue fondée par le père Schmidt, d’Anthropologica, la revue canadienne d’anthropologie née en 1955, d’une collaboration entre des missionnaires oblats et des anthropologues, etc. Les missionnaires se montreront enfin de précieux experts sur le plan de l’étude des langues, produisant d’innombrables encyclopédies et dictionnaires. La décolonisation ne fera pas disparaitre pour autant les récits de missionnaires ethnologues. Les exemples de Philippe Chanson (2010) dans les Antilles, de Jacques Dournes (1955) au Vietnam et d’Éric de Rosny (1981) au Cameroun montrent, par ailleurs, comment le missionnaire peut être profondément transformé par l’expérience ethnographique (Burridge 1975; Laugrand et Servais 2013). Certains chercheurs ont tenté de problématiser ces contributions missionnaires en les comparant aux démarches ethnographiques et anthropologiques. Claude Blanckaert (1985: 12) a opposé « l’observation participante » des ethnographes à « la participation observante » des missionnaires, mais il faut bien admettre que les termes s’inversent à l’occasion. De nos jours, les anthropologues ne cessent de (re)découvrir toutes les ressources ethnohistoriques et ethnolinguistiques de ces journaux de bord tenus par les missionnaires européens ou indigènes, catéchistes ou évangélistes, répondant tantôt à la demande d’information de l’autorité institutionnelle de leur congrégation, tantôt à leur propre quête et curiosité. Souvent isolés, certains missionnaires ont sans doute obéi à leur passion personnelle, quitte à refouler leurs enquêtes ethnographiques comme l’illustre le cas du révérend E.J. Peck qui a préféré rester dans l’ombre mais répondre aux requêtes que lui faisait Franz Boas (Laugrand, Oosten et Trudel 2006). D’autres ont voulu suivre les incitations de leurs supérieurs et trouver des pierres d’attente ou des valeurs évangéliques dans les traditions qu’ils découvraient. Pour d’autres enfin, le décodage des cultures répondait à des stratégies de conversion et de communication interculturelle. On connait depuis longtemps la formule : « comprendre pour être compris ». De la traduction des catéchismes ou de la Bible en langue vernaculaire, à la production de traités savants sur la parenté ou la religion primitive, en passant par l’élaboration érudite de dictionnaires qui sont parfois de véritables encyclopédies, plusieurs missionnaires ethnologues ont apporté une contribution majeure à l’émergence de la discipline ethnologique. Même si la question des modes de lecture et des outils d’analyse de ces récits missionnaires fait encore débat méthodologique et épistémologique entre historiens, anthropologues et missiologues. Plusieurs missionnaires ont considérablement contribué aux débats anthropologiques : pensons à l’œuvre singulière du père Joseph-François Lafitau (1983 [1724]) sur la parenté (Duchet 1976; De Certeau 1985; Motsch 2001) ou encore aux travaux de Jacques Leenhardt (Naepels et Solomon 2007). Comme Leenhardt, d’autres figures missionnaires comme Aupiais et Leroy (Mary 2010) se sont mis à l’école des grands maitres de cette discipline savante et universitaire, et notamment de Marcel Mauss. En retour, leurs expériences du terrain et leur production écrite, en concurrence avec celles des administrateurs et d’autres observateurs, ont forgé bien des catégories de l’anthropologie religieuse et symbolique. Missionnaires et anthropologues partagent enfin une position de médiateurs, condamnés à devenir des transfuges ou à concilier les règles que leur groupe d’appartenance impose, avec les expériences et les catégories des autres souvent issus de mondes fort différents.
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Giordano, Christian. "Nation." Anthropen, 2017. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.048.

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Abstract:
La meilleure définition de la nation est sans doute celle que propose Benedict Anderson lorsqu’il parle de communauté politique imaginée (Anderson, 1983). Ce faisant Anderson met en doute la validité de certaines caractéristiques mystificatrices, quoique considérées comme objectives, attachées au concept de nation. Cette critique s’adresse à Ernest Gellner et à Eric J. Hobsbawn qui eux mettent en évidence l’invention et donc le caractère mystificateur attaché à l’idée de nation (Gellner, 1983, Hobsbawm and Ranger, 1983). La posture théorique spécifique qu’adoptent Gellner et Hobsbawn ne saurait surprendre, car le premier est issu d’un terreau philosophique et méthodologique de type néopositiviste, tandis que Hobsbawm est notoirement associé à un marxisme modéré. Anderson, avec son idée de nation comme communauté politique imaginée, se trouve être très proche des positions de type interprétatif. Il évoque de ce fait indirectement Max Weber selon lequel il est fondamental de reconstruire le sens que les acteurs eux-mêmes, en tant que membres d’une société, donnent à leur comportement. Lorsque Anderson définit la nation comme une communauté politique imaginée, il insiste sur le fait que les membres individuels de ces groupes sociaux, bien que ne se connaissant pas personnellement et que n’ayant fort probablement pas l’occasion de se rencontrer durant leur vie, partagent le même sentiment d’appartenance (Anderson, 1983: 15). La nation est imaginée comme une entité circonscrite et par conséquent démographiquement définie, même si ses frontières peuvent varier en fonction de circonstances historiques particulières. En fait une nation peut s’étendre ou se rétrécir du point de vue de son territoire comme c’est le cas de certaines nations d’Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Bulgarie etc.). L’essentiel de ce caractère limité du point de vue structurel et démographique réside cependant dans le fait qu’aucune nation ne souhaite inclure l’humanité entière. En reprenant une réflexion de Max Weber, on peut remarquer que la nation est imaginée comme une communauté partiellement ouverte vers l’extérieur parce qu’il est inacceptable que n’importe quel membre du genre humain en fasse partie. La nation est en outre imaginée comme une communauté d’égaux, liés entre eux par d’étroites relations de fraternité et de parenté réelle, rituelle ou symbolique, même si cela ne correspond pas à la réalité socio-structurelle et à la dimension de la société. Car dans toute société nationale il existe d’évidentes inégalités sociales et des divisions entre couches, classes, castes ou milieux. Enfin la nation est imaginée comme étant souveraine, à savoir comme une communauté politiquement indépendante, même si ce n’est pas toujours le cas. De fait il existe encore aujourd’hui des nations sans État mais qui aspirent à l’indépendance et donc à se constituer en société souveraine pourvue d’un État propre. Le débat au sujet du rapport entre nation et nationalisme est encore vif. Anthony D. Smith pense que la nation précède le nationalisme et que ce dernier est la conséquence logique de l’émergence des nations même dans des époques fort lointaines (Smith, 1998). A cause de son point de vue, Smith s’est vu reprocher d’être primordialiste dans la mesure où il voit l’origine de la nation dans des temps archaïques. Gellner pour sa part a pris le contrepied de cette perspective, en mettant en évidence le fait que la nation est un phénomène social issu de la modernité occidentale, grâce aux inventions industrielles et en premier lieu grâce à l’imprimerie, mais également à son nouveau système économique capitaliste allant de pair avec l’émergence de classes entrepreneuriales à la recherche de nouvelles ressources primaires et de nouveaux marchés (Gellner 1983) Les nouveaux États-nations issus de ces mutations ont obtenu leur légitimité grâce à la rhétorique nationaliste. C’est donc le nationalisme qui génère l’idée de nation et non l’inverse, ainsi que le prétendent la majorité des auteurs de tendance primordialiste. Le nationalisme est l’instrument idéologique essentiel pour les nations sur lesquelles viennent se fonder les nouveaux États, en tant qu’institutions politiques de la modernité. Selon la thèse de Gellner, le nationalisme représente la formule politique nécessaire pour justifier l’exercice du pouvoir de la part des classes politiques dans les États-nations (Mosca 1966). L’organisation politique spécifique de la nation en tant que communauté imaginée est l’État-nation qui trouve sa source dans l’Europe de la fin du 18e siècle. Toutefois il serait faux de parler d’un modèle d’État-nation universel. On peut en effet distinguer deux types idéaux d’État-nation, à savoir le modèle français et le modèle allemand (Brubaker 1992). On a souvent observé que le modèle français de l’État-nation est fondé sur l’idée de nation politique. Selon cette vue l’État-nation serait le résultat d’un pacte politique, voire d’un contrat entre les citoyens de cet État-nation. C’est dans ce sens que Jules Renan a défini la nation et son organisation politique comme le résultat d’un plébiscite de tous les jours. Il s’agit de souligner par cette formule que la nation française et son État consistent en théorie en une communauté élective. Ce type d’État-nation est donc une patrie ouverte au sein de laquelle les différences religieuses et ethniques n’ont, du moins en théorie, aucune importance (Dumont 1991: 25). On sait bien que cette conception non ethnique de la nation, postulée par la Révolution française a été modifiée plusieurs fois jusqu’à présent. En fait les Constitutions de 1791 et 1793 garantissaient la citoyenneté à toute personne étrangère habitant la France et par conséquent il n’était pas nécessaire d’avoir acquis l’identité française. Autrement dit il était possible d’obtenir la citoyenneté sans avoir acquis auparavant la nationalité, à savoir avant d’adopter certains traits culturels particuliers et certains comportements passant pour typiquement français (Weil, 2002). La séquence citoyenneté-nationalité sera pourtant inversée déjà au 19e siècle avec l’introduction de certains prérequis culturels comme la connaissance de la langue nationale, sans compter l’adoption d’un style de vie considéré comme français. Bien qu’affaiblie par les diverses modifications du code de la nationalité dans les années quatre-vingt-dix (Loi Pasqua de 1993 et Loi Guigou de 1998), l’idée originale de citoyenneté n’a jamais vraiment été abandonnée jusqu’à maintenant. L’État français se fonde sur une conception subjective, voire individualiste de la nation en fonction de laquelle tout étranger habitant l’hexagone peut encore aujourd’hui devenir citoyen français grâce au processus d’assimilation. Les différences, les identités et les frontières ethnoculturelles ne sont jamais définitivement insurmontables. Du moins en théorie, tout être humain est intrinsèquement capable de devenir membre de la nation. Le revers de la médaille est que, en fait, l’État-nation français a toujours eu de grandes difficultés à reconnaître les minorités ethnoculturelles. Ces dernières furent systématiquement assimilées de force durant tout le 19e siècle et sont aujourd’hui encore ignorées. La conception allemande de la nation a été définie comme ethnique. Il en est issu un modèle d’État-nation fondé sur la généalogie et sur l’origine commune de ses citoyens. L’idée de nation et partant d’État-nation, a souvent été mise en relation avec le concept de Volk, en tant que peuple synonyme de nation. Toutefois durant le 18e siècle la notion de Volk ne possédait pas encore cette connotation ethnique qui, selon certains auteurs, devient « l’explosif le plus dangereux des temps modernes » (Finkielkraut, 1987: 56 ss.). L’ethnicisation du Volk a lieu au milieu du 19e siècle grâce à un important groupe d’intellectuels parmi lesquels il faut compter des politiciens, des artistes, des juristes, des philosophes, des historiens, des folkloristes etc. Cependant, la véritable transformation politico-légale intervient avec l’introduction d’un concept restrictif du jus sanguinis (Pierre-Caps 1995: 112). Le nationalisme radical de l’après Première Guerre mondiale a favorisé l’ethnicisation graduelle du modèle allemand qui a connu son apogée durant le national-socialisme avec les lois de Nürenberg dans lesquelles la racialisation du Volk et de l’État-nation allemand est légalisée. Cependant, après le Deuxième Guerre mondiale, dans l’Allemagne divisée, la République fédérale allemande (RFA) aussi bien que la République démocratique allemande (RDA) ont conservé les marques de la conception unitaire et ethnique du Volk et du jus sanguinis bien visibles, même après la réunification de 1990. Il est symptomatique à cet égard que les descendants d’Allemands « rentrés » de l’Europe orientale et de l’ex-URSS aient obtenu la nationalité, grâce à l’idée de Volk et de jus sanguinis, en un rien de temps, au contraire des millions d’immigrés, notamment d’origine turque, qui étaient confrontés aux plus grandes difficultés sur le chemin de l’acquisition de la nationalité allemande. On n’observe un léger assouplissement de l’ethnicisation qu’après 1999, principalement durant le gouvernement du chancelier social-démocrate Gehrard Schröder. Ce n’est cependant qu’aux enfants d’immigrés nés en Allemagne que les lois adoptées par ce gouvernement ont accordé certaines facilités pour obtenir la nationalité allemande Les deux prototypes cités ont inspiré de nombreux États-nations, européens ou non, ce qui en a fait des modèles de référence au niveau mondial. Le modèle français comme le modèle allemand poursuivent tous les deux le projet d’une nation cherchant à se procurer une organisation politique - l’État-nation - capable de garantir une homogénéité culturelle qui, à son tour, garantit la stabilité politique. La différence se trouve dans les deux manières de procéder pour y parvenir. Le modèle français, étant fondé sur le caractère subjectif et individualiste de la nation, rend accessible à l’étranger, du moins en principe, la voie de l’acculturation et par conséquent de sa pleine intégration et inclusion dans la communauté nationale grâce notamment à l’institution du jus soli. Le modèle allemand en revanche, est fondé sur le caractère objectif et collectif de la nation, selon une vision essentialiste et très rigide de l’appartenance ethnique, soumise au jus sanguinis. L’appartenance à la nation allemande comporte, du fait qu’elle est extrêmement restrictive, une forte tendance à l’exclusion de qui ne possède pas les requis ethniques. Les deux modèles ont tous deux connu depuis toujours de grandes difficultés à reconnaître la diversité culturelle, et ils présentent par conséquent une certaine incompatibilité avec la pluriethnicité et la multiculturalité. Cela n’est pas surprenant puisque les deux modèles se proposent de réaliser le projet d’une nation, d’un État souverain, d’un territoire monoethnique. Pour un tel projet la diversité ethnico-culturelle est forcément dysfonctionnelle. Dans les années quatre-vingts et quatre-vingt-dix du siècle passé, dans le cadre d’une globalisation galopante, plus apparente d’ailleurs que réelle, et avec l’ouverture des frontières qui suivit la chute de l’Union soviétique, de nombreux auteurs bien connus, en sciences sociales comme en anthropologie, pensaient que l’idée de nation appartenait davantage au passé qu’au présent ou au futur. On croyait que les sociétés étaient devenues transnationales, à savoir qu’elles deviendraient plus fluides, ou comme le remarquait le philosophe Zygmunt Bauman, qu’elles allaient proprement se liquéfier (Bauman 2000) C’est la notion de transnationalisme qui apparaît le plus souvent pour indiquer la capacité personnelle ou collective de dépasser les barrières culturelles et les frontières nationales et de passer d’une appartenance et d’une identité à l’autre avec la plus grande facilité. Ceux qui adoptent l’approche du transnationalisme considèrent ainsi la société comme un œcoumène global dans lequel les individus aux identités devenues désormais nomades, vivent et interagissent dans des milieux cosmopolites (ceux que l’on appelle les ethnoscapes) marqués par l’hybridation et la créolisation culturelle (Appadurai 1996). Cependant, cette vision suggestive et optimiste, inhérente à l’utilisation du préfixe trans, ne semble adéquate que pour l’analyse de certains groupes minoritaires au statut social élevé, comme par exemple certaines élites migrantes dîtes aussi expats (managers allemands à Tokyo, opérateurs financiers américains à Hong Kong, correspondants de presse au Moyen-Orient, spécialistes en informatique indiens à la Silicon Valley, etc.). Vouloir étendre à la société globale cet aspect spécifique de la complexité culturelle, voire même lui donner une orientation normative, serait entreprendre une nouvelle et dangereuse réification de la vision utopique du métissage universel. En fait, la réalité est bien différente de ce scénario global si optimiste. Les guerres en ex-Yougoslavie ont mis en évidence déjà dans les années quatre-vingt-dix du siècle dernier que l’idée de nation était encore importante et que la fin de l’histoire évoquée par Francis Fukuyama (Fukuyama 1992), comme réalisation d’une unique société globale sans différences nationales, était bien loin de la réalité. A vrai dire les deux premières décennies du vingt-et-unième siècle ont vu, surtout en Europe, le retour inattendu de la nation avec la montée des mouvements régionalistes d’une part et du populisme nationaliste d’autre part, ce que l’on peut interpréter comme deux expressions et stratégies de la résistance contre certaines conséquences des processus de globalisation. Les premiers ont réinterprété le concept de nation pour des revendications régionales à l’intérieur d’entités pluriculturelles de vieille date (Catalogne et Ecosse s’opposant respectivement à l’Espagne et à la Grande Bretagne). Les seconds utilisent en revanche le concept de nation pour mobiliser la population contre les immigrants et les réfugiés, ces derniers étant considérés par les mouvements populistes comme une menace contre l’intégrité nationale.
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Dissertations / Theses on the topic "Symbolisme – Nouvelle-France"

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Plante, Jean-François. "Les musiciens militaires dans l'espace sonore, social et rituel de la Nouvelle-France." Thesis, Université Laval, 2010. http://www.theses.ulaval.ca/2010/27050/27050.pdf.

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Magrou, Marthe. "Technique et nature cultivée : entre symbolisme et pratiques agraires : approche anthropo-sociologique des épouvantails dans les champs : études en nord Nouvelle-Aquitaine." Thesis, Rennes 2, 2019. http://www.theses.fr/2019REN20022/document.

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Abstract:
Les agriculteurs contemporains utilisent des machines et des matériels « ultra-modernes ». Mais, dans leurs champs qui contribuent à la position de la France, de pays 2ème exportateur de céréales au monde, ils utilisent, aussi, encore, des épouvantails traditionnels. Il est ici question de l'étude de ce qui a semblé, là, un ensemble de décalages, en termes d'apparence et de symbolismes. La recherche, en prenant de la distance avec les explications habituelles du « social agricole », et en s'appuyant sur un ensemble de travaux sociologiques et anthropologiques préalables, a porté sur les pratiques, leurs origines sociales et leurs conséquences. Il en résulte un ensemble d'analyses et de constats permettant une relecture des réalités agricoles. Sous ce jour, l'agriculture française apparaît florissante, ingénieuse, inventive, réactive et adaptable, ce qui est rarement dit d'elle. Mais, elle apparaît aussi n'y parvenir, qu'au prix d'une mécanique sociale ancienne et puissance : la disqualification et l'élimination de ce qui a fait la paysannerie ancestrale. Ainsi, au détour de ces travaux, nous rencontrons ce qui nous apparaît comme étant une cause systémique des « suicides » des agriculteurs en difficulté. Leurs cessations d'activité ont de particulier, le fait qu'elles permettent la libération des terres agricoles, dont d'autres ont besoin pour réussir
Today's farmers are « ultra-modern » gear and machine users. But in their fields, which are at the heart of what makes the economic strength of France (the second biggest cereal exporter in the world), they still use traditional scarecrows. This is the study of what seemed like a set of paradoxes in terms of appearance and symbolism. Purposefully distancing itself from the usual explanations about the agricultural social, and basing itself on a body of previous anthropological works, this study is about practices, their social origins and their consequences. The result is a set of analysis and findings allowing a reinterpretation of agricultural realities. Looking at it this way, the french agriculture appears flourishing, ingenious, inventive, reactive and adaptable. Which is rarely said about it. But it also seems to manage it at the cost of an ancient and powerful social mechanics: the disqualification and the elimination of what maid the ancestral peasantry. Thus we end up encountering what seems like a systemic cause of the “suicides” of struggling farmers. Indeed, one of the specificities of their activity is that by shutting down, they make available agricultural lands that others need to thrive
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Adam, Amélie. "Un générique unique : analyse identitaire, historique et toponymique de la notion de " fleuve " au Québec." Master's thesis, Université Laval, 2018. http://hdl.handle.net/20.500.11794/30275.

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Abstract:
Le Québec répertorie officiellement sur son territoire un seul et unique fleuve, le Saint-Laurent. Cependant, la Commission de toponymie du Québec présente une définition qui devrait englober au moins vingt-huit autres rivières. La présente étude tente de rendre compte de cette situation en retraçant les processus évolutifs de l’utilisation du générique « fleuve », par son origine étymologique et son implantation en Amérique. La méthodologie utilisée privilégie une approche comparative de ses définitions sociales et physiques chez les différentes communautés francophones. Le passé et la mentalité des explorateurs et des premiers colons du continent, ainsi que des premiers toponymistes du Québec, seront analysés afin d’illustrer l’impact et le rôle qu’ils ont eus dans les différents processus toponymiques. L’importance du fleuve Saint-Laurent en lien avec l’identité québécoise sera exposée afin de démontrer les raisons pour lesquelles il est le seul cours d’eau possédant le générique « fleuve » dans la province. Le système toponymique québécois sera ensuite analysé afin de comprendre pourquoi un changement tel que l’ajout de vingt-huit fleuves à la nomenclature québécoise serait difficile à effectuer, mais néanmoins souhaitable et quels seraient les impacts d’un tel changement.
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