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Dissertations / Theses on the topic 'Syntaxe du français'

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Mallet, Catherine. "La fonction syntaxique ‘sujet’ en néerlandais et en français contemporains." Thesis, Paris 4, 2011. http://www.theses.fr/2011PA040248.

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Abstract:
Cette étude linguistique qui porte sur la syntaxe du français et du néerlandais se propose d’analyser en contraste la fonction syntaxique ‘sujet’ dans ces deux langues. Elle s’appuie sur le cadre théorique fourni par le structuralisme fonctionnaliste d’André Martinet, qui considère les fonctions syntaxiques comme des ‘signes linguistiques’ pourvus d’un ‘signifiant’ (leur forme) et d’un ‘signifié’ (leur valeur). Elle prend ainsi comme point de départ les différences dans le marquage de la fonction pour tenter de parvenir à une analyse en contraste du contenu de la fonction elle-même. Cette analyse se fonde sur l’hypothèse d’une « configuration subjectale » (Lazard 1994) propre à chacune des langues dans lesquelles la notion de sujet est pertinente. Elle s’inscrit dans le cadre des études menées ces dernières années pour mettre en contraste le français et le néerlandais, généralement à des fins didactiques. Le rapprochement des structures de ces deux langues, dans lesquelles la construction de la phrase obéit à des règles différentes, parait cependant présenter un intérêt théorique qui dépasse les besoins de l’enseignement de l’une aux locuteurs natifs de l’autre. L’examen de la fonction syntaxique ‘sujet’, qui représente un élément essentiel de la phrase, fournit un angle d’attaque des problèmes que pose la comparaison de la structure d’une phrase germanique avec celle d’une langue romane comme le français, caractérisé par sa préférence pour le placement du sujet avant le verbe qu’il régit
This linguistic study deals with the syntax of French and Dutch. It aims at analyzing the contrast in the syntactic function ‘subject’ in both languages. It is based on the theoretical framework provided by the French functionalist André Martinet who considers the syntactic functions as ‘linguistic signs’ composed of a ‘signifier’(their aspect) and a ‘signified’(their meaning). It thus starts with assessing the differences in the ‘signifiers’ of the function and goes on with a tentative contrastive analysis of the contents of the function itself, the ‘signified’. This analysis is based on the assumption of a “subjectal configuration” (Lazard 1994) specific to each of the languages in which the notion of subject is relevant.It is an element of the studies conducted in recent years to contrast French and Dutch, usually for teaching purposes. However the theoretical interest of examining the structures of these two languages in which the sentence structure is subject to different rules exceeds the sheer needs of teaching each language to the native speakers of the other. An examination of the syntactic function ‘subject’, which represents an essential element of the sentence, provides a good angle of attack to the tricky comparison between the structures of a Germanic sentence and those of a Roman language such as French, which is characterized by its preference for placing the subject before the verb it governs
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Marcu, Tiberiu. "Constructions temporelles réduites en français moderne." Toulouse 2, 2006. http://www.theses.fr/2006TOU20069.

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Abstract:
La présente thèse propose l’analyse d’une catégorie de structures que nous appelons « constructions temporelles réduites » qui, dans certaines conditions syntaxiques et sémantiques, participent à l’ordonnancement temporel du discours. Les principales caractéristiques de ces structures sont : le caractère de dépendance, le manque de verbe à un temps conjugué, la prédication seconde, la possibilité d’être paraphrasées par une subordonnée temporelle « complète », le fait qu’elles réfèrent à une étape dans un déroulement temporel. Le détachement avant la proposition régissante (très souvent en tête de phrase) est aussi une propriété définitoire pour la délimitation de la classe. Les constructions envisagées sont divisées en deux classes : 1. Constructions à base de préposition plus syntagme nominal ; 2. Constructions détachées à base de participe passé, de nom, d’adjectif, d’adverbiaux de localisation spatiale, de participe présent ou de gérondif
This thesis proposes the analysis of a category of structures that the author terms “reduced temporal constructions”, which, under certain syntactic and semantic conditions, play a role in the temporal arranging of the discourse. The main characteristics of these structures are: the subordination character, the lack of the verb for a conjugated tense, the secondary predication, the possibility of being paraphrased by a “complete” temporal clause, the fact that they refer to a stage within a temporal range. Detachment in front of the main clause (very often at the beginning of the complex sentence) is also a defining feature of delimiting the class. The constructions in view are divided into two classes: 1. Constructions based on preposition plus noun syntagm; 2. Detached constructions based on past participle, noun, adjective, adverbial elements of spatial localisation, present participle or gerund
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Galal, Abdel Wahab Moustafa Mohamed. "Les constructions exceptives du français et de l’arabe : syntaxe et interface sémantique-syntaxe." Thesis, Paris 10, 2019. http://www.theses.fr/2019PA100001/document.

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Abstract:
La présente recherche s’intéresse à la syntaxe des constructions exceptives (CE) et sa correspondance avec la sémantique au sein de deux langues : le français et l’arabe. À partir d’un corpus d’exemples attestés, nous proposons pour le français une classification des CE en deux classes majeures à comportements syntaxiques distincts : les CE-paradigmatiques qui s’apparentent, du point de vue syntaxique, à la coordination et les CE-hypotactiques qui relèvent au contraire de la subordination. Nous situerons notre analyse des marqueurs sauf, excepté, hormis, etc. dans le cadre des listes/entassements paradigmatiques, constructions dans lesquelles deux éléments occupent la même position syntaxique et dont le cas le plus connu est la coordination. Cette analyse s’éloigne de celle généralement associée à ces marqueurs dans les grammaires et les dictionnaires français qui les traitent comme des prépositions. Pour l’arabe, nous proposons une répartition tripartite des CE qui prend en considération les spécificités de l’arabe par rapport au français. En plus des CE-paradigmatiques et des CE-hypotactiques, nous identifions, en arabe, une troisième classe, celle des CE-paratactiques, qui sont des constructions à tête verbale qui relèvent de la parataxe, procédé particulièrement développé en arabe. Nos analyses nous amènent à considérer les marqueurs ʾillā, ġayr et siwā en arabe comme des conjonctions de coordination. Ces items, comme leurs homologues français, mettent en relation deux éléments X et Y où X à droite du marqueur et Y à gauche forment des listes/entassements paradigmatiques au sens où ils partagent la même fonction syntaxique dans l’énoncé. Nous analysons les unités ʿadā (mā-ʿadā), ẖalā (mā-ẖalā), ḥāšā (mā-ḥāšā) comme des verbes. Ces verbes introduisent une proposition qui entretient une relation de parataxe avec la proposition précédente. Nous considérons, enfin, les unités bistiṯnāʾi et biẖilāfi comme des locutions prépositives introduisant une séquence qui entretient une relation de subordination avec la proposition principale
This research takes an interest the syntax of exceptive constructions (ECs) and its correspondence with semantic within two languages: French and Arabic. Based on a corpus of authentic examples, we suggest a classification of ECs into two major categories with dissimilar syntactic behaviors: the paradigmatic-ECs, which are syntactically related to coordination and the hypotactic-ECs, which are contrarily related to subordination. We will focus our analysis on the markers sauf, excepté, hormis, etc. and analyze them as particular case of paradigmatic lists/piles, in which two segments of the utterance pile up on the same syntactic position and whose most famous case is coordination. This analysis is different from the one generally associated with these markers in French grammars and dictionaries which consider them as prepositions. For Arabic, we propose a tripartite classification of ECs that considers the specificities of Arabic relative to French. In addition to the paradigmatic-ECs and the hypotactic-ECs, we identify, in Arabic, a third class, the paratactic-ECs, which are constructions with a verbal head that belong to the parataxis, a process particularly developed in Arabic. Our analyzes lead us to consider the markers ʾillā, ġayr and siwā in Arabic as coordinating conjunctions. These items, like their French counterparts, relate two elements where X on the right of the marker and Y on the left form paradigmatic lists/piles, in the sense that they fulfill the same syntactic function in the utterance. We analyze the lexical items ʿadā (mā-ʿadā), ẖalā (mā-ẖalā), ḥāšā (mā-ḥāšā) as verbs. These verbs introduce a clause that maintains a parataxic relation with the preceding clause. Finally, we consider the items bistiṯnā'i and biẖilāfi as prepositive phrases introducing a sequence that maintains a subordinate relationship with the main clause
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Lafontaine, Fanny. "Description syntaxique des usages de la forme alors que en français contemporain." Thesis, Aix-Marseille, 2015. http://www.theses.fr/2015AIXM3103.

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Abstract:
La parution d’un certain nombre de travaux menés sur les « conjonctions de subordination », Deulofeu (1999a) sur que, Benzitoun (2006a) à propos de quand, Corminboeuf (2009) pour si, Debaisieux (2006) concernant parce que, quoique, puisque et bien que, etc., a permis de rendre justice à la pluralité des fonctionnements syntaxiques des structures ainsi introduites en faisant valoir le fait qu’elles ne peuvent être constamment ramenées à une relation de dépendance grammaticale. C’est dans cette même lignée que s’inscrit ce travail qui a pour objectif de recenser, sur la base de corpus de français parlé et écrit, les différents fonctionnements syntaxiques de la conjonction alors que en français contemporain. Il apparait que les séquences ainsi introduites relèvent de cinq principaux emplois, dont un seul est à considérer comme véritablement « subordonné ». Nous associerons par ailleurs un ou plusieurs effets de sens à chacun de ces emplois
A number of recent studies dealing about the syntactic properties of French subordinating conjunctions such as que (which, who, that) (Deulofeu, 1999a), quand (when) (Benzitoun, 2006a), si (if) (Corminboeuf, 2009) or parce que, quoique, puisque and bien que (because, since, although) (Debaisieux, 2006) have brought an increased awareness of the various grammatical behaviors of such forms, which definitely cannot be reduced to a simple relation of syntactic dependency. Using this approach, the present dissertation will attempt to offer a precise account of the conjunction alors que (whereas) as it is used in spoken and written contemporary French. It will be demonstrated that the constructions introduced by alors que can be classified into five main syntactic types, only one of them presenting a truly “subordinating” effect. In addition to analyzing their specific syntactic structure, our different types will be described according to their particular semantic value
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Feuillard, Colette. "La syntaxe fonctionnelle dans le cadre des théories linguistiques contemporaines." Paris 5, 1989. http://www.theses.fr/1989PA05H037.

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Abstract:
De fonction oppose a celui de cas (cf. Fillmore, Anderson); elle identifie - spécifier le cadre d'étude, phrase, proposition, syntagme, etc. . . , utilises avec les principes d'analyse retenus
The concept of function, as opposed to the notion of case (cf. Fillmore, Anderson, syntagm,moneme, syntaxeme, etc. . . , and to describe the operational procedures
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Ilinski, Kirill. "La syntaxe atypique de la préposition en français." Paris 4, 2000. http://www.theses.fr/2000PA040145.

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Abstract:
La thèse représente une étude de trois structures situées à la périphérie syntaxique de la préposition : les combinaisons prépositionnelles, les prépositions à régime implicite et la tmèse (intercalation d'un élément entre la préposition et son régime). Cette étude est précédée d'une redéfinition de la place de la préposition dans le système des parties du discours dans les termes de la théorie de l'incidence. Les combinaisons prépositionnelles sont considérées comme un phénomène contradictoire où la réalisation de la fonction syntaxique (translative) de la préposition en position droite crée une situation défavorable pour l'intervention de la préposition en position gauche. Les combinaisons prépositionnelles peuvent être reparties en plusieurs catégories selon la solution qui leur permet de résoudre cette contradiction. L'emploi des prépositions à régime implicite est considéré non pas comme un emploi adverbial mais comme un emploi pleinement prépositionnel, car seul le statut prépositionnel permet d'expliquer le déclenchement du mécanisme déictique qui assure l'identification du régime manquant. Pour les prépositions qui refusent ce type d'emploi, on arrive à définir, cas par cas, les raisons du refus. La tmèse appartient à la syntaxe atypique dans la mesure où la préposition présente, en général, un haut degré de cohésion avec son régime. On peut distinguer trois types de tmèse selon l'élément dont l'influence est décisive pour le choix de la construction : l'élément intercalé, le régime et la préposition. Dans ce dernier cas, on observe une participation extrêmement inégale des différentes prépositions aux tmèses, certainement liée à leurs particularités lexico-sémantiques. Sur le plan général, l'étude des trois structures en question a notamment permis de constater l'importance du rôle que peuvent jouer, dans la syntaxe atypique d'une partie du discours, les interactions contradictoires entre la signification lexicale et la signification grammaticale du mot.
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Kim-Gautier, Miran. "Constructions de "ça" générique : syntaxe et sémantique." Strasbourg 2, 2007. https://publication-theses.unistra.fr/restreint/theses_doctorat/2007/KIM-GAUTIER_Miran_2007.pdf.

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Abstract:
Cette thèse a pour objectif principal d'aborder les problèmes que soulève la construction de ça générique et de montrer ses particularités en nous appuyant sur le pronom démonstratif ça. Dans la première partie, nous montrons le statut de ça comme pronom démonstratif anaphorique, plus précisément les grandes variations des aspects déictique et anaphorique de ce pronom -après avoir précisé le sens du démonstratif ça. - Nous étudions également la dislocation (gauche ou droite) et la topicalisation ainsi que la connotation. La deuxième partie aborde les relations entre les syntagmes nominaux et ça. Après avoir vu les articles génériques classiques les, le et un et leurs possibilités combinatoires avec ça, nous élargissons le domaine d'application de ça à d'autres quantificateurs partitifs -des, du, certains, plusieurs, quelques, beaucoup de, aux numéraux et même aux adjectifs démonstratifs. Enfin nous comparons la construction de ça générique avec d'autres constructions : il y a. . Qui et c'est. . . Qui
The main goal of this thesis is to approach the problems which raise the construction of generic ça and to show its particularity with supporting the demonstrative pronoun ça. In the first part, we will show the status of ça as an anaphoric demonstrative pronoun. More exactly, a great variety of deictic and anaphoric aspects of this pronoun, having specified the meaning of the demonstrative ça. We study also (left or right) dislocation, topicalisation, and connotation. The second part approaches the relations between the NPs and ça. After looking the classical generic articles les, le and un as well as their combinative possibility with ça, we enlarge the application's domain of ça to other partitive quantifiers -des, du, certains, plusieurs, quelques, beaucoup de, to numerals and even to the demonstrative adjectifs. Finally, we compare the construction of generic ça with other construction : il y a. . . Qui et c'est. . . Qui
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Bruno, Christophe. "Les survivances du vocatif dans le français parlé." Phd thesis, Toulon, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00958810.

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Abstract:
Les récents modèles d'intonation du français (Philippe Martin) ont mis en évidence l'existence d'une macro-syntaxe du discours à l'oral (Blanche-Benveniste). L'application de ces modèles à la tournure rhétorique appelée " apostrophe " apporte plusieurs éclairages sur le fonctionnement de cette tournure. Notamment, elle permet d'expliquer la distinction entre apostrophe référentielle (du type de l'appel) et apostrophe prédicative (du type de l'insulte). Fort de ces résultats, l'étude de la parole parlée fournit alors un compendium d'observations et d'outils applicables au matériel de la linguistique historique.
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Skrovec, Marie. "Répétitions : entre syntaxe en temps réel et rhétorique ordinaire." Aix-Marseille 1, 2010. http://www.theses.fr/2010AIX10078.

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Abstract:
Cette étude vise l'examen de différentes stratégies d'élaboration textuelle mises en place par les locuteurs dans les interactions orales en français. Nous y décrivons plus précisément celles qui reposent sur la répétition de matériel verbal (répétitions de matériel syntaxique et lexical). L'approche adoptée tient compte des conditions spécifiques de la structuration des produtions en temps réel, soumises à des contraintes liées à l'immédiateté du travail de formulation en interaction. Nous montrons comment des techniques telles que les parallélismes, les listes, les reformulations, les rétractions sont utilisées par les locuteurs comme ressources de rhétorique ordinaire pour garantir la cohésion et la bonne formation des productions et assurer la synchronisation des échanges. Cet examen, qui se conçoit comme une contribution à l'étude de la syntaxe à l'oral, nous donne l'occasion de décrire des formats spécifiques d'organisation discursive caractérisés par la présence de répétitions. L'accent est mis sur le français parlé dans différents types d'interaction : conversations informelles dans un cadre privé, échanges en contexte professionnel (réunions de travail, entretiens d'embauche), récits d'expérience, interviews radiophoniques et télévisées.
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Niyongabo-Ndayisaba, Marie-Florida. "Sémio-syntaxe comparée du français et du kirundi." Tours, 1999. http://www.theses.fr/1999TOUR2012.

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Abstract:
Cette étude consacrée à la sémio-syntaxe du kirundi est menée dans une perspective fonctionnaliste, mais également inspirée de la théorie des opérations énonciatives. La démarche entend relier les phénomènes de forme à ceux du contenu. Il a été ainsi abordé les points suivants : l'actualisation des notions nominales et leur détermination : le système des classes, le problème de l'augment et des déterminants, les structures complétives et qualificatives ; les notions verbales et la part des dérivatifs dans les relations inter-actants ; - le verbe -ri et ses valeurs dans les relations prédicatives (la qualification, la possession la localisation et la relation existentielle). L’auteur, qui enseigne la grammaire française à l'université de Bujumbura, a jugé nécessaire de faire ce voyage au cœur de sa langue maternelle (qui est aussi celle de ses étudiants) afin de mieux appréhender les mécanismes qui caractérisent tout langage humain et ainsi mieux comprendre les phénomènes qui sous-tendent les difficultés liées à l'apprentissage d'une langue étrangère. Sans être, à proprement parler, une étude "contrastive", la thèse compare régulièrement les structures dégagées en kirundi à celles du français.
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Coiffet, Benoît. "Étude des emplois de l'adjectif invarié en français." Thesis, Toulouse 2, 2018. http://www.theses.fr/2018TOU20057/document.

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Abstract:
Dans cette étude, nous analysons des combinaisons formées d’un verbe à droite duquel se trouve un adjectif invarié (du type manger + bio, acheter français). Dans cette position, il est incident au verbe d’un point de vue syntaxique. Cependant, en tant qu’élément caractérisant, il requiert sémantiquement des éléments supports, mais ceux-ci sont systématiquement absents de l’énoncé. L’absence de ces supports sémantiques entraîne son invariabilité, et c’est la raison pour laquelle on propose de parler d’adjectif « invarié ». On peut par ailleurs constater que l’adjectif, dans cet environnement syntaxique, fonctionne comme un adverbe, unité de langue avec lequel il partage cette position prototypique à droite du verbe. Il apparaît que dans ce contexte syntaxique, l’adjectif invarié peut porter sur plusieurs éléments. Dans certains cas, il peut s’agir d’éléments appartenant à la structure argumentale du verbe, tels que l’objet non exprimé ; dans d’autres cas, il peut porter sur des éléments qui n’appartiennent pas forcément à la structure argumentale (dans une combinaison du type pédaler + utile). Dans cette étude, nous postulons qu’il peut alors être complément de manière
In this study, we analyze verb combinations formed by placing an adjective to the right of a verb (such as "to eat organic" or "to buy French"). Placed in this position, the adjective is incidental to the verb from a syntactical point of view. However, as a defining element, it requires supporting elements, which are systematically absent from the statement. The absence of these semantical supports causes the adjective to be grammatically invariable, and for that reason, we speak of "invariable" adjectives. It can be maintained that, in this syntactical environment, an adjective finds itself in the place of another linguistic structure of which it is the prototypical function and with which it appears to be in competition: the adverb.It appears that, in this syntactical contest, an invariable adjective bears upon several elements. In certain cases, it can be a matter of elements belonging to the argumental structure of the verb, such as the unexpressed object. In other cases, it can involve elements that do not necessarily belong to the argumental structure (as in the combination "to bike + useful"). In this study, we postulate that it can thus be a complement describing the manner
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Jung, Kyunghee. "Etude syntaxique de la proposition pour." Paris 13, 1992. http://www.theses.fr/1992PA131019.

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Abstract:
Cette these a pour but de decrire la preposition "pour" dans le cadre du lexique-grammaire. Au titre du principe de la suite la plus longue, la preposition est etudiee dans le cadre de la phrase. Un premier goupe d'emplois etudie les complements en pour d'un operateur (verbe, nom, adjectif) : la preposition y joue le role d'un indicateur d'arguments. Dans la description, on s'est servi de la notion de "classes d'objets" pour illustrer la nature semantique des operatuers. La seconde partie est consacree aux complements circonstanciels introduits par pour. On a mis l'accent sur les substantifs classifieurs de modalite pour rendre compte de la construction. En cas d'absence de ce substantif en surface, on a prefere operer une restitution plutot que de postuler un emploi predicatif de la preposition. Sont etudiees enfin toutes les strucutres figees mettant en jeu la prepostion pour
This thesis aims to describe the french preposition pour, which will be considered as a lexico-grammatical item. Following the principle of the largest number of arguments, the study examines the proposition at the level of sentence structure. A category of uses is first examined in which the phrase introduced by pour is complement to an operator (either a verb, a noun or an adjective), and it is shown thaht the preposition plays the part of an argument indicator. The concept "objet classes" is used to illustrate the semantic nature of the operators. The second part deals with adverbial phrases introduced by pour. The role of classifying nominale of modality is emphasized. Whenever such a nominal is not present in the surface structure, the deletion hypothesis has been prefered to postulation a predicative us of the preposition. The last part examines the structures of those set phrases which are formed with the preposition pour
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Leem, Jaiho. "Les "petites propositions" en français contemporain : syntaxe et interprétation." Paris 10, 2001. http://www.theses.fr/2001PA100039.

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Abstract:
Cette thèse concerne un certain nombre de problèmes touchant les "petites propositions" en français contemporain. Les conclusions de notre étude menée dans le cadre théorique de la "théorie spatiale de la syntaxe" sont entre autres les suivantes (I) La phrase n'est pas par définition verbale : elle peut être non seulement verbale, mais aussi nominale (S --> GNGV ou GN-GPréd (Préd est non verbal)). (II) La petite proposition n'est rien d'autre que la phrase nominale. Celle-ci peut apparaître sous la forme indépendante dans un contexte spécifique tel qu'un titre d'article du journal, et dans ce cas, elle s'organise dans le domaine syntaxique Sn(ominal). La phrase nominale peut occuper aussi la position syntaxique réservée au complément du verbe (la phrase nominale peut occuper soit la position GN du complément proche du verbe soit la position Sn du complément éloigné du verbe) ou la position GN du complément de la préposition avec dans la construction absolue introduite par cette préposition. Pourtant, la phrase nominale ne peut occuper la position de sujet d'une phrase. (III) Lorsque la position de sujet de la petite proposition est vide, la copule peut se présenter optionnellement dans cette position. C'est un élément redondant, mais son apparition peut produire un effet sémantique. (IV) Le manque du temps autonome dans la petite proposition est la conséquence de l'absence de la position GV dans la forme de la phrase nominale. Dépourvue de forme temporelle du verbe, la petite proposition est associée à l'interprétation "purement" prédicative. L'interprétation prédicative associée à la petite proposition est la propriété domaniale de S ou GN réalisée avec le concours des membres de ce domaine qui sont juxtaposés. (V) Il y a des constructions qui sont associées à l'interprétation prédicative sans constituer une unité syntaxique (ex. Le système de complémentation appelé par le verbe trouver). Ces constructions s'organisent dans un "domaine syntaxique purement domanial"
This dissertation is concerned with small clauses in contemporary French. The conclusions of our study in the framework of the `spatial theory of syntax' are among other things as follows :(I) The sentence is not verbal by definition : it can be verbal, but nominal as well (i. E. S --> NP-VP or NP-Pred(icate)P (Pred is not verbal)). (II) Small clauses are nominal sentences. They can occur as independent clauses in specific contexts such as newspaper headlines or rudimentary speech, and in this case, they are organized in the Sn(ominal) syntactic domain. Also, nominal sentenses can occupy the verb complement position (more precisely, they can occupy either verb 'near complement' position (NP), or verb `distant complement' position (Sn}) and the complement position of the preposition avec (NP) in the absolute construction introduced by this preposition. On the other hand, nominal sentences cannot occupy the subject position of a sentence. (III) When the subject position of a small clause is empty, the copula may fill this position. It is a redundant element, but its presence can produce a semantic effet. (IV) The absence of the autonomous tense in small clauses is a consequence of the lack of the VP position in the structure of nominal sentences. This is why small clauses are associated with a “purely” predicative interpretation. As for the predicative interpretation associated with small clauses, it is the property of the domain S or NP achieved by the members of this domain which constitute the structural order of juxtaposition. (V) The agreement observed in small clauses is the morphological form marking the predication relation between two members of small clauses, subject and predicate. (VI) There are constructions associated with the predicative interpretation which don't form a constituent (e. G. The complement structure of the verb trouver). These constructions are organized in the “purely domanial syntactic domain”
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Gavriilidou, Zoé. "Etude comparée des suites NN en français et en grec : élaboration d'un lexique bilingue." Paris 13, 1997. http://www.theses.fr/1997PA131024.

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Abstract:
Cette recherche est consacree a l'etude des suites nn comme voyage-eclair, @@@@@-@@@@@@@ 'loi-cadre' ; elle s'inscrit dans la perspective de l'elaboration d'un dictionnaire electronique bilingue (francais-grec) de ces suites. L'etude est divisee en dix chapitres. Dans le premier, nous etudions la notion de composition et de figement et nous proposons une typologie des composes nominaux en grec. Le second est consacre a l'etude de la notion de tete, du role du trait d'union dans les nn et de l'origine de ce modele. Enfin, nous situons la construction des suites nn par rapport aux modules syntaxique et morphologique. Dans le troisieme chapitre, nous presentons une classification des suites nn(a l'aide de criteres syntaxiques), qui comprend trois branches : la. Coordination, l'attribution et la complementation. Les quatrieme et cinquieme chapitres etudient chaque classe en detail. La structure de notre dictionnaire electronique est presentee dans le sixieme chapitre. Dans le septieme chapitre, nous decrivons les suites nn predicatives. Les suites nn non predicatives sont etudiees dans le huitieme chapitre. Dans le neuvieme chapitre nous etudions la dimension referentielle des suites nn et leur fonction denominative. Nous etudions aussi les relations hypo-/hyperonymiques ou tautologiques qui existent entre n1 et n2 et l'antonymie ou la synonymie eventuelle parmi les seconds elements des nn. Dans le dernier chapitre, nous posons quelques problemes concernant la didactique des suites nn. Nous avons eu recours au cadre theorique du lexique-grammaire (gross m. 1975), pour decrire le comportement syntaxique des suites nn predicatives. Nous avons introduit les nn predicatifs dans des phrases elementaires actualisees par les principaux verbes supports. Le modele de classes d'objets (g. Gross 1994) nous a aide de decrire les suites nn non predicatives et de formuler de regles concernant la productivite et la compatibilite semantique entre n1 et n2. Nous avons adopte le meme modele comme outil pedagogique dans la didactique de ces suites. Le degre de figement nous a permis de concevoir la formation des suites nn comme un phenomene dynamique. Enfin, la theorie du prototype nous a offert les moyens theoriques pour etudier la relation metaphorique qui existe parfois entre les n1 et n2 d'une suite nn
In this phd thesis we have tried to investigate double noun constructions (dncs) e. G. Question-cle 'key question'. @@@@@-@@@@@@@ 'frame-law' in french and greek. Our aim was to arrive to an automatic treatment of this kind of constructions. We also elaborated a bilingual electronic dictionary (french-greek) of dncs. We first undertook a general linguistic description of dncs from a morphological, syntactic and semantic point of view. The first chapter deals with the notion of compounding and lexicalization in french and greek. In the second chapter we examine the notion of head, the origin of the model and the presence of hyphen between n1 and n2. In the third chapter we propose a categorization of dnc which presents three branches : coordinative, attributive and complementive constructions. Each class presents distinct semantic and syntactic properties. This categorization together with the formalization of information concerning dncs is necessary for their automatic treatment. The fourth and fifth chapters describe the proposed categorisation in detail. In the sixth chapter we present the structure of our data base. The seventh chapter deals with the syntactic behavior of predicative dncs. In the eighth chapter we present non predicative dnc. S the ninth chapter describes dncs from a semantic point of view. Finally, the tenth chapter contains a didactic or teaching approach to dncs. The theoretical framework of lexicon-grammar elaborated by m. Gross has helped us to describe - in a formalized way - the syntactic behavior of predicative dncs. We have also used the theoretical model of object classes proposed by g. Gross in order to describe non-predicative dncs. The same model makes it possible to formulate rules concerning productivity and semantic compatibility between the first and second elements of dncs. Finally, we studied metaphorical dncs in terms of prototype theory
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Mahmudova, Sabina. "Analyses linguistiques des proverbes français et azerbaïdjanais." Thesis, Strasbourg, 2012. http://www.theses.fr/2012STRAC008.

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Abstract:
Chaque langue possède une série de pensées ordinaires, comme une sorte de mémoire de tradition intériorisée. Le proverbe ouvre une fenêtre sur la conscience collective d’une communauté, sa mentalité, ses habitudes et ses traditions sans oublier son contexte géographique.Les proverbes sont là depuis toujours, et dans toutes les civilisations. Ils étaient même rapprochés des lois ou des textes religieux, un des livres de la Bible est justement intitulé Livre des Proverbes. Même si cela n’a rien à voir avec les proverbes que tout le monde connait actuellement, on ne peut pas nier le fait que les proverbes sont chargés de transmettre une expérience ancienne. Ils sont cités par les grands philosophes et écrivains de tous les temps : les sophistes à Athènes, les rhéteurs à Rome confirmaient l’intérêt de la culture savante pour les proverbes populaires. C’est justement cet intérêt qui a incité à faire des recueils de proverbes dans de très nombreux pays. Les proverbes font leur entrée partout, dans l’espace professionnel et domestique, ou lors d’une conversation entre amis. En d’autres termes, la fréquence de leur utilisation au quotidien est élevée. Ainsi représentent-ils une approche profonde d’une culture étrangère en nous permettant de découvrir de nombreux aspects culturels de tel ou tel pays et également de faire une comparaison avec nos propres proverbes. Avec le temps et l’évolution des sciences, la question des formes sentencieuses et notamment celle du proverbe a commencé à connaître une faveur particulière dans différentes sciences humaines intéressées aux faits de langage. Les anthropologues, les sociologues, les folkloristes les ont pris comme objet d’étude
The proverb, a simple but at the same time enigmatic linguistic form, is the one of the oldest genres. This is a form of the oral speech existing in all cultures of the world. The use of proverbs in the spoken language enriches the speech, and their illocutionary power in human communication is still striking. Proverbs have long been neglected by linguists, as in the course of time they were considered as frozen expressions and have not arose any particular interest in terms of language.This research paper emphasizes the study of linguistic, particularly semantic influence of proverbs in the oral speech; our task is the study of specific features of proverbs in French and Azerbaijani and their comparison. The first part of the paper is actually theoretical. During examination of various issues, specifically metaphoricalness, semantics, argumentation, and universality as well as artistic and cultural aspects of the mode, there are revealed the definitive and prototypical features of the proverbial speech.The second part is devoted to the comparative analysis of French and Azerbaijani proverbs from the perspective of intercultural parmioligy. The comparison was carried out mainly at the syntactic and semantic levels and applied to two lists of proverbs (chapters I-III). In the fourth and final chapter entitled « Problems of translation and equivalence » is researched the possibility of obtaining of a semantic equivalence in the analysis of paremies in various working languages. We therefore had recourse to use of images - the linguistic means which bring to light a number of representations of an extra-linguistic reality. The paper ends with the conclusion of the research; an attachment including two detailed lists of Azerbaijani and French proverbs and a bibliography containing the articles, papers and web sites referred to
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Kerfelec, Valérie. "L'exclamation : syntaxe, sémantique, pragmatique en anglais et en français." Paris 4, 2002. http://www.theses.fr/2002PA040148.

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Abstract:
La disparité, en nombre et qualité, des 'exemples exclamatifs' donnés par les ouvrages de référence ou le locuteur nai͏̈f interrogé, montre qu'il existe sur cette question ,bien au-delà des confusions habituelles générées par des étiquettes traditionnelles discutables, un décalage assez unique entre la certitude de pouvoir nommer et l'aptitude effective à délimiter. Partant de ce constat , l'objet de notre recherche est de proposer une théorie du fonctionnement de l'exclamation et non pas seulement de l'exclamation ,c'est-à-dire de s'intéresser au phénomène sans perdre de vue les formes qui le composent, de tenter de comprendre comment l'on passe de l'exclamation aux exclamatives. S'appuyant sur un corpus de 672 exemples qui intègre les divergences constatées et sur une phase de lecture critique de la littérature existante sur la question , l'analyse , qui regroupe ainsi les formes et les hypothèses, essaie d'en faire à la fois le tri et la synthèse puis d'innover, pour généraliser et aboutir à une idée possible de ce qu'est , en intension et en extension , l'exclamation
The 'exclamatory examples' given by linguistic and grammatical reference books or even by native speakers when asked are extremely varied in number and quality. This goes well beyond the usual confusions typically brought about by the categories of Traditional Grammar. Eventually one has to admit there exists a wide gap between how confident the speaker feels about naming proper forms and how uncertain the actual contours of the category are. Accordingly the aim of our research is not so much to design a theory of exclamation as to understand the way it functions. This implies investigating the phenomenon without losing sight of the forms that make it up and considering how one proceeds from exclamation to exclamations and exclamatory sentences. The analysis is based on a corpus of 672 examples illustrating all the disparities observed and includes critical reading of past and current literature on the subject. All the forms and hypotheses that can be met with being thus gathered , the analysis tries to select among them or synthesize them. It generalizes whenever possible but is mainly set on discriminating and classifying , so as to come to a better understanding of what exclamation can possibly be both in extension and intention
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Stanojevic, Veran. "Syntaxe et sémantique des noms de nombre en français." Paris 7, 2004. http://www.theses.fr/2004PA070011.

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Abstract:
Le but de cette thèse est d'offrir un traitement sémantique formel des noms de nombre en français. L'analyse syntaxique montre qu'en français les noms de nombre occupent la position de spécificateur de la projection du nombre. On analyse trois types d'interprétation des noms de nombre : quantificationnelle, référentielle et l'approche par ambigui͏̈té. La distinction entre les noms de nombre nus et modifiés est abordée dans le cadre de la Théorie des quantifieurs généralisés. La distinction entre information totale et information partielle montre que les noms de nombre sont les seuls indicateurs d'informations partielles dans le modèle. Le traitement de syntagmes nominaux pluriels introduits par un nom de nombre montre que ce dernier est sous-déterminé vis-à-vis de la distinction collectif-distributif. J'aborde le problème de surgénération concernant le traitement de la quantification multiple en incorporant dans mon système la théorie de la Forme logique de Beghelli et Stowell
The goal of this thesis is a formal-semantic treatment of numerals. The syntactic analysis shows that numerals in French seize the position of specifiers of numeral projection. I claim that the numeral projection is enough for a semantic treatment. I analyze three types of approach concerning the interpretation of indefinites: a quantifying approach, a reference one and the approach by ambiguity. I try, within the Generalized Quantifier Theory, to define the difference between bare and modified numerals. The opposition between the total and partial information, shows that numerals are the only indicators of partial information in the model. The treatment of plural phrases introduced by a numeral proves that numerals are not specified as for the opposition collective-distributive. I approach the problem of overgeneration faced by the standard approaches at the treatment of multiple quantification by incorporating in my system the theory of logical form of Beghelli and Stowell
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Feuillet, Jean. "Relativisation, parataxe et syntaxe en occitan et en français." Paris 8, 2003. http://www.theses.fr/2003PA082208.

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Abstract:
Cette thèse est née d'un triple intérêt : intérêt pour la linguistique et la dialectologie romanes : on y propose de ramener la fragmentation dont l'occitan a fait l'objet à la Renaissance à un abandon - graduel si l'on considère l'Occitanie du Nord au Sud - de l'enclise ; intérêt pour la psychanalyse : dans la structure et la morphologie des impératives, dans le fait qu'une forme verbale non marquée est nécessairement rapportée à un allocutaire et que sa valeur descriptive dépend de ce rapport, on voit la preuve que le langage a un fonctionnement tout autant indiciel que symbolique (et l'on donne un sens particulier au Principe de Projection Etendu de Chomsky) ; intérêt pour les faits intonatifs : dans la possibilité d'asserter de manière conjointe la juxtaposition ils se sont levés, il était six heures, de lui donner la signification " quand ils se sont levés, il était six heures " ou au contraire " ils se sont levés, puisqu'il était six heures " en y focalisant - respectivement - la seconde ou la première proposition, on reconnaît une dimension discursive - temporelle - à l'énoncé. Selon la première éventualité évoquée, c'est son contexte réel - son point d'insertion dans une chaîne événementielle particulière - qui se trouve représenté au sein de la proposition assertée (cf. , pour un rapport de contigui͏̈té stricte plutôt que de superposition dans la suite narrative, ils se sont levés, personne n'a réagi). Dans le second cas, la proposition adjointe, terme subséquent, ne se confond pas avec le contexte immédiat : son lien avec la principale est présupposé de manière absolue, relève de la causalité. Une analyse poussée de la structuration prosodique des énoncés - une analyse totalement indépendante de la ponctuation - témoigne aussi de leur inscription dans le temps. Les limitations opposées au détachement des compléments temporels montrent que ceux-ci portent sur des séquences globales plutôt que sur des constituants. La dislocation enjoint d'ailleurs de définir, en parallèle, deux modes d'identification des référents ordinaires : l'un, ensembliste, lié à la rection (et variant minimalement de langue à langue, en fonction de l'enclise notamment), l'autre, binaire, oppositif, caractérisant les partitifs, voire les pronoms personnels, les vocatifs. Toutes vues offrant un cadre, au final, à une description des relatives
This thesis is born of a triple interest : - an interest in Romance linguistics and dialectology : I propose to ascribe the fragmentation of Occitan in the Renaissance to an abandonment, appearing gradual when considering Occitania from North to South, of enclisis. - An interest in psychoanalysis : in the structure and morphology of imperatives, in the fact that an unmarked verbal form is necessarily related to an address and that its descriptive value depends on that relation, I see evidence that language functions in an indicial as well as in a symbolic way (and I give a particular meaning to Chomsky's Extended Projection Principle). - An interest in intonation facts : in the possibility of asserting the juxtaposition they got up, it was six conjointly, of giving it the meaning " when they got up, it was six " or on the contrary " they got up, since it was six " by focusing the second and the first clause - respectively, I recognize a discursive - temporal - dimension to sentences. According to the first eventuality, its real context - its point of insertion within a particular chain of events - is being represented in the asserted clause (cf. , for a relation of strict contiguity rather than superposition in the narrative sequence, they got up, no one reacted). In the second case, the adjunct clause, as a subsequent term, cannot coincide with the immediate context : its link with the main clause is presupposed in an absolute way, is representative of causality. A thorough analysis of the prosodic structuring of sentences - an analysis totally independent of punctuation - bears testimony as well to their inscription in time. The constraints known by the dislocation of temporal complements show that these latter are related to global sequences rather than to constituents. Dislocation also leads to the parallel definition of two ways of identifying ordinary references : one, corresponding to the logic of sets, bound to government (and varying minimally across tongues, according to enclisis in particular), the other, binary, oppositional, characterizing partitives, or even personal pronouns and vocatives. All these views offering a frame, eventually, for a description of relative clauses
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Soulet, Valérie. "Les énoncés averbaux en français et en anglais : conditions d’occurrence, interprétations, traductions et recherche d’un invariant." Thesis, Bordeaux 3, 2016. http://www.theses.fr/2016BOR30048/document.

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Abstract:
Le but de cette thèse est d’apporter un éclairage nouveau sur la prédication averbale en français et en anglais, essentiellement dans le cadre théorique de la TOE. Le choix a donc été fait de parler d’énoncés averbaux plutôt que de phrases averbales. Après un important travail de définition des énoncés averbaux (que nous distinguons de l’ellipse, de l’apposition et de la prédication seconde) nous présentons les divers types d’énoncés averbaux et examinons la diversité des conditions d’occurrences dans lesquelles ils sont employés (discours littéraire et journalistique, discours muséal, contexte de signalisation, discours publicitaire), tout en ayant comme objectif la mise au jour d’un dénominateur commun, quel que soit le type de discours. Nous dressons la liste des principales différences de fonctionnement entre les deux langues, nous mettons en avant la nécessité de dépasser la typologie courante pour aboutir à un continuum interprétatif. Nous mettons en avant la dimension dialogique des énoncés averbaux ainsi que leur lien avec le présent et donc avec les paramètres qui constituent la situation d’énonciation et l’extralinguistique. Nous employons la métaphore de la proximité pour définir les relations entre l’énonciateur et divers éléments que sont l’extralinguistique, le co-énonciateur, la modalité et le contenu propositionnel des énoncés averbaux
Our aim in this dissertation is to shed new light on verbless predication in English and French, within the theoretical framework developed by Antoine Culioli (TOE). The focus is accordingly on verbless utterances rather than verbless sentences. A general definition of verbless utterances is first given. These should not be confused with elliptical constructions, apposition and secondary predication. A typology of verbless utterances is first set up. We then provide a characterization of the different discourse types in which they occur (literature, news media, museum texts and captions, signposting, advertising). Verbless utterances, it is shown, share common, stable features, irrespective of their use and interpretation. Syntactic differences between English and French are outlined. The need for an interpretative continuum is highlighted. So is the need to underscore the dialogical dimension of verbless utterances, as well as their crucial connection to the present, i.e. to the speech situation and implied contextual parameters. The metaphorical concept of proximity is applied to describe the relationship between the speaker and the extralinguistic situation, the addressee, the modality and the propositional content of the verbless utterance
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Richard, Élisabeth. "La répétition : syntaxe et interprétation." Brest, 2000. http://www.theses.fr/2000BRES1015.

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Abstract:
La thèse envisage la répétition sous le double aspect de ses formes syntaxiques et de leurs contreparties interprétatives. La premièer partie passe en revue les différentes acceptions du terme répétition, en différenciant les reprises grammaticales, référentielles et sémiques. La répétition est alors redéfinie comme le "retour à l'identique d'un élément lexical au sein d'une même proposition ou, à la rigueur, de deux propositions successives". La seconde partie est consacrée aux tautologies attributives et disjonctives qui marquent des distinguos notionnels ; la troisième aux redoublements d'adverbes, d'adjectifs, de verbes, de propositions qui signalent une intensification ; et la dernière, aux répétitions de recentrage qui trahissent, chez le locuteur, une volonté d'ajuster son discours à ses intentions communicatives. L'ensemble de la thèse démontre que la répétition est une affaire de parcours : la répétition montre et dit le parcours de toutes les caractéristiques possibles d'un X sans en élire une particulièrement. Côté réception, par la répétition du même, le locuteur force la très lourde responsabilité de prendre à sa charge la totale réinterprétation de l'énoncé. La rhétorique voyait dans la répétition une émotion, la thèse met en avant un moyen argumentatif des plus puissants pour dire sans dire.
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Bélanger, Alain. "Le problème des groupes N de N et sa solution en lexique-grammaire : les constructions NO avoir Dét Na de Nb W." Paris 13, 1997. http://www.theses.fr/1997PA131023.

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Abstract:
Cette etude pose le probleme de la representation linguistique des, groupes n de n predicatifs en francais contemporain dans le cadre theorique et methodologique du lexique-grammaire (m. Gross 1975; z. Harris 1976, 1991). La solution adoptee en lexique-grammaire (g. Gross 1987, 1988) pose que des milliers de groupes n de n ont le statut de mot compose et qu'ils doivent recevoir, par consequent, un traitement lexicographique correspondant a celui des mots simples. L'examen des faits linguistiques a partir de la theorie harrissienne, sur laquelle est base le lexique-grammaire, revele que les groupes predicatifs a verbe support avoir entretiennent diverses relations d'equivalence avec d'autres constructions. Que leurs elements composants peuvent recevoir certains modifieurs et que le premier nom du groupe binominal est le noyau predicatif qui determine la structure d'argument de la phrase qu'il domine. Cette analyse est correlee par les etudes effectuees sur les mots composes qui aboutissent a la conclusion commune qu'il n'existe aucun critere formel qui permettrait d'identifier, dans l'ensemble des groupes n de n, ceux qui sont des mots composes et que cette identification repose donc sur des appreciations personnelles. Nous legitimons ainsi un nouveau programme de recherche documentaire consistant a reconnaitre, dans l'ensemble des groupes n de n predicatifs, ceux qui entrent dans un sous-systeme de relations d'equivalence. Ce sous-ensemble recevra alors un traitement lexico-syntaxique et non purement lexical. Les groupes binominaux predicatifs echappant a ce systeme de relations recevront quant a eux un traitement lexical en tenant compte toutefois que ce systeme relationnel exerce a tout moment une pression pouvant conduire ces derniers a etre reanalyses syntaxiquement
This work deals with the linguistic representation problem of n de n predicative groups in contemporary franch in the theoretical and methodological framework of lexicon-grammar (m. Gross 1975; z. Harris 1976, 1991). The solution adopted in lexicon-grammar (g. Gross 1987, 1988) establishes that thousands of n de n groups are compound words and that they must receive the same lexicographic treatment as the simple words. The analysis of linguistic facts in the harrissan theoretical framework, on which lexicon-grammar is based, shows that the predicative groups with the carrier verb avoir present various relations of equivalence with others constructions, that their components can receive modifyers and that the first noun of the group is the predicative nucleus which selects the arguments of the sentence. This analysis is correlated of the studies realized on compound words : there is not any formal criterion which permits to identify, in the n de n group set, the groups which are compounds nouns. This identification is just based on personal judgements. We licence in this manner a new documentary research program which consists of recognizing, in the n de n groups set, the groups which incorporate an equivalence relations sub-system. This set will receive a lexico-syntactic treatment and not just a lexical one. The others will be inserted in the dictionnary and in the lexicon-grammars with precaution, because this relational sub-system experts a systematic pression on the language which can result its reanalysis as nominal groups
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Zhang, Hua. "Syntaxe chinoise et méthodes comparatives en syntaxe et sémantique des langues chinoise, française et anglaise." Paris, EHESS, 1991. http://www.theses.fr/1991EHES0313.

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Abstract:
Les methodes comparatives s'utilisent dans l'examen des syntaxes chinoises, francaise et anglaise. Une analyse systematique des phrases noyaux et des phrases simples des 1900 verbes chinois usuels se concentre sur l'ordre des mots et leur role semantique. Chaque verbe est soumis a un test sur 9 possibilites concernant le sujet, 14 possibilites concernant le complement d'objet. A chacun de ces cas syntaxiques et ou semantiques est consacre un chapitre pour une discussion de leur raison d'existence et de recherche de leurs equivalences francaises et anglaises. Ce qui montre que les linguistes chinois et occidentaux ont des notions tres differentes des termes grammaticaux comme le sujet et le complement d'objet, d'ou une source importante de confusion et d'incomprehension entre eux. La comparaison entre les 17 verbes auxiliaires chinois et les modalites francaise et anglaise occupe aussi une place. Un test soumet egalement chacun des 1900 verbes sur la possiblite d'acceptation sur 6 aspects d'actions et 7 complements verbaux representes par un ou deux ideogrammes, grace auxquels la syntaxe chinoise est plus concise, stable et reguliere que celle des deux autres langues qui doivent recourir a une serie de changements morphologiques et syntaxiques pour faire passer le meme message. D'ou le chinois est une langue semantique, dont la structure predominante est : l'agent, le verbe et le patient. N'est-ce pas un trait des universaux du langage et une des exigences fondamentales d'une langue "pivot"?
The comparative methods are used to examine the syntax of the chinese, french and english languages. A systematic analysis of nuclear sentences and simple ones of 1900 common chinese verbs concentrates on the order of the words and their semantic role. Each verb is submitted to a test of 9 possibilities in the subject and 14 possibilities in the object. To each of these syntatic and or semantic cases is given one chapter to discuss wy it exists and what its french and english equivalences should be. That shows the chinese and western linguists have very different knowledge of grammatical terms like subject and object, the reason from there so much confusion and misunderstanding between them. A comparison of 17 chinese auxiliary verbs to the french and english modalities holds a plac as well. We submit also each of 1900 verbs to a test of the acceptation possibility of 6 action aspects and 7 verbal complements, represented by one or two ideograms, because of them the chinese syntax is more concise, stable and regular than the french or english syntax, which must appeal to a great number of morphological and syntactic changes to express the same meaning. That is why chinese is a semantic language, whose the prevailing structure is : agent, verb and patient. Isn't that a feature of linguistic universals and one of the basic requirements of a "pivot" language?
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Henkel, Daniel. "L'adjectif en anglais et en français : Syntaxe, Sémantique et Traduction." Thesis, Paris 4, 2014. http://www.theses.fr/2014PA040185.

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Abstract:
La position défendue ici est que l'étude quantitative parallèle d'un phénomène linguistique, effectuée dans desconditions identiques, permet de mieux comparer deux systèmes linguistiques que l'étude du mêmephénomène en traduction. En l'occurrence, ce sont les catégories adjectivales de l'anglais et du français quiont été étudiées. Des critères d'identification communs ont été définis dans une perspective typologique.Ensuite, dans deux corpus bilingues traduits de 10 000 mots chacun, environ 1 800 SN ont été recensés etétiquetés manuellement dans chaque langue comme étant sans épithète ni attribut, ou bien avec épithète, oubien avec attribut, ou bien les deux en même temps. D'autres paramètres contextuels (déterminant, fonctionsyntaxique du SN, présence de SP et/ou de relatives, gradation, classe sémantique du nom recteur) ont aussiété pris en compte dans l'étiquetage manuel. Deux corpus littéraires de 5 millions de mots dans chaquelangue ont aussi été réunis selon des critères communs, et étiquetés par catégories grammaticales. Desrecherches par expressions rationnelles ont permis d'établir pour chaque adjectif sa prédisposition à lafonction épithète ou attributive, et sa réceptivité à la gradation. L'étude quantitative parallèle a permis deconstater des convergences entre l'anglais et le français en ce qui concerne les rapports entre adjectifs etdéterminants, des divergences quant aux interactions avec les prépositions, et d'établir une corrélationstatistique entre la compatibilité avec la fonction attributive et la réceptivité à la gradation. Cependant,aucune de ces tendances n'apparaît clairement dans le recensement des traductions auxquelles les adjectifsont donné lieu
The argument put forward herein is that a quantitative parallel study of a linguistic phenomenon is bettersuited to the comparative study of two linguistic systems than the observation of the same phenomenon intranslation. The adjectival categories in English and French were studied in such a manner. Common criteriafor identification were first defined from a typological perspective. Then, in two bilingual corpora oftranslated texts of around 10,000 words each, around 1,800 NPs were manually inventoried and labeled ineach language either as having no attributive or predicative adjective, or one or more attributive adjectives, orone or more predicative adjectives, or both at the same time. Other contextual parameters (determiner,syntactic function of the NP, presence of prepositions or relative clauses in the NP, marks of intensity,semantic class of the noun) were manually inventoried as well. Two predominantly literary corpora of around5 million words in each language were collected using common criteria, and tagged with part of speechlabels. Regex searches were used to evaluate the predisposition for attributive or predicative function, andsensitivity to intensifiers of each adjective. The quantitative parallel study of adjectives revealedconvergences between English and French regarding the interactions with determiners, divergences in regardto prepositions, as well as a statistical correlation between the compatibility with predicative function andreceptivity to intensifiers. None of these tendencies
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Le, Pesant Denis. "La regle de montee une regle pour l'analyse des constructions relatives, des descriptions definies, des extractions et des phrases interrogatives. Syntaxe du francais." Paris 7, 1987. http://www.theses.fr/1987PA070017.

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Abstract:
Nous avons emprunte a j. R. Vergnaud le principe de l'analyse par montee. Pour nous il existe une condition sur montee: le gn destine a faire l'objet de montee doit etre affecte d'un determinant indefini. Le gn, apres avoir ete deplace en premiere position, est affecte du constituant discontinu "le. . . Qu-": je vois un homme. L'homme que je vois. Nous avons principalement distingue deux relativations. Nous partons d'une structure de base constituee d'une suite de deux phrases, telles que: p1 je vois un homme p2 (e) est luc relativation 1: le gn produit par montee dans p1 est enchasse dans la position lexicalement vide de p2. P1 est ensuite effacee. Nous obtenons: l'homme que je vois est luc. Relativation 2: meme procedure que ci-dessus, sauf l'effacement de p1. Le gn enchasse en p2 est converti, suivant des regles morphosyntaxiques, en une des formes du pronom relatif, du pronom personnel, ou du pronom demonstratif. Nous obtenons "je vois un homme qui est luc", ou "je vois un homme. Celui-ci est luc". Ainsi, relativation est un cas particulier de pronominalisation. D'autre part il nous a semble qu'un gn produit par montee est sous-jacent a tout gn defini, sauf s'il s'agit d'un nom propre ou d'un nom referant a un objet unique. Nous avons enfin essaye d'appliquer montee a l'analyse des extractions (c'est. . . Qu-) et des phrases interrogatives
We borrowed from j. R. Vergnaud the principle of the analysis according the rule of raising. For us there is one condition to raising: the np that is to be raised must be provided with an indefinite determiner. The np is shifted to the head of the sentence. Besides it is provided with the discontinuous unit "le. . . Qu-": je vois un homme. L'homme que je vois. We have mainly distinguished two relativizations. We start from a basic structure with two sentences such as: si je vois un homme s2 (e) est luc relativization 1: the gap in s2 is filled by a np produced by raising in s1. S1 is then erased. We have got: l'homme que je vois est luc. Relativization 2: same process as seen above, without the erasing of s1. The np embedded in s2 is converted, according morphosyntactic rules, into one of the forms of the relative pronoun or into other pronominal forms. We have got either "je vois un homme qui est luc" or "je vois un homme. Celui-ci est luc". Thus relativization is a particular case of pronominalization. Besides it appeared to us that a np generated by raising is underlying in every definite np, except if it is a name or a noun referring to a unique thing. We eventually tried to use raising in the analysis of extractions (c'est. . . Qu-) and interrogative sentences
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ELYACOUB, RABADI, and (NAJIB). "La notion de constituant syntaxique du francais. L'interaction des theories linguistiques et des grammaires scolaires de 1843 a nos jours." Lyon 2, 1997. http://www.theses.fr/1997LYO20076.

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Abstract:
Cette these etudie la notion de <>: ses origines et son evolution, a travers la pedagogie et les differentes theories linguistiques, dont la methodologie repose sur la lecture attentive de (100) manuels scolaires de 1843 a 1996 de flm et fle. Cette recherche se compose de deux parties. La premiere partie etudie l'emergence theorique de la notion (et pas forcement le terme) de constituant chez les divers grammairiens et linguistes importants: du marsais avec l'operation de faire la construction , puis les precurseurs de bloomfield avec la notion de groupe de mots, saussure et le syntagme, puis la representation dependancielle de tesniere qui hierarchise ces constituants en rompant encore plus nettement avec la dichotomie aristotelicienne. Ensuite les veritables createurs distributionnalistes et les continuateurs generativistes qui vont aboutir a une sorte de compromis, avec la theorie du gouvernement, ce qui sera repris par certains tenants des nouvelles syntaxes. La seconde partie montre l'interaction des manuels scolaires, souvent rediges par des enseignants proches du terrain, avec les traites theoriques. La pedagogie des langues, et singulierement du francais langue etrangere commandera des methodes. Des analyses ou des schemas ont ete souvent prefigures par ces grammairiens pedagogues. Enfin, ce travail se termine par une vision synthetique des interactions entre le systeme des valeurs, l'etat de la discipline et le pedagogique
This theses studies the concept (notion) of << constituent>>: its routes (origins) and its evolution, through the pedagogy and different linguistic theoris. The methology of this research depends on the attentive lecture of 100 scolary manuels from 1843 until 1996. These books concern the french mother language (flm) and french as a foreign language (fle). This research contains two parts: the first part studies the theorical bigining of the concept (unecessary the term) of <> at the great grammairiens and linguists: du marsais with his processure << faire la construction >>, the avancers of bloomfield with <> (= group of words), saussure with <> (= phrase), and <> of tesniere who hierarchise these constituents, refusing the conception of aristote dichotomy. And then, the real distributionalist creators and the generativist continuors who will be getting to a certain compromise with the <> which will be adopted by the holders of new syntax. The second part shows the interaction of the scolary manuels which are often written by teachers who are near the field of this discipline. The pedagogy of languages, especially the french as foreign language, commands the methods. The analyses or the signs has been prefigurated by those pedagogue grammairiens. Finally, this research ends by a synthetic vision of the interaction between values (semantic) system, the state of the discipline and the pedagogy
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Roubaud, Marie-Noëlle. "Etude des constructions pseudo-clivées dans le cadre de l'"approche pronominale"." Aix-Marseille 1, 1994. http://www.theses.fr/1994AIX10054.

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Abstract:
La construction pseudo-clivee (ce que j'aime c'est la linguistique, celui que je vois c'est jean, ce dont je reve c'est d'une europe) est une tournure bien connue des americains et cependant fort peu etudiee en francais contemporain. Elle est productive ; le corpus compte 1400 exemples de francais contemporain oraux et ecrits. Cette construction dont le nom vient de "pseudo-cleft sentences" (cf. Ch. I) n'est pas toujours simple a identifier (cf. Ch. Ii). La description syntaxique de ces enonces dans le troisieme chapitre se centre sur quatre elements de la construction : la proforme (cf. Iii. 2) ou "pronom apparente" (ce qui, ce que, celui qui, celui que, le plus que, le plus qui, ce dont, ce a quoi, ou), l'adjectif (cf. Iii. 3) construit par un verbe attributif (ce qui est interessant c'est. . . ), le lexique produit apres c'est (cf. Iii. 4) de type non verbal (syntagme nominal, pronominal, adjectival) ou verbal (infinitif ou subordonnee introduite par que, quand, ou, si. . . ) et enfin sur le type de verbe constructeur (cf. Iii. 5) de l'enonce pseudo-clive (verbes evaluatifs, declaratifs, evenementiels, de denomination et verbes supports). Une etude du contexte dans lequel apparait cette construction montre qu'elle convient parfaitement aux situations de questionnement, de contraste et de denomination (cf. Ch. Iv). Avec ces enonces pseudo-clives, nous avons affaire a une construction syntaxique majeure du francais. Un deuxieme volume rassemble les exemples de francais parle et ecrit. Il comporte en plus des exemples de pseudo-clivees avec verbe seul (ce que j'aime c'est. . . ) et d'autres en "verbe + adjectif" (ce qui est interessant c'est. . . ), un petit corpus d'adjectifs nominalises (le plus interessant c'est. . . ) avec pour chacun de ces corpus, une table des occurrences.
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Savelli, Marie-José. "Contribution à l'analyse macro-syntaxique : les constructions "siamoises" du type : "Plus v1... Plus v2..."." Aix-Marseille 1, 1993. http://www.theses.fr/1993AIX10052.

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Abstract:
This thesis is devoted to the analysis of the correlational system based on the repetition of the item "plus" (the more) et the beginning of two verbal constructions. These constructions are called "twin organisations" of the type" plus vi plus v2". The analysis is based on a corpus of 1708 examples from written and oral french. A diachronic description of these syntactic constructions forms the basis of this study. It enables the author to discuss the validity of previous classifications and to pinpoint their defects. The semantic principle underlying the classification adopted by traditional grammar is not in a position to account for the discoursal strings called "twin constructions" which correlate two verbal constructions on a par, without any hierarchy between them, in a unitary and recursive macro-syntactic device. The position of the correlational indices "plus" repeated at the beginning of each verbal segment constrains the verbal construction and fosters a high degree of cohesion that requires analysis at the macrosyntactic level. In addition a semantic approach takes the author beyond the received analysis in terms of proportionality ; an inventory of semantic effects produced by the choice and organization of the lexical items ocurring in the construction is provided.
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Joulin, Jacqueline. "L'alternative en francais. Une approche syntaxico-semantique." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 1987. http://www.theses.fr/1987STR20017.

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Abstract:
L'expression de l'alternative s'effectue en francais au moyen du vocable "alternative" et de ses derives mais aussi au travers de relateurs. "alternance" et "alternative", termes proches semantiquement, se distinguent cependant par la maniere d'apprehender les termes relies: l'alternance determine des elements dont la principale caracteristique est d'etre realises, alors que les elements de l'alternative apparaissent comme des possibles. Cette difference est mise en evidence par l'emploi de la conjonction "et" dans le cas de l'alternance et celui de "ou" dans le cas de l'alternative. L'alternance se situe donc au niveau du proces, les elements etant saisis dans un meme laps de temps, alors que l'alternative se caracterise par "l'interchangeabilite". Les marqueurs de l'alternative definissent un ensemble de valeurs susceptibles de valider la relation predicative. Lors de l'emploi des conjonctions "ou redouble" ou "soit. . . Soit" cet ensemble est clos, les elements relies representant chacun un domaine semantiquement distinct et couvrant l'ensemble des possibilites de validation. Aussi l'emploi de restrictifs, de termes marquant le doute ou la correction donne des enonces deviants. Le relateur "ou" en ne cloturant pas l'ensemble des possibles permet un emploi plus etendu et aussi peut-il relier des termes allant de l'antonymie a la double denomination, cet emploi-ci ne pouvant etre realise avec "ou. . . Ou" ou "soit. . . Soit". L'interpretation symetrique de la coordination alternative ou des interrogations alternatives est remis en cause par des regles regissant l'ordre dans lequel les elements sont relies. La notion de decrochage enonciatif, la prise en compte du semantisme des elements (valeurs axiologiques) ou de phenomene particulier (notion de reprise) est plus apte a rendre compte de ce type de construction
In french, the idea of alternative is conveyed by the word "alternative" and its derivatives, but also througt a number of linking words. The french words "alternance" and "alternative", semantically close, are different when you consider the manner in which they apprehend the related terms: the "alternance" determines elements whose main feature is that they are realized whereas the elements of the "alternative" appear as mere possibilities. This distinction can be shown using the conjunction "et" in the case of the alternance and of "ou" in the case of the alternative. Thus the alternance can be related to the process, the elements being apprehented in a same lapse of time, whereas the alternative is caracterized by "interchangeability". The terms that indicate the alternative define a set of values likely to validate the predicative relation. With the conjunction "reduplicated ou" or "soit. . . Soit" this set is a closed one, the linked elements each representing a field that is semantically distinct and covering all the possibilities of valadition. Therefore, the use of restrictive words and of words evoking doubt or correction leads to deviant ulterances. "ou", because is doesn't close off the set of all possibilities, allows a broader use and is likely to connect terms ranging from antonymy to "double denomination"; this last used can be related either by "reduplicated ou" or by "soit. . Soit". The symetric interpretation of alternative coordination or of alternative questions is challenged by rules governing the order of the related elements. The notion of enunciative rupture, the concern about the semantics of the elements (e. G. Moral values) or about particular phenomenor (e. G. "reprise") account better for this type of construction
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Avanzi, Mathieu. "L' interface prosodie/syntaxe en français : Dislocations, incises et asyndètes." Paris 10, 2011. http://www.theses.fr/2011PA100065.

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Abstract:
Une hypothèse communément partagée est que la structure prosodique d’un énoncé donné en français repose sur l’identification des syllabes proéminentes et de tons de frontières de différents degrés qui le ponctue. Les divergences entre les spécialistes sont à chercher dans les méthodes employées pour mettre au jour cette structure. Deux approches sont possibles : (i) une approche guidée par les hypothèses, qui considère que la structure prosodique peut être décrite sur la base d’informations syntaxiques, informationnelles et métriques, (ii) une approche guidée par les données, qui considère que les paramètres pertinents pour décrire la structure prosodique peut être définie à partir d’indices perceptifs/acoustiques uniquement. Ma thèse s’inscrit clairement dans le second paradigme. Pour décrire la structure prosodique du français, j’ai développé avec l’aide de spécialistes du traitement automatique le logiciel Analor. Cet outil a pour fonction de détecter des syllabes proéminentes et des frontières prosodiques sur la base d’indices acoustiques essentiellement. La mise au jour des ces proéminences et frontières de différents degrés est importante pour décrire le français parlé. Elle permet de vérifier certaines hypothèses intonosyntaxiques en circulation dans la communauté (par exemple : le constituant extraposé à gauche dans une dislocation est toujours ponctué d’un accent ? l’absence de qu- est suppléée à l’oral par un « morphème » suprasegmental ?). Mais elle permet aussi d’apporter de nouveaux arguments pour décrire le statut grammatical que les indices syntaxiques ne permettent pas d’expliquer de façon satisfaisante à eux-seuls (comme les greffes de constructions verbales à valeur temporelle), ou d’examiner avec de nouvelles données le rôle « subordonnant » de la prosodie
A hypothesis that is widely shared is that prosodic structure relies on the identification of boundaries and syllabic prominences of different degrees. Differences exist among scholars in the methods they employ to identify this structure. There are at least two distinct approaches: (i) one guided by hypotheses, which assumes that prosodic structure can be predicted on the basis of syntax, information structure and metrical organization; (ii) an alternative, data-driven approach, which takes only those parameters that can be derived from perceptual and acoustic data as meaningful for defining prosodic structure. My research is clearly part of the second paradigm. In order to describe French prosodic structure, I developed, with the help of specialists in automatic language processing, a piece of software named Analor. The purpose of this software tool is to detect major prosodic breaks and prominent syllables solely on the basis of acoustic cues. Identifying prominences and boundaries of different strengths is important in describing spoken French. This makes it possible to test some widely-shared intuitions about the relation of prosody and syntax (such as, a left-dislocated constituent is always followed by a strong prosodic break, or, the deletion of qu- in spoken French is compensated for prosodically). It also becomes possible to offer new descriptions of some constructions that are not well-accounted for by syntax alone (as in the case of temporal parataxis), and to bring new data to bear on the “subordinate” role of prosodic cues
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Rezapour, Rouhollah. "Le bilinguisme français-persan en linguistique-didactique : syntaxe et sémantique." Thesis, Paris 4, 2015. http://www.theses.fr/2015PA040068.

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Abstract:
Cette thèse soutient avec la théorie de la néoténie linguistique l’idée que l’ordre déjà établi par une langue chez le locuteur nouvellement bilingue n’est plus stable lors de l’insertion d’une deuxième langue et ensuite, la concurrence non égalitaire qui se révèle entre les deux. Entre la langue et l’identité, il existe une interdépendance. Le bilingue français-persan subordonné, ayant immigré à un territoire francophone à l’âge linguistiquement adulte, tâche d’insérer un autre système de comportements linguistiques, une autre manière d’être, dans un espace cognitif qui, n’en éprouve pas le besoin de continuer pour fonctionner normalement. Donc il s’affranchit du monolinguisme persanophone, i.e. de son spécialisation naturelle, pour opter au bilinguisme français-persan. L’enfant bilingue français-persan issu de famille linguistiquement mixte, est théoriquement conçu pour créer son être immanent dans les deux langues. Mais en réalité, la valorisation des langues française et persane, la scolarisation, le choix de la langue familiale et plusieurs d’autres paramètres déterminants effectuent des changements considérables dans le choix de la langue du locuteur concerné. Si le sentiment d’autosuffisance permet au locuteur bilingue français-persan d’être identifiable à la satisfaction de son environnement linguistique en français, l’appropriation et la pratique du persan, dans la famille pour lui ne reste plus une nécessité absolue car il se voit dans un univers linguistique, mental et culturel dont la réalité orale est plus pertinente avec la sphère sociale
This dissertation, using the theory of linguistic neoteny, supports the idea that the order initially established by a language in a speaker who has become bilingual at a later stage is no longer stable at the time when the second language is inserted, and subsequently an unequal competition between the two languages becomes apparent. There exists an interdependence between the language and the identity of the speaker. The subordinated French-Persian bilingual, who has immigrated to a francophone area at the age of linguistic adulthood, tries to insert another system of linguistic behavior, another mode of being, in a cognitive space which does not sustain the need to continue to function normally. Thus, s/he overcomes his/her Persian monolingualism, that is, his/her natural specialization, in order to opt for French-Persian bilingualism.The French-Persian bilingual child born into alinguistically mixed family is theoretically conceived to create his/her immanent being in both languages.But in reality, the value ascribed to a language, schooling, the choice of family language, and several other determining factors significantly affect the speaker’s choice of his/her preferred language. If the French-Persian bilingual’s sense of self-sufficiency allows him/her to identify him-/herself as a speaker of French to the satisfaction of his/her linguistic environment, the appropriation and practice of Persian in his/her family are no longer strictly necessary because s/he sees him-/herself in a mental, cultural and linguistic universe whose oral reality is more relevant to the social sphere
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Clément, Lionel. "Construction et exploitation d'un corpus syntaxiquement annoté pour le français." Paris 7, 2001. http://www.theses.fr/2001PA070029.

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Abstract:
Dans ce mémoire, nous avons présenté un corpus annoté syntaxiquement pour le français, pleinement désambigui͏̈sé et validé manuellement. Ce travail est particulièrement centré sur la méthodologie mise en oeuvre lors de l'annotation semi-automatique de corpus et sur la description linguistique. L'annotation comprend l'assignation de traits ou catégories à des unités textuelles, les "mots" dans une première étape, et la représentation des constituances et dépendances articulant des unités syntagmatiques dans une seconde étape. Cette seconde phase de l'annotation de corpus est en cours et soulève encore un certain nombre de problèmes théoriques (comment annoter les dépendances ambigue͏̈s par exemple). L'annotation syntaxique comprend un ensemble de procédures qui ne sont pas sans influence sur la mise en lumière de certains phénomènes linguistiques lors de l'exploitation du corpus. .
Very few gold standard annotated corpora are currently available for French. We present a project to build a reference tree bank for French. We annotate a newspaper corpus of 1 Million words (Abeillé et al 1998, 1999, 2000), following EAGLES recommendations (von Rekowski 1996, Ide et al. 1996, Sanfilippo et al. 1996, Kahrel et al. 1997) and developing specific annotation guidelines for French. Similarly to the Penn Tree Bank (Marcus et al. 1993), we distinguish a tagging and a parsing phase, and reach a process of automatic annotation followed by a systematic manual validation and correction. Similarly to the Suzanne Corpus (Sampson 1994, this volume), on the Prague tree bank (Hajicova et al 1998, this volume), we rely on several types of morphosyntactic and syntactic annotations for which we define extensive guidelines. Our goal is to provide a theory neutral, surface oriented, error-free tree bank for French. Similarly to the Negra project (Brants et al. 1999, this volume), we annotate both constituents and functional relations. Due to the lack of robust reusable annotation tools at the beginning of the project, we chose to develop our own
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Roodenburg, Jasper. "Pour une approche scalaire de la déficience nominale : la position du français dans une théorie des "noms nus"." Paris 8, 2004. http://www.theses.fr/2004PA082570.

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Fox, Gwendoline. "L'acquisition des modifieurs nominaux. Le cas de l'adjectif du français." Thesis, Paris 3, 2012. http://www.theses.fr/2012PA030155/document.

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Abstract:
Acquérir l’adjectif épithète pose deux problèmes majeurs en français. D’abord, l’adjectif dénote une propriété à propos d’un nom, les enfants doivent donc pouvoir concevoir un objet comme un tout et comme un ensemble de propriétés pour manier un SN avec épithète. Ensuite, l’alternance est un trait définitoire de l’adjectif du français, mais son placement n’est pas aléatoire et les contraintes en jeu sont multiples et d’ordre tendanciel. De plus, bien que les locuteurs connaissent cette possibilité, ils optent plutôt pour un placement fixe en usage. Ces faits nous ont amenée à nous demander si l’input permet à l’enfant de se construire la notion d’adjectif épithète sans avoir recours à des connaissances langagières innées. Pour y répondre, nous proposons une étude comparant les usages de trois enfants à ceux de leur famille à deux temps de leur acquisition (T1 : 3 ;8, T2 : 4 ;6). Nous étudions quatre aspects de l’usage de l’épithète (lexique, placement, combinaison avec d’autres modifieurs ou un dépendant adjectival) et nous confrontons l’adjectif aux autres modifieurs nominaux. Ces phénomènes montrent tous la même évolution. À T1, les enfants emploient la construction la plus fréquente des adultes, avec un fort degré de spécificité lexicale. À T2, d’autres constructions émergent selon leur ordre de fréquence chez les adultes. Le lexique de la construction de T1 s’est en outre élargi dans le champ de la classe sémantique des usages de T1. Les enfants montrent ainsi une sensibilité aux informations quantitatives et une abstraction graduelle des structures par analogie sémantique, qui plaident pour une construction progressive de la notion d’adjectif épithète à partir de l’input
The acquisition of attributive adjectives is subject to two major difficulties in French. First, adjectives express a property of a larger unit : children must be able to conceive an object as a whole and as a set of properties to use a NP with an adjective. Second, adjectives in French may occur before or after the noun. Alternation is a defining feature of the category but it is not random, and the constraints at play are numerous and preferential in nature. Also, although speakers are aware of this possibility, they tend to choose a fixed position in usage. These facts raise the question of whether the input allows children to construct the notion of attributive adjectives without a resort to innate linguistic knowledge. To answer this, I propose a comparative study of the productions of three children interacting with their family at two times of their development (T1 : 3 ;8, T2 : 4 ;6). I examine four phenomena concerning attributive adjectives (lexicon, placement, combination with other modifiers or adjectival dependents), and I compare adjectives with other nominal modifiers. All of these phenomena show the same evolution. At T1, the children use the most frequent construction in the adult data, with a high degree of lexical specificity. T2 shows the appearance of other constructions according to their order of frequency in the adult data. The construction from T1 is also used with a greater choice of lexical units, but within the same semantic classes. The children thus show sensitivity to quantitative information and a gradual abstraction of constructions by semantic analogy, which pleads for a progressive construction of the knowledge of adjectives based on the input data
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Knittel, Marie-Laurence. "Rapports entre morphologie et syntaxe en français et en hongrois : deux cas particuliers "d’accord-objet"." Nancy 2, 1993. http://www.theses.fr/1993NAN21002.

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Abstract:
Ce travail, qui utilise comme cadre théorique principal la grammaire générative, mais fait également appel à d'autres approches, a pour objectif la description et l'analyse de deux cas spécifiques d'accord avec l'objet : l'accord du participe perfectif en français et la conjugaison définie du hongrois. Si, du point de vue morphologique, les réalisations de ces deux phénomènes sont totalement différentes, on peut pourtant - constater, après un examen approfondi des constructions dans lesquelles l'accord-objet se manifeste, qu'un certain nombre de facteurs communs déterminent son apparition dans ces deux langues, bien qu'il n'existe entre elles ni lien génétique, ni rapport typologique
This study is meant to describe and analyze two particular cases of object agreement: the past participle agreement in French and the definite conjugation in Hungarian. It is situated in the framework of generative grammar; yet, other approaches to language study are used when necessary. Even if the surface realizations of the two phenomena are morphologically different, a close examination of the constructions in which it appears reveals that there are common factors determining the appearance of object-agreement in both languages, even if there is no link either typological or genetic between them
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Hybertie, Françoise-Charlotte. "Étude des marqueurs de consécution en français contemporain." Paris 3, 1993. http://www.theses.fr/1994PA030079.

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Abstract:
La these a pour objet l'etude des marqueurs de consecution les plus employes en francais contemporain : "don", "alors", "aussi", "ainsi" et "par consequent", ainsi que toutes les locutions formant un systeme correlant intensite et consecution, et maniere et consecution. L'objectif est de decrire, en adoptant une triple perspective - syntaxisque, semantique et enonciative -, les operations attachees a chacun des marqueurs, afin de rendre compte de la valeur specifique qu'ils conferent a l'expresion du lien logique de cause a consequence. L'approche synstaxique doublee d'une approche semantique permet de cerner les effets de sens induits par l'emploi d'un marqueur, et par la position qu'il occupe dans l'enonce. La description syntaxico-semantique conduit a l'identification des operations enonciatives propres a chaque marqueur : identification des instances a l'origine de la validation et de la prise en chargedes relations predicatives et de la relation consecutive construites en discours
The subject of the present phd present phd thesis is the study of the most frequent markers to express the consecutive relation in the present-day french "donc", "alors", "aussi", "ainsi", "par consequent" as welle as the phrases expressiong both the relation "intensity-consequence", and the relation "manner-consequence". The aim consists to discribe from a triple point of wiew, syntaxic, semantic and enunicative, the factors commanding the use nof each marker in order to stress the specific value it gives to the consecutive clause expressing the logic relation "causeconsequence". The chosen approach, both syntaxic and semantic, gives the possibility to precise the specific meaning particular with the use of each marker : identification of the factors directing the validation and the expression of the predicative relations and the consecutive relation in the speach
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Thamprasert, Rosakon. "Étude comparative de l’adjectif en français et en thaï." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040091.

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Abstract:
L’adjectif français a un comportement morphosyntaxique très proche de celui du nom. L’adjectif thaï est, dans la plupart des cas, très proche du verbe. En français et en thaï, l’adjectif peut occuper la place de l’adverbe, mais il n’est pas toujours adverbialisé. L’adjectif français peut être dérivé d’un verbe, d’un nom ou d’un adjectif. Le thaï, qui ne connaît pas de dérivation affixale sauf dans les mots empruntés tels quels au sanskrit, au pâli ou au khmer, doit avoir recours dans plusieurs cas à l’auxiliaire modal, au syntagme prépositionnel, à la structure de subordination ou à un autre adjectif. En français, l’adjectif dénominal peut avoir des sens relationnels, qualificatifs ou les deux ; la composition adjectivale peut être soit interne soit externe. Dans les deux langues et particulièrement en thaï, le redoublement, la réduplication et la série adjectivales peuvent avoir plusieurs valeurs linguistiques. L’adjectif épithète du thaï est toujours postposé au nom ; celui du français peut lui être antéposé ou postposé selon plusieurs facteurs. Le nom peut également exercer la fonction épithétique dans les deux langues, mais pas dans tous les cas. Une copule est indispensable pour l’adjectif prédicatif français ; elle ne l’est que pour certains adjectifs du thaï, la plupart étant prédicats sans copule. En français et en thaï, l’adjectif prédicatif peut être antéposé à la phrase lorsqu’il est focalisé ou mis en valeur
French adjective has a morphosyntactic behavior very close to noun. Thai adjective is, in most cases, very close to verb. In French and in Thai, adjective can occupy the place of adverb, but it’s not always adverbialized. French adjective can be derived from a verbe, a noun or an adjective. The Thai, which doesn’t know any affixal derivation, except for the ready-made words borrowed from Sanskrit, Pali or Khmer, has to use, in many cases, a modal auxiliary, a prepositional group, a subordination structure or another adjective. In French, denominative adjective can have relational or qualifying meanings or both ; the adjectival composition can be internal or external. In the two languages and particularly in Thaï, partial or total reduplication and adjectival series can have several linguistic values. Thai attributive adjective is always placed after the noun ; the French one can be placed before or after the noun, depending on several factors. Noun can also fulfill the attributive function in the two languages, but not in every cases. A copulative verb is indispensable for French predicative adjective ; it is necessary for some Thai adjectives only, while most of them are predicates without copula. In French and in Thai, predicative adjective can be placed at the beginning of the sentence when it is focused or emphasized
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Nicol, Fabrice. "Syntaxe minimaliste et sémantique conceptuelle : recherches sur la syntaxe et la sémantique comparées du français et de l'anglais." Paris 10, 1997. http://www.theses.fr/1997PA100017.

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Abstract:
La theorie syntaxique dite minimaliste de noam chomsky a permis de resoudre de nombreux problemes theoriques et empiriques. Ces acquis se limitent toutefois au domaine de la stricte syntaxe combinatoire, l'intervention de conditions semantiques sur les derivations syntaxiques etant exclue. Comment les conditions semantiques peuvent-elles s'appliquer ? le modele elabore par ray jackendoff, la semantique conceptuelle, permet de formuler des contraintes precises sur la combinaison de primitives semantiques, et sur leur correspondance avec les structures syntaxiques. La premiere partie resume les deux theories envisagees. La deuxieme partie a pour objet d'evaluer l'adequation descriptive de ces deux modeles dans la grammaire de la phrase. La troisieme partie porte essentiellement sur l'application du modele minimaliste au sein du groupe nominal. Les hypotheses de la syntaxe minimaliste sont utilisees, dans la deuxieme partie, pour analyser l'evolution diachronique des conditions sur la coreference pronominale, du vieil-anglais a l'anglais moderne. La theorie du cas inherent est reformulee dans les termes de la theorie des traits formels du programme minimaliste, et appliquee aux constructions moyennes, au placement des clitiques en francais, aux constructions ditransitives anglaises, et a la grammaire comparee de la possession inalienable en anglais et en francais. Il est propose de lier l'analyse de l'evolution du systeme pronominal anglais, vers la fin du xveme siecle, a l'affaiblissement morphologique des traits d'accord-sujet. L'incorporation prepositionnelle semble mieux formulee dans le composant semantique de la grammaire que dans son composant syntaxique, de meme que les contraintes lexicales sur l'interpretation de la possession inalienable, qui font principalement intervenir les concepts d'affecteur et de cible affectee. La troisieme partie a pour objet la syntaxe du groupe nominal anglais moderne, et defend l'hypothese qu'existent deux noeuds fonctionnels intermediaires entre le determinant et la tete nominale : le site de la quantification discrete et le site de la quantification continue. Ces resultats permettent alors de confirmer une hypothese centrale de la semantique conceptuelle : l'impossibilite de reduire l'interpretation semantique a la combinatoire syntaxique
Noam chomsky's minimalist programme has make it possible to solve many theoretical and empirical problems in the theory of syntax. Nevertheless these advances have been made essentially in the field of computational syntax, the intervention of semantic conditions in syntactic derivations being now barred. How can semantic conditions apply? in ray jackendoff's model, conceptual semantics, semantic primitives may be combined so as to impose accurate constraints on the syntax-semantics interface. The first part of this thesis summarises the two theories. The second part evaluates the descriptive adequacy of the two models in the domain of the sentence. The third part presents some consequences of minimalist principles in the domain of the noun phrase. The hypotheses of minimalist syntax are used, in the second part, to analyse the diachronic evolution of conditions on pronominal coreference, from old english to modern english. The theory of inherent case is reformulated in the terms of the theory of formal features of the minimalist programme, then applied to middle constructions, french cliticisation, english ditransitive constructions, and the comparative syntax of inalienable possession in french and english. The analysis of the evolution of the english pronominal system towards the end of the 15th century is linked with the weakening of the morphology of subject agreement (agrs). The incorporation of p to v, nevertheless, is better formulated in the semantic component than in the syntactic component, and the same conclusion is reached for lexical constraints on inalienablepossession, which crucially involve the concepts of actor and affected target. The third part is a study of the syntax of the noun phrase in modern english and defends the hypothesis that there are two functional nodes between d and n - respectively the locus of discrete quantification and the locus of continuous quantification. These results confirm the central hypothesis of conceptual semantics, which is the impossibility of reducing semantic interpretation to a combination of syntactic primitives
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Gerbier, Yves, and Hélène Icart-Séguy. "Les marqueurs logico-discursifs : car, comme, parce que, puisque." Toulouse 2, 1987. http://www.theses.fr/1987TOU20043.

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Abstract:
Thèse collective avec madame Icart Seguy. Dans la première partie de cette thèse, on étudie le rôle des marqueurs car, comme, parce que, puisque dans les démonstrations mathématiques. Les différences entre démonstration formelle et démonstration mathématique sont d'abord mises en évidence. La notion de squelette d'une démonstration permet de définir les notions de conséquence principale et de principe principal dont les quatre mots car, comme, parce que et puisque sont les marqueurs privilégiés. Apres avoir répertorier les occurrences de ces mots dans 400 démonstrations mathématiques, l'auteur met en place une schématisation (a l'aide des propositions mathématiques élémentaires). Il en découlera les formes canoniques de comme p q; puisque p q; q puisque p et q car p. L'étude des schémas logiques sous-jacents montre les similitudes et les différences engendrées par l'utilisation des mots car, comme, puisque. Une typologie du principe principal p est mise en place en fonction du moment ou la vérité de p est connue. Les liens entre p et l'univers de connaissance du lecteur ainsi que ceux entre p et les mots utilises sont étudiés
A joint thesis submitted together with Mme Icart Seguy. The first part of the present thesis studies the role of the markers car, comme, parce que, puisque in mathematical proofs. First of all, the differences between formal proof and mathematical proof are clearly brought out. The concept of 'skeleton' of a proof enables the author to define the notions of principal consequence and principal principe, of which car, comme, parce que and puisque are the preferred markers. After listing the occurrences of these words in 400 mathematical proofs, the author sets up a schematization (derived from elementary mathematical propositions) which leads to the following normal forms: comme p q; puisque p q; q puisque p; q car p. A study of the underlying logical schemas shows the similarities and differences generated by the use of the words car, comme, puisque. A typology of the principal principle p is established as a function of the moment when the truth value of p is known. The author studies the links between p and the universes of knowledge of the readers as well as those between p and the words used
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Chun, Jihye. "Interface syntaxe-topologie et amas verbal en coréen et en français." Phd thesis, Paris 10, 2013. http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00867292.

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Abstract:
Le but de cette thèse est d'analyser la question de l'ordre des mots en coréen et en français, et d'éclairer en quoi ces deux langues génétiquement et typologiquement très éloignées mettent en évidence une même notion d'amas verbal. Nous développons une modélisation simple de l'ordre des mots du coréen dans le cadre de la grammaire de dépendance topologique - première modélisation topologique pour cette langue - un système de règles d'ordre formelles décrivant la correspondance entre l'arbre de dépendance d'une phrase et une structure de constituants ordonnée. C'est à ce niveau qu'apparaît l'amas verbal, un constituant topologique cohésif, qui favorise la non-projectivité de constructions comme la relativisation, le clivage et la topicalisation. Il apparaît tant en coréen qu'en français, tout en ayant des propriétés différentes d'une langue à l'autre. Nous montrons ainsi qu'un petit nombre de règles d'ordre peut rendre compte de l'ordre des mots du coréen, considéré comme une langue à ordre relativement libre. Ce résultat se fonde sur notre tentative préalable d'analyser, d'une manière simple et cohérente, la structure de la phrase coréenne en nous basant sur la théorie de la translation.
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Tayalati, Fayssal. "Les adjectifs à complément au datif en français : interface sémantique-syntaxe." Lille 3, 2005. http://www.theses.fr/2005LIL30038.

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Abstract:
Le présent travail se propose d'étudier les adjectifs français à complément au datif. Souvent considérés comme des adjectifs ordinaires qui prédiquent une propriété du syntagme qu'ils prennent en fonction de sujet dans la construction SN êtreadjectif complémentdatif et dont la seule particularité syntaxique est de régir un complément marqué par le cas datif, ces adjectifs offrent un observatoire intéressant à tous les niveaux et se distinguent des autres adjectifs français. Sur le plan sémantique, la plupart des adjectifs à complément au datif n'expriment pas une propriété de leurs "sujets" même si la construction avec être les présente comme des prédicables de ceux-ci. Les relations prédicatives sont inversées et les adjectifs en question semblent signifier des propriétés qui sont celles des référents des compléments au datif avant d'être aux sujets. Au niveau syntaxique, et sauf de rares exceptions, les adjectifs à complément au datif n'ont que des arguments internes. Ces deux propriétés les opposent aux autres adjectifs français transitifs et intransitifs et font partie d'un ensemble de caractéristiques qui permettent, d'un côté, d'isoler les adjectifs à complément au datif parmi l'ensemble des adjectifs, de l'autre, de faire ressortir l'homogénéité du marquage de leurs compléments par le cas datif, lequel paraît au terme de ce travail comme étant à l'interface de la sémantique et de la syntaxe
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Van, der Velde Marlies. "Déterminants et pronoms en néerlandais et en français : syntaxe et acquisition." Paris 8, 2003. http://www.theses.fr/2003PA082332.

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Abstract:
Dans la présente thèse, nous étudions la représentation syntaxique et l'acquisition des déterminants et des pronoms en néerlandais et en français. Notre analyse syntaxique de ces éléments permet de formuler des prédictions quant à leur acquisition par des enfants monolingues. Ces prédictions sont testées à l'aide de données d'acquisition obtenues grâce à deux tâches expérimentales de production induite et de compréhension. On observe d'une part que les enfants néerlandais omettent plus longtemps le déterminant que les enfants français. En outre, il s'avère que les enfants néerlandais commettent des erreurs de genre. D'autre part, concernant l'acquisition des pronoms, les dissociations déjà rapportées pour le français sont également observées en néerlandais: le pronom sujet est acquis avant le pronom objet et le pronom réfléchi est acquis avant le pronom non-réfléchi. Il ressort que les enfants néerlandais, au même âge que les enfants français, maîtrisent moins bien les pronoms objets
This dissertation investigates the syntax and the acquisition of determiners and pronouns in Dutch and French. The adopted syntactic analysis makes predictions for the acquisition of these elements by monolingual children acquiring Dutch or French. These predictions are confirmed by the results of two elicited production and comprehension tasks. On the one hand, data reveal that Dutch-speaking children omit determiners up to a higher age than French-speaking children. Furthermore, Dutch-speaking children contrary to French-speaking children, make gender errors. For pronoun acquisition on the other hand, the two dissociations already reported in the literature for French are also found in Dutch: first, subject pronouns are acquired before object pronouns, and second, reflexive pronouns are mastered earlier than non-reflexive pronouns. Our comparative study shows that French-speaking children master object pronouns better that Dutch-speaking children of the same age
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Choi, Soyoung. "La complémentation de verbes aspectuels : syntaxe et sémantique : commencer, continuer, cesser, finir." Toulouse 2, 1993. http://www.theses.fr/1993TOU20004.

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Abstract:
Pour le but principal de ce travail, on vise a la decouverte de la propriete syntaxique et semantique des verbes aspectuels francais ( desormais vasps ) - commencer continuer, cesser et finir. Dans un premier temps, on separe les verbes non aspectuels des vasps dans les diverses realisations des verbes de notre choix a la faveur de l'approche distributionnelle, en repondant a la question ; a quelles conditions les verbes concernes peuvent-ils entrer soit dans l'emploi aspectuel, soit dans l'emploi non aspectuel? deuxiemement, on traite l'analyse syntaxique de la construction des vasps prenant un complement a l'infinitif, afin de savoir quelle est la structure de celle-ci; structure a montee ou structure a controle ? on propose ici une hypothese que les vasps francais restructurent un syntagme verbal avec certaines prepositions sous la condition qu'ils prennent des complements phrastiques. A la fin, on explique certaines realisations des vasps qui sont syntaxiquement bien formees, mais qui ne sont pas acceptables en francais, en introduisant les termes "aspect" et "mode d'action". Ce faisant, on apercoit les informations semantiques que fournissent les vasps
This study is aimed at discovering the syntactic and semantic properties of french aspectual verbs (then, vasps) - commencer, continuer, cesser and finir. In the first stage, we separate non vasps from vasps among divers realizations of verbs that we have chosen, through distributionnal approach, responding to the question : on which condition, can these verbs come into the aspectual or non aspectual usage? secondly, we deal with the syntactic analysis about the construction of vasps taking infinitival complements in order to know which is the structure of this construction : raising structure or control structure ? we propose here a hypotheses that the french vasps restructure a verbal phrase with certain prepositions under the condition that these vasps take the phrasal complements. Finally, we explain certain realizations of vasps in terms of "aspect" and "mode d'action", which are syntactically well formed, but nonacceptable in french. As the result of this approach, we perceive semantic informations that supply french vasps
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Muller, Claude. "La négation en français : syntaxe, sémantique et éléments de comparaison avec les autres langues romanes." Paris 7, 1987. http://www.theses.fr/1987PA070036.

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Abstract:
La négation est définie par rapport à l'assertion, comme le rejet d'un présupposé pragmatique. Cette valeur fondamentale s'accompagne d'une valeur dérivée permettant la saisie d'informations: c'est la négation descriptive. Les operateurs de la négation syntaxique sont utilisables aussi bien avec les paraphrases métalinguistiques (avec les verbes-supports de l'assertion) qu'avec les operateurs de surface. La négation est encore exprimée par des opérateurs adaptés aux contextes (négations morphologiques); à l'inverse, le contexte peut s'adapter à la négation (polarité négative). La combinatoire ne pas vs. Non correspond respectivement à la négation ayant un verbe dans ses actants, et à la négation ayant incorporé son verbe-support, ce qui permet d'expliquer la gamme d'emplois de non. Les emplois de ne sans pas résultent soit de l'association négative, codifiée au dix-septième siècle, soit de survivances du système ancien. L'association négative (combinaison d'une négation et d'un opérateur dépendant) met en évidence le phénomène de non localisation de la négation, qui caractérise les langues romanes, avec cumul et absence de l'incorporation morphologique typique des langues germaniques. Elle est signalée en français par l'absence de pas et la présence de ne à l'écrit. Les négations explétives sont vues dans ce cadre comme des négations associées à un contexte de portée dominante équivalant à un terme positif avec une négation dépendante: d'où la caractérisation de ces constructions comme des associations négatives inverses. Les derniers chapitres examinent les modifications de déterminant en phrase négative, et la sémantique des questions négatives
Negation may be defined in relation to assertion, as a rejection of a pragmatic presupposition. This basic value is accompanied by a derived value allowing for information transmission : descriptive negation. Operators of syntactic negation can be used with metalinguistic paraphrases (using the 'support-verbs' of assertion) as well as with surface operators. Negation is also expressed by operators adapted to their lexical context (morphological negations); inversely, the context may adapt in function of the negation (negative polarity). The choice of ne pas vs. Non corresponds respectively to a negation containing a verb among its arguments and to a negation incorporating its 'support verb', which explains the wide application range of non. Uses of ne without pas result either from the negative association codified in the 17th century, or from survivals of the former system. The negative association (combination of a negation and a dependent operator) highlights the phenomenon of non localised negation characterising the romance languages, with absence of morphological incorporation of negation in negative words. It is indicated in french by the absence of pas and the simultaneous use of ne in written french. Negative expletives can be seen in this framework as negations associated with a dominant-scope context equivalent to a positive item with a dependent negation, hence the characterisation of these constructions as inverse negative associations. The last chapters deal with modifications of determiners in negative sentences, and with the semantics of negative questions
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Heranic, Tracy. "La travail c'est la santé mais la paresse ne tue pas : construction du sens discursif du lexique, etude comparative anglais américain et français." Thesis, Nantes, 2017. http://www.theses.fr/2017NANT2059/document.

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Abstract:
Cette thèse examine la construction du sens et l’influence translangagière dans la représentation de la signification lexicale et du sens discursif. Nous effectuons cette étude à travers des discours définitionnels et des significations telles qu’elles sont proposées par des locuteurs amenés à exprimer leurs savoirs métalinguistiques sémantiques dans le cadre d’une recherche expérimentale. Le concept culturel de travail est analysé en adoptant le cadre théorique de la Sémantique des Possibles Argumentatifs de Galatanu. Une étude comparative du français et de l’anglais a permis de déterminer les ressemblances, ainsi que les divergences entre les représentations de la signification lexicale et du sens discursif des mots « travail » et « work » proposées par quatre groupes de locuteurs. Chaque groupe de locuteurs ayant son propre profil langagier, spécifiquement deux groupes de locuteurs monolingues (francophone et anglophone), un groupe constitué de locuteurs de langue maternelle française qui parlent l’anglais, et un groupe de locuteurs de langue maternelle anglaise qui parlent le français, présente l’opportunité de non seulement comparer les variations entre les représentations de la signification lexicale et du sens discursif des mots « travail » et « work », mais aussi de constater l’influence potentielle d’une compétence dans une deuxième langue sur ces représentations. Dans un deuxième temps, cette thèse comporte une analyse de la représentation de l’insulte de loser aux États-Unis. Inspiré par la présence d’un élément liant le concept de work et ladite insulte, le choix de présenter loser rend possible une vision de la mobilisation discursive des valeurs sociales portées par les mots work et loser
This dissertation examines the construction of meaning and the crosslinguistic influence on the representation of the lexical signification and discursive meaning of the words work and travail. This study is based on definitional discourse and significations such as they are proposed by speakers articulating their metalinguistic semantic knowledge in the context of experimental research. The cultural concept of work is analysed by using Galatanu’s theoretical framework The Semantics of Argumentative Possibilities (SAP). A French/English constractive study allowed us to determine the similarities as well as the differences between the representations of the lexical signification and discursive meaning of the words “work” and “travail” proposed by four groups of speakers. Each group of speakers having its own linguistic profile (two groups of monolingual speakers – Francophone and Anglophone, one group of bilingual speakers whose native language is French and who speak English, and one group of bilingual speakers whose native language is English and who speak French) presents the opportunity to not only compare the variations between the representations of the lexical signification and discursive meaning of the words “work” and “travail”, but also to take note of the potential influence that competence in a foreign language can have on these representations. The second part of this dissertation includes an analysis of the representation of the insult loser as used in the United States. Inspired by the presence of an element linking work and said insult, the choice to present loser lends itself to exhibiting the discursive mobilisation of the social values instilled in the words work and loser
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Belcadi, Khadija. "Les relations interphrastiques, analyses et interprétations." Paris 5, 1994. http://www.theses.fr/1994PA05H010.

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Abstract:
Ce travail a pour objectif d'etudier les procedes linguistiques essentiels qui permettent de realiser une liaison entre deux phrases contigues, procedes qui sont de nature syntaxique, semantique et prosodique (notamment l'intonation). Au cours de cette recherche nous avons pose quelques problemes inherents a ce sujet tel que la definition de l'unite d'analyse et sa delimitation car avant de parler de relations interphrastiques encore faut-il savoir ou s'arrete une phrase. Nous avons traite ce sujet en parallele avec les notions de coherence et de cohesion, ce qui nous a permis au cours de notre analyse de lier l'etude de la continuite interphrastique a des parametres tels que l'opposition des codes ecrit oral, des registres dialogales monologal et enfin et surtout a la typologie du discours, en retenant trois sequences : la narration, la discription et la conversation. On constate en effet que chacun des aspects cites influence quelque part le choix et l'emploi des procedes de continuite que ce soit sur le plan de leur frequence, de leur comportement ou de leur nature
The aim of this thesis is to study the essential linguistic processes that make it possible to create a connection between two contiguous phrases. These processes are, by definition, syntactic, semantic and prosodic (particularly intonation). We examined a number of the problems intrinsic to the subject during this research, such as the definition of the analysis unit and its delimitation, as before one can discuss interphraseological relations, it is first necessary to know where a phrase stops. We treated this subject in parallel with concepts of coherence and cohesion which made it possible, during our analysis, to link the study of interphraseological contunuity with parameters such as the opposition of written and oral codes, dialogic and monologic registers and, finally and most importantly, speech typology. Three types of sequences were chosen : narration, description and conversation. It can be seen that each of the cited aspects has some influence on the choice and use of continuity processes, whether in terms of their frequency, behaviour or nature
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Blasco-Dulbecco, Mylène. "Les énoncés à " redoublement et dislocation" en français contemporain : analyse en "double marquage"." Aix-Marseille 1, 1993. http://www.theses.fr/1993AIX10057.

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Abstract:
L'essentiel de cette these est d'essayer d'eclaircir le statut des constructions a dislocation qui apparaissent des les premiers textes de francais. Les dislocations sont problematiques a deux niveaux : elles ne s'integrent pas a la norme; elles posent un probleme d'interpretation syntaxique. Les descriptions qui s'interessent a la dislocation tendent a regrouper sous cette notion des constructions diverses, qui ne sont semblables que par les effets de coreference qu'elles provoquent entre un element disloque, a gauche ou a droite du verbe, et un pronom clitique. A partir d'une description morpho-syntaxique, qui s'appuie sur la distinction entre la dislocation a gauche et la dislocation a droite, sur les categories grammaticales, sur le critere de la preposition, et sur les constructions verbales regies, susceptibles d'eloigner l'element disloque du pronom clitique, nous proposons de donner un statut autonome a la dislocation, non derive d'une autre source
This thesis is, in essence, an attempt to clarify the status of those problematic data that appear in even the very first texts in french. Dislocations are problematic on two levels : they do not fit into the norm ; they pose a problem of syntactic interpretation. Those descriptions interested in dislocations tend to group together different constructions under the same notion. These constructions are similar to each other only in the "coreferential" effects that they all provoke between one dislocated element, to the left or the right of the verb, and a clitic pronoun. On the basis of a morphological and syntactic description which stresses on the distinction between dislocation on the left and dislocation on the right, on grammatical categories, on the preposition criteria and on subordoned constructions, liable to distance the dislocated structure from the clitic pronoun, i have proposed to give an autonomous status to dislocation, one that is not derived from another source
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Paradis, Gaële. "La dynamique des prépositions en et sur dans leur usage spatial en français contemporain." Paris 5, 2006. http://www.theses.fr/2006PA05H077.

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Abstract:
Cette recherche a pour objet l’étude de la dynamique des prépositions en et sur en tant que marqueur de la fonction spatiale en français. Lobjectif est de préciser les effets des usages émergents mis au jour par un relevé in-vivo et une enquête, sur la structuration du système. Le premier chapitre définit le cadre théorique, les concepts opératoires et examine différentes études consacrées à l’emploi spatial des prépositions dans, en, sur et à. Le deuxième chapitre présente le corpus et la méthodologie de recueil des données, allant des observations in-vivo à l’enquête. Les troisième et quatrième chapitres décrivent les usages standards et émergents des prépositions dans, en, à et sur à travers l’étude des résultats de l’enquête. Enfin, le dernier chapitre examine la production et l’acceptation de ces nouveaux usages à partir des variables externes retenues et tente d’expliquer, du point de vue linguistique, l’émergence de ces structures en référence aux facteurs internes
The aim of the research is to study the dynamic of the prepositions en and sur as a marker of the space French function. The objective is to specify the effects of the emergent uses put at the day by a statement in-vivo and an investigation, about the structuring of the system. The first chapter defines the theoretical framework, the operational concepts and examines various studies devoted to the space use of these prepositions. The second chapter presents the corpus and the methodology of collection of the data, energy of the observations in-vivo to the investigation. The third and fourth chapters describe the standard and emergent uses prepositions dans, en, à and sur through the study of the resuits of the investigation. Lastly, the final chapter examines the production and the acceptance of these new uses starting from the external variables reserves and tries to explain, from the linguistic point of view, the emergence of these structures in reference to the internal factors
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Marengo, Sébastien. "L' adjectif non-attribut : syntaxe et sémantique des adjectifs référentiels." Université Marc Bloch (Strasbourg) (1971-2008), 2007. http://www.theses.fr/2007STR20063.

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Abstract:
Plusieurs adjectifs non-attributs du français ne sauraient trouver leur place parmi les deux classes habituelles que forment les qualificatifs et les relationnels. Nous proposons une solution dans un cadre sémantique modulaire qui distingue clairement le domaine des notions de celui de la référence. Comme certains noms et verbes, un grand nombre d’adjectifs non-attributs n’ont pas une valeur notionnelle mais construisent la référence. Ces adjectifs, dits « référentiels », sont complémentaires des spécifieurs du nom : ils expriment la quantité ou les repères. Une telle analyse présente un double avantage : elle récupère des adjectifs auparavant disséminés (numéraux ordinaux, indéfinis, adjectifs modifiant la référence) et elle enrichit le recensement — tout en exploitant un concept déjà disponible du cadre théorique. Elle laisse également envisager des liens avec deux autres classes d’adjectifs non-attributs ignorées par les grammaires : les adjectifs classifiants et affectifs
Several non-predicative adjectives in French do not belong to the two usual classes found in grammars (qualificative and relational). We are proposing a solution within a modular semantic framework which clearly distinguishes the viewpoint of notions from that of reference. As for some nouns and verbs, many non-predicative adjectives do not convey notions but are reference builders. These adjectives, called “referential adjectives”, play a complementary role to the noun’s specifiers: they express either quantity or reference marks. Such an analysis has two advantages: it groups adjectives that have up to now been dispersed (indefinite, ordinal and reference-modifying adjectives) and it enriches the survey — while exploiting a concept already available within the theoretical framework. It also shows connections with two other classes of non-predicative adjectives left aside by grammars: classifying and affective adjectives
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Bonami, Olivier. "Les constructions du verbe : le cas des groupes prépositionnels argumentaux : analyse syntaxique, sémantique et lexicale." Paris 7, 1999. http://www.theses.fr/1999PA070070.

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Hamma, Badreddine. "L'invariant sémantique de la préposition Par à travers les distributions syntaxiques et lexicales." Paris 10, 2005. http://www.theses.fr/2005PA100147.

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Abstract:
Le but de ce travail est de circonscrire l'invariant sémantique de la préposition par en langue à travers ses divers emplois et actualisations discursives. Nous y recourons à une approche autonomiste du sens qui prolonge les thèses saussuriennes et qui revendique le caractère immotivé du signe linguistique : la langue n'est pas un outil qui décrit des réalités objectives ou conceptuelles qui lui préexistent, mais un système de signes où ceux-ci interagissent entre eux et avec d'autres phénomènes linguistiques pour donner sens, en fonction de ce qui est permis et interdit par la langue. Il en ressort que le signifié propre de par – et qui traverse, selon nous, ses différentes facettes discursives – a trait à l'expression d'une " conjoncture " non canonique qui contraste de façon négative et différentielle avec d'autres, présumées plus adéquates, du point de vue du locuteur. Un trait saillant qui caractérise le GP en par est qu'il entre dans une relation de consubstantialité avec le procès de la phrase et son sujet. Ces principes heuristiques ont été établis à partir de l'observation d'un corpus varié des occurrences de ce morphème et validés par un travail empirique à l'aide d'une batterie de tests et de critères morphosyntaxiques, ce qui a permis de cerner les classes distributionnelles que par sélectionne
The aim of this work is to define the semantic invariant of the preposition par in language through its various uses and discursive actualizations. We resorted to an autonomist approach of meaning which relieves and prolongs the saussurian theses and claims the unmotivated character of the linguistic sign: the language is not a tool that describes objective or conceptual entities of the real world that pre-exists to it, but a system of signs that interact with one another and with other linguistic phenomena to “make sense” according to what is allowed or not by the language. It leads to consider that the specific “signified” of par – common, in our opinion, to its various discursive facets – has to do with the expression of an atypical situation that contrasts negatively and differentially with others, presumed more adequate from the speaker's viewpoint. A prominent feature that characterizes the PP introduced by par is its relation of consubstantiality with the verb and the subject of the sentence. These heuristic principles have been established based on the observation of a wide corpus of various occurrences of this item, and have been validated by an empirical work in support of a wide range of morphosyntactical tests and criteria allowing determining distributional classes selected by par
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