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Journal articles on the topic 'Système socio-écologique'

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Lamine, Claire, Sibylle Bui, and Guillaume Ollivier. "Pour une approche systémique et pragmatique de la transition écologique des systèmes agri-alimentaires." Cahiers de recherche sociologique, no. 58 (April 25, 2016): 95–117. http://dx.doi.org/10.7202/1036208ar.

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Abstract:
En partant de la confrontation de trois grands cadres théoriques permettant de traiter des processus de transformation des systèmes agri-alimentaires, les théories des transitions socio-techniques, celles de la sociologie pragmatique, et celles des food regimes, cet article formule une proposition qui emprunte à ces différents cadres pour construire une approche systémique, historicisée et ancrée dans la sociologie pragmatique de ces processus. Approche systémique et historicisée, car il s’agit de saisir comment la modification dans le temps des interdépendances entre certains maillons et acteurs des systèmes agri-alimentaires conduisent à ces processus de transition. Ancrée dans la sociologie pragmatique, car nous proposons également de nous intéresser aux controverses opposant divers acteurs revendiquant une transition écologique, ainsi qu’aux processus de changement de pratiques qu’ils mettent éventuellement en oeuvre. En vue de montrer l’intérêt d’une telle proposition, nous appliquons ensuite cette proposition à trois cas d’étude : d’une part, l’analyse du processus d’institutionnalisation de l’agroécologie au Brésil et en France, et d’autre part, celle de la transition agroécologique à l’échelle d’un système agri-alimentaire territorial.
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Rudolf, Florence. "La transition énergétique entre homéostasie du système et effondrement." Cahiers de recherche sociologique, no. 58 (April 25, 2016): 37–54. http://dx.doi.org/10.7202/1036205ar.

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Abstract:
La transition énergétique prétend ouvrir un nouvel horizon dans le paysage français, mais cet horizon est-il à ce point inédit ? Pour en discuter, nous l’inscrivons dans une série dont elle fait partie. Par bien des aspects, les sémantiques qui rythment cette série partagent bien des points, dont le rejet de la figure révolutionnaire et l’affichage d’une certaine confiance dans la capacité de la modernité à faire face aux enjeux écologiques de la fin du XXe et du début du XXIe siècles. Par-delà cette similitude, le repérage des différences laisse entrevoir avec la référence à la transition un tournant plus menaçant qu’il n’y paraît au premier abord. Si la transition énergétique joue encore la carte de l’homéostasie, cette dernière est assombrie par le spectre d’un effondrement socio-écologique majeur qui s’annonce.
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Rastoin, Jean-Louis, and Papa Abdoulaye Seck. "Nourrir sans détruire avec des systèmes alimentaires territorialisés durables : le cas de l’espace Afrique-Europe." Cahiers Agricultures 33 (2024): 4. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2023028.

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Abstract:
Après quatre transitions technologiques et organisationnelles en 400 000 ans, l’humanité est en quête d’une sécurité alimentaire durable et partagée. En effet, les lourdes externalités négatives du système agro-industriel devenu hégémonique en 150 ans incitent à reconstruire les systèmes alimentaires dans une perspective socio-écologique. Sur la base d’une synthèse de diverses prospectives, les auteurs présentent le scénario alternatif de « systèmes alimentaires territorialisés durables » (SATD) fondés sur la qualité élargie des produits, l’autonomie territoriale, la proximité et la solidarité. Un tel scénario induirait de profonds changements dans les pays du Nord et du Sud, avec des trajectoires contextualisées. Pour l’Europe, il s’agit d’une rupture de tendance. En Afrique, la faible prégnance du modèle agro-industriel suggère une orientation directe vers des SATD, sans passer par ce modèle agro-industriel. À partir de considérations théoriques et empiriques, quatre préconisations sont faites à l’intention des décideurs publics et privés : planification stratégique, prévention des risques par le concept « une seule santé », redéploiement de la chaîne des savoirs, reconfiguration des filières agro-alimentaires et de leurs modes de gouvernance.
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Álvarez-Peredo, Carolina, and Armando Contreras-Hernández. "Nuevos paradigmas en la gestión de esquemas de conservación en México." Regions and Cohesion 13, no. 2 (June 1, 2023): 1–24. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2023.130202.

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Abstract:
Abstract In 1997 Mexico implemented the Management Units for the Conservation and Sustainable Use of Wildlife (UMA by its initials in Spanish) scheme. However, socio-environmental problems and the lack of a multidisciplinary approach prevented it from offering sustainable solutions. Taxonomic and functional diversity in UMAs and their interactions are essential for the preservation of biodiversity and the processes that maintain their ecosystemic integrity. Ecological benefits are insufficient without a multidisciplinary vision. This article addresses a proposal for the management of UMAs and other conservation schemes with three objectives: (1) to include the “socio-ecological system” approach; (2) the recognition of their complexity; and (3) the epistemological transition from ecosystem integrity to antifragility. UMAs constitute integral socio-ecological systems that manage wildlife and habitat as a complex adaptive system precursor to ecosystem antifragility. Resumen En 1997 México implementó el esquema de Unidades de Manejo para la Conservación y Aprovechamiento Sustentable de la Vida Silvestre (UMA). Empero, problemáticas socioambientales y la falta de un enfoque multidisciplinario impidieron ofrecer soluciones sustentables. La diversidad taxonómica y funcional en UMA y sus interacciones son imprescindibles en la preservación de la biodiversidad y los procesos que mantienen su integridad ecosistémica. Los beneficios ecológicos resultan insuficientes sin una visión multidisciplinaria. Este artículo aborda una propuesta de gestión de UMA y otros esquemas de conservación en tres objetivos: (1) enfoque de “sistema socioecológico”, (2) reconocimiento de su complejidad, (3) transición epistemológica de integridad a antifragilidad ecosistémica. Las UMA constituyen sistemas socioecológicos integrales que manejan la vida silvestre y el hábitat como un sistema adaptativo complejo precursor de antifragilidad ecosistémica. RésuméEn 1997, le Mexique a mis en œuvre un schéma d'Unités de Gestion pour la Conservation et Usage Durable de la Vie Sauvage (UMA en espagnol). Cependant, des problématiques socio-environnementales et le manque de perspective pluridisciplinaire ont empêché d'offrir des solutions durables. La diversité taxonomique et fonctionnelle des UMA et leurs interactions sont essentielles à la préservation de la biodiversité et des processus qui maintiennent l'intégrité de leurs écosystèmes. Les bénéfices écologiques qui en résultent sont insuffisants en l'absence une vision pluridisciplinaire. Ce travail aborde une proposition de gestion d'UMA et d'autres schémas de conservation à travers trois objectifs : 1) une perspective de « système socio-écologique » ; 2) la reconnaissance de leur complexité ; 3) une transition épistémologique de l'intégrité à l'anti fragilité écosystémique. Les UMA constituent des systèmes socio-écologiques intégraux qui gèrent la vie sauvage et l'habitat en tant que système adaptatif complexe précurseur d'une anti fragilité systémique.
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Chanteloup, Laine. "Le développement touristique de la communauté d’Arviat, Nunavut." Études/Inuit/Studies 36, no. 2 (May 31, 2013): 59–78. http://dx.doi.org/10.7202/1015978ar.

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Abstract:
Le village inuit d’Arviat, situé au sud-ouest du Nunavut, est aujourd’hui au coeur d’un programme de développement touristique communautaire mené par le Nunavut Tunngavik Inc. et la région de Kivalliq. Ce programme vise à développer les services touristiques de la communauté qui se limitent pour le moment à du tourisme de chasse. Cet article analyse les dynamiques développées par ce programme de tourisme de découverte de l’environnement et décrit ses principaux enjeux. La recherche se fonde sur une revue de la littérature concernant le tourisme au Nunavut, complétée par une enquête de terrain qualitative (entretiens semi-directifs et observations) menée à Arviat en mai 2011. Suite à une présentation du tourisme de chasse, la mise en oeuvre de nouveaux services touristiques est discutée. Le programme tend notamment à renforcer les capacités d’adaptation de la communauté à un système socio-écologique en constante évolution. L’article se termine sur les réalisations du programme et les enjeux futurs.
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Brandt, Per Aage. "De la «sujétion», ou Crise de la sémiotique." Galáxia (São Paulo), no. 44 (August 2020): 29–36. http://dx.doi.org/10.1590/1982-25532020248115.

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Abstract:
Résumé Est-ce que la sémiotique peut théoriser la subjectivité? Etant donné que tout signe communiqué s’inscrit dans un cadre énonciatif, l’inter-subjectivité est présupposée dans la sémiosis, dont elle structure la relation déictique; mais la subjectivité telle quelle, qui relève de la psychologie cognitive et de la phénoménologie, tant existentielle que formelle, est-elle toujours à considérer comme une entité appartenant au domaine du sens et de la sémiosis? Dans cette note, nous avançons l’hypothèse que les sémioses gravitent autour d’une colonne allant du sens symbolico-performatif au sens iconico-libidinal, en passant par le sens cogito-épistémique lié au diagrammatisme. Ce système psycho-sémiotique organise la subjectivité en l’orientant vers la stratification écologique de la socio-sphère, qui passe par les mêmes instances sémiotiques, et vers l’inter-subjectivité communicante. L’occasion d’esquisser cette architecture psycho-sémiotique nous a été offerte par un article, maintenant dé-publié, qui dérivait la subjectivité d’un parcours génératif sémiotique, et qui se trouvait, à notre humble avis, en difficulté par rapport à la cognition et la corporéité qui doivent, ontologiquement, fonder le sujet.
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Édouard, Jean-Charles. "La « revanche » des petites villes : au-delà des discours médiatiques." L'Information géographique Vol. 88, no. 2 (May 29, 2024): 14–31. http://dx.doi.org/10.3917/lig.882.0014.

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Abstract:
Présentées en général dans la littérature scientifique comme fragiles et victimes de la métropolisation en cours, les petites villes semblent, à en croire les médias, bénéficier d’une embellie en raison de la crise sanitaire, se traduisant, en particulier, par l’arrivée de nouvelles populations. Les études scientifiques réalisées à ce jour, notamment sur les migrations résidentielles, ne montrent aucun retournement de situation claire et d’ampleur. Les plus grandes villes continuent à attirer le plus grand nombre d’habitants. Cependant la crise sanitaire à quand même remis les petites villes sur le devant de la scène, en mettant à jour, voire en révélant, leurs atouts par rapport aux évolutions socio-économiques en cours ou souhaitées (réindustrialisation, développement du télétravail, qualité de vie, maillage territorial de proximité). Ces opportunités nouvelles, ou redécouvertes, de dynamisation ne pourront se concrétiser sans relever un certain nombre de défis et valoriser (enfin !) des ressources longtemps trop discrètes (nouvelle centralité en lien avec la transition écologique, système relationnel et capacité d’intégration, nouveau récit territorial valorisant les atouts locaux).
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VOLLET, D., O. HUGUENIN-ELIE, B. MARTIN, and B. DUMONT. "La diversité des services rendus par les territoires d’élevage herbagers fournissant des produits de qualité dans des environnements préservés." INRA Productions Animales 30, no. 4 (June 25, 2018): 333–50. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2264.

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Abstract:
Les zones herbagères de moyenne et de haute montagne fournissent un bouquet de services équilibré qui comprend des services d’approvisionnement (produits de qualité et disposant d’une bonne image auprès des consommateurs), des services environnementaux et de vitalité territoriale. Afin d’expliciter les déterminants de cette diversité, quatre études de cas ont été retenues à des échelles géographiques différentes : AOP Cantal et Laguiole dans le Massif central, région de Franche-Comté, alpages suisses. Une même grille d’analyse a été appliquée à chacune de ces études de cas. Le contexte qui conduit à la situation actuelle est présenté dans une perspective historique, avant que soient analysés leurs principaux services d’approvisionnement, environnementaux et de vitalité territoriale. Chaque étude de cas est synthétisée par une formalisation inspirée d’une analyse en termes de système socio-écologique. Nous discutons par la suite des leviers permettant de mieux concilier les performances productives, environnementales et sociales de l’élevage dans ces territoires. Un levier biotechnique majeur est la recherche d’autonomie fourragère qui permet de réduire les coûts de production tout en bénéficiant à la qualité nutritionnelle des laits et des fromages. Il existe par ailleurs des liens forts entre la nature de la gouvernance des filières et le bouquet de services fournis. Une gouvernance territoriale de filières crée de la valeur en valorisant les ressources locales, et en régulant le système de production par des organisations dédiées ; elle bénéficie conjointement aux services de vitalité territoriale et de qualité de l’environnement. A l’inverse, une gouvernance sectorielle apparait moins favorable. Le développement de formes hybrides de gouvernance (par exemple alimentaire territoriale) constitue l’un des leviers importants.
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May, Viviana Janet Miss, and Claudia Monzón-Alvarado. "Agroindustria porcina en sistemas kársticos." Regions and Cohesion 13, no. 3 (December 1, 2023): 48–74. http://dx.doi.org/10.3167/reco.2023.130304.

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Abstract:
Abstract Pig agribusiness has expanded globally, triggering ecological, health, and social problems. In this review, we adapted the DPSIR model to systematize the impacts and responses as interactions in karst social-ecological systems, whose physical characteristics increase their vulnerability to environmental contamination. We identified 47 publications documenting environmental impacts (45) and responses focusing on improving farm operations, designing better monitoring and surveillance systems, and improving regulatory and planning schemes. To a lesser extent, we document the impacts on governance (17) and health (9), with responses focusing on denouncing and defending the territory. Approaching the karst areas as a social-ecological system allowed us to identify research gaps and reflect on the challenges facing the needed transformation of food production under sustainability and environmental justice principles. Resumen La agroindustria porcina se ha expandido globalmente detonando problemas ecológicos y sociales. En esta revisión, adaptamos el modelo DPSIR para sistematizar los impactos y respuestas como interacciones en sistemas socioecológicos kársticos, cuyas características físicas incrementan su vulnerabilidad por contaminación ambiental. Identificamos 47 publicaciones, que evidencian los impactos en el ecosistema (45) y documentan respuestas para mejorar la operación de las granjas, diseñar mejores sistemas de monitoreo y vigilancia, así como mejorar los esquemas normativos y de planeación. En menor medida documentamos los impactos en la gobernanza (17) y en la salud (9), cuyas respuestas se enfocan en la denuncia y defensa del territorio. Abordar las zonas kársticas como un sistema socioecológico nos permitió identificar vacíos de investigación y reflexionar sobre los desafíos frente a la necesaria transformación de la producción de alimentos bajo principios de sustentabilidad y justicia ambiental. Résumé L'agro-industrie porcine s'est développée à l’échelle mondiale, entraînant des problèmes écologiques et sociaux. Dans cette revue, nous adaptons le modèle DPSIR (forces motrices, pressions, états, impacts, réponses) pour systématiser les impacts et les réponses en tant qu'interactions dans les systèmes socio-écologiques karstiques, dont les caractéristiques physiques augmentent la vulnérabilité à la pollution environnementale. Nous avons identifié 47 publications, 45 axées sur la documentation des impacts sur les écosystèmes qui offrent des réponses visant à améliorer les opérations agricoles, à concevoir de meilleurs systèmes de contrôle et de surveillance, et à améliorer les schémas de réglementation et de planification. Dans une moindre mesure, nous documentons les impacts sur la gouvernance (17 publications) et la santé (9 publications), dont les réponses se concentrent autour de plaintes et de la défense du territoire. L'approche des zones karstiques en tant que système socio-écologique nous a permis d'identifier les lacunes de la recherche et de réfléchir aux défis que pose la transformation nécessaire de la production alimentaire selon les principes de la durabilité et de la justice environnementale.
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Wotoko, Valentin Omasombo, Jean Malekani, Julien Punga, Jean-Philippe Cherel, and Jean-Christophe Bokika. "La Dynamique du Système Socio-écologique dans la Concession Forestière des Communautés Locales de la Rivière Mbali en République Démocratique du Congo: Implication pour la Conservation du Bonobo (Pan Paniscus)." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 6 (February 28, 2023): 456. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n6p456.

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Abstract:
Cette étude a porté sur l’analyse de la dynamique socio-écologique de la Concession Forestière des Communautés Locales de la Rivière Mbali et ses implications sur la conservation du bonobo. L’objectif est de dégager la problématique générale de la conservation du bonobo à travers l’évaluation de la socio-démographie des ménages et l’examen des modes d’utilisation des terres et d’extraction des ressources. L’observation participative, les interviews sur questionnaire ouvert, des entretiens informels et les focus group ont été utilisés pour collecter les données. Les résultats de l’étude montrent que les communautés locales de la concession forestière sont intimement liées à la forêt qu’elles partagent avec le bonobo. Elles en extraient les ressources naturelles, tant pour l’autoconsommation que pour leur économie. Dans cette zone, la chasse aux bonobos est interdite par un tabou alimentaire. L’agriculture itinérante sur brûlis et la collecte des produits forestiers non ligneux sont les principales activités de subsistance et sources de revenus. Avec une population locale en augmentation (la taille de ménage est de l’ordre 7 personnes), toutes ces activités peuvent avoir un impact très négatif sur les populations de bonobos si elles ne sont pas menées d’une manière durable. The disturbance of the environment is at the origin of the destruction of the habitats, it contributes to the loss of the biodiversity and is one of the causes of the change of the flora in a locality. It therefore leads to the transformation of plant associations. The main objective of this study is to research the plant associations in the Banco National Park following village plantations and silvicultural trials due to the search for a methodology specific to African silviculture. To do this, the phytosociological characterization of the former treatment sites and the forest reserve was carried out. The method used is that of synusial phytosociology. The 91 surveys (82 in the former silvicultural treatment sites and 9 in the forest reserve) made it possible to identify 337 species of plants divided into 65 families and 268 genera. The dendrogram resulting from the ascending hierarchical classification of the readings revealed three syntaxa, two of which essentially consist of the readings of the old treatment sites and one of the readings of the forest reserve. No syntaxon contains all the characteristic species of the Turraeantho-Heisterietum association. However, in two syntaxa, the proportion of characteristic species of this association is greater than 50%. 70.59% in the syntaxon to Tarrietia utilis and Cola heterophylla (syntaxon from secondary forests), 52.94% in the syntaxon to Cola chlamydantha and Drypetes chevalieri (syntaxon from the forest reserve). While in the Dacryodes klaineana and Pleiocarpa mutica syntaxon (secondary forest syntaxon), 41% of these characteristic species were recorded. Species characteristic of other forest formations are also poorly represented in the syntaxa (less than 40%). It therefore emerges from this study that Banco National Park remains a forest with Turraeanthus africanus and Heisteria parvifolia.
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Dieng, Dah, Moussa Sow, El Hadji Sow, and Taibou Ba. "Dynamique Spatio-temporelle de la Mangrove du bas Delta du Fleuve Sénégal de 1980 à 2021: Approche par Télédétection et Système d’Information Géographique." European Scientific Journal, ESJ 19, no. 2 (January 31, 2023): 66. http://dx.doi.org/10.19044/esj.2023.v19n2p66.

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Abstract:
Le bas delta du fleuve Sénégal est une zone d’intérêt écologique au regard de la pluralité d’aires protégées qui y sont localisées. Ce milieu, qui se caractérise par la diversité de ses ressources naturelles, développe une très grande vulnérabilité imputable à des causes aussi bien naturelles qu’anthropiques. Depuis quelques décennies, cette fragilité du milieu se répercute sur la mangrove qui assume difficilement ses fonctions écologiques et socioéconomiques. Dès lors, il convient d’analyser la dynamique spatiotemporelle de cet écosystème afin de comprendre les facteurs qui interviennent dans sa dégradation. Dans cette étude, l’objectif a été atteint au moyen de la télédétection à travers le traitement d’images satellitaires Landsat 1980 et 2000, Sentinel 2021 combiné à des travaux de terrains. Cela a permis la réalisation de cartes d’occupation du sol et de cartes de changements. Les résultats démontrent une tendance globale à la hausse de la mangrove avec des espaces couverts qui sont passés de 1 105,82 ha en 1980 à 1 482,32 ha en 2021 malgré une perte de superficies de 166,92 ha sur cette période. The lower delta of the Senegal River is a zone of ecological interest with regard to the plurality of protected areas that are located. This environment, which is characterized by the diversity of natural resources, develops a very great vulnerability due to natural and anthropic causes. For several decades, this fragility of the environment has had repercussions on the mangrove, which is having difficulty fulfilling its socio-economic and ecological functions. Therefore, it is necessary to analyze the spatiotemporal dynamics of this ecosystem in order to understand the factors involved in its degradation. In this study, this objective was achieved by means of remote sensing through the processing of Landsat 1980 and 2000, Sentinel 2021 satellite images combined with field work. This allowed the realization of land use maps and change maps. The results show an overall increasing trend of the mangrove with areas covered that have increased from 1 105.82ha in 1980 to 1 482.32ha in 2021 despite a loss of area of 166.92 ha over this period.
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Ratsimbazafy, Ny Riana Solomalala Andriamarosoa, Clémence Dirac Ramohavelo, Jean-Pierre Sorg, and Alexandre Buttler. "Optimisation socio-économique et écologique des systèmes d'élevage (Menabe central, Madagascar)." Sécheresse 21, no. 3 (July 2010): 211–18. http://dx.doi.org/10.1684/sec.2010.0254.

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Bertrand, Gwenaëlle, and Maxime Favard. "L'approche par la typification dans les formations en design." Journal de recherche en éducations artistiques (JREA), no. 3 (June 4, 2024): 44–60. http://dx.doi.org/10.26034/vd.jrea.2024.5075.

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Abstract:
Ce texte entend défendre l’apprentissage des processus de conception et de concrétisation au sein des formations en design, notamment à l’université, en raison de son potentiel à instruire de nouveaux dialogues socio-industriels. En rappelant les principes de la typification hérités du Staatliches Bauhaus, il s’agit de nous intéresser à leur renouveau à travers la conception probabiliste des systèmes enseignée à la Hochschule für Gestaltung (HfG) Ulm, quelques décennies plus tard. La lecture que nous proposons de ce double héritage nous permet ainsi d’envisager l’approche écologique, économique, sociale et technique (écosociotechnique) à travers les types selon la nécessité d’une soutenabilité industrielle.
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Madelrieux, Sophie, and Barbara Redlingshöfer. "Métabolisme associé aux systèmes agri-alimentaires : enjeux et diversité d’approches dans la communauté de recherche française." Cahiers Agricultures 32 (2023): 8. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2023001.

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Abstract:
Dans un contexte de crise écologique et énergétique où il convient de mieux appréhender comment ré-inscrire les systèmes agri-alimentaires à la fois dans les territoires et les limites planétaires, les recherches sur le métabolisme des sociétés se multiplient. Elles ont différentes origines, mais se rejoignent sur l’importance de prendre en considération les bases matérielles et énergétiques du fonctionnement de notre société. La mobilisation du concept de métabolisme des sociétés se déploie pour appréhender les systèmes agri-alimentaires surtout à partir des années 2010, alors que son origine est bien plus ancienne. Cet article propose de présenter une revue des travaux dans la communauté française s’intéressant aux systèmes agri-alimentaires par des approches socio-métaboliques. Partant d’un recensement de 90 publications, nous montrons la diversité des approches renvoyant à différents enjeux associés à des dimensions matérielles, biogéochimiques, énergétiques, géographiques, économiques, d’organisation des acteurs et de gouvernance, culturelles et sociales du métabolisme social. Ces approches se déploient sur une variété de systèmes, de l’échelle mondiale à l’exploitation agricole, et avec trois grands types d’usage : comprendre les processus en jeu et scénariser des transformations ; identifier les vulnérabilités des systèmes ; rendre visible l’invisible pour l’action et les politiques publiques. Nous discutons les positionnements de la communauté française, notamment par rapport à la communauté internationale, afin d’en dégager des perspectives de recherches.
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El Aayadi, Soufiane, Abdelilah Araba, and Magali Jouven. "Impact de l’altitude sur les caractéristiques des systèmes d’élevage extensifs dans le Haut Atlas central, Maroc." Cahiers Agricultures 29 (2020): 33. http://dx.doi.org/10.1051/cagri/2020030.

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Abstract:
Dans les régions de montagne, la pérennité des systèmes d’élevage extensifs constitue un enjeu socio-économique et écologique majeur. Notre étude a pour objectif d’analyser la diversité des systèmes d’élevage de petits ruminants dans le Haut Atlas central du Maroc, en fonction de l’altitude. Pour cela, des enquêtes ont été réalisées auprès de 90 éleveurs dans trois communes de la province d’Azilal, situées respectivement en étage inférieur de moyenne montagne, étage supérieur de moyenne montagne et haute montagne. En comparant les élevages sur la base de leur commune d’appartenance, nous montrons que l’altitude a un effet significatif sur leur structure et leur conduite, ainsi que sur certains paramètres sociaux comme l’éducation des éleveurs. En réalisant une typologie sur base statistique, nous identifions quatre types d’élevages : deux types plus extensifs et pastoraux aux étages supérieurs et deux autres intensifiés et associés à l’agriculture en étage inférieur, avec une diversité de situations en termes de structures et de pratiques d’élevage. Cette typologie est cohérente avec les contraintes et opportunités propres à chaque étage altitudinal.
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DURU, M., C. DONNARS, J. RYCHAWY, O. THEROND, and B. DUMONT. "La « grange » : un cadre conceptuel pour appréhender les bouquets de services rendus par l’élevage dans les territoires." INRA Productions Animales 30, no. 4 (June 25, 2018): 273–84. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2017.30.4.2259.

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Abstract:
L’élevage et les produits animaux sont souvent examinés par domaine (environnement, économie) ou par niveau d’organisation (exploitation agricole, filière, territoire, pays) si bien qu’il est difficile d’évaluer simultanément la diversité des services et impacts issus de l’élevage dans les territoires. En cohérence avec la littérature scientifique sur les systèmes socio-écologiques, nous avons représenté l’élevage et ses produits à l’interaction de trois systèmes (écologique, technique et social). Ceci permet d’identifier la diversité des facteurs (interactions biotiques, pratiques, modes d’organisation) à l’origine des impacts et des services rendus par l’élevage. Nous en avons ensuite dérivé une représentation simplifiée, « la grange » qui permet de visualiser l’élevage (l’usage des terres, les animaux…) et ses impacts ou services sur cinq interfaces (les intrants, l’environnement et le climat, les marchés, le travail et l’emploi, et les enjeux sociaux et culturels), et les synergies/antagonismes entre services au sein d’un territoire. Nous définissons ensuite différentes formes d’élevage afin de représenter la diversité de l’élevage entre territoires, et d’identifier différentes voies d’innovation pour augmenter ses services et réduire ses impacts. Celles-ci se distinguent par l’insertion des élevages dans les systèmes alimentaires (mondialisés vs territorialisés), ainsi que par l’autonomie en intrants pour l’alimentation des animaux. Cette classification est mobilisée pour introduire les différents cas d’études analysés dans ce numéro spécial.
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Fortunel, Frédéric. "La poule en amateur. Analyse socio-spatiale des motivations d’élevage de Gallus gallus domesticus par les particuliers en France." Espaces et sociétés 191, no. 1 (May 17, 2024): 131–50. http://dx.doi.org/10.3917/esp.191.0131.

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Abstract:
Depuis que la poule est considérée comme un nouvel animal de compagnie, elle semble être devenue une contributrice zélée de la transition socio-écologique. En faisant son retour dans les jardins urbains et ruraux, elle est sur le point de faire oublier son statut d’animal de rente autrefois cantonné aux basses-cours paysannes. Ces dynamiques sociales et spatiales concourent à transformer les systèmes domesticatoires de l’animal et mettent en lumière la nature labile des rapports entre humains et non-humains. Grâce à une enquête portant sur les raisons qui poussent les particuliers en France à posséder une gallinacée, il s’agit de comprendre quelles sont les caractéristiques de l’élevage amateur actuel dans ses configurations sociales et spatiales. La première partie analyse les dynamiques qui favorisent le retour des poules dans les jardins des aires urbaines alors que la seconde partie s’attache à analyser plusieurs variables sociales des éleveurs amateurs.
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BISSONNETTE, Jean-François, Geneviève LAROCHE, Alain OLIVIER, Nancy GÉLINAS, Marie SAYDEH, and Alain CAGLIASTRO. "Quelles trajectoires agroforestières ? Perspectives dégagées lors du cinquième Congrès mondial d'agroforesterie : « En transition vers un monde viable »." BOIS & FORETS DES TROPIQUES 356 (June 30, 2023): 5–12. http://dx.doi.org/10.19182/bft2023.356.a37034.

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Abstract:
L’article propose une synthèse et une lecture critique de certaines des grandes thématiques abordées lors du cinquième Congrès mondial d’agroforesterie qui s’est déroulé du 17 au 20 juillet 2022 à Québec, au Canada, sous l’intitulé « En transition vers un monde viable ». Le congrès a mis en évidence le rôle clé des pratiques agroforestières pour faire face à certains défis environnementaux et socio-économiques les plus criants, dont l’adaptation aux changements climatiques, le maintien de la biodiversité et la diversification économique en milieu rural. Si la pertinence de diffuser les pratiques agroforestières à l’échelle mondiale fait consensus, plusieurs tensions émergent, notamment en raison du contraste entre les systèmes agroforestiers en contexte d’agriculture spécialisée et les systèmes paysans, ainsi que la dualité entre la restauration écologique pour générer des crédits carbone et celle qui vise en priorité à répondre aux besoins des collectivités, dont la conception et la mise en œuvre ne sont pas dépendantes de la vente de crédits carbone. Le congrès a permis de mettre en relief trois perspectives différentes. La première perspective conçoit l’agroforesterie sur un mode plutôt productiviste et dans des aspects plutôt techniques, où on accepte l’utilisation d’un nombre restreint d’espèces exotiques afin d’atteindre des objectifs de production spécifiques. Une seconde perspective autorise la conversion d’écosystèmes diversifiés en plantations d’arbres commerciaux exotiques, parfois monospécifiques, sans considération pour les impacts socio-économiques et culturels de ces aménagements. Une troisième perspective invite quant à elle à revisiter les systèmes agroforestiers paysans, afin de maintenir ou de recréer des agro-écosystèmes agroforestiers diversifiés et multifonctionnels. Une telle perspective associe étroitement l’agroforesterie à l’agro-écologie, qui vise la mise en place d’agro-écosystèmes et de systèmes alimentaires diversifiés basés sur des connaissances locales. Dans ce contexte, un des principaux défis de l’agroforesterie pourrait bien être de proposer, de concert avec l’agro-écologie, une nouvelle trajectoire de diversification des agro-écosystèmes afin de réussir la transition vers un monde viable.
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Chabi, Biaou Ibidun Hervé, Akibou A. Akindele, Hervé Yabi, and Euloge Ogouwale. "Trajectoires de l'agriculture familiale face aux changements climatiques dans la zone agro-écologique 3 du Bénin." Proceedings of the International Association of Hydrological Sciences 384 (November 16, 2021): 325–30. http://dx.doi.org/10.5194/piahs-384-325-2021.

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Abstract:
Abstract. La présente recherche décrit la trajectoire de l'agriculture familiale en lien avec les changements climatiques dans la Zone Agro-Ecologique 3 du Bénin (ZAE-3). Les données utilisées sont obtenues auprès des exploitants agricoles grâce à la Méthode d'Investigation Socio-Historique. L'analyse de la trajectoire de l'agriculture familiale a été faite suivant trois générations d'agriculteurs. Ainsi, la Classification Hiérarchique Ascendante et l'Analyse en Composantes Principales sont mises à contribution pour l'analyse des principales étapes d'évolution des exploitations agricoles familiales (EAF). Face aux effets des changements climatiques, les exploitants agricoles ont mis en œuvre diverses mesures ayant favorisé l'adaptabilité de l'agriculture familiale. Au-delà de leurs mérites, lesdites mesures présentent de limites qui se résument à leur inefficacité face aux événements climatiques extrêmes. Des mutations et transformations (techniques et sociales) profondes sont intervenues dans le processus d'évolution de l'agriculture familiale. Ainsi, dans le cadre de l'adaptation aux changements climatiques, quatre (4) grandes étapes ont marqué l'évolution des EAF à savoir le maintien du système traditionnel de production (13 %), l'agrandissement de la taille de l'exploitation (18 %), la tendance à l'intensification et l'innovation au sein des EAF (19 %) et la diversification des activités agricoles (49 %).
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Josée Bernice HOUESSIONON, Finagnon, Gabriel Assouan BONOU, Gbénagnon Serge AHOUNOU, Mahamadou DAHOUDA, Tossou Jacques DOUGNON, Guy Apollinaire MENSAH, Sallou BANI KOGUI, and Issaka YOUSSAO ABDOU KARIM. "Caractéristiques de l’élevage du canard de Barbarie dans les zones agro-écologiques du Sud-Bénin." Journal of Applied Biosciences 145 (January 31, 2020): 14862–79. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.145.3.

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Objectif : L’élevage du canard de Barbarie est moins développé au Bénin comparativement aux poulets et à la pintade. L’objectif de l’étude est de caractériser cet élevage dans le Sud du Bénin. Méthodologie et résultats : Ainsi, une enquête a été réalisée de Juin 2015 à Août 2016 dans 213 élevages de canard de Barbarie répartis dans trois zones agro-écologiques: dépression, pêcheries et terres de barre. L’élevage de canard de Barbarie est pratiqué par plusieurs catégories socio-professionnelles dont l’âge varie de 39 à 42ans. Il est plus pratiqué par les hommes dans les zones des pêcheries (67,86 %) et des terres de barre (78,50 %) et plus par les femmes (59,55 %) dans la zone de dépression (p<0,05). Les éleveurs de canard sont majoritairement non scolarisés et la plupart des élevages ont été créés entre 2000 et 2016. La proportion des aviculteurs qui élèvent les canards de Barbarie en divagation dans la zone de dépression (90,91 %) est significativement plus élevée (p<0,05) que celles des zones des pêcheries (52,38 %) et des terres de barre (63,55 %). Les éleveurs qui distribuent des céréales, des sous-produits agricoles et des restes de cuisine aux canards dans la zone de dépression (100 %) et dans la zone des pêcheries (95,24 %) sont plus fréquents (p<0,05) que ceux de la zone des terres de barre (69,16 %). La fréquence des éleveurs de la zone de dépression (31,82 %) qui font l’élevage des canards de Barbarie pour la vente et l’auto consommation est inférieure (p<0,05) à celles des zones des pêcheries (57,14 %) et des terres de barre (67,29 %). Dans la zone des terres de barre, la proportion des éleveurs (63,21 %) qui soigne les canards est supérieure (p<0,05) à celle des zones des pêcheries (46,43 %) et de dépression (36,36 %). A l’exception de l’alimentation, les canards ne sont pas exigeants pour l’habitat ; ils croissent mieux et résistent plus aux pathologies comparativement aux poulets dans les trois zones de l’étude. Conclusion et application : L’élevage des canards de Barbarie dans le Sud du Bénin est de type familial avec une diversité observée dans le mode d’élevage, l’alimentation et le suivi sanitaire dans les différentes zones agro écologiques. Les résultats contribueront à la mise en place d’un programme d’amélioration des systèmes d’élevage. Mots clés : Elevage ; Canard de Barbarie ; Zone agro-écologique ; Bénin ABSTRACT Background and objective: Muscovy duck breeding is less developed in Benin compared to chickens and guinea fowl. The study aimed to characterize this breeding in South-Benin. Methodology and results: A survey was carried out from June 2015 to August 2016 in 213 Muscovy duck farms in three agro-ecological zones: depression, fisheries and bar lands. The Muscovy duck breeding is practiced by several socio-economic professional categories whose age varies from 39 to 42 years. It is more practiced by men in fisheries (67.86%) and bar lands (78.50%) zones and more by women (59.55%) in depression zone (p<0.05). Duck farmers are largely out-of-school persons and most of the farms were created between 2000 and 2016. The proportion of poultry producers who breeds Muscovy ducks in free range in depression zone (90.91%) is significantly higher (p<0.05) than those in fisheries (52.38%) and bar lands (63.55%) zones. Breeders giving cereals, by-products and kitchen leftovers in depression zone (100%) and in fishery zone (95.24%) are more frequent (p<0.05) than those in bar lands area (69.16%). The frequency of breeders in depression zone (31.82%) who rear Muscovy ducks for sale and self-consumption is lower (p<0.05) than those in fisheries (57.14%) and in bar lands (67.29%) zones. In bar lands zone, the proportion of breeders (63.21%) who gives ducks medical care is higher (p<0.05) than that of fisheries (46.43%) and depression (36.36%) zones. Frequencies of breeders treating ducks by self-medication in bar lands (50.47%) and fisheries (40.24%) zones are higher (p<0.05) than that of depression (4.55%). A part from feeding, ducks are not exigent for habitat; they grow better and are more resistant to pathologies compared to chickens in the three study areas. Conclusion and application: The Muscovy duck breeding in the three agro-ecological zones is of family type with a diversity observed in the farming method, feeding and health monitoring in the different agro-ecological zones. The results will contribute to set a program improving the breeding systems. Keywords: Breeding; Muscovy duck; Agro-ecological zone; Benin.
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MORAND-FEHR, P. M., R. BAUMONT, and D. SAUVANT. "Avant-propos : Un dossier sur l’élevage caprin : pourquoi ?" INRAE Productions Animales 25, no. 3 (August 25, 2012): 227–32. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2012.25.3.3210.

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Abstract:
Un dossier d’INRA Productions Animales consacré à l’élevage caprin en 2012 peut surprendre. Représentant moins de 1% du produit brut de l’Agriculture Française, cet élevage largement ancré dans son environnement socioculturel local et dans la tradition de terroirs variés, évoque encore, mais de moins en moins, des images du passé comme celle de la «vache du pauvre» ou de la grandmère gardant trois chèvres au bord du chemin. Cet élevage s’est en effet marginalisé au XIXème siècle et dans la première moitié du XXème siècle dans les pays qui s’industrialisaient, notamment en Europe où l’effectif caprin ne représente plus actuellement que 2% du total mondial. De nombreux arguments ont milité pour éditer ce dossier, d’abord la rapide transformation de l’élevage caprin à la fin du XXème siècle et plus encore dans ces premières années du XXIème siècle, ensuite des travaux originaux conduits récemment sur l’espèce caprine, qui sont venus combler le retard important que cette espèce avait accumulé en matière de recherches agronomiques et vétérinaires. A l’échelle mondiale, l’élevage caprin est celui dont les effectifs ont le plus augmenté au cours de ces vingt dernières années (FAOSTAT 2010) : 4ème troupeau mondial avec plus de 900 millions de têtes (470 millions en 1975) derrière les bovins, les ovins et les porcins ; d’après les prévisions, il deviendrait le 3ème autour de 2015. Nombreuses sont les explications à cette situation un peu paradoxale, mais deux sont souvent avancées par les experts. Cette progression actuelle des effectifs caprins s’observe presque exclusivement dans les pays en développement et dans certains pays émergents. Elle serait surtout due aux difficultés que rencontre le maintien de l’élevage des autres espèces domestiques dans ces zones, dans certains cas du fait de l’appauvrissement des éleveurs et des acteurs des filières animales. Cette progression tient aussi au fait que le marché des caprins a une réalité essentiellement locale et que, dans ces conditions, il n’est pas exposé aux crises internationales que le marché des produits des autres espèces a pu subir au cours des quarante dernières années. En Europe, les effectifs caprins sont restés assez stables : 12,5 M de têtes au total, 1,3 M en France dont 1,1 M de femelles laitières âgées de plus d’un an. La France possède le troisième troupeau (10% des effectifs européens), assez loin derrière la Grèce (37%) et l’Espagne (22%). Il convient de noter la progression importante des effectifs caprins en Roumaine et aux Pays-Bas au cours de la dernière décennie. L’élevage caprin européen, et particulièrement l’élevage français, s’est fortement spécialisé en production laitière puisque 75 à 93% environ du produit brut des ateliers caprins en France provient du lait. En effet, la marge brute que dégage la production de chevreaux de boucherie est réduite en raison des coûts des aliments d’allaitement et des aléas liés à la mortalité périnatale. Des avancées dans les techniques d’élevage, notamment dans les domaines de l’alimentation et de la génétique, ont permis des améliorations assez rapides des performances des femelles laitières. La production laitière moyenne des 240 000 chèvres inscrites au contrôle laitier en 2010 était de 842 kg de lait sur une durée moyenne de lactation de 274 jours avec un taux protéique de 32,3 g/kg de lait et un taux butyreux de 37,0 g/kg de lait. Le plus intéressant à noter, c’est qu’en dix ans la production laitière annuelle au contrôle laitier a progressé de 90 kg, le taux protéique de 1,6 g/kg et le taux butyreux de 2,5 g/kg (Institut de l’Elevage 2012). La France est le premier producteur européen de lait de chèvre avec 30% du lait produit. Plus de 80% de ce lait est transformé en fromages. Même si la consommation présente quelques signes d’essoufflement actuellement, l’augmentation de la production de lait de chèvre depuis plus de trente ans et en conséquence celle des fromages a en général été bien absorbée par la demande, en progression malgré quelques périodes tendues. Ce résultat est dû notamment à de nouveaux produits de qualités rhéologique et organoleptique bien adaptées pour conquérir de nouveaux marchés, à l’utilisation de technologies avancées en matière fromagère et à la bonne image de ce fromage (produit festif et de qualité) auprès des consommateurs. Le secteur caprin en France a suivi l’évolution générale des productions animales : mécanisation du travail, simplification des techniques pour réduire le coût de production et pour améliorer l’efficacité du travail, augmentation rapide de la taille des unités de production. Plus de 35% de chèvres laitières appartiennent à des unités de plus de 350 têtes et la production est de plus en plus concentrée dans une région, le Poitou-Charentes, qui produit plus de 50% du lait de chèvre en France et en transforme encore plus. Bref, cette évolution et ces résultats, malgré un contexte qui tend à devenir de moins en moins favorable, s’expliquent par de multiples raisons, entre autres, la mise en place d’une filière bien organisée, des éleveurs motivés et le plus souvent passionnés par leur métier et une coopération étroite et efficace entre la recherche et le développement tant au niveau national que régional. Cette coopération exemplaire a débuté dès les années 1955-1965 avec des pionniers comme G. Ricordeau, à qui l’on doit la mise en évidence du gène sans corne expliquant le taux élevé d’infertilité en caprins, facteur qui a longtemps freiné le développement caprin (Ricordeau 2008) et J.-M. Corteel, qui a beaucoup travaillé sur la mise au point des techniques d’insémination artificielle (Leboeuf 2013). Ils ont su gagner la confiance des éleveurs, même parfois de petites unités. Ce lien s’est poursuivi et développé ensuite grâce à la création de la section caprine de l’Institut technique ovin et caprin (ITOVIC), mais aussi par des relations directes et personnelles entre chercheurs et responsables du développement ou par des réunions informelles autour de certains problèmes que rencontraient les éleveurs.Cette coopération a très bien résisté dans les années 1980, d’une part, aux nouvelles demandes des éleveurs qui donnaient la priorité aux questions socio-économiques suite à la première crise du prix du lait de chèvre en 1981 et, d’autre part, aux évolutions de la politique de l’INRA, qui face aux nouveaux enjeux scientifiques et technologiques, a été conduit à considérer comme moins prioritaire certaines recherches appliquées intéressant le développement. Ainsi, malgré l’évolution des problématiques scientifiques et des relations entre le monde de la recherche et du développement, mais aussi face au développement rapide de la recherche caprine dans les pays émergents, la recherche caprine en France est toujours très active. Un sondage bibliométrique montre que le nombre de publications avec «dairy goat» en mot-clé, de 250 à 300 par an dans les années 1980-1990, s’est accru nettement au début des années 2000 pour se situer actuellement vers les 700 publications par an. Au cours des dix dernières années, les pays qui ont le plus contribué à ces publications ont été la France, donc l’INRA, suivie par les USA, l’Italie et l’Espagne, eux-mêmes suivis par le Brésil, le Mexique et la Turquie. Ce dossier de la revue INRA Productions Animales a donc pour objectif d’illustrer le dynamisme des recherches menées en France sur les caprins, s’il était encore nécessaire de le faire. Le choix des six thèmes de recherche retenus pour constituer ce numéro n’a pas été aisé en raison du nombre de thèmes possibles. L’ambition de ce dossier n’étant pas d’être exhaustif, la rédaction de la revue et son comité se sont mis d’accord pour ne pas retenir de sujets dans les domaines où les publications ont déjà été nombreuses. C’est le cas, par exemple, de la traite des chèvres laitières (Le Du 1989, Marnet et al 2001), du polymorphisme de la caséine alpha chez les caprins (Grosclaude et al 1994, Manfredi et al 1995) ou encore de la reproduction caprine. INRA Production Animales a en effet déjà publié des articles exhaustifs sur la neuro-endocrinologie de la reproduction chez le caprin (Chemineau et Delgadillo 1994), sur le comportement sexuel de cette espèce (Fabre-Nys 2000), sur la production et la conservation de semence de bouc (Leboeuf et al 2003) et récemment sur la maîtrise de la reproduction de l’espèce caprine (Leboeuf et al 2008). Il a été proposé de sélectionner des thèmes novateurs ou riches en résultats récents, qui intéressent le développement de l’élevage caprin en France, mais aussi de portée internationale. Dans ces conditions, il a d’abord été retenu trois thèmes représentant des dimensions basiques de l’élevage : génétique, pathologie, alimentation avec des articles faisant le point sur les dernières avancées dans chaque secteur, et trois autres thèmes originaux et porteurs d’avenir, le pâturage des chèvres laitières hautes productrices, les apports de la modélisation pour comprendre le fonctionnement du troupeau de chèvres laitières et les techniques rationnelles d’élevage caprin en milieu tropical. Le premier article de Manfredi et Ådnøy (2012) sur la génétique des caprins laitiers, est un travail franco-norvégien illustrant la collaboration continue sur ce thème entre les deux pays depuis près de 50 ans. Il fait le point sur les études de génétique polygénique relatives à la production et à la composition du lait. Il traite de l’approche moléculaire qui démarre en caprins et surtout répond à la question d’actualité sur ce que nous pouvons attendre dans les années futures de la sélection génomique en caprins. Le deuxième article de Hoste et al (2012) sur la pathologie caprine, a réuni des spécialistes de l’INRA, des écoles vétérinaires, de l’Anses et de l’Institut de l’Elevage. Il fait le point sur les recherches en cours et leurs applications concernant diverses pathologies infectieuses d’actualité dans le secteur caprin. Ainsi il passe en revue les principales pathologies provoquées par les prions et les virus, par les agents bactériens et la question des parasites gastro-intestinaux. L’article évoque aussi le projet de la mise en place d’un observatoire des maladies caprines en France. Il se termine par une réflexion intéressante soulignant la proximité des agents pathogènes en ovins et caprins et les différences dans les processus morbides chez ces deux espèces. Il en conclut que des études originales sur caprins sont tout à fait fondamentales pour appréhender certains mécanismes pathogéniques. L’article suivant de Sauvant et al (2012) se propose d’actualiser les recommandations alimentaires des caprins publiées en 2007, pour répondre à une demande du développement. Les avancées dans ce domaine proviennent notamment d’une approche modélisée de la connaissance des nombreuxfacteurs de variation du poids vif, de la production laitière et de la composition de lait. Les lois de réponse plus précises aux apports d’aliments concentrés, les nouvelles lois de réponse concernant la sécrétion des acides gras du lait ainsi que les excrétions d’azote et de méthane, ainsi que les valeurs repères applicables sur le terrain concernant le comportement alimentaire, l’acidose et les besoins en eau sont les principales nouveautés. L’alimentation représente, rappelons-le, 70% en moyenne du prix de revient du litre de lait de chèvre. Parmi les trois articles plus spécifiques sur des sujets originaux, figure l’article de Lefrileux et al (2012) sur l’aptitude des chèvres hautes productrices de lait à valoriser les prairies temporaires au pâturage. Il répond à des demandes variées, notamment la demande sociétale pour une conduite d’élevage plus écologique. Or, peu d’information existe sur ce sujet, d’une part, en raison de la diminution de ce mode d’alimentation à cause des problèmes parasitaires rencontrés et, d’autre part, car la chèvre a la réputation d’être une mauvaise utilisatrice du pâturage et d’avoir un comportement très affirmé pour sélectionner son ingéré. Les auteurs montrent qu’il est possible d’obtenir des performances laitières de 1000 – 1100 kg de lait par an et par chèvre avec des régimes alimentaires où plus de 50% des besoins énergétiques sont couverts par le pâturage. L’étude du fonctionnement du troupeau caprin est un sujet qui a déjà été développé à l’INRA (Santucci et al 1994) mais, au cours de ces dernières années, elle a fait l’objet d’avancées importantes grâce à l’utilisation de la modélisation. L’article de Puillet et al (2012) présente un simulateur de fonctionnement du troupeau caprin laitier permettant de tenir compte de la variabilité individuelle des carrières animales et d’étudier comment les conduites de l’alimentation et de la reproduction mises en œuvre par l’éleveur, modulent les performances du troupeau. De tels outils sont appelés à l’avenir à avoir diverses applications au niveau du terrain pour les agents de développement, par exemple pour quantifier le risque biologique associé à certaines conduites d’élevage. Le Centre INRA des Antilles-Guyane travaille depuis plus de 50 ans sur l’amélioration des systèmes de production caprine en milieu tropical (Alexandre et al 1997). Alexandre et al (2012) présentent dans le dernier article de ce numéro une synthèse sur la situation de l’élevage caprin en zone tropicale. Rappelons que 95% des caprins vivent en milieu tropical. A travers leur grande expérience du sujet, ces auteurs proposent des voies d’amélioration très prometteuses grâce à l’apport d’intrants bien réfléchi techniquement et économiquement, à l’utilisation de l’effet mâle en reproduction et à une complémentation à base d’aliments non conventionnels. Les six articles de ce numéro ne doivent pas occulter les autres recherches sur les caprins effectuées par l’INRA ou d’autres organismes. Comme il n’est pas possible d’être exhaustif, citons simplement quelques exemples qui peuvent intéresser le développement : la maîtrise de la reproduction femelle sans utilisation d’hormones pour répondre aux cahiers des charges de certains produits caprins labellisés (Brice et al 2002) ; la monotraite, technique qui a priori séduit les éleveurs en permettant une réduction de charge de travail (Komara et Marnet 2009) ; les risques d’acidose en liaison avec le comportement alimentaire des chèvres laitières, trouble métabolique encore fréquent avec certainstypes de régimes et dont les conséquences économiques peuvent être importantes (Desnoyers et al 2009) ; l’évaluation des systèmes de production caprine (Bossis et al 2008, Toussaint et al 2009) sans oublier les travaux de technologie laitière réalisées par l’ITPLC sur le fromage de chèvre (Raynal-Ljutovac et al 2007a). Il faut noter aussi le début d’études sur le bien-être des caprins (Servière et Morand-Fehr 2012) et le besoin de travaux sur les lactations longues (14 - 20 mois),technique qui séduit de plus en plus d’éleveurs. Nous devons aussi signaler deux documents importants, l’un sur la qualité du lait de petits ruminants (Haenlein et al 2007) et l’autre sur la production et la qualité de la viande caprine (Mahgoub et al 2011) dans lesquels les travaux de recherches français sur l’influence des systèmes d’alimentation sur la qualité du lait de chèvre (Morand-Fehr et al 2007), sur la stabilité à la chaleur de ce lait (Raynal-Ljutovac et al 2007b) et sur la composition lipidique du chevreau (Morand-Fehr et al 2011) sont présentés. Il nous reste à souhaiter que la lecture de ce numéro apporte une somme d’informations originales à tous les lecteurs cherchant à prendre connaissance des dernières avancées de la recherche caprine et que la recherche caprine se maintienne et se développe à l’avenir en France pour répondre aux demandes de la filière, mais aussi en milieu tropical où les caprins jouent un rôle socio-économique essentiel pour certaines populations rurales.
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Custódio, Wenderson Picanço, Juliana Vitória Rocha Leite Chaves, Patrícia Trindade Pantoja, Anneli Mercedes Celis de Cárdenas, Rosemary Ferreira de Andrade, Demilto Yamaguchi Dapureza, and Amanda Alves Fecury. "Processus santé-maladie dans la région amazonienne: facteurs environnementaux et émergence de maladies." Revista Científica Multidisciplinar Núcleo do Conhecimento, December 7, 2021, 05–21. http://dx.doi.org/10.32749/nucleodoconhecimento.com.br/sante/emergence-de-maladies.

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Introduction: L’Amazonie a toujours fait l’objet de nombreuses études portant sur son environnement, sa société et sa santé. Question du guide: Quels facteurs environnementaux contribuent à l’émergence de maladies dans la région amazonienne ? Objectif: s’attaquer aux principaux facteurs environnementaux qui contribuent à l’émergence de maladies dans la région amazonienne. Méthode: Il s’agit d’une revue de la littérature dans les bases de données Scientific Electronic Library Online (SciELO), US National Library of Medicine National Institutes of Health (PubMeD), Bibliothèque Virtuelle de Santé (BVS) et National Institute of Space Research (INPE). Au total, 18 articles ont été utilisés dans la construction de l’étude, qui ont tous passé par les critères d’inclusion et d’exclusion établis afin de filtrer uniquement les revues avec des approches thématiques. Résultats: Du point de vue épidémiologique, l’espace amazonien formé par l’interaction du système socio écologique a des caractéristiques différentes des autres parties du pays. Cette différence est causée par le fondement écologique naturel et ses formes d’occupation et de développement. Conclusion: Les principaux facteurs environnementaux qui contribuent à l’émergence de maladies dans la région amazonienne sont la déforestation, le brûlage, la pollution des rivières, le processus d’urbanisation et l’agro-industrie.
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Diallo, Alassane. "Changement climatique et migrations humaines au Sénégal : une approche en termes de vulnérabilité du système socio-écologique." Revue de la régulation, no. 26 (November 7, 2019). http://dx.doi.org/10.4000/regulation.15800.

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Lalouvière, Nicole de. "Conceptualiser les « paysages culturels en commun » : reconstituer l’évolution de la réflexion écologique, des études du paysage alpin suisse jusqu’aux systèmes socio-écologiques." Revue de géographie alpine, no. 109-1 (April 3, 2021). http://dx.doi.org/10.4000/rga.8414.

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Nokam Motio, Nina Gaëlle, and Aristide Yemmafouo. "Gestion de l’Environnement dans les Villes Industrielles : Faillite de la Responsabilité Sociale des Entreprises ou Absence de Contrôle des Communes? L’Exemple de Douala au Cameroun." European Scientific Journal ESJ 26 (February 29, 2024). http://dx.doi.org/10.19044/esipreprint.2.2024.p45.

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La ville de Douala connait une croissance urbaine et industrielle non contrôlée. Cette situation a pour conséquence la dégradation du cadre de vie par les pollutions industrielles. Ces pollutions suscitent des revendications des populations riveraines sur la scène publique. Pourtant les entreprises se targuent de maîtriser leurs rejets à travers des systèmes de management environnemental et la promotion de bonnes pratiques de responsabilité sociale. Les auteurs soutiennent que la dégradation de l’environnement à Douala est liée à l’échec des politiques de management de l’environnement dans les entreprises industrielles et l’absence de légitimité des communes dans le contrôle de la qualité de l’environnement industriel. L’objectif de cet article est d’analyser les politiques de management environnemental dans le contexte industriel de Douala et d’argumenter pour une légitimité des communes dans le contrôle de la qualité de l’environnement en milieu industriel. L’approche méthodologique est basée sur trois années d’observation des pratiques environnementales des entreprises, suivi d’un sondage auprès d’un échantillon de 100 entreprises choisies dans deux les pôles industriels de Douala. Les entretiens avec une quinzaine de responsables des politiques environnementales en entreprise et un sondage auprès d’un échantillon de 100 ménages riverains des zones industrielles ont complété ces observations. L’étude met en évidence la pluralité des pôles industriels dans la ville de Douala (Bonabéri, Bassa et la zone d’extension industrielle (Yassa), l’incivisme environnemental des entreprises caractérisé par : l’absence de plans de gestion environnementale et sociale (PGES) fonctionnel, les pollutions et nuisances de plus en plus perceptibles par les populations, les infractions à la règlementation. Le questionnement sur la responsabilité sociale met en relief les manquements dans le management environnemental des entreprises et la timidité dans l’appropriation des compétences environnementales jadis transférées aux communes. La gestion des espaces industriels a une portée socio-économique, politique, stratégique et écologique qui doit être le leitmotiv des industries camerounaises pour répondre aux principes du« Global compact » et partant, du développement durable. Douala operates in an uncontrolled urban and industrial growth environment. This situation results in the degradation of the living environment by industrial pollution. These pollutions lead to the uprising of local populations on the public scene. However, companies claim to control their emissions through environmental management systems and the promotion of good social responsibility practices. The authors argue that the degradation of the environment in Douala is linked to the failure of environmental management policies in industrial companies and the lack of legitimacy of the municipalities in controlling the quality of the industrial environment. The objective of this article is to analyze environmental management policies in the industrial context of Douala and to argue for the legitimacy of the municipalities in controlling the quality of the environment in industrial area. In addition, interviews with around fifteen responsible for environmental policies in companies and a survey of a sample of 100 households living near industrial zones were conducted. The study highlights the plurality of industrial centers in the city of Douala (Bonabéri, Bassa and industrial extension zone (Yassa), the environmental incivism of companies characterized by: the absence of functional environmental and social management plans (ESMP), pollution and nuisances increasingly perceived by people, violations of regulations. The questioning of social responsibility emphasizes the shortcomings in the environmental management of companies and the timidity in the appropriation of environmental skills formerly transferred to municipalities. The management of industrial spaces has a socio-economic, political, strategic and ecological stakes which must be the leitmotif of Cameroonian industries to respond to the principles of "Global compact" and therefore of sustainable development.
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Haluza-DeLay, Randolph, and Debra J. Davidson. "The Environment and a Globalizing Sociology." Canadian Journal of Sociology 33, no. 3 (September 26, 2008). http://dx.doi.org/10.29173/cjs4157.

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Abstract. The challenges for sociology posed by global environmental crises are two-fold. First, the growing prevalence of environmental dilemmas in global society demand that a globalizing sociology also be an environmental sociology. This requires the discipline to refine its ability to integrate environmental influences into its conceptual frameworks on social change. Second, the effectiveness of society’s strategic responses to environmental crises depends on the degree to which understanding the generation of environmental problems and responding to them are sociologically informed. Consequently, sociologists can make important contributions to environmental improvement, through sociological research on environmental discourses within civil society. However, this can only be done if the first challenge is addressed. In this paper, we highlight coupled socioecological systems functioning in an embedded hierarchy of local, regional, and global scales. Strategic environmental response depends particularly on governance structures and the production and accessibility of knowledge and we focus our discussion on these two domains. Global environmental changes have introduced multiple sources of challenge for nation-states and for the ways in which democratic participation in governance becomes operative. The dramatic shifts in governance fomented by environmental concern in and of themselves require sociological attention; sociologists also have a role in evaluating the efficacy of these organizational networks for addressing environmental crises. Second, we turn our attention to the means by which these environmental changes have challenged the production of knowledge about the environment. For example, the limits of traditional methods of scientific inquiry accompany an erosion in society’s confidence in science as a harbinger of progress, all the while simultaneously pushing science — however reluctantly for scientists themselves — into a position of political prominence. We close with suggestions for future sociological attention to governance and knowledge, and the ways this projects sociology more effectively into the global milieu in which environmental change will be increasingly salient. Résumé. Les défis que constitue la crise environnementale pour la sociologie présentent un double aspect. Tout d’abord, la prévalence des dilemmes environne mentaux dans une société mondiale exige d’une sociologie mondialisante qu’elle soit également une sociologie environnementale. Cela exige donc que cette discipline soit davantage en mesure d’intégrer à ses cadres conceptuels les influences que peuvent avoir les changements environnementaux sur les changements sociaux. En second lieu, l’efficacité potentielle des interventions stratégiques d’une société en regard des crises environnementales dépend de la mesure dans laquelle la sociologie éclaire notre compréhension de la source des problèmes environnementaux et de la manière d’y réagir. Par conséquent, les sociologues sont en mesure d’apporter d’importantes contributions à l’amélioration de l’environnement, en amenant la recherche sociologique à s’appuyer sur les discours environnementaux qui ont cours dans la société civile. Toutefois, on ne peut y arriver que si l’on aborde le premier défi. Dans cet article, nous mettons brièvement en lumière les moyens par lesquels les systèmes, social et écologique, sont mutuellement constitutifs, c’est-à-dire qu’ils sont des systèmes socio-écologiques associés qui fonctionnent dans une hiérarchie enchâssée d’échelles locale, régionale et mondiale. Ensuite, parce que la stratégie d’intervention environnementale dépendra en particulier des structures de gouvernance ainsi que de la production et de l’accessibilité des connaissances, nous analysons en détail ces deux domaines. Les changements environnementaux à l’échelle planétaires ont introduit de nombreux défis de tous types pour les nations-États et quant aux manières dont se met en oeuvre la participation démocratique à la gouvernance. Deuxièmement, nous étudierons les moyens par lesquels les changements environnementaux mondiaux ont, dans le même ordre d’idées, remis en question la production de connaissances sur l’environnement. Par exemple, les limites des méthodes traditionnelles d’investigation scientifique sont mises à jour, en même temps qu’elles propulsent la science sur la scène politique. D’autres formes de connaissances agissent également comme des « contre-connaissances » envers la dominance épistémique de la science sur l’environnement. Nous terminons l’article par quelques suggestions quant à l’attention de nature sociologique qu’il faudra porter dans le futur à la gouvernance et à la connaissance, et par un examen de la façon dont cela projette la sociologie tout de bon dans le milieu planétaire dans lequel les changements environnementaux seront de plus en plus marquants.
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Doyon, Sabrina. "Environnement." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.007.

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Le mot environnement est polysémique. Selon les contextes et les disciplines, on peut référer à l’environnement physique, naturel ou social. Il est parfois associé, à tort, aux notions d’écosystème et de ressources naturelles. Ces ambiguïtés sont intéressantes du point de vue de l’anthropologie, car elles révèlent la multitude de réalités auxquels le terme réfère ainsi que les divers usages et pratiques auxquels il est lié et, surtout, aux différentes façons dont il peut être pensé, imaginé, transformé, projeté et vécu selon les groupes sociaux et culturels. Depuis les années 1960, les préoccupations liées à l’environnement sont très présentes. Cette situation est à mettre en lien avec trois phénomènes : l’émergence des inquiétudes à l’égard de la contamination causée par l’industrialisation et envers la surexploitation de la nature qui sont sans cesse croissantes, l’avènement des mouvements écologistes et environnementalistes qui ont publicisé ces enjeux dans la société et l’institutionnalisation de l’environnement, notamment par la mise en place un peu partout dans le monde de ministères de l’Environnement, de politiques environnementales et de législations concernant l’usage de la nature. Tout en interrogeant les concepts de nature et de culture, plusieurs approches au sein de l’anthropologie questionnent l’environnement par l’étude des différents types de rapports qu’entretiennent les êtres humains avec ce qui les entoure, ce qui les supporte et les constitue. L’écologie culturelle de Steward (Steward 1955), l’approche écosystémique de Rappaport (1967), l’ethnoscience et l’ethnoécologie (Haudricourt 1956), l’œuvre d’anthropologie structurale de Lévi-Strauss, les travaux relatifs aux rapports à la nature, des vivants et des non-vivants (Ellen et Katsuyochi 1996; Descola 2005; Viveiros de Castro 2009), et ceux propres à la perception et à « l’habiter » (Ingold 2000) sont parmi les approches anthropologiques ayant fait de l’environnement et de la nature le centre de leur réflexion. Elles s’inscrivent à la fois dans les courants matérialistes et symboliques de l’anthropologie et dans les écoles anglo-saxonnes et françaises de l’étude des relations socio-environnementales. Ces catégorisations ne sont toutefois pas absolues : des chevauchements et des emprunts enrichissent aujourd’hui les réflexions de chacun. Depuis les années 1990, les recherches anthropologiques concernant les relations entre l’environnement et les êtres humains sont nombreuses, variées et croissantes; elles intègrent souvent des approches propres à d’autres disciplines, telles que la géographie, la sociologie, les sciences politiques et la philosophie, et combinent des recherches fondamentales et appliquées. L’écologie politique (political ecology : approche critique des changements environnementaux qui analyse les liens entre des enjeux écologiques et d’économie politique) est un exemple de courant théorique phare qui intègre ces disciplines et qui rallie de nombreux chercheurs en anthropologie (Bryant et Bailey 1997; Escobar 1996; Gauthier et Benjaminsen 2012; Biersack et Greensberg 2006; Peet, Robbins et Watts 2011). Les efforts de compréhension de la pluralité des modes d’interprétation, de représentation et d’incorporation de l’environnement se nourrissent aussi d’études en histoire environnementale et questionnent les perceptions et les constructions sociales de la nature. Les concepts de natures humanisées (issues d’aménagements ou de perturbations anthropiques) y sont mis en rapport avec ceux de natures « sauvages et primaires »; des remises en question des idéaux de la wilderness, évoqués dans la tradition anglo-saxonne (Cronon 1995; Balée 2006), en émergent, démontrant qu’une supposée nature originelle n’aurait jamais existé et que l’environnement est, au contraire, travaillé, médié, construit par des actions humaines depuis la présence des premières communautés humaines. Ces clarifications amenées par l’anthropologie s’ancrent dans des compréhensions de la nature organisées par des savoirs environnementaux locaux et autochtones (Menzies 2006) qui sont souvent discrédités par la science positiviste occidentale (Fairhead et Leach 2003). Ces recherches sont également alimentées par des réflexions récentes en sciences de l’environnement où le modèle homéostatique de la nature (dans lequel les écosystèmes, en tant que systèmes, tendraient vers un équilibre via des mécanismes de rétroaction régulateurs) est contesté, préférant des approches qui intègrent le chaos et l’incertitude (Scoones 1999). Dans tous les cas, ces recherches s’attachent à montrer que les divisions conceptuelles entre la nature et la culture, la société et l’environnement ne sont pas universelles et s’ancrent plutôt dans des constructions modernes (Latour 1991). Ces réflexions foisonnantes ne sont pas étrangères aux analyses anthropologiques des discours environnementaux qui s’intéressent notamment à la cristallisation de certaines formules, telles que : les forêts cathédrales, le développement durable, la désertification et les changements climatiques (Crate et Nuttall 2009; Redclift 1987; Sachs 1993) et à leurs portées sociale et culturelle. Plusieurs auteurs exposent ainsi les conséquences sociales et politico-économiques variées, tant locales qu’internationales, des discours globalisés sur l’environnement dont les enjeux, connotés de conceptions « occidentales » anthropocentristes du rapport à la nature, sont énoncés et répétés par un petit groupe d’experts lors de récurrentes « grandes messes » internationales que sont les Conventions cadre des Nations unies sur les changements climatiques, les Conventions sur la diversité biologique et les Sommets de la Terre. Ces nouveaux processus politiques par lesquels l’environnement est gouverné et contrôlé, nommé environnementalité (Agrawal 2005), constituent des phénomènes où la nature est conçue comme un espace propre à l’intervention du gouvernement. Les anthropologues s’intéressent à ces processus, ainsi qu’aux enjeux qui y sont discutés, comme la justice environnementale, les réfugiés climatiques et le racisme environnemental, des termes qui témoignent de l’intrication sociale, politique, économique et culturelle inhérente à la situation écologique mondiale actuelle. Des recherches examinent également les mécanismes de négociation des enjeux élaborés lors de ces évènements et les structures qui codifient les échanges permettant à certaines voix d’être entendues tandis que d’autres sont tues. Les discours environnementaux globalisés sont au cœur des mouvements de protection de la nature, engendrés tant par des organismes privés qu’étatiques, qui s’incarnent notamment dans la création, exponentielle depuis les années 1980, de parcs naturels, de réserves ou d’aires protégées (Adams et Hutton 2007; West, Igoe et Brockington 2006). La constitution de ces territoires n’est pas nouvelle : elle a ses racines dans la colonisation de l’Amérique du Nord, de l’Afrique et de l’Inde. Elles furent d’abord créées à l’initiative des colonisateurs qui voulurent protéger une nature « sauvage » idéalisée comme étant vierge et qu’ils « découvraient »; une nature dont le caractère inaltéré avait, selon eux, disparu en Europe. L’instauration de ces parcs se fit cependant au prix de l’expulsion des populations autochtones qui les occupaient (Igoe et Brockington 2007). Les études des rapports qu’entretiennent spécifiquement les populations autochtones avec l’environnement sont d’ailleurs très riches et nombreuses et constituent tout un champ de recherche (Colchester 2003[1994]). Les anthropologues étudient comment la création de ces aires protégées, en transformant des paysages en lieux de contemplation et de protection de la nature, contribue à transformer l’espace et les rapports sociaux. L’espace est d’ailleurs un concept de plus en plus utilisé en anthropologie dans l’examen des relations socio-environnementales. Ces espaces protégés sont aussi le lieu d’initiatives de patrimonialisation de la nature (Roigé et Frigolé 2010) qui ne sont pas sans soulever des questionnements critiques. Le développement du tourisme et de l’écotourisme dans ces espaces protégés (Duffy 2008, Stronza 2001) amènent, entre autres conséquences, une valorisation de certaines espèces « charismatiques » au détriment d’autres entités constituant les écosystèmes. L’exploitation de la nature par le truchement de systèmes de production mécanisés et industriels en agriculture, dans les pêches, la foresterie, l’exploitation minière et l’extraction des carburants fossiles est au cœur des préoccupations de l’anthropologie de l’environnement. Cette dernière questionne les modes d’appropriation de ces « ressources naturelles » en s’intéressant notamment aux préoccupations de l’éthique environnementale, des mouvements écologistes et environnementalistes (Peluso 1992; Latour 2004) ainsi que des autres mouvements sociaux, notamment anarchistes et féministes, qui s’insurgent contre des modèles de développement de l’environnement délétères, sexistes et iniques (Rocheleau, Thomas-Slayter et Wangari 1996). Ces préoccupations s’arriment à celles exprimées à l’égard des effets de la privatisation, de la marchandisation et de la re-régulation des dimensions fonctionnelles, symboliques, esthétiques et contemplatives de la nature et du vivant, ce que se propose d’étudier un nouveau courant anthropologique se penchant sur les processus de la « néolibéralisation » de l’environnement (Castree 2008; Igoe et Brockington 2007).
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