Academic literature on the topic 'Témoins de Jéhovah – États-Unis'

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Journal articles on the topic "Témoins de Jéhovah – États-Unis"

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Archambault, Marie-France. "Essai de caractérisation de la stéatite des sites dorsétiens et des carrières de l’Ungava, Arctique québécois." Géographie physique et Quaternaire 35, no. 1 (January 25, 2011): 19–28. http://dx.doi.org/10.7202/1000374ar.

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Abstract:
Une étude visant à relier la steatite trouvée dans les sites dorsétiens de l’Ungava et les carrières de cette région est actuellement en cours. La méthode de caractérisation de la steatite par l’analyse des concentrations en éléments des terres rares, mise au point lors de travaux portant sur les carrières de l’est des États-Unis, a été appliquée. Les données actuellement disponibles concernent les sources de steatite de trois régions du Labrador ainsi que huit affleurements de l’Ungava d’une part, et des objets témoins recueillis dans trois sites dorsétiens, soient Nu-nainguq dans l’Ungava oriental, Qilalugarsiuvik en Ungava occidental, et un site sur l’île du Diana, au N-0 de la baie d’Ungava, d’autre part. Les regroupements obtenus suggèrent la possibilité de relations entre l’Ungava occidental et le Labrador remontant au moins à 140-570 AD. Par ailleurs, la partie sud de l’île du Diana, occupée pendant près de 1500 ans depuis le début de notre ère révèle des témoins de fabrication sur place de récipients en steatite provenant vraisemblablement des carrières de Wakeham dans le détroit d’Hudson. Compte tenu du caractère très préliminaire des résultats actuels, le texte présenté ici vise surtout à illustrer l’application de cette méthode à l’Ungava.
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2

Lempereur, Françoise. "Quand les traditions culturelles cimentent une volonté d’exister – Le cas des Wallons du Wisconsin." Deuxième partie : les migrations et transferts culturels de l’Europe à l’Amérique. Migrations et transferts culturels aux XIXe et XXe siècles, no. 13-14-15 (October 27, 2009): 173–87. http://dx.doi.org/10.7202/038427ar.

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Abstract:
Résumé À la fin des années 1840, une importante épidémie gagne les cultures de pommes de terre dans toute l’Europe occidentale. La Wallonie, où le tubercule constitue l’aliment de base de bon nombre d’habitants des zones rurales, est touchée. Comme, d’autre part, la terre n’y a cessé d’être morcelée au rythme des successions familiales, la misère sévit et oblige plusieurs milliers de petits cultivateurs à s’expatrier. Sept à huit mille d’entre eux, originaires du nord du Namurois et du Brabant wallon, trouvent asile dans la Péninsule de la Porte — le Door County —, pointe de terre du nord-est du Wisconsin qui s’enfonce dans le lac Michigan. En défrichant la vaste forêt qui recouvre cette zone, ils y fondent des villages aux noms évocateurs : Brussels, Namur, Rosière, Grand-Leez, etc. Ces immigrés, illettrés, ne connaissent qu’une langue : le wallon, langue qui sert de support à toute une série de pratiques culturelles, culinaires, ludiques ou religieuses, et qui se transmettra de génération en génération durant plus d’un siècle. L’isolement de la communauté wallonne du Wisconsin par rapport à la mère patrie est total, lorsque, dans les années 1960–1970, explose un mouvement, général aux États-Unis, de redécouverte des « ethnicités » propres aux divers immigrants qui ont fondé la nation américaine. Les Wallons revendiquent alors leur « belgitude » — ils ignorent en effet le différend wallo-flamand qui déchire la Belgique — et renouent des contacts avec celle-ci. À leur grande stupéfaction, ils découvrent qu’on parle français dans leurs villages d’origine — où l’Église n’est plus toute puissante — et que les agriculteurs y sont désormais rares. Les traditions qu’eux-mêmes véhiculent, héritées en ligne directe du xixe siècle, sont, à l’est de l’Atlantique, considérées comme obsolètes ou singulières... Entre 1973 et 1982, j’ai eu l’occasion de séjourner de nombreuses semaines à Namur, Wisconsin, et d’y enregistrer et y filmer les derniers témoins d’une culture en détresse, des hommes et des femmes qui se tournaient avidement vers un passé révolu, en essayant d’y trouver l’énergie pour combattre une assimilation forcée dans le « melting pot » américain. La communication au colloque comporta donc deux parties : un « état des lieux », présentant, à l’aide d’un film tourné en 1975 par la Radio-télévision belge de langue française, les traditions culturelles de cette petite communauté « marginale », et une réflexion plus vaste sur la pertinence de la sauvegarde d’un patrimoine culturel, fondement d’une « ethnicité positive ».
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3

Canals, Roger. "Culte à María Lionza." Anthropen, 2016. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.005.

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Abstract:
Le terme « culte à María Lionza » renvoie à un ensemble de pratiques rituelles consacrées à la déesse María Lionza et à d’autres esprits de son panthéon. Il est présent sur une grande partie du territoire vénézuélien, notamment dans la région de Yaracuy, au centre ouest du pays, sur la côte caribéenne et dans les grandes villes comme Caracas. La Montagne de Sorte, dans la région de Yaracuy, est le principal centre de pèlerinage des croyants. Bien qu’il soit originaire du Venezuela, le culte à María Lionza est également visible, avec quelques variantes, dans plusieurs autres pays de la région caribéenne et de l’Amérique du Sud, voire aux États-Unis et en Europe. L’origine de ce culte remonte à la conquête espagnole du Venezuela. Au fil des ans, les pratiques sacrées indiennes, les religions africaines apportées par les esclaves noirs ainsi que le catholicisme auraient fusionné donnant lieu à des manifestations religieuses nouvelles (Mintz et Price 1992 ; Andrews 2004). Dès la fin du XIXe siècle se seraient ajoutées à ces trois sources principales d’autres influences culturelles comme le spiritisme kardeciste et l’occultisme, entre autres (Pollack-Eltz 1972 ; Clarac de Briceño 1996 ; Barreto 1990). Cependant, et à la différence de cultes afro-américains comme la Santería Cubaine, le Candomblé ou le Voudou haïtien, le culte à María Lionza n’est pas, dès son origine, connecté aux communautés d’esclaves africains. Jusqu’au XXe siècle, ce culte contenait essentiellement des éléments d’origine catholique et indienne, notamment des images religieuses de saints ou des pratiques d’adoration d’éléments naturels comme des cascades ou des fleuves. A cette période-là, le culte était majoritairement répandu parmi la population métisse et rurale, et l’apport africain n’était que peu présent –la possession spirituelle ou l’usage de percussions, par exemple, étaient rares lors des cérémonies. Dans les années quarante, le culte devint urbain du fait de la migration massive de la population rurale vers les grandes villes suite au boom pétrolier (Coronil 1997). C’est dans ce nouveau contexte, et essentiellement sous l’influence de la santería cubaine, que le culte commence à subir un processus d’afroaméricanisation avec plus de recours aux possessions spirituelles, aux percussions et à une multiplication des entités surnaturelles. Aujourd’hui, le culte à María Lionza entretient de multiples connexions avec d’autres cultes afro-américains comme le Palo Mayombe, l’Umbanda et le spiritisme dominicain. L’incessant partage d’éléments entre ces pratiques oblige à les considérer toutes en termes de continuité et à adopter à leur égard une perspective d’analyse comparatiste. Enfin, quant aux liens du culte avec d’autres religions, force est de constater que l’immense majorité des Maríalionzeros (les pratiquants du culte) s’affirme catholique, paradoxalement à l’opposition historique de l’Église catholique à la pratique de ce culte. Les églises évangélistes, dont le nombre au Venezuela ne cesse de s’accroître, critiquent elles aussi le culte avec véhémence, l’accusant souvent d’être une œuvre du diable. Le culte à María Lionza englobe des rituels de guérison, divination, purification et initiation, dans lesquels les épisodes de possession sont fréquents. La transe est plus ou moins violente selon l’esprit qui « descend » et la façon de « travailler » de chaque médium ou materia (matière). Parfois la possession pousse le médium jusqu’à la blessure ou l’automutilation (Ferrándiz 2004). Cela dit, nombre de croyants rendent hommage aux divinités de manière très calme et discrète, sans inclure des épisodes de transe. A part María Lionza, ce culte compte des centaines d’esprits, nommés aussi entidades (entités) ou hermanos (frères). Ceux-ci correspondent aussi bien à des divinités n’ayant jamais eu une existence terrestre qu’à des personnages célèbres ou aux âmes de défunts. Ces esprits sont regroupés en différentes cortes (cours) ou ensembles de divinités présentant une affinité ethnique, sociale ou professionnelle. On retrouve ainsi la Corte Africana (Cour Africaine), la Corte Malandra (Cour des Délinquants) ou la Corte Militar (Cour Militaire), parmi bien d’autres. Les cortes, quant à elles, sont ordonnées suivant une logique pyramidale : celles ayant moins de pureté sont placées en bas du panthéon tandis que les plus pures ou dites « avec le plus de lumière » sont placées en haut, aux côtés de María Lionza et du Christ. S’ils réalisent de bonnes actions, les esprits en position basse peuvent gravir l’échelle du panthéon. Ce vaste panthéon spirituel peut être interprété comme un dispositif de réappropriation voire de subversion de l’histoire. Il est par exemple fréquent que les esprits d’anciens chefs indiens ayant lutté contre les Espagnols pendant la Conquête (les célèbres caciques) descendent dans le corps des médiums et racontent, en témoins directs, les faits survenus il y a 500 ans, donnant leur avis sur la situation politique actuelle et offrant des conseils à l’assistance. Le culte relie ainsi passé, présent et futur, vie et mort, mémoire collective et expérience individuelle. Le culte à María Lionza ne constitue une pratique ni unifiée ni cohérente. Chaque groupe de culte, nommé centro (centre), organise les rituels à sa manière et donne sa propre version de l’origine de la déesse. Les rivalités entre les centros sont fréquentes et parfois violentes. Non seulement pluriel, le culte à María Lionza est aussi dynamique et changeant. En effet, les pratiquants le transforment incessamment en y incorporant de nouvelles divinités (tel que l’ex-président Chávez) et de nouvelles techniques rituelles à travers notamment les technologies de communication. María Lionza, quant à elle, est une déesse imaginée et représentée de façons très différentes, voire apparemment contradictoires : on peut la voir indienne, blanche, métisse ou, plus rarement, noire, selon les mythes, légendes ainsi que les études à caractère historique retraçant son origine. Cela dit, deux versions iconographiques et littéraires de María Lionza sont particulièrement répandues : d’une part, celle où elle apparaît comme une femme indienne nue chevauchant un tapir et, d’autre part, celle où elle est représentée comme une femme métisse ou blanche, habillée comme une femme du XVIIe ou XVIIIe siècle, portant une couronne sur la tête et tenant une rose sur la poitrine (Canals 2010). María Lionza apparaît souvent accompagnée de Felipe le Noir (El Negro Felipe) et de l’Indien Guacaipuro (El Indio Gucaipuro). L’ensemble de ces trois figures, nommées les Trois Puissances (las Tres Potencias), a, pour les croyants, un double sens : d’un côté, il est l’expression divine du métissage de la population vénézuélienne à travers les représentants de ce que les Vénézuéliens appellent « les trois races » (las tres razas, c’est-à-dire indien, blanc et noir) qui ont constitué le réseau ethnique du pays, et, d’un autre côté, il représente le paradigme d’entente et de réconciliation historique entre ces trois sources culturelles. Bref, les Trois Puissances sont, en même temps et pour les croyants, le reflet de ce qu’est le Venezuela et l’exemple de ce qu’il devrait être. Les images religieuses ont une grande importance dans le culte (Canals 2011) et donnent lieu à une industrie ésotérique qui a acquis une échelle planétaire. Lors des cérémonies, les croyants se réunissent autour de l’autel, nommé aussi portal (portail) où se trouvent surtout des statuettes de divinités. Hormis ces icônes, le culte serait inconcevable sans un grand nombre d’objets ou produits à forte composante sensitive et symbolique. Parmi ceux-là, il faut distinguer les substances « naturelles » (tabac, rhum, miel) de celles composées dans les perfumerías ou boutiques ésotériques. Dans ces boutiques s’amoncellent des savons, flacons de parfum, crèmes, encens et nombre d’autres éléments fabriqués à des fins très précises liés à la vie quotidienne et arborant des noms suggestifs: Amarra Hombres (lotion de séduction « attrape-hommes » adressée aux femmes) ou Tumba Negocios (produit pour faire échouer les affaires de ses concurrents commerciaux). Cette industrie ésotérique joue un rôle économique important au Venezuela et ailleurs. En fait, le culte à María Lionza est, pour nombre de croyants, un moyen de survie. Les rituels de guérison, divination ou initiation sont souvent payants, sans arriver pour autant aux prix exorbitants pratiqués dans d’autres religions comme la Santería. Par ailleurs, le culte à María Lionza est très présent sur le net, aussi bien sur des sites ésotériques que sur des réseaux sociaux. Cette présence sur Internet joue un rôle décisif dans l’expansion et la réinvention du culte. Récemment, certains groupes de culte ont initié des démarches pour intégrer le culte au Patrimoine Immatériel de l’UNESCO. Cette volonté de reconnaissance institutionnelle constitue un changement par rapport à la dynamique historique du culte qui a maintenu vis-à-vis du pouvoir et de l’officialisme une position majoritairement d’opposition, bien que nombre de représentants politiques et de militaires aient été, depuis les années 1950, pratiquants du culte en secret (Taussig 1997)
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Dissertations / Theses on the topic "Témoins de Jéhovah – États-Unis"

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Zamord, Christophe. "Témoins de Jéhovah : résistance et compromis : étude comparative : États-Unis, Barbade, Guadeloupe." Thesis, Antilles, 2019. http://www.theses.fr/2019ANTI0442/document.

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Abstract:
Depuis leur fondation en 1870, les Témoins de Jéhovah ont connu une croissance spectaculaire jusqu’en 1995, dans les pays dont la religion dominante est le christianisme. Puis, un ralentissement progressif de leur croissance a été constaté au milieu des années 1990, en particulier dans les pays industrialisés. Par ailleurs, leur croissance a connu un succès inégal d’un pays à l’autre. Ainsi, en 2017, il y avait un Témoin de Jéhovah pour 50 habitants en Guadeloupe, un Témoin pour 112 habitants à la Barbade et un Témoin pour 263 habitants aux Etats-Unis. La présente recherche doctorale a étudié plusieurs facteurs de croissance, en empruntant les concepts des sociologues états-uniens Ryan Cragun et Ronald Lawson ainsi Rodney Stark et Lawrence Iannacone liant la croissance d’un groupe religieux à l’interaction entre l’offre religieuse qui est la sienne et la demande religieuse du pays où il s’est implanté. Une recherche documentaire a été effectuée passant en revue l’histoire et l’évolution de ce mouvement religieux. Puis, une méthode qualitative a été adoptée, à travers des entretiens menés auprès de dizaines de Témoins au cours de plusieurs années ainsi qu’une observation participante, afin de mieux connaître le mouvement, ses doctrines mais aussi la motivation des fidèles. Ensuite, une méthode quantitative a été appliquée à travers une enquête menée auprès de centaines de Témoins de Jéhovah à la Barbade en Guadeloupe et aux États-Unis d’Amérique. Les spécificités de ces trois pays expliquent en partie la différence de croissance constatées au sein du groupe religieux étudié
Since their founding in 1870, Jehovah's Witnesses have experienced spectacular growth until 1995, in the country where Christianity predominates. A gradual slowdown in growth was then observed, particularly in the industrialized countries in the mid-1990s. Moreover, their growth has been successfully imbalanced from one country to another. Thus, in 2017, there was a Jehovah's Witness for 50 people in Guadeloupe, one for 112 people in Barbados and one for 263 in the United States.This PhD thesis examines several growth factors, borrowing from the concepts of American sociologists Ryan Cragun and Ronald Lawson as well as Rodney Stark and Lawrence Iannacone, linking the growth of a religious group to the interaction between religious offerings and religious demand. in the country where the religious group settled. A literature search was conducted to examine the history and evolution of this religious movement. In addition to that, a qualitative method was adopted in interviews with dozens of Witnesses over several years and with participant observation, in order to better understand the movement, its doctrines, but also the motivations of the members. Then, a quantitative method was applied to a survey of hundreds of Jehovah's Witnesses in Barbados, in Guadeloupe and the United States of America. The specificities of these three countries partly explain the differences in growth observed in the religious group studied
Depi fondasyon yo nan lane 1870, Temwen Jewova yo te gen yon kwasans espektakilè jiska 1995, nan peyi kote dominasyon relijyon se krisyanis la. Lè sa a, yon ralentissement gradyèl nan kwasans yo te obsève patikilyèman nan peyi yo endistriyalize nan mitan ane 1990 yo. Anplis, li te kwasans yo te dezekilibre siksè soti nan yon peyi a yon lòt. Kidonk, nan 2017, te gen yon Temwen Jewova pou 50 moun nan Gwadloup, yon Temwen pou 112 moun nan Barbad ak yon Temwen pou 263 moun nan Etazini yo.Rechèch doktora prezan an etidye plizyè faktè kwasans, prete konsèp sosyolojis ameriken Ryan Cragun ak Ronald Lawson ak Rodney Stark ak Lawrence Iannacone ki lye kwasans yon gwoup relijye nan entèraksyon ant òf relijye ki se li ak demann relijye nan peyi kote li te etabli tèt li. Yon rechèch literati te fèt revize istwa a ak evolisyon sa a mouvman relijye yo. Answit, yo te adopte yon metòd kalitatif, nan entèvyou ak plizyè douzèn Temwen sou plizyè ane ak yon obsèvasyon patisipan, pou pi byen konprann mouvman an, doktrin li yo, men tou motivasyon fidèl yo. Lè sa a, yon metòd quantitative te aplike nan yon sondaj sou dè santèn de Temwen Jewova nan Barbad nan Gwadloup ak nan Etazini. Espesifikite yo nan twa peyi sa yo eksplike an pati diferans nan kwasans obsève nan gwoup relijye etidye
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Blanchard, Arnaud. "Les témoins de Jéhovah à l'épreuve du jugement ordinaire : étude des trajectoires socio-politiques de deux projets immobiliers menés par le mouvement de la Tour de garde en France et aux Etats-Unis." Cachan, Ecole normale supérieure, 2003. http://www.theses.fr/2003DENS0031.

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