Academic literature on the topic 'Systèmes de culture – Togo (sud-ouest)'

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Journal articles on the topic "Systèmes de culture – Togo (sud-ouest)"

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Deffo, Victor, Sylvie Hounzangbe-Adote, Raphiou Maliki, and H. H. M. Ould Ferroukh. "Evaluation participative ex ante de propositions de la recherche. Cas d’application dans le sud du Togo." Revue d’élevage et de médecine vétérinaire des pays tropicaux 64, no. 1-4 (January 1, 2011): 89. http://dx.doi.org/10.19182/remvt.10119.

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Abstract:
L’objectif de cette étude a été d’expérimenter une méthode d’évaluation participative d’options techniques au sud du Togo. Pour répondre aux besoins face aux problèmes de fertilité des sols dans un contexte de systèmes mixtes agriculture élevage, des chercheurs ont évalué avec les diverses catégories d’acteurs le potentiel d’adoption de l’association du maïs, plante à fonction mixte alimentaire (grain) et fourragère (paille), et du Mucuna pruriens, légumineuse à cycle long employée comme fourrage et pour améliorer la fertilité des sols. L’association fertilisée avec des engrais chimiques a été dénommée MME ci-après. La méthode utilisée a mobilisé des outils d’analyse de la méthode active de recherche participative (MARP) et a compris quatre phases. La première correspondait à la description générale de l’ensemble de la région d’étude pour identifier des sites représentatifs à partir de la littérature et d’entretiens exploratoires. La seconde phase a permis la caractérisation de la diversité des producteurs à partir d’entretiens auprès des personnes ressources des sites retenus. La troisième phase a concerné la sélection participative d’un éventail d’options techniques comprenant l’association MME mais aussi des pratiques locales présentant des similitudes avec l’association MME, ainsi que d’autres propositions alternatives de la recherche pour améliorer la fertilité des sols et assurer l’alimentation fourragère des animaux. Cette sélection a été réalisée par un échantillon de producteurs représentatifs de leur diversité. Il leur a été demandé de hiérarchiser les différentes options techniques présentées lors de visites de parcelles expérimentales ou à l’aide de supports visuels. Ils ont utilisé des notes ou des cailloux compte tenu de la forte proportion d’illettrisme. La quatrième phase a été celle de l’évaluation aux dires de producteurs des effets perçus des différentes options sur la gestion des ressources agropastorales (eau, sol, biodiversité), leur acceptabilité ou leur rentabilité en fonction du coût de la main d’oeuvre. Cette méthode a été appliquée dans trois villages du sud du Togo. Dans ces villages, six principales catégories de producteurs ont été identifiées : les propriétaires terriens, les locataires de terres, les membres d’organisations paysannes, les producteurs lettrés, les producteurs illettrés, et les femmes. En plus du MME, six options ont été retenues dont l’association MME avec des variantes issues de pratiques locales, soit l’association maïs et Mucuna à cycle long mais sans l’usage d’engrais (MM), l’association maïs et Mucuna à cycle court et à base d’engrais (MMCE), l’association maïs et Mucuna à cycle court sans l’usage d’engrais (MMC), et maïs en culture seul avec apport massif d’engrais (ME). Les deux autres options ont été proposées par la recherche : maïs entouré de haies vives de légumineuses fourragères destinées à du bétail en stabulation contrôlée et dont le fumier était ensuite épandu au champ (MHF), et culture en couloirs de maïs et de Cajanus cajan. L’association MME a été l’option préférée des propriétaires terriens, des lettrés et des membres d’organisations paysannes. Chez les femmes, l’option privilégiée a été l’association MM compte tenu de leurs faibles ressources financières mais aussi de leur insécurité foncière. Chez les locataires des terres et les producteurs illettrés, l’option favorite a été l’association MMCE qui permettait le maintien de la seconde saison de culture. L’évaluation des différentes options a montré que l’association MME et l’option MHF ont été jugées par la majorité des catégories de producteurs comme ayant les effets les plus positifs sur les ressources agropastorales. Les associations MME et MMCE ont été considérées comme étant les plus acceptables socialement, notamment chez les propriétaires terriens mais aussi chez les vulgarisateurs, les consommateurs et les commerçants également interrogés ; venait ensuite l’option MHF. La rentabilité a été la meilleure pour les associations MM et MME et la plus faible pour les deux autres alternatives proposées par la recherche. Cette méthode d’évaluation permet de valoriser l’expertise des producteurs. Elle repose sur la perception que les producteurs ont des effets des technologies. Une perception positive constitue un des premiers facteurs d’adoption d’une proposition de la recherche. Mais pour cela du temps et des outils appropriés doivent être consacrés à l’étape de formation des producteurs sur les différentes options pour que cette perception ne soit pas biaisée par la qualité de l’information donnée par le chercheur. Cette évaluation permet en outre d’identifier ou d’adapter des variantes locales aux options pré-identifiées par les chercheurs. Les efforts de recherche-développement doivent se concentrer sur les processus de ces adaptations participatives.
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Tchein, Gnon, Tounou Agbéko Kodjo, Agboka Komi, and Tchegueni Matotiloa. "Evaluation d’utilités attendues des attributs de cultivars de l’igname: base d’une gestion locale de l’agrobiodiversité de Dioscorea spp au Sud-ouest des Savanes Sèches au Togo (Afrique de l’Ouest)." Journal of Applied Biosciences 153 (September 30, 2020): 15756–79. http://dx.doi.org/10.35759/jabs.153.4.

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Abstract:
Objectif : La présente étude vise à évaluer et à prioriser le niveau de satisfaction des utilités attendues des cultivars d’igname auprès 1032 acteurs locaux de la filière igname au Sud-ouest des Savanes Sèches au Togo. Méthodologie et résultats: Le brainstorming, le scoring et les avis d’experts, ont permis la définition de quinze descripteurs d’utilités des cultivars, dont les notes d’appréciation ont révélé une corrélation positive significative entre attributs. L’ensemble des attributs a été priorisé en trois classes selon la loi 80/20 (la loi de Pareto). Valeur marchande, nom de cultivar à connotation d’image et gros et longs tubercules ont constitué la principale classe d’attributs avec des notes moyennes d’utilités significatives et respectivement de 9,52 ; 7,28 et 2,28. Ils ont satisfait à 63,91% des utilités cumulées attendues des attributs de tous les cultivars. De tous, le lieu de production à image de qualité (0,80) et la résilience aux divers stresseurs, (0,34) ont été faiblement apprécié. Les effets de l’âge et du sexe des participants sur les notes d’appréciation de l’utilité n‘ont pas été perçus. Conclusion et application des résultats: Les utilités cumulées attendues ont été satisfaites à 63,91% par 20% des attributs en culture d’igname et une faible atteinte d’utilité cumulée de 36,07% par 80% du reste des attributs. De futurs programmes d’amélioration variétale pourront prendre en compte la satisfaction des utilités attendues des ignames. Une piste de production labélisée des tubercules et de leurs transformations élargies aux potentialités de tous les cultivars peuvent constituer une application à envisager sur la base des présents résultats et limiter ainsi l’érosion génétique de la culture d’igname. Mots clés : ignames, attributs, priorisation, utilités attendues, Savanes Sèches, Togo. Gnon et al., J. Appl. Biosci. 2020 Evaluation d’utilités attendues des attributs de cultivars de l’igname : base d’une gestion locale de l’agrobiodiversité de Dioscorea spp au Sud-ouest des Savanes Sèches au Togo (Afrique de l’Ouest) 15765 Evaluation of expected utilities of yam cultivar attributes : a local base for agrobiodiversty management of Dioscorea spp in Southwest Dry Savannahs in Togo (West Africa) ABSTRACT Objectives: The present study aims to evaluate and prioritize the level of satisfaction of the expected utilities of yam cultivars by local actors of the yam sector in the South-West of Dry Savannah in Togo. Methodology and results: The scoring and the expert opinions, allowed the definition of fifteen cultivar attribute descriptors by 1032 actors of the yam sector followed by their prioritization in three distinct classes by the law 80/20. The average utilities of the main attributes: market value, cultivar name with image connotation and large and long tubers were respectively 9.52; 7.28 and 2.28. They represented 63.91% of the expected cumulative utilities of all attributes. The effects of age and sex on expected utility ratings were not seen in this study. Conclusion and application of the findings: 20% of the attributes fulfilled 63.91% of cumulative utilities expected in yam culture and posing the problem of the low cumulative utility of 36.07% by 80% of the attributes. Thus, future research to improve a satisfaction of utilities of the 80% of attributes is necessary. Future varietal improvement programs, may take into account the satisfaction of the expected utilities of yams. A path of labeled production of tubers and their transformations extended to the potential of all cultivars may constitute an application to be considered on the basis of the present results and thus limit the genetic erosion of the yam crop. Keywords: yams, attributes, prioritization, expected utilities, Dry Savannahs, Togo.
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Mondedji, AD, WS Nyamador, K. Amevoin, R. Adéoti, GA Abbey, GK Ketoh, and IA Glitho. "Analyse de quelques aspects du système de production légumière et perception des producteurs de l’utilisation d’extraits botaniques dans la gestion des insectes ravageurs des cultures maraîchères au Sud du Togo." International Journal of Biological and Chemical Sciences 9, no. 1 (June 30, 2015): 98. http://dx.doi.org/10.4314/ijbcs.v9i1.10.

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GUY, G., and L. FORTUN-LAMOTHE. "Avant-propos." INRAE Productions Animales 26, no. 5 (December 19, 2013): 387–90. http://dx.doi.org/10.20870/productions-animales.2013.26.5.3167.

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Abstract:
Ce numéro de la revue INRA Productions Animales contient un dossier consacré aux dernières avancées de la recherche sur le foie gras. En effet, la démocratisation de la consommation de ce produit haut de gamme a été permise notamment par les efforts de recherche et développement sur l’élevage des palmipèdes à foie gras et la maîtrise de la qualité du produit. Ce dossier est l’occasion de faire en préalable quelques rappels sur cette belle histoire ! Un peu d’histoire La pratique du gavage est une tradition très ancienne, originaire d’Egypte, dont les traces remontent à 2 500 avant JC. Elle avait pour objectif d’exploiter la capacité de certains oiseaux à constituer des réserves énergétiques importantes en un temps court pour disposer d’un aliment très riche. Si les basreliefs datant de l’ancien empire égyptien attestent de la pratique du gavage, il n’existe pas de preuves que les égyptiens consommaient le foie gras ou s’ils recherchaient la viande et la graisse. Ces preuves sont apparues pour la première fois dans l’empire romain. Les romains gavaient les animaux avec des figues et pour eux le foie constituait le morceau de choix. Le nom de jecur ficatum, signifiant « foie d’un animal gavé aux figues », est ainsi à l’origine du mot foie en français. La production de foie gras s’est développée dans le Sud-ouest et l’Est de la France aux XVIIe et XVIIIe siècles avec le développement de la culture du maïs. Le foie gras est aujourd’hui un met inscrit au patrimoine culturel et gastronomique français (article L. 654-27-1 du code rural défini par la Loi d’Orientation Agricole de 2006). Le contexte de la production de foie gras Avec près de 72% de la production mondiale en 2012, la France détient le quasi monopole de la production de foie gras. Les autres pays ayant des productions significatives sont la Hongrie et la Bulgarie en Europe Centrale, avec environ 10% pour chacun de ces pays, mais aussi l’Espagne avec 3% de la production. L’Amérique du nord et la Chine représentent les deux autres pôles de production les plus significatifs, mais avec moins de 2% du marché. La production française a connu un essor considérable, sans doute le plus important de toutes les productions agricoles, passant de 5 880 tonnes en 1990 à plus de 19 000 tonnes en 2012. A l’origine, le foie gras était principalement obtenu par gavage des oies, longtemps considérées comme l’animal emblématique de cette production. Aujourd’hui, le canard mulard, hybride d’un mâle de Barbarie (Cairina Moschata) et d’une cane commune (Anas Platyrhynchos), est plus prisé (97% des palmipèdes gavés en France). En France, l’oie a vu de ce fait sa part relative pour la production de foie gras diminuer, et c’est la Hongrie qui contrôle 65% de la production mondiale de foie gras d’oie. Toutefois, cette espèce ne représente que 10% de la production mondiale. La France est également le principal pays consommateur de foie gras avec 71% du total, l’Espagne se classant au second rang avec environ 10%. Compte tenu de son image de produit de luxe et d’exception, le foie gras est consommé un peu partout dans le monde lors des repas de haute gastronomie. Les grandes avancées de connaissance et l’évolution des pratiques d’élevage L’amélioration des connaissances sur la biologie et l’élevage des palmipèdes à foie gras a permis de rationnaliser les pratiques d’élevage et d’améliorer la qualité du produit. Plusieurs laboratoires de recherche et structures expérimentales, ayant leurs installations propres et/ou intervenant sur le terrain, ont contribué à l’acquisition de ces connaissances : l’INRA avec l’Unité Expérimentale des Palmipèdes à Foie Gras, l’UMR Tandem, le Laboratoire de Génétique Cellulaire, la Station d’Amélioration Génétique des Animaux et l’UR Avicoles, l’Institut Technique de l’AVIculture, la Ferme de l’Oie, le Centre d’Etudes des Palmipèdes du Sud Ouest, le LEGTA de Périgueux, l’ENSA Toulouse, l’ENITA Bordeaux et l’AGPM/ADAESO qui a mis fin en 2004 à ses activités sur les palmipèdes à foie gras. Aujourd’hui ces structures fédèrent leurs activités dans un but de rationalité et d’efficacité. Les avancées des connaissances et leur transfert dans la pratique, associés à une forte demande du marché, sont à l’origine de l’explosion des volumes de foie gras produits. Ainsi, la maîtrise de la reproduction couplée au développement de l’insémination artificielle de la cane commune et à la sélection génétique (Rouvier 1992, Sellier et al 1995) ont permis la production à grande échelle du canard mulard adapté à la production de foie gras. En effet, ses géniteurs, le mâle de Barbarie et la femelle Pékin, ont fait l’objet de sélections spécifiques basées sur l’aptitude au gavage et la production de foie gras de leurs descendants. La connaissance des besoins nutritionnels des animaux et le développement de stratégies d’alimentation préparant les animaux à la phase de gavage ont également été des critères déterminants pour la rationalisation d’un système d’élevage (Robin et al 2004, Bernadet 2008, Arroyo et al 2012). La filière s’est par ailleurs structurée en une interprofession (le Comité Interprofessionnel du Foie Gras - CIFOG) qui soutient financièrement des travaux de recherches et conduit des actions (organisation de salons du foie gras par exemple) visant à rendre accessibles toutes les avancées de la filière. Ainsi, l’amélioration du matériel d’élevage (gaveuse hydraulique et logement de gavage) a engendré des gains de productivité considérables (Guy et al 1994). Par exemple, en 20 ans, la taille d’une bande de gavage est passée de deux cents à mille individus. Enfin, la construction de salles de gavage, dont l’ambiance est parfaitement contrôlée autorise désormais la pratique du gavage en toute saison. Des études ont aussi permis de déterminer l’influence des conditions d’abattage et de réfrigération sur la qualité des foies gras (Rousselot-Pailley et al 1994). L’ensemble de ces facteurs a contribué à ce que les possibilités de production soient en cohérence avec la demande liée à un engouement grandissant pour le foie gras. Les pratiques d’élevage actuelles Aujourd’hui, le cycle de production d’un palmipède destiné à la production de foie gras comporte deux phases successives : la phase d’élevage, la plus longue dans la vie de l’animal (11 à 12 semaines chez le canard ou 14 semaines chez l’oie) et la phase de gavage, d’une durée très courte (10 à 12 jours chez le canard ou 14 à 18 jours chez l’oie). La phase d’élevage se décompose elle même en trois étapes (Arroyo et al 2012). Pendant la phase de démarrage (de 1 à 4 semaines d’âge) les animaux sont généralement élevés en bâtiment clos chauffé et reçoivent à volonté une alimentation granulée. Pendant la phase de croissance (de 4 à 9 semaines d’âge), les animaux ont accès à un parcours extérieur. Ils sont nourris à volonté avec un aliment composé de céréales à 75% sous forme de granulés. La dernière phase d’élevage est consacrée à la préparation au gavage (d’une durée de 2 à 5 semaines) grâce à la mise en place d’une alimentation par repas (220 à 400 g/j). Son objectif est d’augmenter le volume du jabot et de démarrer le processus de stéatose hépatique. Pendant la phase de gavage les animaux reçoivent deux (pour le canard) à quatre (pour l’oie) repas par jour d’une pâtée composée à 98% de maïs et d’eau. Le maïs est présenté soit sous forme de farine (productions de type standard), soit sous forme d’un mélange de graines entières et de farine, soit encore sous forme de grains modérément cuits (productions traditionnelles ou labellisées). En France, on distingue deux types d’exploitations. Dans les exploitations dites en filière longue et de grande taille (au nombre de 3 000 en France), les éleveurs sont spécialisés dans une des phases de la production : éleveurs de palmipèdes dits « prêt-à-gaver », gaveurs ou éleveurs-gaveurs. Ce type de production standard est sous contrôle d’un groupe ou d’une coopérative qui se charge des opérations ultérieures (abattage, transformation, commercialisation ou diffusion dans des espaces de vente à grande échelle). Il existe également des exploitations en filière courte qui produisent les animaux, transforment les produits et les commercialisent directement à la ferme et qui sont généralement de plus petite taille. Ces exploitations « fermières » ne concernent qu’une petite part de la production (10 à 15%), mais jouent un rôle important pour l’image de production traditionnelle de luxe qu’elles véhiculent auprès des consommateurs. Pourquoi un dossier sur les palmipèdes à foie gras ? Au-delà des synthèses publiées précédemment dans INRA Productions Animales, il nous a semblé intéressant de rassembler et de présenter dans un même dossier les avancées récentes concernant la connaissance de l’animal (articles de Vignal et al sur le séquençage du génome du canard et de Baéza et al sur les mécanismes de la stéatose hépatique), du produit (articles de Théron et al sur le déterminisme de la fonte lipidique du foie gras à la cuisson et de Baéza et al sur la qualité de la viande et des carcasses), ainsi que les pistes de travail pour concevoir des systèmes d’élevage innovants plus durables (article de Arroyo et al). L’actualité et les enjeux pour demain La filière est soumise à de nombreux enjeux sociétaux qui demandent de poursuivre les efforts de recherche. En effet, pour conserver son leadership mondial elle doit rester compétitive et donc maîtriser ses coûts de production tout en répondant à des attentes sociétales et environnementales spécifiques telles que la préservation de la qualité des produits, le respect du bien-être animal ou la gestion économe des ressources. Ainsi, la production de foie gras est parfois décriée eu égard à une possible atteinte au bien-être des palmipèdes pendant l’acte de gavage. De nombreux travaux ont permis de relativiser l’impact du gavage sur des oiseaux qui présentent des prédispositions à ce type de production : la totale réversibilité de l’hypertrophie des cellules hépatiques (Babilé et al 1998) ; l’anatomie et la physiologie des animaux de même que l’absence de mise en évidence d’une élévation du taux de corticostérone (considéré comme marqueur d’un stress aigu) après l’acte de gavage (Guéméné et al 2007) et plus récemment la mise en évidence de l’aptitude à un engraissement spontané du foie (Guy et al 2013). Le conseil de l’Europe a toutefois émis des recommandations concernant le logement des animaux qui préconisent, la disparition des cages individuelles de contention des canards pendant le gavage au profit des cages collectives. Par ailleurs, il recommande la poursuite de nouvelles recherches pour développer des méthodes alternatives au gavage. Parallèlement, à l’instar des autres filières de productions animales, la filière foie gras doit aussi maîtriser ses impacts environnementaux (voir aussi l’article d’Arroyo et al). Les pistes de recherches concernent prioritairement la maîtrise de l’alimentation, la gestion des effluents et des parcours d’élevage. Il reste donc de grands défis à relever pour la filière foie gras afin de continuer à proposer un produitqui conjugue plaisir et durabilité.Bonne lecture à tous !
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Dissertations / Theses on the topic "Systèmes de culture – Togo (sud-ouest)"

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Notokpe, Koffi Séto. "Systèmes de culture et évolution de l'espace rural dans les plateaux du Sud-Ouest (Togo)." Caen, 1994. http://www.theses.fr/1994CAEN1148.

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Abstract:
Sous l'emprise des différents systèmes de culture et des sociétés rurales immigrées, les plateaux du sud-ouest connaissent une évolution avec l'introduction des cultures arbustives (de café-cacao) et le développement de l'économie de plantation du système de culture traditionnel d'autoconsommation d'hier, la paysannerie de la région est tournée aujourd'hui vers les cultures d'exportation. La mise en œuvre de ce système d'exploitation agricole a été possible grâce a l'appui des structures para-étatiques qui se sont succédées dans la région, notamment la société nationale pour la rénovation et le développement de la cafetière et de la cacaoyère (s. R. C. C. ) qui, depuis 1971, a favorisé le développement des cultures pérennes, auquel ont participe les sociétés rurales allochtones. Le maintien de cette main-d’œuvre extra-régionale dans les exploitations agricoles a nécessité des contrats spécifiques, dont les implications sur les structures foncières et l'organisation de l'espace rural se lisent a travers les transformations de l'utilisation des sols et les techniques de culture. L'intérêt porté aux cultures arbustives conduit aux nouveaux défrichements et à l'extension des surfaces cultivées. Les cultures vivrières n'ont que peu de place dans cette nouvelle politique agricole. Elles sont pratiquées le plus souvent sur des sols des hauts de versants et des savanes aux conditions agronomiques peu favorables. Le modèle de développement agricole introduit, a suscité dans la région un grand intérêt chez les paysans-planteurs, et l'ensemble des sociétés rurales. Mais l'engouement du début semble s'estomper au bout de quelques décennies. Des innovations apparaissent dans les systèmes de production agricole. Elles se traduisent par le retour progressif aux cultures vivrières, dans les milieux de savane, avec des méthodes des sociétés paysannes immigrées. Comme les cultures d'exportation, la renaissance des cultures vivrières a eu des implications sociales autour de l'utilisation des sols et l'organisation de l'espace agraire
Abstract under the influence of various cultural systems and the immigrant rural societies, the south-western plateaus have known evolution with small shrub culture introduction (coffee and cocoa) and with the development of plantation economy. From yesterday traditional culture of self-consumption, peasantry in the region now is turned toward farming exportation. This farming method development has been possible thanks to the presence in the region, since 1971, para-states support, principally national society for coffee and cocoa renovation (s. Rc. C), and thanks to the contribution of immigrant rural communities among which se find and an important native society from north-Togo. The preservation of this outside workmanship in farms has needed specific agreements (contracts). Since than, the landscaping has undergone modifications and development as land using and farming methods. The interest shrub culture led to new clearing of cultivation and extension of areas. In the new agriculture politics, the food crops had a small place. Most of the time, they are practiced on top sides and savannah environments where agronomical conditions are not really favorable. The mode of agricultural system actually interested the farmers, the planters and the whole rural societies. Unfortunately, the first years enthusiasm faded away. Innovations appear in agricultural production systems. They take the form of the progressive come-back of food-crops in savannah environment with immigrant peasant societies methods. Like the cash crops, the reappearance of food crops has social consequences (implications) about land use and agrarian system organization
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