Academic literature on the topic 'Thaï (langue) – Modalité (linguistique)'

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Journal articles on the topic "Thaï (langue) – Modalité (linguistique)"

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Dixon, R. M. W. "Internal reconstruction of tense-modal suffixes in Jarawara." Diachronica 18, no. 1 (2001): 3–30. http://dx.doi.org/10.1075/dia.18.1.03dix.

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Abstract:
Summary Jarawara (from the small Arawá family in southern Amazonia) has a system of eleven tense-modal suffixes, which show irregular form; each consists of an initial part (of form -hV-) and a final part of one or two syllables; both parts mark gender of the pivot argument in the clause. An earlier stage of the paradigm, which was almost regular, is obtained by internal reconstruction. The method hinges on recognition that the vowel e plays a pervasive role in diachronic change, engendering various types of assimilation. In addition, what was the final syllable of the stem has — as the result of reallocation of morpheme and word boundaries — been reanalysed as the initial -hV- syllable of the suffix. Résumé Jarawara, langue amérindienne qui fait partie de la petite famille linguistique Arawá de l’Amazonie meridionale, présente onze suffixes de modalité e de temps, chacun avec une forme irregulière. Chaque suffixe comprend une partie initiale, de forme -hV-, et une partie finale, d’une ou de deux syllabes. Les deux parties lèvent une marque de concordance en genre avec l’argument-pivot de la phrase. En suivant la métodologie de reconstruction interne, on arrive à une étape antérieure du système qui était prèsque régulier. L’application de cette méthode est basée à une présupposition que la voyelle e avait joué un rôle préponderant dans les processus de changement diachronique, tout en occasionnant de differents types d’assimilation. En plus de ça, la syllabe finale de chaque radical serait reanalysée comme la syllable initiale -hV- du suffixe, en consequence des modifications des frontières de morphème et de mot. Zusammenfassung Jarawara (eine Sprache der kleinen Arawá-Sprachfamilie im südlichen Amazonien) besitzt ein System aus elf Suffixen, die Tempus/Modalität ausdrücken. Diese sind unregelmäßig in ihrer Form. Jede Form besteht aus einer Anfangskomponente der Form -hv- und einer ein- oder zweisilbigen Endkomponente. Beide Komponenten kennzeichnen das Genus desjenigen Arguments im Satz, das in der Topikalitätshierarchie am höchsten steht (‘the pivot argument’). Durch interne Rekonstruktion erhält man ein früheres Stadium des Paradigmas, das fast regelmäßig war. Die Rekonstruktionsmethode hängt entscheidend davon ab zu erkennen, daß der Vokal e im historischen Wandel eine überaus wichtige Rolle spielt und verschiedene Assimilationsprozesse auslöst. Außerdem wurde aufgrund einer Verschiebung von Morphem- und Wortgrenzen die letzte Silbe des Stamms als Anfangssilbe -hV- des Suffixes reanalisiert.
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Poulin, Christine. "La structure conceptuelle de la référence : vers une représentation indépendante de la modalité d’expression." Revue québécoise de linguistique 23, no. 1 (2009): 17–33. http://dx.doi.org/10.7202/603078ar.

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Abstract:
RÉSUMÉ Certains aspects du sens affectent la forme linguistique d’un énoncé mais non sa structure syntaxique. Dans cet article, je montre que l’alternance des formes simples et à déplacement référentiel en LSQ en est un exemple, et que cette alternance indique un changement de point de vue de la part du locuteur par rapport à l’entité dont il parle. De plus, l’exploitation de la différence dans la façon de référer à une entité semble varier selon la modalité d’expression utilisée par la langue (visuo-spatiale vs audio-orale). Il s’ensuit qu’une représentation plus abstraite par rapport aux propriétés purement liées à la modalité serait plus compatible avec les stratégies différentes des langues signées et des langues orales.
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McCormick, Patrick, and Mathias Jenny. "Contact and convergence: The Mon language in Burma and Thailand." Cahiers de Linguistique Asie Orientale 42, no. 2 (2013): 77–117. http://dx.doi.org/10.1163/19606028-00422p01.

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Abstract:
Mon has long been in contact with the dominant Burmese and Thai languages. The documented history of more than a thousand years allows us to trace changes in the language over time. This study looks at the divergent Mon varieties spoken today in Burma (Myanmar) and Thailand respectively, both influenced to different degrees and in different domains by the dominant national languages, Burmese and Thai. The study brings together insights from areal linguistics and history, painting a picture of the development of Mon in the two countries and its changing structure. Le mon a été depuis longtemps en contact avec les langues dominantes que sont le birman et le thai. Une documentation historique de plus d'un millénaire nous permet de suivre l'évolution de cette langue à travers les époques. Cette étude s'intéresse aux variétés divergentes de mon parlées aujourd'hui en Birmanie et en Thaïlande respectivement, toutes deux influencées à des degrés divers et dans des domaines différents par les languges nationales dominantes, le birman et le thaï. Cette étude s'appuie à la fois sur la linguistique aréale et l'histoire afin de brosser un tableau du développement du mon dans ces deux pays et de son évolution structurelle.
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PIEBOP, Gisèle. "MULTILINGUISME ET DYNAMIQUE DU FRANÇAIS AU CAMEROUN : VARIATIONS, CRÉATIVITÉS LEXICO-SÉMANTIQUE ET MORPHO-SYNTAXIQUE." FRANCISOLA 1, no. 1 (2016). http://dx.doi.org/10.17509/francisola.v1i1.2565.

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Abstract:
<p><strong>RÉSUMÉ.</strong><strong> </strong>Motivé par la forte différenciation ethnico-linguistique d’un pays caractérisé par un profil sociolinguistique pléthorique et complexe du fait de ses 283 unités linguistiques, l’Etat camerounais opte au lendemain des indépendances pour une politique linguistique érigeant l’anglais et le français comme langues officielles. A ce titre, ces deux langues des anciennes puissances coloniales bénéficient de privilèges de premiers rangs, au détriment des langues nationales qui se contentent de statuts et fonctions secondaires. Le français en ce qui le concerne se retrouve ainsi sur un territoire où les diversités ethnique, géographique et culturelle détermineront ses modalités d’appropriation et d’expansion, et surtout les variations sociolinguistiques auxquelles il est soumis. Se pose alors la question du développement et du devenir de cette langue importée et le présent article vient apporter des éléments de réponse à ce sujet. Ainsi, le travail analysera à partir de l’approche variationniste, les usages du français camerounais qui évolue et s’enrichit chaque jour un peu plus de tournures morpho-syntaxiques, d’emprunts, de nouvelles graphies, de calques, de nouveaux sens, etc.</p><p><strong> </strong></p><p><strong>Mots-clés:</strong> <em>appropriation, diversité, français camerounais, statuts, variations.</em></p><p><em><br /></em></p><p><strong>ABSTRACT.</strong><strong> </strong>Motivated by the strong ethno-linguistic differentiation of a country with a bloated and complex sociolinguistic profile due to its 283 linguistic units, the Cameroon government after independence opted for a language policy erecting English and French as official languages. As such, the two languages of former colonial powers receive forefront of privileges at the expense of national languages which merely secondary status and functions. As well as it is concerned, the French language finds it self in a territory where ethnic, geographic and cultural diversities determine its terms of appropriation and expansion, especially sociolinguistic variations to which it is subjected. This raises the question of the development and the future of this imported language, and this article just provides answers to this. The variationist approach is the framework through which the Cameroonian French, that evolves and grows each day a little more through morphosyntactic turns, loans, new spellings, layers, new meanings, etc. is analyzed.</p><p><strong> </strong></p><p><strong>Keywords: </strong><em>appropriation, Cameroon French, diversity, statutes changes.</em><em></em></p><p><em><br /></em></p>
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Dunoyer, Christiane. "Alpes." Anthropen, 2020. http://dx.doi.org/10.17184/eac.anthropen.124.

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Abstract:
Le nom « alpe » d’origine prélatine, dont le radical alp signifie « montagne », est commun à tout le territoire en question. L’espace physique ainsi dénommé crée une série d’oppositions entre la plaine et la montagne, entre la ville et la montagne et entre les populations intra-alpines, dotées de connaissances spécifiques pour vivre dans cet espace, et les populations demeurant à l’extérieur des Alpes ou les traversant (voir aussi Monde alpin). Redécouvertes à l’époque des Lumières, dans un cadre positiviste, les Alpes deviennent un objet de spéculation philosophique (Rousseau 1761) et d’étude pour les sciences naturelles, notamment la biologie, et la médecine. L’apport de ces disciplines ne manqua pas d’influencer le regard porté par le monde urbain sur les Alpes, à partir de ce moment. En suivant l’exemple du philosophe et naturaliste Horace B. de Saussure (1779-1796), qui explora cette région à la fin du 18e siècle et qui accomplit l’ascension du mont blanc en 1787, un an après la première de Balmat et Paccard, les voyageurs anglais à leur tour découvrirent les Alpes et opposèrent la grandeur de ces paysages au côté misérabiliste des populations rencontrées, dans le cadre d’une sorte d’anthropologie spontanée empreinte d’idéologie, où les locaux sont perçus et décrits comme des survivances de sociétés primitives et donc étrangères à la nature sophistiquée de leurs observateurs. La naissance de l’alpinisme se situe dans ce contexte. En tant que paysage, les Alpes jouent un rôle important à l’âge romantique : Étienne Pivert de Senancour (1804) est le premier écrivain romantique à les avoir parcourues dans un but contemplatif. Objet contradictoire, les Alpes sont souvent peintes en vertu de leur beauté terrifiante. Au fil de voyages initiatiques, de découvertes et de rencontres, la vision romantique s’enrichit jusqu’à acquérir une dimension pédagogique, voire d’édification morale (Töpffer 1844), et nourrit encore en partie les représentations collectives de nos jours. Intégrées dans la société globale, les Alpes exercent un attrait sur le citadin depuis deux siècles. Celui-ci y projette tantôt la nostalgie d’un univers sauvage, tantôt le désir de conquérir et de domestiquer l’espace naturel. Les collections présentes dans quelques grands musées urbains font aussi partie de ce regard que les villes portent sur les Alpes, notamment au cours de la première moitié du 20e siècle. Tel est le cas des objets de la vie quotidienne réunis par Hippolyte Müller, fondateur du Musée Dauphinois, et par les plus de 8000 collectés par Georges Amoudruz, qui ont été acquis par le Musée d’Ethnographie de Genève. Ce n’est que plus récemment que les Alpes sont devenues un objet d’étude pour les géographes (Raoul Blanchard fonde en 1913 la Revue de géographie alpine) : les problématiques sociales, territoriales et environnementales des espaces montagnards sont au centre de ces recherches. Enfin, les anthropologues s’y sont intéressés aussi en privilégiant une approche qui combine l’étique et l’émique (voir Monde alpin). Terres de contrastes, les Alpes échappent à toute catégorisation trop stricte, tantôt appréhendées comme une unité qui efface les spécificités, tantôt comme un ensemble problématique : « un vaste territoire dont l'unité se décompose en un grand nombre de variétés régionales » que le géographe étudie en portant à la lumière « de multiples problèmes relatifs à de multiples pays » (Arbos 1922). Bätzing (2003, 2007) propose un essai de définition des Alpes en montrant la difficulté de la tâche à cause de l’absence de frontières claires, que ce soit sur le plan géographique ou sur le plan humain. Il désigne cette variabilité géographique comme l’origine du problème pour l’éclosion d’une politique alpine. Par exemple, la définition classique des Alpes en tant que massif au-delà de la frontière où poussent les arbres (1900-2200 mètres) est aujourd’hui contestée après la mise en évidence de l’existence de montagnes hautes, très arides et sans glaciers, qui ne rentrent pas dans cette définition. Quant à Fernand Braudel (1966) et Germaine Veyret-Verner (1949), qui introduisent la dimension sociale à travers les études démographiques, définissent les Alpes comme un espace isolé, à l’écart des bouleversements de l’histoire. Ces théories ont été depuis sérieusement remises en question, les archéologues ayant amplement démontré que déjà pendant la préhistoire les Alpes étaient le théâtre de passages et d’échanges. Une deuxième définition, qui est à la base de la loi anthropogéographique des Alpes théorisée par Philippe Arbos (1922), l’un des pères fondateurs de la géographie alpine, et de l’alpwirtschaft de John Frödin (1940), est centrée sur les notions de pente et de verticalité, impliquant une organisation humaine et une modalité d’exploitation de la montagne par étagements successifs où tout est lié dans un système d’interdépendance et de complémentarité. Cette définition est aussi partiellement dépassée : le système traditionnel s’est transformé (sédentarisation des populations, abandon de la montagne, nouvelles installations à cause du tourisme). D’ailleurs, le tourisme, qui semble une constante de l’espace alpin contemporain, n’est pourtant pas présent partout : le tourisme touche moins de 40 % des communes des Alpes (Bätzing 2007). D’autres façons de délimiter les Alpes font référence aux unités géographiques formées par les vallées (ayant chacune son histoire, son évolution et son organisation pour l’exploitation des ressources locales) ou par les groupements de massifs et de sommets (qui revêtent un intérêt notamment pour les alpinistes) : dans le premier cas les frontières passent par les cours d’eau, dans le deuxième par les sommets. Enfin, la division politico-administrative est une autre tentative de définition : les Alpes sont partagées et loties sur la base de subdivisions territoriales qui en ont fait « un facteur de séparation plus ou moins déterminant » (Fourny 2006), à la base de conflits, notamment lorsque les aires culturelles ne recoupent pas les délimitations politiques, ce qui est assez fréquent, étant donné que les unités de peuplement, de langue, de religion, se différencient dans les plaines et les vallées et non sur les lignes de crête. Le signe le plus manifeste en est la langue. En effet, les Alpes sont une vraie mosaïque de groupes linguistiques, ethniques et religieux : des populations de langue provençale du secteur sud-occidental aux populations slaves de l’extrémité orientale. Parfois la variation existe à l’intérieur de la même vallée et remonte au Moyen Âge, par exemple dans les vallées occitanes et francoprovençales du secteur occidental, versant italien. Dans certains cas, elle est la conséquence de mouvements migratoires, tels que l’expansion colonisatrice des Walser, qui en partant de l’Oberland bernois entre le 13e et le 15e siècle se sont implantés dans plus de cent localités alpines sur une région très large qui va de la Savoie au Vorarlberg (Weiss 1959, Zinsli 1976), ou les déplacements des paysans carintiens et bavarois qui occupèrent la partie supérieure de nombreuses vallées des Alpes orientales, italiennes et slovènes. Les situations de contact linguistique dans les Alpes orientales italiennes et slovènes ont fait l’objet d’études anthropologiques de la part de Denison (1968) et de Brudner (1972). Le problème des relations entre milieu physique et organisation sociale est au cœur des études sur les Alpes. Les études de Philippe Arbos (1922) sont une réaction au déterminisme largement partagé jusqu’ici par les différents auteurs et se focalisent sur la capacité humaine d’influencer et de transformer le milieu. Dans ce filon possibiliste s’inscrit aussi Charles Parain (1979). Germaine Veyret-Verner (1949, 1959) introduit la notion d’optimum, à savoir l’équilibre démographique résultant de la régulation numérique de la population et de l’exploitation des ressources locales. Bernard Janin (1968) tente de cerner le processus de transformation économique et démographique dans le Val d’Aoste de l’après-guerre jusqu’aux années 1960, dans un moment perçu comme crucial. D’autres études se sont concentrées sur l’habitat humain, notamment sur l’opposition entre habitats dispersés, typiques des Alpes autrichiennes, bavaroises et suisses (et plus marginalement des Alpes slovènes : Thomas et Vojvoda, 1973) et habitats centralisés, typiques des Alpes françaises et italiennes (Weiss 1959 : 274-296 ; Cole et Wolf 1974). Au lieu de focaliser sur la variabilité interne des phénomènes alpins et sur leurs spécificités culturelles, quelques chercheurs sous la direction de Paul Guichonnet (1980) tentent une approche globale des Alpes, en tant qu’entité unitaire en relation avec d’autres espaces physiques et humains. Cette approche se développe parallèlement à la transition qui s’opère au niveau institutionnel où les Alpes deviennent un objet politique et ne sont plus un assemblage de régions : en effet, avec la Convention alpine (1991), les Alpes acquièrent une centralité en Europe. Plutôt que les confins d’un territoire national, elles sont perçues comme des lieux d’articulation politique, une région de frontières. Dans cette optique, les Alpes sont étudiées sous l’angle des forces extérieures qui les menacent (transport, tourisme, urbanisation, pollution) et qui en font un espace complémentaire de l’urbain et nécessaire à la civilisation des loisirs (Bergier 1996). C’est ainsi que « le territoire montagnard tire sa spécificité non pas d’un “lieu” mais de la complexité de la gestion de ce lieu. » (Gerbaux 1989 : 307) Attentifs au nouvel intérêt que la société porte sur les Alpes, après l’orientation vers les problèmes urbains, les anthropologues étudient la mutation rapide que connaît cet espace. Gérald Berthoud et Mondher Kilani (1984) entreprennent des recherches sur les transformations des Alpes en démontrant comment l’axe tradition-modernité demeure central dans les représentations des Alpes, toutes d’origine urbaine, qui se succèdent au fil des siècles, à tel point que les phénomènes contemporains y sont toujours interprétés en fonction du passé. Kilani (1984) décrit les Alpes comme un puissant lieu d’identification et analyse les effets de la manipulation de cette image figée sur les communautés alpines, que ce soient les images négatives renvoyant à la montagne marginale et arriérée ou les images utopiques de la nature vierge et du berceau de la tradition. La question de l’aménagement des Alpes étant devenue cruciale, en vue de la promotion touristique et de la préservation des milieux naturels, Bernard Crettaz met l’accent sur cette nouvelle représentation des Alpes qui régit l’aménagement contemporain et introduit la notion de disneylandisation (Crettaz 1994). Parallèlement, la floraison de musées du territoire semble être un signal parmi d’autres de cette volonté des populations locales de se libérer des représentations urbaines, qui en ont longtemps affecté le développement en imposant un sens univoque dans la diffusion de la pensée, et de raconter à leur tour les Alpes. Enfin, une réflexion sur l’avenir et le devenir des Alpes s’amorce (Debarbieux 2006), sur la déprise humaine entraînant un ensauvagement généralisé et la reforestation massive, qui est en train de progresser vers le haut, au-delà des limites écologiques, à cause du réchauffement climatique. À cette déprise, s’oppose la densification de l’impact humain le long des grands axes de communication (Debarbieux 2006 : 458), une constante de l’histoire alpine à l’échelle des millénaires, ayant comme conséquence un contraste croissant dans l’accessibilité entre les différentes localités, les villes situées le long des couloirs de circulation devenant toujours plus proches les unes des autres (Tschofen 1999 ; Borsdorf & Paal 2000). Marginalisation progressive ou reconquête de l’espace et de l’héritage?
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Dissertations / Theses on the topic "Thaï (langue) – Modalité (linguistique)"

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Chantarawaranyou, Mayurie. "Etude de la modalité : en français (modes verbaux) et en thaï (auxiliaires préverbaux de mode)." Paris 3, 1987. http://www.theses.fr/1987PA030114.

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Abstract:
Il s'agit, dans ce travail, d'une etude contrastive entre les deux langues concernant, en francais, les modes verbaux et en thai, les auxiliaires preverbaux de mode. Chaque systeme est analyse au moyen des exemples recueillis dans le corpus ecrit. Et se fondant sur la theorie linguistique de gustave guillaume, l'etude est realisee par la valeur en langue et celle en discours<br>This paper is a contrastive study between two languages on moods in french and modal preverbs in thai, analysed from different texts and based on the linguistic theory of gustave guillaume concerning the value of language and the value of speech
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Sookasame, Navarat Aksorn. "L' assimilation des tons en thaï dans la parole lue et spontanée." Paris 7, 2012. http://www.theses.fr/2012PA070081.

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Abstract:
Cette étude porte sur l'assimilation des tons dans la langue thaï. L'assimilation des tons est un phénomène qui apparaît quand les deux tons sont en contact, un ton peut modifier une ou plusieurs caractéristiques d'un autre ton voisin. Le thaï est une langue polytonale. Il y a 5 tons en thaï : le ton moyen, le ton bas, le ton descendant, le haut et le ton montant. Les tons ont une valeur distinctive. Le même mot prononcé sur un ton différent a un sens différent. Chaque ton a une courbe mélodique différente. L'assimilation des tons dans la langue thaï se produit de façon aléatoire. Cette étude est un essai de la description de ce phénomène. Elle est divisée en deux parties. Dans la première partie, le corpus de la parole lue est étudié. Et dans la deuxième partie on s'intéresse à la parole spontanée. En général, l'assimilation des tons se produit souvent quand les tons sont en contact avec le ton descendant et le ton montant dans la parole lue et aussi dans la parole spontanée. Ces deux tons partagent la même propriété. Elles présentent toutes les deux la courbe mélodique montante. La courbe montante est donc très susceptible à l'assimilation des tons<br>This study examines the assimilation of tones in Thaï language. The assimilation of tones is a phenomenon that occurs when the two tones are in contact with each other, a tone may modify one or more characteristics of another tone. Thai language is polytonal. There are five tones in Thai: mid tone, low tone, falling tone, high tone and rising tone. These tones have a distinctive value. The same word spoken with a different tone has a different meaning. Each tone has a different contour melodic. The assimilation of tones in Thai language occurs randomly. This study is trying to describe this phenomenon. It is divided into two parts. In the first part, the corpus of reading speech is studied. And in the second part we focus on spontaneous speech, In general, the assimilation of tones often occurs when the tones are in contact with the falling tone and high tone both in reading speech and also in spontaneous speech. These two tones share the same property. They present both the upward curve. The upward curve is very susceptible to tonal assimilation
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Conjeaud, Michèle. "De l'usage de จะ (/cà?/) dans la langue siamoise". Paris, INALCO, 2009. http://www.theses.fr/2009INAL0002.

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Abstract:
La thèse aborde le morphème /cà?/ dans une optique totalement différente de toutes celles des études faites jusqu'à ce jour sur ce morphème, tant en ce qui concerne son objectif que la méthodologie utilisée. Le but poursuivi n'est pas de placer /cà?/ dans l'une des grandes catégories grammaticales Temps, Aspect ou Modalité, mais d'essayer de trouver les règles qui gouvernent ses multiples usages. La méthodologie choisie est issue de la Théorie des Opérations Prédicatives et Énonciatives (TOPE) développée par Antoine Culioli et appliquée pour la première fois au thaï. En outre, une approche paradigmatique est utilisée afin d'obtenir les valeurs sémantiques de chaque occurence de /cà?/ du corpus aussi objectivement que possible. Ensuite, une analyse des résultats permet de déduire une "identité (forme schématique)" pour le morphème /cà?/ et d'expliquer comment il opère. En conclusion, la thèse soutenue par l'auteur est qu'à partir de l'interaction entre l'identité (FS), le co-texte et le contexte, les multiples valeurs sémantiques de /cà?/ qui s'appliquent au groupe verbal postposé sur lequel il porte deviennent compréhensibles et que, corrélativement, l'usage de /cà?/ par un non-Thaï devrait être facilité. D'un autre côté, en ce qui concerne la catégorisation gramaticale, l'identité (FS) obtenue avec ses trois variations montre que /cà?/ ne peut pas être considéré comme un marqueur de Temps. Néanmoins, si on admet que les Thaï conçoivent le Temps en se plaçant dans la métaphore "standing time", une telle conclusion n'est pas incompatible avec l'appellation "marquer de futur" donnée à /cà?/ dans la plupart des dictionnaires<br>The thesis investigates the marker /cà?/ in a totally different way from all preceding studies, both in terms of its objective and also the methodology adopted. The aim is not to categorise /cà?/ as belonging to Tense, Aspect or Modality but to try to find rules which convey its multiple uses. THe methodology chosen comes from the Theory of Enunciative and Predicative Operations developed by Antoine Culioli, which has never before been applied to the Thai language. In addition, a paradigmatic method is used in order to obtain the semantic values of each occurrence of /cà?/ appearing in the corpus as objectively as possible. Subsequently, an analysis of the results allows us to infer an "identity (schematic form)" for the morpheme /cà?/ and explain how it operates. In conclusion, the theory put forward by the author is that the various semantic values of /cà?/ which act on the verbal group it precedes become intelligible through the interplay between identity (SF), co-text and context, and this should make it easier for non-Thai speakers to understand its use. Furthermore as far as grammatical categorisation is concerned, the obtained identity (SF), with its three variations, shows that /cà?/ cannot be considered a tense marker. Nevertheless, if we consider a Thai's conception of time to be framed by the "standing time" metaphor, such a conclusion is not incompatible with the definition of /cà?/ as a "future marker" given in most dictionaries
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Chulakorn, Sirivan. "Etude de la concession en thaï à travers quelques traductions du français en thaï." Paris 5, 1991. http://www.theses.fr/1991PA05H054.

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Abstract:
Cette étude vise à identifier et analyser les différents marqueurs de concession en thaï: en prenant comme corpus quatre textes littéraires francais (roman et contes) traduits en thai (d'après les traducteurs) des marqueurs de concession du francais, qui comprennent aussi bien les conjonctions concessives que d'autres morphèmes grammaticaux et lexicaux. Bien que cette recherche se base principalement sur une démarche d'analyse structurale, elle essaie aussi de mettre en évidence l'aspect pragmatique de certaines particules énonciatives en thaï. Elle montre parallèlement les interprétations subjectives des traducteurs concernant la relation concessive en français. Il est difficile de distinguer les valeurs sémantico-pragmatiques des conjonctions en thaï. La confrontation avec les différents types de relation concessive en français permet cependant de les différencier
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López, Izquierdo Marta. "Recherches sur la modalité : les verbes de modalité factuelle en espagnol médiéval." Paris 10, 2000. http://www.theses.fr/2000PA100093.

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Abstract:
Nous nous sommes proposee dans ce travail d'etudier sous un nouvel angle les verbes de modalite en espagnol. Pour cela, nous avons adopte une perspective semantico-syntaxique, prenant appui sur les procedes des grammaires casuelles, plus precisement de la grammaire a base semantique de bernard pottier (1987, 1992). Dans un premier temps, nous developpons une reflexion theorique sur le concept de modalite et ses differents types et nous proposons un classement sur trois niveaux : 1. Modalite de la langue versus modalite du discours ; 2. Modalite de renonciation versus modalite de l'enonce, 3. Modalites epistemique, factuelle et axiologique. Nous abordons ensuite les enjeux theoriques fondamentaux dans l'etude des verbes modaux, a partir d'exemples de l'espagnol contemporain. Nous determinons les differents modules syntaxiques et casuels des verbes etudies et delimitons les frontieres entre les verbes modaux et des categories proches, telles que le mode verbal et la force illocutoire. Dans la deuxieme partie, nous traitons du fonctionnement des verbes de modalite factuelle, a partir d'exemples tires d'un corpus forme des textes allant du xiie siecle a la fin du xve siecle. Nous etudions pour chaque verbe (quinze, au total): 1. L'etymologie et les valeurs semantiques; 2. La combinatoire syntaxique ; 3. Le module casuel et les valeurs discursives reperees. L'observation des conditions formelles et contextuelles dans lesquelles les valeurs factuelles se realisent nous permet de conclure par une caracterisation formelle des predicats factuels. Nous determinons egalement les proprietes specifiques de la modalite factuelle, face aux modalites epistemique et axiologique. Notre approche theorique nous a permis de depasser le cadre trop etroit adopte traditionnellement dans l'etude de cette classe de verbes, ou verbe modal s'identifiait a auxiliaire modal. De nouvelles proprietes semantico-syntaxiques sont repertoriees afin de proposer une explication globale des verbes etudies.
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Bottineau, Didier. "Aspect, actance et modalité : systématique de l'infinitif anglais." Paris 4, 1998. http://www.theses.fr/1998PA040205.

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Abstract:
Dans le cadre de la psychomécanique du langage fondée par G. Guillaume, complété de ceux de la grammaire metaopérationnelle (H. Adamczewski) et de la théorie des opérations énonciatives (A. Culioli) dans la mesure des compatibilités, on rend compte de la formation en syntaxe génétique des énoncés anglais comprenant un infinitif avec ou sans to. Une proposée de discours saisie à l'état de puissance par une idée regardante interceptive livre, en syntaxe des résultats, une relation sujet-verbe puissancielle dont la source est contrôlée par l'énonciateur et réinvestissable dans un sujet de puissance discursif déterminé ou non, pouvant ou non coïncider avec lui ou s'en disjoindre. Non interceptée, la même relation n'est pas marquée. Les auxiliaires et relateurs avec ou sans to dépendent de la précocité de l'interception modale. Une relation préconstruite est revalidée par -ing ou virtualisée par le participe passé. Une idée regardante sans sujet propre s'insère en position de relateur au sein de l'idée regardée qu'elle modalise; avec un sujet propre, elle se thématise. Le système de l'aspect verbal est réinvesti dans la chronologie modale du temps opératif et détermine l'état résultant des schèmes actanciels, puissanciels, effectifs ou préconstruits. Le signifie de puissance des mots de langue et la systématique verbo-temporelle du verbe anglais sont revus en fonction d'une sémantique des phonèmes, qui représentent individuellement un processus cognitif invariant, chaque mot grammatical étant constitue d'une grappe de ces formants qui détermine ses valeurs et sa syntaxe. L'infinitif se caractérise par une morphologie cognitive qui détermine ses relations à l'actance, l'aspect, la modalité, la genèse des énoncés et leur structure résultante. Dans l'acte de langage, on distingue ainsi le cheminement sémio-génétique mis en œuvre par l'énonciateur du parcours sémio-génétique qu'il cherche à susciter chez le destinataire du signal acoustique : le « décodage » ne se résume pas à une inversion des opérations «d'encodage »<br>This study, based on the linguistic theory of G. Guillaume (the psychomechanics of language), with references to the meta-operational grammar of H. Adamczewski and the theory of operations of A. Culioli, deals with the way in which English utterances containing an infinitive verb form are generated : the genesis of a projected subject-predicate matrix, submitted to the mental scrutiny of the enunciator, can be intercepted at an early stage, resulting in an utterance which displays a virtualized connection between a potential subject (determined or undetermined) and the predicate, with a verbal relator passing a modal comment justifying the interception. A relator with a subject of its own is fore fronted, whereas a subjectless one remains inserted between the subject and the verb. An unintercepted subject-to-predicate connection is unmarked; an intercepted one is marked by one or several auxiliaries, with or without to, depending on the degree of actualization; a previously available connection is revalidated by -ing or virtualized by a past participle. The choice of aspectual verb forms is shown to reveal the degree of modal validation of the subject-to predicate link accepted by the enunciator, resulting in a correspondingly actualized link between the subject and the verb. The potential significates of verb forms, affixes and grammatical words in general are ascribed to the clusters of phonemes they contain: each sound represents an elementary mental process, and the meaning and syntax of grammatical words and some major lexical words is determined by the combination of processes their morphology involves. The infinitive is defined as the keystone between this cognitive structure of the word and the modal genesis of utterances it enables. This approach leads to a distinction between the morphogenic operations carried out by the enunciator and the semantic processes he tries to induce the hearer to perform
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Brul, Willem van den. "Les verbes de modalité en néerlandais contemporain." Paris 4, 1993. http://www.theses.fr/1993PA040168.

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Abstract:
Après une brève description du système verbal néerlandais, avec ses valeurs temporelles, aspectuelles et modales, définition des opérations invariantes qui se trouvent à la base de toute utilisation des verbes de modalité : zullen, moeten, kunnen, mogen, willen, dans l'expression de la nécessite, de la possibilité, de la volonté ainsi que du futur<br>After a summary of the verbal system in Dutch, with its temporal, aspectual and modal values, there follows a description of the invariant operations that form the bases of all modal verb usage (zullen, moeten, kunnen, mogen, willen) when expressing necessity, possibility and will, as well as the future with zullen
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Thamprasert, Rosakon. "Étude comparative de l’adjectif en français et en thaï." Paris 4, 2007. http://www.theses.fr/2007PA040091.

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Abstract:
L’adjectif français a un comportement morphosyntaxique très proche de celui du nom. L’adjectif thaï est, dans la plupart des cas, très proche du verbe. En français et en thaï, l’adjectif peut occuper la place de l’adverbe, mais il n’est pas toujours adverbialisé. L’adjectif français peut être dérivé d’un verbe, d’un nom ou d’un adjectif. Le thaï, qui ne connaît pas de dérivation affixale sauf dans les mots empruntés tels quels au sanskrit, au pâli ou au khmer, doit avoir recours dans plusieurs cas à l’auxiliaire modal, au syntagme prépositionnel, à la structure de subordination ou à un autre adjectif. En français, l’adjectif dénominal peut avoir des sens relationnels, qualificatifs ou les deux ; la composition adjectivale peut être soit interne soit externe. Dans les deux langues et particulièrement en thaï, le redoublement, la réduplication et la série adjectivales peuvent avoir plusieurs valeurs linguistiques. L’adjectif épithète du thaï est toujours postposé au nom ; celui du français peut lui être antéposé ou postposé selon plusieurs facteurs. Le nom peut également exercer la fonction épithétique dans les deux langues, mais pas dans tous les cas. Une copule est indispensable pour l’adjectif prédicatif français ; elle ne l’est que pour certains adjectifs du thaï, la plupart étant prédicats sans copule. En français et en thaï, l’adjectif prédicatif peut être antéposé à la phrase lorsqu’il est focalisé ou mis en valeur<br>French adjective has a morphosyntactic behavior very close to noun. Thai adjective is, in most cases, very close to verb. In French and in Thai, adjective can occupy the place of adverb, but it’s not always adverbialized. French adjective can be derived from a verbe, a noun or an adjective. The Thai, which doesn’t know any affixal derivation, except for the ready-made words borrowed from Sanskrit, Pali or Khmer, has to use, in many cases, a modal auxiliary, a prepositional group, a subordination structure or another adjective. In French, denominative adjective can have relational or qualifying meanings or both ; the adjectival composition can be internal or external. In the two languages and particularly in Thaï, partial or total reduplication and adjectival series can have several linguistic values. Thai attributive adjective is always placed after the noun ; the French one can be placed before or after the noun, depending on several factors. Noun can also fulfill the attributive function in the two languages, but not in every cases. A copulative verb is indispensable for French predicative adjective ; it is necessary for some Thai adjectives only, while most of them are predicates without copula. In French and in Thai, predicative adjective can be placed at the beginning of the sentence when it is focused or emphasized
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Novakova, Iva. "Temporalité, modalité et aspectualité au futur : l'exemple du français et du bulgare." Grenoble 3, 1998. http://www.theses.fr/1998GRE39015.

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Abstract:
Ce travail étudie l'idée d'avenir en tant que catégorie semantico-cognitive universelle à travers ses différentes manifestations et moyens d'expression en français et en bulgare. Les emplois des + temps ; futurs sont analyses à travers les trois grandes catégories énonciatives: la temporalité, la modalité et l'aspectualité. La dimension textuelle des tiroirs futurs vient compléter le tableau assez riche du fonctionnement des futurs, car les valeurs sémantiques des occurrences changent en fonction du registre énonciatif ou elles apparaissent. La formation tardive des tiroirs futurs est une tendance généralisée dans les langues. La mise en perspective historique des futurs permet de mieux appréhender leur fonctionnement à l'étape actuelle de la langue. Cette étude est basée sur un vaste corpus d'exemples tant bien littéraires qu'appartenant à l'usage quotidien des deux langues étudiées. Le classement des énoncés recueillis et leurs traductions a permis de dégager la structure du travail. Celui-ci fait largement appel aux outils et aux concepts de la théorie de l'énonciation, de la linguistique contrastive, de la sémantique cognitive, de la pragmatique et de la linguistique textuelle. L'approche méthodologique choisie se veut transcatégorielle; elle insiste sur l'impossibilité de séparer les dimensions temporelle, modale et aspectuelle dans l'analyse des futurs, car celles-ci s'influencent mutuellement. Elle prouve que le découpage traditionnel du futur en emplois + temporels ; et + modaux ; est réducteur et ne correspond pas aux réalités de la langue. Les process au futur sont ultérieurs au moment de l'énonciation (paramètre temporel). Le fait qu'ils échappent aux critères de vérité explique leur nature modale. Le troisième paramètre énonciatif, à savoir l'aspect ou le regard que porte l'énonciateur sur le déroulement du process (global, inaccompli, accompli, prospectif) occupe une place importante dans la présente étude. Le travail met également en relief l'importance de la personne énonciative qui véhicule différentes nuances de sens. Si, pour les process, référant au passé, elle peut se tenir + en retrait, au futur elle devient incontournable<br>The present work analyses the idea of futurity as a universal semantic and cognitive category through its different ways of expression in French and Bulgarian. The uses of the future tenses are analysed through three basic utterer-centered categories: temporality, modality and aspectuality. The textual dimension of futures contributes to the vast panorama of way the future tenses function, because the semantic values of the occurrences change according to the register in which they appear. The late formation of the future tenses is a general tendency in languages. The historical perspective of the futures enables one to better understand of their meanings at the present stage of the language. The study is based on a large corpus of literary and everyday use examples in the two analysed languages. The classification of the collected utterances and their translations made it possible to determine the structure of the work. It widely resorts to the instruments and the concepts of the utterer-centered linguistic theory, contrastive linguistics, cognitive semantics, pragmatics and textual linguistics. The methodological approach chosen in this study insists on the impossibility to separate the temporal, modal and aspectual dimensions in the analyses of the futures because they influence each other. This approach proves that the traditional classification of the futures into "temporal" and "modal" uses does not correspond to the realities of the language. The future processes are ulterior to the speaker's present (temporal parameter). The fact that they escape the truth criteria explains that the future is inherently a modalized tense. The third parameter, namely aspect or the speaker's view point on the process (global, accomplished, non-accomplished, prospective) is widely analysed in the present study. The work also shows the importance of the subject's person, which conveys various shades of meaning. If, for processes referring to the past, it may remain discreet, in the future, it becomes unavoidable
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Rujopakarn-Pimpasingh, Surapee. "Les Expressions de l'ordre et de la demande en français et en thaï." Lyon 2, 1986. http://www.theses.fr/1986LYO20026.

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Abstract:
Ce travail consiste en des etudes syntaxique, semantique et pragmatique des expressions de l'ordre et de la demande en francais et en thai. Ces expressions comprennent les imperatifs et, en fonction du concept de l'illocution, toutes les phrases servant a faire agir l'allocutaire ou a changer le comportement de celui-ci. Le chapitre consacre au francais un travail de synthese des etudes existantes des expressions de l'ordre et de la demande et surtout de l'imperatif. Celui-ci est repris avec ses valeurs semantique et pragmatique, ses formes et les constructions de ses phrases. Les expressions autres que l'imperatif sont etudiees en fonction de l'illocution. Les expressions de l'ordre et de la demande en thai sont analysees plus en detail du point de vue de la syntaxe et la semantique. Dans le cadre bien limite de ces expressions, plusieurs points de la langue sont traites, par exemple, les particules finales et les serialisations des verbes. Quant a celles-ci, qui posent un probleme dans la syntaxe du thai, nous proposons de les classer selon les relations des verbes. Une etude contrastive des expressions de l'ordre et de la demande en francais et en thai est faite dans une perspective pedagogique<br>This research deals with the studies in syntax, semantics and pragmatics of the order and request expressions in french and in thai. These expressions include the imperative and, by applying the concept of illocution, all sentences used to get someone to do something. The study of french expressions is a synthesis of works concerning order and request expressions, especially the imperative. The imperative in french is studied with its semantical and pragmatical meanings, its forms and the construction of its sentence. Those sentences used to get people to do things besides the imperative are studied in the illocutionary aspect. The order and request expressions in thai are analysed in detail in syntax and semantics. Within a limited framework of these expressions, several points of language are studied, for example the final particles and the verb serializations. The latter, which presents a problem in thai syntax, is classified, in this study, with reference to the relation between the verbs. A contrastive study of the french and thai order and request expressions is carried out in a pedagogical perspective
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GAVRIS, Daniele. "Inclusion et intégration des élèves allophones dans un contexte multilingue." In Formation linguistique des apprenants allophones et pédagogies innovantes. Editions des archives contemporaines, 2021. http://dx.doi.org/10.17184/eac.4173.

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Abstract:
La recherche que nous présentons a comme finalité d’étudier les procédures et les techniques mises en place par un lycée professionnel d’Italie, pour intégrer et scolariser les élèves allophones qu’ils accueillent. L’objectif de cette étude est d’analyser les étapes fondamentales de prise en charge de ces élèves et les procédures mises en œuvre pour les intégrer dans la salle de classe, pour permettre d’abord une socialisation et une inclusion avec d’autres élèves et, par la suite, dans la société italienne. En particulier, notre but est d’analyser les points suivants : la modalité d’intégration des élèves allophones dans les classes, la place de la langue maternelle des élèves allophones en milieu interculturel, l’enseignement de l’italien, langue de scolarisation pour la transmission des connaissances, l’enseignement des autres langues étrangères, en l’occurrence du français et de l’anglais et l’évaluation des élèves allophones, les critères et les démarches adoptés.
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